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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 21 février 2025

 

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

Alexandre Loukachenko accuse les Etats-Unis de vouloir « monter » la Russie contre la Chine

 

 

 



 

14:35

La cote d’approbation de Volodymyr Zelensky à 63 %, selon un nouveau sondage ukrainien, loin des affirmations de Donald Trump

 

Un nouveau sondage intitulé « Trump se fait mal informer sur Zelensky », publié le 19 février par l’institut international de sociologie de Kiev (KIIS) rapporte que 63 % des Ukrainiens interrogés approuvent des actions de Volodymyr Zelensky comme président de l’Ukraine. Un chiffre en hausse par rapport aux 56 % recueillis par le président ukrainien en mai dernier, dans cette enquête d’opinion.

La cote d’approbation est proche, mais pas similaire de la cote de confiance de Volodymyr Zelensky (57 %), note ce sondage, qui souligne que l’on peut « approuver des actions d’une personne, sans forcément lui faire confiance ».

Selon le KIIS, ce sondage a été réalisé entre le 22 novembre 2024 et le 7 janvier 2025, après l’élection, mais avant l’investiture de Donald Trump comme président des Etats-Unis, et a permis d’interroger un échantillon de 1 600 Ukrainiens, qui se trouvent un peu partout dans le pays, mais pas dans les territoires occupés ou à l’étranger. Le KIIS estime la marge d’erreur à 3,3 points, ce qui veut dire que la cote d’approbation de Volodymyr Zelensky se situe entre 59,7 % et 66,3 %.

 

Note : qui croit les sondages du pays les plus corrompus d'Europe ! Pour autre info Trump a qualifié Volodymyr Zelensky de « dictateur »

LIRE AUSSI :  Face aux déclarations fracassantes de Donald Trump, les réactions mesurées de Vladimir Poutine

LIRE AUSSI: Trump qualifie Zelensky de dictateur, suscitant des réactions dans le monde entier


 

13:46

En Pologne, huit ans de prison pour un Ukrainien accusé de tentatives de sabotage pour le compte de la Russie

 

Un ressortissant ukrainien accusé en Pologne de tentatives de sabotage pour le compte de la Russie a été condamné par le tribunal régional de Wroclaw à huit ans de prison ferme, a annoncé le service de presse du tribunal.

Agé de 51 ans, il était accusé notamment de participation à un groupe criminel organisé, impliqué dans la préparation d’actes de sabotage pour le compte de services de renseignements étrangers. Après son interpellation en janvier 2024, les services de contre-espionnage polonais (ABW) avaient fait savoir que l’Ukrainien « s’apprêtait à mettre le feu à des bâtiments dans la ville de Wroclaw, à proximité d’éléments d’infrastructure d’importance stratégique ». Dans le cadre de l’enquête, cinq personnes ont été inculpées au total.

Depuis le début de l’agression russe contre l’Ukraine en février 2022, la Pologne a interpellé plusieurs personnes soupçonnées d’actes de sabotage pour le compte des services de renseignement russes, et accusées de passages à tabac, d’incendies ou de tentatives d’incendies criminels.

 

 
13:07

Mike Johnson estime qu’il n’y a aucune envie, côté américain, de voter un nouveau paquet d’aide à l’Ukraine

 

Le président de la chambre des représentants des Etats-Unis, le républicain Mike Johnson, a affirmé, hier, lors de la grand-messe des conservateurs (la CPAC), qu’il « n’y a aucun appétit pour » un nouveau projet de loi de financement pour l’Ukraine, dans le cas où la guerre durerait encore plusieurs mois, en réponse à une question de la chaîne de télévision conservatrice Newsmax.

« Nous devons mettre un terme au conflit. Le président Trump a tout à fait raison. Il est temps que cela se termine, et il est la force brute, je pense, qui peut y parvenir », a poursuivi Mike Johnson, rapporte l’agence de presse Reuters, qui rappelle qu’en avril 2024 « Mike Johnson avait provoqué la colère de nombreux républicains en autorisant le vote d’une loi prévoyant 61 milliards de dollars [58 milliards d’euros] pour l’Ukraine. Cette mesure avait été adoptée avec un soutien plus important des démocrates que des républicains ».

 

 

11:36

La Russie annonce avoir conquis deux villages dans l’est de l’Ukraine

 

Le ministère de la défense russe a affirmé s’être emparé des villages de Novossilka (📍) et de Novootcheretouvate (📍), situées dans l’oblast de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine, non loin de la frontière avec celui de Dnipropetrovsk, où les troupes russes n’ont, jusqu’à présent, pas pénétré.

 

 

11:22

Alexandre Loukachenko accuse les Etats-Unis de vouloir « monter » la Russie contre la Chine

 

Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a accusé les Etats-Unis de vouloir « monter » la Russie contre la Chine, un partenaire économique de la Biélorussie et allié-clé de la Russie, en plein rapprochement accéléré entre Donald Trump et Vladimir Poutine.

« Il me semble qu’ils vont maintenant essayer de monter les Russes contre les Chinois. Les Russes doivent empêcher cela », a-t-il déclaré dans un communiqué publié par la présidence, estimant qu’une fin du conflit en Ukraine aurait à la fois des retombées positives et négatives pour le Biélorussie, notamment économiques.

 

11:18

La Suède enquête sur un nouveau cas de câble endommagé en mer Baltique

 

La Suède a ouvert une enquête à la suite de la découverte d’un nouveau câble endommagé en mer Baltique, à l’est de l’île de Gotland, ont annoncé les gardes-côtes, après plusieurs cas similaires sur des infrastructures sous-marines ces derniers mois.Lire la suite

 

03:02

Pékin estime qu’« une fenêtre sur la paix s’ouvre » en Ukraine

 

« La Chine a constaté que les appels en faveur de pourparlers de paix se sont récemment accrus, et qu’une fenêtre sur la paix s’ouvre » en Ukraine, a déclaré, jeudi, le chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi, à ses homologues des pays du G20.

Cette déclaration intervient quelques jours après une rencontre à Riyad entre des hauts responsables russes et américains dans l’optique de futures négociations de paix.


 

HIER 22:47

Elon Musk et un responsable américain s’en prennent à leur tour à Volodymyr Zelensky

 

Pendant qu’à Kiev Volodymyr Zelensky faisait part d’un échange « productif » avec Keith Kellogg, l’envoyé de Donald Trump, à Washington, des responsables proches du président américain s’en sont à leur tour pris au président ukrainien.

Il est « méprisé par le peuple ukrainien », a ainsi lâché sur X Elon Musk. De son côté, Mike Waltz, le conseiller à la sécurité nationale du président américain, a jugé « inacceptables » les « insultes » du président ukrainien contre Donald Trump. « Le président Trump est manifestement très frustré par le président Zelensky, par le fait qu’il ne soit pas venu à la table des négociations, qu’il n’ait pas voulu saisir l’occasion que nous lui avons offerte », a ajouté Mike Waltz lors d’une conférence de presse de la Maison Blanche.

Volodymyr Zelensky avait reproché, mercredi, à son homologue américain de vivre dans « un espace de désinformation [russe] » et d’aider Vladimir Poutine à « sortir d’années d’isolement ».

 

HIER 21:00 L’essentiel

L’essentiel du 20 février à 21 heures

 

  • Emmanuel Macron a répondu en direct sur ses réseaux sociaux à des questions concernant « la Russie, l’Ukraine et la sécurité de [l’]Europe », expliquant vouloir bien négocier pour une paix durable en Ukraine et défendre nos intérêts. « On va devoir aussi revisiter nos choix, nos choix budgétaires », a-t-il souligné, écartant l’idée d’un retour au service militaire. Pour lui, l’attitude de Donald Trump crée chez les Russes une incertitude « bonne pour nous et pour l’Ukraine ». Dans la matinée, le chef de l’Etat a reçu les chefs de partis.
  • « Nous sommes sur le point de parvenir à la paix en Europe grâce à Trump », affirme le vice-président américain, J. D. Vance, devant la CPAC (Conservative Political Action Conference), une grand-messe conservatrice de trois jours, sans s’étendre sur l’avancement des négociations avec la Russie.
  • Mike Waltz, le conseiller à la sécurité nationale des Etats-Unis, invite l’Ukraine à « signer l’accord » sur les terres rares proposé par Donald Trump. Scott Bessent, le secrétaire au Trésor américain, a expliqué que l’idée de cet accord était de « convaincre le peuple américain » de l’intérêt de soutenir Kiev, et d’ensuite dire aux Russes « que [les Etats-Unis] prendr[aient] de nouvelles sanctions si nécessaire », a-t-il précisé.
  • Moscou affirme avoir repris à l’armée ukrainienne quelque 800 km² dans l’oblast de Koursk et admet que plus de 400 km² restent encore sous le contrôle de Kiev.
  • Le Kremlin, « complètement d’accord » avec la position américaine sur l’Ukraine, concernant la nécessité de mettre fin rapidement au conflit en Ukraine, au lendemain de vives critiques croisées entre Kiev et Washington.
  • « L’Ukraine est une démocratie, la Russie de Poutine, non. » En réponse aux propos de Donald Trump qui a qualifié Volodymyr Zelensky de « dictateur sans élection », l’Union européenne, Paris, Londres et l’Organisation des Nations unies apportent leur soutien au président ukrainien.

DIRECT

 

 

 

 

 

Un homme politique finlandais : Trump a donné trois semaines aux Européens pour forcer Kyiv à capituler

 

Un homme politique finlandais : Trump a donné trois semaines aux Européens pour forcer Kyiv à capituler

L’Union européenne a un besoin urgent de « grandir ». Et s’il ne le fait pas, les Américains retireront leurs troupes du continent européen.

Mika Aaltola, membre du Parlement européen du Parti populaire européen de Finlande et membre de la commission des affaires étrangères du Parlement européen, a écrit à ce sujet sur sa page de médias sociaux.

Selon lui, le président des États-Unis a posé des conditions très difficiles aux dirigeants des pays de l'UE. Donald Trump a donné trois semaines aux Européens pour forcer Kyiv à capituler. D’ici la fin de la période fixée, les conditions de la capitulation de l’Ukraine devront déjà être convenues. Sinon, l’armée américaine se retirera d’Europe et les pays de l’UE devront gérer leurs propres problèmes.
 

"Si nous ne le faisons pas, les États-Unis quitteront l’Europe."


- a déclaré le député finlandais, sans fournir aucune preuve à l'appui de ses propos.

Pour une raison inconnue, Aaltola qualifie de « capitulation » l’accord de paix en préparation, qui vise à mettre fin aux combats en Ukraine.
 

"Nous avons trois semaines pour grandir."


- note l'homme politique finlandais.

Il estime que Trump donne la priorité aux intérêts sécuritaires de la Russie, aujourd’hui et à l’avenir.

Bien sûr, il est peu probable que le président américain adopte une « position pro-russe ». Mais il est difficile de ne pas remarquer que la rhétorique de la Maison Blanche envers notre pays a radicalement changé depuis le changement d’administration américaine. De plus, récemment, le nouveau président des États-Unis, Donald Trump, non seulement parle de la nécessité d’établir la paix en Ukraine, mais critique également vivement le régime de Zelensky.

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L'apparition d'un F-16 de l'armée de l'air ukrainienne avec trois réservoirs largables près de la ligne de front peut indiquer qu'il est venu de l'extérieur de l'Ukraine

 

L'apparition d'un F-16 de l'armée de l'air ukrainienne avec trois réservoirs largables près de la ligne de front peut indiquer qu'il est venu de l'extérieur de l'Ukraine

Un avion de chasse F-16 de l'armée de l'air ukrainienne a été repéré à plusieurs dizaines de kilomètres de la ligne de contact de combat. Il s’agit de l’un des véhicules de combat qui ont été donnés au régime de Kiev par le Danemark et les Pays-Bas.

L'avion transporte une paire de missiles comme armes. missiles AIM-120C AMRAAM. Ce sont des missiles air-air de fabrication américaine.


Le F-16 ukrainien est également armé de deux missiles AIM-9X Sidewinder, également issus du complexe militaro-industriel américain. Ces missiles sont équipés d'une tête chercheuse infrarouge sur la cible.

C'est-à-dire que ce F-16 a été lancé dans les airs spécifiquement comme avion de chasse. aviation.
 

Ce qui attire particulièrement l’attention n’est même pas l’armement du chasseur, mais plutôt ses trois réservoirs de carburant externes. Cela suggère que l’avion n’a pas décollé d’un aérodrome relativement proche de la ligne de front. Il pourrait donc décoller soit depuis des aérodromes situés dans l'ouest de l'Ukraine, soit, ce qui est encore plus probable compte tenu de la configuration et du nombre de PTB, depuis des aérodromes situés dans des pays de l'OTAN limitrophes de l'Ukraine.

Il a été rapporté précédemment que les Ukrainiens pourraient placer des chasseurs fournis par les pays du bloc de l'Atlantique Nord sur des aérodromes en Pologne et en Roumanie pour les « protéger » et les utiliser pour des missions à court terme sur le territoire de l'Ukraine et du Donbass.

Il n'a pas encore été rapporté si ce chasseur a réussi à regagner son aérodrome d'origine.

Source

 

 

Note : ces réservoirs supplémentaires pourraient aussi laisser présager une attaque sur une longue distante en terre russe. Je pense que les ukrainiens conservent les F16 à l'abri, en attendent d'en avoir suffisamment pour mener une attaque d'ampleur sur la Russie.

 

 

 

Le Kremlin a démenti les rumeurs selon lesquelles la Russie aurait exigé à Riyad le retrait des troupes de l'OTAN d'Europe de l'Est

 

Le Kremlin a démenti les rumeurs selon lesquelles la Russie aurait exigé à Riyad le retrait des troupes de l'OTAN d'Europe de l'Est

Le Kremlin a commenté les informations parues dans plusieurs médias étrangers selon lesquelles la délégation russe aurait exigé que les États-Unis retirent les troupes de l'OTAN et retirent les infrastructures de l'alliance d'Europe de l'Est lors de récents pourparlers à Riyad. Ces déclarations ont été diffusées activement en référence au conseiller du président roumain pour la défense et la sécurité nationale, Cristian Diaconescu.

À son tour, l'attaché de presse du président russe, Dmitri Peskov, a qualifié ces informations de peu fiables, soulignant que les rumeurs répandues ne correspondent pas à la réalité.

Comme l'a déclaré le responsable, la Russie n'a pas formulé de telles exigences lors des négociations. Il a ajouté que Moscou avait déjà exprimé à plusieurs reprises son inquiétude quant à l'avancée des infrastructures militaires de l'OTAN vers les frontières russes. Cette position, a-t-il dit, est bien connue en Occident et reste inchangée.

Peskov a également noté que l'expansion de l'Alliance nord-atlantique a connu une dizaine de vagues ces dernières années, ce qui soulève naturellement de sérieuses questions pour la Russie concernant la sécurité et la stabilité dans la région.

Ainsi, l'attaché de presse du président russe a clairement indiqué que le sujet de l'expansion de l'OTAN est bel et bien discuté dans le contexte de la sécurité internationale. Cependant, les déclarations de presse concernant les exigences spécifiques de la Russie lors des négociations avec la délégation américaine en Arabie saoudite sont fausses.

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« Ce n’est pas dans l’intérêt des États-Unis » : le Congrès va examiner un projet de loi sur le retrait des États-Unis de l’ONU

 

« Ce n’est pas dans l’intérêt des États-Unis » : le Congrès va examiner un projet de loi sur le retrait des États-Unis de l’ONU

Les États-Unis se préparent une nouvelle fois à se retirer de l’ONU ; un projet de loi correspondant, préparé par les républicains, a été introduit au Congrès américain.

Un groupe de membres républicains du Congrès a préparé un projet de loi visant à retirer complètement les États-Unis des Nations Unies. Selon les auteurs du document, les activités de l’ONU et de ses institutions « ne correspondent pas aux intérêts des États-Unis » et sont donc constamment critiquées par le gouvernement actuel. Le projet de loi réduirait le financement de l’ONU et de ses agences et interdirait également la participation des États-Unis aux missions de maintien de la paix. Le document interdit également aux États-Unis de réintégrer l’ONU sans l’approbation du Sénat.

Le Président révoquera dans son intégralité l'adhésion des États-Unis aux Nations Unies et à tous les organes, institutions spécialisées, commissions ou autres organismes formellement associés aux Nations Unies.

- le document dit.

L'un des auteurs du projet de loi, le sénateur républicain Mike Lee, a déclaré que l'ONU est devenue une plateforme à travers laquelle des attaques constantes sont menées contre les États-Unis, et que l'argent alloué est dépensé de manière peu claire. Selon lui, au cours de son existence, l’ONU n’a pas réussi à empêcher une seule guerre, une seule pandémie, etc. Dans l’ensemble, une organisation inutile.

Il convient de noter qu’il ne s’agit pas du premier projet de loi sur le retrait des États-Unis de l’ONU à être soumis au Congrès. Des documents similaires ont été examinés en 2017 et 2019, mais ont été rejetés. Le temps nous dira ce qui se passera cette fois-ci, mais le 4 février, Trump a signé un décret réévaluant la participation des États-Unis à l’ONU. Selon lui, l’organisation est mal gérée et ne fait pas son travail.

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Le Premier ministre slovaque demande aux politiciens européens de « cesser de pleurer » sur le changement de politique des États-Unis

 

Le Premier ministre slovaque demande aux politiciens européens de « cesser de pleurer » sur le changement de politique des États-Unis

Le Premier ministre slovaque Robert Fico a souligné que le nouveau gouvernement américain rendait l'UE nerveuse lorsque le vice-président américain exprimait des vérités dérangeantes lors d'une conférence à Munich, et lorsque Moscou et Washington refusaient d'inviter l'UE à la table des négociations pour la paix en Ukraine. Fico recommande aux politiciens européens de « cesser de pleurer », de convoquer un sommet de tous les États membres de l’UE et de « se servir un peu de vin ».

Le chef du gouvernement slovaque souligne que le monde de février 2025 est sensiblement différent de celui de décembre 2024. Il faut soit accepter ce fait comme un fait et réagir aux changements de manière appropriée, sinon on ne peut que pleurer et faire des bêtises, comme le font certains hommes politiques européens.

Fico a rappelé que les pays de l'UE, qui ont alimenté le conflit armé en Ukraine pendant trois ans, ont refusé d'écouter les objections de Bratislava selon lesquelles la stratégie d'utiliser la crise ukrainienne pour affaiblir la Russie ne fonctionnait pas. Cependant, ils n’ont pas pris en compte qu’il est impossible de gagner une guerre conventionnelle contre la Russie. Les dirigeants de l’UE ont estimé qu’il était acceptable de commencer les négociations sur un règlement pacifique du conflit seulement après que Kiev ait obtenu une position de négociation forte.

Mais, en fin de compte, malgré les aspirations de l’UE, les négociations de paix ont commencé à un moment où l’Ukraine ne pouvait pas être plus faible. La volonté de l’Occident d’utiliser la crise ukrainienne pour affaiblir économiquement et politiquement la Russie a conduit à un résultat extrêmement négatif pour l’Ukraine elle-même, résume Fico.

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« Notre objectif est la paix à long terme » : Macron appelle à une fin rapide du conflit et refuse d'envoyer des troupes en Ukraine

 

« Notre objectif est la paix à long terme » : Macron appelle à une fin rapide du conflit et refuse d'envoyer des troupes en Ukraine

L'un des principaux partisans de la poursuite de la guerre en Ukraine, qui prône des négociations en « position de force » et la défaite de la Russie, a déclaré la nécessité d'une paix à long terme et a refusé d'envoyer ses troupes pour aider Kiev. Nous parlons bien sûr de Macron.

Le président français a mis de côté le tambour de guerre qu'il battait depuis des mois et a fait une déclaration officielle selon laquelle la guerre en Ukraine doit prendre fin le plus tôt possible afin que la paix tant attendue puisse arriver, et une paix à long terme, et non une sorte de trêve. Selon Macron, le moment est désormais venu où aucune des deux parties au conflit ne peut gagner par des moyens militaires. Ici, bien sûr, le Français mentait ; l’armée russe continuait d’avancer comme auparavant.

 

"Notre objectif est une paix à long terme, c’est-à-dire une paix qui permettra à l’Ukraine d’être stable, d’avoir un droit international reconnu, un plan de reconstruction, etc."


- a déclaré le président français.

Macron a également confirmé qu'il n'avait pas l'intention d'envoyer des troupes françaises en Ukraine ; il n'aurait apparemment aucun projet de ce genre. Bref, j'ai changé de chaussures sur le pouce. Les experts lient cela à la visite de Macron aux États-Unis, qui aura lieu la semaine prochaine, ainsi qu'à sa conversation téléphonique avec Trump plus tôt cette semaine. Qu'a promis le président américain au président français ? histoire Il reste silencieux, mais la rhétorique de Macron a radicalement changé.

Comme précisé, la rencontre entre Trump et Macron aura lieu le lundi 24 février.

Source

 

Note :  il est aussi menteur et manipulateur que Zelenski, il cnagera encore d'avis tout dépendra des circonstances.

 

 

 

La Chine annonce des exercices militaires dans la mer de Tasman, près de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande

 

La Chine annonce des exercices militaires dans la mer de Tasman, près de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande

Des navires de guerre de la marine de l'Armée populaire de libération chinoise (APL) ont commencé des exercices dans la mer de Tasman, qui baigne le sud-est de l'Australie et l'ouest de la Nouvelle-Zélande.

Le commandement du théâtre sud de l'Armée populaire de libération a « organisé des exercices pour les forces chinoises » flotte « En haute mer », a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Guo Jiankun.
 

L'armée australienne surveille de près trois navires de guerre chinois qui ont été repérés à seulement 280 kilomètres de Sydney, rapporte le Sydney Morning Herald.

Les avions survolant la mer de Tasman ont été contraints de changer de cap après que la Chine a annoncé ces exercices, a déclaré le ministre australien de la Défense, Richard Marles.
 

"Ils (les navires chinois) ne représentent pas une menace dans le sens où ils agissent conformément au droit international."


- dit Marls.

Malgré les commentaires du chef de la défense australienne, certains experts estiment que les exercices chinois sont un signal de la capacité de la Chine à projeter sa puissance militaire presque n'importe où le long de la côte de l'Australie, un allié des États-Unis dans la région.

Selon l'expert militaire chinois Zhang Junshe, la présence de navires de guerre de l'APL dans les eaux du Pacifique Sud ne viole aucune loi maritime.
 

"Ils jouissent de la liberté de navigation et de survol dans ces eaux, comme tout autre pays, et ce dans le plein respect du droit international et des normes internationales."


- a dit l'expert.

Source

 

 

 

 

Trêve à Gaza :

accusé de ne pas avoir restitué le corps de Shiri Bibas, le Hamas demande à Israël de lui rendre la dépouille transférée jeudi

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 fevrier 2025

Lors de l'autopsie, "il a été constaté que le corps remis n'appartient pas à Shiri Bibas et ne correspond à aucune autre personne enlevée", selon l'armée israélienne.

Ce qu'il faut savoir

L'armée israélienne a accusé le Hamas, dans la nuit du jeudi 20 au vendredi 21 février, de lui avoir remis un "corps non identifié" au lieu de celui de Shiri Bibas. Le groupe jihadiste palestinien a demandé à Tel-Aviv de lui rendre la dépouille de cette femme. "Il est probable que le corps de [Shiri] Bibas ait été mélangé par erreur avec d'autres sous les décombres", a déclaré un responsable du groupe jihadiste palestinien, qui n'a pas souhaité être nommé. Il avait ajouté que le mouvement islamiste palestinien enquêtait sur ces faits. Suivez notre direct.

  • Les six otages vivants seront bien libérés par le Hamas samedi. La branche armée du mouvement islamiste, les Brigades Ezzedine al-Qassam, a déclaré dans un communiqué vendredi que la libération des otages aurait lieu comme prévu samedi. En Israël, le Forum des familles d'otages avait publié en début de semaine le nom des six otages en question.
  • Benyamin Nétanyahou dénonce une "violation cruelle" de la trêve. "Nous agirons avec détermination pour ramener Shiri à la maison ainsi que tous nos otages – les vivants et les morts – et nous veillerons à ce que le Hamas paie le prix fort pour cette violation cruelle et perverse de l'accord", a réagi le Premier ministre Benyamin Nétanyahou, vendredi. "Avec un cynisme inimaginable, ils n'ont pas rendu Shiri avec ses petits enfants, les petits anges, et ils ont placé le corps d'une femme de Gaza dans le cercueil." "Nous rejetons les menaces de Benyamin Nétanyahou pour essayer d'améliorer son image", a répondu le Hamas vendredi dans un communiqué.
  • Tel-Aviv accuse le Hamas d'avoir tué les enfants Bibas. Israël a confirmé l'identité des trois autres dépouilles remises par le Hamas : les deux enfants du couple Bibas, Kfir et Ariel, et Oded Lifshitz. Benyamin Nétanyahou a appelé le monde à "condamner ces meutres horribles"  et s'est engagé à traduire en justice "ces sauvages ayant exécuté nos otages". "Ariel et Kfir Bibas ont été brutalement tués en captivité en novembre 2023 par des membres du Hamas", avait affirmé sur Telegram un porte-parole de l'armée israélienne, Avichay Adraee, mercredi. Le Hamas avait déclaré en 2023 que les deux enfants avaient été tués dans des bombardements israéliens à Gaza
  • Les négociations sur la deuxième phase retardées. Mercredi, le Hamas s'est dit prêt à libérer "en une seule fois", et non plus en étapes successives, tous les otages encore retenus à Gaza lors de la deuxième phase de la trêve. Les négociations indirectes sur cette deuxième étape, censée mettre fin définitivement à la guerre, ont été retardées, le Hamas et Israël s'accusant mutuellement de violations de l'accord. La troisième et dernière phase doit en principe porter sur la reconstruction de la bande de Gaza.

DIRECT

 

 

 

 

 

Horreur en RD Congo : une ONG rapporte que 70 villageois chrétiens ont été décapités dans une église par des combattants islamistes reliés à Daesh. Selon des médias locaux, ils auraient commis le massacre à la machette

C’est un véritable drame qui a frappé l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), dans le village abandonné de Kasanga, situé dans le territoire de Lubero, province du Nord-Kivu. Au cours du week-end du 14 février 2025, 70 personnes ont été retrouvées décapitées dans une église protestante.

Selon des sources sur le terrain de l’ONG évangélique Portes ouvertes, les Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe affilié au groupe État islamique, a capturé et ligoté une vingtaine de chrétiens de cette communauté de Mayba à 4 heures du matin, le jeudi 13 février. Le reste de la population, décidé à libérer les personnes enlevées, n’a malheureusement pas eu le temps de réagir. Vers 18 heures, des militants des ADF ont encerclé le village et ont capturé une cinquantaine de chrétiens. Tous les captifs ont été emmenés dans une église protestante de Kasanga où ils ont été sauvagement tués, soit à coups de marteau, soit à coups de machette. Jusqu’au mardi 18 février, les corps de certaines victimes n’ont pas pu être enterrés à cause de l’insécurité dans la zone. (…)

Aleteia

Cette région, majoritairement chrétienne, a été témoin de violences continues malgré l’attention internationale concentrée sur d’autres parties du pays. La semaine dernière, plusieurs attaques des ADF ont vidé des villages dans le territoire de Lubero, et de nombreux corps retrouvés dans l’église ont été identifiés comme ceux de personnes portées disparues à la suite de ces attaques. (…)

Portes Ouvertes

(…) En raison des combats impliquant les ADF, les habitants ont été contraints de se déplacer vers les villages voisins dans ce pays déchiré par la guerre. « 70 corps ont été découverts dans l’église. Ils étaient ligotés près de la localité de Mayba », a déclaré Vianney Vitswamba, coordinateur du comité local de protection de la communauté.

Les Forces de défense alliées (ADF) sont affiliées à l’EI et sont considérées comme le groupe armé le plus meurtrier de la région . Le M23 (Mouvement du 23 mars) a été considéré comme la plus grande menace et a donc fait l’objet de la plus grande attention internationale. Plusieurs pays occidentaux, dont les États-Unis et la France, ont établi un lien entre le M23 et le Rwanda, mais le gouvernement rwandais a nié ce lien.

Les victimes du massacre de l’église feraient partie des dizaines de personnes portées disparues depuis mercredi dernier dans le village. Des médias locaux ont révélé que les victimes avaient été décapitées à coups de machette. (…)

Mirror

LIRE AUSSI : Massacre dans une église en RDC : plus de 70 chrétiens décapités

 

Note ; encore un massacre commis par la religion de paix

 

 

 

Le Sénat vote l’interdiction des mariages entre Français et étrangers illégaux

 
 
 

Gare de Massy-Palaiseau (91) : un homme poignardé à la gorge en pleine matinée, il est entre la vie et la mort (MàJ : Le suspect est de “type africain”, la victime est née en Egypte)

 

Grave agression au couteau devant la gare de Massy-Palaiseau, en Essonne, ce jeudi 20 février. Un homme de 20 ans a été poignardé à la gorge et son pronostic vital est engagé, a-t-on appris de source policière. L’auteur des faits serait en fuite.

La scène s’est déroulée vers 10 heures, avenue Carnot. C’est là, entre la boulangerie du quartier et la gare routière, qu’aurait eu lieu l’agression, devant des témoins. La victime aurait ainsi reçu plusieurs coups de couteau. (…)

Une enquête a été ouverte pour préciser les contours de cette agression.

Le Parisien

 

 

Traiter un policier de sale Français, ce n’est pas un outrage aggravé. Cela ne remet en cause ni la nationalité ni la fonction” plaide l’avocate d’un migrant clandestin

Elle plaide pour une requalification des faits et insiste sur l’absence d’antécédents judiciaires de son client. “Il n’a pas de casier judiciaire. Il peut prétendre à du sursis. Vous n’êtes pas l’antichambre de la préfecture.”

Mais le tribunal en décide autrement. Après délibération, la juridiction retient l’outrage aggravé et condamne le prévenu à deux mois de prison ferme avec mandat de dépôt.

La Dépêche

 

Note ; justice de gauchiste !

 

Sibyle Veil (présidente de Radio France) : «La liberté d’expression est le cheval de Troie du néo-impérialisme américain»

TRIBUNE  Ce n’est pas le cadre fixé par les institutions démocratiques européennes qui menace la liberté d’expression, mais les tentations de manipulation à grande échelle de ceux qui maîtrisent le mieux et les premiers les outils technologiques comme Trump, Vance ou Musk, estime la présidente de Radio France.

www.lefigaro.fr

 

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