Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Volodymyr Zelensky pense que Donald Trump « vit malheureusement dans un espace de désinformation » russe
« Nous voulons des garanties de sécurité cette année, parce que nous voulons mettre fin à la guerre cette année », a dit le président ukrainien, rendu responsable du conflit par le président américain. Des attaques « dans la lignée » de propos « peu compréhensibles », selon la France
13:56
Minerais stratégiques ukrainiens : l’Ukraine n’est « pas à vendre » dit Volodymyr Zelensky aux Etats-Unis
Le président ukrainien a affirmé mercredi que l’Ukraine n’était « pas à vendre », après avoir refusé samedi, de signer un accord proposé par les Etats-Unis concernant les ressources en minerais de son pays. « Je défends l’Ukraine, je ne peux pas vendre notre pays. C’est tout », a lancéM. Zelensky devant les journalistes lors de la conférence de presse à Kiev.
L’administration de Donald Trump avait fait savoir qu’elle attendait de Kiev l’accès à 50 % des minerais stratégiques ukrainiens, en compensation de l’aide militaire et économique américaine.
Le président Zelensky avait estimé que l’accord proposé en l’état ne « protégeait pas » son pays, réclamant notamment des « garanties de sécurité » pour l’Ukraine, afin d’empêcher toute nouvelle invasion russe après un éventuel accord mettant fin à la guerre.
« Je le répète, nous sommes prêts pour un document sérieux. Nous avons besoin de garantie de sécurité », a-t-il dit, accusant la partie américaine de ne pas s’engager dans une « conversation sérieuse ».
13:36
Emmanuel Macron doit présider à 16 heures une réunion avec plusieurs Etats européens et non européens
Après une réunion lundi avec sept pays européens, le président Emmanuel Macron en organise une nouvelle, mercredi après-midi à 16 heures, sur le dossier ukrainien, avec la conviction que « la Russie constitue une menace existentielle » pour le continent.
La présidence française n’a pas précisé mercredi les contours de cette nouvelle réunion ni ses participants, évoquant seulement une « réunion informelle en visioconférence » en présence du président par intérim de la Roumanie, Ilie Bolojan, avec qui Emmanuel Macron aura auparavant un entretien bilatéral.
Plusieurs pays, dont le Canada, les Etats baltes, la Norvège et d’autres Etats d’Europe du Nord, ont fait savoir qu’ils étaient conviés.
Note : Macron est dans tous ces états, il risque d'avoir la paix en Ukraine ! attention, bien que je plaisante, la guerre finira par arriver, au plus tard 2027, difficile à dire à quels moments elle commencera.
13:18
Sergueï Lavrov salue les critiques de Donald Trump contre Volodymyr Zelensky, et qualifie le président ukrainien « d’individu pathétique »
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, s’est réjoui mercredi des critiques du président américain visant son homologue ukrainien, après que Donald Trump a repris la rhétorique du Kremlin pour rendre Volodymyr Zelensky responsable du conflit en Ukraine.
Donald Trump est « un homme politique totalement indépendant. En outre, c’est une personne qui a l’habitude de parler franchement. Les personnes comme lui ne cachent généralement pas ce qu’elles pensent d’individus pathétiques comme monsieur Zelensky », a dit mercredi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, selon l’agence de presse d’Etat russe TASS.
12:38 Pour approfondir
Les déclarations de Donald Trump à l’issue de son entretien avec Vladimir Poutine, qui confirment la tenue de négociations dont Kiev est exclu, sont une « douche froide » pour les Ukrainiens : nous vous recommandons la lecture de cet article du quotidien ukrainien Gazeta, traduit par nos confrères de Courrier international, une rédaction du Groupe Le Monde. lien
Note : un dessin pathétique, le vrai dessin devrait montrer que l'arme tenue par l'Ukraine a été donné par les occidentaux
10:40
« Nous devons nous rappeler que la Russie est dirigée par des menteurs pathologiques », et qu’elle n’est pas digne de confiance, déclare Volodymyr Zelensky
Le président ukrainien a dit mercredi que les responsables russes étaient des « menteurs pathologiques » auxquels « on ne peut faire confiance », quelques heures après les critiques lancées contre lui par Donald Trump. « Ils doivent être mis sous pression. Pour le bien de la paix », a exhorté M. Zelensky sur les réseaux sociaux.
Le président ukrainien avait dénoncé les premiers pourparlers russo-américains à haut niveau depuis le début de l’invasion russe en février 2022, qui se sont tenus mardi en Arabie saoudite, comme des discussions « sur l’Ukraine sans l’Ukraine ».
« Je suis très déçu », lui a sèchement répondu Donald Trump, avant de l’accuser d’avoir contribué au conflit contre la Russie. « Vous auriez dû mettre un terme [à la guerre] il y a trois ans. Vous n’auriez jamais dû la commencer », a-t-il accusé alors que c’est la Russie qui avait attaqué son voisin ukrainien.
Le Kremlin qualifie les pourparlers avec Washington de « pas important » vers un « règlement pacifique »
« Un pas très, très important a été fait en direction de la création des conditions d’un règlement pacifique », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, cité par les agences russes. Hier, les Etats-Unis et la Russie se sont joints pour échanger en vue du règlement du conflit ukrainien, des négociations auxquelles l’Ukraine, qui subit depuis trois ans l’invasion russe, n’a pas été conviée.
« Les deux parties ont fait preuve de la volonté politique nécessaire, je veux dire par là la Russie et les Etats-Unis », a ajouté M. Peskov mercredi.
Note : il n'aura pas la paix, et même s'il en a une, elle ne durera pas. Que va-t-il se passer lorsque dans quatre ans les démocrates reviendront au pouvoir ! Mais même sous le manda de Trump, si l'Ukraine et ces amis socialistes européennes refusent la paix, la paix ne pourra être imposée. Et les russes feront-ils confiance à des personnes qui les ont sans arrêt trahit !?
09:26
L’Union européenne approuve un 16ᵉ ensemble de sanctions contre la Russie
Ce nouveau paquet de sanctions a été approuvé mercredi par les ambassadeurs des vingt-sept Etats-membres de l’Union européenne. Elles doivent être formellement adoptées lundi par les ministres des affaires étrangères de l’Union européenne.
Ces sanctions comprennent, entre autres, une interdiction d’importer de l’aluminium russe dans l’UE, et une limitation des exportations de pétrole russe, selon des diplomates de Bruxelles.
« Nous sommes déterminés à maintenir la pression sur le Kremlin », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, sur le réseau social X, en saluant cette annonce.
Note : en pleine conférence pour la paix, l'Europe approuve de nouvelles sanctions ! ! ! des pourris !
08:28
A l’Elysée, une nouvelle réunion sur la guerre et la défense européenne
La France va organiser mercredi une deuxième réunion sur l’Ukraine à laquelle participeront des pays européens qui n’étaient pas présents à la réunion d’urgence, tenue lundi à Paris, ainsi que le Canada, allié de l’OTAN, selon des sources diplomatiques.
Après la réunion informelle à l’Elysée, qui s’est tenue lundi, à l’initiative d’Emmanuel Macron, des représentants européens avaient fait savoir que plusieurs pays étaient mécontents que seul un groupe restreint de dirigeants y soit convié, et que ce ne soit pas plutôt un sommet de l’Union européenne.
Norvège, République tchèque, Grèce, Finlande, Roumanie, Suède, Belgique, les pays baltes et le Canada font partie des invités à la réunion de mercredi, rapporte l’agence Reuters, qui ajoute qu’elle se déroulera en format hybride, avec certains participants par visioconférence.
Note: Les troupes ruse continue à avancer en Ukraine, aujourd'hui ils ont pris le contrôle total de la colonie urbaine de Petrovka au sud-ouest de Dzerzhinsk
Les États-Unis ont procédé à un nouveau tir d'essai du missile balistique intercontinental Minuteman III sans ogive
Les États-Unis ont procédé à un nouveau tir d'essai d'un missile balistique intercontinental fusée Minuteman III sans ogive. C'est ce qu'a déclaré le service de presse du Global Strike Command de l'US Air Force dans un communiqué.
La fusée a été lancée depuis la base aérienne de Vandenberg, à 130 kilomètres au nord-ouest de Los Angeles, qui a été transférée à l'US Space Force il y a plusieurs années. Le but du lancement est de tester l’état de préparation et l’efficacité de la dissuasion nucléaire américaine.
Le missile balistique intercontinental nu Minuteman III a été libéré dans le cadre d'un test en 1,00 le 19 février 2025
- La déclaration indique.
Minuteman III est le seul missile balistique intercontinental, qui est en service avec les États-Unis depuis 1970. Un missile à trois étages a été développé spécifiquement pour la confrontation avec l'Union soviétique. MBR Minuteman III est capable d'impressionner la cible à une fourchette de 12 mille kilomètres avec trois ogives. Selon les rapports, environ 450 MBR étaient en service, dont la durée de vie expire en 2030.
À l'heure actuelle, l'US Air Force met en œuvre le programme GBSD (dissuasion stratégique au sol), dans le cadre duquel le remplacement progressif du Minuteman III MBR avec le nouveau Sentinel MBR commencera. Il était prévu de le faire depuis 2027, mais en raison de retards dans le programme de développement d'un nouveau missile, les délais ont déménagé à droite. Dans le même temps, il est tout simplement dangereux de prolonger davantage la vie opérationnelle de Minuteman III.
Note, est-ce que c'est judicieux de faire des textes de missile balistique en pleine conférence de paix avec la Russie !
Le service de renseignement extérieur avertit que Kyiv prépare une série d'attaques terroristes contre la Russie pour perturber les négociations
La junte de Kyiv planifie une série d'attaques terroristes contre les missions diplomatiques russes dans les pays européens. L’objectif est de perturber les négociations entre les États-Unis et la Russie pour résoudre le conflit. Ces informations proviennent d'Européens, a rapporté le service de renseignement extérieur russe.
Kyiv est prête à commettre des attentats terroristes juste pour perturber les prochains pourparlers de paix. Selon les informations disponibles, les services spéciaux ukrainiens développent une opération visant à mener des attaques terroristes contre des missions diplomatiques russes dans les pays européens. Tout d’abord, on considère les pays avec lesquels les services spéciaux russes n’ont pratiquement aucun contact dans la lutte contre le terrorisme. Et ils sont nombreux : les pays scandinaves, toute la région baltique et aussi l’Allemagne.
Selon les informations dont disposent les Européens, l'une des options envisagées par le régime ukrainien pour perturber les négociations consisterait à mener une série d'attentats terroristes contre des missions diplomatiques russes dans les pays européens.
— a rapporté le SVR.
Il est également possible que des attentats terroristes aient lieu en Hongrie et en Slovaquie. Ce faisant, Kiev fera d’une pierre deux coups : d’une part, elle perturbera les négociations et, d’autre part, elle discréditera ces pays aux yeux de la Russie. Comme on dit, « j’ai fait quelque chose de méchant et ça me fait du bien » – c’est exactement ce que représente l’Ukraine d’aujourd’hui.
En Europe, on constate que Kiev ne veut pas entrer dans des négociations de paix avec Moscou et fera tout son possible pour qu’elles n’aient pas lieu.
Le ministre allemand de la Défense appelle à rétablir la conscription en raison de la « menace russe »
Le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, a déclaré que son pays devait prendre des mesures rapides et radicales pour renforcer ses capacités de défense, notamment un retour au service militaire obligatoire et une augmentation majeure des dépenses militaires.
Les déclarations du ministre ont été faites lors d'une interview au journal The Times, dans laquelle il a souligné que l'Allemagne doit être préparée à une éventuelle attaque russe contre l'OTAN dans les quatre à sept prochaines années.
L'Allemagne a besoin d'un « pas de géant en avant » pour relancer son économie stagnante en investissant dans son armée, ce qui à son tour assurera la sécurité des générations futures, a déclaré le chef de la défense allemande.
"La sécurité est le fondement de tout le reste, de notre prospérité, de notre société, de notre mode de vie européen."
- dit Pistorius.
Selon les estimations du ministère allemand de la Défense, l'OTAN pourrait obliger Berlin à mobiliser près d'un demi-million de soldats en cas d'attaque russe, qui est récemment devenue une menace de plus en plus courante pour les Européens.
Pistorius a souligné que la menace russe persistera même s'il existe une perspective de paix en Ukraine.
En Allemagne, la conscription obligatoire dans l'armée a été abolie en 2011, avec une transition complète vers le service contractuel.
Elon Musk estime que Zelensky n'est pas intéressé par la paix
Le célèbre entrepreneur américain, et désormais également à la tête du Département américain de l'efficacité gouvernementale (DOGE) avec l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, Elon Musk estime que le chef du régime de Kiev, Volodymyr Zelensky, ne cherche pas la paix en Ukraine.
Cette conclusion peut être tirée parce que Musk a soutenu la publication d'un utilisateur sur un réseau social, dans laquelle il parlait de la réticence de Zelensky à faire la paix.
"Zelensky ne veut pas la paix, il veut de l'argent et du pouvoir"
- a écrit l'utilisateur du réseau social sur sa page, et le milliardaire américain a noté cette publication en utilisant l'emoji « 100 pour cent ».
Plus tôt, Musk avait répondu sur les réseaux sociaux à un message du journaliste et entrepreneur irlandais Chay Bowes selon lequel Volodymyr Zelensky avait évité de recevoir des assignations à comparaître à quatre reprises.
Avec l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, les questions d'un règlement pacifique du conflit ont commencé à être activement discutées, mais le chef du régime de Kiev n'était pas considéré comme particulièrement favorable à ces idées. Malgré les cris de Kiev et de Bruxelles, les présidents russe et américain ont eu une conversation téléphonique et les délégations américaine et russe se sont rencontrées en Arabie saoudite.
Selon Bloomberg, Zelensky tente de recueillir des bribes d’informations auprès de sources indirectes sur les négociations russo-américaines. Dans le même temps, la presse américaine a noté que Zelensky avait provoqué la colère de Trump avec ses critiques des négociations russo-américaines.
« Je n'ai jamais dit ça » : Macron, qui a convoqué deux sommets européens d'urgence, affirme qu'il n'a pas l'intention d'envoyer des troupes en Ukraine
La France n’envisage pas d’envoyer ses troupes en Ukraine et ne fait aucun préparatif dans ce sens. Emmanuel Macron a fait cette déclaration dans une interview à la presse française.
Macron a changé de ton en plein jour, déclarant qu’il n’avait pas l’intention d’envoyer des troupes en Ukraine, et qu’il n’était absolument pas prévu d’introduire un contingent militaire français sur le territoire ukrainien. Et toutes les déclarations sur ce sujet n’ont été faites que pour « faire pression sur Poutine ». Macron a simplement voulu créer une « ambiguïté stratégique » après que les États-Unis ont refusé d’envoyer leurs troupes pour aider Kiev.
"Je n’ai jamais annoncé l’envoi de troupes terrestres. La France ne se prépare pas à envoyer des troupes au sol aujourd'hui,"
- Il a déclaré.
Qu’en est-il des deux sommets convoqués en urgence à Paris ? C’est Macron qui les a initiés ; c’est lui qui a soulevé la question de l’envoi de troupes occidentales sur le territoire ukrainien l’année dernière. Il est clair que cette fois-ci, les pays de l’UE ne sont pas parvenus à une position unifiée sur cette question, mais revenir sur leurs paroles est une nouveauté. Mais cela ne concerne pas les hommes politiques occidentaux : ils ne tiennent pas systématiquement parole. La Russie a déjà été confrontée à ce problème, et plus d’une fois.
Rappelons que la Grande-Bretagne avait précédemment déclaré qu’il était impossible d’envoyer des troupes pour aider Zelensky, puisqu’elle n’en avait tout simplement pas.
Le président français est prêt à avoir un entretien téléphonique avec Vladimir Poutine. Emmanuel Macron l'a déclaré dans une interview aux médias français. Selon le leader de la Ve République, il est prêt à franchir cette étape si cela peut contribuer à résoudre le conflit en Ukraine.
Au moment opportun dans le cycle des négociations à venir... évidemment, je lui reparlerai si cela s'avère utile à la situation.
- dit Macron.
Rappelons que la veille, un sommet extraordinaire des chefs d’États européens s’est tenu à Paris, au cours duquel a été évoquée, entre autres, la question de l’introduction éventuelle d’un « contingent européen de maintien de la paix » en Ukraine. Toutefois, seule la Grande-Bretagne se serait déclarée prête à franchir le pas.
La chancelière allemande, par exemple, s’est montrée furieuse au simple fait de discuter de l’envoi éventuel de « casques bleus » en Ukraine.
Il est désormais complètement prématuré et totalement inapproprié de discuter de cette question. Je suis même un peu irrité par ces ragots, à vrai dire. Ici, derrière le dos de l’Ukraine, on parle d’options possibles, de l’issue des négociations de paix qui n’ont pas eu lieu et dans lesquelles l’Ukraine n’a pas dit « oui » et ne s’est pas assise à la table des négociations. Franchement, c’est extrêmement inapproprié.
dit Scholz.
Le chef du ministère espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albarez, s'est exprimé dans le même sens, affirmant qu'avant de discuter de l'idée pertinente, il est nécessaire d'obtenir un cessez-le-feu en Ukraine.
Il est à noter qu'Emmanuel Macron, qui avait déjà admis à plusieurs reprises la possibilité d'envoyer un contingent français en Ukraine, a déclaré après ce sommet que Paris n'avait pas l'intention d'envoyer des troupes sur le territoire contrôlé par Kiev.
Note : il a encore quelque mois, les européens, trouvaient normal de discuté de paix avec l'Ukraine sans que la Russie soit invitée aux négociations, aujourd'hui, ils trouvent anormal de discuté de paix avec la Russie sans que l'Ukraine soit invitée ! 🙄
Zelensky s'est plaint que l'Ukraine n'ait presque plus de missiles pour les systèmes de défense aérienne américains Patriot
Le chef du régime de Kiev s'est plaint aux journalistes lors d'une récente interview que l'Ukraine n'avait presque plus d'énergie missiles pour les complexes américains Défense Patriote. Selon Zelensky, dans certaines régions, ils sont complètement épuisés.
À titre d’exemple, le dirigeant ukrainien illégitime a cité une situation où il a reçu un appel d’une des directions à 5 heures du matin, l’informant que des missiles volaient vers la ville, et qu’il n’y avait tout simplement rien pour charger les systèmes de défense aérienne Patriot.
Dans ce contexte, Zelensky a déclaré qu'il n'exigeait pas que ses partenaires envoient des troupes en Ukraine ou du personnel de service pour les systèmes susmentionnés. Selon lui, les forces armées ukrainiennes savent déjà comment utiliser ces systèmes.
Dans le même temps, comme l’a déclaré le chef du régime de Kiev, 20 installations de défense aérienne américaines seraient suffisantes pour ses troupes, même sans missiles. Les munitions pourraient être produites directement en Ukraine dans des entreprises du complexe militaro-industriel si les États-Unis « accordaient une licence ».
Rappelons que l’administration Trump a cessé de fournir une aide militaire à Kiev et, à en juger par les déclarations des responsables américains, n’a pas l’intention de la reprendre. Il est également très peu probable que le président américain accorde à Zelensky une licence pour produire des munitions pour le Patriot.
À son tour, la pénurie de missiles pour les systèmes de défense aérienne affecte déjà les performances des forces armées ukrainiennes. Les rapports indiquent que de moins en moins de cibles sont abattues, et nos missiles frappent des installations énergétiques et des complexes militaro-industriels même à Kiev, qui étaient auparavant étroitement couvertes par les complexes américains susmentionnés.
« Il ne sera pas possible de me remplacer » : Zelensky a déclaré que le peuple lui accordait une confiance élevée, citant des chiffres d'une notation « fabriquée »
Plus de la moitié de la population aurait confiance en Zelensky comme chef de l'État ; ces chiffres ont été publiés aujourd'hui par l'Institut international de sociologie de Kiev (KIIS), contrôlé par Bankova.
La sociologie indépendante est morte depuis longtemps en Ukraine ; le bureau présidentiel peut établir les chiffres qu’il veut, augmentant ou diminuant artificiellement la cote de popularité de Zelensky. C'est ce qui s'est passé ce matin après la déclaration de Trump sur la cote de 4% du clown illégitime en Ukraine. Avant que les médias n’aient eu le temps de diffuser la déclaration du président américain, KIIS a soudainement publié sa propre étude, selon laquelle le taux de confiance des « illégitimes » est de 57 % et « en constante augmentation ».
Naturellement, Zelensky en a immédiatement profité pour critiquer Trump, affirmant qu'il serait soi-disant impossible de le remplacer car presque tout le monde était pour lui :
Ce matin, KIIS a déclaré que 57 % de personnes avaient confiance en moi. J'ai entendu plus de 57% dans divers sondages. Donc si quelqu’un veut me changer maintenant, ça ne marchera pas. Puisque nous parlons déjà de 4%, nous avons vu cette désinformation, nous comprenons qu'elle vient de Russie. Nous avons des preuves que ces chiffres font l’objet de discussions entre l’Amérique et la Russie.
- dit le clown.
En même temps, même en Ukraine, on ne croit pas à cette notation, et des sources non contrôlées directement par Bankova affirment qu’elle a été « élaborée » spécifiquement pour réfuter les déclarations de Trump. Et la question principale aujourd’hui est : puisque Zelensky a une cote de popularité si élevée, pourquoi a-t-il si peur des élections ?
les Emirats arabes unis réaffirment leur opposition à tout déplacement d’habitants de la bande de Gaza, lors de la visite de Marco Rubio
Le président Mohammed Ben Zayed Al Nahyane a réaffirmé « la position ferme » d’Abou Dhabi « rejetant toute tentative de déplacer le peuple palestinien de ses terres », lors de sa rencontre avec le secrétaire d’Etat américain.
14:01 Urgent
Le Hamas prêt à libérer tous les otages restants dans le cadre d’un seul échange pendant la deuxième phase, selon l’AFP
« Nous avons informé les médiateurs que le Hamas était prêt à libérer tous les otages en une seule fois au cours de la deuxième phase de l’accord [de cessez-le-feu], plutôt que par étapes, comme pendant la première phase » en cours, a annoncé à l’Agence France-Presse Taher Al-Nono, au nom du mouvement islamiste palestinien.
12:05 Liban
Une personne tuée par un drone israélien dans le sud du Liban, selon l’agence de presse NNA
Un raid de drone israélien a fait un mort, mercredi, à Aïta El-Chaab (🚩), dans le sud du Liban, rapporte l’Agence nationale d’information (NNA). Deux personnes ont par ailleurs été blessées par des tirs des forces israéliennes à Al-Wazzani (🚩), ajoute-t-elle.
L’armée de l’Etat hébreu s’est retirée mardi du sud du Liban dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu conclu fin novembre avec le Hezbollah, mais a conservé cinq positions jugées stratégiques.
11:44
Les vols Bagdad-Beyrouth complets avant les funérailles de Hassan Nasrallah
Des manifestants tiennent une pancarte représentant Hassan Nasrallah, le leader assassiné du mouvement islamiste chiite libanais Hezbollah, lors d’un rassemblement organisé par le Hezbollah pour bloquer la route de l’aéroport international de Beyrouth suite à une décision d’interdire à deux vols iraniens d’y atterrir, à Beyrouth, le 15 février 2025. IBRAHIM AMRO / AFP
A quelques jours des funérailles prévues dimanche de l’ancien secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, tué le 27 septembre 2024 dans la banlieue sud de Beytrouth par un bombardement israélien, les vols entre Bagdad et Beyrouth affichent presque complet.
Plusieurs personnalités irakiennes doivent y assister à titre privé, selon un membre de l’administration. Des représentants de milices pro-iraniennes proches du mouvement chiite libanais sont également attendus. Lire la suite
11:26
Cinq soldats israéliens inculpés pour des mauvais traitements infligés à un détenu palestinien
L’armée israélienne a annoncé mercredi l’inculpation de cinq réservistes accusés d’avoir commis « des agressions dans des circonstances aggravantes et causé des blessures à un détenu » palestinien, le 5 juillet 2024, au centre de détention de Sde Teiman, dans le sud de l’Etat hébreu....
10:57 Bande de Gaza
Lors de la visite de Marco Rubio, les Emirats arabes unis réaffirment leur opposition à tout déplacement des Gazaouis
Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, s’entretient avec le président des Emirats arabes unis, le cheikh Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, lors de leur rencontre à l’Adnec Centre d’Abou Dhabi, le 19 février 2025. EVELYN HOCKSTEIN / AFP
Le président émirati, Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, a réaffirmé « la position ferme » d’Abou Dhabi « rejetant toute tentative de déplacer le peuple palestinien de ses terres », lors de sa rencontre avec le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, rapporte l’agence de presse WAM. « Il a également souligné l’importance de lier la reconstruction de Gaza à une voie menant à une paix globale et durable fondée sur la solution à deux Etats comme seul moyen d’assurer la stabilité dans la région », ajoute-t-elle.
Le secrétaire d’Etat américain était arrivé dans la matinée en provenance de Riyad, où les Etats membres du Conseil de coopération du Golfe, ainsi que l’Egypte et la Jordanie, se réuniront vendredi afin de répondre au projet de Donald Trump, qui a proposé de placer la bande de Gaza sous contrôle des Etats-Unis et d’en évacuer les 2,4 millions d’habitants en Jordanie et en Egypte. Washington a invité les pays arabes, fermement opposés à tout déplacement des Gazaouis, à proposer des alternatives au plan du président américain.
Toujours hospitalisé pour une pneumonie, le pape respire sans assistance
«Le Pape (...) s’est réveillé et a pris son petit déjeuner», a annoncé le Vatican. Le jésuite argentin, hospitalisé depuis vendredi, a contracté une «infection polymicrobienne, dans un contexte de bronchectasies et de bronchite asthmatique».
Le pape François, dont l’hospitalisation à 88 ans ravive les inquiétudes, est atteint d’une pneumonie touchant les deux poumons, mais respire sans assistance, peut se lever et a un cœur qui «résiste très bien», a indiqué ce mercredi une source vaticane.
Le pontife, hospitalisé depuis vendredi à l’hôpital Gemelli de Rome, a passé mardi un scanner thoracique qui a révélé une pneumonie sur les deux poumons et continue d’afficher un tableau clinique «complexe» nécessitant «un traitement médicamenteux supplémentaire», selon son dernier bulletin de santé. Le jésuite argentin, qui souffre d’une fragilité respiratoire et à qui on a retiré le lobe supérieur du poumon droit dans sa jeunesse, a contracté une «infection polymicrobienne, dans un contexte de bronchectasies et de bronchite asthmatique».
«Une nuit paisible»
L’annonce de cette pneumonie - une infection du tissu pulmonaire, potentiellement mortelle - a ravivé mardi soir l’inquiétude autour du chef de l’Église catholique, dont la santé déclinante est très éprouvée par un agenda surchargé.
Ce mercredi matin, le Vatican s’est voulu rassurant sur l’état de santé de François. Le Pape a «passé une nuit paisible, s’est réveillé et a pris son petit déjeuner», a affirmé aux journalistes le porte-parole du Saint-Siège, Matteo Bruni. Selon une source vaticane, le Pape peut se lever et s’asseoir dans un fauteuil. Il respire seul mais il n’est pas exclu qu’il reçoive, par intermittence, une assistance en oxygène. Il a également échangé par téléphone avec la paroisse de Gaza ces derniers jours.
Si aucune information n’a été communiquée sur sa durée, cette nouvelle hospitalisation, la quatrième en moins de quatre ans, risque de se prolonger. Toutes les activités publiques du pape ont été annulées jusqu’à ce week-end, y compris celles liées au Jubilé de l’Église catholique, «Année sainte» célébrée une fois tous les 25 ans.
La Commission internationale de juristes (ICJ) , un lobby lié à Soros, presse l’UE de combler le déficit des ONG suite au gel de l’aide américaine par Trump
Selon la Commission internationale de juristes (CIJ) et plus de 60 organisations de la société civile, la décision de Donald Trump de suspendre pendant 90 jours l’aide étrangère américaine a des conséquences immédiates et dévastatrices à l’échelle mondiale. Cette suspension entraîne notamment la fermeture de cliniques, l’arrêt de traitements médicaux vitaux et un manque de financement pour les ONG. Le rétablissement de la règle du bâillon mondial accentue la menace sur l’accès aux soins de santé sexuelle et reproductive.
Les signataires appellent l’UE à renforcer son rôle de premier fournisseur d’aide étrangère en compensant le manque financier, en priorisant les secteurs les plus vulnérables, et en faisant pression sur Washington pour un changement de politique.
Grenoble (38) : une voiture-bélier lancée sur une bibliothèque inaugurée en décembre 2024. L’intérieur du bâtiment a été complètement détruit par incendie
Inaugurée en décembre 2024, détruite en février 2025. Un véhicule-bélier a été lancé volontairement sur la façade de la bibliothèque municipale Chantal-Mauduit de Grenoble (Isère) dans la nuit de mardi à mercredi 19 février 2025.
L’attaque a eu lieu rue Anatole France dans la nuit, selon Ici. La voiture a d’abord été projetée sur la façade. Le véhicule a ensuite pris feu et l’incendie s’est propagé au bâtiment culturel.
La Direction interdépartementale de la police nationale (DIPN) indique que l’intérieur du bâtiment a été “complètement détruit”. Selon les forces de l’ordre, de “nombreux containers” ont été incendiés dans le quartier Mistral “afin de ralentir la progression des policiers”.
Molenbeek (Belgique) : les messages d’un élu PS faisant l’apologie d’une milice chiite irakienne et de l’assassinat d’un caricaturiste danois font polémique
Selon www.7sur7.be, Mohammed Kalandar, échevin des Sports et de la Santé à Molenbeek-Saint-Jean, est au cœur d’une polémique après la découverte d’anciens propos jugés extrémistes. Déjà mis en cause en janvier pour avoir soutenu la milice chiite Hachd al-Chaabi, il se retrouve de nouveau sous pression après la publication de messages de 2014 célébrant l’assassinat d’un caricaturiste danois et de 2012 soutenant l’axe chiite de Téhéran. Face à ces révélations, plusieurs membres du PS pourraient réclamer son exclusion, menaçant ainsi la majorité communale. La bourgmestre Catherine Moureaux n’a pas encore réagi officiellement.
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