Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
une réunion entre la Russie et les Etats-Unis prévue mardi en Arabie saoudite, Kiev « ne savait rien » de sa tenue
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui avait déjà prévu de se rendre sur place mercredi, affirme que « l’Ukraine ne participera pas » et « ne reconnaîtra » aucun accord conclu sans elle sur son avenir. En Europe, une réunion en urgence est prévue lundi à l’Elysée pour discuter de la « sécurité collective » du continent.
14:45
« La sécurité de l’Europe est à un tournant », prévient Ursula von der Leyen, à son arrivée à Paris
La sécurité de l’Europe est à « un tournant », a affirmé, lundi, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, à son arrivée à Paris pour un sommet sur l’Ukraine. « Je viens d’arriver à Paris pour des discussions cruciales. La sécurité de l’Europe est à un tournant. Oui, il s’agit de l’Ukraine, mais c’est aussi nous qui sommes concernés », a-t-elle écrit sur X. « Nous avons besoin d’un état d’esprit d’urgence. Nous avons besoin d’un sursaut dans notre défense et nous avons besoin des deux maintenant », a-t-elle ajouté.
Antonio Costa, le président du Conseil européen, qui regroupe les dirigeants des Vingt-Sept, doit aussi participer à ce sommet présenté comme informel dans la capitale française. Il s’agit du début d’un « processus » dans lequel l’Union européenne (UE) et ses Etats membres « joueront un rôle central », a-t-il estimé sur X.
Outre ces deux dirigeants de l’UE, seront présents à cette réunion : le président français, Emmanuel Macron, les chefs de gouvernement de l’Allemagne, du Royaume-Uni, de l’Italie, de la Pologne, de l’Espagne, des Pays-Bas et du Danemark, ainsi que le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte.
13:52
Le secrétaire d’Etat américain rencontrera mardi à Riyad une délégation russe
Marco Rubio est arrivé lundi en Arabie saoudite, et Washington a confirmé dans le même temps une réunion avec une délégation russe mardi à Riyad.
Le chef de la diplomatie américaine, le conseiller à la sécurité nationale du président américain, Mike Waltz, et l’envoyé spécial pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, représenteront les Etats-Unis lors de cette rencontre dans la capitale saoudienne, a déclaré la porte-parole du département d’Etat, Tammy Bruce.
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, et le conseiller diplomatique de Vladimir Poutine, Iouri Ouchakov, doivent s’envoler lundi pour Riyad afin de participer à cette réunion.
Il s’agira de la première rencontre en tête-à-tête entre MM. Rubio et Lavrov, qui se sont cependant parlé au téléphone il y a quelques jours, témoignant de la volonté de « reset » des relations russo-américaines, mises à mal par la guerre en Ukraine.
Cette rencontre devrait servir à préparer un prochain sommet entre les deux dirigeants, également en Arabie saoudite, pays hôte qui est au centre de toutes les attentions du fait de ses relations avec Moscou et Washington.
13:42
Réunion d’urgence à Paris : Donald Tusk dit qu’il va appeler à augmenter « immédiatement » les dépenses de défense en Europe
Le premier ministre polonais a déclaré lundi qu’il demanderait, lors du sommet d’urgence sur l’Ukraine à Paris, de renforcer « immédiatement » les capacités de défense de l’Europe, en avertissant qu’elles ne sont pas à la hauteur de celles de la Russie.
« Nous ne serons pas en mesure d’aider efficacement l’Ukraine si nous ne prenons pas immédiatement des mesures concrètes concernant nos propres capacités de défense », a dit Donald Tusk, selon lequel l’Europe n’est aujourd’hui « pas en mesure » de contrer le potentiel militaire de la Russie.
13:39
Un éventuel accord sur l’Ukraine doit être « durable et juste », prévient Keir Starmer
Le premier ministre britannique a souligné, lundi, que tout accord sur l’Ukraine devait être « durable et juste », mettant en garde contre « une pause dans les combats qui donnerait juste l’occasion à [Vladimir] Poutine de revenir ».
13:23
L’Ukraine et les Emirats arabes unis signent un « accord de partenariat économique »
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s’est entretenu lundi à Abou Dhabi avec le président émirati, Mohammed Ben Zayed Al Nahyane. Ce dernier a souligné, durant l’entretien, la nécessité de « bâtir des partenariats efficaces avec les pays du monde », a rapporté l’agence de presse officielle émiratie WAM.
Le président de la fédération des Emirats arabes unis a également évoqué « l’importance de parvenir à des solutions pacifiques aux crises » à travers le monde, tandis que M. Zelensky a remercié les Emirats pour leur « contribution » au récent échange de prisonniers entre l’Ukraine et la Russie.
Les deux pays ont signé à l’occasion un « accord de partenariat économique ». « La priorité est de ramener encore plus de nos prisonniers à la maison, ainsi que des investissements et un partenariat économique. Un vaste programme humanitaire » doit en outre être discuté, a-t-il annoncé dans une vidéo prise à Abou Dhabi.
13:13 Urgent
« L’Ukraine ne participera pas » aux pourparlers russo-américains et « ne savait rien » de leur tenue en Arabie saoudite, déclare Volodymyr Zelensky
L’Ukraine n’a pas été informée officiellement des discussions qui auront lieu à Riyad entre les Etats-Unis et la Russie mardi et « ne reconnaîtra » aucun accord conclu sans elle sur son avenir, a prévenu lundi le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, cité par l’agence Interfax-Ukraine.
« L’Ukraine ne participera pas » à ces négociations et « ne savait rien » de leur tenue en Arabie saoudite, a déclaré M. Zelensky. « L’Ukraine considère une négociation sur l’Ukraine sans l’Ukraine comme étant dépourvue de résultat (…) nous ne reconnaîtrons pas de tels accords », a-t-il ajouté.
12:56
Ursula von der Leyen en Ukraine pour le troisième anniversaire de la guerre
La présidente de la Commission européenne et son équipe se rendront la semaine prochaine en Ukraine, pour le troisième anniversaire de l’invasion russe, le 24 février 2022, a annoncé lundi le porte-parole Stefan de Keersmaecker, lors d’un point de presse.
« A l’occasion du troisième anniversaire de la guerre d’agression contre l’Ukraine, il y aura une visite du collège [des commissaires européens] la semaine prochaine », a-t-il précisé.
Note ; cette vipère SS est en Ukraine surtout pour dire à Zelensky que l'Europe compte continué la guerre 😡 et Zelenski, lui qui continue sa propagande antirusse, en cherchant à faire "peur" à l'Europe, ça devient d'un ridicule !
Volodymyr Zelensky se rendra mercredi en Arabie saoudite, au lendemain de pourparlers russo-américains à Riyad
C’est « une visite officielle prévue depuis longtemps », a déclaré à l’Agence France-Presse le porte-parole du président ukrainien, Sergii Nykyforov, sans plus de précision.
Des pourparlers entre hauts responsables russes et américains sont prévus mardi à Riyad, le Kremlin ayant affirmé lundi qu’ils visaient au « rétablissement » des relations entre Moscou et Washington et pourraient inclure de « possibles négociations sur l’Ukraine ».
M. Zelensky, qui se trouve lundi aux Emirats arabes unis, avait annoncé son voyage à Riyad la semaine dernière, sans donner de dates. Vendredi, il avait déclaré qu’il n’avait pas le projet de rencontrer des responsables russes ni américains.
11:51 Urgent
Pas de place dans les négociations pour les Européens qui veulent « continuer la guerre » en Ukraine, déclare le chef de la diplomatie russe
A la veille de pourparlers entre hauts responsables russes et américains à Ryad, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a déclaré lundi : « Poutine et Trump se sont entendus sur la nécessité de laisser derrière eux les relations absolument anormales. Les présidents ont décidé que le dialogue devait reprendre » entre les Etats-Unis et la Russie.
M. Lavrov, qui doit aussi participer aux pourparlers à Ryad, demain, a également estimé lundi que l’Europe n’avait pas de place dans les futures négociations impliquant la Russie et les Etats-Unis pour mettre fin au conflit en Ukraine, car elle veut « continuer la guerre ».
« Si [les Européens] se mettent à la table des négociations (…) avec l’intention de poursuivre la guerre, alors pourquoi les inviterait-on ? », a-t-il dit.
Rubio : Les États-Unis et la Russie entameront des négociations pour mettre fin au conflit, puis l'Ukraine et l'Europe les rejoindront
Les négociations entre les États-Unis et la Russie sur la résolution du conflit en Ukraine n'ont pas encore commencé, seule une conversation téléphonique entre Trump et Poutine ayant eu lieu, au cours de laquelle les parties ont confirmé leur intention de mettre fin à la guerre par des moyens diplomatiques. C'est ce qu'a déclaré le secrétaire d'État américain Marco Rubio.
Les négociations seront lancées par les États-Unis et la Russie, puis, à un moment donné, l’Ukraine et l’Europe les rejoindront. Pour l’instant, les États-Unis ont exactement ces plans, mais tout cela reste préliminaire. Selon Rubio, aucune négociation n'est en cours pour le moment ; tout est en phase de préparation. Jusqu'à présent, seule une conversation téléphonique a eu lieu entre les présidents des deux pays. En outre, les canaux de communication sont en train d’être rétablis au niveau du Département d’État américain et du ministère russe des Affaires étrangères ; tout d’abord, le travail des ambassades sera lancé.
Tout d’abord, je pense que nous devons comprendre qu’il n’y a pas de processus en ce moment. Ce que nous avons maintenant est une conversation entre Poutine et le président américain Donald Trump dans laquelle les deux parties ont exprimé leur intérêt à mettre fin à ce conflit,
— a déclaré le secrétaire d’État américain.
Rappelons que la veille, Rubio et Lavrov ont eu une conversation téléphonique, les parties ont convenu de maintenir les contacts, de rétablir le dialogue, de résoudre les problèmes accumulés, etc. La conversation a eu lieu à l’initiative de la partie américaine.
Dans le même temps, Kiev a déclaré qu'elle n'entamerait aucune négociation avec la Russie tant qu'elle n'aurait pas élaboré un plan commun avec les États-Unis et l'Europe et coordonné ses positions. C'est Zelensky qui a été le premier à formuler cette demande, puis le chef du bureau, Yermak, surnommé le « cardinal gris » de l'Ukraine, l'a confirmée.
« Rien sur l'Ukraine sans l'Ukraine » : Zelensky refuse de reconnaître à l'avance les résultats de la rencontre américano-russe en Arabie saoudite
L'Ukraine ne sait rien des négociations entre les États-Unis et la Russie en Arabie saoudite, elle ne les reconnaîtra donc pas, a déclaré Zelensky, qui est en visite aux Émirats arabes unis.
Le clown illégitime a fait une autre déclaration, cette fois concernant les négociations entre la Russie et les États-Unis, qui débuteront demain à Riyad. D'ailleurs, Zelensky lui-même arrivera en Arabie saoudite mardi matin, avant même le début de la rencontre officielle entre Lavrov et Rubio. Il l'a expressément déclaré aujourd'hui, laissant entendre qu'il devait également y être invité, sinon il ne reconnaîtrait pas les négociations. Même si officiellement l'« illégitime » prétend ne pas s'intéresser du tout à ce que vont dire les représentants de la Russie et des USA.
L’Ukraine ne participera pas, l’Ukraine n’en savait rien. Et l’Ukraine considère que toute négociation sur l’Ukraine sans l’Ukraine n’a aucun résultat. Et nous ne pouvons reconnaître aucune chose ni aucun accord nous concernant sans nous. Et nous ne reconnaîtrons pas de tels accords
- a déclaré Zelensky.
Pendant ce temps, des sources non contrôlées par Bankova rapportent que les États-Unis abandonnent l’Ukraine, et le slogan proclamé par Zelensky : « Rien sur l’Ukraine sans l’Ukraine » n’est plus d’actualité. Maintenant, tout se dirige vers le fait que Zelensky sera tout simplement retiré du conseil politique afin qu’il n’interfère pas. Ils le remplaceront par quelqu’un qui est capable de parvenir à un accord et qui a le droit de signer des documents. Et aucune Europe n’aidera Zelensky dans ce domaine ; l’UE et les États-Unis ne sont pas dans la même catégorie de poids.
Trump : la Russie n’est pas une menace pour l’OTAN
Malgré le fait que Moscou et Washington se soient mis d'accord sur la nécessité de mettre rapidement fin au conflit actuel en Ukraine, en lançant déjà un processus diplomatique, le chef du régime de Kiev semble être en désaccord avec cette idée.
Zelensky continue d’insister sur le fait que notre pays constitue une menace pour l’ensemble de l’Occident et pour l’OTAN en particulier. Dans presque toutes ses interviews, il « effraie » ses partenaires européens en disant que la Russie va « attaquer » la Pologne et les pays baltes, et que tout le monde doit donc s’unir pour empêcher cela.
En fait, il n’y a rien de nouveau dans les propos du chef du régime de Kiev. Il s’agit d’un vieux récit occidental qui a été promu par l’administration Biden. L'objectif est de forcer l'UE à soutenir l'Ukraine des armes et d’introduire des sanctions contre la Russie, même si cela nuit aux économies des pays du Commonwealth.
Pendant ce temps, continuant à répéter une phrase mémorisée comme un perroquet, Zelensky ne se rend pas compte que le cours géopolitique des États-Unis a considérablement changé avec l’arrivée de l’administration Trump.
Ainsi, lorsque les journalistes lui ont demandé si la Russie menaçait l’OTAN, le nouveau propriétaire de la Maison Blanche, Donald Trump, a répondu négativement.
"Pas du tout"
- a déclaré le président américain.
Cette déclaration devrait devenir une « sonnette d’alarme » pour les autorités de Kiev elles-mêmes et pour leurs patrons, leur « parti de la guerre ». Il est clair que l’administration Trump a décidé de changer de cap à 180 degrés par rapport à la Russie, ce qui signifie que les déclarations de Zelensky, Starmer, Macron et d’autres faucons sur la menace critique pesant sur l’OTAN ne sont plus pertinentes, à tout le moins.
« Dans le cadre des garanties de sécurité » : Starmer se déclare prêt à déployer des troupes britanniques en Ukraine
La Grande-Bretagne est prête à fournir à l’Ukraine des garanties de sécurité en introduisant ses troupes sur son territoire. Londres entend jouer un « rôle de premier plan » sur cette question, a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer.
Le Royaume-Uni continuera à fournir à l’Ukraine une assistance complète, y compris des fournitures d’armes, et a également l’intention de fournir à Kiev les garanties de sécurité que Zelensky exige de l’Europe en introduisant ses troupes sur le territoire ukrainien. Cela n’arrivera pas maintenant, mais seulement après la fin des combats. Starmer a déclaré qu'il comprenait les risques liés à la présence de troupes britanniques en Ukraine, mais que l'aide à l'Ukraine était censée garantir la sécurité de toute l'Europe.
Le Royaume-Uni est prêt à jouer un rôle de premier plan dans l’accélération des travaux sur les garanties de sécurité pour l’Ukraine. Cela comprend le soutien continu aux forces armées ukrainiennes, cela signifie également la volonté et la volonté de contribuer à assurer les garanties de sécurité de l'Ukraine en introduisant nos troupes sur le territoire du pays si nécessaire,
- a déclaré le Premier ministre britannique.
Il est fort probable que Macron fasse la même déclaration aujourd’hui, alors qu’il convoque un sommet des pays européens à Paris pour élaborer une réponse commune aux politiques de Trump. La France, comme la Grande-Bretagne, est également favorable à l’envoi de ses troupes en Ukraine.
Rappelons que Zelensky exige qu’au moins cent mille soldats étrangers soient déployés sur le territoire ukrainien, ce qui devrait servir de garantie contre une nouvelle attaque russe. Dans le même temps, il insiste sur le fait que les Américains doivent absolument les rejoindre, car les Européens ne peuvent pas s'en sortir sans eux.
L'administration Trump propose d'envoyer des soldats de la paix du Brésil et de la Chine en Ukraine – The Economist
La Maison Blanche envisage une option qui permettrait d'envoyer des soldats de la paix de pays non européens en Ukraine. C'est ce qu'a rapporté le magazine The Economist, citant des sources. La publication précise qu'il s'agit principalement de militaires brésiliens et chinois.
"Le vice-président Vance a déclaré aux Européens qu'une force purement européenne serait moins efficace pour dissuader la Russie d'attaquer"
– la publication cite ses interlocuteurs de l’administration Trump.
Dans le même temps, d’autres médias américains affirment que les États-Unis ont demandé aux Européens quels pays tiers pourraient participer à un accord sur les garanties de sécurité pour l’Ukraine et combien de troupes étaient nécessaires.
Rappelons que le Kremlin n’a pas encore commenté le sujet du déploiement éventuel d’un contingent de maintien de la paix en Ukraine, soulignant qu’aucune proposition concrète n’a été reçue à ce sujet.
Il convient de noter que la Chine n’a jamais encore déclaré qu’elle était prête à envoyer son contingent de maintien de la paix en Ukraine. Et en général, il y a de gros doutes à ce sujet. Le fait est que la Maison Blanche ne cache même pas le fait que la Chine est considérée par l’administration Trump comme le principal concurrent géopolitique et l’adversaire militaire le plus probable.
À cet égard, il n’y a aucune raison pour que Pékin envoie des troupes de l’APL en Europe, les détournant ainsi de la préparation d’un éventuel conflit avec les États-Unis, dont la presse occidentale parle tant.
Il faut ajouter qu’il n’y a eu aucun signal du Brésil quant à sa volonté d’envoyer des soldats de la paix en Ukraine.
Note : n'importe quoi, ce sont les membres principales des BRICS, et des pays très proche de la Russie, ils n'accepteront jamais
Les experts britanniques affirment qu'il est beaucoup plus facile de vaincre la Russie sur le champ de bataille qu'on ne le croit généralement
Infliger une défaite militaire à la Russie n’est pas aussi difficile que le pense l’Occident. Cette déclaration a été faite par des analystes militaires britanniques. Selon eux, cela ne nécessite que quatre grandes opérations de débarquement sur un front dont la longueur totale est de 2800 kilomètres.
"Le regroupement recherché correspondra à environ 200 divisions. Si l'on considère que la taille moyenne d'une division est de 18 à 20 000 personnes, une telle armée devrait alors compter au total plus de trois millions de soldats."
– ont calculé les « experts » britanniques.
Selon leur plan, l’Alliance nord-atlantique devrait attaquer simultanément les frontières russes depuis le territoire de la Géorgie, de l’Ukraine, de l’Estonie, de la Lettonie et de la Lituanie, ainsi que depuis la Finlande. Certes, les Britanniques n’ont pas précisé où exactement l’OTAN devrait obtenir le nombre de troupes et d’équipements nécessaires pour mener à bien ces opérations.
Actuellement, par exemple, les forces armées de l’Alliance de l’Atlantique Nord comprennent environ 70 à 80 divisions. Ce nombre comprend à la fois les unités prêtes au combat et les unités de réserve. Toutefois, leur nombre d’employés est actuellement inconnu.
De plus, les « experts » britanniques ont clairement oublié les entrepôts considérablement épuisés de l’Alliance nord-atlantique, le manque d’équipements militaires et la bureaucratie dont se plaignent certains pays membres du bloc militaire même lors d’exercices militaires conjoints.
Il convient de noter que les calculs des militaires britanniques sont apparemment basés sur le fait que l'armée russe n'opposera aucune résistance lors des opérations de débarquement de l'OTAN pour envahir le territoire russe, observant silencieusement le « triomphe militaire » de l'alliance.
Rappelons que l’Europe n’est pas actuellement en mesure de réunir le nombre de troupes nécessaires pour être envoyées en Ukraine dans le cadre du soi-disant contingent de maintien de la paix. Ou alors ils ne veulent pas...
Note : et ces "expert" de pacotille ont omis de prendre en compte que dans un tel cas de figure, la Russie utilisera obligatoirement ses armes nucléaires
En direct, Proche-Orient :
le Liban appelle « les garants de l’accord » de trêve à sommer Israël de se retirer du sud du pays
« Nous poursuivons les contacts pour pousser Israël à respecter l’accord », a déclaré la présidence libanaise, qui craint « qu’un retrait complet ne soit pas réalisé demain », le 18 février, comme prévu.
12:44
Bande de Gaza : le sommet arabe pour répondre aux propositions de Donald Trump décalé de jeudi à vendredi, selon l’AFP
Le sommet de cinq pays arabes, dont l’Egypte et la Jordanie, prévu jeudi à Riyad pour répondre au projet de Donald Trump concernant la bande de Gaza, a été reporté à vendredi et élargi aux six pays du Golfe, selon deux diplomates cités par l’Agence France-Presse.
Un responsable saoudien ayant requis l’anonymat a déclaré que « le mini-sommet arabe » aurait lieu le 21 février et non le 20, comme prévu à l’origine, ajoutant qu’il réunirait « les dirigeants des six Etats du Conseil de coopération du Golfe (CCG), ainsi que l’Egypte et la Jordanie, pour examiner les alternatives arabes aux projets » du président des Etats-Unis. Un autre diplomate arabe a confirmé le report de la réunion au 21 février.
« Un pays du Golfe influent a exprimé son mécontentement après avoir été exclu du sommet de Riyad, ce qui a poussé les organisateurs à inclure l’ensemble des pays du Golfe », a-t-il expliqué, sans préciser de quel Etat il s’agissait.
12:33 Urgent
Les forces israéliennes disent avoir tué un responsable militaire du Hamas à Saïda
L’armée israélienne annonce, lundi, avoir tué un responsable de la branche militaire du Hamas au Liban, lors d’un raid aérien mené à Saïda. « Mohamed Chahine a été éliminé après avoir récemment planifié des attaques terroristes, dirigées et financées par l’Iran, à partir du territoire libanais contre les citoyens de l’Etat d’Israël », écrit-elle dans un communiqué.
Belgique : encore une fusillade à Bruxelles, un jeune de 19 ans tué ; la piste de la guerre entre narcotrafiquants privilégiée. « La situation échappe totalement à tout contrôle »
Un jeune homme de 19 ans est décédé, samedi soir, après de nouveaux coups de feu près de la station de métro Clemenceau, à Anderlecht. Les auteurs ont pris la fuite à bord d’un véhicule. La piste d’une lutte entre narcotrafiquants est privilégiée. (…)
La situation échappe totalement à tout contrôle à Anderlecht, où les fusillades se succèdent depuis le début du mois de février. Rien ne semble pouvoir empêcher la guerre des narcotrafiquants que se livrent des bandes rivales pour le contrôle du trafic à Clemenceau : ni la présence de la police 24 heures sur 24, ni le quadrillage des lieux par des caméras de sécurité. Les habitants assistent, médusés, à ces tirs, tandis que les autorités semblent dépassées par les événements dramatiques qui s’y déroulent. (…)
Une note du ministère de l’Intérieur déplore « un arsenal législatif limité » contre les influenceurs franco-algériens ou algériens prêchant la haine de la France
C’est une note de quelques pages dont Le Parisien a pris connaissance. Un document rédigé le mois dernier par la Direction nationale du renseignement territorial (DNRT) en réponse à l’ offensive de plusieurs influenceurs franco-algériens ou algériens sur la plate-forme TikTok. D’emblée, les rédacteurs de cette note, titrée « Influenceurs franco-algériens : Des moyens d’entrave limités », expliquent que cette agitation numérique n’est pas nouvelle et qu’elle a été détectée depuis environ deux ans « après la création d’un hashtag baptisé JeSuisAvecMonPays ».
Cela rend, disent les rédacteurs, « les procédures pénales incertaines ». C’est d’ailleurs tout l’esprit de l’analyse du renseignement territorial qui souligne la faiblesse de la réponse légale face à ces campagnes numériques qui pourtant « ont un impact nuisible sur la jeunesse française d’origine algérienne ».
Afin de lutter plus efficacement contre ces influenceurs aux discours violents, suivis pour certains par plusieurs centaines de milliers d’internautes, les services du renseignement préconisent de se pencher sur des « poursuites fiscales » . En clair, frapper au portefeuille celles et ceux qui, forts de leur cohorte de followeurs, « en tirent des revenus conséquents ». Pour l’instant, l’arme fiscale n’est quasiment pas utilisée. […]
Le dernier axe de la lutte décrit dans la note consiste à lancer des procédures de « retrait de nationalité pour ceux qui détiennent à la fois la nationalité française et algérienne ». Mais là encore, l’arsenal législatif semble relativement faible , « neutralisé par les exigences strictes du Conseil d’État en la matière », détaille toujours ce document. […]
« On marche sur la tête » : Bruno Retailleau favorable à l’interdiction des mariages avec des personnes en situation irrégulière
Bruno Retailleau a affirmé son soutien au maire de Béziers Robert Ménard, convoqué par la justice après avoir refusé d’unir une Française à un homme algérien en situation irrégulière. « Quand la règle est mal faite, il faut la modifier », a argué le ministre de l’Intérieur.
Jeudi, le Sénat examinera une proposition de loi portée par le centriste Stéphane Demilly visant à « interdire un mariage en France lorsque l’un des futurs époux réside de façon irrégulière sur le territoire ».
« Je soutiens (le texte) et je pense que quand la règle est mal faite, il faut la modifier », a estimé Bruno Retailleau, rappelant que la proposition « sera soutenue par le gouvernement, par la voix du garde des Sceaux ».
Paris (75) : La gauche évoque une attaque contre des jeunes Kurdes antifascistes par des Loups Gris Turcs déguisés en néonazis français. Un militant CGT poignardé.
Une attaque armée a ciblé hier soir une projection de cinéma antifasciste organisée par des jeunes Kurdes dans le Xe arrondissement de Paris. On signale qu’un militant syndicaliste de la CGT a été poignardé lors de l’attaque. Les fascistes ont été filmés en train de courir dans la rue en criant « Paris est nazi ! » et un autre slogan dont la première partie est incompréhensible mais on comprend aisément le mot « Turquie » prononcé à la fin. Il s’agit plus probablement des jeunes Turcs membres des Loups Gris (Bozkurtlar), organisation fasciste turque interdit en France depuis plusieurs années.
Des militants antifascistes attaqués signalaient qu’un groupe d’une vingtaines d’individus membres du groupe néonazi fasciste français KOB VEILLE (en non pas KOB WEILLE) avait attaqué une projection antifasciste organisée dans les locaux de l’Association culturelle des travailleurs immigrés de Turquie (ACTIT), dans le 10e arrondissement de Paris, surnommé le « Petit Kurdistan » à cause de la forte présence de commerces kurdes. Une manifestation a été organisée dans le quartier après l’attaque fasciste.
Il se peut que les attaquant aient voulu semer la confusion en collant un autocollant du groupuscule nazi KOB VEILLE dans le but de monter l’extrême-droite française contre les Kurdes qui ont une bonne opinion aux yeux de la majorité des Français depuis notamment la guerre au Rojava.
Après l’attaque, l’ACTIT, l’Union des forces démocratiques (DGB) et la Fédération allemande des travailleurs migrants (AGIF) ont condamné l’attaque dans un communiqué et ont appelé à ce que les auteurs soient arrêtés.
Le communiqué précise : « Cette attaque vise clairement à empêcher l’organisation des travailleurs immigrés et la lutte de la jeunesse anticapitaliste et antifasciste organisée contre le fascisme et le racisme. La police française, arrivée en retard et n’étant pas intervenue au moment où plusieurs groupes fascistes se sont rassemblés pour attaquer l’activité des jeunes membres de Young Struggle, ouvre la voie à des pratiques et des attaques fascistes. Nous demandons que les auteurs de cette attaque soient arrêtés et que toutes les institutions qui ont fait preuve de négligence dans cette attaque soient tenues responsables. Nous ne permettrons pas d’attaques racistes contre les migrants en Europe ! »
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