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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 16 février 2025

 

 

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

les principaux pays européens se réuniront lundi à Paris pour évoquer « la sécurité européenne », confirme Jean-Noël Barrot

 

Emmanuel Macron « réunira les principaux pays européens demain pour des discussions portant sur la sécurité européenne », a déclaré sur France Inter le ministre des affaires étrangères français. Cette réunionsurvient après la Conférence de Munich sur la sécurité, qui a mis en lumière le fossé qui sépare désormais Washington de l’Union européenne.

 


 

13:34

L’armée ukrainienne dit avoir repris une localité au sud de Pokrovsk

 

L’armée ukrainienne a affirmé, dimanche, avoir repris aux forces russes la localité minière de Pichtchane (📍), dans l’oblast de Donetsk, lors de contre-attaques autour de la ville-clé de Pokrovsk (📍).

« Nous pouvons déjà parler de la libération du village de Pichtchane, situé à environ 5 kilomètres au sud de Pokrovsk. Les forces russes ont également été repoussées de plusieurs localités alentour », a déclaré à la télévision Viktor Trehoubov, porte-parole du groupement ukrainien Khortytsia, qui se bat dans la région. Selon lui, ces succès localisés ont été permis par « une utilisation efficace » des drones d’attaque et la coopération de différentes unités. Il a toutefois souligné que la situation restait « mouvante » et pouvait changer d’un jour à l’autre.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait déclaré, vendredi, que la situation autour de Pokrovsk s’était « améliorée ». Point-clé pour accéder aux ressources en lithium et en charbon de l’Ukraine, Pokrovsk est aussi un verrou vers la région centrale de Dnipropetrovsk, où la Russie tente de pénétrer.

 



 

12:55

Les principaux pays européens se réuniront lundi à Paris pour évoquer « la sécurité européenne », confirme le ministre des affaires étrangères français

 

« Le président de la République réunira les principaux pays européens demain [lundi] pour des discussions portant sur la sécurité européenne », a déclaré Jean-Noël Barrot, ministre de l’Europe et des affaires étrangères, sur France Inter, lors de l’émission « Questions politiques », sans préciser quels pays participeront à cette « réunion de travail ».

Cette rencontre se tiendra au lendemain de la Conférence de Munich sur la sécurité, marquée par un discours hostile du vice-président américain, J. D. Vance, à l’égard de l’Union européenne, accusée notamment de ne pas respecter la « liberté d’expression », et par la confirmation que les Américains envisagent des négociations sur l’Ukraine sans les Européens.

« Seuls les Ukrainiens peuvent décider d’arrêter de combattre, et nous les soutiendrons tant qu’ils n’auront pas pris cette décision », a répété M. Barrot sur France Inter. Les Ukrainiens « n’arrêteront jamais tant qu’ils ne seront pas sûrs que la paix qui leur est proposée sera durable » et qu’ils n’auront pas de garantie de sécurité, a estimé le ministre des affaires étrangères. « Qui apportera les garanties ? Ce seront les Européens, a insisté M. Barrot. Oui, les Européens seront d’une manière ou d’une autre partie prenante aux discussions [pour mettre fin à la guerre en Ukraine] ».

 

08:16 Pour approfondir

Au Royaume-Uni, les pilotes ukrainiens continuent de s’initier au pilotage des F-16 malgré l’incertitude qui plane sur les négociations

 

En ce lundi glacé de février, sur une base aérienne de l’est des Midlands, la dizaine de Grob Tutor, des petits avions d’entraînement de fabrication allemande qu’utilise la Royal Air Force pour former ses pilotes, est restée alignée au sol : le plafond nuageux est bien trop bas pour voler.

Les élèves pilotes de chasse ukrainiens qu’entraînent les Britanniques s’occupent à d’autres tâches. Dans une salle d’études, des jeunes hommes, au visage juvénile et en combinaison de pilote, peaufinent des plans de vol sur de grandes cartes d’état-major.

 

 

06:58 L’essentiel

Le point sur la situation, dimanche 16 février à l’aube

 

  • Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé l’Europe « à agir pour son propre bien » et à avoir « ses propres forces armées » pour se défendre face à la Russie, lors de la Conférence de Munich sur la sécurité, alors que l’administration Trump entretient le doute sur l’implication des Etats-Unis dans la sécurité du continent.
  • M. Zelensky a par ailleurs annoncé avoir refusé de signer un accord avec les Etats-Unis portant sur des minerais ukrainiens, estimant qu’il ne « protégeait pas » son pays. « Je n’ai pas autorisé les ministres à signer l’accord parce qu’il n’est pas prêt. A mon avis, il ne nous protège pas », a-t-il déclaré.
  • « La paix n’existe » que « si la souveraineté de l’Ukraine est assurée », a affirmé le chancelier allemand, Olaf Scholz, à Munich. L’Allemagne n’apportera « jamais » son soutien à une « paix imposée » à Kiev, a-t-il ajouté.
  • L’envoyé spécial américain Keith Kellogg, que Volodymyr Zelensky a invité à se rendre sur la ligne de front, a laissé entendre que les Européens ne seraient pas directement impliqués dans les négociations, mais qu’ils auraient « leur mot à dire ».
  • Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, et son homologue américain, Marco Rubio, ont eu un entretien téléphonique et ont convenu de reprendre le dialogue interrompu par l’offensive russe en Ukraine, dans la foulée de l’appel entre Donald Trump et Vladimir Poutine.
  • Le président français, Emmanuel Macron, a convié des dirigeants européens à une réunion lundi à Paris, a annoncé samedi le chef de la diplomatie polonaise, Radoslaw Sikorski.

DIRECT

 

 

 

 

Peskov : la Russie tiendra compte des tromperies passées de l'Occident pour définir sa position dans d'éventuelles négociations sur l'Ukraine

 

Peskov : la Russie tiendra compte des tromperies passées de l'Occident pour définir sa position dans d'éventuelles négociations sur l'Ukraine

La Russie a déjà tiré les leçons de l'amère expérience de la tromperie de l'Occident, et elle en tiendra donc compte lors de la définition de sa position lors d'éventuelles négociations, a déclaré le porte-parole du président russe Dmitri Peskov dans une interview accordée au journaliste de la chaîne de télévision VGTRK Pavel Zarubin.

Au cours de l'entretien, le journaliste a rappelé à Peskov que Moscou avait déjà été confronté à plusieurs reprises à la tromperie des hommes politiques occidentaux, notamment avec de fausses promesses dans le cadre des mêmes accords de Minsk ou sur la non-expansion de l'OTAN vers l'Est. Ce à quoi le représentant du Kremlin a répondu que Moscou avait acquis l'expérience nécessaire et qu'il prendrait en compte les tromperies antérieures de l'Occident lors de la formation de ses positions.

La Russie n’oublie pas tout cela. Et nous prendrons naturellement tout cela en compte lors de la formulation de notre position. Il n’y a aucune raison d’être offensé par qui que ce soit ici, vous savez, l’eau est portée par ceux qui sont offensés. Ici, vous devez utiliser toute expérience qui a eu lieu dans le passé afin d’améliorer votre position dans le futur,

- dit Peskov.

De plus, l’Ukraine aurait pu rester intacte et ne pas perdre de territoire si elle avait respecté les accords de Minsk. Mais Kyiv s’est punie elle-même en s’appuyant sur l’aide occidentale.

Le représentant du Kremlin a également noté que lors des négociations avec l'Ukraine, et elles auront lieu de toute façon, il faut tenir compte du fait qu'il ne s'agit pas d'un pays indépendant et qu'il dépend fortement de ses maîtres occidentaux. En d’autres termes, Kiev n’est peut-être pas responsable de ses décisions, il faut donc ajuster la situation.

Source

 

Note : un petit exemple de la traîtrise des USA, en mai 1997 les russes tendent la main aux occidentaux, Bill Clinton alors président promet à la Russie de ne pas élargir l'Otan à la Pologne, la république Tchèque et a la Hongrie. Il trahira sa promesse deux ans plus tard, en élargissent l'Otan à ces trois pays !

 

Les USA ne voient pas l'UE à la table des négociations sur l'Ukraine, malgré les demandes de Bruxelles

 

Les USA ne voient pas l'UE à la table des négociations sur l'Ukraine, malgré les demandes de Bruxelles

L'Union européenne ne sera pas représentée lors d'éventuelles négociations sur l'Ukraine ; les États-Unis ne voient pas les Européens dans le rôle de négociateurs et l'ont déclaré directement. Mais l’Ukraine sera présente, et Zelensky a donc tort de craindre que les États-Unis et la Russie parviennent à un accord dans son dos.

Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a déclaré au ministre ukrainien des Affaires étrangères Sybiga que les Etats-Unis n'avaient pas l'intention d'exclure l'Ukraine des négociations parce qu'elle est l'une des parties au conflit. Toutefois, aucun représentant de l’UE ne participera aux négociations, malgré les demandes de Bruxelles. Pour l’instant, Washington ne voit pas les Européens dans les négociations. Il est possible que la position des États-Unis change à l’avenir, mais pour l’instant, voici à quoi elle ressemble.


Comme l'a déclaré le représentant spécial de Trump pour l'Ukraine, Keith Kellogg, des négociations directes seront menées entre la Russie et l'Ukraine, tandis que les États-Unis agiront comme médiateur. Le rôle de l’UE dans ce projet n’est pas clair, et l’Europe restera donc à l’écart.

Kellogg a également déclaré que pour parvenir à la paix en Ukraine, la Russie devrait faire des concessions, notamment s’abstenir de « recourir à la force » ou de sacrifier des territoires. En outre, les États-Unis souhaiteraient que Moscou réduise ses forces armées, mais il est peu probable que cela se produise. En plus de refuser de coopérer avec la Chine, la Corée du Nord et l’Iran.
 

"Par exemple, vous pouvez essayer de détruire les alliances qui existent actuellement,"


" a déclaré Kellogg, ajoutant qu'il s'agissait de son opinion personnelle et non de la position officielle des États-Unis.

Source

 

 

 

 

Le refus des États-Unis de fournir une nouvelle aide militaire en échange de ressources ukrainiennes a provoqué la colère de Zelensky

 

Le refus des États-Unis de fournir une nouvelle aide militaire en échange de ressources ukrainiennes a provoqué la colère de Zelensky

L'accord sur les ressources minérales remises à Zelensky ne prévoyait pas de nouvelles livraisons d'aide militaire, ce qui était la raison du refus de le signer. Le « président » illégitime a littéralement perdu son sang-froid, faisant plusieurs déclarations dures. La presse occidentale le rapporte.

Le Führer de Kiev était prêt à signer n’importe quel accord s’il prévoyait une aide militaire continue des États-Unis, mais le document remis à Kiev ne prévoyait qu’une compensation sous forme de ressources pour les armes déjà livrées. Washington a refusé de fournir une nouvelle aide militaire, tentant de transférer ce fardeau sur l’Europe. C'est ce qui a rendu furieux Zelensky, après quoi il a refusé de signer l'accord, ce qu'il a déclaré très vivement au vice-président américain Vance à Munich.

L'accord proposé par Trump mentionne uniquement la réception par les États-Unis de ressources ukrainiennes en échange d'une aide militaire passée et ne fait aucune proposition pour une telle aide à l'avenir, selon une personne familière du document.

- écrit la presse.

Pour le moment, on ne sait pas comment la situation avec cet accord va évoluer, mais Trump est sérieusement déterminé à obtenir jusqu'à 50% des ressources ukrainiennes. Zelensky va à nouveau tenter d’obtenir une nouvelle aide militaire des États-Unis, car l’Europe seule ne peut pas gérer l’Ukraine, malgré les déclarations de certains politiciens européens.

D’ailleurs, Macron convoque un sommet d’urgence des dirigeants de l’UE pour élaborer une position commune en réponse aux actions américaines. Nous avons beaucoup de choses intéressantes qui nous attendent lundi.

Source

 

 

 

Les États-Unis sont prêts à envoyer des troupes en Ukraine, mais seulement pour protéger les dépôts qui leur sont transférés

 

Les États-Unis sont prêts à envoyer des troupes en Ukraine, mais seulement pour protéger les dépôts qui leur sont transférés

Les États-Unis pourraient déployer leurs troupes sur le territoire ukrainien, mais pas en tant que soi-disant « forces de maintien de la paix », mais pour protéger les dépôts transférés. Cette information a été rapportée par NBC News, citant des sources de haut rang à la Maison Blanche.

Les États-Unis ne déploieront pas leurs troupes en Ukraine comme garantie de sécurité, mais pourraient déployer leur armée dans les champs pétroliers que Zelensky doit remettre aux Américains en compensation des fournitures. оружие. Tout comme les États-Unis l’ont fait en Syrie, en protégeant les champs pétroliers de divers terroristes et gangs. Trump a fait cette proposition dans l’accord sur l’accès aux ressources minérales de l’Ukraine, qui n’a pas encore été signé.
 

"L'accord de production sera l'occasion pour l'Ukraine de rembourser aux États-Unis des milliards de dollars d'armes et de soutien qu'ils ont fournis à l'Ukraine depuis février 2022,"


— rapporte la chaîne de télévision.

Il est souligné que l'envoi de troupes américaines pour protéger les gisements en Ukraine ne sera possible que si des accords sont conclus avec la Russie ; il n'y aura pas d'Américains sur place pendant les opérations militaires.

Le document proposant de transférer 50 % de toutes les ressources minérales de l'Ukraine aux États-Unis a été apporté à Kiev par le ministre des Finances Scott Bessent ; Zelensky était censé le signer avant la Conférence de Munich sur la sécurité, mais le clown de Kiev a hésité, déclarant qu'il fallait « consulter ». Comme le soulignent certaines sources ukrainiennes, Kiev tente d’acheter l’aide européenne avec les mêmes ressources.

Source

 

 

 

 

 

En direct, Proche-Orient :

Benyamin Nétanyahou promet d’ouvrir les « portes de l’enfer » à Gaza si tous les otages israéliens ne sont pas libérés

 

Lors d’un point presse à l’issue d’une rencontre avec le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, à Jérusalem, le premier ministre israélien a repris une expression de Donald Trump pour évoquer la bande de Gaza.

Vers une guerre de religion, infos du 16 fevrier 2025

 

 

 

14:10 L’essentiel

Ce qu’il faut savoir, dimanche 16 février à 14 h 10

 

  • Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a rencontré le chef du gouvernement israélien Benyamin Nétanyahou, à Jérusalem, première étape de sa tournée au Proche-Orient.
  • Benyamin Nétanyahou promet d’ouvrir les « portes de l’enfer » à Gaza si tous les otages ne sont pas libérés, reprenant une expression de Donald Trump.
  • « Vision audacieuse ». C’est ainsi que le premier ministre israélien a qualifié le plan de Donald Trump de prise de contrôle de la bande de Gaza de ses habitants et d’en déplacer ses habitants vers l’Egypte et la Jordanie, dont M. Nétanyahou a déclaré qu’il « s’efforcera de faire en sorte que cette vision devienne réalité ».
  • Marco Rubio, chef de la diplomatie américaine, estime que l’Iran est « la plus grande source d’instabilité dans la région ». De son côté, M. Nétanyahou a assuré qu’Israël « finira le travail » contre la menace iranienne avec le soutien des Etats-Unis.
  • Trois policiers sont morts à la suite d’une frappe de l’armée israélienne à l’est de Rafah, dans la bande de Gaza, selon le Hamas. Plus tôt dans la matinée, l’armée israélienne a dit avoir mené une frappe aérienne visant des « individus armés se dirigeant vers les troupes des forces armées israéliennes ».
  • Une femme a été tuée par des tirs israéliens à Houla, un village libanais frontalier d’Israël. Selon l’Agence nationale de l’information (NNA) libanaise, « trois citoyens ont été enlevés par les forces israéliennes » dans le village.
  • Le Hezbollah exhorte les autorités à revenir sur l’interdiction des avions iraniens, après le blocage, durant la semaine, de l’arrivée des avions en provenance d’Iran par Beyrouth.

 

 

13:51 Urgent

Benyamin Nétanyahou qualifie de « vision audacieuse » le plan de Donald Trump pour la bande de Gaza

 

« Nous avons discuté de la vision audacieuse de M. Trump », qui a proposé de prendre le contrôle de la bande de Gaza et d’en déplacer ses habitants vers l’Egypte et la Jordanie, « et nous nous efforcerons de faire en sorte que cette vision devienne réalité », a déclaré le chef du gouvernement israélien, Benyamin Nétanyahou.

Sur le sort à terme du territoire palestinien, un sommet de cinq pays arabes est prévu le 20 février à Ryad, pour répondre au projet américain. « Pour l’instant, le seul plan (…) c’est celui de Trump. S’ils en ont un meilleur, le moment est venu de le présenter », avait affirmé jeudi le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, qui doit poursuivre sa tournée en Arabie saoudite et dans les Emirats arabes unis.


 

13:43 Urgent

Benyamin Nétanyahou promet d’ouvrir les « portes de l’enfer » à Gaza si tous les otages ne sont pas libérés, reprenant une expression de Donald Trump

 

Lors d’un point presse à l’issue d’une rencontre avec le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, à Jérusalem, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a déclaré « avoir une stratégie commune [avec les Etats-Unis], dont [ils] ne [peuvent] révéler tous les détails au public, y compris sur la manière dont les portes de l’enfer s’ouvriront, comme elles le feront sûrement si tous [les] otages ne sont pas libérés, sans exception », reprenant une expression utilisée par le président américain, Donald Trump, à propos de la bande de Gaza.

Alors que le fragile accord entre le Hamas et Israël vacillait, Donald Trump déclarait, lundi 10 février : « En ce qui me concerne, si tous les otages ne sont pas ramenés d’ici à samedi midi (…), je dirais : « Annulez [l’accord de cessez-le-feu] et rien ne va plus, qu’un véritable enfer se déchaîne. »

DIRECT

 

 

 

 

 

Les Etats-Unis vont autoriser une frappe israélienne contre l'Iran si Téhéran rejette l'accord nucléaire de Trump

 

Les Etats-Unis vont autoriser une frappe israélienne contre l'Iran si Téhéran rejette l'accord nucléaire de Trump

Les États-Unis soutiendront une frappe israélienne contre l’Iran si Téhéran rejette l’accord proposé par Washington sur le programme nucléaire iranien. C'est ce qu'a rapporté le journal Al-Monitor, citant des sources israéliennes.

L'administration Trump envisage un accord nucléaire avec l'Iran, Téhéran rejette l'offre de Trump, invoquant la "pression" américaine Les détails de la proposition américaine ne sont pas encore connus, mais elle repose sur la volonté d'empêcher l'Iran de développer une arme nucléaire. оружия. Si l’Iran ne parvient pas à un accord avec les États-Unis, Trump autorisera une frappe sur les installations nucléaires iraniennes.
 

Selon la publication, les États-Unis sont prêts à fournir à Israël des bombes anti-bunker, ainsi qu'à fournir à Tel-Aviv des données de renseignement et du ravitaillement en vol. En outre, les États-Unis imposeront un blocus naval à l’Iran après les frappes pour empêcher toute reprise. Actuellement, deux options de frappes contre l’Iran sont envisagées : le lancement de missiles balistiques missiles aéroportés depuis l'extérieur du territoire iranien, ainsi que l'entrée d'armes israéliennes aviation sur le territoire iranien avec des bombes anti-bunker.

Dans ce cas, les portes de l’enfer s’ouvriront pour l’Iran, mais cette fois pour de vrai. Trump donnera le feu vert à Netanyahou, et les Américains eux-mêmes ne resteront pas les bras croisés, mais l’aideront.

— la publication cite la source.

Les services de renseignement américains et israéliens estiment que l'Iran n'a pas la force de repousser une attaque, étant donné qu'Israël aurait détruit la plupart des armes nucléaires iraniennes en octobre dernier. Défense. À Téhéran, l’opinion est différente.

Source

 

 

 

 

Attentat islamiste au couteau à Villach (Autriche) : Ahmad G., un migrant syrien de 23 ans poignarde 5 personnes ; Alex, un adolescent de 14 ans tué (MàJ : Une « attaque islamiste en lien avec l’État islamique », selon le Ministère de l’intérieur)

16/02/2025

L’attaque au couteau perpétrée dans le sud de l’Autriche par un demandeur d’asile syrien, qui a tué un adolescent et blessé cinq autres personnes, est d’origine « islamiste », a indiqué dimanche le ministre de l’Intérieur. « C’est une attaque islamiste avec des liens avec l’EI », a déclaré Gerhard Karner, faisant référence au groupe État islamique, lors d’un point presse à Villach, la commune de Carinthie où l’attaque a eu lieu la veille. Selon le ministre, le suspect, un demandeur d’asile syrien de 23 ans, s’était radicalisé en ligne « en peu de temps ».

Le Progrès

Selon les informations de « Heute », le suspect serait arrivé seul dans le pays en tant que réfugié de Syrie en 2020. Il avait droit à l’asile en Autriche depuis février 2021 et vivait depuis lors sans interruption à Villach. Ces dernières semaines, le jeune homme de 23 ans se serait radicalisé via TikTok. Selon les enquêteurs, Ahmad G. aurait planifié l’acte spontanément. À l’heure actuelle, il n’y a aucune indication d’un deuxième auteur de ces actes. Son colocataire affirme n’avoir rien remarqué de sa radicalisation.

Comme le rapporte le « Krone », Ahmad G. aurait prêté allégeance à l’État islamique. Les enquêteurs supposent donc qu’il s’agit d’une attaque terroriste.

Heute

 

Lors d’une perquisition, des drapeaux de l’EI ont été retrouvés au domicile du jeune homme de 23 ans.

Il n’y avait aucun lien entre le suspect et la victime. Alex, 14 ans, se trouvait dans un stand de saucisses avec des amis et se trouvait tout simplement au mauvais endroit au mauvais moment.

Krone


15/02/2025

La police confirme qu’il existe des preuves montrant que le suspect a crié « Allah Akbar » après le crime. (…)

Kleine Zeitung

(Merci à Jon.)


L’assaillant a blessé quatre autres personnes, dont deux hommes grièvement, avant d’être arrêté. L’une des victimes a dû être opérée en urgence, selon les médias locaux. Des images de l’interpellation ont circulé sur les réseaux sociaux. Le suspect se trouvait en situation régulière sur le territoire autrichien, d’après les premiers éléments.

Le suspect, un demandeur d’asile syrien de 23 ans, a été arrêté (…)

Actu17

Un homme originaire de Syrie a poignardé plusieurs personnes dans la ville autrichienne de Villach, a rapporté samedi la police locale. Un adolescent de 14 ans a perdu la vie, a-t-elle précisé. (…)

Léman Bleu

 

 

 

Attentat islamiste de Munich : au moins 39 blessés, le migrant afghan a hurlé « Allah Akbar » lors de son arrestation (MàJ : une petite fille de 2 ans et sa mère n’ont pas survécu)

Une femme (37 ans) et sa petite fille sont décédées à l’hôpital deux jours après l’attentat de Munich. La fille n’avait que deux ans. (…)

Bild

“Nous devons malheureusement confirmer le décès aujourd’hui” de ces deux personnes, qui figuraient parmi les 39 personnes blessées lors du drame survenu lors d’une manifestation organisée par le syndicat allemand des services Verdi. (…)

BFMTV

Selon les enquêteurs, il a reconnu et revendiqué les faits, affirmant avoir agi par «motivation religieuse». La police a parlé d’une «orientation islamiste» de l’auteur présumé, qui se serait «auto-radicalisé».

Il a crié «Allah Akbar» (Dieu est grand en arabe) après son arrestation sur les lieux de l’attentat et a prié devant les policiers. (…)

Le Figaro


14/02/2025

En 2020, un tribunal de Munich a confirmé que l’Afghan Farhad N. n’avait pas droit à l’asile. Il avait affirmé aux autorités qu’il était poursuivi par une bande de meurtriers dans son pays d’origine. Selon le verdict, cela a été « inventé ».

Selon une décision de justice, le conducteur de la voiture impliquée dans l’attentat de Munich a menti sur sa version de l’évasion. Dans le jugement écrit d’octobre 2020 sur le recours déposé par l’Afghan, aujourd’hui âgé de 24 ans, contre le rejet de sa demande d’asile, le tribunal administratif de Munich a conclu « qu’il n’avait inventé l’histoire que pour obtenir le droit de séjour ». Le verdict est disponible auprès de l’agence de presse allemande. Le « Spiegel » a été le premier à en parler.

Selon le rapport, l’Afghan aurait déclaré au tribunal, entre autres, qu’il était poursuivi par des membres d’un gang criminel qui avait également tué son père. Le tribunal administratif a toutefois estimé que les descriptions de l’homme étaient peu plausibles, « manquant de détails et irréalistes ».

Selon le verdict, le demandeur d’asile a également présenté des certificats médicaux attestant qu’il souffrait de stress post-traumatique, de reviviscence de situations traumatisantes altérant gravement sa vie quotidienne, de troubles du sommeil et d’un trouble du contrôle des impulsions. Selon le tribunal administratif, les certificats dataient toutefois de 2017. Selon sa propre déclaration au tribunal, il n’a pas non plus reçu de traitement pour des problèmes de santé mentale pendant la procédure. Cela signifie qu’il n’y a aucun obstacle à l’expulsion vers l’Afghanistan. Le tribunal administratif a finalement confirmé le rejet de la décision d’asile.

Focus / Spiegle


Après l’attentat de Munich, le parquet général parle d’un acte intentionnel. L’accusé a admis avoir intentionnellement percuté les participants à la manifestation et a invoqué des raisons religieuses.

Spiegle

 

 

 

Georges Fenech : « En réalité, dans les prisons françaises, vous avez 24% d’étrangers et vous avez 60% à 70% de détenus d’origine immigrée. C’est l’échec de l’intégration. »

 
 
Note : enfin quelqu'un qui dit la vérité sur les prisons française
 
 
Vers une guerre de religion, infos du 16 fevrier 2025 Vers une guerre de religion, infos du 16 fevrier 2025 Vers une guerre de religion, infos du 16 fevrier 2025

 

 

Prison de Seysses (31) : le service de massages proposé aux détenus pour la Saint-Valentin met les surveillants en colère

Selon La Dépêche, des détenus de la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse, ont bénéficié de massages et de cours de danse country à l’occasion de la Saint-Valentin. Ces activités, destinées à favoriser le bien-être des prisonniers, ont suscité l’indignation des surveillants pénitentiaires. Jérôme Combelle, secrétaire FO pénitentiaire Seysses, a déclaré : « Je trouve ça choquant qu’un violeur, qu’un kidnappeur puisse bénéficier de ça. Ils sont punis pour des faits graves, nous devons aussi penser aux victimes. » Les surveillants dénoncent également un manque de moyens et estiment que ces initiatives se font à leur détriment. David, membre du Syndicat Pénitentiaire des Surveillant(e)s, confie : « Quatre surveillants ont dû payer le repas, faute d’un budget nécessaire. » Il regrette que « les délinquants semblent passer avant la société ».

 

 

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K
Top départ, que les petites tribulations commencent... que les puissances de ce monde fassent danser cette planète!
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3
copier collé de mon précédent message <br /> Je n'ai pas oublié vos multiples messages où vous m'avez affirmer que la guerre commencerait en juillet ou aout 2025<br /> On va enfin pouvoir vérifier vos étranges études ! Et moi, je dis que la guerre ne commencera pas en 2025<br /> Et pour ma part, j'attends d'aller visiter la basilique Saint-Pierre à Rome pour me prononcer
K
Je ne vois pas où est votre question au 7 février... soyez plus spécifique!<br /> Pour ce qui est de la guerre en égée (2025) dixit Nostra, comprenez ce que vous pouvez... les mystères du temps sont telles que cela ne sert à rien de vous expliquer (vous générique), Jésus lui-même ne s'y serait pas risqué. Bref, même si vous n'avez pas la guerre que vous espérez cette année en 2025 mais plutôt en 2027-2028, vous savez à quoi vou attendre (et vous multipliez par 100).
3
Vous avez oublié de répondre à ce message ( voir 11/02/2025 14:54)<br /> https://www.troisiemeguerremondiale.net/2025/02/vers-une-guerre-de-religion-infos-du-7-fevrier-2025.html