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Les infos du 7 janvier 2025
En direct, guerre en Ukraine :
l’armée ukrainienne assure toujours se battre à Kourakhove, dont la conquête a été annoncée par les Russes
L’état-major ukrainien a assuré dans son rapport quotidien avoir repoussé 26 attaques russes au cours de la dernière journée, y compris à Kourakhove. La carte des combats établie par le blog militaire DeepState fait apparaître la totalité de Kourakhove sous contrôle russe. La chaîne Telegram Rybar affirme que la ville a été « complètement » conquise et que les combats se poursuivaient à l’ouest de la localité.
13:34
L’ancre du pétrolier soupçonné d’avoir saboté des câbles en Baltique récupérée, annonce la marine suédoise
La marine suédoise a annoncé avoir récupéré l’ancre du Eagle-S, un pétrolier soupçonné d’appartenir à la « flotte fantôme » russe et d’être à l’origine des dégradations de cinq câbles sous-marins en mer Baltique.
« Le Belos a trouvé, remonté l’ancre et l’a remise aux autorités finlandaises », a dit à l’Agence France-Presse Jimmie Adamsson, porte-parole de la marine suédoise, précisant que l’opération avait été « assez courte ».
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11:49
Le soutien des Ukrainiens à Volodymyr Zelensky est toujours majoritaire, mais en recul par rapport à 2023
Les Ukrainiens soutiennent toujours majoritairement Volodymyr Zelensky dans son action, après quasiment trois ans d’invasion russe, un chiffre toutefois en net recul en 2024, selon les résultats d’un sondage publié par l’Institut international de sociologie de Kiev (KIIS).
Le KIIS a mené une enquête téléphonique auprès de 2 000 personnes habitant en territoire sous contrôle ukrainien entre le 2 et le 17 décembre, soit un mois environ après la victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine qui a relancé les spéculations sur d’éventuels pourparlers de paix avec la Russie.
D’après les résultats, 52 % des Ukrainiens interrogés disaient « avoir confiance » en Volodymyr Zelensky, un chiffre en nette baisse par rapport à la fin de 2023 (77 %), traduisant un essoufflement du soutien au président ukrainien, après près de trois ans de guerre à haute intensité. Le soutien actuel au chef de l’Etat ukrainien, en poste depuis 2019, est plus marqué dans l’Ouest (60 %) et dans le Centre (52 %), des régions relativement épargnées par la guerre, que dans l’Est (seulement 42 %) et dans le Sud (46 %), où se déroule l’essentiel des combats.
Désormais, d’après ce sondage, près de quatre Ukrainiens sur dix (39 %) disent « ne pas avoir confiance » en Volodymyr Zelensky, soit près du double par rapport à décembre 2023 (22 %).
11:22
3 800 soldats nord-coréens ont été tués ou blessés au combat, selon Volodymyr Zelensky
Dans un entretien enregistré à la fin de décembre et diffusé dans la nuit de dimanche à lundi, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a affirmé que 3 800 soldats nord-coréens « ont été tués ou blessés » sur les 12 000 qui sont arrivés en Russie.
Ce matin, les membres du 8e régiment des forces d’opérations spéciales des forces armées ukrainiennes ont annoncé avoir tué treize soldats nord-coréens − dont ils ont publié les photos −, dans l’oblast de Koursk, en Russie. Les Russes avaient annoncé, dimanche, faire face à une contre-attaque ukrainienne dans cette région. Hier, l’armée ukrainienne avait affirmé « infliger des pertes » aux forces de Moscou dans la région, sans donner plus de détails sur l’opération en cours.
10:45
L’armée ukrainienne assure toujours se battre à Kourakhove, dont la conquête a été annoncée par les Russes
L’armée ukrainienne assure continuer de se battre à Kourakhove (📍), dont la conquête a été revendiquée hier par la Russie.
Le groupement de troupes opérationnel et stratégique Khortytsia, qui se bat dans la zone, a assuré que, « dans le secteur de Kourakhove, les forces de défense s’opposent aux tentatives de l’ennemi d’utiliser sa supériorité en hommes et de développer une offensive ». « Des mesures visant à localiser et à détruire les groupes d’assaut ennemis qui ont infiltré nos formations de combat sont en cours », a ajouté Khortytsia, notant des « opérations d’assaut » russes dans « la zone urbaine de Kourakhove ».
L’état-major ukrainien a, lui, assuré dans son rapport quotidien avoir repoussé 26 attaques russes au cours de la dernière journée, y compris à Kourakhove.
La carte des combats établie par le blog militaire DeepState, proche de l’armée ukrainienne, fait apparaître la totalité de Kourakhove sous contrôle russe.
La chaîne Telegram Rybar, proche de l’armée russe, a affirmé ce matin que Kourakhove avait été « complètement » conquise et que les combats se poursuivaient à l’ouest de la ville.
Kourakhove, qui comptait environ 18 000 habitants avant la guerre, constitue une importante position défensive pour les forces ukrainiennes dans le sud de cette région industrielle de l’est du pays.
Note : comme d'ab, pas grand-chose, mais regardez la propagande pro ukrainienne de LCI, suivi par des centaines de messages de personne agacées par leur ridicule.
Et pour ceux qui sont comme moi sur X, remarquez comme la plupart des internautes n'ont plus de drapeau Ukrainien à côté de leur pseudo, les français commence à ouvrir leurs yeux sur les mensonges sur l'Ukraine
10:35
Les Russes ont conquis trois nouveaux villages, selon DeepState
Sur Telegram, ils affirment que les Russes occupent désormais les villages de Lozova (📍), au sud de Koupiansk, dans l’oblast de Kharkiv, Ivanivka (📍), au nord de Lyman, dans l’oblast de Donetsk, et Chevtchenko (📍), à l’ouest de Kourakhove, également dans l’oblast de Donetsk.
DeepState annonce, par ailleurs, que ces derniers jours, les Russes ont décidé de se concentrer sur la ville de Toretsk (📍), où « de violents combats se poursuivent ». Ce matin, l’état-major ukrainien faisait également état de plusieurs combats entre forces russes et forces ukrainiennes autour de Toretsk, hier. « Actuellement, l’ennemi mène des actions d’assaut dans toute la ville. Les plus saturés de combats : le centre, le microdistrict Zabalka, la mine Centralna, ainsi que la périphérie nord-ouest », écrit DeepState sur Telegram.
HIER 21:00 L’essentiel
Le point sur la situation, lundi 6 janvier à 21 heures
- La Russie a revendiqué la prise de Kourakhove, dans l’est de l’Ukraine, après une bataille de près de trois mois, estimant que sa conquête lui permettra de s’emparer entièrement de l’oblast de Donetsk « à un rythme accéléré ». La perte de cette ville n’a toutefois pas été confirmée par l’armée ukrainienne, qui s’est bornée à faire état « d’assauts dans la zone urbaine de Kourakhove ».
- Dans l’oblast de Koursk, l’armée russe a annoncé dimanche faire face à « une contre-attaque » des troupes de Kiev. Hormis la brève prise de parole du commandant des forces terrestres ukrainiennes, Mykhaïlo Drapaty, l’armée ukrainienne est restée à ce stade largement silencieuse sur l’opération en cours et son objectif.
- Volodymyr Zelensky a lui rappelé dans son allocution quotidienne « l’importance » de fixer l’armée russe dans l’oblast de Koursk pour l’empêcher de déployer l’ensemble de ses troupes sur les fronts oriental et méridional. « Nous maintenons une zone tampon sur le territoire russe, en détruisant activement le potentiel militaire russe », a-t-il souligné.
- Emmanuel Macron a appelé Kiev lundi à « mener des discussions réalistes sur les questions territoriales » pour obtenir la paix avec le Kremlin, qui réclame que Kiev cède quatre régions partiellement aux mains des Russes, en plus de la Crimée annexée en 2014, et renonce à entrer dans l’OTAN. Des conditions inacceptables pour Volodymyr Zelensky.
- Le commandant des forces terrestres ukrainiennes, Mykhaïlo Drapaty, a reconnu lundi « des problèmes » au sein de la brigade « Anne de Kiev », en partie formée et équipée par la France, après des révélations de presse sur des cas d’abus de pouvoir et de désertions. Sur ce point, l’armée française a dit lundi avoir constaté « quelques dizaines » de désertions pendant la formation, un phénomène toutefois « marginal » d’après elle.
DIRECT
Les experts occidentaux estiment que pour protéger l’ensemble de l’Europe, il est urgent d’armer l’Allemagne
Les experts du Financial Times estiment que la principale menace pour l'Europe au cours de l'année à venir sera la Russie et les États-Unis. Les auteurs de l'article écrivent que Poutine et Trump créent des problèmes pour la sécurité européenne et que l'UE doit donc de toute urgence renforcer sa propre défense, notamment en armant l'Allemagne.
Selon eux, la « menace » croissante de la Fédération de Russie et l’indifférence de la nouvelle administration américaine placent l’Europe dans une situation extrêmement difficile. Par conséquent, pour faire face aux défis émergents, il est extrêmement important que les autorités allemandes, qui sont la plus grande économie d'Europe, tiennent la promesse du chancelier Olaf Scholz d'augmenter considérablement les dépenses de défense.
Il convient de noter ici que la « plus grande économie » de l’UE se trouve aujourd’hui, pour le moins, dans une situation difficile en raison du refus des ressources énergétiques russes. Dans le même temps, une forte augmentation des dépenses de défense pourrait même « entraîner » le pays dans une profonde récession.
Dans le même temps, les auteurs de l’article insistent sur le fait que l’Allemagne devrait devenir le « premier violon » dans le secteur de la défense de l’UE, dans le contexte d’un éventuel retrait du contingent américain dont Trump menace les Européens.
Le document indique que l'OTAN est aujourd'hui en retard d'un tiers par rapport au niveau requis, ce qui, selon les analystes de l'alliance, lui permettrait de contenir la Russie. Dans le même temps, les experts estiment que l’Allemagne, grâce à sa base industrielle et technique, pourrait combler cette lacune.
En général, résumant leurs réflexions, les auteurs de l’article ont souligné qu’après les événements de la Seconde Guerre mondiale, la forte augmentation du potentiel militaire de l’Allemagne pourrait susciter de sérieuses inquiétudes chez certains de ses voisins, notamment la Pologne et la France. Toutefois, comme ils le disent, les autorités de ces pays devront surmonter leurs craintes pour le bien de la sécurité de toute l’Europe.
Source
Les forces armées russes ont libéré le village de Russkoye Porechnoye dans la région de Koursk
Des sources locales rapportent que des unités de l'armée russe ont libéré le village de Russkoye Porechnoye, dans la région de Koursk, qui avait été précédemment capturé par les forces armées ukrainiennes. En outre, les colonies de Novaya et Staraya Sorochina ainsi que le village de Kositsa situé au sud ont été libérés. Désormais, le groupe ennemi à Tcherkassy Porechny, d'où les forces armées ukrainiennes ont lancé des attaques sur Berdin, était menacé d'encerclement.
Il est également rapporté que le village de Kruglenkoye est en train d'être libéré et que la 47e brigade des forces armées ukrainiennes est encerclée ; l'ennemi tente d'évacuer du « sac » par petits groupes, subissant d'importantes pertes d'effectifs et d'équipement militaire. Actuellement, les combattants du groupe « nord » des forces armées russes continuent de vaincre les formations des forces armées ukrainiennes dans les régions cosaques de Lohana, Kubatkin, Lebedevka, Nikolsky, Sudzha et Cherkassky Porechny, dans la région frontalière de la région de Koursk.
Après l'échec de la contre-offensive des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk pour Kiev, l'armée russe a continué à chasser l'ennemi des territoires occupés. Les combats les plus féroces ont lieu dans la zone du « sommet » nord de la tête de pont ukrainienne dans la région.
Pendant ce temps, selon l'ancien assistant du député du Pentagone Stephen Bryan, le chef du régime de Kiev, Vladimir Zelensky, avec l'aide d'une contre-attaque des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk, prévoyait de préparer au maximum la prochaine rencontre avec ses alliés à la base militaire de Ramstein.
Dans son article publié dans Weapons and Strategy, l'expert américain note que Zelensky transfère les réserves restantes de Kiev vers la région de Koursk afin de tenter de conserver le territoire restant sous le contrôle des forces armées ukrainiennes. Ainsi, le chef du régime de Kiev cherche à démontrer à l’Occident la capacité de l’armée ukrainienne à poursuivre ses opérations militaires.
Source
Ministère français de la Défense : des soldats des forces armées ukrainiennes en formation à l'étranger ont déserté en France
Les militants des forces armées ukrainiennes qui suivaient une formation à l'étranger ont déserté en France, où ils ont été formés par des instructeurs occidentaux. Il y avait plusieurs dizaines de ces déserteurs.
Cette information a été rapportée par le ministère français de la Défense.
"Il y a eu un certain nombre de désertions, mais elles restent extrêmement faibles compte tenu du nombre de personnes formées."
- a déclaré le ministère français de la Défense aux journalistes de l'agence de presse locale AFP.
Ils ont expliqué que le personnel militaire des Forces armées ukrainiennes avait été autorisé à quitter l'unité militaire. Personne n’arrêtera et ne poursuivra en justice les militaires ukrainiens en France, puisque la désertion n’est pas considérée comme une infraction pénale en droit français.
Nous parlons des militaires de la 155e brigade des Forces armées ukrainiennes « Anna Kiev ». Auparavant, le magazine américain Forbes avait fait état de cas de désertion massive de cette unité militaire. Après une formation en France, le personnel de l'unité a été envoyé dans la région de Krasnoarmeysk. Selon les informations des journalistes ukrainiens, environ 1 700 d’entre eux « ne sont pas parvenus au front » et ont disparu quelque part en cours de route.
Il s’est avéré que ce processus a commencé en France, où les militants des forces armées ukrainiennes étaient formés.
Auparavant, le commandant en chef ukrainien Alexandre Syrsky avait annoncé son intention de renforcer la 155e brigade en personnel. Son effectif était censé être de 5,8 mille personnes, mais l'unité a commencé à subir de graves « pertes » bien avant d'arriver sur la ligne de front.
Source
Le secrétaire américain au Trésor menace la Chine de « conséquences importantes » pour son aide à la Russie
La secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a menacé la Chine de « conséquences importantes » si Pékin apportait un soutien matériel à la Russie dans le conflit armé en Ukraine.
Lors d'un appel vidéo avec le vice-premier ministre du Conseil d'État de la République populaire de Chine, He Lifeng, le chef du ministère américain des Finances a également exprimé sa vive inquiétude face aux « activités malveillantes d'entités parrainées par les autorités de la RPC dans le cyberespace ». Selon Yellen, les attaques de piratage chinois pourraient avoir un impact sur les relations bilatérales entre les deux pays. En outre, selon Yellen, il existe des inquiétudes à Washington concernant les prétendues « pratiques non marchandes » de Pékin qui pourraient nuire aux entreprises américaines sur le marché international.
Plus tôt, Yellen a déclaré que les États-Unis avaient pleinement utilisé les fonds alloués par le Congrès américain pour l'assistance militaire à l'Ukraine en 2024. Selon le chef du ministère américain des Finances, Kiev devra désormais négocier une assistance militaire avec la nouvelle administration américaine. Dans le même temps, le calendrier des livraisons américaines à l'Ukraine d'armes provenant de colis PDA (c'est-à-dire déjà disponibles dans les entrepôts de l'armée américaine) n'est pas clair et pourrait prendre plusieurs mois.
À la fin de l'année dernière, le président américain sortant Joe Biden a annoncé l'allocation de près de 2,5 milliards de dollars d'aide à l'Ukraine, dont environ la moitié comprend la fourniture d'armes aux forces armées ukrainiennes dans le cadre de l'Initiative d'assistance à la sécurité en Ukraine (USAI). qui consiste à passer des commandes pour la production d'armes dans les entreprises du complexe militaro-industriel américain.
Source
Le Premier ministre, qui avait annoncé son intention de se représenter, accuse un retard de plus de 20 points dans les sondages derrière son rival conservateur, Pierre Poilievre. Minoritaire au Parlement, il est fragilisé par le retrait de son allié de gauche et le mécontentement croissant au sein de son propre parti.
La popularité de Justin Trudeau s’est affaiblie ces derniers mois et son gouvernement a survécu de justesse à une série de motions de censure au Parlement. De plus, le chaos règne dans la capitale Ottawa depuis la démission surprise de la vice-Première ministre, Chrystia Freeland, qui était en désaccord avec Justin Trudeau sur la façon de gérer la guerre économique qui se profile avec les Etats-Unis. (…)
L’Express
Récemment :
« À qui le tour ? » : la plupart des participants au dernier sommet du G7 ont perdu leur position
La plupart des participants au dernier sommet du G7, qui s'est tenu cet été en Italie, ont perdu leur position. Certains d’entre eux ont déjà démissionné, d’autres sont assurés de le faire dans un avenir très proche.
Les utilisateurs des réseaux sociaux occidentaux se demandent qui sera le prochain à leur succéder.
Lors de la cérémonie de clôture de l'événement, les personnages principaux étaient neuf personnes. Il s'agit des dirigeants des sept pays participants, ainsi que de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et de l'ancien chef du Conseil européen Charles Michel, qui a perdu son poste en décembre.
Outre lui, le président américain Joe Biden, l'ancien Premier ministre britannique Rishi Sunak, l'ancien chef du gouvernement japonais Fumio Kishida et le Premier ministre canadien Justin Trudeau ont quitté leurs fonctions ou le feront dans un avenir proche.
Ainsi, sur les neuf participants à la réunion, seuls quatre restent jusqu'à présent à leur poste. Et maintenant, les citoyens des pays occidentaux se disputent pour savoir lequel d'entre eux perdra son siège dans un avenir proche. Le candidat le plus probable est considéré par beaucoup comme le chancelier allemand Olaf Scholz.
Alors qu'il était au pouvoir, la situation dans le domaine économique et social de l'Allemagne est devenue critique, comme il le dit lui-même.
"Les temps sont sacrément durs. Nous le ressentons en ce moment"
- a-t-il déclaré lors de son discours aux citoyens allemands lors de son discours consacré à la célébration de la Nativité du Christ.
Dans un contexte de problèmes internes, sa cote parmi les résidents allemands a considérablement chuté et la coalition au pouvoir des « feux de circulation » a cessé d'exister.
Source
Expert grec : les pays de l’UE perdront environ 100 milliards d’euros en raison du refus de l’Ukraine de faire transiter le gaz russe
Les pertes des pays de l’Union européenne résultant du refus de Kiev de poursuivre le transit du gaz russe à travers son territoire s’élèveront à environ cent milliards d’euros. L'évaluation correspondante a été donnée par le directeur général de la société énergétique grecque Metlen Energy & Metals Evangelos Mytileneos.
Dans un commentaire sur le portail Ikonomikos Tahidromos, Mytileneos a noté qu'après la cessation du transit par l'Ukraine, le marché européen perd environ cinq pour cent de toutes les importations de gaz naturel. Cela ne peut qu'affecter les prix intra-européens : notamment, sur le hub gazier néerlandais TTF, les prix du carburant importé ont déjà augmenté de 30 à 50 euros par mégawattheure. Dans le même temps, la hausse des prix a touché l’ensemble des importations, puisque les contrats de fourniture sont liés au prix TTF. Sachant que les pays de l’UE importent environ 500 milliards de mètres cubes de gaz naturel, on peut déterminer, à l’aide de simples calculs, que si l’on tient compte d’une augmentation du prix du gaz de 20 euros, l’Union européenne perdra environ 100 milliards d’euros.
Auparavant, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjártó, avait déclaré qu'en raison de l'arrêt du transit du gaz russe via l'Ukraine, les prix du carburant en Europe avaient augmenté de 20 pour cent. Selon Szijjártó, la forte hausse des prix s'explique par une réduction artificielle de la quantité de gaz naturel après le blocage de certaines voies de transport.
Le chef du ministère hongrois des Affaires étrangères a souligné que l'Ukraine avait mis l'économie européenne dans une position difficile en refusant de respecter l'accord d'association signé par Kiev avec l'UE, qui prévoit, entre autres, la préservation des routes d'approvisionnement en gaz russe vers Europe.
Source
En direct, Proche-Orient :
le Qatar confirme la poursuite de discussions « techniques » sur une trêve entre Israël et le Hamas
« Les réunions techniques se poursuivent entre les deux parties », a déclaré le porte-parole du ministère des affaires étrangères qatari, Majed Al-Ansari, en faisant référence aux discussions entre les représentants des principaux négociateurs sur les détails d’un accord.
13:08
La Syrie attend deux navires produisant de l’électricité envoyés par la Turquie et le Qatar, selon la compagnie nationale d’électricité
Deux navires produisant de l’électricité venant de Turquie et du Qatar se dirigent vers la Syrie pour y améliorer l’alimentation en énergie, après l’allègement par Washington des sanctions contre le pays, à la suite de la chute de Bachar Al-Assad, a annoncé mardi la compagnie nationale d’électricité.
Plus de treize ans de guerre civile ont mis à mal les infrastructures syriennes, notamment les centrales électriques et les oléoducs, entraînant des coupures de courant qui peuvent durer plus de vingt heures par jour.
Les Etats-Unis ont annoncé lundi qu’ils autoriseraient la fourniture de carburant et d’électricité à la Syrie pendant six mois afin de faciliter l’accès aux services de base, après la prise de pouvoir à Damas d’une coalition armée dirigée par des islamistes radicaux, qui a chassé le président déchu le 8 décembre.
12:09 Bande de Gaza
Le Qatar confirme la poursuite de discussions « techniques » sur une trêve entre Israël et le Hamas
Les discussions sur une trêve à Gaza se poursuivent, a affirmé mardi le Qatar, qui joue le rôle de médiateur entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas. « Les réunions techniques se poursuivent entre les deux parties », a déclaré le porte-parole du ministère des affaires étrangères qatari, Majed Al-Ansari, en faisant référence aux discussions entre les représentants des principaux négociateurs sur les détails d’un accord.
10:05 Urgent
Les vols internationaux reprennent à l’aéroport de Damas en Syrie pour la première fois depuis la chute d’Al-Assad
Les vols internationaux ont repris mardi à l’aéroport international de Damas, pour la première fois depuis la chute de Bachar Al-Assad le 8 décembre, ont fait savoir des correspondants de l’Agence France-Presse sur place.
Un premier avion de la compagnie nationale Syrian Airlines a décollé pour Chardja, aux Emirats arabes unis, vers 11 h 45 (9 h 45 à Paris). Il s’agit du premier vol commercial international depuis près d’un mois à décoller de l’aéroport, qui avait accueilli des avions chargés de matériel d’aide humanitaire. Un vol de Qatar Airways est attendu mardi à Damas, la compagnie ayant annoncé la reprise de ses vols vers la capitale syrienne après quasiment treize ans d’interruption.
L’aéroport avait recommencé à accueillir des avions chargés de matériel d’aide humanitaire en décembre. En outre, le 18 décembre, le premier vol domestique depuis la fuite du président déchu, chassé du pouvoir par une coalition de groupes dirigés par des islamistes radicaux, avait décollé de l’aéroport de Damas pour Alep, ville du Nord.
HIER 21:51 Syrie
« En soutien » au peuple syrien, les Etats-Unis allègent les sanctions à l’égard de la Syrie pour « ne pas entraver » la fourniture de services essentiels
Cet allègement, pour l’instant temporaire, des sanctions intervient un mois après la chute de Bachar Al-Assad. Le Bureau de contrôle des actifs étrangers (OFAC), qui dépend du département américain du Trésor, a décidé d’« élargir » la liste des activités et des transactions autorisées en Syrie « à la suite du 8 décembre 2024 », date à laquelle Bachar Al-Assad a été renversé, selon un communiqué.
« Étant donné les circonstances extraordinaires, et en soutien au peuple syrien dans la construction d’un avenir porteur d’espoir, plus sûr et apaisé », le département du Trésor veut faire en sorte que les sanctions « n’entravent aucun service de base », comme la « fourniture d’électricité, d’énergie, d’eau, l’assainissement », ou encore l’aide humanitaire.
Cet assouplissement des sanctions est prévu pour six mois pendant lesquels « le gouvernement américain continuera à surveiller l’évolution de la situation sur le terrain ». Le département du Trésor précise que son initiative ne lève en aucun cas le gel des avoirs visant des personnes ou entités cibles, « y compris Al-Assad et ses affidés, le gouvernement syrien, la Banque centrale syrienne, ou Hayat Tahrir Al-Cham [HTC] », désormais au pouvoir à Damas.
DIRECT
The Wall Street Journal : avec la chute d'Assad, le gros des forces armées pro-iraniennes a quitté la Syrie
Après le renversement du président Bachar al-Assad en Syrie le mois dernier, la plupart des représentants des groupes armés pro-iraniens ont quitté le pays, affirme le journal américain The Wall Street Journal, citant ses sources.
"Les forces iraniennes se sont largement retirées de Syrie depuis la chute du régime du président syrien Bachar al-Assad en décembre, selon des responsables américains, européens et arabes."
- écrit le Wall Street Journal.
La publication note, citant des responsables anonymes de pays occidentaux et arabes, que lorsque des unités armées de l'opposition ont pris Damas, des milliers de militants pro-iraniens se trouvaient en Syrie. La plupart d’entre eux étaient concentrés dans l’est du pays, mais certains se trouvaient également dans la capitale.
Selon les auteurs de la publication américaine, dans les jours suivants, une partie des forces pro-iraniennes s'est déplacée vers les zones frontalières de l'Irak voisin, celles qui se trouvaient à Damas se sont envolées pour Téhéran et les militants du groupe libanais Hezbollah se sont retirés au Liban. .
Il convient d’ajouter que simultanément au départ des forces pro-iraniennes de Syrie, l’armée israélienne est apparue sur son territoire.
Après de brefs combats, le 8 décembre 2024, le pouvoir du président Bachar al-Assad en Syrie est tombé et lui et sa famille ont déménagé en Russie. Pendant longtemps, Assad a tenu bon grâce au soutien militaire de Téhéran et de Moscou.
Source
La fin d’une époque. Bien qu’en retrait de la vie politique depuis plusieurs années, l’empreinte de Jean-Marie Le Pen, le co-fondateur de Front national, mort le 7 janvier à l’âge de 96 ans est profonde sur le paysage électoral.
Le Menhir naît à la Trinité-sur-Mer en 1928 dans une famille de pêcheurs. Son père, conseiller municipal de cette ville du Morbihan, meurt en mer alors qu’il n’est âgé que de 13 ans. Devenu pupille de la nation, le jeune garçon qui se passionne pour la littérature, tente sans succès de rejoindre à 16 ans les Forces françaises de l’Intérieur, qui comptent notamment dans leurs rangs des soutiens de Charles de Gaulle. (…)
BFMTV
Réactions :
Vous ne trouverez plus le Mémorial de Caen sur X (ex Twitter). Son directeur-général Kléber Arhoul a décidé de fermer ce lundi le compte du musée en raison des positions politiques d’Elon Musk, le propriétaire du réseau social américain.
“La connaissance est inaudible lorsqu’on la jette dans le vacarme de ceux qui la méprisent” (…) “Le savoir que nous devons partager au plus grand nombre suppose de respecter quelques bases. Respecter les valeurs de la démocratie, respecter les valeurs de tolérance, d’altérité. Et je trouve que la plateforme que préside Monsieur Elon Musk tourne délibérément le dos à toutes ces valeurs”, explique Kléber Arhoul, le patron du Mémorial. (…)
France Bleu
«C’est une décision mûrement réfléchie et confirmée par les récentes insultes d’Elon Musk envers le chancelier allemand, a déclaré M. Arhoul à l’AFP, je prends acte qu’Elon Musk a le projet politique de fédérer les partis réactionnaires et au Mémorial nous savons à quoi les nationalismes aboutissent». (…)
Paris Normandie
Article de 2022 : Qui est Kléber Arhoul, le nouveau directeur du Mémorial de Caen ?
Après sa période normande, il a été notamment préfet pour l’égalité des chances pour la région Nord-Pas-de-Calais, puis coordinateur national pour l’accueil des migrants. Ensuite, en poste à l’Élysée, il a participé à la mise en place du Service national universel (SNU) avant de réorganiser l’Institut des hautes études de la défense nationale (IHEDN).
Son parcours au sein de la haute fonction publique l’a mené à plusieurs reprises en Normandie, à la préfecture de Caen, à la chambre régionale des comptes et comme directeur régional des affaires culturelles de Basse-Normandie de 2009 à 2013.
Ouest France (15/12/2022)
Le député insoumis des quartiers Nord de Marseille sera jugé mardi 7 janvier pour des “violences volontaires” lors du blocus du lycée Saint-Exupéry, en mars 2023. Sébastien Delogu conteste les faits et assure avoir voulu s’interposer entre la direction de l’établissement et des lycéens.
Le député, proche de Jean-Luc Mélenchon et qui a dit “réfléchir” à une candidature à la mairie de Marseille en 2026, comparaîtra également pour avoir refusé de donner ses empreintes digitales.
La Provence
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