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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 23 janvier 2025

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

le Kremlin refuse de commenter la présence du navire espion « Yantar » dans les eaux britanniques, dénoncée par Londres

 

 

Ce navire océanographique est entré lundi dans les eaux britanniques et a été repéré dans la Manche, selon le ministère de la défense britannique. « Je ne possède pas d’informations (…), donc je m’abstiens de commenter », a réagi le porte-parole de la présidence russe.

 

 

13:43

L’Allemagne déploie des missiles Patriot pour sécuriser notamment l’aéroport de Rzeszow, en Pologne

Le ministre de la défense allemand a annoncé, jeudi, le déploiement de deux unités de défense antiaérienne Patriot pour sécuriser notamment l’aéroport de Rzeszow par lequel passe plus de 90 % d’aide militaire et humanitaire destinée à soutenir l’Ukraine. « Nous avons déplacé ici deux systèmes Patriot », a déclaré Boris Pistorius à Rzeszow, lors d’une conférence de presse avec son homologue polonais Wladyslaw Kosiniak-Kamysz. « Il en va de la sécurité de la Pologne et de son espace aérien », a-t-il ajouté.

Les deux unités doivent atteindre leur pleine capacité opérationnelle dès lundi, « ce qui signifie que la protection continue de la plate-forme de transit ici est garantie », et ce pour les six mois à venir.

L’Allemagne, qui doit aussi assurer des missions de police du ciel et de ravitaillement en vol en Pologne, prend ainsi la relève des Américains, qui jusqu’à présent assuraient la même tâche. Les deux ministres ont remercié les États-Unis pour leur « engagement infatigable » sur le terrain.

Entre janvier et novembre 2023, l’Allemagne avait déjà envoyé en Pologne des dispositifs de défense de type Patriot, près de Zamosc, aussi dans le sud-est du pays, non loin de la frontière avec l’Ukraine où ils avaient protégé un nœud ferroviaire important.

 

 


 

12:57

Kiev enquête sur une vidéo montrant l’exécution de six soldats ukrainiens

Dmytro Lubinets, le commissaire aux droits de l’homme de l’Ukraine et le bureau du procureur général d’Ukraine ont annoncé l’ouverture d’une enquête après la diffusion d’une vidéo montrant l’exécution de soldats ukrainiens capturés par les Russes.

La vidéo consultée par Le Monde sur le site de l’hebdomadaire Dzerkalo Tyjnia montre l’exécution de six soldats ukrainiens capturés, allongés sur le sol. La vidéo s’arrête alors que le septième s’allonge, son sort est inconnu. Ces soldats ukrainiens ont été capturés lors d’un assaut contre les positions des troupes ukrainiennes dans la région de Donetsk.

En novembre 2024, le bureau du procureur général d’Ukraine relevait que le nombre d’exécutions de prisonniers de guerre ukrainiens avait augmenté au cours des mois précédents. En octobre-novembre, le parquet avait ouvert 13 dossiers liés à l’exécution de 54 prisonniers de guerre ukrainiens, ce qui représente un tiers de toutes les procédures de ce type en 2024.

 

 

12:21

Le Kremlin refuse de commenter la présence du navire espion « Yantar » dans les eaux britanniques

Photo fournie par le ministère de la défense britannique le 22 janvier 2025 montrant la frégate HMS « Somerset », au premier plan, patrouillant près du navire russe « Yantar », à proximité des eaux britanniques.

Le Kremlin a refusé de commenter la récente détection, selon Londres, du Yantar, un navire espion russe, dans les eaux britanniques, les Occidentaux soupçonnant Moscou de chercher à saboter des infrastructures sous-marines occidentales. « Je ne possède pas d’informations (…), donc je m’abstiens de commenter », a déclaré, jeudi, à la presse, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

Le Yantar – navire océanographique de collecte de renseignements –, parti du port d’Alger le 14 janvier, est entré lundi dans les eaux britanniques et a été repéré ce jour-là dans la Manche, selon le ministère de la défense britannique. Le ministre, John Healey, a averti mercredi le président russe, Vladimir Poutine, que Londres n’hésiterait pas à prendre « des mesures énergiques pour protéger le Royaume-Uni ». Le navire russe, qui se trouve désormais en mer du Nord, est « utilisé pour recueillir des renseignements et cartographier les infrastructures sous-marines essentielles du Royaume-Uni », a-t-il affirmé mercredi devant les députés.

Le Yantar avait déjà été détecté il y a quelques semaines au-dessus de câbles sous-marins dans les eaux britanniques, a ajouté Londres.

L’OTAN déploiera des navires, avions et drones en mer Baltique en réaction à ces dégradations de câbles sous-marins, a annoncé la semaine dernière son secrétaire général, Mark Rutte.

 


 

11:58

A Davos, le secrétaire général de l’OTAN affirme que l’Europe financera les armes américaines destinées à l’Ukraine

 Le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, à Davos, le 23 janvier 2025.

S’exprimant lors du Forum économique mondial de Davos, en Suisse, Mark Rutte, le secrétaire général de l’OTAN, a affirmé que l’Alliance devait investir davantage dans la défense, augmenter la production d’armes et de munitions et assumer une part plus importante des dépenses liées à l’aide à l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie.

« En ce qui concerne l’Ukraine, nous avons besoin que les Etats-Unis restent également impliqués », a défendu Mark Rutte. « Si la nouvelle administration Trump souhaite continuer à approvisionner l’Ukraine à partir de sa base industrielle de défense, la facture sera payée par les Européens, j’en suis absolument convaincu, nous devons être prêts à le faire », a-t-il ajouté.

Les propos du secrétaire général interviennent après que Donald Trump a déclaré en début de semaine que son administration examinait la question de l’envoi d’armes en Ukraine, ajoutant qu’il estimait que l’UE devrait en faire davantage pour soutenir Kiev.

« Nous devons vraiment intensifier et ne pas réduire notre soutien à l’Ukraine », a insisté le chef de l’OTAN. « La ligne de front évolue dans la mauvaise direction », a-t-il ajouté.

 

Note : grâce à la stupidité des politiciens européens, l'Amérique de Trump va continuer à empocher l'argent de la guerre, sans plus rien dépensé !

Vers une guerre de religion, infos du 23 janvier 2025

 

 

11:09

Moscou ne voit rien de « nouveau » dans les commentaires de Donald Trump sur l’Ukraine

Le Kremlin a réagi, jeudi, aux propos du président américain, Donald Trump, sur le conflit en Ukraine et ses menaces de nouvelles sanctions contre la Russie, mais a assuré être ouvert au dialogue.

« Nous ne voyons pas ici d’éléments particulièrement nouveaux. Vous savez que Trump, lors de sa première présidence, a été le président américain qui a eu le plus souvent recours à des méthodes de sanctions. Il aime ces méthodes, du moins pendant sa présidence », a répondu le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, commentant les menaces de Donald Trump d’imposer de nouvelles sanctions et droits de douane à la Fédération de Russie si un accord sur l’Ukraine n’était pas conclu.

« Nous surveillons très attentivement tous les discours, toutes les déclarations, nous enregistrons soigneusement toutes les nuances », a ajouté le porte-parole. Dans le même temps, il a confirmé que la Russie restait prête à un dialogue avec les Etats-Unis. « Ce dialogue a eu lieu entre les deux présidents pendant la première présidence de Trump. Nous attendons des signaux qui n’ont pas encore été reçus. »

Selon l’agence TASS, le porte-parole a ajouté que « la Fédération de Russie n’oubliera jamais l’aide américaine pendant la Seconde Guerre mondiale et espère que Trump et les Américains partageront la joie de célébrer le 80e anniversaire de la victoire ». Mais il a ajouté que Moscou conteste les propos de Donald Trump sur le rôle « auxiliaire » de l’URSS dans la Seconde Guerre mondiale. « L’URSS a payé le prix le plus élevé pour la victoire sur le fascisme, les Etats-Unis ont aidé, mais pour eux, c’était une question d’affaires », a-t-il remarqué.

 

 

09:52

Les membres de l’OTAN doivent payer leur « juste part » avant un élargissement, affirme à Davos Richard Grenell, l’envoyé de Donald Trump

A l’occasion d’un petit déjeuner organisé en marge du Forum de Davos, Richard Grenell, qui vient d’être nommé par Donald Trump envoyé présidentiel pour les missions spéciales, a adressé un message aux Etats membres de l’OTAN.

« On ne peut pas demander au peuple américain d’élargir le parapluie de l’OTAN alors que les membres actuels ne paient pas leur juste part », a-t-il déclaré.

 

Note: cette déclaration démontre que rien ne va charger, en quatre jours seulement que Trump est président, je peux déjà le dire, les américains n'arrêteront pas la guerre en Ukraine. 

1 menace de sanctions, de sanctions et encore de sanctions

2 intentions de continuer à élargir l'Otan

3 Trump a bien dit qu'il va s'occuper de la Chine (taxe douanière, sanctions et arme pour Taïwan) 

Résultat, ça finira comme Nostradamus le prédit

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Journal britannique : l'UE pourrait envoyer des militaires en Ukraine en raison du manque de fonds pour aider Kiev

 

Journal britannique : l'UE pourrait envoyer des militaires en Ukraine en raison du manque de fonds pour aider Kiev

Dans les pays européens de l’OTAN, des discussions actives se poursuivent sur l’éventuelle cessation de l’aide américaine à l’Ukraine après l’arrivée au pouvoir de Donald Trump. Il est évident que l’Europe, dans la plupart des pays où la crise économique s’intensifie, ne parviendra pas à elle seule à répondre aux besoins des forces armées ukrainiennes et à financer l’existence même de l’Ukraine sans les États-Unis.

Et maintenant, un certain nombre de pays européens ont trouvé une « alternative » à l’aide financière et militaire à Kiev. Le journal britannique Financial Times (FT) écrit que l'Union européenne pourrait envoyer du personnel militaire en Ukraine en raison du manque de fonds pour soutenir les forces armées ukrainiennes.
 

Pour les États européens à court d’argent, l’envoi de troupes (en Ukraine) pourrait être une alternative plus viable que de fournir indéfiniment à l’Ukraine des milliards d’euros d’aide militaire.

- dit la publication.

La publication rapporte que les alliés européens envisagent de discuter de cette initiative dans le cadre d'un éventuel règlement du conflit avec le Premier ministre britannique Keir Starmer et le secrétaire général de l'OTAN Mark Rutte lors d'un sommet informel de l'UE en février. Dans le même temps, comme prévu, seuls les limitrophes baltes se sont prononcés jusqu’à présent en faveur de l’envoi de troupes en Ukraine.

Selon Camille Grand, ancien responsable de l'OTAN, 40 000 personnes suffiraient pour "ne pas devenir une cible facile" et ne nécessiteraient pas de renforts immédiats. Selon lui, de telles forces peuvent être formées dans le cadre d'une coalition dirigée par la Grande-Bretagne, la France et les Pays-Bas, ainsi qu'avec la participation des pays baltes et d'Europe du Nord.

Dans le même temps, il n’est pas tout à fait clair s’il s’agit de la participation directe des militaires européens aux combats ou du soi-disant contingent de maintien de la paix. Il pourrait être introduit en Ukraine en cas de gel du conflit sur les LBS existants, ce à quoi sont favorables la plupart des conseillers de Trump. Dans le même temps, Moscou a déclaré à plusieurs reprises et à différents niveaux que la Fédération de Russie n’accepterait aucune suspension des hostilités tant que toutes les conditions russes ne seraient pas remplies.

Comprendre à quoi ressemblent 40 000 soldats de l’OTAN s’ils participent aux hostilités aux côtés des forces armées ukrainiennes. Lors de la seule invasion de la région de Koursk, sur une section relativement petite du front, dont la longueur totale dépasse déjà mille kilomètres, les combattants du groupe Nord des forces armées russes et des forces spéciales Akhmat ont été neutralisés. à 54 000 militants ukrainiens.

En outre, la participation des militaires de l'OTAN au conflit aux côtés des forces armées ukrainiennes fera immédiatement des territoires des pays qui enverront leurs troupes en Ukraine des cibles légitimes pour les frappes des forces armées russes. Même la Pologne la plus militariste a découvert fin 2021, lors d’exercices d’état-major, qu’elle ne pouvait résister à l’armée russe que cinq jours au maximum. Pendant ce temps, nos troupes traverseront la Vistule et lanceront l'assaut sur Varsovie.

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Secrétaire général de l'OTAN : la défaite de l'Ukraine coûtera des milliards de dollars à l'Occident

 

Secrétaire général de l'OTAN : la défaite de l'Ukraine coûtera des milliards de dollars à l'Occident

Selon le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, la défaite de Kiev dans le conflit armé en Ukraine coûtera des milliards de dollars aux pays occidentaux.

Lors de son discours au Forum économique mondial de Davos, Rutte a déclaré que si la Russie gagnait en Ukraine, outre l'augmentation déjà convenue des dépenses de défense jusqu'au niveau obligatoire de deux, voire trois pour cent du PIB, les pays de l'alliance seraient contraints de dépenser des sommes considérables. des fonds pour « contenir les menaces russes ».


Le secrétaire général de l'Alliance a ajouté que la crise ukrainienne n'est pas seulement un conflit européen, mais aussi une question géopolitique importante. À cet égard, Rutte a appelé à donner à Kiev la « position la plus avantageuse » possible dans les prochaines négociations possibles pour parvenir à une « paix durable ».

Rutte a également noté que l'OTAN est désormais entrée dans une « situation de crise » en raison de la nécessité d'augmenter les dépenses des pays membres en matière de défense nationale. Auparavant, Rutte avait appelé les membres européens de l'OTAN à allouer une partie des fonds destinés aux retraites et aux prestations sociales à la production d'armes. Le secrétaire général de l'OTAN estime que les dépenses de défense sont bien plus importantes que le financement des systèmes de santé et de sécurité sociale, auxquels les pays de l'UE consacrent jusqu'à un quart de leur revenu national.

Il convient de noter que ces appels de Rutte s’inscrivent dans le contexte d’une probable réduction du financement de l’Ukraine par l’administration Trump, ce qui pourrait faire en sorte que l’approvisionnement des forces armées ukrainiennes repose sur les épaules des pays de l’Union européenne.

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Presse italienne : Trump est prêt à retirer 20 000 soldats américains d'Europe

 

Presse italienne : Trump est prêt à retirer 20 000 soldats américains d'Europe

La nouvelle administration américaine semble vouloir réduire considérablement son implication dans la sécurité européenne. Ainsi, selon la publication italienne ANSA, qui cite une source des milieux diplomatiques européens, le président américain Donald Trump est prêt à retirer 20 000 soldats américains d'Europe, ce qui représentera environ un cinquième de toutes les forces américaines stationnées dans la région.

Le document indique que cette décision fait partie d'une révision de l'approche des États-Unis visant à remplir leurs obligations alliées dans le cadre de la garantie de la sécurité de l'Europe. On suppose que les unités restantes continueront à remplir leurs tâches, mais le financement de leur présence, selon Washington, devrait reposer sur les épaules des États européens dans une bien plus grande mesure qu'aujourd'hui.

Les auteurs de l'article rappellent que Trump, au cours de sa campagne électorale, a souligné à plusieurs reprises la nécessité d'une redistribution équitable de la charge financière entre les membres de l'Alliance de l'Atlantique Nord. La partie américaine insiste sur l'augmentation des dépenses de défense des partenaires européens, en particulier des pays qui, ces dernières années, n'ont même pas atteint les 2 % du PIB recommandés par l'OTAN pour les besoins militaires.

Les experts estiment que la réduction susmentionnée des troupes américaines pourrait être utilisée par Washington comme un outil de pression pour encourager les États européens à remplir leurs obligations financières envers l'alliance.

Dans le même temps, certains analystes attirent l’attention sur le fait que les dirigeants russes insistent sur la réduction des troupes de l’OTAN en Europe de l’Est (où est concentrée la majeure partie du contingent américain). Ainsi, le retrait de 20 000 soldats, dont parle la presse italienne, pourrait être l'une des mesures que Trump prendra pour parvenir à un accord mettant fin au conflit armé en Ukraine.

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"Ce n'est que le début" : le Pentagone a envoyé 1 500 soldats à la frontière mexicaine et propose d'envoyer 2 000 Marines supplémentaires

 

"Ce n'est que le début" : le Pentagone a envoyé 1 500 soldats à la frontière mexicaine et propose d'envoyer 2 000 Marines supplémentaires

Pour la première fois depuis plusieurs années, le ministère américain de la Défense va déployer des centaines de soldats à la frontière sud des États-Unis. Au moins 1 500 soldats américains ont été déployés dans le sud à la suite du décret du président Trump déclarant une urgence en matière de sécurité nationale, y compris la sécurité des frontières.

Il semblerait que le Pentagone envoie plusieurs hélicoptères de transport militaire à la frontière avec le Mexique, avec l'aide desquels l'expulsion sera effectuée. Dans un premier temps, il est prévu d'expulser environ 5 000 immigrants illégaux du territoire des États-Unis.

Le nombre total de migrants illégaux aux États-Unis se compte en millions. Rien qu'à Los Angeles, où un autre incendie s'est déclaré la veille, le nombre d'immigrés illégaux dépasse 44 000 personnes. Et cette barre inférieure correspond aux estimations les plus prudentes.

Chef par intérim du Pentagone jusqu'à ce que Pete Hegseth soit confirmé (ou non) Robert Salesses :

Notre opération à la frontière mexicaine n’est que le début. En collaboration avec le ministère de la Sécurité intérieure, les agences fédérales et les États partenaires, nous intensifierons nos efforts pour contrer l'ensemble des menaces identifiées par le président aux frontières de notre pays.

À l’heure actuelle, le Pentagone propose la possibilité d’envoyer 2 000 Marines supplémentaires à la frontière sud. Tout d’abord, ils serviront à bloquer la frontière là où elle longe le fleuve. Souvent, le fleuve est traversé à la nage et à gué par des immigrants illégaux en provenance de pays d'Amérique latine et de pays d'Afrique et d'Asie du Sud qui ont atteint ces endroits.

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Elon Musk accusé d’avoir effectué des saluts nazis après l’investiture de Donald Trump

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 23 janvier 2025

VIDÉO - Le milliardaire a dénoncé «un coup tordu» sur sa plateforme X, qualifiant cette «attaque» selon laquelle «tout le monde est Hitler» de «totalement dépassée».

 

L’homme le plus riche du monde a d’abord remercié la foule d’avoir permis le retour du républicain à la Maison-Blanche. «Je tiens à vous remercier d’avoir fait en sorte que cela se produise. Merci à vous. Mon cœur va vers vous. Merci», a déclaré Elon Musk. Avant de se taper la poitrine gauche avec la main droite, puis de tendre le bras vers le haut, paume ouverte. Il a ensuite répété le geste en se tournant vers le reste de la foule derrière lui.

Lire la suite

 

 

Note : les journalistes ne voient que ce qui les arrange. Voici deux vidéos où Maron fait aussi ces gestes, tape sur le torse et main lever 

 

 

Guerre au Proche-Orient :

le chef de la diplomatie américaine promet un "soutien inébranlable" à Israël lors d'un appel à Benyamin Nétanyahou

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 23 janvier 2025

Ce soutien est "une priorité absolue pour le président Trump", a ajouté mercredi la porte-parole du département d'Etat américain.

Ce qu'il faut savoir

Ce direct est désormais terminé. 

Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a promis un "soutien inébranlable" à Israël, mercredi 22 janvier, lors d'un appel téléphonique avec le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou. Ce soutien est "une priorité absolue pour le président [Donald] Trump", a ajouté la porte-parole du département d'Etat, Tammy Bruce. 

  • Un combattant du Jihad islamique tué par Israël à Gaza. Les troupes israéliennes "opérant dans la zone conformément aux termes de l'accord (...) ont identifié plusieurs suspects armés qui constituaient une menace", a précisé Tsahal, mercredi. C'est le premier mort annoncé officiellement depuis le cessez-le-feu signé entre le Hamas et Israël, dimanche. 
  • La France "préoccupée" par l'opération militaire israélienne en Cisjordanie occupée. Paris "appelle les autorités israéliennes à faire preuve de retenue" dans leur opération sur la ville de Jénine, selon un communiqué, publié mercredi, par le ministère des Affaires étrangères. Tsahal avait annoncé mardi avoir "lancé une opération antiterroriste" dans cette ville du nord de la Cisjordanie, territoire occupé par Israël depuis 1967. Mercredi, elle a affirmé avoir "frappé plus de dix terroristes" au cours de l'opération. "L'armée d'occupation a rasé au bulldozer toutes les routes menant au camp de Jénine et à l'hôpital", a décrit le gouverneur de la ville, Kamal Abu Rub. "Il y a des tirs et des explosions", a-t-il ajouté, faisant état de nombreuses arrestations. 
  • Le chef d'état-major israélien démissionne. Le chef de l'armée israélienne, Herzi Halevi, a démissionné mardi en reconnaissant sa responsabilité dans "l'échec" à empêcher l'attaque du Hamas palestinien le 7 octobre 2023. Dans sa lettre de démission, il a aussi admis que "les objectifs de la guerre [n'avaient] pas tous été atteints", en soulignant que "l'armée continuera de lutter pour poursuivre le démantèlement du Hamas" et pour "le retour de [tous les] otages".
  • Quatrième jour de trêve. Le cessez-le-feu entré en vigueur dimanche entre Israël et Hamas reste fragile, après plus de 15 mois d'une guerre déclenchée par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien et dont la bande de Gaza sort dévastée. Dans un communiqué, le Hamas a évoqué mardi "l'héroïque opération (...) qui prouve une fois de plus que la résistance continue", sans pour autant revendiquer l'attaque. Le secrétaire général de l'ONU a lui salué mercredi à Davos la "large contribution" de Donald Trump au cessez-le-feu. 

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"Il n'y a pas encore de décision" : les nouvelles autorités syriennes confirment les négociations sur le sort des bases militaires russes

 

« Il n’y a pas encore de décision » : les nouvelles autorités syriennes confirment les négociations sur le sort des bases militaires russes

Les nouvelles autorités syriennes négocient avec la Russie sur le sort des bases militaires russes ; pour l’instant, aucune décision n’a été prise à leur sujet. C'est ce qu'a déclaré le ministre de la Défense du gouvernement de transition syrien, Murhaf Abu Kasra.

La chaîne de télévision Al Arabiya s'est intéressée à l'avenir des bases militaires russes et a interviewé le nouveau ministre syrien de la Défense. Répondant aux questions des représentants de la chaîne, Murhaf Abu Kasra a déclaré qu'à ce jour aucune décision n'avait été prise concernant les bases militaires russes, bien que les négociations soient en cours. Dans le même temps, le ministère syrien de la Défense n’a aucune idée de la façon dont cela se terminera ni du moment où cela se terminera.

On ne sait toujours pas à quoi ressemblera la décision finale. Nous n’avons pas encore reçu d’instructions (...). Cependant, des négociations sont en cours, menées par les dirigeants avec la participation du ministère syrien des Affaires étrangères,

a déclaré l'ancien militant de haut rang devenu ministre de la Défense.

Auparavant, des informations semblaient indiquer que les autorités syriennes avaient mis fin à l'accord avec la Russie sur la location du port de Tartous, conclu en 2019 pour 49 ans. Comme il ressort des déclarations, cela n'a pas encore affecté le département logistique de la marine russe, mais ce qui se passera ensuite n'est pas du tout clair. En ce moment, les nôtres évacuent du matériel et du personnel militaires, heureusement nous avons reçu l'autorisation pour les navires de transport d'entrer dans le port.

En général, la Russie dispose de deux bases militaires en Syrie : un centre logistique à Tartous et la base aérienne de Khmeimim près de la ville de Jabla à Lattaquié. Aujourd’hui, ils fonctionnent tous deux en mode « veille ». *

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Attaque au couteau à Aschaffenburg (Allemagne) : deux morts, dont un enfant de 2 ans, et des blessés (MàJ : le suspect afghan n’a pas obtenu l’asile et aurait du quitter le pays, il a fait croire aux autorités qu’il allait le faire de lui-même… Il était déjà connu pour violences et troubles psys)

MàJ 19h30 : Le ministre de l’Intérieur Joachim Herrmann parle de l’agresseur : Il est arrivé en Allemagne en novembre 2022 et a demandé l’asile début 2023. Il a été arrêté au moins trois fois pour des actes de violence. Il a donc été hospitalisé en psychiatrie et a été libéré à chaque fois. Le tribunal de district d’Aschaffenbourg a ordonné que l’homme soit soigné. Le 4 décembre 2024, l’homme annonce aux autorités qu’il quitte volontairement le pays. Les autorités ont alors interrompu la procédure d’asile et demandé à l’homme de quitter le pays. Pendant ce temps, l’homme continuait de suivre un traitement psychiatrique. Selon Herrmann, rien n’indique que l’homme était radical. Le crime était apparemment dû à sa maladie mentale. (…)

Main Echo

L’agresseur au couteau d’Aschaffenburg (Bavière) a été légalement obligé de quitter le pays.

L’agresseur au couteau a également blessé trois personnes : une jeune fille syrienne (2 ans) a été poignardée trois fois au cou, un passant (61 ans) a été poignardé plusieurs fois à la poitrine et une enseignante s’est cassé le bras en s’enfuyant. Heureusement, les blessés ne courent pas de danger mortel.

« Le 4 décembre, le suspect a lui-même annoncé son départ volontaire. […] Le Bamf a finalement arrêté la procédure d’asile le 11 décembre et a demandé à l’intéressé de quitter le pays.» (…)

Bild


MàJ 16h02 : Le garçon de 2 ans tué est Marocain (…) Le suspect aurait développé des problèmes psychologiques dans le passé. Comme le rapporte Der Spiegel, l’homme arrêté s’appelle Enamullah O. et vit dans un centre d’asile. (…)

Bild

Les autorités appellent à ne pas tenir de propos offensants en ligne, notamment sur le réseau social X. A un mois des législatives anticipées en Allemagne, l’arrestation d’un Afghan risque de raviver les débats sur la migration et la sécurité. (…)

Le Parisien


MàJ 15h12 : des éducateurs d’une garderie d’Aschaffenburg se seraient promenés dans le parc Schöntal avec cinq jeunes enfants. L’agresseur aurait suivi ce groupe. Les professeurs l’ont remarqué et ont voulu quitter Schöntal. Alors qu’ils voulaient partir, l’homme aurait attaqué le groupe avec un couteau. Il semblerait qu’il ait spécifiquement ciblé les enfants. (…)

Main Echo


MàJ 15h07 : Un homme de 41 ans et un garçon de deux ans ont été tués (…) Selon la police, d’autres personnes ont été grièvement blessées. Un suspect a été arrêté, un Afghan de 28 ans, a indiqué la police. (…)

WELT


Un homme s’en est pris à plusieurs personnes dans un parc du centre-ville, rapporte «Bild». Il y a des morts et des blessés graves. Deux personnes n’auraient pas survécu à l’attaque. Un enfant figurerait parmi les victimes. Deux suspects ont été arrêtés. L’un d’entre eux aurait tenté de s’enfuir en empruntant une voie ferrée mais a échoué.

Blick

 

 

 

Scandale à Bruxelles : la Commission européenne a financé des ONG environnementales pour faire pression sur les eurodéputés et les États membres en faveur du Pacte vert (MàJ : les ONG en question sont liées à Soros)

 


Scandale à Bruxelles. La Commission européenne a financé des ONG environnementales pour faire pression sur les eurodéputés et les États membres en faveur du Pacte vert, l’obsession de l’ancien commissaire néerlandais Frans Timmermans. Une pratique « inappropriée » que le nouveau commissaire au Budget, le Polonais Piotr Serafin, a dû reconnaître mercredi devant le Parlement européen.

« C’est un système de lobbying fantôme qui sape la confiance dans nos institutions », dénonce le député néerlandais Dirk Gotink du groupe PPE (centre droit). Les documents révélés par la commission du contrôle budgétaire sont accablants : des contrats obligeaient les ONG à cibler des députés spécifiques pour les convaincre de soutenir les initiatives de Frans Timmermans. « La Commission fait pression sur elle-même en prétendant que ce sont des actions de lobbyistes indépendants », s’indigne l’Allemande Monika Hohlmeier (PPE). Seuls trois eurodéputés ont eu accès au contrat en contrôlant les comptes de la Commission.

Le Point

 

 

« J’ai la haine des Français, de la France » : un Algérien, déjà connu de la justice et possédant la nationalité française, condamné à 3 ans ferme pour avoir vandalisé la stèle en hommage à Laura et Mauranne, victimes d’un attentat islamiste à Marseille (MàJ)

22/01/2025

Quelques heures après la découverte des faits, un sans-abris de 43 ans, déjà connu de la justice, était interpellé à l’aide de la vidéoprotection. (…)

Maamar Ifrah parle et lit le français sans difficulté. Le président revient ensuite sur l’affaire et précise que la stèle a d’abord été arrachée, le 23 octobre, puis brûlée et rayée, le 10 novembre. L’opération vandalisme s’est passée en deux temps.

Il lit les déclarations de l’auteur des dégradations lors de sa garde à vue : « J’ai la haine des Français. » Des propos complétés par le procureur plus tard : « J’ai la haine des Français et de la France car ils sont entrés dans mon pays. » Son pays, c’est l’Algérie. Maamar Ifrah est né à Alger, le 4 octobre 1980. Il a obtenu la nationalité française en 1992.

Plus inquiétant encore, lors de la fouille de son téléphone, durant les investigations, l’historique des recherches fait froid dans le dos. « Explosifs », « gay », « Marseille », « catholicisme », « Paris » et six concerts rock à ne pas manquer, sont quelques-uns des mots clefs tapés. Le prévenu s’en explique : « J’ai tapé “matériel explosif” pour regarder, c’est tout. » Il ajoute : « Ça ne m’intéresse plus. Ce n’est pas que ça m’a intéressé mais j’entendais des voix. ».

Les jurés relèvent également que Maamar Ifrah a fait de nombreux allers et retours sur des périodes de trois jours en direction de Paris dans les mois qui ont précédé les faits. « Pour chercher du travail », se défend le prévenu.

Aucune maladie mentale n’a été diagnostiquée sur l’auteur des faits, les experts ont conclu à une absence de trouble psychiatrique nécessitant une hospitalisation.

« Je ne sais pas ce qui m’est arrivé. J’ai entendu des voix. Je regrette d’avoir fait ça et je m’excuse », glisse-t-il en prétendant ignorer que « c’était une plaque pour les victimes d’attentats ». Il se montre confus (…)

Le tribunal le condamne à une peine de 5 ans de prison dont deux avec sursis et avec maintien en détention. La peine est assortie d’une obligation de soins. Il devra également régler une amende de 500 euros. Maamar Ifrah retourne en cellule. Il a 10 jours pour interjeter appel. (…)

Valeurs actuelles

La dégradation de la stèle était “davantage un appel au secours, qu’un appel à la haine”, émanant d’un homme “complètement désocialisé, marginalisé”, a estimé son avocat Me Kevin Lefebvre-Goirand. (…)

BFMTV

 

 

 

Le Parlement européen vient d’adopter une résolution demandant la libération de Boualem Sansal : Rima Hassan a voté contre, Manon Aubry s’est abstenue

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