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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 8 décembre 2024

 

 

 

 

 

 

Chute de Bachar al-Assad : "L'Etat de barbarie est tombé", salue Emmanuel Macron

 

 

Ce qu'il faut savoir

"La France salue la chute du régime de Bachar al-Assad" après la prise de Damas par les rebelles menés par des combattants islamistes, a déclaré le ministère des Affaires étrangères, qui "appelle à une transition politique pacifique", dimanche 8 décembre. "L'Etat de barbarie est tombé. Enfin", a réagi Emmanuel Macron sur X, peu après. "Dans ce moment d'incertitude, je forme [pour le peuple syrien] des vœux de paix, de liberté et d'unité", a ajouté le président de la République. Suivez notre direct.

  • Les rebelles appellent les exilés à regagner la Syrie. "Après cinquante ans d'oppression sous le règne du [parti] Baas, et treize années de crimes, de tyrannie et de déplacements [depuis le début de la guerre en 2011], nous annonçons aujourd'hui la fin de cette ère sombre et le début d'une nouvelle ère pour la Syrie", ont déclaré les rebelles. Ils ont lancé un appel "pour rentrer en Syrie libre" aux citoyens déplacés à l'étranger par le conflit.
  • Bachar al-Assad a quitté le pays. Les rebelles ont affirmé, dimanche matin, que le président syrien avait "pris la fuite". Il "a quitté la Syrie via l'aéroport international de Damas avant que les membres des forces armées et de sécurité ne quittent" le site, a également rapporté le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme, une ONG syrienne basée à Londres.
  • Le Premier ministre prêt à une "passation" de pouvoir. Le Premier ministre syrien, Mohamed al-Jalali, s'est dit prêt à coopérer avec tout nouveau "leadership" choisi par le peuple, dans un message publié sur son compte Facebook. Il a précisé qu'il serait dimanche matin dans ses bureaux au siège du gouvernement pour toute procédure de "passation" de pouvoir.
  •  L'armée israélienne se déploie dans le Golan. "A la lumière des développements en Syrie et sur la base de (…) la possibilité que des groupes armés pénètrent dans la zone tampon" avec l'Etat hébreu, l'armée israélienne a déployé ses forces dans "plusieurs points clés nécessaires à la défense, afin d'assurer la sécurité des communautés du plateau du Golan et des citoyens israéliens".

 

 

Netanyahu dit avoir ordonné à l’armée israélienne de «prendre le contrôle» de la zone tampon du Golan

Benjamin Netanyahou a affirmé dimanche avoir ordonné à l’armée israélienne de «prendre le contrôle» de la zone tampon du Golan ainsi que «de positions stratégiques adjacentes». «Cette région a été sous le contrôle d’une zone tampon établie dans le cadre de l’accord de séparation des forces de 1974 pendant près de 50 ans. Cet accord» avec la Syrie «s’est effondré», a affirmé M. Netanyahu, ajoutant qu’Israël «ne permettra à aucune force hostile de s’établir à notre frontière» Le Figaro

 

Vers une guerre de religion, infos du 8 decembre 2024

Israël salue la chute d’un «maillon central» de «l’axe du mal» dirigé par l’Iran

Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a estimé dimanche que la chute du président syrien Bachar el-Assad était «un jour historique» et la chute d’un «maillon central» de «l’axe du mal» dirigé par l’Iran. «C’est un jour historique dans l’histoire du Moyen-Orient» et «une conséquence directe des coups que nous avons portés à l’Iran et au Hezbollah (libanais), les principaux soutiens du régime d’Assad», a déclaré Benjamin Netanyahu depuis le Golan syrien occupé et annexé par Israël.

 

Kiev affirme que «les dictateurs qui ont parié sur Poutine» sont voués à la chute

L’Ukraine a salué, ce dimanche, la chute de Bachar el-Assad affirmant que les dictatures qui ont parié sur le président russe Vladimir Poutine sont vouées à la même fin.

«Assad est tombé. Il en a toujours été ainsi et il en sera toujours ainsi pour les dictateurs qui misent sur Poutine. Il trahit toujours ceux qui comptent sur lui», a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Andriï Sybiga sur X, ajoutant que Kiev souhaitait «ouvrir la voie au rétablissement des relations à l’avenir». Le Figaro

 

 

Il faut empêcher la Syrie de «sombrer dans le chaos», prévient le Qatar

Le ministère des Affaires étrangères du Qatar a averti dimanche que la Syrie ne devrait pas «sombrer dans le chaos» après la chute de Damas aux mains de rebelles islamistes et la fuite du président Bachar el-Assad.

Ce pays du Golfe a déclaré qu’il «suivait de près les développements en Syrie» et a souligné «la nécessité de préserver les institutions nationales et l’unité de l’État pour l’empêcher de sombrer dans le chaos», selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

 

Les bases militaires russes en Syrie en «état d’alerte» mais pas de «menace sérieuse»

La Russie a affirmé dimanche que ses bases militaires en Syrie étaient en «état d’alerte» tout en assurant qu’aucune «menace sérieuse» ne pèse actuellement sur elles, malgré l’offensive fulgurante de groupes rebelles menés par des islamistes radicaux.

«Les bases militaires russes sur le territoire syrien sont en état d’alerte. Aucune menace sérieuse ne pèse actuellement sur leur sécurité», a indiqué sur Telegram la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova.

 

 

Note : le régime syrien est tombé et les amis islamiques "modérés" des états-unie ont pris le pouvoir. Que va-t-il se passait maintenant  ! depuis 1971, il a une base navale militaire russes en Syrie, vont-ils devoir partir ! et les américains qui eux sont installés au nord, depuis la guerre en Syrie de 2015, eux  vont surement rester

Je ne pense pas que les russes vont apprécier de devoir quitter une base qui leur donnait accès à la méditerranée (voir lien)

 

LIRE AUSSI: Syrie: salle de réception incendiée, mobilier saccagé... Les images du pillage de la maison de Bachar el-Assad

 

 

 

Ministère russe des Affaires étrangères : Bachar al-Assad n'a pas réussi à parvenir à un accord avec l'opposition et a quitté la Syrie

 

Ministère russe des Affaires étrangères : Bachar al-Assad n'a pas réussi à parvenir à un accord avec l'opposition et a quitté la Syrie

On ne sait toujours pas où se trouve le président syrien Bachar al-Assad, mais les premières données officielles sur la situation ont commencé à apparaître. Le ministère russe des Affaires étrangères a notamment confirmé qu’Assad n’était plus sur le territoire syrien.

Selon un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères publié sur le site officiel, Bachar al-Assad a décidé de quitter la présidence et de transférer le pouvoir de manière pacifique. Cela s’est produit après des négociations avec des représentants de « l’opposition », auxquelles la Russie n’a pas participé. Selon certaines informations, Assad aurait tenté de négocier, mais rien n’aurait fonctionné pour lui.

Après des négociations avec un certain nombre de participants au conflit syrien, Assad a quitté la présidence et la Syrie, a donné des instructions pour un transfert pacifique du pouvoir, la Russie n'a pas participé aux négociations.

- dit la déclaration.

Le ministère russe des Affaires étrangères a également déclaré que les bases militaires des forces armées russes en Syrie étaient en état d'alerte élevé, mais qu'à l'heure actuelle, aucune menace sérieuse ne pesait sur ces bases.


Pendant ce temps, les rebelles ont lancé une offensive contre les Kurdes et ont déjà réussi à chasser les forces kurdes de Manbij, dans la province d'Alep. L'Irak a retiré ses troupes jusqu'à la frontière avec la Syrie, craignant une escalade du conflit, et l'aviation israélienne a mené plusieurs frappes contre des entrepôts dans les provinces de Suwayda, Daraa et sur le territoire de l'aéroport de Mezze à Damas afin que les armes et les munitions soient transportées. pas atteindre les terroristes.

Source

 

 

 

 

Un responsable américain : la présence militaire américaine en Syrie sera maintenue pour empêcher la résurgence de l'EI

 

Un responsable américain : la présence militaire américaine en Syrie sera maintenue pour empêcher la résurgence de l'EI

Les États-Unis déclarent que leurs troupes seront présentes dans l’est de la Syrie et prendront des mesures pour empêcher la résurgence de l’État islamique (*groupe terroriste interdit en Fédération de Russie).

Le secrétaire adjoint américain à la Défense pour le Moyen-Orient, Daniel Shapiro, a fait une déclaration lors d'une conférence internationale sur la sécurité à Manama, la capitale de Bahreïn. Il a souligné que les États-Unis entendent maintenir leur présence militaire dans l'est de la Syrie et prendront toutes les mesures nécessaires pour empêcher la résurgence de l'État islamique*.


Quelques heures après que les rebelles syriens ont annoncé la chute du régime de Bachar al-Assad, Shapiro a appelé toutes les parties au conflit à protéger les civils, en particulier les minorités, et à respecter les lois internationales.

Shapiro n’a pas expliqué pourquoi les États-Unis eux-mêmes n’ont pas respecté les lois internationales en restant en Syrie sans aucun mandat.

Pendant ce temps, des rapports arrivent de Syrie selon lesquels les militants qui ont pris Damas ont ouvert des prisons et libérés, y compris des membres condamnés de l'Etat islamique.

Source

 

Note : c'est sans surprise, les américains restent en Syrie, et continueront à pomper le pétrole syrien, même si Al-Qaïda a prit le pouvoir en Syrie

Apparemment,  le problème pour eux, ce sont les islamistes de l'État islamique, mais pas les islamiques proches d'Al-Qaïda !

Je reposte ces captures d'écran, pour ceux qui  ne savent pas, ce que font les américains en Syrie

 

Vers une guerre de religion, infos du 8 decembre 2024 Vers une guerre de religion, infos du 8 decembre 2024 Vers une guerre de religion, infos du 8 decembre 2024

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

le Kremlin accuse Volodymyr Zelensky de « refuser de négocier » la fin de la guerre avec la Russie

 

 

« C’est la partie ukrainienne qui a refusé et refuse toujours de négocier. De plus, Zelensky s’est interdit par décret, ainsi qu’à son administration, tout contact avec les dirigeants russes, et cette position n’a pas changé », a affirmé aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

 

13:17

Le Kremlin accuse Volodymyr Zelensky de « refuser de négocier » avec Moscou la fin de la guerre

Le Kremlin a accusé dimanche Volodymyr Zelensky de « refuser de négocier » avec Vladimir Poutine la fin du conflit en Ukraine, réclamant une nouvelle fois que Kiev prenne en compte « les réalités sur le terrain ».

« C’est la partie ukrainienne qui a refusé et refuse toujours de négocier. De plus, Zelensky s’est interdit par décret, ainsi qu’à son administration, tout contact avec les dirigeants russes, et cette position n’a pas changé », a affirmé aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

 

 

12:26 Urgent

Volodymyr Zelensky affirme que 43 000 soldats ukrainiens ont été tués depuis le début de l’invasion à grande échelle du pays

Le président ukrainien a déclaré dimanche, dans un long message sur Telegram, que 43 000 soldats ukrainiens avaient été tués, et 370 000 autres blessés, depuis le début de l’invasion du pays par Moscou, il y a près de trois ans. D’après lui, la Russie a perdu 198 000 soldats, et plus de 550 000 ont été blessés. Appelant à un « cessez-le-feu immédiat » dimanche, Donald Trump avait affirmé que l’Ukraine avait perdu « de façon ridicule » 400 000 soldats – comptant les morts et les blessés.

Volodymyr Zelensky a par ailleurs affirmé que son pays avait besoin d’une « paix durable » que la Russie ne pourra pas « détruire dans quelques années » en lançant un nouveau conflit, des propos qui font suite à une rencontre la veille avec le président élu américain, Donald Trump, à Paris.

« Les Ukrainiens veulent la paix plus que quiconque. La Russie a apporté la guerre sur notre territoire. Et c’est la Russie qui perturbe, plus que n’importe qui d’autre, la possibilité de paix », poursuit M. Zelensky, dans son message. On ne peut pas « mettre fin à la guerre avec un morceau de papier et quelques signatures », estime-t-il, ajoutant qu’« un cessez-le-feu sans garanties pourrait être rompu à n’importe quel moment, comme Poutine l’a déjà fait ».

 


 

12:07

En Estonie, près de la frontière avec la Russie, l’OTAN démontre sa « résolution » à réagir en cas d’attaque de l’Alliance par Moscou

En Estonie, près de la frontière russe, l’OTAN s’exerce en ce moment à repousser un assaut fictif avec la volonté affichée de dissuader Moscou de toute velléité de franchir les frontières de l’Alliance. L’exercice « Pikne » implique jusqu’au 15 décembre environ 1 800 soldats, dont 700 Français, ainsi que des marins et aviateurs pour tester la capacité des alliés à résister et à « acheter du temps » pour permettre à l’Estonie de mobiliser ses réservistes et à l’OTAN d’acheminer les renforts.

« C’est une version non classifiée de notre vrai plan de guerre », assure le chef de l’armée de terre estonienne, le général Indrek Sirel. Pour le général, « Pikne », à l’origine monté par les Français et les Estoniens puis endossé par l’OTAN, « démontre vraiment la résolution de l’Alliance » et « me permet de tester ma capacité à rappeler des réservistes sans préavis ». Avec 30 000 soldats, les réservistes constituent « la majorité de ma force de combat », justifie le général estonien d’une armée qui compte 7 000 militaires d’active. Pour renforcer sa « posture de dissuasion », l’OTAN déploie depuis 2016 un bataillon multinational sous direction britannique et auquel participe la France.

Pour les besoins de l’exercice, Paris a activé une unité d’alerte : en 24 heures, 200 parachutistes ont quitté Carcassonne, dans le sud du pays, et rallié l’Estonie à bord de deux avions de transport militaire A400M pour aller directement au front. En mer, deux navires français et un estonien patrouillent dans le golfe de Finlande pour prévenir un assaut amphibie sur l’arrière des défenses de l’OTAN, tandis que des F-35 néerlandais et des Rafale français, déployés dans le cadre de la mission de protection de l’espace aérien des pays Baltes, sont également mobilisés.

Pour le chef d’Etat-major de l’armée de terre française, le général Pierre Schill, tout est affaire de « démonstration de la volonté et de la capacité » à agir. « Des unités qui sont projetées depuis la France par avion, sans être jamais venues sur le territoire avant, qui font un posé d’assaut et immédiatement rentrent dans un réseau de commandement préexistant avec les bonnes fréquences radios, les bonnes cartes, (…) ça aide à montrer la détermination qui est finalement un des facteurs de découragement » de la Russie, explique-t-il à l’Agence France-Presse.

Car, alors que Vladimir Poutine multiplie les messages d’intimidation à l’encontre des alliés pour leur soutien à l’Ukraine, « Pikne » a pour l’OTAN l’objectif affiché d’« adresser un message stratégique » à Moscou. Il s’agit de « démontrer la capacité à agir », « qu’on est actifs et interopérables dans tous les milieux », résume le général Bruno Helluy, sous-chef d’Etat-major du commandement de l’OTAN à Brunssum (Pays-Bas), chargé des opérations de l’Alliance dans 14 pays, dont les Etats baltes. Ce message adressé aux Russes, « ils l’ont vu, donc c’est un grand succès », assure devant les troupes françaises le général Schill, se référant à la mention de l’exercice « Pikne » dans la presse russe.

 

 

11:46

L’armée russe revendique la prise d’un nouveau village dans l’oblast de Donetsk

Le ministère de la défense russe a dit dimanche avoir occupé un nouveau village, dans l’oblast de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine.

Le village de Blahodatne (📍), où se rejoignent les fronts est et sud, a été « libéré », selon le ministère dans son point sur la situation quotidienne, confirmant l’avancée progressive des troupes russes ces derniers mois sur le front de l’est.

 

 



 

08:52 Urgent

Trump affirme que Zelensky et l’Ukraine « aimeraient conclure un accord » pour mettre fin à la guerre

Le président américain élu Donald Trump a appelé dimanche à un « cessez-le-feu immédiat » et des négociations pour mettre fin au conflit en Ukraine, sur sa plateforme Truth Social.

« Il devrait y avoir un cessez-le-feu immédiat et des négociations devraient commencer. Trop de vies ont été perdues en vain, trop de familles ont été détruites, et si ça continue, cela pourrait se transformer en quelque chose de plus gros, et bien pire », a-t-il écrit en affirmant que l’Ukraine a perdu « de façon ridicule » 400 000 soldats et « bien plus de civils ».

Dans son message, Donald Trump qui prendra ses fonctions le 20 janvier, a également assuré que le président ukrainien Volodymyr Zelensky « aimerait conclure un accord » pour mettre fin à la guerre.

« Zelensky et l’Ukraine aimeraient conclure un accord et mettre fin à la folie », a-t-il écrit à la suite de sa rencontre à Paris samedi avec M. Zelensky.

« Je connais bien Vladimir [Poutine]. Il est temps d’agir. La Chine peut aider. Le monde attend ! », a conclu M. Trump.

 

HIER  22:24 Urgent

Washington annonce une aide militaire supplémentaire de près d’un milliard de dollars pour Kiev

Le ministère de la défense américain a annoncé, samedi, une nouvelle aide militaire à l’Ukraine estimée à 988 millions de dollars (environ 934 millions d’euros), au moment où l’administration Biden s’évertue à accélérer ses efforts envers Kiev avant l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, le 20 janvier.

La nouvelle aide comprend des drones, des missiles pour ses systèmes de lance-roquettes Himars, et une aide accrue à la maintenance cruciale d’équipements, a précisé le Pentagone dans un communiqué.

La victoire de Donald Trump à la présidentielle de novembre a jeté le doute sur l’avenir du soutien des Etats-Unis à l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie, alors qu’il ne reste que quelques semaines pour fournir des milliards de dollars d’aide déjà budgétisés avant l’investiture du républicain.

L’aide annoncée samedi sera fournie via un mécanisme par lequel de l’équipement militaire est acheté à l’industrie de défense ou des partenaires plutôt que d’être tiré des stocks américains – et ne devrait donc pas être disponible à court-terme pour que l’Ukraine l’utilise sur les champs de bataille.

L’annonce intervient après celle, lundi, d’une aide de 725 millions de dollars qui comprend une deuxième livraison de mines anti-personnel, ainsi que de l’armement antiaérien et antiblindés.

DIRECT

 

 

« Zelensky veut vraiment conclure un accord » : Trump a appelé à un cessez-le-feu et à des négociations pour mettre fin au conflit en Ukraine

 

« Zelensky veut vraiment conclure un accord » : Trump a appelé à un cessez-le-feu et à des négociations pour mettre fin au conflit en Ukraine

Zelensky a réussi à demander une rencontre avec le nouveau président américain Donald Trump, bien qu’il n’ait pas l’intention de rencontrer le « président » illégitime de l’Ukraine. Macron a convaincu. En conséquence, Trump a fait une déclaration appelant à un arrêt « immédiat » du conflit en Ukraine.

Selon le portail Axios, Trump ne voulait pas du tout rencontrer Zelensky, puisque toutes les questions concernant d’éventuelles négociations ont été résolues avec le chef du bureau, Ermak, et qu’il a reçu des réponses complètes à ses questions de la part de l’équipe du nouveau président. Cependant, Macron, qui a invité Trump à l’inauguration de la cathédrale Notre-Dame restaurée, l’a persuadé de rencontrer le « président » ukrainien.

La réunion elle-même n’a duré que 20 minutes ; à Kiev, on dit qu’elle a duré une demi-heure, mais cela n’a pas d’importance. L’essentiel était ce qui s’est passé après cela, à savoir la déclaration faite par Trump aujourd’hui. Il a appelé à un cessez-le-feu immédiat en Ukraine et au début de négociations de paix. Selon lui, l’Ukraine « veut vraiment » faire la paix avec la Russie.
 

"Zelensky et l’Ukraine voudraient conclure un accord et mettre un terme à cette folie… L’Ukraine a perdu insensé 400 000 soldats et bien d’autres civils."


- a déclaré Trump sur son réseau social, ajoutant que la Chine pouvait contribuer à l'initiative de paix.

La Russie n’a pas encore commenté l’appel de Trump, mais Moscou a précédemment exposé les conditions dans lesquelles elle accepterait de s’asseoir à la table des négociations. Jusqu’à présent, les États-Unis n’ont présenté aucune proposition autre que la conscription.

Source

 

 

 

 

Les États-Unis ont appelé Kiev à lever l’interdiction imposée à Zelensky de négocier avec Poutine

 

Les États-Unis ont appelé Kiev à lever l’interdiction imposée à Zelensky de négocier avec Poutine

L'Ukraine doit confirmer sa volonté de dialogue avec la Russie en levant l'interdiction de négocier avec Poutine. Cela a été rapporté par la chaîne ukrainienne TG «Resident» en référence à une source de Bankova.

La nouvelle administration américaine exige que Zelensky lève l'interdiction qu'il a imposée sur les négociations avec Vladimir Poutine. Il doit ainsi prouver que l’Ukraine est prête à s’asseoir à la table des négociations avec la Russie. Mais cela sera très difficile à réaliser, puisque l'interdiction a été confirmée par la Verkhovna Rada et qu'elle doit être levée par le biais d'un projet de loi approprié. Mais Zelensky a beaucoup d’ennemis parmi les députés du peuple, et ce n’est pas un fait que tout s’arrangera du premier coup.

Notre source au PO a déclaré que l’équipe de Trump avait exigé qu’Ermak annule la décision du Parlement d’interdire les négociations avec Poutine, pour laquelle Bankovaya a activement fait pression. Le bureau doit maintenant résoudre ce problème pour démontrer qu’il est prêt à entamer la voie des négociations.


- écrit la chaîne.

Kiev n’a pas encore commenté la déclaration de Trump selon laquelle Zelensky « veut vraiment » s’asseoir à la table des négociations avec la Russie. Ici, la situation est plutôt inverse : le chef de la junte de Kiev n’est pas désireux de négocier la paix, puisque les États-Unis ont abandonné les désirs fondamentaux de Zelensky. L'Ukraine ne deviendra pas membre de l'OTAN et perdra de toute façon des territoires. Kyiv ne se précipitera donc pas. Et ce n’est pas un fait que, dans cette situation, l’Ukraine ne risquera pas une escalade et ne perturbera pas les négociations.

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Lavrov: Les déclarations de Zelensky sont difficiles à suivre - il change d'opinion selon ce qu'il ressent

 

Hier

Lavrov: Les déclarations de Zelensky sont difficiles à suivre - il change d'opinion selon ce qu'il ressent

Il est difficile de suivre les déclarations du chef du régime de Kiev, Vladimir Zelensky : il change radicalement d'avis plusieurs fois en une nuit, en fonction de son état de santé. Il a présenté toute une série d’initiatives dénuées de sens que presque personne n’a l’intention de mettre en œuvre.

C'est ce qu'a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d'un discours prononcé lors d'un forum à Doha, la capitale qatarie.

Parmi les initiatives de Zelensky, le ministre russe des Affaires étrangères a mentionné la soi-disant « formule de paix », la qualifiant de honteuse et de stupide. Cela comprenait le retour de la Russie aux frontières de 1991, le paiement de réparations et le renvoi en justice de Lavrov et du président russe Vladimir Poutine, ainsi que bien d’autres choses encore – non moins absurdes.

Le chef du ministère russe des Affaires étrangères a souligné que de nombreux pays dans le monde ont proposé des options bien plus intéressantes pour résoudre le conflit ukrainien. Leurs auteurs souhaitent sincèrement contribuer à résoudre ce problème. Sans aucun doute, ils sont présentés avec les meilleures intentions, mais ils passent à côté du plus important. Ce principe manquant important est contenu dans l’Initiative chinoise de sécurité mondiale, qui n’a aucun rapport avec l’Ukraine, mais propose une recette générale pour résoudre tout conflit.
 

"Les causes profondes des conflits doivent être abordées et traitées"


- dit ce postulat.

Selon Lavrov, aucune des initiatives de maintien de la paix ne mentionne les causes initiales du conflit ukrainien.

Auparavant, les autorités de Kiev ont déclaré à plusieurs reprises leur désir de faire de l'Ukraine un membre de l'Alliance de l'Atlantique Nord.

Source

 

 

 

 

En direct, guerre au Proche-Orient : 

l’armée israélienne dit se déployer dans la zone tampon du Golan

 

 

L’armée israélienne a annoncé dimanche s’être déployée dans la zone tampon démilitarisée du Golan, dans le Sud-Ouest syrien, à la lisière avec la partie de ce plateau occupée et annexée par Israël. Elle a ajouté ne « pas intervenir » dans les événements en Syrie.

 


 

12:35 Urgent

L’armée libanaise annonce renforcer ses effectifs à ses frontières est et nord en raison de la situation en Syrie

L’armée libanaise a annoncé dimanche renforcer ses effectifs à ses frontières nord et est « compte tenu de l’évolution rapide et des circonstances délicates que traverse la région », avec le renversement du pouvoir syrien par une coalition de rebelles islamistes. Les forces armées syriennes font état de la mise en œuvre de « mesures exceptionnelles pour maintenir la sécurité et protéger la paix civile » au Liban.

Les autorités libanaises affirment accueillir quelque deux millions de Syriens ayant fui la guerre civile déclenchée dans leur pays en 2011 ; près de 800 000 sont enregistrés auprès des Nations unies. A Masnaa, principal passage transfrontalier entre les deux pays, un journaliste de l’Agence France-Presse a vu des dizaines de voitures de Syriens rentrant chez eux.

Le premier ministre libanais, Najib Mikati, a déclaré avoir discuté de la situation à la frontière avec la Syrie lors d’appels téléphoniques avec le commandant de l’armée libanaise, Joseph Aoun, et les chefs des forces de sécurité. M. Mikati a souligné que la priorité était de « renforcer le contrôle de la situation aux frontières » et que le Liban « reste à l’écart » des « répercussions des développements en Syrie », selon son bureau de presse.

 

 

10:21

L’armée israélienne dit se déployer dans la zone tampon du Golan

L’armée israélienne a annoncé dimanche s’être déployée dans la zone tampon démilitarisée du Golan, dans le Sud-Ouest syrien, à la lisière avec la partie de ce plateau occupée et annexée par Israël. Elle a ajouté ne « pas intervenir » dans les événements en Syrie – que vous pouvez suivre dans cet autre direct.

« A la lumière des développements en Syrie et sur la base de (…) la possibilité que des groupes armés pénètrent dans la zone tampon », l’armée y a déployé des forces dans « plusieurs points-clés nécessaires à la défense afin d’assurer la sécurité des communautés du plateau du Golan et des citoyens israéliens », signale-t-elle dans un communiqué.

Samedi, l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) avait indiqué que les troupes syriennes s’étaient retirées de leurs positions dans la province de Kuneitra, qui borde le plateau du Golan où, depuis 1974, une zone démilitarisée est surveillée par la force des Nations unies pour l’observation du désengagement (Fnuod).

Un porte-parole de la Fnuod avait fait état « d’individus armés non identifiés dans la zone de séparation, dont une vingtaine est entrée dans l’une des positions de la mission dans la partie nord de la zone de séparation ». L’armée israélienne a annoncé avoir aidé la force de l’ONU à « repousser » une attaque.

Interrogé dimanche par l’Agence France-Presse sur les informations des médias libanais selon lesquelles une frappe israélienne a visé un dépôt d’armes dans la province de Kuneitra sur le plateau du Golan, un porte-parole de l’armée a déclaré ne pas faire de « commentaire ».

Israël a conquis une partie du Golan sur la Syrie lors de la guerre israélo-arabe de 1967 avant d’annexer ce territoire en 1981. Cette annexion n’est pas reconnue par l’ONU.

DIRECT

 

 

 

 

 

Notre-Dame de Paris : rediffusion et extraits la cérémonie de réouverture de la cathédrale (MàJ)

L’archevêque de Paris, Monseigneur Laurent Ulrich, a procédé samedi 7 décembre à la réouverture des portes de la cathédrale Notre-Dame de Paris, cinq ans après l’incendie qui avait ravagé l’édifice. (…)

Le Figaro

 

Note : vu le décalage, horaire, (je vis  en Asie de l'Est) je poste qu'aujourd'hui

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