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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 3 aout 2023

 

 

 

 

La RPDC considère les actions de la France comme hostiles

Vers une guerre de religion, infos du 3 aout 2023
 

Les actions de la France, qui transfère ses avions dans la région et mène des exercices avec la Corée du Sud sans tenir compte de la situation extrêmement tendue dans la péninsule coréenne, ne peuvent être considérées que comme une intention de traiter la RPDC comme un «ennemi», selon Ryu Kyung-Chul, chercheur à la Société nord-coréenne Corée-Europe, publiée par l’Agence télégraphique centrale de la RPDC (CTAC).

La France et la Corée du Sud ont organisé leur premier exercice aérien conjoint la semaine dernière dans le cadre de la mission française Pégase, qui consiste à déployer des moyens aériens en Asie de l’Est et du Sud pour démontrer l’engagement du pays en faveur de la sécurité dans la région Asie-Pacifique.

L’exercice, qui s’est déroulé sur deux jours, les 25 et 26 juillet, comprenait un ravitaillement en vol et un vol conjoint à la mémoire des soldats de l’ONU tués pendant la guerre de Corée de 1950-1953.

La Corée du Nord a fermement condamné l’exercice, le qualifiant d’acte «irresponsable» et «provocateur» qui a accru les tensions dans la péninsule coréenne épicée et menacé la sécurité de la RPDC.

Comme le note le chercheur, la situation dans la péninsule coréenne est déjà extrêmement tendue et «au bord de la guerre» depuis la création du groupe consultatif nucléaire (NCG) par les États-Unis et la Corée du Sud, ainsi que le transfert d’armes nucléaires stratégiques dans la région.

«C’est à un tel moment que la France a redéployé ses avions de chasse dans la péninsule coréenne, qui est de jure sous la loi martiale – cela ne peut s’expliquer autrement que par l’intention de traiter la RPDC comme un ennemi», a déclaré l’universitaire, ajoutant qu’il aimerait voir la réaction de la France si des avions étrangers apparaissaient au-dessus du détroit du Pas de Calais (alias le détroit de Douvres) et «menaçaient la sécurité de Paris».

Selon Ryu Kyung-chul, la France devrait «régler les problèmes en suspens chez elle», où les «divisions de la société» s’aggraveraient, au lieu de «gaspiller son énergie» dans l’APAC. Il est à noter que ce n’est pas la première fois que la France déplace des navires de guerre et des avions de patrouille dans les eaux entourant la péninsule coréenne.

«Le fait que la France ait fait entrer des avions de combat dans l’espace aérien des mandataires sud-coréens sans tenir compte de l’état d’esprit de notre peuple et de la situation dans la péninsule coréenne, qui est au bord de la guerre, montre qu’elle n’a toujours pas tiré de leçon de la façon dont elle a inutilement versé du sang pour le bien d’un soi-disant «allié» pendant la dernière guerre de Corée», indique le rapport.

source : News Front

 

SEOUL, 02 août -- Suite à l'exercice aérien entre la France et la Corée du Sud au sud de la péninsule coréenne, effectué le 25 juillet dernier à l'approche du 70e anniversaire de l'armistice de la guerre de Corée (1950-1953), la Corée du Nord a demandé ce mercredi à la France d'arrêter cet «acte irresponsable» et la «provocation militaire non dissimulée».

Dans un article signé par le chercheur Ryu Kyong-chol de l'Association Corée-Europe, relayé par l'Agence centrale de presse nord-coréenne (KCNA), la Corée du Nord a critiqué la France qui a mené un exercice militaire aérien dans la péninsule coréenne et l'a estimé comme une provocation qui «menace la sécurité et les intérêts de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), en soutien à la politique d'hostilité des Etats-Unis à son égard.»

L'article sous le titre «La provocation de se faire payer sûrement» a indiqué que la situation de la péninsule coréenne est «au bord d'une guerre nucléaire» avec le déploiement d'un «sous-marin stratégique nucléaire géant des Etats-Unis chargé de têtes nucléaires capables de réduire un pays en cendres», ajoutant : «A ce moment précis, la France a envoyé des avions de chasse dans la péninsule coréenne, techniquement en guerre. Alors, il n'y a pas d'autre interprétation possible que cet acte de la France vise à considérer la RPDC comme un ennemi.»

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Cet exercice conjoint intervient alors que la Corée du Sud s'efforce d'approfondir sa coopération avec l'OTAN en matière de sécurité et que la Corée du Nord procède à des essais de missiles balistiques

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Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol et le secrétaire général de l'OTAN Jens Stoltenberg ont convenu d'établir de nouveaux partenariats de coopération dans 11 domaines, dont la lutte contre le terrorisme et la cyberdéfense.

Dans la déclaration faite par le bureau présidentiel sud-coréen, il est indiqué que, dans le cadre du développement de la coopération, la Corée du Sud participera aux exercices antiterroristes de l'OTAN et qu'une unité de consultation sera créée avec l'OTAN.

Lire l'article

 

Note : Biden tente maintenant de nous emporter dans une autre guerre que l'Ukraine, un autre front en Asie

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le risque d’une catastrophe nucléaire est « important et grandissant », alerte la presse médicale internationale…

 

 

L’ESSENTIEL

  • La défense aérienne ukrainienne a abattu une quinzaine de drones qui se dirigeaient vers Kiev dans la nuit de mercredi à jeudi, a annoncé le chef de l’administration militaire de la capitale, Serguiï Popko. L’alerte aérienne, la 820e dans la ville depuis le début de l’invasion russe en février 2022, a duré trois heures.
  • La nuit précédente, l’armée ukrainienne avait affirmé avoir abattu plus de dix drones dans le ciel de la capitale. La chute de débris avait causé de légers dégâts matériels, mais aucun blessé. En revanche, des attaques de drones russes avaient provoqué d’importants dégâts mercredi à l’aube sur des sites portuaires ukrainiens à Izmaïl, sur le Danube, des infrastructures devenues cruciales pour les exportations de céréales.
  • La France a d’ailleurs accusé mercredi la Russie de faire « délibérément » courir un risque à la sécurité alimentaire mondiale « en détruisant des infrastructures essentielles » aux exportations de céréales. Paris va donc poursuivre son aide aux « pays les plus touchés par l’insécurité alimentaire générée par l’agression russe ».
  • La Russie a affirmé mardi avoir déjoué une vague d’attaques de drones aériens et marins contre Moscou, la Crimée et la flotte russe en mer Noire. Un gratte-ciel du quartier financier de la capitale a été touché pour la deuxième fois en quelques jours.

 

 

06h55 : Paris accuse Moscou de mettre à mal la sécurité alimentaire mondiale

La France a accusé mercredi la Russie de faire « délibérément » courir un risque à la sécurité alimentaire mondiale « en détruisant des infrastructures essentielles » aux exportations de céréales. « Elle ne fait que rechercher son propre intérêt aux dépens des populations les plus vulnérables en faisant monter les prix des produits agricoles et en essayant d’empêcher un de ses principaux concurrents d’exporter ses productions », à savoir l’Ukraine, a réagi Anne-Claire Legendre, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, dans un communiqué.

Les frappes russes, qui ont visé mercredi matin des infrastructures portuaires ukrainiennes sur le Danube, ont « endommagé » près de 40.000 tonnes de céréales destinées à l’exportation, a annoncé le ministre ukrainien des Infrastructures, Oleksandre Koubrakov.

 

HIER

17h40 : La Russie appelle au « dialogue » pour éviter une « dégradation de la situation » au Niger

La Russie a appelé mercredi au « dialogue » pour éviter une « dégradation de la situation » au Niger, pays sahélien déstabilisé par un coup d’Etat militaire survenu la semaine dernière, mettant en garde contre toute intervention armée étrangère.

« Nous considérons qu’il est extrêmement important de ne pas permettre une nouvelle dégradation de la situation dans le pays, nous pensons qu’il est urgent d’organiser un dialogue national pour rétablir la paix civile, assurer la loi et l’ordre », a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova, citée par les agences de presse russes.

DIRECT

 

 

 

 

L'intervention militaire au Niger "dernière option sur la table", selon la CEDEAO

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 3 aout 2023

Une intervention militaire au Niger serait "la dernière option sur la table" pour rétablir le Président Mohamed Bazoum, renversé par un coup d'État il y a une semaine, a estimé le 2 août un responsable de la CEDEAO, le bloc d'Afrique de l'Ouest dont les dirigeants ont menacé d'utiliser "la force".

"L'option militaire est la toute dernière option sur la table, le dernier recours, mais nous devons nous préparer à cette éventualité", a déclaré le commissaire de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) chargé des affaires politiques et de la sécurité, Abdel-Fatau Musah.

Il s'exprimait à l'ouverture d'une réunion des chefs d'état-major ouest-africains à Abuja, au Nigeria, qui doit s'achever vendredi 4 août, deux jours avant l'expiration dimanche d'un ultimatum de la CEDEAO exigeant un retour à l'ordre antérieur.

À Niamey, le chef des militaires qui ont pris le pouvoir, le général Abdourahamane Tiani, a déclaré "rejette(r) en bloc les sanctions" et "refuse(r) de céder à toute menace", dans un discours télévisé, à la veille de la commémoration de l'indépendance du pays. "Nous refusons toute ingérence dans les affaires intérieures du Niger".

La CEDEAO, présidée par le Président nigérian Bola Tinubu, a imposé de lourdes sanctions à Niamey. Elle a donné jusqu'à dimanche aux miltaires au pouvoir pour rétablir Mohamed Bazoum dans ses fonctions, sous peine d'utiliser "la force".

Une délégation de la CEDEAO, conduite par le Nigérian Abdulsalami Abubakar, se trouve actuellement à Niamey pour "négocier" , a indiqué un des responsables de l'organisation.

Source
 

 

 

L’armée du Nigeria précise dans quel cas elle interviendra au Niger

Vers une guerre de religion, infos du 3 aout 2023

Le Nigeria qui assurera la présidence tournante de la CEDEAO en 2024, serait prêt à apporter son soutien militaire aux autorités démocratiques du Niger si cette organisation régionale prend une telle décision, a annoncé le 1er aout le général Christopher Musa, le chef d’état-major nigérian, à la Radio France Internationale.

Si la CEDEAO le décide, l’armée nigériane interviendra au Niger, où un coup d’État s’est produit le 26 juillet, a déclaré le 1er aout le chef des armées du Nigeria, le général Christopher Musa à la Radio France Internationale (RFI).

"Nous défendons la démocratie et cela doit continuer. Et nous allons faire exactement ce que dit le Président. Nous sommes prêts et dès que nous recevrons l'ordre d'intervenir, nous le ferons. Nous sommes absolument sûrs de réussir", a affirmé le général Musa à la RFI.

Le chef des forces nigérianes a qualifié la situation actuelle au Niger d’inacceptable et a réitéré l’intention des autorités du pays, prononcée peu avant par le Président nigérien, de ne pas soutenir "une prise de contrôle du pouvoir par les militaires".

"Tout le monde prend des mesures de rétorsion et notre Président est en discussion avec ses homologues des pays voisins", a appuyé le général.

Cette déclaration du général Christopher Musa survient la veille de la réunion des chefs d’états-majors des pays membres de la CEDEAO prévue du 2 au 4 août à Abuja au sujet de la situation au Niger.

Un défi pour le Nigeria, futur dirigeant de la CEDEAO

Élu président de la CEDEAO le 9 juillet, le Président du Nigéria Bola Tinubu remplacera à ce poste, à partir de 2024, le dirigeant bissau-guinéen. Le coup d’État au Niger représenterait ainsi un défi pour les autorités nigérianes tenues davantage responsables auprès de la CEDEAO de la résolution de conflits dans la région.

Les forces armées nigérianes comptent près de 215.000 soldats et disposent de nombreux équipements. Elles occupent la quatrième place sur le continent en termes de potentiel militaire.

Coup d’État au Niger et ultimatum de la CEDEAO

Depuis le 26 juillet, le pouvoir au Niger est aux mains du Conseil national de sauvegarde de la patrie (CNSP).

Le général Abdourahamane Tiani, chef de la garde présidentielle s’est proclamé nouveau chef d’État, en annonçant le renversement de Mohamed Bazoum, élu en 2021. Le 1er août, le CNSP a commencé à procéder à certaines nominations et a rouvert les frontières avec cinq pays. Le Président Bazoum reste retenu à Niamey.

Le 30 juillet, la CEDEAO a émis un ultimatum forçant les autorités autoproclamées nigériennes de rétablir l’ordre constitutionnel dans le pays. Le cas échéant, la CEDEAO se laisse le droit de recourir à une intervention militaire au Niger, selon un communiqué de l’organisation.

Spoutnik

 

 

 

Macron conduit la France dans l’impasse en Afrique

 
 

Est-ce que le président français actuel est un bon stratège politique ? À l’aune de la déroute de la France au Niger, au Sahel et plus largement sur le continent africain tant sur le point humain, militaire, et géopolitique, la question se pose

Une alliance de pays africains contre la France est bien réelle. Au-delà de la perte fulgurante du rôle de la politique française en Afrique, alors que le continent comprend de nombreux pays francophones, se pose la question des répercussions sur le sol français des populations africaines envers la France. Les révoltes de la fin du mois de juin dernier dans tout le pays ont montré la réalité d’un éclatement dans l’Hexagone. Dans ce désastre géopolitique français se trouve aussi la question sensible de la sécurité énergétique de la France et de l’Europe avec le gazoduc Nigéria-Europe. 

Un bilan désastreux pour la France en Afrique

«Emmanuel Macron dans l’impasse au Sahel», titre Le Point, rajoutant : «Le coup d’État au Niger vient de lui en infliger une de plus». Le Point stipule : «Le coup d’État dont a été victime le président du Niger le 27 juillet plante le dernier clou dans le cercueil de la politique macronienne au sud du Sahara». Pour le média français, la politique d’Emmanuel Macron en Afrique donne les cartes stratégiques françaises à la Russie : «Vladimir Poutine n’aurait pu rêver meilleur contexte pour son sommet Russie-Afrique qu’il tenait au même moment à Saint-Pétersbourg».

Mali

Au Mali, la France a perdu rapidement pied sous la politique d’Emmanuel Macron. Observateur Continental rapportait que le Mali a changé de langue officielle, abandonnant le français. Mikhail Gamandiy-Egorov, expert de l’Afrique pour Observateur Continental signalait que les Maliens ne veulent plus de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation du Mali (MINUSMA) n’étant plus utile pour le Mali d’autant plus que pour les Maliens, «c’est une fabrication française, dirigée par des militaires hexagonaux et certains de leurs alliés. Et, elle continue d’entretenir la guerre et la peur au Mali, ainsi que de soutenir les terroristes». 

Pour rappel, l’opération militaire française, Barkhane, ayant duré plus de 8 ans en terre malienne, a pris fin en novembre 2022. Observateur Continental notait déjà en février 2022, que «les opérations militaires française et occidentale Barkhane et Takuba en terre malienne – c’est terminé». 

Si Emmanuel Macron annonçait la fin Barkhane et Takuba, il clamait que les soldats français resteront présents dans les pays voisins. France Bleu, répétant les déclarations officielle de Paris d’alors, affirmait que l’annonce du retrait de Barkhane et Takuba «est sans conséquence sur le dispositif militaire français dans la région, car les soldats français se sont déjà retirés du Mali, et 3000 militaires français restent déployés au Niger, au Tchad et au Burkina Faso». 

La vision stratégique de la France se limitait, donc, à des mots sortis de l’imagination de technocrates français, et montre en raison de la situation actuelle au Sahel que les responsables politiques en France sont des stratèges de papier qui adorent les grandes déclarations pendant que la réalité géopolitique du terrain avance, elle, à grand pas. 

Mikhail Gamandiy-Egorov notait judicieusement au départ de Barkhane que «les élites occidentales, étant dans l’incapacité la plus totale de s’adapter au monde contemporain multipolaire, risquent à terme de devoir faire face à des évacuations humiliantes de leurs troupes et mercenaires – en Afrique, comme à d’autres endroits du monde – avec en prime l’obligation d’observer la joie des populations des pays concernés qui les accompagneront jusqu’à la piste de décollage». Et, c’est exactement ce qui se passe actuellement avec le Niger et dans d’autres pays africains.

Burkina Faso

Le Point rappelle l’évacuation des forces spéciales du Burkina Faso, il y a juste un an. Observateur Continental avisait, «après plusieurs échecs du régime français en terre africaine», que «l’effet domino se poursuit de manière attendue», et que «désormais et suite aux revendications populaires», c’était au tour des autorités du Burkina Faso d’officialiser la demande de départ des troupes françaises du sol national». «Le système néocolonial de la Françafrique semble définitivement en chute finale», observait justement l’expert de l’Afrique pour Observateur Continental Mikhail Gamandiy-Egorov. 

Là, encore, le président français, Emmanuel Macron, avait demandé des «clarifications». Le gouvernement du Burkina Faso lui confirmait avoir demandé le retrait des troupes françaises. Observateur Continental remémorait le fait que «les mobilisations populaires souverainistes, le panafricanisme et la réalité multipolaire internationale ont complètement mis à mal la présence des nostalgiques de l’unipolarité sur le sol africain, ainsi que l’interférence fortement néfaste de ces derniers dans les affaires des États de l’Afrique». Si Emmanuel Macron avait lu Observateur Continental, il aurait peut-être pu éviter cette nouvelle déroute au Niger. Et, pas seulement pour ce pays africain, mais aussi envers la politique de la France avec la Russie, un pays qui pouvait donner son gaz à bon marché à la France.

Puis le Burkina Faso et le Mali ont déclaré «être prêts à se battre aux côtés du Niger face à la menace d’intervention militaire [de la France et de ses alliés]». «La journée historique du 26 juillet 2023, constitue pour l’ensemble des nigériens une journée de regain d’espoir et de revitalisation des élans pour un Niger qui reprend confiance en lui-même», martèle l’Agence nigérienne de presse rapportant que la population soutient les militaires qui ont chassé le président soutenu par Emmanuel Macron. Pour les Nigériens les rebelles sont des patriotes. Bref, la bande du Sahel n’est plus sous la houlette de la France.

Gazoduc Nigéria-Europe et uranium

En mai dernier, le Financial Times présentait Mohamed Bazoum comme un allié de la France qui défend la présence militaire de la France au Sahel. Des plans étaient prévus pour la réalisation du gazoduc Nigéria-Europe. La seule question était savoir de s’il allait passer par le Maroc ou l’Algérie. Avec la perte probable de l’import d’uranium du Niger pour ses centrales nucléaires en France, la question de l’arrivée de gaz via le gazoduc Nigéria-Europe est en question alors que la France a décidé de bannir le gaz bon marché russe. 

Là, encore, la politique d’Emmanuel Macron en Afrique risque d’avoir des conséquences sur les Français, sans oublier que les émeutes de juin dernier ont montré une fissure violente de la société française. Est-ce que la libération des États africains de la France va entraîner aussi, du fait de la politique française d’Emmanuel Macron, la France dans l’impasse ? 

source : Observateur Continental

 

 

Pour «faire nation» et «réconcilier les Français», Macron promet «une initiative politique d’ampleur» à la rentrée. L’Élysée précise que le Rassemblement national et la France insoumise en seront exclus.

Comme il l’a confié au Figaro Magazine, le président veut rencontrer les chefs de partis d’opposition, à l’exception de ceux du RN et de LFI, mais les contours de l’invitation sont encore flous.

Emmanuel Macron en avait fait l’annonce à ses équipes quelques jours avant de s’envoler pour l’Océanie, avait échangé à ce sujet avec la Première ministre Élisabeth Borne. Mais il n’avait pas mis au parfum ses ministres ou les cadres de la majorité, cueillis à froid, au creux de l’été, par cette confidence au Figaro Magazine : « Je vais prendre à la fin du mois d’août une initiative politique d’ampleur ». Avec pour objectif de tenter de réunir les conditions pour, selon l’ambition affichée, « faire jusqu’en mai 2027 », alors que son quinquennat demeure embourbé faute de majorité absolue à l’Assemblée nationale. Signal qu’après avoir demandé sans succès à Élisabeth Borne d’« élargir la majorité », le chef de l’État entend reprendre lui-même les choses en main.

« Une initiative politique d’ampleur » : la formule est hyperbolique, mais l’annonce demeure sibylline. Selon l’Élysée, Emmanuel Macron compte lancer « une série de rencontres » avec les chefs de partis et présidents de groupes parlementaires « pour déterminer des projets sur lesquels cheminer ensemble ». Ni le lieu ni le format de ces échanges ne sont encore arrêtés — très probablement au Palais, mais pas nécessairement sur le mode du rendez-vous bilatéral.


 


Flou aussi concernant les contours et la teneur de cette « initiative ». Elle vise, selon Macron, à « essayer de réunir autour d’un projet clair et simple tous ceux qui veulent s’y retrouver, sans leur demander d’adhérer à tout ». Plus énigmatique encore, sa référence aux « grands événements sportifs » (Coupe du monde de rugby et Jeux olympiques et paralympiques) à venir… En réalité, les discussions devraient porter sur des thèmes « programmatiques », dit son entourage, tels que l’écologie, les services publics, le travail, l’ordre, le progrès, l’immigration.

Un recours au 49.3 envisagé sur l’immigration

Une certitude, en revanche, cette invitation ne concerne que les représentants de « l’arc républicain », selon l’Élysée. Comprendre qu’elle exclut le Rassemblement national de Marine Le Pen et La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon. « Encore une initiative qui ne sert à rien, du pur blabla, pour cacher la brutalité sociale de la politique macroniste, pour tenter de mettre à l’écart la France insoumise et diviser sa principale opposition, la Nupes », réplique la députée LFI Aurélie Trouvé.

 

(…) Le Parisien

 

 

Emmanuel Macron vante la mise en oeuvre d’une “politique de peuplement” afin de disperser les migrants dans toute la France : “Nous avons toujours été un pays d’immigration et nous continuerons de l’être” (MàJ)

Immigration, émeutes… le chef de l’État a accordé une interview au Figaro Magazine, en marge de son déplacement en Nouvelle-Calédonie fin juillet.

« Ces émeutes ne sont pas un sujet d’immigration actuelle, précise-t-il. C’est un sujet plus large de difficultés de certaines villes, de difficultés socio-économiques, de difficultés d’intégration dans certains cas et de fonctionnement de la démocratie à l’heure des réseaux sociaux. »

Alors que son ministre de l’Intérieur avait dressé le profil des émeutiers, disant étudier les statistiques, le président de la République a calmé le jeu. « Quand on regarde les choses de manière lucide, 90 % des personnes interpellées sont des Français. Après, on n’a pas de statistiques ethniques dans notre pays. Il y a des Français issus de l’immigration, d’autres qui ne sont pas issus de l’immigration. »

Le chef de l’État a livré quelques indices sur sa politique en matière d’immigration à la rentrée, sans livrer d’exclusivité fracassante. « Nous avons toujours été un pays d’immigration et nous continuerons de l’être », assure-t-il.

(…) Emmanuel Macron a en revanche vanté la mise en œuvre d’une « politique de peuplement » car il craint l’émergence en France de sociétés vivant « dos à dos ». « Beaucoup de gens disent Non, nous, on ne veut pas voir de nouveaux arrivants chez nous. Moi, je pense qu’on intègre d’autant mieux qu’on le fait de manière diffuse. Si vous mettez toutes les familles ukrainiennes qui arrivent dans les mêmes endroits, vous ne les intégrez pas », explique-t-il.

Le Parisien

 

 

La Commission européenne assume sa promotion du voile islamique : “chaque service veille” à ce que les visuels “soient soigneusement sélectionnés, soutiennent les objectifs des actions de communication (…) et visent à obtenir les résultats escomptés”

Question de l’eurodéputé Annika Bruna (ID/RN) du 26 avril 2023 à la Commission européenne :

Stoppons la banalisation du voile islamique dans les campagnes de communication des institutions européennes

Désormais, de nombreuses institutions européennes ou paneuropéennes mettent sur pied des campagnes de communication soutenant officiellement le port du voile islamique:

en novembre 2021, le Conseil de l’Europe lançait la campagne intitulée «La liberté dans le hijab», cofinancée par l’Union européenne;

– en septembre 2022, le compte Twitter de la Commission européenne @EUErasmusPlus utilisait l’image d’une fillette portant un foulard islamique pour illustrer le Prix européen de l’enseignement innovant;

– en janvier 2023, l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne publiait également une photo présentant une femme voilée dans une campagne sur la protection des droits humains.

De nombreuses autres publications, financées par l’argent du contribuable européen, soutiennent ouvertement ce symbole de soumission de la femme. Elles sont une insulte envers toutes les femmes persécutées dans le monde parce qu’elles refusent le voile.

  1. Comment la Commission européenne peut-elle prétendre défendre la liberté des femmes et promouvoir leur soumission par le voile islamique? Estime-t-elle que le voile est conforme aux valeurs européennes?
  2. Si tel n’est pas le cas, des enquêtes internes sont-elles menées au sein des services concernés pour vérifier que l’intégrité des agents à l’origine de ces campagnes n’a pas été compromise par des puissances étrangères ?

Question n°E-001356/2023 du 26 avril 2023

Réponse du 28 juillet 2023 donnée par M. Reynders (Renew / MR – Belgique) au nom de la Commission européenne :

La Commission s’attache à promouvoir et à faire respecter les valeurs de l’UE et les droits fondamentaux consacrés à l’article 2 du traité sur l’Union européenne et dans la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après la «charte»). La Commission est déterminée à combattre, y compris au moyen de campagnes de communication et de ses programmes de financement, toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les origines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convictions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle, tel qu’il est énoncé à l’article 21 de la charte.

La législation sur le port de vêtements religieux en public relève de la compétence des États membres et est soumise au contrôle juridictionnel des juridictions nationales et de la Cour européenne des Droits de l’homme.

Chaque service veille à ce que les messages et les visuels publiés sur le site web de la Commission, sur les médias sociaux et dans tout type de communication soient soigneusement sélectionnés, soutiennent les objectifs des actions de communication et visent à obtenir les résultats escomptés.

Réponse de la Commission du 28 juillet 2023

 

Note;  les "valeurs" de l'Union européenne, leurs droits fondamentaux, leurs 10 commandements, leurs lois "divines", messianiques, mais sans Dieu. Ils pensent qu'ils vont mener le monde vers une égalité universelle, un monde de paix et sans guerre, mais tout va leur échapper, leur idéologie politique, leur religion séculière va s'écrouler et tous les emporter. Il me tarde que ce jour arrive, il me tarde de les voir se faire balayer par leur propre création sociale  

 

 

 

 

 

Affaire Hédi : L’avocat général requiert le maintien du policier de la BAC en détention. Celui-ci affirme avoir utilisé son LBD sans viser la tête contre deux individus encapuchonnés qui tentaient de lancer un projectile sur les policiers (MàJ)

Six policiers placés en garde à vue suite aux émeutes

03/08/23

Le policier mis en examen dans l’enquête sur l’agression violente du jeune Hedi à Marseille risque de rester en détention provisoire. Devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence, l’avocat général a formulé une demande en ce sens lors de l’audience qui s’est tenue ce jeudi matin. La décision finale sera rendue à 16 heures aujourd’hui.

 

Au cours de l’audience, le policier âgé de 35 ans a admis avoir fait usage de son lanceur de balle de défense (LBD) lors de l’intervention. Il a expliqué avoir vu deux individus encapuchonnés faire demi-tour, puis l’un d’eux a tenté de lancer un projectile sur les policiers en armant son bras poing fermé. C’est à ce moment-là qu’il a pris la décision de tirer une fois avec le LBD, assurant qu’il n’avait pas visé la tête.

L’avocat général a considéré que les déclarations du policier reconnaissant l’utilisation du LBD apportent une perspective à l’affaire, mais il a souligné le risque de concertation frauduleuse, justifiant ainsi la demande de détention provisoire pour préserver l’intégrité de l’enquête jusqu’à l’interrogatoire.

Actuforcesdelordre

23/07/23

Il y a une victime, et c’est malheureux, concède l’un de ses collègues à la division Nord. Ce soir-là, la mission était de rétablir l’ordre sans interpeller, car les geôles étaient pleines, mais on a dû faire face à un niveau de violence exceptionnel.

La Provence


21/07/23

Une source bien informée évoque près de 400 arrêts maladies déjà comptabilisés, rien que sur Marseille. “D’autres communes du sud sont concernées par cette mobilisation qui s’est répandue assez vite depuis jeudi”, confie une autre source policière. “Le mouvement pourrait continuer à s’étendre ailleurs en France”.

Actu17

 

 

« On m’a déjà insulté de mécréante, de sale p*te » : changer de tenue, éviter des quartiers, rentrer en Uber et autres… des Lyonnaises qui vivent le harcèlement sexuel et sexiste au quotidien témoignent

Leur quotidien est rythmé par les insultes, les remarques, les comportements déplacés, voire des agressions physiques et des attouchements sexuels.

(…) actu Lyon donne la parole à des femmes qui ont préféré, de force et malgré elles, changer leurs habitudes, leur comportement et leurs tenues vestimentaires pour tenter d’échapper au fléau du harcèlement. Afin de protéger l’anonymat des témoins, les prénoms ont été modifiés.

J’ai vécu ça tout de suite, j’avais l’habitude de mettre de jolies jupes, pas forcément très courtes. Mon école était près de Saxe, je me faisais suivre, insultée, embêtée. Très vite, j’ai changé mes tenues, maintenant, je m’habille comme un sac. On m’a déjà insulté de mécréante, de sale pute, on m’a fait de la drague lourde en me disant que « j’étais fraiche, bonne »…

Emilie*, une Lyonnaise de 23 ans

(…) D’autres stratagèmes sont utilisés par les femmes qui témoignent : éviter certains quartiers comme la Guillotière, la place Bellecour, Vaise, Terreaux, rentrer en Uber, partager sa géolocalisation avec des proches, moins sortir le soir, rentrer chez soi avec un homme, être au téléphone dans la rue… (…)

Peu importe l’endroit, il y aura toujours un homme pour vous emmerder. J’ai été harcelée ou agressée, pêle-mêle, à Grange Blanche en allant au travail à 7h, à Bellecour par un contrôleur TCL en début de soirée, à la Poste de Valmy, devant la bibliothèque Part-Dieu, en plein cœur du 3ᵉ, etc.

Aline*, une Lyonnaise de 25 ans

« Il y a de tout, mais toujours des hommes. Aussi bien des jeunes que des vieux papys, des marginaux ou des représentants de l’autorité », assure Aline.

Plus catégorique, Emilie soutient que « ce sont toujours les mêmes profils de harceleur ». Des « hommes de 17 à 25 ans, jeunes, et issus de l’immigration, seuls ou dans des grands groupes ».

(…) Elle assure ne pas être engagée politiquement mais que « l’immigration est en cause » et « que certaines cultures traitent très différemment les femmes ». « Je n’étendrai pas forcément mon raisonnement à tous les hommes », dit-elle. (…)

Les femmes sont aussi souvent confrontées à la passivité des témoins.

« Soyez aux aguets, soyez vigilants. Les victimes n’osent pas toujours réagir et demander de l’aide. Si vous avez l’impression qu’une femme est dans une situation inconfortable, faites quelque chose. Peu de gens aident dans ces cas, pas même les flics, et c’est très pesant », déplore Aline. (…)

Je ne lâche pas ma bombe lacrymogène, je l’ai toujours avec moi même au travail. C’est une habitude que je systématise à Lyon. Je sais que c’est illégal mais je ne la lâche jamais. Pour une fille, les policiers ne sont pas stupides et tolèrent ça.

Marie*, 21 ans

(…) Ces trois Lyonnaises doivent désormais vivre au quotidien avec le harcèlement de rue, qu’elles estiment profondément implanté à Lyon.

Comme elles, huit femmes sur dix affirment connaître cette situation en France. (…)

Actu – Auvergne-Rhône-Alpes

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