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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 10 juin 2023

 

 

Guerre en Ukraine : En pleine contre-offensive, Zelensky salue « l'héroïsme » de ses troupes

 

L'ESSENTIEL

  • La contre-offensive ukrainienne, attendue depuis plusieurs semaines, semble avoir démarré. D'intenses combats ont été rencensés dans le sud de l'Ukraine et Vladimir Poutine affirme qu'une offensive a été repoussée dans la région de Zaporojie.
  • Un premier bilan de la destruction du barrage de Kakhovka fait état de cinq morts dans les territoires contrôlés par l'Ukraine, huit côté russe. L'eau pourrait continuer de monter pendant 10 jours dans les zone innondées.
  • L'Islande a fermé son ambassade à Moscou, une première pour un Etat occidental depuis le début de la guerre.
Vers une guerre de religion, infos du 10 juin 2023

15h23 : Zelensky fait état « d’actions contre-offensives » ukrainiennes sur le front

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fait état samedi « d’actions contre-offensives » de son armée sur le front, tout en refusant de dire s’il s’agissait de la grande attaque préparée depuis des mois par l’état-major à Kiev. « Des actions contre-offensives et défensives ont lieu en Ukraine, et je n’en parlerai pas en détail », a déclaré Volodymyr Zelensky lors d’une conférence de presse.

 

13h30 : Le Premier ministre canadien Justin Trudeau en visite surprise à Kiev

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau s’est rendu à Kiev samedi pour une visite surprise dans la capitale de l’Ukraine alors que ce pays est engagé dans de violents combats avec les forces russes dans le Sud. Justin Trudeau, qui doit rencontrer le président ukrainien Volodymyr Zelensky plus tard dans la journée, a déposé une couronne de fleurs près d’un mur affichant les visages des soldats tombés au combat à Kiev, tandis que jouait un orchestre militaire. Il a également visité une exposition de véhicules militaires détruits.

Le vice-ministre de la Défense ukrainienne Oleksandre Polichtchouk a remis au Premier ministre canadien un étui contenant un éclat d’obus provenant d’une roquette tombée sur Odessa, grand port ukrainien de la mer Noire. « C’est un petit souvenir de la façon dont l’Ukraine a subi les frappes de missiles russes », a déclaré Oleksandre Polichtchouk en anglais.

 

13h16 : La Russie promet une réponse après la fermeture par l’Islande de son ambassade à Moscou

La Russie a promis de répliquer samedi après la décision de l’Islande la veille de fermer son ambassade à Moscou en raison du conflit en Ukraine, devenant le premier pays à prendre une telle décision. « Toutes les actions anti-russes de Reykjavik susciteront inévitablement une réponse », a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. « Nous tiendrons compte de cette décision inamicale lorsque nous établirons nos relations avec l’Islande à l’avenir », a-t-il ajouté, estimant que « l’entière responsabilité de cette évolution incombe » à Reykjavik.

 

08h39 : Le niveau de l’eau en baisse à Kherson

Dans les zones inondées, chacun guette l’évolution du niveau des eaux. « Selon les prévisions, la montée des eaux peut durer encore 10 jours », a indiqué hier sur Telegram Vladimir Saldo, le chef de la partie sous occupation russe de la région de Kherson. De l’autre côté du fleuve, « 35 localités sont encore inondées sur la rive droite mais l’eau se retire progressivement », a déclaré dans la soirée Oleksandr Prokudin, le chef de l’administration ukrainienne de la région. A Kherson, la ville installée sur la rive droite du Dniepr, « le niveau était de 5,38 mètres ce matin, et dans la soirée il avait baissé à environ 5 mètres », a-t-il ajouté, sur la messagerie Telegram.

 

HIER

20h08 : Zelensky salue « l’héroïsme » de son armée

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué vendredi « l’héroïsme » de son armée, alors que d’intenses combats font rage dans le sud du pays, au point de faire penser à la contre-offensive de Kiev annoncée de longue date.

« A nos soldats, à tous ceux qui sont engagés dans des combats particulièrement durs ces jours-ci. Nous sommes témoins de votre héroïsme, et nous sommes reconnaissants pour chaque minute de votre vie », a lancé ce vendredi le chef d’Etat dans son message quotidien.

 

17h03 : Washington annonce une nouvelle aide militaire de 2 milliards de dollars pour Kiev

Les Etats-Unis ont annoncé vendredi une nouvelle tranche d’aide militaire à l’Ukraine, qui concerne principalement des équipements de défense antiaérienne et des munitions, d’environ 2 milliards de dollars.

Cela « illustre l’engagement continu en faveur des capacités critiques à court terme de l’Ukraine et des capacités durables des forces armées ukrainiennes pour défendre leur territoire et lutter contre l’agression russe sur le long terme », a précisé le Pentagone dans un communiqué.

DIRECT

 

Note : apparemment, je dis bien apparemment cette fois l'offensive ukrainienne à vraiment commencer. Maintenant, comme je le dis depuis un moment, cette offensive ne sera pas une surprise pour la Russie comme la première. Je pense que les Russes se sont préparé à cette offensive (reste à savoir s'ils ont suffisamment de munitions pour y répondre, vu qu'ils ont eut quelques problèmes d'approvisionnement sur le front)

 

 

Guerre en Ukraine: "La contre-offensive ukrainienne a commencé", confirme Vladimir Poutine

 

  • Le président russe évqaoue des combats intenses.
    Le président russe évqaoue des combats intenses. MAXPPP - Kremlin Pool

Le président russe estime que l'offensive ukrainienne, longtemps annoncée, a bien commencé.

"Nous pouvons affirmer avec certitude que cette offensive ukrainienne a commencé, et cela se traduit par l'utilisation de réserves stratégiques", a déclaré Vladimir Poutine lors d'une conférence de presse ce vendredi, rapporte le journal russe en ligne Kommersant.

Selon le président russe, d'intenses combats se poursuivent depuis cinq jours. Les autorités militaires russes d'occupation de l'Ukraine signalent en effet plusieurs attaques sur toute la ligne de front.

Les pertes de l'Ukraine "dépassent largement les indicateurs classiques" précise-t-il par ailleurs assurant qu'elles sont de l'ordre d'un rapport "trois contre un" pour l'armée russe.

"Efficacité des armes russes"

Des batailles intenses ont eu lieu les 7 et 8 juin, mais l'armée ukrainienne ne l'a emporté dans aucun secteur, assure Vladimir Poutine. Des échecs ukrainiens que le pensionnaire du Kremlin attribue "à l'efficacité des armes russes modernes".

Mais le potentiel offensif des troupes ukrainiennes est préservé, concède Vladimir Poutinen qui compte sur le "fait que les dirigeants militaires de la Russie évaluent de manière réaliste la situation actuelle et partiront de ces réalités lors de la construction de nos actions dans un avenir proche".

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine: "Violents combats" sur le front sud, les troupes de Poutine disent avoir repoussé plusieurs assauts ukrainiens

 

  • Les forces ukrainiennes lancent des attaques tous azimuts sur le front.
    Les forces ukrainiennes lancent des attaques tous azimuts sur le front. Ministère ukrainien de la Défense
Publié le

Les autorités militaires russes font face à de multiples assauts dans le sud de l'Ukraine.

"Au cours des dernières 24 heures, des unités russes du groupement tactique sud ont repoussé trois attaques ennemies dans la région de Lyssytchansk et cinq attaques dans la direction Aleksandro-Kalinovo", au sud-est du pays, assure ce vendredi son porte-parole Vadim Astafyev, cité par l'agence de presse russe TASS.

 

Dépôt de munitions

"L'ennemi a subi des pertes et trois véhicules de combat d'infanterie de ses forces d'attaque ont été détruits près de Bilohorivka" assure-t-il.

 

"L'artillerie russe a également anéanti un dépôt de munitions de l'armée ukrainienne près de la colonie de Bila Hora, où étaient amassés des effectifs des 114e et 110e brigades mécanisées dans des zones proches des colonies de Deleyevka et d'Ukrainskoye", poursuit-il.

Le groupement tactique des forces armées russe qui occupe le sud de l'Ukraine annonce également avoir détruit un système d'artillerie motorisé ukrainien 2S3 Akatsiya et un obusier D-30 près de la colonie d'Antonovka lors de tirs de contrebatterie. 

"Violents combats"

La Russie fait égalemement état de violents combats vendredi sur la partie sud du front ukrainien, où des blogueurs russes ont dit avoir observé pour la première fois des blindés allemands et américains, laissant entendre que la contre-attaque de l'Ukraine attendue de longue date était en cours.

En l'absence quasi-totale d'informations indépendantes en provenance des lignes de front et du silence strict de Kiev, il est impossible de déterminer si des attaques ukrainiennes ont été couronnées de succès.

La contre-offensive devrait impliquer des milliers de soldats ukrainiens entraînés et équipés par l'Occident. La Russie, qui a eu des mois pour préparer ses lignes de défense, affirme repousser des attaques depuis le début de la semaine.

Kyiv déclare que le gros de son effort n'a pas encore eu lieu.

En direction de la Crimée

Des blogueurs russes favorables à l'invasion ont fait état de combats violents vendredi sur le front de Zaporijjia près de la ville d'Orikhiv, en direction de la péninsule de Crimée, l'une des principales cibles potentielles de l'Ukraine.

Selon Ben Barry, chargé de recherche à l'Institut international d'études stratégiques, les informations rapportées par les blogueurs russes faisant état de blindés allemands ou américains fourniraient, si elles étaient confirmées, la première preuve que les nouvelles brigades ukrainiennes armées par l'Occident se sont jointes à la bataille.

Au total, Kyiv dispose de 12 brigades totalisant 50.000 à 60.000 hommes, prêtes à se lancer dans la contre-offensive. Neuf de ces brigades ont été armées et entraînées par l'Occident.

L'Ukraine interdit généralement aux journalistes de se rendre de son côté des lignes de front pendant les opérations offensives, insistant sur la nécessité de garder ses plans secrets.

Gains territoriaux autour de Bakhmout

Dans son dernier point sur les combats, la Russie dit avoir détruit 21 véhicules blindés ukrainiens au cours des dernières 24 heures, des informations invérifiables.

Kyiv a fait état de son côté de gains de territoires dans l'est, autour de la ville de Bakhmout, mais n'a pratiquement rien dit sur le front sud, que des commentateurs estiment être l'axe principal de son assaut destiné à se rapprocher de la côte et couper l'accès de la Russie à la Crimée.

Dans un message vidéo, le président ukrainien Volodimir Zelensky a remercié les troupes ukrainiennes et a réitéré ses précédentes affirmations sur les avancées à Bakhmout, sans donner d'autres détails.

"Pas le moment d'en parler"

"Ce n'est pas le moment d'en parler", a-t-il déclaré. Depuis des semaines, l'Ukraine attaque des cibles situées au cœur des territoires occupés par les Russes, en préparation de son assaut. Moscou intensifie de son côté ses frappes sur des villes ukrainiennes avec des missiles de croisière et des drones.

Moscou a par ailleurs déclaré vendredi que l'Ukraine avait frappé la ville russe de Voronej, blessant trois personnes. Kiev s'abstient de tout commentaire sur les informations faisant état d'attaques à l'intérieur de la Russie.

Source

 

 

 

Drones US pour Taïwan : «Une situation similaire à ce qui a été fait en Ukraine envers la Russie»

 
 

Les États-Unis devraient livrer à Taïwan quatre drones de reconnaissance capables de partager des données avec Washington et Tokyo, écrit le Financial Times. Auprès de Sputnik, un ex-militaire américain estime que cette stratégie provoquerait la Chine «dans une situation dangereuse». Pour cause, Pékin se rapprocherait encore plus de Moscou.

Promis par les États-Unis à Taïwan, quatre drones de reconnaissance MQ-9B Sea Guardian pourraient partager les données avec Washington et Tokyo, selon les informations du Financial Times.

Les possibles enjeux et les conséquences potentielles de ce transfert ont été avancés par un lieutenant-colonel de l’armée américaine à la retraite dans une interview accordée à Sputnik.

«Les discussions pour les vendre [à Taïwan] ont eu lieu pour des choses mineures en 2020», a fait remarquer Earl Rasmussen. «Alors maintenant, nous obtenons juste une confirmation de la finalisation de la vente et de l’interopérabilité qui va être mise en place», poursuit-il.

En effet, le Financial Times écrivait le 8 juin, citant des personnes proches du dossier, que les États-Unis, le Japon et Taïwan devraient partager les données en temps réel grâce à ces drones de reconnaissance navale. Par ailleurs, le ministère taïwanais de la Défense refuse pour l’heure de le confirmer.

Le réseau de drones US dans la région

Le MQ-9B Sea Guardian est un système d’aéronef piloté à distance (RPAS) qui peut être configuré pour mener diverses missions de renseignement, de surveillance et de reconnaissance maritimes, y compris la guerre anti-surface, la guerre anti-sous-marins, les contre-mesures aéroportées contre les mines, les missions de reconnaissance stratégique à longue portée, etc.

«Leur portée est supérieure à 1000 kilomètres. Ils peuvent donc assez bien s’interconnecter en fonction du nombre de personnes en vol en même temps», a noté l’ex-officier.

Il est conçu pour voler pendant plus de 30 heures, permettant ainsi aux forces interarmées d’informer en temps réel n’importe où dans le domaine maritime – de jour comme de nuit.

En plus de cela, ces appareils opéreraient aux côtés de la flotte japonaise d’avions anti-sous-marins et de surveillance maritime Lockheed P-3C Orion qui auraient été utilisés pour des missions de surveillance dans la mer de Chine méridionale, contestée depuis au moins 2015, suggère le journal The Diplomate.

De ce fait, il semble que les États-Unis construisent une sorte de réseau de drones dans la région, selon Rasmussen. Il a évoqué le fait que fin avril, Washington a déployé pour la première fois des drones meurtriers aux Philippines pour des exercices conjoints. Une paire de MQ-9 Reapers a participé à des missions de renseignement, de reconnaissance et de surveillance lors des manœuvres annuelles Balikatan.

«Alors maintenant, pensez à toute la géographie du Japon, de la Corée [du Sud], en passant par Taïwan, jusqu’aux Philippines», a indiqué le vétéran de l’armée américaine.

«Fondamentalement, ils essaient de mettre en place une présence ou une capacité de surveillance. Et nous naviguons déjà avec nos flottes, de manière assez discutable, grâce à la liberté de mouvement maritime. Il est par ailleurs à rappeler que [les États-Unis ne font] pas partie de l’accord de l’ONU, mais [ils] utilisent cela pour justifier l’envoi de navires [américains] vers la mer de Chine méridionale. Et maintenant, nous avons la mer de Chine orientale qui, j’en suis sûr, sera impliquée».

Dissuasion de la Chine

Selon Rasmussen, le renforcement militaire en cours des États-Unis dans la région Asie-Pacifique constitue une provocation claire contre la Chine, d’autant plus que Pékin considère Taïwan comme une partie inaliénable de la République populaire. Pendant ce temps, le projet de l’OTAN d’établir un bureau de liaison au Japon est susceptible d’ajouter de l’huile sur le feu.

Il faut garder à l’esprit que la Chine n’a jamais menacé d’envahir Taïwan, ni le Japon, ni aucun autre pays de la région, a souligné l’expert militaire, mentionnant que le renforcement américain dans la région n’a rien à voir avec la «défense».

Ces démarches semblent s’inscrire dans un plan global de dissuasion renforcée contre la Chine exprimé par l’amiral John C. Aquilino, commandant pour l’Indo-pacifique, en avril 2023.

Celui-ci a noté que ce département militaire prévoyait d’intensifier l’interopérabilité avec la force AUKUS, le partenariat diplomatique Quad et l’organisation de renseignement anglophone Five Eyes pour renforcer leurs positions en Asie-Pacifique.

Dans ce grand dessein, les États-Unis «créent fondamentalement une situation similaire à ce qui a été fait en Ukraine envers la Russie», a fait remarquer le lieutenant-colonel à la retraite.

«Les États-Unis utilisent cela pour provoquer la Chine dans une situation très, très dangereuse».

Toute cette politique exercée par Washington et ses alliés facilitera évidemment un rapprochement plus poussé entre la Chine et la Russie, selon Rasmussen.

«Je pense que cela pousse les Chinois plus loin vers les Russes, renforce les liens russes et chinois parce qu’ils voient la même chose leur arriver que ce qui est arrivé à la Russie par le biais de la partie ukrainienne», a-t-il avancé.

source : Sputnik Afrique

 

 

Mohammed Ben Salmane aurait menacé de recourir à des sanctions en cas de sanctions américaines

 
 

Le quotidien américain Washington Post a rapporté ce vendredi 9 juin que le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a menacé d’utiliser l’arme des sanctions contre les intérêts américains, au cas où le président Joe Biden procédait à la mise en œuvre de sa menace contre Riyad, dans le contexte de la réduction de la production de pétrole brut.

«Après que Biden a menacé l’an dernier qu’il y aurait des conséquences pour l’Arabie saoudite si elle réduit la production de pétrole, MbS a répliqué en menaçant également, sans préavis, de rompre les relations avec les États-Unis et de prendre une revanche économique», selon un document secret de renseignement américain obtenu par le Washington Post.

Selon ce dernier, le prince héritier a mis en garde de «ne plus traiter avec l’administration américaine» promettant «de grandes conséquences économiques pour Washington».

Le WP indique qu’il n’est pas clair si la menace du prince héritier a été transmise directement aux responsables américains ou a été interceptée par écoute électronique.

Un porte-parole du Conseil de sécurité nationale a nié avoir eu connaissance de la menace saoudienne, déclarant : «Nous n’avons pas connaissance de telles menaces de la part de l’Arabie saoudite».

En octobre dernier, l’OPEP+ a convenu de réduire sa production de pétrole brut de 2 millions de bpj jusqu’à la fin de 2023, mais le groupe a ajouté une réduction supplémentaire d’environ 1,6 million de bpj en avril, avec les réductions volontaires de plusieurs pays membres. L’Arabie saoudite a ouvert la voie en réduisant sa production de 500 000 bpj à partir de mai.

Huit mois sont passés depuis la menace américaine, Biden n’a imposé aucune sanction à l’Arabie saoudite, et MbS a continué à communiquer normalement avec de hauts responsables américains. En témoigne cette semaine, le secrétaire d’État Anthony Blinken en visite dans la ville côtière saoudienne de Djeddah.

Mais après les réunions de Blinken, il semblait que des divergences persistaient toujours concernant les ambitions de l’Arabie saoudite de produire de l’énergie nucléaire, que Washington et d’autres considèrent comme dangereuses.

Le ministre saoudien des Affaires étrangères Faysal ben Farhane a noté que «si Riyad accueille favorablement le soutien américain dans la construction de son programme nucléaire civil, il y en a d’autres qui présentent leur offre», un rappel indirect que le royaume pourrait approfondir sa coopération avec la Chine sur l’énergie nucléaire.

Un deuxième document de renseignement américain, divulgué en décembre dernier, a averti que l’Arabie saoudite prévoyait d’étendre sa «relation commerciale» avec la Chine en achetant des drones, des missiles balistiques et de croisière et des systèmes de surveillance de masse à Pékin, selon le journal.

Évoquant une accélération dramatique des événements, laquelle s’ajoute cette menace, le Washington Post en conclut qu’elles témoignent de la tension qui entache la relation de longue date entre les deux pays, basée sur l’équation «pétrole contre sécurité».

Le 6 juin, l’Arabie saoudite a annoncé qu’elle réduirait sa production de pétrole brut d’un million pour tenter de faire remonter les prix.

source : Al Manar

 

 

 

Plan de relocalisation des migrants : Les ministres de l’interieur de l’Union Européenne signent un accord qui condamnera les pays qui refusent de prendre leur «quota» à verser une compensation financière de 20.000 euros par migrant recalé (MàJ)

Réunis jeudi à Luxembourg, les ministres de l’Intérieur de l’UE sont parvenus en début de soirée à un accord sur le pacte migration et asile, cet ensemble de textes présenté en septembre 2019 par la Commission. Alors que la pression migratoire a beaucoup augmenté, les Européens veulent se doter d’une véritable politique en la matière avant les élections européennes de 2024. Depuis Rome, où il était en déplacement jeudi, le chancelier Olaf Scholz, avait invité les ministres à aller de l’avant. «Tous ceux qui veulent relever les défis de la migration ne peuvent le faire qu’ensemble, dans l’Union européenne.»

La commissaire aux Affaires intérieures, Ylva Johansson, a salué «une étape importante» et la ministre suédoise des Migrations, Maria Malmer Stenergard, a jugé qu’«un pas historique» avait été franchi. Cet accord confirme surtout le retour du vote à la majorité qualifiée sur ces sujets où l’unanimité était devenue la règle depuis le «traumatisme» de la crise migratoire de 2015-2016. Jeudi, 21 États membres ont approuvé le compromis, quatre se sont abstenus – Bulgarie, Malte, Lituanie et Slovaquie – et deux ont voté contre – Pologne et Hongrie. Le feu vert ouvre la voie aux négociations entre le Conseil et le Parlement européen.

Le pacte asile et migration a été conçu comme un diptyque. D’un côté la solidarité des États membres vis-à-vis des pays en première ligne, de l’autre la responsabilité de ces derniers pays qui ont longtemps eu tendance à ne pas enregistrer les candidats à l’asile qui arrivaient sur leur sol. Pour les soulager, au moins 30.000 demandeurs d’asile feront l’objet d’une relocalisation dans d’autres pays de l’UE chaque année. La répartition sera définie tous les ans. Selon un diplomate, environ 4000 seraient accueillis par la France, davantage par l’Allemagne. Les États membres qui refuseront de prendre leur «quota» de demandeurs d’asile – en l’occurrence, la Pologne et la Hongrie – seront tenus de verser une compensation financière de 20.000 euros par personne refusée. C’est «une amende» qui ne sera «pas acceptée par les citoyens», a mis en garde le ministre polonais de l’Intérieur, Bartosz Grodecki. En contrepartie de cette solidarité, les pays de première arrivée devront faire preuve de davantage de responsabilité. «Il y aura un retour automatique des personnes vers ces pays de première arrivée», affirme un diplomate de l’UE. La période de responsabilité passera, en outre, de un à deux ans, sauf pour les demandeurs d’asile arrivant par la mer.

Le Figaro


01/06/23

Le gouvernement polonais ne coopérera pas avec le programme de relocalisation forcée des migrants proposé par le Conseil de l’UE sous la Présidence suédoise, a annoncé mercredi (31 mai) le ministère des Affaires étrangères de la Pologne.

Stockholm a soutenu la proposition de la Commission européenne concernant la réforme du système de migration et d’asile de l’Union, y compris la relocalisation de 120 000 migrants par an ou l’équivalent de 22 000 euros par migrant à payer par les États qui refusent d’accepter les nouveaux arrivants, ont déclaré des sources européennes à l’Agence de presse polonaise (PAP).

« Il n’y aura pas de consentement de la Pologne pour un programme de relocalisation obligatoire », un système qui « s’est déjà avéré absolument inefficace et nuisible », a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères Szymon Szynkowski vel Sęk, cité par TVP Info. « Il est temps de se concentrer sur les enjeux élémentaires et les outils efficaces, et non sur les pseudo-remèdes », a-t-il ajouté.

La Pologne a géré efficacement la plus grande crise migratoire après la Seconde Guerre mondiale, a-t-il dit, faisant référence à la vague de réfugiés après le début de l’invasion russe de l’Ukraine. Le pays a accueilli 2 millions de réfugiés, et plus de 10 millions ont franchi la frontière entre la Pologne et l’Ukraine depuis le 24 février 2022.

(…) La relocalisation obligatoire n’était pas, n’est pas et ne sera pas dans la proposition, a clarifié Maria Malmer Stenergard, ministre suédoise de la Migration. « La solidarité obligatoire est une autre chose », a-t-elle tweeté la semaine dernière, expliquant que les pays qui ne veulent pas accueillir de demandeurs d’asile peuvent contribuer par de l’argent ou par le renforcement des capacités.

(…) euractiv.fr

 

 

Voilà, la preuve incontestable que l'Union européenne est devenue une dictature idéologique

 

 

 

Lille : un migrant algérien avec des problèmes psychiatriques s’est introduit dans une école maternelle en plein jour avant de tenter d’étrangler un policier

 

Le suspect de l’attaque d’Annecy a été condamné en Suède pour fraude aux prestations sociales. Il ne semble pas avoir fréquenté les églises de la commune, personne ne le connait, pas même le prêtre de l’église orthodoxe syrienne (MàJ)

 

09/06/2023



Darmanin évoque « une coïncidence troublante » entre le refus de la demande d’asile du suspect il y a 4 jours, et son passage à l’acte

[…]

 

Le Syrien de 31 ans avait rejoint la France il y a huit mois. « Pour des raisons que l’on ne s’explique pas bien, il a ensuite fait une demande d’asile en Suisse, en Italie et en France, qu’il n’avait pas besoin de formuler puisqu’il avait déjà l’asile en Suède », a expliqué le ministre sur TF1. « C’est effectivement une coïncidence troublante que dimanche dernier il connaît la réponse de l’administration française : pas d’asile, puisque vous l’avez déjà en Suède et qu’il passe à l’acte », a jugé Gérald Darmanin.

Le jeune homme, un chrétien qui avait servi dans l’armée syrienne, a quitté son pays en 2011 au début de la guerre civile, a raconté sa mère. Entré clandestinement en Turquie, il y a rencontré sa future épouse, une compatriote, et le couple s’est ensuite installé en Suède. « Après deux ans, nous nous sommes mariés, mais il n’a pas pu obtenir la nationalité suédoise, donc il a décidé de quitter le pays. Nous nous sommes séparés parce que je ne voulais pas quitter la Suède », a-t-elle confié au téléphone. L’autorité suédoise des Migrations a confirmé qu’il avait obtenu un permis de séjour en 2013, mais échoué à plusieurs reprises à obtenir la nationalité depuis 2017.

Selon sa mère, qui vit aux États-Unis depuis dix ans, il souffrait d’une « grave dépression » et ces refus ont aggravé son état. « Lui ne m’a rien dit. C’est ma belle-fille qui m’a dit ça », a-t-elle précisé. « Elle disait qu’il n’était jamais bien, toujours déprimé, avec des idées noires, il ne voulait pas quitter la maison, il ne voulait pas travailler… » « Il a demandé la nationalité, il a eu un rejet », a priori parce qu’il a fait l’armée syrienne, a-t-elle poursuivi : « ça l’a probablement rendu fou ».

[…]

 

Le Parisien

 

 

Henri, le héros d’Annecy, cible de la gauche et de l’extrême-gauche : il lui est entre autres reproché de porter un drapeau français sur son tee-shirt

 

 

Annecy : l’irrecevabilité de la demande d’asile de Abdalmasih H. aurait dû être décidée dès le mois de décembre et il aurait dû quitter la France, au plus tard, courant janvier.

Toutefois, on peut s’étonner du délai au terme duquel l’Ofpra a jugé irrecevable sa demande d’asile en France. Cette irrecevabilité était en effet manifeste dès le début de la procédure. En toute logique, comme l’individu ne venait pas de Syrie (où il aurait pu faire valoir qu’il encourait des menaces), mais de Suède où il avait obtenu une protection, sa demande d’asile aurait dû être examinée selon une procédure accélérée par l’Ofpra – donc dans un délai légal de 15 jours. L’irrecevabilité aurait alors dû être décidée dès le mois de décembre, et Abdalmasih H. aurait alors dû quitter la France, au plus tard, courant janvier.

Le Figaro

 

 

Caméra cachée : La directrice d’une ONG européenne dit enseigner aux migrants à mentir et à faire semblant d’être “des chrétiens persécutés” (Rediff)

15/11/2018

https://twitter.com/Lauren_Southern/status/1062030780422008833

(archive)

 

Lauren Southern:
“La directrice d’une importante ONG européenne explique à notre équipe d’infiltrés comment elle enseigne aux migrants à mentir et à faire semblant d’être des chrétiens persécutés à la police des frontières. L’année dernière, ils ont travaillé avec 15 000 migrants.L’ONU a répondu à notre enquête en la qualifiant d’alarmante.”

La directrice d’une ONG qui aurait aidé plus de 15 000 migrants à entrer illégalement en Europe a été filmée en train d’admettre que son organisation incite systématiquement les demandeurs d’asile à mentir et à faire semblant d’être traumatisés et persécutés.

Ariel Ricker, directrice exécutive de Advocates Abroad, une importante ONG qui fournit une aide juridique aux migrants, a été filmée en train de discuter de la façon dont elle apprend aux migrants à mentir aux agents frontaliers.

Dans ces images, Ricker décrit comment l’organisation organise des sessions de formation pour les migrants cherchant à entrer en Europe, au cours desquelles on leur apprend à mentir lors des entretiens avec les agents aux frontières :

Je leur dis que c’est de la comédie, tout cela, c’est de la comédie… pour qu’ils réussissent, ils doivent jouer leur rôle au théâtre.

Elle dit enseigner aux migrants cette méthode suivante : exploiter les sympathies chrétiennes de la Grèce (porte d’entrée pour les migrants), majoritairement orthodoxe, en prétendant avoir été persécuté en raison de sa foi chrétienne. Elle explique même aux migrants comment prier pendant les entretiens.

Au début, l’organisation a réagi à la sortie initiale de la vidéo en envoyant un tweet :

 

Depuis, cependant, les pages Twitter et Facebook du groupe, qui comptent plus de 140 000 adeptes, ont toutes deux été supprimées à la suite des révélations.

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