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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 26 mars

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L’Ukraine demande une réunion urgente de l’ONU pour mettre fin au « chantage nucléaire » de la Russie…

 

L’ESSENTIEL

  • Vladimir Poutine a annoncé que Moscou allait déployer, avec l’accord de Minsk, des armes nucléaires « tactiques » sur le territoire de son allié, la Biélorussie. Le président russe a également menacé samedi d’utiliser des obus à uranium appauvri en Ukraine si Kiev devait en recevoir de la part des Occidentaux, comme récemment évoqué par une responsable britannique.
  • Le chef d’état-major des armées ukrainiennes a affirmé que ses troupes étaient parvenues à « stabiliser » la situation autour de Bakhmout, épicentre depuis huit mois des combats contre les forces russes. D’après un bilan des services de renseignement britanniques publié samedi, « l’offensive de la Russie sur la ville de Bakhmout, dans la région du Donbass, est en grande partie à l’arrêt ».
  • Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, va se rendre la semaine prochaine dans la centrale ukrainienne de Zaporojie qui, selon lui, se trouve dans une situation « précaire ».

 

 

14h36 : L’Ukraine veut une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU sur la Biélorussie

L’Ukraine a appelé dimanche à organiser une réunion urgente du Conseil de sécurité de l’ONU et exhorté les Occidentaux et la Chine à mettre fin au « chantage nucléaire » de la Russie, après l’annonce par Vladimir Poutine que Moscou allait déployer des armes nucléaires en Biélorussie.

« L’Ukraine attend des actions efficaces pour contrer le chantage nucléaire du Kremlin de la part du Royaume-Uni, de la Chine, des Etats-Unis et de la France », a indiqué le ministère ukrainien des Affaires étrangères dans un communiqué. « Nous demandons qu’une réunion extraordinaire du Conseil de sécurité des Nations unies soit immédiatement convoquée à cette fin », a-t-il ajouté.

 

14h17 : Berlin dénonce « l’intimidation nucléaire » de Moscou

Le gouvernement allemand a dénoncé dimanche une « nouvelle tentative d’intimidation nucléaire » de la part de la Russie après l’annonce par Vladimir Poutine du déploiement de missiles « tactiques » sur le territoire du Biélorussie. « Nous n’allons pas nous laisser dévier de notre cap » par ces menaces, a indiqué un responsable du ministère des Affaires étrangères sous couvert de l’anonymat.

« La comparaison faite par le président Poutine avec les missiles nucléaires de l’Otan est erroné et ne peut servir de justification », a-t-il ajouté, soulignant aussi que le Biélorussie « va à l’encontre » de son engagement à rester un territoire sans armes nucléaires.

 

08h25 : Bras de fer autour des obus à uranium appauvri

Lors d’une interview diffusée samedi à la télévision russe, en plus de parler des armes nucléaires « tactiques » en Biélorussie, Vladimir Poutine a tenu à répondre au choix de Londres d’envoyer des munitions à uranium appauvri à l’Ukraine, comme évoqué récemment par une responsable britannique. Le président russe a ainsi menacé de recourir également à ce type d’obus, utilisé pour percer les blindages, si Kiev venait à en recevoir.

« La Russie, bien sûr, a de quoi répondre. Nous avons, sans exagérer, des centaines de milliers d’obus de ce type. Nous ne les utilisons pas pour le moment », a-t-il déclaré, qualifiant ces armes parmi « les plus dangereuses » et qui « génère ce que l’on appelle des poussières de radiation ».

 

 

DIRECT

 

 

La Russie va déployer des armes nucléaires tactiques en Biélorussie, annonce Vladimir Poutine

 

En réaction à la fourniture par Londres à Kiev d’obus à l’uranium appauvri, la Russie prévoit le déploiement d’armes nucléaires tactiques en Biélorussie. Vladimir Poutine a rappelé que Washington faisait de même avec ses alliés.

La Russie va déployer des armes nucléaires tactiques sur le territoire de la Biélorussie, a fait savoir le président russe Vladimir Poutine ce 25 mars.

« La raison en est la déclaration du vice-ministre britannique de la Défense indiquant que son pays allait fournir des obus à l’uranium appauvri à l’Ukraine », a fait valoir le chef d’État. Or, le président russe a ajouté que « même en dehors du contexte de ces événements », son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko soulevait « depuis longtemps » la question du déploiement d’armes nucléaires tactiques russes sur le territoire de Biélorussie.

En outre, Vladimir Poutine a tenu à souligner que ce déploiement d’armes n’avait rien d’inédit au niveau global : « Il n’y a rien de nouveau ici non plus. Tout d’abord, les États-Unis le font depuis des décennies. Ils ont déployé il y a longtemps des armes nucléaires tactiques sur le territoire de leurs alliés, les pays de l’OTAN en Europe, dans six pays ». Partant, Moscou et Minsk ont convenu « de faire de même », selon les termes de Vladimir Poutine, « sans violer [leurs] obligations internationales en matière de non-prolifération ».

« À partir du 3 avril, nous commençons à former les équipages. Et le 1er juillet, nous terminerons la construction d’un entrepôt spécial pour les armes nucléaires tactiques sur le territoire de la Biélorussie », a précisé le dirigeant russe.

Le 20 mars, l’armée britannique a confirmé livrer à Kiev des obus contenant de l’uranium appauvri. « Ces munitions sont très efficaces pour détruire les chars et les véhicules blindés modernes », a fait valoir la vice-ministre de la défense Annabel Goldie, en ajoutant qu’elles pourraient être utilisées par les chars Challenger 2 qui vont être fournis à l’armée ukrainienne.

Une doctrine nucléaire russe défensive

Depuis le lancement de l’opération militaire russe en Ukraine – que Kiev et ses alliés dénoncent comme une guerre d’invasion –, les hauts responsables russes ont rappelé à plusieurs reprises que la doctrine nucléaire de leur pays était orientée vers sa protection.

Ainsi, début octobre, le chef de la diplomatie russe avait souligné que la politique de la Russie en matière de dissuasion nucléaire « présentait un caractère exclusivement défensif ». Quelques mois plus tôt, fin mars, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov avait affirmé que la Russie n’utiliserait l’arme nucléaire en Ukraine qu’en cas de « menace existentielle » contre la Russie.

source : RT France

 

 

 

 

Ces sous-marins nucléaires russes modernes font froid dans le dos à la Défense norvégienne

 

L’activité de plusieurs sous-marins russes modernes et nucléaires dans l’Atlantique Nord inquiète le chef de la marine norvégienne. Selon lui, les submersibles Severodvinsk et Iouri Dolgorouki menacent les cibles stratégiques aux États-Unis et en Europe.

Pour la Défense norvégienne, l’activité des sous-marins russes modernes s’est intensifiée ces derniers temps. Une situation qui la préoccupe.

Notamment, il s’agit des navires submersibles nucléaires Severodvinsk et Iouri Dolgorouki qui opèrent régulièrement dans l’Atlantique Nord et Sud, rapporte la chaîne de télévision norvégienne TV2.

Vers une guerre de religion, infos du 26 mars 2023

"Ces sous-marins sont modernes, silencieux et équipés de missiles sophistiqués", a déclaré le chef de la marine norvégienne, le vice-amiral Rune Andersen, auprès du média

Il a aussi estimé qu’ils pourraient "constituer une menace" pour les cibles stratégiques aux États-Unis et en Europe.

De nouveaux sous-marins attendus

Le sous-marin nucléaire polyvalent Severodvinsk est la tête de série du projet 885 Iassen. Les navires submersibles de ce projet sont dotés de missiles de croisière supersoniques Oniks et Kalibr, ainsi que de torpilles autoguidées, et sont destinés à frapper des cibles terrestres, maritimes et sous-marines.

Quant au sous-marin Iouri Dolgorouki, il appartient au projet 955 Boreï. L'arme principale des submersibles de cette classe est le missile balistique intercontinental Boulava, équipé de six ogives à trajectoire indépendante d'une portée de 9.300 kilomètres.

Récemment, le directeur général de l’entreprise russe de construction navale United Shipbuilding Corporation, Alexeï Rakhmanov, avait révélé à Sputnik que cette année la marine russe serait dotée de cinq nouveaux sous-marins: trois nucléaires et deux à moteur diesel.

Récentes acquisitions

Fin décembre dernier, Vladimir Poutine a inauguré la mise à l’eau d’un sous-marin nucléaire de 4e génération, le submersible stratégique Empereur Alexandre III peut transporter 16 missiles balistiques intercontinentaux Boulava et rester en navigation autonome jusqu'à 90 jours. De plus, trois autres bâtiments ont levé leurs pavillons et rejoint la marine, notamment le sous-marin nucléaire Generalissimus Souvorov, le dragueur de mines Anatoly Chlemov et la corvette Grad de classe Bouïan-M.

Spoutnik

 

 

Guerre en Ukraine : le groupe Wagner libère 5000 anciens prisonniers russes pour avoir combattu sous ses ordres

Vers une guerre de religion, infos du 26 mars 2023

 

Le deal était simple pour ces prisonniers graciés au terme de leurs contrats respectifs. 

Plus de 5.000 anciens prisonniers ont été graciés en Russie après avoir combattu en Ukraine au sein de Wagner, a déclaré samedi Evguéni Prigojine, fondateur de cette organisation paramilitaire.

Combat pour la liberté

Evguéni Prigojine a recruté des milliers de prisonniers pour gonfler les rangs de Wagner afin de venir en appui à l'armée russe en Ukraine, en leur promettant la liberté à l'issue de leur contrat. "À l’heure actuelle, plus de 5.000 personnes ont été libérées à la suite d'une grâce après la fin de leur contrat avec Wagner", a dit cet allié du président Vladimir Poutine dans un message diffusé sur Telegram.

Le groupe Wagner concentre actuellement ses efforts dans la région de Bakhmout, où il contrôlerait la majeure partie du territoire selon ses propres affirmations. 

Source

 

 

 

La paix chinoise entre Téhéran et Riyad s’étend à Damas. Et l’Égypte bouge aussi

 
 
Alors que Schlein et Meloni s’affrontent pour le titre convoité de majordome le plus fidèle de Biden, le repositionnement géopolitique s’intensifie en Méditerranée. La démarche de Pékin qui a conduit à l’incroyable rapprochement entre l’Iran et l’Arabie saoudite porte des fruits rapides et de plus en plus étendus. Car l’effet domino concerne aussi la Syrie, où c’est précisément l’Arabie saoudite qui va reprendre son siège diplomatique. Et le geste de Riyad ouvrira la voie à la réintégration de Damas dans le contexte du monde arabe dont la Syrie avait été exclue.

Mais l’Égypte bouge aussi, qui, après l’accord avec la Russie sur la dédollarisation des échanges, est en train de conclure des accords similaires avec la Chine et l’Inde. Des signaux évidemment ignorés par les clercs de la désinformation italienne (ndt: et européenne). Et le système bancaire américain connaît simultanément des difficultés qui se répercutent aussi en Suisse. Ce n’est pas vraiment la meilleure façon de convaincre le monde d’accepter la domination de Washington et de Wall Street.

Entre-temps, Téhéran et Bagdad, pour fêter dignement le 20ème anniversaire de l’invasion anglo-américaine, conviennent de renforcer leur collaboration dans une fonction anti-kurde. En théorie, c’est contre le terrorisme kurde, en pratique c’est contre l’utilisation des Kurdes par les États-Unis. Les Turcs, qui sont appelés à voter en mai, sont également tout à fait d’accord sur ce point.

Justement, les élections en Turquie font apparaître les situations paradoxales. Erdogan, qui est particulièrement détesté par l’administration américaine pour ses nombreux volte-face et pour ne pas avoir adhéré aux sanctions contre Moscou, a ralenti ces dernières semaines ses initiatives de coopération avec la Russie. Un refroidissement des relations pour plaire à Washington, qui soutient le candidat rival Kilicdaroglu, en tête dans les sondages. Alors que fait Kilicdaroglu ? Il annonce qu’il renforcera la coopération avec Moscou s’il gagne.

Les déclarations dans une campagne électorale, on le sait, ont très peu de valeur (en Italie, quelqu’un avait même promis un blocus naval pour empêcher l’arrivée d’immigrés clandestins), mais elles sont intéressantes pour évaluer les humeurs et les tendances. Et, pour l’instant, la tendance est d’ignorer complètement le « plan Mattei » qui a tant enthousiasmé les ministres italiens. Hormis la Tunisie, en mal d’argent, d’où qu’il vienne et sans contrepartie, le reste de la Méditerranée, le Proche-Orient et l’Afrique subsaharienne ignorent superbement le projet italien. Mais il vaut mieux éviter d’interrompre le sommeil de Tajani, Crosetto et de Lady Garbatella (= surnom de Giorgia Meloni, ndt).

source : Electo Magazine via Euro-Synergies

 

 

Syrie : 20 roquettes tirées sur deux bases US

 
 
 

Suite aux frappes aériennes américaines menées, vendredi 24 mars, contre des cibles civiles en Syrie, les bases américaines situées non loin du champ pétrolier d’Al-Omar et gazier de Conoco, dans le gouvernorat de Deir ez-Zor, dans l’Est syrien ont fait l’objet de frappes de missiles, a rapporté la chaîne d’information Al-Alam.

La même source a indiqué la présence d’hélicoptères de combat américains au-dessus du champ gazier de Conoco après les tirs de roquettes.

Un responsable américain a confirmé au micro de la chaîne d’information qatarie Al-Jazeera que l’une des bases américaines situées à l’Est syrien avait été la cible de huit roquettes.

« Au moins un Américain a été blessé à la suite de l’attaque », a reconnu le responsable américain, ajoutant que Washington évaluait l’étendue des dégâts causés par les projectiles.

Les forces américaines ont lancé ce vendredi 24 mars une attaque meurtrière contre des cibles civiles basées à Deir ez-Zor.

Des sources locales syriennes ont rapporté que des chasseurs américains avaient frappé deux zones à Deir ez-Zor. Le Pentagone a confirmé les raids US à l’est de la Syrie, attaques ayant causé la mort d’un certain nombre de soldats syriens.

Une source militaire en Syrie a déclaré à Press TV que les groupes de Résistance se réserveraient le droit de riposter à l’attaque américaine et qu’ils prendraient des mesures réciproques.

Les forces américaines ont mené le jeudi 23 mars des frappes aériennes dans l’est de la Syrie après une attaque de drone ayant tué un entrepreneur américain et en a blessé un autre. Cinq autres militaires américains ont péri dans cette attaque du drone, confirme le Pentagone.

Les États-Unis et leurs alliés ont envahi la Syrie en 2014 sous prétexte de combattre Daech. Ce groupe terroriste avait apparu alors que Washington manquait d’excuses pour étendre son ingérence régionale ou l’agrandir.

Les forces américaines maintiennent leur présence illégale sur le territoire syrien, bien que Damas et ses alliés aient vaincu Daech fin 2017.

source : Pars Todayµ

 

 

 

Le drapeau européen bientôt obligatoire sur les mairies? Des députés Renaissance ont déposé une proposition

Voilà une initiative qui ne manquera pas de cliver. La présidente du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale, Aurore Bergé et son collègue du Val-de-Marne Mathieu Lefèvre ont déposé une proposition de loi visant à rendre obligatoire le pavoisement du drapeau national et de la bannière européenne sur le fronton des mairies.

Déposée ce jeudi 23 mars (et repérée ce dimanche 25 mars par un journaliste du média Acteurs publics), cette proposition rappelle dans son exposé des motifs qu’il n’existe « aucun texte réglementaire ou législatif » qui « fixe les règles de pavoisement dans notre pays » à l’exception de l’article 2 la Constitution qui fait du drapeau tricolore l’emblème national et « de l’article L. 111‑1‑1 du code de l’éducation, qui pose l’obligation de pavoisement des écoles et des établissements d’enseignement du second degré publics et privés sous contrat ».

Une sorte de vide juridique, jusque-là compensé par les usages républicains, que le texte entend combler. « Compte tenu de l’importance de ces deux emblèmes dans notre Histoire collective et afin de renforcer l’unité de la pratique du pavoisement sur le territoire national, l’objet de la présente proposition de loi est de rendre leur pavoisement obligatoire sur le fronton de chacune de nos mairies », explique le texte, qui prévoit de réserver la place d’honneur au drapeau national, « c’est‑à‑dire à droite du drapeau européen ». Comme ceci est observé tous les 9 mai, à l’occasion de la journée de l’Europe où les deux bannières flottent ensemble.

Si la présence obligatoire du drapeau bleu blanc rouge n’a pas de quoi surprendre, celle de la bannière étoilée peut interroger. Pour les auteurs du texte, le pavoisement des deux drapeaux s’explique par leur caractère complémentaire.

« L’histoire du drapeau tricolore est intimement liée à l’Histoire de notre République. Elle charrie avec elle notre imaginaire commun comme les combats pour son affirmation depuis les soldats de l’an II jusqu’aux compagnons de la Libération en passant par les martyrs de Verdun. Cette histoire est indissociable, depuis le début de sa construction, de l’Union européenne et de ses promesses de paix, de prospérité et de fraternité à l’échelle du continent », affirme cette proposition de loi qui compte un article unique, fixant les conditions du pavoisement des deux bannières.

Cette proposition, cosignée par l’ensemble du groupe Renaissance, risque fortement de diviser la représentation nationale. Pour rappel, le Rassemblement national, qui compte 88 députés au Palais Bourbon, reste particulièrement eurosceptique. En témoigne ce geste réalisé par le député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy, qui avait enlevé le drapeau européen lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale au mois d’octobre.

Chez les insoumis, le drapeau européen a également tendance à hérisser. En 2017, Jean-Luc Mélenchon s’était indigné contre la présence de la bannière étoilée dans l’hémicycle. Député LFI de Seine-Saint-Denis, Alexis Corbière avait dénoncé un « symbole religieux » qui n’avait pas sa place à l’Assemblée nationale, au nom de la laïcité. Un amendement avait été déposé par les élus LFI pour réclamer son retrait du Palais Bourbon.

Huffingtonpost/yahoo

Vers une guerre de religion, infos du 26 mars 2023 Vers une guerre de religion, infos du 26 mars 2023

 

Garges-lès-Gonesse (95). La mairie UDI organise son premier marché du Ramadan (MàJ vidéo)

« C’est une opération qui n’est commerciale, ni prosélyte », souligne la ville. Sur les 25 stands, seulement quelques commerçants proposeront leurs étals. La grande majorité sera tenue par des associations de cette commune de 42 000 habitants comptant une importante communauté musulmane et cinq mosquées.

Une manifestation assumée et revendiquée par la mairie. « C’est quelque chose qui revenait souvent dans les discussions avec les habitants et les élus. Nous nous sommes donc lancés cette année, explique le maire UDI Benoît Jimenez. De la même façon que nous avons proposé un marché de Noël en décembre et que nous allons bientôt célébrer la fête hindoue Holi, cela s’inscrit complètement dans notre principe de laïcité de découverte des cultes et des cultures ».

Le Parisien

 

« Sortez de notre ville » : en Irlande, des manifestants bloquent un bus de migrants qui demandent l’asile à Mullingar ; il est contraint de faire demi-tour

Un bus transportant des demandeurs d’asile a été empêché d’entrer sur le site de Columb Barracks à Mullingar, dans le comté de Westmeath.

Ils sont opposés à un projet d’hébergement des demandeurs d’asile dans des tentes d’une ancienne caserne de l’armée. Un groupe de manifestants s’est rassemblé aux portes de l’ancienne caserne et a empêché le bus d’entrer. Le bus a dû quitter la zone. Les manifestants sont restés aux portes d’entrée.

Dans un communiqué, le Département de l’intégration a déclaré qu’il était au courant d’un incident en cours à Columb Barracks et qu’il était en liaison avec la police : « Au cours de l’année écoulée, les communautés à travers l’Irlande ont fait preuve d’une grande solidarité et d’un accueil à ceux qui sont venus ici chercher refuge. Le Département condamne fermement toute tentative visant à promouvoir la division et l’hostilité. », indique le communiqué.

RTE

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