L' Algérie a déposé lundi une candidature officielle pour rejoindre le bloc économique des BRICS , composé du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud, ont indiqué des informations, citant Leila Zaruki, l'envoyée spéciale du ministère algérien des Affaires étrangères pour le partenariat international.
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Les Infos du 9 novembre
La Russie salue l'intention de l'Algérie de rejoindre les BRICS
MOSCOU (Spoutnik) - Moscou salue l'intention de l'Algérie de rejoindre les BRICS, a déclaré mardi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov.
"Bien sûr, nous saluons le désir de nos partenaires et personnes partageant les mêmes idées de se joindre au travail de formats tels que BRICS, SCO [Organisation de coopération de Shanghai]. Nous avons un dialogue basé sur la confiance avec l'Algérie, il est maintenu. Mais cela question [l'adhésion de nouveaux membres aux BRICS] est en cours de discussion dans le cadre d'un travail collectif », a déclaré Bogdanov.
BRICS est une association informelle des principales économies en développement qui a été formée en 2006 pour renforcer la coopération entre les membres et élaborer des approches communes aux défis économiques mondiaux. Les nations du bloc représentent environ 40% de la population mondiale et environ un quart du PIB mondial.
Pour le général de Villiers, "les armées françaises n'ont pas les moyens d'une guerre de haute intensité"
Cinq ans après, son opinion n'a pas changé. Le général Pierre de Villiers estime toujours que le budget de la défense est insuffisament doté. Ce désaccord l'avait poussé à quitter son poste de chef d'état-major des armées (CEMA) au début du quinquennat d'Emmanuel Macron en 2017.
A la veille de la publication de son ouvrage "Paroles d'honneur" - son quatrième livre en cinq ans - Pierre de Villiers réaffirme sa position. "Les armées françaises n'ont pas aujourd'hui les moyens d'une guerre de haute intensité", déclare-t-il dans Le Parisien. Selon lui, la situation en "Ukraine doit nous forcer à une réadaptation de notre modèle".
"Il faut l’adapter non pas à ce que nous faisons depuis des dizaines d’années, des opérations de guerre, mais à gagner une guerre. Il faut compter avec sa durabilité, donc être capable de tenir, et avec la dureté de la guerre."
Celui qui est, par ailleurs, frère du souverainiste Philippe de Villiers note "avec satisfaction", des augmentations dans le budget de la Défense de "1,7 milliards d'euros par an depuis 2017" et "même 3 milliards d'euros pour 2023". Mais, pour l'ex CEMA, "il va falloir aller bien au-delà".
"Beaucoup plus, et de manière urgente"
D'après Pierre de Villiers, "il faut poursuivre la modernisation de nos forces", revoir "tout l'aspect logistique" et accélérer "la montée en puissance de notre appareil industriel".
"Comment se fait-il que depuis le 24 février (date de l’invasion russe de l’Ukraine), on n’en soit toujours qu’aux travaux préparatoires de la prochaine Loi de programmation militaire?", interroge-t-il.
"J'attends la réponse à cet accroissement des crédits, à ce besoin de vision. Ça ne va pas assez vite", insiste-t-il. Pour lui, "il faut beaucoup plus et de manière urgente". Pierre de Villiers précise cependant qu'il faut d'abord "partir du modèle d’armée que l’on veut, et ensuite" aborder la question du financement.
Emmanuel Macron doit tenir un discours sur la Défense ce mercredi à Toulon. Il dévoilera à cette occasion la Revue nationale stratégique, base de la prochaine loi de programmation militaire pour les années 2024-2030.
Guerre en Ukraine EN DIRECT : Les forces nucléaires françaises « contribuent » à la sécurité de l'Europe, affirme Emmanuel Macron...
L'ESSENTIEL
- Alors que l'Amérique retient son souffle à l'occasion du décompte des votes des midterms, les élections de mi-mandat, Volodymyr Zelensky a exhorté hier les Américains à «maintenir une unité inébranlable» jusqu'au «rétablissement de la paix» en Ukraine.
- La Russie a commencé à installer des « dents de dragon », une structure défensive censée empêcher le passage des tanks, autour de Kherson. Un moyen de transformer en forteresse à l'approche de l'hiver mais aussi un signe de la fébrilité de Moscou sur l'avancée des troupes ukrainiennes selon certains experts.
- La France s'apprête à doubler son aide à l'Ukraine, en fixant son fonds de soutien à 200 millions d'euros. Le député Renaissance Benjamin Haddad a déposé un amendement en ce sens, approuvé par son groupe et par l'Elysée.
13h45 : Les forces nucléaires françaises « contribuent » à la sécurité de l'Europe, affirme Macron
Le président Emmanuel Macron a assuré mercredi que la dissuasion nucléaire française « contribuait » aussi à la « sécurité » de l'Europe, clarifiant ainsi des déclarations récentes qui avaient semblé remettre en question cet enjeu.
« Aujourd'hui plus encore qu'hier, les intérêts vitaux de la France ont une dimension européenne. Nos forces nucléaires contribuent donc par leur existence propre à la sécurité de la France et de l'Europe », a-t-il déclaré lors d'un discours sur les grands enjeux stratégiques de la France à venir à Toulon (Var).
13h40 : La Commission européenne propose une aide de 18 milliards d'euros pour l'Ukraine en 2023
La Commission européenne a proposé mercredi aux Vingt-Sept d'accorder à l'Ukraine une aide de 18 milliards d'euros en 2023, sous forme de prêts dont les intérêts seraient pris en charge par les Etats membres.
« Cette aide financière stable, régulière et prévisible, de 1,5 milliard d'euros en moyenne par mois, permettra de couvrir une part importante des besoins de financement à court terme de l'Ukraine pour 2023, que les autorités ukrainiennes et le Fonds monétaire international estiment être de 3 à 4 milliards d'euros par mois », indique l'exécutif européen dans un communiqué.
Note ; et pendent que l’Europe obligent leurs concitoyens a payaient le prix fort de l’énergie et distribue des miliards a aux néo nazie d'Ukraine. En inde le président fait le choix de privilégier son peuple
L'Inde continuera d'acheter du pétrole russe, déclare FM Jaishankar avant la visite de Yellen à New Delhi
L'Inde, troisième consommateur mondial de pétrole, a acheté 22% de ses importations totales à la Russie en octobre, malgré les tentatives américaines de convaincre New Delhi d'adhérer à un projet de plafonnement des prix des approvisionnements énergétiques russes.
L'Inde continuera d'acheter du pétrole russe car elle garantit l'accès à l'énergie à la population aux "conditions les plus avantageuses", ministre indien des Affaires étrangères S. Jaishankar , lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue russe Sergueï Lavrov à Moscou. a déclaré mardi le
Le ministre indien des Affaires étrangères a qualifié le marché de l'énergie de "stressé", soulignant que dans les circonstances actuelles, c'est "l'obligation fondamentale" du gouvernement indien de garantir aux consommateurs un accès au marché international aux "conditions les plus avantageuses".
« À cet égard, très honnêtement, nous avons vu que la relation Inde-Russie a fonctionné à notre avantage. Donc, si cela fonctionne à mon avantage, j'aimerais que cela continue », a répondu Jaishankar à un journaliste cherchant la réponse de New Delhi. à la proposition occidentale de plafonnement des prix du pétrole russe.
Les remarques de Jaishankar interviennent quelques heures avant que la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, n'arrive à New Delhi pour des discussions sur un plafond des prix du pétrole et d'autres questions économiques.
Les pays en développement comme l'Inde et la Chine achètent de plus en plus de pétrole russe « à prix réduit » pour maintenir la pression inflationniste sous contrôle.
Pendant ce temps, le G7 veut maintenir le pétrole brut et les produits pétroliers russes sur le marché pour éviter une flambée des prix, mais en même temps limiter les profits de Moscou.
"Les gagnants de ce (plafonnement des prix) seront en particulier les pays qui achètent du pétrole russe bon marché, et nous espérons que l'Inde profitera de ce plafonnement des prix, bien que ses entreprises négocient avec la Russie", a déclaré Yellen avant elle. départ pour la capitale indienne mardi.
« Nous pensons que le plafonnement des prix leur donnera un levier pour négocier de bonnes remises sur les marchés mondiaux. Nous espérons voir l'Inde bénéficier de ce programme », a ajouté le secrétaire au Trésor.
L'Inde importe près de 85 % de son brut afin de répondre à ses besoins énergétiques. La Russie est devenue le plus grand fournisseur de pétrole de l'Inde en octobre, dépassant l'Arabie saoudite et l'Irak, les leaders traditionnels dans ce domaine, selon le traqueur de fret énergétique Vortexa.
En octobre, la Russie a fourni 946 000 barils de pétrole brut par jour à l'Inde, représentant 22 % des importations totales de brut de l'Inde devant 20,5 % pour l'Irak et 16 % pour l'Arabie saoudite. Les importations globales de brut de l'Inde ont augmenté de 5 % en octobre par rapport au mois précédent, tandis que les importations en provenance de Russie ont augmenté de 8 %.
Jusqu'en mars, les importations de l'Inde en provenance de Russie ne représentaient que 0,2 % de tous les besoins en pétrole. L'Arabie saoudite, l'Irak et les Émirats arabes unis étaient les principaux fournisseurs de pétrole du troisième consommateur mondial de pétrole.
Des "câlins" et un "bisou sur la joue": les retrouvailles Macron-Tebboune provoquent un tollé
Le 09 nov 2022
Un bisou d’Emmanuel Macron sur la joue d’Abdelmadjid Tebboune, "un peu too much"? Alors qu’il n’avait pas encore eu le temps de se calmer après l'échange entre le Président français et son homologue vénézuélien, Twitter a bouillonné de nouveau suite à ces retrouvailles. "Tebboune a rabaissé la France" et "Macron l’enlace", se désolent certains.
Alors qu’il prend part à la 27e édition de la COP en Égypte, Emmanuel Macron a échangé avec nombre de chefs d’État, jusqu’à dialoguer amicalement avec Nicolas Maduro, dont il n’a jamais reconnu la réélection à la présidentielle vénézuélienne. Si cette dernière a fait quelques Unes dans la presse, la rencontre de M.Macron avec son homologue algérien a suscité quant à elle un tollé.
Et pour cause: pendant leur rencontre, la première depuis la visite de M.Macron en Algérie fin août, les Présidents se sont adonnés à une accolade plutôt chaleureuse. La séquence diffusée largement sur Twitter montre le chef de l’État français faire un "bisou" sur la joue d’Abdelmadjid Tebboune.
Pour certains, ce geste était exagéré
"Alors que Tebboune a rabaissé la France dans tous ses discours, Macron l’enlace", a fait remarquer un internaute.
Cette attitude d’Alger envers Paris avait déjà refait surface suite à l’accueil auquel a eu droit Emmanuel Macron lors de sa visite en Algérie cet été. D’abord, du pupitre du Président, la langue française a été détrônée par anglais. Ensuite, avant de quitter le pays africain, il a reçu un bain de foule controversé.
La France et son besoin du gaz algérien
"C’est officiel: la France a besoin de l’Algérie", a ironisé un utilisateur de Twitter. Ce, alors que le gaz algérien peut partiellement remplacer le manque de gaz russe en Europe, bien que fin août le Président français ait déclaré que le gaz algérien ne pouvait pas "changer la donne".
"Sinon, quelqu'un pour lui dire que l'Algérie a demandé à rejoindre les BRICS..."
Note; Macron tutoie la plupart des homme politique, cette avorton tutoie mème le Pape ! Mais il vouvoie le président algérien (qui refuse pourtant de reprendre les milliers de migrants algérien)
Nadine Morano sur l’immigration : « Je dis stop ! C’est à l’Afrique de prendre en charge ses citoyens, on ne peut pas avoir la responsabilité totale des deux rives de la Méditerranée »
Paris 9e : un policier hors service violemment agressé en pleine rue par deux individus qui lui ont réclamé des cigarettes, il souffre d’une double fracture à la mâchoire

Un jeune policier adjoint (PA) en civil a été violemment agressé par deux hommes alors qu’il rentrait de son travail, dans le 9e arrondissement de Paris, tôt ce dimanche matin a-t-on appris. Les deux agresseurs présumés ont été interpellés peu après par les policiers de l’arrondissement, avant d’être placés en garde à vue. La victime, souffrant notamment d’une double fracture à la mâchoire, a été conduite à l’hôpital. L’un des agresseurs lui a tenu les bras pour l’empêcher de se défendre.
Cette violente agression s’est déroulée vers 06h30 sur le boulevard de Clichy. Âgé d’une vingtaine d’années, le jeune policier était sur le chemin de son domicile après avoir quitté les locaux de son service, la 21e compagnie d’intervention (CI), de la direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC), basée sur l’avenue de la porte de la Villette (XIXe).
Deux hommes l’abordent et lui demandent une cigarette. Face à son refus, ils l’agressent. L’un des auteurs lui porte de violents coups de poing au visage, tandis que le second lui tient les bras pour l’empêcher de se défendre. La victime prend la fuite en courant et se dirige vers son domicile, mais les agresseurs la poursuivent. Le jeune homme réussit finalement à alerter ses parents qui composent le “17”.
Les policiers arrivent rapidement sur les lieux et parviennent à retrouver les deux agresseurs présumés avec la description fournie par leur jeune collègue agressé. Celui-ci a été évacué à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (XIIIe), où il a été opéré de la mâchoire dans la journée. “Il doit subir une seconde opération ultérieurement”, précise une source proche de l’enquête. La victime souffre aussi d’une fracture à une dent, d’un enfoncement à une pommette et d’une plaie à une arcade sourcilière. Au moment de l’agression, ce policier n’aurait pas fait état de sa qualité.
Allan Brunon, candidat NUPES aux dernières législatives et collaborateur parlementaire de Gabriel Amard (LFI), affirme qu’un jeune militant RN récemment décédé d’un cancer “retrouvera en enfer ses idoles Waffen-SS”

Belgique : la Région bruxelloise refuse d’interdire le voile islamique pour les agents du service public

La commission des Affaires générales du Parlement bruxellois a rejeté lundi une proposition du MR visant à garantir la neutralité et l’impartialité des fonctionnaires bruxellois en interdisant le port de signes ostentatoires de convictions religieuse ou philosophique dans l’exercice de leurs fonctions.
La proposition d’ordonnance du MR prévoit l’obligation d’impartialité, de neutralité et d’apparence de neutralité dans l’exercice de leurs fonctions pour les membres du personnel des services publics de la Région bruxelloise, tant régionaux que locaux. A cet effet, le texte prévoit que le port de signes ostentatoires de convictions religieuse ou philosophique soit interdit à l’ensemble du personnel de la Région bruxelloise, a expliqué Alexia Bertrand, chef de groupe.
La N-VA soutient la proposition libérale, a annoncé Cieltje Van Achter. “Traditionnellement, nous appliquons à Bruxelles une interprétation stricte du principe de neutralité“, mais ces dernières années, dit-elle, il y a néanmoins eu un manque de clarté quant à l’obligation de neutralité des autorités bruxelloises. C’est la conséquence “du choix politique de s’abstenir systématiquement de faire appel de décisions de juridictions inférieures qui sont diamétralement opposées à la jurisprudence existante de la Cour européenne des droits de l’homme, de la Cour de justice, de la Cour constitutionnelle et du Conseil d’État“.
Les socialistes et les Verts se sont opposés au texte.
Le port du voile visé
“Cette ordonnance vise clairement le port du foulard“, ont plaidé Marc-Jean Ghyssels (PS) et Farida Tahar (Ecolo). Pour ceux-ci, cette proposition porte les germes d’une discrimination qui ne toucherait que les femmes. Marc-Jean Ghyssels a fait observer que l’application de l’ordonnance entraînerait le licenciement de nombreux fonctionnaires.
Pour Juan Benjumea-Moreno (Groen), la proposition est incomplète, insuffisante, contradictoire et floue. La PTB rejette également le texte car il entraîne, selon Petya Obolensky, une discrimination dans l’accès aux emplois publics.
Royaume-Uni: il y a désormais en Angleterre et au Pays de Galles 10 millions de personnes nées hors du Royaume-Uni, c’est 1 personne sur 6

Une personne sur six vivant en Angleterre et au Pays de Galles est née en dehors du Royaume-Uni, et dix millions de ressortissants non britanniques ont désormais élu domicile dans les deux pays, selon les données du recensement.
[…]Le nombre de résidents habituels de l’Angleterre et du Pays de Galles nés hors du Royaume-Uni a augmenté de 2,5 millions depuis 2011.
[…]L’Inde reste le pays de naissance le plus courant en dehors du Royaume-Uni – avec 925 000 personnes représentant 1,5 % de la population.
Elle est suivie par la Pologne, qui compte 743 000 personnes – soit 1,2 % – et le Pakistan, avec 624 000 personnes.
[…]
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