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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 19 septembre 2022

 

 

 

 

 

Taïwan : la Chine considère les propos de Biden comme une «grave violation» des engagements américains

 

Le président américain a de nouveau déclaré hier soir que les « Américains défendraient Taïwan en cas d'invasion chinoise ».

Vers une guerre de religion, infos du 19 septembre 2022

La Chine a dénoncé lundi une «grave violation» des promesses diplomatiques de Washington après des propos du président américain Joe Biden qui a assuré que les États-Unis défendraient Taïwan en cas d'intervention chinoise.

Lors d'une interview diffusée ce week-end, la chaîne américaine CBS a demandé à Joe Biden si «des Américains défendraient Taïwan en cas d'invasion chinoise». Il a répondu : «oui, si une attaque sans précédent venait à se produire».

Ces propos de Joe Biden constituent «une grave violation de l'engagement important des États-Unis à ne pas soutenir l'indépendance de Taïwan», a réagi Mao Ning, une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. «Cela envoie un mauvais signal, grave, de soutien aux forces séparatistes militant pour l'indépendance de Taïwan», a-t-elle souligné devant la presse.

La Chine estime que Taïwan, peuplée de 23 millions d'habitants, est l'une de ses provinces qu'elle n'a pas encore réussi à réunifier avec le reste de son territoire depuis la fin de la guerre civile chinoise (1949). En sept décennies, l'armée communiste n'a jamais pu conquérir l'île, laquelle est restée sous le contrôle de la République de Chine - le régime qui gouvernait jadis la Chine continentale et ne gouverne plus aujourd'hui que Taïwan.

Lire la suite et voir vidéo

Selon la porte-parole, la Chine a appelé les États-Unis à comprendre l'importance et la sensibilité de la question de Taiwan, et à ne pas sous-estimer la détermination de Pékin à la souveraineté du pays.

 

Mao a qualifié le gouvernement de la République populaire de Chine (RPC) de "seul gouvernement légitime du pays", ajoutant que "la mise en œuvre de la réunification complète de la patrie reste une intention commune et un devoir sacré de tous les fils et filles de Chine".

Elle a clairement indiqué que Pékin est prêt à faire tout ce qui est en son pouvoir pour mettre en œuvre la réunification pacifique de Taiwan avec la Chine. ...

Source Spoutnik (traduction)

LIRE AUSSI:  « Big Two » : La Russie et la Chine ont enfin formé une alliance

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le Kremlin dénonce les « mensonges » de Kiev sur Izioum...

 

 

L’ESSENTIEL

  • Les récits d’arrestations arbitraires et de tortures se multiplient dans les régions récemment libérées de l’occupation russe par l’armée ukrainienne. Ainsi, plus de 440 tombes et une fosse commune de victimes de la guerre russo-ukrainienne ont été retrouvées en fin de semaine dernière près d'Izioum, au milieu d'une forêt de pins en lisière de la ville.
  • De son côté, l’UE a gelé 14,5 milliards d’avoirs de personnalités russes dans le cadre des sanctions adoptées en réponse à la guerre en Ukraine. Mais l’UE estime que plusieurs pays, dont la Hongrie, n’ont pas contribué à l’effort, a affirmé le commissaire européen à la Justice.
  • Enfin, ce lundi, l'opérateur nucléaire ukrainien Energoatom a accusé la Russie d'avoir bombardé le site de la centrale de Pivdennonooukraïnsk, dans le sud du pays faisant craindre une nouvelle fois un incident nucléaire.

 

15h03 : L’avancée ukrainienne ralentit

Depuis plusieurs jours, l’avancée ukrainienne a ralenti. Le président ukrainien a insisté dimanche soir qu’il ne s’agissait « pas d’une pause », mais de « préparer les prochaines étapes », la Russie contrôlant une grande partie du Donbass (est) et des régions de Kherson et Zaporojie (sud), après avoir annexé en 2014 la péninsule ukrainienne de Crimée.

 

13h08 : Bruxelles veut pouvoir contraindre les entreprises à servir l’UE d’abord en cas de crise

Bruxelles a présenté lundi un projet de nouvel instrument destiné à protéger le marché intérieur de l’UE en cas de crise, y compris, si nécessaire, en contraignant les producteurs de biens stratégiques à servir l’Europe en priorité.

« Dans des circonstances extrêmes » pouvant entraîner des pénuries de produits vitaux, la Commission européenne pourra imposer à des industriels de donner priorité aux commandes européennes, plutôt que chinoises ou américaines, sous peine d’amendes, selon le projet de texte. Cette mesure, inspirée de règles existant déjà aux Etats-Unis, est pensée comme une arme de représailles.

 

11h09 : Le Kremlin dénonce les « mensonges » de l’Ukraine

Le Kremlin a qualifié lundi de « mensonges » les informations sur la découverte de centaines de corps et d’une fosse commune à Izioum, dans l’est de l’Ukraine, après le retrait des forces russes de la région. « C’est un mensonge. Nous allons bien sûr défendre la vérité dans cette affaire », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. « C’est le même scénario qu’à Boutcha », a-t-il encore affirmé, en référence à une autre ville d’Ukraine où les forces russes ont été accusées d’avoir commis des exactions, ce que nie Moscou.

 

08h12 : La Hongrie mauvais élève des sanctions

L’UE a gelé 14,5 milliards d’avoirs de personnalités russes dans le cadre des sanctions adoptées en réponse à la guerre en Ukraine, mais plusieurs pays, dont la Hongrie, n’ont pas contribué à l’effort, a affirmé dimanche un commissaire européen. « On doit faire une pression très forte » sur la Hongrie, car « on peut supposer que (ses) liens très proches avec la Russie, l’empêchent peut-être d’agir », a déclaré le commissaire européen à la Justice Didier Reynders, dans une interview à la chaîne de télévision LCI.

Le Premier ministre nationaliste Viktor Orban a tissé ces dernières années des liens étroits avec le président russe Vladmir Poutine et cette collaboration a été maintenue malgré l’invasion russe de l’Ukraine. Budapest a ainsi annoncé fin août un accord avec le géant russe Gazprom pour recevoir des livraisons supplémentaires, au moment où les autres pays Européens sont confrontés à une forte réduction des quantités fournies. Le gouvernement hongrois coopère également avec le conglomérat russe Rosatom pour la construction de deux nouveaux réacteurs nucléaires.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : Biden met en garde Poutine contre l'utilisation d'armes nucléaires et promet une réponse "conséquente" le cas échéant

 

Publié le

  • Le président américain Joe Biden a une nouvelle fois mis en garde son homologue russe Vladimir Poutine contre l’utilisation d’armes chimiques ou nucléaires en Ukraine.
    Le président américain Joe Biden a une nouvelle fois mis en garde son homologue russe Vladimir Poutine contre l’utilisation d’armes chimiques ou nucléaires en Ukraine. Consolidated News Photos - Doug Mills

Le président américain Joe Biden a exhorté son homologue russe Vladimir Poutine à ne pas utiliser d'armes nucléaires ou chimiques en Ukraine, où l'armée russe a récemment essuyé des revers.

Dans un entretien à la chaîne CBS diffusé ce dimanche, et dont un extrait a été mis en ligne samedi, Joe Biden est interrogé sur le recours potentiel à des armes de ce type par le maître du Kremlin.

"Ne le faites pas. Ne le faites pas. Ne le faites pas", prévient-il. "Cela changerait le cours de la guerre d'une façon jamais vue depuis la Seconde Guerre mondiale."

A lire aussi : Guerre en Ukraine : "De nouvelles preuves de torture ont été trouvées" à Izioum, affirme Volodymyr Zelensky

Le cas échéant, la réponse américaine serait "conséquente", prévient Biden

L'armée ukrainienne a repoussé les forces russes dans le nord-est du pays cette semaine, mettant la pression sur Vladimir Poutine pour reprendre l'initiative.

Le président russe a averti que Moscou réagirait avec plus de force si ses troupes étaient soumises à une pression supplémentaire, laissant planer la menace de l'utilisation d'armes non conventionnelles nucléaires ou chimiques.

Le cas échéant, la réponse américaine serait "conséquente", a averti Joe Biden, sans donner de détails. La Russie "deviendrait plus un paria dans le monde qu'elle ne l'a jamais été", a ajouté le président américain.

 

 

L'Ukraine prépare la provocation du scénario de Bucha à Izyum : le Kremlin

 

En avril, Kiev a organisé une opération sous fausse bannière dans la ville de Bucha près de Kiev, accusant la Russie de massacrer des civils. Moscou a exigé une enquête impartiale et a souligné que toutes les troupes russes s'étaient complètement retirées de Bucha le 30 mars, ajoutant que les forces ukrainiennes bombardaient la ville 24 heures sur 24.

Le porte-parole présidentiel russe Dmitri Peskov a fustigé les allégations ukrainiennes de massacres dans la ville d'Izyum dans la région de Kharkov, soulignant que Kiev mentait dans le but de rejeter la faute sur la Russie.

Vers une guerre de religion, infos du 19 septembre 2022

"C'est le même scénario que celui de Bucha, tout se passe comme ça. C'est un mensonge et nous nous battrons pour la vérité", a-t-il déclaré.

Les troupes russes et les milices se sont retirées de la région de Kharkov au début du mois alors qu'elles se regroupaient pour se concentrer sur la libération du Donbass.

Vendredi, les autorités ukrainiennes ont affirmé que des lieux de sépulture de masse avaient été découverts à Izyum après le retrait des troupes russes, affirmant que plus de 400 corps avaient été retrouvés jusqu'à présent. Le ministère russe de la Défense a averti à plusieurs reprises que le régime de Kiev soutenu par les médias occidentaux préparait des provocations à la Bucha pour accuser la Russie de crimes de guerre.

Les troupes russes se sont retirées de Bucha le 30 mars lorsque les forces ukrainiennes l'ont bombardée avec de l'artillerie, des tirs de chars et de multiples lance-roquettes. Après que les forces ukrainiennes - y compris le régiment néo-nazi Azov - soient entrées dans la ville, elles n'ont signalé aucune victime parmi les habitants. Le 2 avril, la police nationale ukrainienne, qui est également entrée dans la ville, a filmé une vidéo montrant les rues de la ville et les bâtiments endommagés.

Cependant, plusieurs jours après, Kiev a affirmé que Bucha était plein de cadavres, accusant la Russie de crimes de guerre et fournissant une vidéo montrant de nombreux corps présumés gisant dans les rues - alors que le clip précédent n'en montrait aucun.

Question de Crimée

Peskov a également réfuté les revendications ukrainiennes sur la Crimée, notant que Moscou est prêt à répondre.

"La Crimée fait partie intégrante de la Fédération de Russie, donc toute revendication sur le territoire russe recevra une réponse appropriée", a souligné Peskov.

La déclaration intervient après que le bureau présidentiel ukrainien a affirmé que les habitants de diverses régions, dont la Crimée, devraient stocker de l'eau et en général se préparer à la "désoccupation", car Kiev a demandé aux pays occidentaux des missiles à longue portée pour cibler le territoire russe.

La Crimée a rejoint la Russie en 2014 après qu'un référendum a déterminé que plus de 96 % des électeurs de la péninsule étaient favorables à la réunification. En réponse, Kiev a organisé un blocus de l'énergie et de l'eau , essayant de la couper de ses communications.

*Le régiment Azov est un groupe terroriste, interdit en Russie

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

 

Un entrepôt ukrainien avec 7.500 obus pour les systèmes d'artillerie occidentaux détruit par Moscou

 

Un obusier M777, un radar de guidage du système de missiles anti-aériens S-300, un radar de défense anti-aérienne, 7.500 obus pour les systèmes d'artillerie de fabrication occidentale, plus de 500 militaires et près de 40 véhicules de différents types... tel est le bilan des pertes ukrainiennes en 24 heures.

L'armée russe poursuit ses frappes contre les forces ukrainiennes. En 24 heures, un entrepôt avec 7.500 obus pour les systèmes d'artillerie de fabrication occidentale a été détruit dans la région de Kharkov, a annoncé le ministère russe de la Défense.

Les systèmes de défense anti-aérienne russes ont abattu huit drones ukrainiens dans les régions de Kharkov, de Kherson, de Zaporojié, en République populaire de Donetsk et en République populaire de Lougansk au cours de la même journée.

Huit obus de lance-roquettes HIMARS ont été également supprimés dans la région de Kherson.

"Lors des frappes de haute précision les forces aérospatiales russes ont ​​détruit près de Kramatorsk un obusier M777 de fabrication américaine, un radar de guidage du système de missiles anti-aériens S-300 dans la localité de Dvouretchnaïa et un radar de défense anti-aérienne en République populaire de Donetsk", a annoncé le ministère de la Défense.

En 24 heures, les forces armées ukrainiennes ont perdu plus de 500 militaires, et près de 40 véhicules militaires de différents types. Le bataillon de la formation nationaliste Aidar a perdu plus de la moitié de ses membres lors de combats en République populaire de Donetsk.

Depuis le début de l’opération militaire en Ukraine, l’armée russe a supprimé 293 avions, 155 hélicoptères, 1.981 drones, 375 systèmes de défense antiaérienne, 5.022 chars et autres véhicules blindés, 837 véhicules de lance-roquettes multiples, 3.397 équipements d’artillerie de terrain et de mortiers, ainsi que 5.680 unités de véhicules militaires.

Source Spoutnik

 

 

 

 

 

Kirghizstan-Tadjikistan: plus de 80 morts lors des récentes violences, Poutine exige la désescalade

 

Confrontation militaire à la frontière entre le Kirghizstan et le Tadjikistan, vue depuis la région de Batken (Kirghizstan), le 16 septembre 2022.
Confrontation militaire à la frontière entre le Kirghizstan et le Tadjikistan, vue depuis la région de Batken (Kirghizstan), le 16 septembre 2022. KYRGYZ BORDER GUARD SERVICE / REUTERS

Le Kirghizstan a annoncé que les affrontements ont fait 46 morts de son côté en une semaine. Le Tadjikistan a, lui, évoqué la perte de 35 de ses citoyens.

Au moins 81 personnes ont été tuées cette semaine lors d'affrontements frontaliers entre le Tadjikistan et le Kirghizstan, ont indiqué dimanche les deux camps, les pires violences depuis des années entre ces pays qui ont instauré une trêve fragile. La situation à la frontière disputée de ces deux ex-républiques soviétiques d'Asie centrale était toutefois calme dans la journée, selon Bichkek, après la signature vendredi d'un cessez-le-feu en urgence.

La diplomatie tadjike a publié dimanche sur Facebook un premier bilan détaillé de son côté, faisant état de 35 morts et de 25 blessés lors des combats entre mercredi et vendredi, et affirmant que la plupart des morts étaient des civils. Cette source assure que l'armée kirghize a notamment tué douze personnes lors d'une frappe de drone sur une mosquée, six autres lors d'une autre attaque de drone contre une école, et sept autres lors de tirs sur une ambulance. L'AFP n'a pas pu vérifier ces déclarations de source indépendante, dans un pays autoritaire et très fermé à la presse.

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Les Sables-d’Olonne : malgré un référendum où 94,5% des votants ont souhaité son maintien, la Justice ordonne le déboulonnage de la statue de l’archange Saint-Michel (MàJ : 200 personnes manifestent pour “sauver la statue”)

 

Attaque djihadiste à Lugano (Suisse), au nom de l’État islamique : au procès, l’accusée qui avait tenté d’égorger deux femmes ne montre aucun remords (MàJ : Condamnée à 9 ans de prison)

19/09/2022

La justice suisse a condamné lundi 19 septembre à neuf ans de prison une Suissesse ayant tenté d’égorger deux femmes au nom du groupe djihadiste État islamique mais a suspendu sa peine pour qu’elle suive un traitement psychiatrique.

[…]

 

Pour la cour, elle a agi avec une totale absence de scrupules, avec un mobile et un but particulièrement odieux, et n’a fait preuve d’aucune forme de repentir, ni au cours de l’enquête, ni pendant les débats. Elle a «agi de sang-froid» et «a planifié l’acte», a assuré Fiorenza Bergomi. La cour l’a condamnée à une peine privative de liberté de neuf ans et à une amende de 2000 francs suisses et a également ordonné qu’un traitement institutionnel psychiatrique soit effectué dans un établissement fermé.

[…]

 

Le Figaro


29/08/2022

«Si je pouvais revenir en arrière, je le ferais mieux…», a déclaré la jeune femme de 29 ans à l’ouverture de son procès.

La jeune femme, accusée d’avoir tenté d’égorger deux femmes dans un grand magasin en 2020 en suisse en scandant son dévouement à l’État islamique, n’a exprimé lundi 29 août aucun remords à l’ouverture de son procès.

«Si je pouvais revenir en arrière, je le ferais mieux… avec des complices», a déclaré la jeune femme, 29 ans, devant le tribunal pénal fédéral à Bellinzone (sud). Elle a assuré avoir «programmé» une attaque depuis «des mois, des années» pour «faire quelque chose pour l’État islamique» et montrer qu’elle était aussi «capable de mener un acte terroriste».

Le 24 novembre 2020, elle avait tenté d’égorger deux femmes dans un grand magasin de Lugano, région italophone suisse, après avoir acheté un couteau sur place. L’une des deux victimes, qui assiste au procès, avait été grièvement blessée au cou. La deuxième, blessée à la main, avait réussi à maîtriser l’assaillante avec d’autres personnes. Lors de la projection d’une photo de blessure au cou, l’accusée, de père suisse et mère serbe, est restée calme. «Ce n’est pas allé aussi profondément que ce que je pensais», a-t-elle observé, puis répétant «Cela ne me fait aucun effet».

(…) Selon l’acte d’accusation du ministère public de la Confédération (MPC, procureur général), la jeune femme, dont le tribunal ne souhaite pas que le nom soit publié, a agi «intentionnellement» et «sans aucun scrupule». Lors de l’attaque, elle a crié à plusieurs reprises «Allahou Akbar» et «Je vengerai le prophète Mahomet», et déclaré «Je suis ici pour l’EI», en référence au groupe djihadiste État islamique.

(…) Le Figaro

 

 

Boualem Sansal : “un temps il y avait 10 mosquées en France, il y en a 3000 aujourd’hui, l’Arabie et le Qatar financent l’islamisation des banlieues. Le gouvernement français a été débordé.”

Extrait :

L’émission dans son intégralité :

 

 

Deux policiers poignardés dans le centre-ville de Londres, l’un a été sérieusement blessé au cou, l’autre a été gravement blessé au bras. Un individu d’origine “nord-africaine” inculpé (MàJ)

 

 

Sondage : 75 % des Français se disent favorables au nucléaire, mêmes les électeurs des partis de gauche soutiennent majoritairement cette énergie

Sur le nucléaire, les lignes ont bougé. « On a toujours dit que c’était une question dont les Français avaient du mal à se saisir, que l’opinion publique n’était pas vraiment constituée, observe Frédéric Dabi, directeur général Opinion à l’Ifop. Mais aujourd’hui, quand on pose la question de l’adhésion des Français à la production d’énergie nucléaire, la réponse est très nette. C’est le refus d’un scénario à l’allemande où on abandonne la production d’énergie nucléaire. »

Selon un sondage de l’institut réalisé pour le JDD*, 75 % des personnes interrogées se disent en effet favorables au nucléaire ; et ce pourcentage est majoritaire quels que soient la classe d’âge ou le parti politique. Les clivages demeurent mais se réduisent : 84 % des plus de 65 ans défendent cette énergie, contre 69 % seulement chez les moins de 35 ans ; 88 % la soutiennent à droite contre 66 % à gauche. « Même chez les Insoumis (56 %) et chez Europe Écologie-Les Verts (53 %), le soutien est majoritaire, observe Frédéric Dabi. Les leaders de ces deux partis qui disent stop au nucléaire sont en porte-à-faux avec leurs électeurs. »

Une raison à ce changement d’opinion : la crise

La raison de cette opinion majoritaire ? La crise, qui a remis le débat de l’indépendance énergétique de la France sur la table mais aussi ses répercussions sur le coût de l’électricité, et donc sur le pouvoir d’achat. Ce sont deux éléments qui ressortent de l’enquête Ifop : 81 % des sondés jugent le nucléaire indispensable à l’indépendance de la France, 67 % l’estiment bon marché.

(…)

65 % des Français sont favorables à la construction de nouveaux réacteurs 

(…) Le JDD

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