Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

___________________________________

Les Infos du 17 septembre 2022

 

 

Cas d'utilisation d'armes nucléaires par la Russie énoncés dans la doctrine nucléaire, selon Peskov

 

MOSCOU (Spoutnik) - Les cas où la Russie utilisera des armes nucléaires sont indiqués dans la doctrine nucléaire nationale, a déclaré samedi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à Sputnik.

"Lisez la doctrine, tout y est écrit", a déclaré Peskov, répondant à la question de savoir où il est possible que la Russie utilise des armes nucléaires en Ukraine.

Vendredi, le président russe Vladimir Poutine a commenté les tentatives d'attentats terroristes en Russie, notamment contre des installations nucléaires , mais a assuré que la situation était sous contrôle. Il a souligné que la Russie faisait tout pour empêcher une évolution négative des événements, mais a noté que Moscou, pour le moment, réagissait avec retenue aux attaques ukrainiennes contre les infrastructures et aux attaques terroristes.

Si la situation continue à évoluer de cette manière, la réponse sera plus sérieuse, selon Poutine.

Plus tôt, le président russe Vladimir Poutine a déclaré qu'il ne pouvait y avoir de gagnants dans une guerre nucléaire et qu'elle ne devrait jamais être déclenchée, notant que la Russie suit systématiquement la lettre et l'esprit du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

 

Poutine: l'Occident ne verra pas l'effondrement de la Russie

 

L’Occident ne verra pas l’effondrement de la Russie, a déclaré Vladimir Poutine en marge du sommet de l’OCS. Le Président a rappelé que Moscou avait lancé l’opération spéciale en Ukraine pour empêcher la création d’une enclave antirusse, et promis de répondre durement si les attentats ukrainiens contre les installations russes se poursuivent.

Les pays occidentaux ont tenté d’établir une enclave antirusse en Ukraine pour voir la Russie s'effondrer, et l'opération spéciale militaire a débuté pour empêcher ce scénario d'arriver, a indiqué Vladimir Poutine lors du sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), qui s'est tenu les 15 et 16 septembre à Samarcande, en Ouzbékistan.

Vers une guerre de religion, infos du 17 septembre 2022

"Pendant des décennies, les pays occidentaux ont constamment cultivé l'idée de l'effondrement, et de l'Union soviétique, et de la Russie historique, de son essence même", a lâché Poutine. Et d’ajouter: "Ils peuvent toujours attendre. Qu'ils règlent leurs problèmes comme ils l'entendent".

"Il est vraiment regrettable qu'à un moment donné, l'idée d'utiliser l'Ukraine pour atteindre ses propres objectifs ait surgi... La conclusion s'impose d'elle-même, pour empêcher un tel bouleversement des évènements, nous avons lancé l’opération militaire spéciale. C'est ce que certains pays occidentaux, dirigés par les États-Unis, tentent et ont tenté de faire: créer une sorte d’enclave antirusse, et de là, déstabiliser et menacer la Russie", a souligné M.Poutine.

Tentatives d'attaques terroristes ukrainiennes

Le président russe a fait état de tentatives d'attaques terroristes ukrainiennes en Russie, notamment contre des installations nucléaires, tout en assurant que la situation était sous contrôle.

"Quant aux attaques terroristes, oui, c'est très grave, c'est en fait le recours à des méthodes terroristes. Nous le voyons dans les meurtres de fonctionnaires sur les territoires libérés. Nous le voyons même dans les tentatives d’attaques terroristes sur notre propre territoire", a dit M.Poutine.

Selon lui, il y a même des tentatives d'assauts terroristes ukrainiennes "près de nos installations et des centrales nucléaires, en Russie, sans parler de la centrale de Zaporojié".

Le président russe a souligné que la Russie faisait tout pour éviter le pire: "Il y aura une réponse, s'ils ne comprennent pas finalement que ces méthodes sont inacceptables".

"Dernièrement, les forces armées russes ont effectué des frappes sur des points sensibles. Considérons-les comme des mesures de précaution. Si la situation continue d’évoluer de la même manière, la réponse sera plus sérieuse", a ajouté M.Poutine.

Aucun changement de stratégie

Le chef de l’État russe a également indiqué que le plan de l'opération spéciale n'était pas sujet à des ajustements.

"L'état-major général prend des mesures rapides au cours de l'opération, certaines choses sont considérées comme étant les plus importantes, l'objectif principal est la libération de tout le territoire du Donbass. Ce travail se poursuit malgré les tentatives de contre-attaques de l'armée ukrainienne", a noté le président.

Il a souligné qu’il n’y a que des soldats sous contrat dans l’armée russe qui prennent part à l'opération spéciale.

"J'attire l'attention sur le fait que nous ne faisons pas participer toute l’armée, ce n’est qu’une partie de l'armée russe représentée par des soldats sous contrat", a-t-il déclaré.

 

 

Guerre en Ukraine : la présidente de la Commission européenne veut que Vladimir Poutine soit traduit en justice

 

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, en visite à Kiev, en Ukraine, le 15 septembre 2022.  (SERGEI SUPINSKY / AFP)

"Il faut que Poutine perde cette guerre et réponde de ses actes." Dans une interview à la chaîne de télévision du quotidien allemand Bild, la présidente de la Commission européenne a plaidé, jeudi 15 septembre, en faveur d'une comparution du président russe devant la justice internationale pour les crimes de guerre en Ukraine.

"Nous soutenons la collecte des preuves" en vue d'une procédure devant la Cour pénale internationale, a ajouté Ursula von der Leyen, qui a effectué dans la journée une visite à Kiev. "Les fondements de notre système de droit international demandent que nous poursuivions de tels crimes et, au bout du compte, c'est Poutine qui en est responsable", a-t-elle ajouté.

Interrogée sur la probabilité que le chef de l'Etat russe puisse un jour être traduit devant la justice internationale, Ursula von der Leyen a estimé que cela lui semblait "possible". Plus tôt das la journée, lors d'une visite à Kiev, la présidente de la Commission européenne avait promis que l'UE soutiendrait l'Ukraine "aussi longtemps" qu'il le faudrait face à la Russie.

Source

 

 

 

 

 

« Corrompue », criminelle » : Leyen se fait défoncer devant le Parlement européen

La pourrie tient le choc : devant Bardella (un eurodéputé français de droite) et Sonneborn (un eurodéputé allemand de gauche), la présidente de la Commission, c’est-à-dire de l’autocratie européiste inféodée aux USA, n’a pas bronché. Juste un petit déraillement sur une syllabe, et elle est passée au parlementaire suivant.

« Pourrie » parce qu’elle est accusée de corruption en Allemagne à des postes ministériels successifs, dont la Défense. Elle y a laissé des traces vraiment nauséabondes en grévant ses budgets – des centaines de millions – au profit de consultants et de sous-traitants privés. Comme Macron avec ses boîtes de conseil, dont la plus fameuse, McKinsey, qui incarne la gestion mondialiste qui noyaute l’État français.

 

 

C’est l’un des nombreux et désolants effets secondaires de la politique de corruption de Leyen et de sa Commission au bénéfice de la multinationale Pfizer. Rappelons que l’UE, sans demander l’avis de ses 450 millions d’habitants, a commandé 4,2 milliards de doses de vaccin entre 2021 et 2023 selon Libération.

À ces commandes s’ajoutent celles formulées auprès de Pfizer, qui demeure le plus gros pourvoyeur de vaccins auprès de l’Europe, avec un total qui atteint aujourd’hui 2,4 milliards de doses sécurisées (parmi lesquelles, donc, une option sur 900 millions). Ce chiffre de 2,4 milliards se décompose en trois commandes successives, nous rappelle la Commission européenne : deux commandes de 300 millions de doses chacune, en décembre 2020 et janvier 2021. Auxquelles s’ajoute une dernière commande – celle de mai dernier – d’1,8 milliard de doses.

Or, la dose Pfizer coûtant 20 euros (on arrondit), ça donne un pactole de 48 milliards de chiffre d’affaires pour Bourla, le copain de Leyen, cette dernière ayant refusé de publier leurs échanges de tweets…

À tout seigneur, tout honneur : on commence par Martin Sonneborn, le satiriste devenu député :

 

 

Au tour de Bardella de cogner sur la corrompue :

Petite critique à propos du texte du futur numéro 1 du RN, quand il dit que « l’enfer est pavé de bonnes intentions » : il se trompe. Leurs intentions sont mauvaises dès le départ, Leyen étant le ver de l’Empire dans la pomme européenne.source

 

 

Pour les eurodéputés, "la Hongrie n'est plus une démocratie"

 

 

"La Hongrie ne peut plus être considérée comme une démocratie !" C'est ce que disent les députés européens, dans un rapport accablant sur les défaillances du pays de Viktor Orban.

La liste est longue comme le bras : manque d'indépendance de la justice, corruption endémique, concentration des médias, mainmise gouvernementale sur les universités, atteinte aux droits des communautés LGBT, affaiblissement des ONG... Si la Hongrie était aujourd'hui candidate pour entrer dans l'Union européenne, on lui claquerait tout simplement la porte au nez.

Ce délitement progressif de la démocratie a commencé en 2010, quand le Fidesz, le parti national-conservateur de Viktor Orbán, est arrivé au pouvoir.

 

Bien sûr ce n'est pas la première fois que l'Union européenne dénonce la dérive autoritaire de la Hongrie. Mais le rapport de Gwendoline Delbos-Corfield, eurodéputée Verte, met les pieds dans le plat. C'est "l'inaction de Bruxelles" qui a contribué à aggraver les choses. Ce pays n'est plus une démocratie, mais, selon sa formule – un peu alambiquée : "un régime hybride d'autocratie électorale". Ce texte a été massivement adopté (433 voix pour, 123 voix contre, 28 abstentions) et applaudi par les députés à l'issue du vote.

Une façon de mettre la pression

Un vote qui reste avant tout symbolique. Il permet surtout aux parlementaires européens de mettre un gros coup de pression sur la Commission, qui est la seule à pouvoir prendre des sanctions à l'égard d'un État membre.

Plusieurs procédures ont déjà été enclenchées d'ailleurs contre la Hongrie, pour l'instant sans traduction concrète. Le fameux article 7 qui prévoit des sanctions pour violation grave de l'état de droit a été déclenché en 2017, ça n'a pas encore été tranché – et ça ne le sera sans doute jamais.

Si vous voulez vraiment lire la suite ...

 

 

 

 

Guerre en Ukraine - 48 avions de combat sud-coréens FA-50 commandés : la Pologne poursuit sa course à l'armement face à la menace russe

 

La Pologne a signé ce vendredi un contrat avec la Corée du Sud pour l'achat de 48 chasseurs FA-50, une acquisition de plus pour renforcer son appareil de Défense, en lien avec la nouvelle donne sécuritaire née du conflit ukrainien.

Ce contrat participe de l'accord de coopération de 65 milliards de zlotys (13,77 milliards d'euros) signé par les deux pays début 2022.

Les FA-50 remplaceront les MiG-29 polonais, dont la technologie remonte à l'époque soviétique. Les 12 premiers FA-50 seront livrés à l'armée polonaise l'année prochaine, a déclaré le ministre polonais de la Défense Mariusz Blaszczak.

"Ce sera un saut générationnel. Les FA-50 sont de la même génération que les F-16, ce qui renforcera considérablement la force aérienne polonaise", a déclaré Mariusz Blaszczak lors d'une conférence de presse.

Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février, la Pologne a fourni à Kiev des armes et des munitions et a commencé à acheter de nouveaux équipements afin de moderniser ses forces armées et remplacer les équipements cédés aux Ukrainiens.

Le pays a décidé d'augmenter son budget de Défense de 2% à 3% du PIB à partir de 2023, visant 5% sur le long terme.

Source

 

 

 

Palmarès des personnalités politiques admirées par les élèves de Sciences-Po : Alexandria Ocasio-Cortez, Jacinda Ardern, Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon (et Taubira) en tête

 

Note :  alors Sciences Po c'est :

"L'Institut d'études politiques de Paris (IEP), communément appelé Sciences Po, ou Sciences Po Paris, est une grande école française dans les domaines des sciences humaines et sociales, notamment le droit, l'économie, l'histoire, la sociologie et la science politique. Souvent surnommée « la fabrique des élites », tant ses anciens élèves occupent les plus hauts postes dans la fonction publique, les médias ou d'autres institutions et grandes entreprises françaises et internationales,..."

C-a-d que se sont ces futurs personnes "bien pensante" qui vont continué a gouverné et influencé  la France ! Notez que tout leurs favoris sont de gauches/écolo/communiste (ce qui est du pareil au même). Quand je vous dit que SEUL une guerre peut nous sauvez de ces gens là, et de leurs idéologies destructives de nations.  

 

 

En Bretagne, l’incroyable projet de repeuplement d’un village par une centaine de migrants, le tout financé par une famille fortunée (MàJ : Manifestation ce samedi à Callac contre “le repeuplement africain de nos villes”)

16/09/22

Le week-end s’annonce agité à Callac, où militants d’extrême droite et d’extrême gauche vont se retrouver. En cause, une manifestation organisée samedi 17 septembre à 11h, place Jean Auffret devant la mairie, par le parti Reconquête d’Eric Zemmour, contre le projet Horizon, d’accueil de réfugiés.

Une contre-manifestation est organisée à la même heure place du 9 avril 1944, à l’appel d’habitants du pays de Callac et de différentes organisations de gauche et d’extrême gauche.

Pour éviter que les deux groupes de manifestants ne se croisent et que les manifestations ne dégénèrent en affrontements, la préfecture, la gendarmerie et la municipalité ont pris des mesures.

Actu.fr

REPORTAGE – Dans cette bourgade du centre de la Bretagne, le projet Horizon sème la discorde: une famille fortunée entend installer des immigrés pour lutter contre la désertification. Un «modèle duplicable», selon ses promoteurs, qui hérisse la population.

«C’est une première en France», se flatte la municipalité. «Nous ne voulons pas être des cobayes!», s’effarent nombre d’administrés. À Callac, paisible bourgade de 2200 habitants dans les Côtes-d’Armor, ce samedi matin s’annonce tendu. Autour de la mairie et de son projet d’accueil de réfugiés, deux manifestations se feront face: un rassemblement «unitaire et patriote» contre le «repeuplement africain de nos villes» et une «mobilisation antifasciste» pour «“grand-remplacer” l’extrême droite par la solidarité».

Le «village Horizon», dont Callac constitue le prototype, est une idée du Fonds de dotation Merci, créé en 2009 par la famille Cohen, anciens propriétaires de la prestigieuse marque de vêtements pour enfants Bonpoint, pour des actions humanitaires.

(…) Le Figaro

 

Note : Ils pensent qu'un Français, un Européen de culture chrétienne, peut être remplacé  par un Arabe, un noir  ou un Maghrébin de culture musulmane ! Ils veulent des musulmans, il vont bientot en avoir. Il reste maintenant moins de 6 mois avant la guerre que mon blog annonce arrive

 

 

 

Des étrangers pour repeupler les campagnes : “C’est une formidable idée, on peut leur allouer un lopin de terre et en faire des paysans. C’est l’avenir de notre ruralité” s’enthousiasme Périco Légasse

 

 

Quand l’hebdomadaire « Le Point » fait la promo de l’Émir du Qatar

En prévision du futur mondial de foot, deux journalistes de l’hebdomadaire « le Point » sont allés à Doha pour interviewer l’Émir du Qatar, le Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani. Résultat du match : Qatar : 5 – Journalisme : 0.

Dans sa dernière livraison, le Point annonce en couverture une interview fleuve du Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani, émir du Qatar, avec photo de l’impétrant à l’appui. Pour cet exercice, l’hebdomadaire a délégué dans le pays hôte du Mondial de foot son directeur de la rédaction, Étienne Gernelle et Luc de Barochez, deux attaquants réputés de la maison, célèbres pour leur capacité à se jouer des défenses adverses. On s’attendait donc à voir l’Émir cerné, poussé dans ses retranchements, mis face à ses contradictions, sommé de s’expliquer, ne serait-ce que pour permettre à Étienne Gernelle de retrouver un minimum de crédibilité après l’affaire des fausses accusations contre le couple Garrido-Corbière.

(…) L’Émir enfile les formules creuses comme d’autres enfilent les perles sans que jamais le duo d’intervieweurs ne daigne rompre l’atmosphère de complicité bienveillante qui sied à ce genre d’exercice, qui est au journalisme ce que le Qatar est aux droits des femmes.

(…) L’Émir tient même à préciser, en réponse à une question sur la liberté d’expression servie sur un plateau comme un verre de thé : « Chacun a le droit de s’exprimer mais, quoi que nous disions, nous devons éviter de blesser des gens issus de cultures, de religions ou de milieux différents. » Vous voyez ce qu’il veut dire ? Moi aussi, mais pas le duo du Point, qui se garde bien de titiller l’interlocuteur de Doha sur le sujet. Dès lors que l’islam est « une religion de paix », comme il dit, pas question de lui chercher querelle.

SALMAN RUSHDIE, CONNAIS PAS

D’ailleurs, quand il est interrogé sur la tentative d’assassinat de Salman Rushdie, après moult circonvolutions verbales, que fait l’Émir ? Il se lance dans des généralités mais ne daigne même pas citer le nom de l’écrivain condamné à mort pour avoir blasphémé contre la célèbre « religion de paix ». Il préfère enfoncer des portes ouvertes et préciser au passage qu’il faut se méfier non des Frères Musulmans, qui sont au Qatar comme des supporters d’un club de foot dans un stade, mais de ceux « qui exploitent l’islamophobie ». Avis aux amateurs.

(…) Marianne

 

 

« M*rt à Khamenei », le nom du Guide suprême : Manifestation en Iran après la mort d’une femme de 22 ans, arrêtée par la police du voile

Alors qu’elle était détenue pour une histoire de voile, Mahsa Amini s’est retrouvée à l’hôpital puis est tombée dans le coma, avant de décéder trois jours plus tard. L’indignation est totale, et les regards sont tournés vers la police des mœurs.

Courrier International

Commenter cet article