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Les Infos du 21 juin 2022
Guerre en Ukraine EN DIRECT : « Nous sommes fiers que nos combattants agissent avec courage, professionnalisme, comme de véritables héros », assure Vladimir Poutine...
L’ESSENTIEL
- L’Ukraine accuse la Russie d’intensifier encore ses bombardements meurtriers dans l’Est du pays, où ses troupes résistent avec acharnement, et selon Moscou, Kiev a frappé en retour des plateformes de forage en mer Noire au large de la Crimée, annexée en 2014.
- Dans le Donbass, à Severodonetsk, « les Russes contrôlent la plupart des quartiers résidentiels », mais « plus du tiers de la ville reste contrôlé par nos forces armées », selon le chef de l’administration locale, Oleksandr Striouk.
- Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dans un discours aux membres de l’Union africaine, a déploré que « l’Afrique (soit) l’otage de ceux qui ont commencé la guerre », et a indiqué que des « négociations difficiles » étaient en cours pour débloquer les céréales dans les ports ukrainiens, sans progrès pour l’instant.
Le ministre de la Justice des Etats-Unis effectue mardi une visite surprise en Ukraine, où il discutera avec la procureure générale des moyens de poursuivre les auteurs de crimes de guerre, a annoncé un responsable américain.
Attorney General Merrick Garland is making an unannounced visit to Ukraine on Tuesday, according to a Department of Justice official. pic.twitter.com/ofTvrf8H8t
— ABC News Live (@ABCNewsLive) June 21, 2022
La rencontre entre Merrick Garland et Iryna Venediktova portera sur « les efforts américains et internationaux pour aider l’Ukraine à identifier, appréhender et poursuivre les personnes impliquées dans des crimes de guerre et d’autres atrocités en Ukraine », selon ce responsable.
Depuis quelques années, l’Union Européenne a mis en place un système d’entraide pour les Etats en difficulté en matière de fourniture de gaz. Il est divisé en trois niveaux : « pré-alerte » («early warning »), « alerte », et « urgence ». Et ce mardi, l’Agence suédoise de l’Energie a lancé une première alerte sur ses approvisionnements en gaz, s’inquiétant de l’impact des sanctions contre la Russie, à l’instar de son voisin danois la veille.
Lundi, l’agence danoise pour l’énergie a en effet activé le passage au premier niveau d’alerte, évoquant « une situation grave » et « exacerbée par la réduction des approvisionnements » tout en précisant que les stocks en gaz du Danemark étaient pleins « à environ 75 % ».
La Russie a accusé mardi l’Union européenne d’encourager une « escalade » des tensions après l’instauration de restrictions sur le passage via la Lituanie de certaines marchandises vers l’enclave de Kaliningrad, conséquence des sanctions européennes contre l’offensive de Moscou en Ukraine. « Nous avons exigé un rétablissement immédiat du transit vers Kaliningrad. Sinon, des représailles suivront », a déclaré la diplomatie russe dans un communiqué, après avoir convoqué au ministère des Affaires étrangères le chef de la délégation de l’UE en Russie.
La Russie a promis mardi des mesures « sérieuses » contre la Lituanie qui a instauré des restrictions pour certaines marchandises transitant vers l’enclave de Kaliningrad, conséquence des sanctions européennes contre l’offensive de Moscou en Ukraine.
« La Russie, bien sûr, réagira à tels actes hostiles. Des mesures appropriées sont en train d’être élaborés au niveau inter-ministériel et seront adoptées prochainement. Elles auront de sérieuses conséquences négatives pour la population de la Lituanie », a affirmé Nikolaï Patrouchev, secrétaire du Conseil de sécurité russe, lors d’une visite à Kaliningrad, cité par l’agence Interfax.
L'UE a annoncé mardi vouloir mobiliser 600 millions d'euros supplémentaires pour aider les pays d'Afrique, des Caraïbes et de l'océan Pacifique à surmonter la crise alimentaire provoquée par la guerre en Ukraine.
Mis sous pression par les pays africains, les Vingt-Sept avaient promis lundi d'allouer un milliard d'euros, sans livrer de détails, pour lutter contre les risques de famine en Afrique liés au blocage des exportations de céréales ukrainiennes, dont le continent est très dépendant.
La Commission européenne propose dans ce cadre de puiser 600 millions d'euros dans les réserves du Fonds européen de développement en faveur de tous les pays ACP (Afrique-Caraïbes-Pacifique), projet qui devra encore être validé par les Etats membres.
Note; les politiciens croient pouvoir tous réglé avec l’argent ! C'est quant même principalement a cause de leurs sanctions que le grain n’arrive pas !
Deux Américains, capturés en Ukraine alors qu’ils combattaient avec les forces armées de Kiev, « mettaient en danger » des soldats russes et doivent être « tenus responsables de ces crimes », a déclaré lundi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, lors d’une interview avec la chaîne américaine NBC News.
La Russie a soutenu lundi que la hausse du prix des céréales, qui fait craindre une crise alimentaire mondiale, était le résultat des actions « destructrices » de l’Occident, et non du blocage par Moscou des exportations d’Ukraine. « Concernant la possibilité d’une famine, de plus en plus d’experts penchent vers un scenario pessimiste (…) C’est la faute des régimes occidentaux, qui agissent comme des provocateurs et des destructeurs », a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, sur Telegram. Selon elle, l’Occident a fait des « erreurs systématiques » dans la planification de sa politique agricole et a provoqué une inflation mondiale avec des mécanismes financiers et monétaires « de courte vue » créés lors de la pandémie.
La défaite en Ukraine signifie la fin de l'OTAN, déclare l'ancien inspecteur des armes de l'ONU
Le critique américain de la politique étrangère, Scott Ritter, a souligné que loin d'atteindre l'objectif déclaré du Pentagone d'« affaiblir » la Russie, la guerre par procuration de Washington en Ukraine désarmait progressivement les armées des États membres de l'OTAN.
La victoire de la Russie sur l'Ukraine sonnera le glas de l'alliance de l'OTAN dirigée par les États-Unis, déclare un ancien inspecteur en armement de l'ONU.
Scott Ritter , un ancien officier du renseignement du US Marine Corps qui a été l'un des principaux critiques de l'invasion américaine de l'Irak en 2003, a été interviewé pour la chaîne YouTube The Left Lens russe opération militaire spéciale à « démilitariser et dénazifier » l'Ukraine.
Il a déclaré que la décision de l'OTAN de jouer sa crédibilité en soutenant Kiev dans une guerre par procuration contre Moscou – à la suite de son « humiliation » en Afghanistan – s'avérerait imprudente et fatidique.
"L'OTAN et les États-Unis sont confrontés au genre de défaite morale et physique aux mains de la Russie qui signifiera probablement la fin de l'OTAN", a-t-il déclaré au présentateur Danny Haiphong dans la vidéo publiée lundi. "Je ne pense pas que l'Otan survive à cela."
"Cela ne veut pas dire qu'ils vont se dissoudre demain", a précisé le commentateur.
Mais Ritter a souligné : « Je pense que les gens ont oublié qu'en août de l'année dernière, l'OTAN a subi une énorme humiliation : le retrait d'Afghanistan.
"L'OTAN s'est débattue après cela : 'Qui sommes-nous ? Que faisons-nous ?'", a-t-il déclaré. "Et maintenant, ils ont tenu tête à la Russie, pour être courageux contre elle, et ils vont perdre contre la Russie sans même se battre."
La Russie a averti dans les mois qui ont précédé le conflit qu'elle ne tolérerait pas les plans de l'OTAN visant à poursuivre son expansion post-guerre froide vers l'est pour inclure l'Ukraine, ce qui aurait permis aux États-Unis de stationner des missiles à seulement 300 milles de Moscou. Aujourd'hui, la Suède et la Finlande , qui partagent une longue frontière avec la Russie, ont également demandé leur adhésion, sans soumettre la question à un référendum public.
Ritter a réitéré un point qu'il avait fait plus tôt dans l'interview selon lequel les forces russes détruisaient les armes envoyées par les membres de l'OTAN pour prolonger la guerre en Ukraine – et que Kiev demandait maintenant plus de dons d'équipement que la plupart des armées d'Europe occidentale n'en possèdent même.
"Au moment où la Russie aura terminé cela, la Russie aura une armée qui sera l'armée la plus aguerrie et la plus expérimentée au monde, affrontant des forces de l'OTAN qui sont mal entraînées, mal dirigées et, devinez quoi, maintenant mal équipées parce qu'elles donné toutes leurs armes », a-t-il dit.
Ces dernières années, les forces russes ont acquis une expérience précieuse dans les conflits majeurs en Géorgie et en Syrie, où leurs derniers systèmes d'armes ont fait leurs preuves au combat.
Ironiquement, le secrétaire américain à la Défense Lloyd Austin - un général à la retraite qui a fait pression pour le géant du complexe militaro-industriel Raytheon avant sa nomination - a révélé en avril que l'objectif de Washington en armant l'Ukraine était de "voir la Russie affaiblie".
Lundi également, le colonel à la retraite de l'armée américaine Douglas MacGregor a déclaré à Tucker Carlson de Fox News que l'administration du président américain Joe Biden envoyait un nombre symbolique d'armes à l'Ukraine pour éviter de reconnaître qu'elle avait perdu sa guerre par procuration.
"Il est difficile, quand on regarde quelque chose d'aussi ridicule, de ne pas conclure qu'il s'agit d'une mesure pour sauver la face de la part de l'administration qui ne veut vraiment pas admettre que cette guerre a été perdue il y a longtemps", a déclaré MacGregor.
Source Spoutnik (internaioanal)
Note : l'Otan se dépouille de son arsenal militaire (munitions, obus, lances roquettes etc) pour armer les nazies de Volodymyr Zelensky ! l’Europe est gouverné par des personnes inconsiente et sans aucun discernement.
Pour ce qui est de l'Onu, cette organisation qui se donne un rôle messianique, en croyant instaurer une paix mondiale dans le multiculturalisme, son idéologie arrive a sa fin (je tenais a le préciser, mm si cette article n'en parle pas)
Incident dans le détroit d'Ormuz entre la marine américaine et les forces navales des Gardiens de la révolution
"Les actions des forces des Gardiens de la révolution iraniens n'ont pas respecté les normes internationales"
La marine américaine a rapporté ce mardi que ses forces avaient eu une rencontre tendue avec celles des Gardiens de la révolution dans le détroit stratégique d'Ormuz.

La 5e flotte de la marine basée au Moyen-Orient a ainsi déclaré que trois navires iraniens avaient eu une attitude "dangereuse et non professionnelle" face à deux navires américains ayant transité lundi par le détroit du golfe Persique, par lequel transite un cinquième du pétrole échangé dans le monde.
Selon la marine US, une vedette rapide des Gardiens de la révolution a foncé tout droit sur ses navires avant de changer de cap brusquement, amenant l'équipage américain à tirer une fusée éclairante en guise de signal.
"Les actions des forces des Gardiens de la révolution iraniens n'ont pas respecté les normes internationales de comportement maritime, augmentant le risque d'erreur de calcul et de collision", a déclaré la 5e flotte dans un communiqué .
Une courte vidéo de l'incident a été publiée par la Marine américaine.
Ces faits surviennent dans un contexte tendu entre l'Iran et les Etats-Unis, alors que les négociations nucléaires sont au point mort à Vienne, et que Téhéran poursuit l'enrichissement d'uranium au-delà des limites imposées par le JCPOA.
L'un des points d'achoppement des discussions réside dans le fait que Washington se refuse à retirer les Gardiens de la révolution de sa liste des organisations terroristes étrangères.
Ankara n'a pas vu "un seul avantage" à l'adhésion à l'OTAN, devrait couper les liens, selon les médias turcs
La Turquie, «enfant terrible» de l'OTAN, a mis un frein aux plans d'expansion nordique du bloc le mois dernier, menaçant de bloquer les candidatures d'adhésion de la Finlande et de la Suède en raison du soutien des pays au Parti des travailleurs du Kurdistan, un mouvement politique et une milice kurdes turcs qu'Ankara désigne comme un organisation terroriste.
La Turquie n'a bénéficié d'aucun avantage à son adhésion à l'OTAN, le seul véritable argument en faveur du maintien dans le bloc étant le droit de veto, mais même cet avantage a ses limites, estime Mehmet Ali Guller, contributeur de Cumhuriyet.
Dans un article publié lundi intitulé "Les États-Unis ne couperont pas le lien avec l'OTAN, la Turquie devrait", Guller a fait valoir qu'à travers ses 70 ans d'appartenance au bloc occidental, "il n'y a pas de réponse unique satisfaisante à l'avantage que nous avons vu".
Le chroniqueur a rejeté les craintes que les États-Unis puissent expulser la Turquie de l'alliance, malgré les récents appels à cet effet dans les médias américains , arguant qu'une "nouvelle frontière de l'OTAN" sans la Turquie le long de la ligne Grèce-mer Égée-Crète-Chypre-Israël tournerait Les États-Unis envisagent de transformer la mer Noire en un "lac de l'OTAN" en "déchets".
En outre, estime Guller, "l'OTAN sans la Turquie signifie la désintégration des plans américains pour le Caucase et, dans le prolongement de cette ligne, l'effondrement des plans pour ses cibles en Asie centrale".
La Turquie en dehors de l'OTAN entraînerait l'institutionnalisation de la coopération russo-turco-iranienne, une éventuelle adhésion de la Turquie à l' initiative de partenariat du Grand Eurasie proposée par Moscou et une opportunité pour Ankara d'aider à "forger un nouveau monde" avec l'Organisation de coopération de Shanghai et l'Organisation Groupe de nations BRICS.
Enfin, « une OTAN sans la Turquie signifie que les États-Unis perdent leur capacité à forcer la Turquie à mettre en œuvre les politiques que Washington veut avec la menace de démembrement. Parce qu'une Turquie en Eurasie aura la possibilité d'avoir une défense solide », a souligné Guller.
Compte tenu des raisons ci-dessus, a noté le chroniqueur, les États-Unis ne veulent pas d'une Turquie en dehors de l'OTAN et feront en fait tout ce qui est en leur pouvoir pour maintenir Ankara attaché au bloc.
L'année dernière, le secrétaire d'État Antony Blinken a déclaré que les États-Unis et l'OTAN avaient "un intérêt marqué à essayer de maintenir la Turquie ancrée à l'Occident et alignée sur d'autres questions critiques".
« C'est pourquoi les États-Unis ne pensent pas à une OTAN sans la Turquie. Il veut maintenir la Turquie à l'Ouest à travers les liens de l'OTAN et contrôler Ankara avec des organisations de type "super-OTAN" », a noté le contributeur de Cumhuriyet.
En conséquence, a-t-il suggéré, Ankara devrait elle-même « tenir les ciseaux » pour se libérer de la servitude.
« La Turquie devrait fermer la mer Noire, le Caucase et les portes occidentales de l'Asie centrale aux États-Unis, et faire partie du partenariat du Grand Eurasie et du nouveau monde. La façon d'y parvenir est que la Turquie coupe ses liens avec l'OTAN », a conclu Guller.
La relation stratégique de la Turquie avec les États-Unis a été mise à l'épreuve par une série de problèmes , notamment la décision de Washington d'exclure Ankara du programme de chasse F-35 suite à son achat d'un système de défense aérienne de fabrication russe, le soutien américain aux milices kurdes en Syrie et Le refus américain d'extrader Fethullah Gulen, un religieux turc que le président Erdogan a accusé d'être responsable de la tentative de coup d'État de 2016.
Le mois dernier, les relations ont été encore plus tendues par la résistance turque à l'approbation rapide des candidatures de la Finlande et de la Suède pour rejoindre l'OTAN, Ankara citant le soutien présumé des deux pays aux "terroristes" du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).
La Turquie a rejoint l'OTAN en 1952 et est devenue l'un de ses membres les plus puissants, avec la deuxième plus grande armée de l'alliance après les États-Unis. Le bloc utilise la Turquie pour héberger son quartier général du Commandement terrestre allié, et les bases aériennes d'Incirlik et de Konya ont été largement utilisées par les membres de l'alliance lors des opérations de la première guerre du Golfe, de la guerre en Irak, des opérations de 2015 en Irak et des efforts américains à l'appui de rebelles antigouvernementaux en Syrie. Incirlik abrite également une cinquantaine de bombes nucléaires américaines B61. En 2019, Erdogan menacé de couper l'accès des États-Unis à la base s'il imposait des sanctions à Ankara pour son achat russe de S-400. Washington est allé de l'avant avec les sanctions, ciblant la présidence turque des industries de la défense, fin 2020, interdisant les licences d'exportation d'armes américaines et instaurant un visa et un gel des avoirs des fonctionnaires du bureau. La Turquie a fustigé la décision et exigé qu'elle soit révoquée.
Source Spoutnik international (traduction)
Les relations sexuelles hors mariage seront passibles de 7 ans de prison pendant la Coupe du monde 2022 au Qatar, y compris pour les supporters et joueurs étrangers

L’interdiction des relations sexuelles pendant la Coupe du monde est effectivement en vigueur dans le pays conservateur qu’est le Qatar, où les personnes prises à batifoler avec une personne autre que leur conjoint risquent une peine de sept ans de prison.
Les rencontres alcoolisées sont officiellement interdites lors du tournoi, qui débute en novembre, et les responsables de la FIFA ont prévenu qu’il n’y aurait “aucune exception“.
Les forces de l’ordre britanniques sont de plus en plus préoccupées par le fait que les supporters britanniques pourraient se voir infliger de lourdes peines pour avoir “fait des choses banales pendant et après les matchs“.
Une source policière a déclaré : “Le sexe n’est pas à l’ordre du jour, sauf si vous venez en couple. Il n’y aura certainement pas d’aventures d’un soir lors de ce tournoi. Il n’y aura pas de fête du tout, vraiment. Chacun doit garder la tête froide, sauf s’il veut risquer de se retrouver en prison. Pour la première fois dans l’histoire de la Coupe du monde, le sexe est interdit. Les fans doivent être préparés.“
[…]
Sainte-Geneviève-des-Bois (91) : un policier traîné sur plusieurs mètres lors d’un refus d’obtempérer

En milieu d’après-midi, un équipage de police décide de procéder au contrôle d’un individu circulant à bord d’une Renault Clio 4 au niveau du magasin Courir, dans la zone commerciale de la Croix Blanche. Dans un premier temps, le conducteur se soumet aux vérifications des agents, notamment à la palpation d’usage. Indiquant que ses papiers d’identité se trouvent dans sa voiture, il part les chercher. Mais une fois à bord, l’homme redémarre soudainement et fonce «froidement et délibérément sur l’agent qui se trouve devant la Clio», précise la source policière. Ce policier adjoint est alors happé par le rétroviseur et la portière encore ouverte du véhicule et traîné sur plusieurs mètres.
Dans le même temps, un autre fonctionnaire qui assiste à la scène ouvre le feu à deux reprises sur le véhicule en fuite, au niveau des pneus. L’un d’eux éclate, mais le chauffard parvient malgré tout à prendre la fuite à pleine vitesse en direction d’Évry. Il est aperçu une dernière fois s’engageant sur la N104, avant de se volatiliser.
Six-Fours-les-Plages (83) : deux Turcs de 31 et 33 ans interpellés après avoir piqué à la seringue une jeune femme dans un bar

Deux individus suspectés d’avoir piqué à la seringue une jeune femme dans un bar de Six-Fours ont été interpellés puis écroués.
Deux individus, de nationalité turque et âgés de 31 et 33 ans, ont été interpellés samedi et placés en détention provisoire dans le cadre d’une plainte après des piqûres dans un bar six-fournais, indique une source policière à BFM Toulon Var.
Deux suspects interpellés
Une jeune femme de 25 ans a déposé plainte la semaine précédente après avoir été victime d’une piqûre aux alentours d’1h du matin alors qu’elle se trouvait à l’Eden Bar. En pleine audition, la victime, prise d’un malaise, a été évacuée vers l’hôpital pour réaliser des examens, notamment sanguins et urinaires.
(…)
“Lors de la perquisition du domicile de ce dernier, des seringues, des aiguilles et des médicaments dans des fioles ont été saisis sur les lieux”, précise le procureur.
La Belgique rapatrie 16 enfants de djihadistes et 6 mères depuis la Syrie : “Toutes les femmes et tous les enfants belges qui pouvaient être rapatriés des camps en Syrie l’ont été”

La Belgique a rapatrié d’un camp du nord-est syrien sous contrôle kurde 16 enfants de djihadistes et six mères. Tous sont de nationalité belge. L’avion de la Défense qui les transportait a atterri dans la nuit de lundi à mardi. Une source judiciaire a confirmé à l’AFP une information donnée par plusieurs médias belges.
Tous les enfants ont moins de 12 ans et ont été exfiltrés avec ces six femmes du camp d’Al-Hol en Syrie, pour franchir la frontière irakienne par la route. Ils sont ensuite montés dans cet avion belge à Erbil (Irak), a souligné la même source. […]
(Merci à MarcelVincent)
Toutes les femmes et tous les enfants belges qui pouvaient être rapatriés des camps en Syrie ont été rapatriés en Belgique”, a déclaré mardi le procureur fédéral Frédéric Van Leeuw, lors d’une conférence de presse. Depuis le début du conflit en Syrie et en Irak, un total d’environ 140 Belges sont rentrés, a communiqué également l’Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace (OCAM). Un vol transportant 16 enfants belges, accompagnés de six mères belges, tous provenant du camp d’Al-Roj en Syrie, a atterri dans la nuit de lundi à mardi, à l’aéroport militaire de Melsbroek. Il n’y a désormais plus de femmes ou d’enfants dans ce camp qui peuvent être rapatriés en Belgique. Il y en a peut-être encore dans le camp d’Al-Hol, mais ce camp est inaccessible pour des raisons de sécurité, selon le procureur fédéral.
(…) La Libre
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