Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Reading (GB) : Plusieurs personnes poignardées dans un parc, 3 morts et 3 blessés graves (MàJ : le suspect arrêté est un Libyen)
Royaume-Uni – Trois personnes sont mortes et trois autres ont été grièvement blessées après avoir été poignardées dans un parc à Reading, a confirmé la police.
Selon la BBC et le Telegraph, le suspect arrêté est un Libyen.
Des témoins cités par l’agence de presse PA ont indiqué qu’un homme avait attaqué plusieurs groupes réunis dans ce parc lors de cette soirée ensoleillée.
« Le parc était plein, beaucoup de gens étaient assis pour boire un verre avec des amis quand une personne est arrivée, a soudainement crié des mots inintelligibles et est allée vers un groupe, essayant de les attaquer au couteau », a raconté un des témoins.
« Il a poignardé trois d’entre eux, gravement dans le cou et sous les bras, puis il s’est retourné et a commencé à courir vers moi, on s’est retournés et on a commencé à courir », a expliqué un coach sportif de 20 ans. « Quand il a réalisé qu’il ne pourrait pas nous rattraper, il a réussi à atteindre une personne à l’arrière du cou et quand il a vu que tout le monde commençait à courir, il est parti du parc », a-t-il raconté.
Les secours et la police ont été dépêchés sur les lieux après le signalement de plusieurs personnes poignardées dans un incident dans la ville anglaise de Reading, où l’action du mouvement Black Lives Matter s'est déroulée dans la journée.
La Police de la Vallée de la Tamise a confirmé que «plusieurs personnes ont été blessées et transférées à l’hôpital» à Forbury Gardens, un parc public de la ville de Reading (comté anglais du Berkshire) où des manifestants s'étaient rassemblés plus tôt dans la journée dans le cadre du mouvement contre le racisme Black Lives Matter. Un suspect a été interpellé sur les lieux.
La police a arrêté un homme sur les lieux des coups de couteau à Reading au cours desquels trois personnes sont décédées et deux sont en soins intensifs à l’hôpital.
Une source a déclaré au Telegraph qu’il y avait trois personnes déclarées mortes sur les lieux et deux transférées aux urgences de l’hôpital Royal Berkshire, où elles recevaient une réanimation.
La police retient un homme en garde à vue et la police traite l’incident comme une attaque aléatoire.
Selon les informations de The Telegraph, qui cite des sources concordantes, trois individus sont décédés et deux ont été hospitalisés en état grave.
Les forces de l’ordre sont arrivées sur les lieux après les signalements d'une attaque au couteau. Au moins deux hélicoptères de secours ont été envoyés.
Plusieurs personnes auraient été poignardées dans un parc public à Reading ce soir.
Une vidéo circule actuellement sur les réseaux sociaux montrant 4 personnes en cours de réanimation au milieu des cris.
Les images montrent ces personnes couvertes de sang gisant dans l’herbe des jardins Forbury à Reading.
Le policiers sont sur place, deux hélicoptères médicaux ont atterri près des lieux. Des témoins ont également rapporté avoir vu un hélicoptère de police réalisant une potentielle chasse à l’homme.
Note: Encore une attaque au couteau, pratiquer pas un musulman libyen, mais personne ne fait le rapprochement avec un attentat islamiste !!
Terrorisme : il n'est plus interdit de détenir des vidéos jihadistes
Le conseil constitutionnel a supprimé ce vendredi 19 juin le délit de recel d'apologie du terrorisme, il n'est donc plus interdit de détenir des vidéos jihadistes.
Il n'est plus interdit de détenir des vidéos jihadistes. C'est ce qu'a décidé le conseil constitutionnel en supprimant ce vendredi 19 juin le délit de recel d'apologie du terrorisme. Jusque là, le simple fait de télécharger ou de posséder sur son ordinateur une vidéo de propagande islamiste était passible d'une peine de prison.
En réalité, ce délit n'était inscrit nul part dans la loi, les juges l'avait créé via la jurisprudence ou simplement parce qu'un autre délit avait été censuré. Le délit de consultation de sites terroristes a lui aussi été supprimé car jugé contraire à la Constitution.
"La logique qui consiste à réprimer les gens pour avoir simplement lu des choses, pris connaissance de choses est particulièrement inquiétante sur le plan de la liberté d'expression, rappelle Maître Michael David. Ça veut dire que demain on pourra vous reprocher d'avoir lu ou d'avoir visionné une vidéo de quelqu'un qui disait des choses affreuses, poursuit-il. Ce n'est pas comme ça qu'on conçoit la liberté d'expression dans ce pays."
Il est donc de votre droit de posséder des vidéos de décapitation mais cela reste un élément très important pour la justice pour constituer un faisceau d'indices et caractériser d'autres infractions.
La Cour européenne des droits de l'Homme saisie
En attendant, la personne à l'origine de cette procédure a fait de la prison pour un délit qui n'existe plus ce soir. Son avocat va donc saisir la Cour européenne des droits de l'Homme et le tribunal administratif pour obtenir réparation et lancer une procédure de révision.
Note : scandaleux ! la France ne fait plus la guerre au terroriste islamique elle les laisses prospérer. Un islamiste pourra maintenant en toute impunité collectionnée des décapitations islamique, au nom de la liberté d’expression
Terrorisme : l’étrange cavale du supposé bourreau de Daech remis en liberté par la justice le mois dernier
Après deux ans de détention provisoire à Fleury-Mérogis (Essonne), ce réfugié irakien a été remis en liberté à la mi-mai avec l’interdiction de quitter la France. Une décision extrêmement rare au regard des accusations graves le visant, mais qui témoigne des tâtonnements de la justice dans ce dossier nébuleux. Deux semaines plus tard, nouveau rebondissement. Selon nos informations, Ahmed Hamdane disparaît. Alors qu’il vient de trouver un logement en région parisienne, il ne se présente pas à une convocation au commissariat ainsi que l’impose son contrôle judiciaire. Il abandonne son téléphone portable, qui continue à émettre près de Paris.
Le chef de l’armée grecque avertit la Turquie : « Quiconque s’attaque à la Grèce, nous le brûlerons d’abord et nous verrons ensuite qui c’était »
Le chef d’état major de l’armée grecque a averti la Turquie lors d’une conférence de presse au ministère grec de la défense vendredi, et a déclaré que la Grèce ne tolérera aucune violation de sa souveraineté.
Le général Konstantinos Floros, chef de l’état-major général de la défense nationale hellénique, est intervenu après avoir écouté le ministre turc des affaires étrangères Mevlüt Çavuşoğlu affirmer que la Grèce ne pouvait pas exercer sa pleine souveraineté dans les îles grecques proches de la Turquie. Ceci est en contradiction avec le droit international.
(…) Floros a cependant lancé un avertissement fort contre la Turquie, en déclarant : « Les forces armées sont une armée de terre, une marine et une force aérienne organisées. Il est très difficile de les affronter et quiconque le fera devra payer un prix très élevé, ce que nos voisins savent ».
« Une réponse militaire est une possibilité. Personne ne peut l’exclure », a-t-il déclaré lorsqu’on lui a demandé quel type de réponse pourrait être apportée à toute provocation turque.
« Si quelque chose comme cela se produit sur un groupe d’îles, cela s’étendra immédiatement à d’autres régions », a-t-il dit, ajoutant que tout accident en mer Égée sera causé par la pression quotidienne créée par la Turquie.
Le commentaire le plus frappant est cependant lorsqu’il a déclaré que « quiconque attaque le territoire grec, nous le brûlerons d’abord et nous verrons ensuite qui c’était ».
Nucléaire: Les Européens haussent le ton face à Téhéran et Washington
L’accord de 2015 sur le nucléaire iranien a-t-il des chances d’être sauvé ? Après avoir surtout prôné la médiation, les Européens ont choisi cette fois de taper du poing sur la table. Ils ont donc durci le ton vendredi face à la fois à l’Iran, qui s’affranchit de plus en plus de ses engagements, et aux Etats-Unis. Le but est toujours le même : empêcher Téhéran de se doter de l’arme atomique.
L’embargo de la discorde
Les trois pays européens signataires de l’accord – France, Allemagne et Royaume uni, ont ainsi émis des réserves majeures concernant la fin de l’embargo sur les livraisons d’armes à l’Iran, rejoignant sur ce point les Etats-Unis. Cette levée programmée pour octobre prochain de la résolution des Nations Unies, « pourrait avoir des implications majeures pour la sécurité et la stabilité régionales », selon une déclaration commune des trois ministres des Affaires étrangères, à l’issue d’une réunion à Berlin.
Surtout, Paris, Londres et Berlin ont aussi lancé un avertissement aux Etats-Unis, qui pourraient définitivement faire voler en éclats l’accord de 2015 en prenant prétexte du contentieux sur l’embargo pour porter le cas iranien devant le Conseil de sécurité de l’Onu.
Hong Kong : La Chine va instituer un « organe de sécurité nationale » dans la ville
Un an après le début du mouvement prodémocratie, Pékin tente, une nouvelle fois, d’asseoir son autorité sur la ville autonome
La Chine va instituer un « organe de sécurité nationale » à Hong Kong, selon le texte d’un projet de loi controversé préparé par le Parlement chinois et diffusé samedi par l’agence de presse Chine nouvelle. Le texte prévoit aussi que la loi en préparation prime sur celles de l’ancienne colonie britannique qui entreraient en conflit avec elle, selon le projet que se prépare à imposer le régime communiste malgré les appels des pays occidentaux qui disent redouter la fin de l’autonomie du territoire.
Des membres des Forces d’autodéfense japonaises ont détecté un sous-marin au large des côtes du pays, a annoncé le ministère nippon de la Défense sur son compte Twitter.
Selon le ministère, le 18 juin, un destroyer et unavion de patrouille japonais ont repéré un sous-marin inconnu se dirigeant vers l’ouest au large de l’île d’Amami O-shima en mer de Chine orientale. Deux jours plus tard, ce même engin a été aperçu au large de l’île de Yokoate.
Note ; je parierais pour un sous marin nord coréen
La Libye sous protectorat: «Les Turcs ne partiront pas, ils seront encore là dans 40 ans»
Seule puissance militaire impliquée directement en Libye, la Turquie y apparaît incontestablement comme le grand vainqueur. Jalel Harchaoui, spécialiste de la Libye, explique la stratégie d’Ankara. Elle contraste notamment avec celle de la France –qui brille par son impuissance– et celle des Émirats arabes unis, principal parrain d’Haftar.
Erdogan, nouveau sultan de Libye? Le rôle de la Turquie dans la guerre qui se déroule en Libye est exceptionnel à bien des égards et l’actualité ne cesse de valider la stratégie d’Ankara.
En effet, depuis que Recep Tayyip Erdogan soutient directement le Gouvernement d’union nationale (GNA) du Premier ministre Sarraj, la bataille de Tripoli s’est soldée par un échec pour le maréchal Haftar, qui s’est replié à l’Est du pays. Jalel Harchaoui, chercheur à l’Institut des Relations Internationales Clingendael de La Haye, aux Pays-Bas, analyse pour Sputnik les succès turcs:
«Cette intervention a été, d’un point de vue technique, jusqu’ici réussie. Peut-être que la Turquie va faire des erreurs, peut-être qu’elle va déraper, qu’elle va avoir les yeux plus gros que le ventre, mais du 27 novembre à aujourd’hui, la Turquie a quasiment fait un sans-faute. […] Il n’y a eu aucune erreur stratégique.»
Ce spécialiste de la Libye prend soin de rappeler que si le Premier ministre Sarraj –reconnu par les Nations unies– a expressément demandé l’aide d’Erdogan, l’apport militaire turc dans le conflit libyen est une violation de l’embargo sur les armes qui date de 2011 et qui a été encore rappelé récemment par l’Onu.
Certains volets du plan turc, «même pas faisables pour des grandes puissances de l’Otan»
Jalel Harchaoui illustre cet engagement et ces succès turcs avec l’utilisation des drones, armes de premier plan dans ce conflit:
«L’exécution du plan turc est un véritable sans-faute. Et certaines facettes de sa prestation ne sont même pas faisables pour des grandes puissances de l’Otan comme la France et la Grande-Bretagne. La France par exemple ne peut pas fabriquer ses propres drones armés. La France n’a pas cette technologie, alors que la Turquie, depuis plus de vingt ans, considère cela comme une priorité et aujourd’hui elle est en train de cueillir les fruits de cet investissement.»
L'Egypte se dit prête à intervenir «directement» en Libye
Le Caire, qui soutient le maréchal Haftar, envisage d'intervenir si le «gouvernement d'union nationale», soutenu par la Turquie, avance vers la ville stratégique de Syrte.
Après la Turquie, un second pays pourrait-il intervenir officiellement en Libye ? Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a prévenu samedi que toute avancée des forces du «gouvernement d'union nationale» (GNA), soutenues par Ankara, vers la ville stratégique de Syrte, en Libye, pourrait mener à une intervention «directe» du Caire.
Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011 après une révolte populaire et une intervention militaire occidentale, la Libye est plongée dans le chaos et une guerre protéiforme, complexifiée par la présence accrue d'acteurs internationaux qui agissent néanmoins officieusement, à l'exception, jusque-là, de la Turquie.
En rendant officiel leur soutien au GNA, la Turquie est parvenue à changer la donne militairement sur le terrain. Aidées notamment par la force de frappe des drones turcs, les forces loyales au GNA - basé à Tripoli et reconnu par l'ONU - ont engrangé d'importantes victoires depuis début juin, reprenant le contrôle de l'ensemble du nord-ouest de la Libye. Les troupes rivales du maréchal Khalifa Haftar, homme fort de l'est libyen soutenu entre autres par l'Égypte, n'ont pour leur part cessé de reculer ces dernières semaines, essuyant des revers sur le terrain qui ont signé l'échec de leur offensive sur Tripoli lancée en avril 2019.
Pour Trump, ce que touche Macron «devient de la merde», selon le livre de Bolton
Dans ses mémoires, John Bolton révèle que Donald Trump classe Boris Johnson aux côtés du Premier ministre japonais, Shinzo Abe, parmi les dirigeants mondiaux dont il est le plus proche. A contrario, il pense que tout ce que touche le Président français «devient de la merde», écrit le Guardian.
Dans son livre intitulé «The Room Where It Happened: A White House Memoir» (La pièce où c’est arrivé: mémoires de la Maison-Blanche), l'ex-conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, John Bolton, évoque l’attitude du Président américain envers ses homologues.
Citant le livre de l'ex-conseiller de Trump, le Guardian écrit que les Premiers ministres japonais Shinzo Abe et britannique Boris Johnson sont les plus appréciés par le chef d’État américain.
Mais de l’autre côté se trouve Emmanuel Macron. Selon John Bolton, Donald Trump estime que tout ce que touche son homologue français «devient de la merde», écrit le Guardian.
Coronavirus. Plus d’un million de cas au Brésil, le monde entre dans « une phase nouvelle et dangereuse »
Plus de 150 000 nouveaux cas de Covid-19 ont été recensés à l’échelle de la planète jeudi, un record sur une seule journée depuis le début de l’épidémie, tandis que le Brésil a franchi le seuil du million de cas de contaminations.
Le Brésil a franchi vendredi la barre du million de cas de contaminations au coronavirus, signe d’une épidémie qui progresse toujours dans un monde que le déconfinement rend « dangereux », selon l’OMS.
Avant le Brésil, seuls les États-Unis avaient passé ce seuil symbolique du million de cas. Le géant latino-américain va aussi probablement franchir la barre des 50 000 morts après avoir atteint 48 954 décès vendredi, devenant le deuxième pays où le Covid-19 tue le plus dans le monde.
Depuis le début de juin, le Brésil, nouvel épicentre mondial de la pandémie, a enregistré plus de nouvelles contaminations (518 000) et de décès (19 000) qu’aucun autre pays au monde, selon une compilation de l’AFP.
20 000 morts au Mexique
Et si le virus ralentit sa progression en Europe, où le déconfinement se poursuit, il continue en revanche à s’étendre inexorablement en Amérique latine.
Le bilan de l’épidémie au Mexique a dépassé vendredi le seuil des 20 000 morts, a annoncé le gouvernement, qui a également fait état de plus de 5 000 nouveaux cas de contamination en une seule journée.
Les autorités de Mexico ont donc retardé d’une semaine la reprise dans la capitale d’activités économiques, initialement prévue lundi, pour tenter de réduire le nombre de contaminations et faire baisser les hospitalisations.
Coronavirus : Didier Raoult évoque désormais une deuxième vague épidémique
Le médecin, principal promoteur d'un traitement controversé contre Covid-19, avait dit que l'épidémie était «en train de se terminer» le 12 mai dernier.
Par Le Figaro
Le professeur Didier Raoult n'exclut plus désormais une seconde vague. Le médecin de l'IHU de Marseille, au cœur de la controverse qui entoure l'hydroxychloroquine comme traitement au Covid-19, est revenu sur ses précédentes prédictions et envisage désormais le retour saisonnier de l'épidémie.
«Personne n'est capable de prédire l'avenir, indique-t-il cette fois dans une vidéo publiée sur la chaîne YouTube de l'établissement, [...] il se peut qu'il y ait un nouveau pic épidémique au moment de la saison hiverna-printanière, il se peut qu'elle disparraisse, ça dépendra de la distribution dans la zone inter-tropicale et du fait qu'il existera des gens qui seront porteurs chroniques».
Une nouvelle analyse prédictive qui vient contredire ses propos beaucoup plus tranchés du 12 mai dernier. Le professeur Raoult y expliquait alors, toujours en vidéo, que «Nulle part il n'y a de deuxième vague, ou de dos de chameau». «L'épidémie est en train de se terminer» affirmait-il alors. Le ministre de la Santé Olivier Véran avait dénoncé des sorties médiatiques «pas très responsables».
Crise au Mali : un influent imam défie le président IBK et mobilise la rue
EN IMAGES - Deux grandes manifestations ont eu lieu en deux semaines dans la capitale contre le président malien.
Des dizaines de milliers de manifestants ont réclamé vendredi 19 juin à Bamako la démission du président Ibrahim Boubacar Keïta, à qui ses voisins ouest-africains ont conseillé de mettre sur pied un gouvernement d'union nationale et d'organiser rapidement des législatives partielles pour apaiser les tensions.
Il s'agit de la deuxième grande manifestation en deux semaines dans la capitale contre le président malien, surnommé «IBK», après celle qui avait déjà rassemblé plusieurs dizaines de milliers de personnes le 5 juin et qui a donné son nom à la contestation, «Mouvement du 5 juin - Rassemblement des Forces Patriotiques» (M5-RFP).
Finkielkraut : « Nous vivons sous la tyrannie des minorités (…) Les choses vont continuer dans ce sens étant donné l’ampleur du changement démographique en Europe »
"Les revendications deviendront de plus en plus stridentes, et beaucoup d'intellectuels et de jeunes gens prétendument idéalistes plieront le genou dans un geste d'expiation en apparence mais qui est en fait un geste de soumission" Alain Finkielkraut, philosophe
Entre 200 et 300 personnes ont manifesté ce samedi devant la statue du général Faidherbe, à Lille. Elles réclament son retrait ou du moins une « contextualisation ».
« Faidherbe doit tomber ! » : entre 200 et 300 personnes ont manifesté ce samedi à Lille devant la statue du général Faidherbe pour réclamer le « retrait », ou « au moins la contextualisation », de cette « figure du colonialisme français, violent et raciste ».
(…)
Une quinzaine de militants identitaires, venus provoquer les manifestants, ont déclenché des tensions et une intervention des forces de l’ordre, sans toutefois mettre fin à la manifestation.
Héritage historique
71% souhaitent garder les statues et noms de rues de personnages historiques controversés.
21% estiment qu'il faut décider au cas par cas, 8% qu’il faut retirer tout rappel de ces personnages.
Congrès américain : les démocrates font décrocher quatre portraits de présidents de la Chambre ayant servi sous les couleurs confédérées
Le Congrès américain a décroché, jeudi 18 juin, quatre portraits de confédérés, sur ordre de la chef des démocrates, Nancy Pelosi, dans une Amérique en plein mouvement de protestation historique contre les brutalités policières et les discriminations.
Selon Nancy Pelosi, la chef des démocrates, ces portraits incarnent «le racisme grotesque de la Confédération», ces Etats américains du Sud qui s’étaient battus contre l’abolition de l’esclavage au XIXe siècle. Les quatre portraits retirés représentent des présidents de la Chambre du XIXe siècle qui avaient aussi servi sous les couleurs confédérées […]
Nancy Pelosi avait également appelé dès le 10 juin à retirer onze statues du Capitole, siège du Congrès à Washington, représentant des soldats et des responsables confédérés. Une commission de parlementaires des deux partis étudie encore cette demande.
Un policier qui avait qualifié en 2017 Adama Traoré de « repris de justice » et de « violeur » sera jugé
Les faits incriminés se sont produits le 22 juillet 2017. Un voyageur qui se rend à la marche organisée à Beaumont-sur-Oise, en hommage à Adama Traoré, un an après sa mort, est contrôlé par un policier. La personne qui l’accompagne filme la scène, et demande aux trois agents présents: « Vous savez où on va ? » L’un des policiers répond : « Ouais, sauver… euh quoi ? Un repris de justice, c’est très bien ! Un violeur, c’est très bien. » Partagée sur internet, la vidéo suscite immédiatement la colère de la famille d’Adama Traoré.
Il devra répondre des accusations de diffamation et d’injure publique dirigée contre la mémoire des morts.
UN #HumanRights experts express profound concern over a recent statement by the US Attorney-General describing #Antifa and other anti-fascist activists as domestic terrorists, saying it undermines the rights to freedom of expression and of peaceful assembly in the country. pic.twitter.com/2Pz2dMyq8k
«Les experts des droits de l’homme des Nations Unies expriment leur profonde préoccupation face à une récente déclaration du procureur général américain décrivant Antifa et d’autres activistes antifascistes comme des terroristes nationaux, affirmant que cela porte atteinte aux droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique dans le pays.»
L’UE « condamne le suprémacisme blanc sous toutes ses formes, y compris l’utilisation de slogans qui visent à saper le mouvement Black Lives Matter et à en diluer la portée »
Dans une « Résolution du 19 juin 2020 sur les manifestations contre le racisme après la mort de George Floyd » le Parlement européen « condamne le suprémacisme blanc sous toutes ses formes, y compris l’utilisation de slogans qui visent à saper ou à affaiblir le mouvement « Black Lives Matter » et a en diluer la portée »
Note : L'UE à une grosse préférence pour les suprématies étrangères à l'Europe, un comble.
L'Europe prépare sa propre destruction, un peut comme l’Empire Romain qui avait choisis les peuples germanique pour sa protection (l'histoire se répéte)
Racisme anti-blanc : une réalité selon 47% des Français
Violences à Dijon : le président Kadyrov défend les actes « corrects » des Tchétchènes
Le président tchétchène explique que les membres de la communauté tchétchène ont agi de cette manière car « les autorités locales n’ont pas pu mettre de l’ordre ».
La loi Avia contre la haine en ligne censurée par le Conseil Constitutionnel
Après les nombreuses critiques politiques, médiatiques et morales, les membres du Conseil Constitutionnel ont estimé que le cœur du dispositif de loi contre la haine en ligne, dite «loi Avia», portait à la liberté d’expression «une atteinte» inadaptée au but poursuivi. Dans un avis rendu public, les Sages ont en effet censuré l’article 1er du texte qui imposait aux «opérateurs de retirer des contenus à caractère haineux ou sexuel diffusés en ligne», infligeant un coup d’arrêt à l’ensemble du projet de loi.
Le Conseil constitutionnel censure l’ensemble du volet répressif de la loi Avia
Lourd camouflet pour le gouvernement. Ce jeudi 18 juin, le Conseil constitutionnel a censuré l’ensemble du volet répressif de la loi contre la haine en ligne, portée par la députée LREM Laetitia Avia, rapporte notamment Le Monde. Les Sages ont notamment rejeté la proposition phare de la loi, à savoir les obligations pesant sur les réseaux sociaux de retirer en 24 heures les contenus illégaux, estimant que ce n’était pas compatible avec la liberté d’expression. Se faisant, ils donnent raison aux nombreux opposants du texte, qui dénonçaient les risques de surcensure par les plateformes en ligne comme Facebook, Twitter, Snapchat ou YouTube (…) valeurs actuelles
#AssaTraore affirme que:
« le passeport français a été créé pour l’esclave noir? »
C’est faux!
Son ignorance couplée à son obsession colonialisme lui font dire tout et n’importe quoi!
En réalité, il s’agit de légitimer sa détestation de la #Policehttps://twitter.com/chAPteam/status/1274431737939058688/video/1 …
Le grand-père d’Assa Traoré possédait-il des esclaves ?
Reportage sur l’esclavage au Mali, chez les Soninkés, l’ethnie à laquelle appartient Assa Traoré, et tout particulièrement à Kayes, dont son grand-père fut gouverneur. Issu de la noblesse locale, il a probablement lui même possédé des esclaves.
Il y a même eu des manifestations en France contre l’esclavage chez les Soninkés, mais aucun média ne les relaient. Pourtant, cet esclavage là est toujours en vigueur.
Grèce : des milliers de réfugiés expulsés de leur logement, les centres d’accueil dans lesquels ils vivent ne les tolèrent plus
En Grèce, plus de 11.000 réfugiés risquent de se retrouver à la rue très prochainement. Les centres d’accueil dans lesquels ils vivent ne les tolèrent plus.
Les autorités grecques ont sommé des milliers de réfugiés de quitter leur logement. Depuis les 1er juin, ceux qui ont obtenu une protection internationale avant le 1er mai 2020 ne sont plus éligibles à un hébergement dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile.
(…) Au total, 11.237 personnes sont susceptibles d’être expulsées de leur logement actuel, qu’elles vivent dans des centres d’accueil, des camps de migrants ou encore des hôtels. Parmi elles, des personnes dont l’hébergement est assuré par le programme ESTIA, (European Emergency Support to Integration and Accommodation), qui est soutenu par l’Union européenne et le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés.
(…) Selon les dernières données du HCR de janvier, on estime à 115.600 le nombre de migrants, demandeurs d’asile et réfugiés vivant actuellement en Grèce. Ce chiffre dépasse largement les capacités d’hébergement du pays, ce qui contraint beaucoup de personnes à vivre dans la rue ou dans des camps surpeuplés.
En expulsant des réfugiés, la Grèce espère ainsi libérer des places pour loger des demandeurs d’asile qui vivent actuellement dans des camps saturés comme celui de Moria sur l’île de Lesbos.
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