Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Pyongyang a tiré plusieurs missiles de croisière, annonce l'armée sud-coréenne
La Corée du Nord aurait tiré plusieurs projectiles, probablement des missiles de croisière à courte portée, selon des militaires sud-coréens.
La Corée du Nord a tiré le 14 avril plusieurs missiles de croisière présumés en direction de la mer du Japon ou mer de l'Est, a indiqué l'armée sud-coréenne.
«La Corée du Nord a tiré plusieurs projectiles que nous suspectons être des missiles de croisière à courte portée», a déclaré l'état-major interarmes sud-coréen dans un communiqué cité par l'AFP.
Selon le Comité des chefs d'état-major interarmées (JCS) de la Corée du Sud, les missiles ont été tirés depuis des zones proches de la ville côtière de Munhcon, située dans la province nord-coréenne de Kangwon, et ont parcouru plus de 150 kilomètres.
"Des masques, il y en a plein !" Un pharmacien et un médecin lâchent une bombe chez Jean-Marc Morandini (VIDEO)
le 13 avril
Pas de lundi de Pâques férié pour Jean-Marc Morandini. Ce 13 avril, il était fidèle au poste et en direct sur CNews avec une édition spéciale de Morandini Live consacrée à la crise du coronavirus. L’animateur recevait notamment sur son plateau un médecin et un pharmacien, le Dr Martine Perez (gynécologue de formation et journaliste) et Bruno Fellous (que les fans de The Island auront peut-être reconnus, puisqu’il avait participé à la troisième saison de l’émission de survie de M6). Et leurs propos ont grandement surpris le présentateur.
Alors que la pénurie de masques fait la une depuis des semaines, les deux invités de Jean-Marc Morandini ont assuré qu’ils n’auraient aucun mal à en trouver, mais qu’ils n’avaient pas le droit de s’en procurer. « Je reçois des SMS qui m’expliquent que je peux acheter des masques, qu’on connaît les filières, qu’ils sont aux normes européennes… On peut en acheter mais le gouvernement veut les réserver », a ainsi déclaré le Dr Martine Perez, estimant que « cette histoire de masques est la plus scandaleuse depuis le début de cette épidémie ».
« Des masques, il y en a plein ! », a renchéri le pharmacien. « Moi, j’ai des fournisseurs qui me demandent si je veux des masques ; et je leur dis ‘Je ne peux pas à en vendre' », a déploré Bruno Fellous, plaidant pour que l’Etat « laisse le pharmacien s’occuper de la population » et l’autorise à acheter et vendre des masques. « C’est notre métier, on est là pour la santé publique », a-t-il fait valoir.
Coronavirus : les masques seront "probablement disponibles" dans les mairies, selon Véran
INVITÉ RTL - Concernant l'attribution des masques "grand public" promis par Emmanuel Macron, le ministre de la Santé a assuré que "l'hypothèse de procéder à partir des collectivités locales, des mairies", était envisagée.
Emmanuel Macron a finalement reconnu que les masques étaient utiles dans son allocution de ce lundi 13 avril, et promis que chaque Français en aurait un le 11 mai prochain. "Ces masques 'grand public' sont en cours de fabrication dans un très grand nombre d'entreprises françaises depuis maintenant plusieurs semaines", a assuré le ministre de la Santé au micro de RTL ce mardi 14 avril.
Olivier Véran explique que le gouvernement a mobilisé les "entreprises qui fabriquent du papier, du textile, afin de réorienter leur production vers la fabrication de masques, dont les normes assurent un certain niveau de filtration qui permet d'avoir une efficacité vis-à-vis du virus". Le ministre reconnaît que "ce n'est pas la même efficacité que les masques destinés aux soignants", les fameux masques FFP2 ou chirurgicaux, mais c'est selon lui "une efficacité qui est nettement supérieure à celle qu'on pourrait avoir en utilisant un torchon ou une écharpe".
Des masques qui seront "probablement disponibles" dans les mairies. Les modalités d'attribution de ces masques sont encore à l'étude mais "l'hypothèse de procéder à partir des collectivités locales, des mairies, est effectivement une des hypothèses que nous envisageons", a assuré Olivier Véran. "Ces masques auront aussi la capacité d'être lavables et donc d'être utilisables plusieurs fois", précise en outre le ministre. Concernant leur gratuité, Olivier Véran se contente d'assurer qu'il "imagine qu'il seront donnés à la population".
Le président de la République a annoncé que l’État va permettre à chaque Français de se procurer « un masque grand public » pour se protéger du coronavirus.
Àpartir du lundi 11 mai, en « lien avec les maires, l’État devra permettre à chaque Français de se procurer un masque grand public » pour se protéger du coronavirus, a indiqué le président de la République Emmanuel Macron lundi 13 avril soir lors de son allocution.
« Pour les professions les plus exposées et pour certaines situations comme dans les transports en commun, son usage pourrait devenir systématique« , a-t-il précisé.
D' »inutile » comme annoncé en début d’année par la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye à « mieux que rien » comme avancé par plusieurs experts début avril, la doctrine sur le port du masque artisanal a bien évolué en quelques semaines, si bien que ces masques paraissent d’un coup indispensables. […]
Seul le masque FFP2 protégerait efficacement du coronavirus. […] Ces masques, qui peuvent être en tissu, ne protègent pas du virus mais ont un avantage : ils limitent les cas contacts et ont un effet dissuasif : impossible de mettre, même par réflexe, la main à la bouche, acte qui représente un risque majeur de transmission du virus. […]
Coronavirus: l’opposition salue le «début de mea-culpa» de Macron
L’allocution du chef de l’État a néanmoins reçu un accueil mitigé de la part de nombreux responsables politiques.
Le président de la République se savait attendu au tournant par l’opposition. Et celle-ci ne se montre pas particulièrement indulgente après les vingt-huit minutes de sa quatrième allocution depuis le début de la crise sanitaire.
«Emmanuel Macron, trop long et pas assez concret, a perdu beaucoup de temps mais il a enfin reconnu les failles du système bureaucratique et financier qu’il avait promu», observe le numéro deux des Républicains, Guillaume Peltier. «On a eu un début de mea-culpa plutôt bienvenu et rare chez le chef de l’État», souligne également Bruno Retailleau, le président du groupe LR au Sénat. Même ton du maire de Nice, Christian Estrosi (LR): «En reconnaissant les carences de l’État, il a fait preuve d’une grande sincérité.» Bruno Retailleau corrige toutefois des «contre-vérités»: «Non, la pénurie de masques n’était pas mondiale ; non, les hôpitaux n’ont pas pu soigner tout le monde.» Le député RN Sébastien Chenu n’apprécie pas «l’auto-justification» du président de la République sur le manque de masques: «Les failles sont liées à l’impréparation et aux politiques menées depuis longtemps. L’Allemagne a fait mieux que nous!» «Il est essentiel que dans le monde d’après la France se redonne les moyens de sa souveraineté», a ajouté sur CNews le vice-président du RN, Jordan Bardella.
«Il était temps»
Ian Brossat, le porte-parole du PCF, estime que «le président promet des masques et des tests. Mais tout cela reste vague et arrive tard, trop tard». Laurent Hénart, le président du Mouvement radical, est moins sévère: «Il a enfin annoncé la mobilisation de moyens massifs nécessaires à la sécurité sanitaire des Français. Il faudra être à la hauteur de leurs attentes en termes de masques et de dépistages.»
À l’évocation du prolongement du confinement, le secrétaire national d’EELV, Julien Bayou, s’interroge sur Twitter: «Pourquoi prendre seul une décision si lourde, pourquoi l’Assemblée n’a-t-elle pas son mot à dire?» Même si Guillaume Peltier s’en félicite: «Le président a enfin donné une perspective de sortie avec la date du 11 mai: il était temps.» Toutefois, Aurélien Pradié, le secrétaire général de LR, émet un doute: «La reprise scolaire me semble irréaliste à mettre en œuvre sans prendre de grands risques.»
Distribution de masques à tous les Français. Dr Jérôme Marty : «Pourquoi attendre encore un mois ?»
Après la quatrième allocution aux Français d’Emmanuel Macron, Jérôme Marty, président du syndicat de médecins UFML (Union française pour une médecine Libre, demande : «Pourquoi attendre encore un mois ?». Pour le docteur, le port du masque obligatoire arrive trop tard, « c’est incontestable».
Pour le médecin, l’urgence aujourd’hui est «d’accélérer les choses pour qu’on puisse enfin protéger la population, non seulement dans les transports en commun, mais aussi dans les cellules familiales». […]
Pour le président de l’UFML, cette urgence à produire et à distribuer des masques en France doit aussi être adoptée pour produire des tests de dépistage au Covid-19. «On n’est pas un pays en voie de développement», lance le médecin, pourtant «on voit qu’il manque encore des réactifs comme des écouvillons». Contrairement à la volonté du président de la République, pour Jérôme Marty, il faudra en priorité dépister les personnes «asymptomatiques», celles qui ne présentent pas de symptôme, puisqu’au mois de mai, «la grippe aura disparu». Toute personne présentant des symptômes sera forcément atteinte par le Covid-19, d’après le président du syndicat de médecins.
"Le 11 mai, nous serons en mesure de tester toute personne ayant un symptôme", déclare Emmanuel Macron. "Les personnes ayant le virus pourront être placées en quarantaine"
Les frontières avec les pays non européens resteront fermées jusqu'à nouvel ordre, annonce Emmanuel Macron. L'usage des masques pourra devenir systématique après le 11 mai.
Macron annonce que la France et l’Europe vont devoir aider « nos voisins d’Afrique » en « annulant massivement leurs dettes »
«Nous devons aussi savoir aider nos voisins d’Afrique sur le plan économique en annulant massivement leur dette», déclare le président de la République Emmanuel Macron
«Nous devons aussi savoir aider nos voisins d'Afrique sur le plan économique en annulant massivement leur dette», déclare le président de la République Emmanuel Macron
«Épouvantable»: au Québec, le Covid-19 dévoile la face cachée du traitement des personnes âgées
Constatant de graves cas de maltraitance, le Premier ministre québécois a annoncé qu’il reverrait le système d’hébergement des personnes âgées. Pour Lyson Marcoux, professeur de psychologie du vieillissement, le Québec devra instaurer une commission d’enquête pour faire la lumière sur cette réalité. Entretien.
Coronavirus : 104 parlementaires demandent au gouvernement la régularisation de tous les clandestins
104 parlementaires issus de 10 partis adressent une lettre à Edouard Philippe pour réclamer la régularisation des sans-papiers face à l’épidémie de Covid-19.
Coronavirus : les syndicats d’enseignants inquiets par la réouverture progressive des écoles, collèges et lycées
Le président de la République a annoncé au cours de son allocution la réouverture progressive des crèches, écoles, collèges et lycées pour mettre fin aux inégalités creusées par les cours à distance. Une décision qui inquiète les syndicats d’enseignants. Dans l’enseignement supérieur, les cours ne reprendront pas avant la rentrée de septembre.
« Trop d’enfants, notamment dans les quartiers populaires, dans nos campagnes, sont privés d’école sans avoir accès au numérique et ne peuvent être aidés de la même manière par les parents, c’est pourquoi nos enfants doivent pouvoir retrouver le chemin des classes « , a expliqué le chef de l’Etat. Il a fait valoir que « le gouvernement aura à aménager des règles particulières, organiser différemment le temps et l’espace, bien protéger nos enseignants et nos enfants avec le matériel nécessaire« .
Selon l’entourage d’Emmanuel Macron, cette annonce d’une réouverture progressive a été dictée par « l’envie de lutter contre les inégalités sociales et d’aider à la reprise du travail« . Le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer a à de nombreuses reprises évoqué le risque de voir se creuser les inégalités en raison de la fermeture des écoles. […]
« C’est tout sauf sérieux de rouvrir les écoles le 11 mai car on nous dit que tous les lieux publics sont fermés, les cinémas, les salles de spectacle, mais pas les écoles, alors que l’on sait que c’est un lieu de haute transmission, de haute contamination , il y a un manque de précaution, ça paraît être en contradiction totale avec le reste« , a réagi Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire.
« Il va y avoir une forte incompréhension de la part des enseignants, on a l’impression d’être sacrifié sur l’autel de l’économie« , a-t-elle dit. « Reprendre dans un mois, comme si de rien n’était, ce n’est pas possible, car il n’y aura pas plus de gens immunisés, les enfants vont être ensemble à l’école, sans gestes barrière possibles, et ensuite aller dans les familles, chez les grands-parents, cela ne paraît pas du tout raisonnable« , a ajouté Francette Popineau. […]
Notre-Dame de Paris : huit questions sur le chantier, un an après l'incendie
Un an après l'incendie de Notre-Dame survenu le 15 avril 2019, qui avait ému le monde entier, ce joyau gothique reste orphelin de sa flèche, sans charpente, avec une voûte fragilisée. La cathédrale demeure en "urgence absolue" selon l'équipe qui veille sur elle, même s'il est très improbable qu'elle s'écroule. Des capteurs chargés d'identifier le moindre mouvement éventuel restent cois : "ça ne bouge pas", assure une source proche du dossier.
Le général Georgelin, ancien chef d'état-major des armées, nommé par Emmanuel Macron, a pris les commandes fin 2019. Un homme à poigne pour arbitrer entre les multiples experts, commissions et métiers impliqués. Mais quid du chantier et de la restauration ? Et quel agenda est-il en train de se dessiner ?
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