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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 16 mars 2020

 

 

 

Une comète arrive, elle est annoncée pour fin mai 2020. Cette comète a été découverte le 28 décembre 2019 et a été nommé  C/2019 Y4 (Atlas)

Est-ce la comète annoncée par Nostradamus  (prédite en un temps ou il auras deux Papes) !

Pour cela il faudra déjà qu'elle survive à son passage près du Soleil et qu'elle ne se fasse pas vaporiser à l'instar de feu la comète ISON (une comète que j'avais suivi avec un grand  intérêt) !  Durant le mois ce mars la comète se déplace dans la constellation de la Grande Ourse. Elle seras vu vers le 15 et  fin de mai, aux jumelle et après a l’œil nue, mais pour l'instant elle est annoncée pas très lumineuse (Nostradamus annonce une comète vue a l’œil nu et impressionnant)

Ps ; merci a Nancy et Christian pour leurs messages

 
	STEFANO SPAZIANI / REA
STEFANO SPAZIANI / REA

 

C 2 - Q 15

Un peu devant monarque trucidé ?
Castor Pollux *en nef, astre crinite :
L'erain public par terre & mer vuidé,
Pise, Ast, Ferrare, Turin terre interdicte.

 

Un peut avant que le Pape soit tué
l'église auras deux frères ( deux Papes * ) alors on verra l'étoile chevelue (la comète)
Par terre et mer (les armées ennemies) pilleront l'argent public 
les villes italiennes de Pise, Ast, Ferrare et Turin seront terre interdite.

 

C 2 - Q 41

La grand' estoille par sept jours bruslera,
Nuee fera deux soleils apparoir:
Le gros mastin toute nuit hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.

 

La grande "comète" brulera sept jours
Dans l'épaisseur des nuages on verra comme deux soleils apparaitre ( la comète et le soleil)
Le gros chien de garde hurlera toute la nuit ( les sirènes / alarmes hurleront toute la nuit)
Quand le Pape changera de territoire

 

C 2 - Q 97

Romain Pontife garde de t'approcher,
De la cité qui deux fleuves arrouse,
Ton sang viendra aupres de la cracher
Toy & les tiens quand fleurira la rose.

 

Pape de Rome gardes-toi de t'approcher
de la ville  arrosé par deux fleuves
Ton sang viendra par là se rependre
Ton sang et celui des tiens ( des cardinaux et sa suite ? ) quand fleurira la rose (avril, mai)  au printemps (Nostradamus nome la rose dans trois quatrain, deux fois pour les socialistes et une fois pour le printemps - mais j'en suis pas sûr pour ce quatrain)   

 

SOURCE

 

Je poste ici quelque autre indication sur cette comète :

 

(..)

Observation pour la première quinzaine de mai

Durant la première moitié du mois de mai C/2019 Y4 Atlas quitte la Girafe pour entrer dans la constellation de Persée. Le 2 mai elle se trouvera à 2°E de l'étoile Bêta Cam (4,03m). Le 15 mai au matin la comète s'approche de l'amas ouvert NGC 1545 (6,2m - 12'), elle devrait alors approcher la magnitude 6 et devenir faiblement perceptible à l'oeil nu sous un ciel parfaitement noir (en première partie de nuit avant que la Lune se lève). Au même moment la comète sera suffisamment lumineuse pour offrir un spectacle intéressant dans une simple paire de jumelles.

Observation pour la seconde quinzaine de mai

Durant la deuxième moitié du mois de mai les conditions de visibilité de la comète se dégrade alors qu'elle continue à gagner en éclat. Comme elle se rapproche progressivement du Soleil il faudra la rechercher dès la tombée de la nuit juste au dessus de l'horizon nord-ouest parmi les étoiles de la constellation de Persée.

Le 24 mai C/2019Y4 ATLAS sera au plus près de la Terre à 0.781 AU, mais comme elle se situera alors quasiment entre notre planète et le Soleil elle sera difficilement observable à ce moment là. A moins qu'elle devienne suffisamment brillante pour être perçue dans les lueurs du crépuscule ! Ce serait une belle surprise ... Le périhélie interviendra quant à lui le 31 mai, la comète passera à seulement 0.262 UA du Soleil (soit 39.2 millions de kilomètres) de notre étoile.

Source ( le

C'est fin mai, qu'elle sera au plus proche de notre étoile : environ 37,5 millions de kilomètres, un quart de la distance entre la Terre et le Soleil. C'est bien sûr à ce moment qu'elle brillera le plus mais ce n'est pas sans risques pour la comète, chahutée et écorchée par les « feux » du Soleil. Le petit corps de glace et de poussière, soumis à des températures élevées et aux pressions du vent solaire, pourrait se briser et anéantir toute chance pour les Terriens de l'admirer.

La comète Atlas va-t-elle devenir la comète de l’année ?

Le contraire peut se produire aussi : la comète pourrait survivre aux déchaînement du rayonnement solaire et nous régaler les jours suivants de l'étirement de sa chevelure flamboyante. Et pourquoi pas être visible en plein jour comme son aînée la « Grande comète de 1844 », laquelle avait marqué les habitants de l'hémisphère Sud. Aînée ou sœur... car les observations suggèrent que les deux astres auraient une même origine, de par leur orbite très similaire.

Le plus souvent imprévisibles, les comètes peuvent autant créer la surprise et se transformer en astre spectaculaire que décevoir par leur éclat au moment de leur passage au plus près du Soleil, le périhélie, dans le Système solaire interne, où nous habitons. Affaire à suivre.

(..)

Une orbite similaire à la « Grande comète de 1844 »

Car oui, fait intéressant et pas des moindres : l'orbite de ce corps de glace et de poussière apparaît très similaire à celle de C/1844 Y1, plus célèbre sous le nom de « Grande comète de 1844 » laquelle avait défrayé la chronique par son éclat inhabituel dans le ciel de l'hémisphère sud - elle était alors visible en plein jour. Il n'est pas exclu par ailleurs que la comète Atlas soit un morceau détaché de ladite « Grande comète » voire, que tous deux soient les fragments d’un astre-parent plus imposant qui se serait brisé voici des siècles.

Alors, la comète Atlas deviendra-t-elle le spectacle céleste de l'année ? Il n'est pas rare que ces astres créent la surprise. So, wait and see... De belles observations aux instruments seront en tout cas envisageables ce printemps.

Lire l'article

 

 

 

 

 

EN DIRECT - Coronavirus: Emmanuel Macron s'exprime à 20h00 à la télévision

 

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En Espagne, près de 1000 cas supplémentaires en 24h

L'Espagne a enregistré près de 1000 cas de nouveau coronavirus en 24 heures et le nombre de morts est passé de 288 dimanche à 297 lundi, selon le nouveau bilan publié par les autorités.

Le nombre de cas confirmés est passé à 8744, a indiqué Fernando Simon, responsable du centre d'alerte sanitaire national. Cette croissance du nombre de cas dénote toutefois un ralentissement puisque 2000 nouveaux cas avaient été détectés entre samedi et dimanche....

 

LIRE AUSSI : Coronavirus : 625 policiers et 350 gendarmes confinés en France, les tribunaux fermés par le ministère de la justice

 

 

 

Covid-19 en continu: la situation en France est «très inquiétante» et «se détériore très vite»

 

Désormais, le bilan des décès dus au nouveau coronavirus atteint plus de 6.000 morts à travers le monde. En Europe, les confinements de populations et les fermetures de frontières se multiplient. Retrouvez les dernières informations liées à la pandémie de Covid-19 en France et à travers le monde.

Au soir de la journée électorale des municipales en France, le bilan de l’épidémie était passé dimanche 15 mars à 127 morts, soit 36 de plus que samedi, et 5.423 cas de contamination confirmés, soit plus de 900 cas supplémentaires, selon l’Agence nationale de santé publique. Alors que les autorités demandent de rester chez soi, les cas de contamination en une journée ont connu leur plus forte hausse depuis le début de l’épidémie.

Jérôme Salomon s’alarme sur l’état des choses en France

La situation en France est «très inquiétante» et «se détériore très vite», a indiqué sur France Inter Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, craignant une «saturation» des hôpitaux.

«Le nombre de cas double désormais tous les trois jours» mais «je voudrais surtout que nos concitoyens se rendent compte qu'il y a des personnes qui sont malades, en réanimation et dont le pronostic vital est engagé, et ces personnes se chiffrent en centaines», a-t-il poursuivi.

Inquiétude à la Maison-Blanche

De l’autre côté du globe, Donald Trump s'est montré optimiste après un geste fort de la Banque centrale américaine pour juguler l'impact économique de la pandémie. Toutefois, ses experts ont mis en garde contre «un pic» à venir des cas de coronavirus aux États-Unis, où plus de 3.000 cas ont été officiellement déclarés, pour plus de 60 morts.

«C'est un virus très contagieux, c'est incroyable. Mais c'est quelque chose sur lequel nous avons un contrôle extraordinaire», a affirmé le Président américain, lors d'un conférence de presse à la Maison-Blanche.

Les experts chargés du dossier ont donné un autre ton lors de la même conférence de presse. «Le pire est à venir», a déclaré le directeur de l'Institut national des maladies infectieuses, Anthony Fauci. «La façon dont nous répondrons à ce défi déterminera là où nous nous retrouverons au final. Nous en sommes à un stade très, très décisif».

Voici le point sur la propagation du coronavirus ce lundi:

  • Un premier décès a été annoncé dans l'Outre-mer, en Martinique
  • La Serbie déclare l’état d’urgence
  • En République tchèque, le gouvernement a annoncé que la libre circulation de l'ensemble des citoyens serait limitée pendant huit jours
  • New York fermera ses restaurants, cafés, bars, boîtes de nuit et cinémas à partir de mardi matin
  • La Russie limite le trafic aérien avec l’UE, la Suisse et la Norvège

Source

LIRE AUSSI : L’Allemagne verrouille à son tour ses frontières

 

 

 

L’OMS prédit une accélération des décès dus au coronavirus en Europe

 

Avec la barre des 2.000 décès franchie ce dimanche, le nombre de morts dans les pays européens provoquées par le nouveau coronavirus risque d'augmenter «dans les jours et semaines à venir», plusieurs pays étant actuellement aux premiers stades de la pandémie, a annoncé à Sputnik le représentant de l’OMS Tarik Jasarevic.

L’Europe fera face à davantage de décès causés par le Covid-19 dans un proche avenir, a estimé à Sputnik le représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Tarik Jasarevic, y apportant ses explications.

«La flambée des cas en Italie a pris plus de temps que dans les autres pays européens, c’est pourquoi la majorité des patients soit se rétabliront soit mourront. Dans d'autres États européens qui sont à un stade plus précoce de l'épidémie, le nombre de décès peut augmenter dans les prochains jours ou semaines», a-t-il déclaré.

Impossible de prédire le pic en Italie

D’après M.Jasarevic, les experts de l'OMS ne sont pas encore en mesure de prédire quand adviendra le pic des infections en Italie. Néanmoins, plusieurs personnes décédées étaient tombées malades il y a deux ou trois semaines.

«Une forte augmentation de trois à des centaines de cas en quelques jours a limité la capacité de l'Italie à surveiller les contacts et à les isoler. Le fait qu’un certain nombre de cas dans le nord de l’Italie n’avaient pas eu de relation épidémiologique claire est devenu un problème important. Ceux qui ont trouvé la mort à cause du Covid-19 avaient en moyenne été contaminés il y a deux ou trois semaines», a précisé le spécialiste.

Plus de 2.000 morts en Europe

La barre des 2.000 décès dus au nouveau coronavirus en Europe a été franchie le 15 mars, portant le bilan à plus de 6.000 morts à travers le monde, où les confinements de populations et les fermetures de frontières se multiplient.

L'Italie a fait état dimanche de 368 décès en l'espace de 24 heures, soit un chiffre largement supérieur à ce que la Chine annonçait quotidiennement, même au plus fort de l'épidémie.

Source

LIRE AUSSI : Coronavirus - un décret pourrait instaurer un couvre-feu à 18 h à partir de mardi en France

 

 

 

 

 

Une deuxième vague de Covid-19 pourrait frapper la Chine, selon un virologue US

 

Le principal responsable états-unien en maladies infectieuses met en garde contre le risque d’une nouvelle vague de l’épidémie due au coronavirus en Chine après la levée de la quarantaine.

Avec la levée prochaine de la quarantaine au coronavirus en Chine, une deuxième vague de Covid-19 pourrait frapper le pays, estime le directeur de l’Institut national américain des allergies et maladies infectieuses, Anthony Fauci.

«La Chine s’est tout simplement isolée […]. Au fur et à mesure qu’ils lèveront les restrictions et reprendront une vie normale, une nouvelle vague de maladie pourrait survenir. J’espère toutefois que cela ne sera pas le cas», a déclaré le principal responsable fédéral en maladies infectieuses sur la chaîne télévisée ABC.

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Coronavirus: jusqu’à 500.000 morts en France selon le pire des scénarios

 

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« 50 à 70 % de la population finissent par être contaminés »

Avec 36 décès et plus de 900 cas confirmés supplémentaires en vingt-quatre heures, la France compte désormais 5 423 cas confirmés de contamination, dont 127 mortels. Plus de 400 personnes sont hospitalisées dans un état grave. Le ministre de l’éducation, Jean-Michel Blanquer, a estimé dimanche sur Franceinfo que l’épidémie de coronavirus toucherait « probablement » plus de la moitié de la population française.

Selon des modélisations confidentielles préparées par des experts regroupés à la demande du président de la République, dont Le Monde a eu connaissance, l’épidémie de Covid-19 pourrait provoquer, dans le pire des cas en France, en l’absence de toute mesure de prévention ou d’endiguement, de 300 000 à 500 000 morts.

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L’Élysée relativise

Invité à réagir à ces chiffres, l’Élysée a confirmé que différentes modélisations avaient été présentées à Emmanuel Macron par le conseil, mais qu’il n’existait pas de consensus parmi ses membres.

«On ne peut donc pas considérer qu’une étude fournie par l’un de ses membres reflète l’avis du conseil scientifique dans son ensemble», explique-t-on à l’Élysée.

Dans le même temps, le quotidien rappelle que le nombre de cas de Covid-19 «double maintenant toutes les 72 heures» et qu’environ trois cents personnes sont déjà hospitalisées en réanimation.

«Dans les régions où le virus est le plus présent, les services de réanimation font depuis quelques jours face à un afflux de patients graves, et redoutent de ne plus pouvoir faire face si le rythme de l’épidémie ne ralentit pas», souligne Le Monde.

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Note : le journal le Monde a fini  par changer son titre, beaucoup  trop alarmiste 

La contamination baisse en Chine et le virus auras du mal a continué à sévir avec l'arrivée des chaleurs  de l’été (a condition de prendre des restrictions impotentes et que tous les autre pays face de même)

 

 

Bill Gates et la CIA avaient prévu la pandémie, et nous ne sommes pas prêts

 

Le fondateur de Microsoft, ainsi que les analystes de la CIA, avaient averti sur les risques d’une pandémie semblable à celle du Covid-19.

Les grandes catastrophes s’accompagnent toujours de leurs foules de Cassandre de la douzième heure et de leurs litanies à base de « je vous l’avais bien dit ». En l’occurrence, ce sont les recommandations YouTube, souvent taquines comme chacun le sait, qui ont exhumé ces derniers jours sur de nombreuses « timelines » une intervention de Bill Gates qui, il y a cinq ans, décrivait ses craintes d’une pandémie virale très semblable à celle que nous vivons depuis plusieurs semaines.

Ce « TED talk » (ces mini-conférences qui font un carton en ligne) d’un peu moins de 10 minutes a été vu par près de 5 millions de personnes sur YouTube et s’intitule sobrement « La prochaine épidémie ? Nous ne sommes pas prêts ». Bill Gates, alors encore l’homme le plus riche du monde, y décrit une de ses obsessions, que l’on peut retrouver dans de nombreuses interviews du philanthrope à la même époque : l’irruption d’une pandémie à laquelle l’humanité ne serait pas préparée. Nous sommes alors en mars 2015, dans la foulée de la terrible épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, restée essentiellement contenue à trois pays grâce à l’investissement des ONG dont MSF.

« Quand j’étais petit, la catastrophe dont nous avions le plus peur était un conflit nucléaire », commence le fondateur de Microsoft. « Mais si quelque chose tue plus de 10 millions de personnes dans les prochaines décennies, ce sera plus probablement un virus hautement contagieux qu’une guerre. […] Nous avons investi beaucoup dans la dissuasion nucléaire, et très peu dans un système pour endiguer les épidémies. Nous ne sommes pas prêts. »

 

(Note : les deux (guerre et virus) pourraient bien arrivé dans la mème période )

 

En ce qui concerne Ebola, « le problème était qu’il n’y avait pas de système », tranche Bill Gates, qui vient de suivre la progression, via son influente fondation humanitaire, de cette épidémie qui a fait plus de 10 000 morts au Liberia, en Sierra Leone et en Guinée. « Nous n’avions pas d’équipe d’épidémiologistes prête à partir sur place, les rapports arrivaient sur papier et étaient inexacts. » L’OMS, dont ce serait le rôle, n’est pas armée pour le faire, souligne-t-il.

« Nous pourrions avoir moins de chance »

Bill Gates craint alors une épidémie plus mortelle et surtout plus étendue qu’Ebola, qu’il qualifie d’avertissement planétaire. « Il y a trois raisons pour lesquelles Ebola ne s’est pas propagé davantage », explique le milliardaire :

  • « Un travail héroïque des équipes de santé, qui ont évité la propagation des infections sur place […]
  • La nature du virus, qui ne se propage pas dans l’air : au moment où ils deviennent contagieux, la plupart des gens sont tellement malades qu’ils restent cloués au lit […]
  • Le fait qu’Ebola ait touché très peu de zones urbaines, ce qui relève simplement de la chance. »

« La prochaine fois, nous pourrions avoir moins de chance », avertit Bill Gates. « Imaginez un autre virus, avec lequel les gens infectés se sentiraient suffisamment en forme pour prendre l’avion ou aller au supermarché. […] D’autres variables rendraient les choses mille fois pires : par exemple, un virus capable de se propager dans l’air comme la grippe espagnole de 1918. »

Il est désormais prouvé que le Covid-19 survit trois heures en suspension dans l’air, que les symptômes peuvent mettre deux semaines à apparaître et que les personnes infectées peuvent être contagieuses même en période d’incubation.

Certes, les avancées de la communication et de la biologie donnent des armes à l’humanité pour riposter rapidement. « Il n’y a pas lieu de paniquer… Mais nous devons nous y mettre », conclut le Bill Gates de 2015, qui plaide pour un « système de santé mondial », avec des unités médicales mobiles et de réservistes.

« Je n’ai pas un budget précis, mais il serait minime par rapport aux dégâts potentiels. La Banque mondiale estime qu’une épidémie mondiale de grippe diminuerait la richesse mondiale de 3 000 milliards de dollars, en plus des millions de morts.

 

Rapport de la CIA, 2009.
La prospective peut s’avérer étonnamment juste.

Vers une guerre de religion, infos du 16 mars 2020

Source de l'image twitter.com

 

« Dans une zone comme il en existe en Chine… »

Un petit livre à la couverture rouge, plus ancien que la conférence de Bill Gates, est également réapparu sur les réseaux sociaux ces dernières heures. « Le nouveau rapport de la CIA : comment sera le monde en 2025 ? », dont l’édition française est parue aux éditions Robert Laffont en 2009, est la quatrième édition d’un rapport de l’agence de renseignement américain, qui tente régulièrement de prédire l’avenir du monde dans un horizon de quinze à vingt ans, en pointant l’émergence de facteurs susceptibles de provoquer conflits et tensions. Dans un encart intitulé « Le déclenchement possible d’une pandémie mondiale », les experts de la CIA y décrivent un scénario très proche de la crise du Covid-19, imaginant « l’apparition d’une nouvelle maladie respiratoire humaine virulente, extrêmement contagieuse ».

Le texte prévoit même dans quelle zone et dans quelles circonstances ce nouveau virus pourrait émerger : « Si une maladie pandémique se déclare, ce sera sans doute dans une zone à forte densité de population, de grande proximité entre humains et animaux, comme il en existe en Chine et dans le Sud-Est asiatique où les populations vivent au contact du bétail. »

Les pratiques d’élevage à l’œuvre dans ces zones sont des vecteurs de contagion virale au sein des populations animales et de transmission à l’homme, soulignent les auteurs en rappelant l’exemple de la grippe H5N1. « Dans un tel scénario, la maladie tarderait à être identifiée si le pays d’origine ne disposait pas des moyens adéquats pour la détecter », redoutent les analystes. « Il faudrait des semaines pour que les laboratoires fournissent des résultats définitifs confirmant l’existence d’une maladie risquant de muter en pandémie. »

Les premiers cas de Covid-19 ont été recensés le 31 décembre dernier, trois semaines après l’apparition des premiers symptômes chez des employés du marché de fruits de mer de Huanan, à Wuhan. L’OMS n’a déclaré l’état d’urgence sanitaire que le 30 janvier.

« Des tensions ne manqueraient pas d’éclater »

Alors, prédisaient les auteurs, les Etats tenteront de contrôler et limiter les mouvements de leurs populations, avec difficulté et sans garantie de succès. Là encore, la présence de malades asymptomatiques serait un facteur aggravant : « en dépit de restrictions limitant les déplacements internationaux, des voyageurs présentant peu ou pas de symptômes pourraient transporter le virus sur les autres continents ».

Le nombre de malades augmenterait alors de mois en mois, en l’absence d’un vaccin efficace. « Dans le pire des cas, ce sont de dix à plusieurs centaines de millions d’Occidentaux qui contracteraient la maladie », écrit la CIA, qui prévoit également un choc économique majeur, avec une « dégradation des infrastructures vitales et des pertes économiques à l’échelle mondiale ». Si le facteur pathogène s’avérait particulièrement virulent, un bilan humain mondial se comptant en centaines de millions de morts serait même à envisager.

Certes, le monde se prépare alors à une telle éventualité, rassure la CIA, rappelant que des centres de recherche travaillent à la mise au point de vaccins capables de prévenir ou limiter les pandémies de grippe : « Un résultat positif dans les prochaines années réduirait le risque que représente une telle pandémie pour les décennies à venir. »

Avec ce bémol :

« Si une telle maladie apparaît d’ici à 2025, des tensions et des conflits internes ou transfrontaliers ne manqueront pas d’éclater ».

Dans la foulée de l’épidémie d’Ebola de 2014-2015, le Conseil de sécurité national (NSC) de la Maison-Blanche se dotait d’une unité de lutte contre les pandémies, dirigée par des experts mondialement reconnus. En mai 2018, l’administration Trump supprimait cette équipe, la jugeant inutile. Vendredi 13 mars en conférence de presse, Donald Trump a rétorqué à la journaliste qui l’interrogeait sur cette décision que sa question était « méchante »

 

Trois usines de cosmétiques de LVMH se sont mises à fabriquer du gel hydroalcoolique, 12 tonnes reçues gratuitement par les hôpitaux ce lundi

 

Le groupe de luxe LVMH va fabriquer « en grande quantité » du gel hydroalcoolique sur trois de ses sites de production français dédiés d’ordinaire à ses parfums et cosmétiques (Dior, Guerlain et Givenchy), et le donnera aux hôpitaux, annonce-t-il dimanche.
[…]
Ces gels seront ensuite « livrés gracieusement aux autorités sanitaires françaises, prioritairement » aux 39 hôpitaux de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), une initiative qui durera « le temps nécessaire », dit le groupe.
[…]

BFM TV

LVMH livrera dès ce lundi 12 tonnes de gel hydroalcoolique aux hôpitaux de Paris

L’Express

 

 

 

Coronavirus : l'Allemagne confirme que Donald Trump a tenté d'acheter une entreprise travaillant sur un vaccin

 

Si ce laboratoire plaît autant au président américain, c'est qu'il affirme être "à quelques mois" d'un projet de vaccin. L'Allemagne a opposé une fin de non-recevoir.

Donald Trump, le président des Etats-Unis, le 14 mars 2020, à Washington.
Donald Trump, le président des Etats-Unis, le 14 mars 2020, à Washington. (JIM WATSON / AFP)

Après avoir qualifié le coronavirus de "virus européen", Donald Trump ne serait désormais pas contre s'offrir les services de chercheurs allemands qui travaillent actuellement à l'élaboration d'un vaccin. C'est en tout cas ce qu'affirme le quotidien allemand Die Welt (article en allemand), dimanche 15 mars.

Selon le journal, le président américain souhaite faire main basse sur le laboratoire CureVac, situé à Tübingen (Land de Bade-Wurtemberg), dans le sud-ouest du pays, en lui proposant une très grosse somme d'argent. Une information confirmée par le gouvernement allemand dans la foulée. "Je peux juste dire que j'ai entendu aujourd'hui, à plusieurs reprises, de la part de membres du gouvernement que c'est exact", a expliqué le ministre de l'Intérieur, Horst Seehofer, lors d'une conférence de presse.

Ce dernier a d'ailleurs annoncé que le sujet serait abordé lundi par le "comité de crise" du gouvernement chargé de piloter la lutte contre l'épidémie de coronavirus, qui a touché à ce jour en Allemagne près de 5 000 personnes et fait 12 morts.

"A quelques mois" d'un projet de vaccin

Si ce laboratoire plaît autant à Donald Trump, c'est parce qu'il est un de ceux dans le monde qui travaillent sur un vaccin, en bénéficiant de subventions du gouvernement allemand. Il affirme être "à quelques mois" de pouvoir présenter un projet pour validation.

Selon le journal allemand, le président américain essaie donc d'attirer à coups de millions de dollars des scientifiques allemands travaillant sur ce potentiel vaccin ou d'en obtenir l'exclusivité pour son pays en investissant dans l'entreprise. Ce vaccin serait alors "seulement pour les Etats-Unis", a affirmé au journal une source proche du gouvernement allemand.

Le PDG du laboratoire a d'ailleurs été personnellement invité par le président américain le 3 mars à la Maison Blanche pour discuter "des stratégies et des opportunités visant à un développement rapide d'un vaccin contre le coronavirus", selon un communiqué rendu public par la société elle-même. Curieusement, la société CureVac a annoncé une semaine plus tard, le 11 mars, le départ surprise de ce PDG, sans donner de raison. C'est qu'entretemps la résistance s'est manifestement organisée côté allemand, et notamment au sein de l'entreprise concernée, face aux velléités américaines.

Source

 

 

 

Coronavirus : L’État islamique déconseille à ses djihadistes de se rendre en Europe

 

Le groupe djihadiste État islamique exhorte ses troupes à ne pas se rendre en Europe pour le djihad à cause de la pandémie du coronavirus.

Après des années à exhorter les terroristes à attaquer les grandes villes européennes, Daesh leur conseille maintenant de se tenir à l’écart en raison de la propagation de la COVID-19, a rapporté dimanche le New York Post.

Cependant, tous les djihadistes malades déjà en Europe devraient y rester, probablement pour infester les «infidèles», selon une fatwa [édit religieux] publiée dans le bulletin de propagande Al-Naba, selon ce qu’a rapporté The Sunday Times.

«Les personnes en bonne santé ne doivent pas entrer dans les pays affectés par l’épidémie et celles qui sont contaminées ne doivent pas en sortir», a indiqué le bulletin qui y voit dans l’émergence de la pandémie du COVID-19 un «châtiment de Dieu».

[…]

JournaldeMontreal

 

 

Coronavirus: l’avenir s’assombrit pour le pétrole saoudien

 

Au terme de la pire semaine sur les marchés du pétrole depuis la crise de 2008, la compagnie pétrolière saoudienne Aramco vient de publier pour la première fois ses résultats annuels ce dimanche. Ils font état d’un résultat net de 88,2 milliards, en baisse de 20,6 % par rapport à 2018. Des profits qui restent énormes sachant qu’à son introduction en Bourse fin 2019, Saudi Aramco était - et demeure encore - la première valorisation boursière mondiale et que ses bénéfices 2018 dépassaient ceux d’Apple et Google réunis.

Mais, entre-temps, la donne a bien changé. Sur fond de pandémie du coronavirus, c’est une véritable guerre des prix qui s’est déclenchée entre les principaux producteurs de pétrole. Depuis un pic atteint il y a un peu plus de deux mois, les cours ont perdu un peu plus de la moitié de leur valeur pour s’afficher à 31,73 dollars le baril à New York, avec un plongeon de près de 25 % pour la seule journée de lundi dernier.

Lire la suite

 

Note:  Ils se sont assez gavés pendant des années, surtout en maintenant les prix au plus haut possible. J’espère qu'ils  s'en relèveront pas

À lire cette article du  2 avril 2019  : 111 milliards de bénéfices: Saudi Aramco, l’entreprise la plus rentable du monde

 

 

 

Municipales : « Vivre ensemble à Annecy », la liste « la plus représentative de la population française »

 

[…]

En Haute-Savoie, la liste « Vivre ensemble à Annecy » a été déposée au tout dernier moment en préfecture la semaine dernière. Daniel Salem Chiad, chauffeur de tramway à Genève, dément être à la tête d’un groupe « communautaire ». « Je voudrais savoir quel sont les critères qui leur permettent de dire que nous sommes une liste communautariste », s’étonne Daniel Salem Chiad au micro de France Bleu Pays de Savoie, en précisant qu’il va écrire en lettre recommandée à la préfecture de Haute-Savoie, au ministère de l’Intérieur et au président de la République. « Nous sommes une liste citoyenne, 100% issue de la société civile, nous avons la liste la plus représentative de la population française et annécienne ».

[…]

 

 

Saint-Étienne-du-Rouvray : le maire communiste réélu avec 79% des voix, un imam proche des Frères musulmans en 2ème position

 

Le maire sortant PCF, Joachim Moyse, a été confortablement réélu avec 78,94% des suffrages. Brahim Charafi, adhérent au MoDem et épinglé pour des messages sur les « sionistes », a réuni 13,68% des voix.

Un plébiscite habituel. Dans la commune populaire de Saint-Etienne-du-Rouvray, le Parti communiste règne sans partage depuis des décennies. Les élections municipales de 2020 n’ont pas fait exception : dans cette commune normande de près de 30.000 habitants, endeuillée par l’assassinat du père Jacques Hamel en 2016, le maire sortant Joachim Moyse a réuni 78,94% des voix pour être confortablement réélu dès le premier tour.

Une abstention très forte

Loin derrière lui, Brahim Charafi, étiqueté divers centre, fait un score honorable avec 13,68%, devant Noura Hamiche (2%), soutenue par le NPA. Brahim Charafi, adhérent du MoDem, présentait un profil atypique pour cette élection : il est également imam, a fondé une librairie islamique et enseigne à l’IESH de Saint-Denis, un centre d’études religieux réputé adhérer à l’idéologie des Frères musulmans.

Marianne

 

Note ; lors de mes nombreux dialogues avec des musulmans sur le net , je me sui rendu compte, justement  que beaucoup apprécier  le communiste

 

 

 

Saint Galmier (42). Un médecin intervient dans le bureau de vote : « Vous comptez les bulletins et nous on comptera les morts »

 

Le 15/03

Dimanche, en milieu de matinée, un médecin est entré dans un bureau de vote de Saint-Galmier. Très inquiet face aux risques exponentiels de propagation actuels du virus, le praticien, qui n’a pas voté, a estimé « totalement inadmissible et totalement irresponsable » d’avoir maintenu les élections municipales.

« Vous comptez les bulletins et nous, nous compterons probablement les morts dans les dix prochains jours », s’est-il exclamé avant de repartir…

« Il est révoltant de voir que des masques sont utilisés pour des élections alors que des professionnels de santé, au contact avec des personnes fragiles, n’en n’ont pas assez dans le cadre de leur activité. Il y a un risque réel. Nous sommes obligés, dans nos services, de faire le décompte des masques pour la sécurité des patients, de nos personnels de santé et de nous-mêmes. »

(…) Le Progrès

 

 

 

Municipales : « Il est important de voter dans ces moments-là », martèle Emmanuel Macron

 

  Le 15/03

Le chef de l’État a demandé aux Français de rester «des citoyens dignes, libres» en allant voter pour le premier tour des élections municipales.

« Je suis garant de la sécurité, de la santé de nos concitoyens mais également de la vie démocratique de notre pays », a également voulu rappeler Emmanuel Macron.

(…) Le Figaro

 

Coronavirus : « C’est terrible », le témoignage glaçant de Jean Rottner, médecin et président de la région Grand Est

 

Le président de la région Grand Est, également médecin urgentiste, est confronté à une saturation des moyens en Alsace, l’un des principaux foyers de contamination.

« Vous savez, insiste celui qui est aussi urgentiste à l’hôpital de Mulhouse, nous sommes dans l’œil du cyclone depuis le 1er mars. C’est là qu’on a vu arriver les choses. En dehors de l’Alsace, je crois que les Français ne mesurent pas encore ce que cette crise sanitaire veut dire. C’est terrible. Des jeunes qu’il faut intuber de toute urgence, des personnes âgées balayées en quelques heures, des équipes médicales qui arrivent à saturation complète après 15 jours de mobilisation, des gens en pleurs, des plans nationaux, la peur pour soi et pour ses proches… Quand on est dedans, les choses sont extrêmement compliquées », raconte le premier adjoint au maire de Mulhouse.

(…) Le Figaro

 

 

Paris : un policier attaqué au couteau alors qu’il se rendait à son travail, l’agresseur lui a sectionné une partie de l’oreille

 

L’agression était « gratuite », selon une source policière. Dimanche 15 mars 2020, vers 5h30 du matin, un policier se rendant au travail a été agressé à l’arme blanche dans le 13ème arrondissement de Paris. L’auteur a été interpellé.

L’agression a eu lieu rue Nicolas Roret, au niveau d’un arrêt de bus. Le policier agressé a, selon nos informations, senti une piqûre à l’oreille gauche, voyant ensuite un homme prendre la fuite. Appelant la police, le policier en civil a fourni le signalement du suspect. Il a été interpellé à l’angle du boulevard Saint-Marcel et de la rue Duméril, avec un couteau et placé en garde à vue.

C’est avec cette arme qu’il a agressé « gratuitement » le policier hors fonction, lui sectionnant une partie du lobe de l’oreille. La victime a été hospitalisée à La Pitié-Salpêtrière, recevant 21 points de suture et 30 jours d’ITT. Une plainte a été déposée.

Actu.fr

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