Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Nucléaire: l'Iran met en garde l'AIEA après la procédure déclenchée par les Européens
Le président du Parlement iranien a mis en garde dimanche l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) contre de «graves» répercussions après le déclenchement par les Européens du mécanisme de règlement des différends (MRD) contre l'Iran.
Les trois États européens (France, Allemagne, Grande-Bretagne) parties à l'accord sur le nucléaire iranien conclu à Vienne en 2015 ont annoncé mardi avoir déclenché le MRD pour tenter de contraindre Téhéran à revenir à l'application totale de ce texte contraignant pour son programme nucléaire.
Le pacte passé entre la République islamique et le groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) menace de voler en éclats depuis que le président américain Donald Trump s'en est retiré unilatéralement en 2018, avant de rétablir de lourdes sanctions économiques contre l'Iran.
Berlin, Paris et Londres maintiennent qu'ils restent engagés dans l'accord, mais Téhéran les accuse d'inaction.
«Ce que ces trois pays européens ont fait sur le dossier du nucléaire iranien (...) est regrettable», a affirmé dimanche le président du Parlement, Ali Larijani, cité par l'agence officielle Irna. «Nous annonçons clairement que si l'Europe, pour quelque raison que ce soit, utilise l'article 37 de l'accord sur le nucléaire de manière injuste [dans la foulée du MRD, ndlr], alors l'Iran prendra une grave décision sur la coopération avec l'Agence», a-t-il ajouté, en référence à l'AIEA.
Yémen: Au moins 100 soldats progouvernement tués dans une attaque des Houthis
GUERREUne guerre civile ravage ce pays de la péninsule Arabique depuis près de cinq ans
Des soldats houthis. (archives) — Hani Mohammed/AP/SIPA
Au moins 100 soldats progouvernement ont été tués, samedi, dans un tir de missile des rebelles houthis contre la mosquée de leur camp, ont indiqué dimanche des médecins et des responsables militaires. Le drame s’est produit dans la province de Marib à l’est de Sanaa, au Yemen
Les morts et les blessés ont été transportés dans l’hôpital de la ville de Marib, chef-lieu de la province de même nom. Le bilan a été confirmé par des responsables militaires progouvernementaux, qui ont affirmé que l’attaque avait été lancée par les Houthis. Le président Abd Rabbo Mansour Hadi a également accusé les rebelles d’être responsables de l’attaque, qu’il a qualifiée de « lâche et terroriste », selon l’agence officielle Saba. Il n’y a cependant pas eu pour le moment de revendication.
La mosquée visée par un drone
Le gouvernement du président Hadi, reconnu par la communauté internationale et soutenu par une coalition militaire menée par l’Arabie saoudite, est en guerre contre les rebelles depuis 2014, année à laquelle ils ont pris la capitale Sanaa et une bonne partie du nord du Yémen. L’attaque a visé un camp militaire de la province de Marib situé à 170 km à l’est de la capitale, selon une source militaire.
Libye: la conférence de Berlin appelle à renforcer l’embargo sur les armes
Les participants se sont engagés à mettre fin aux «interférences» étrangères dans ce conflit.
La paix ou un fiasco… Lors de l’ouverture de la conférence de Berlin sur la Libye, dimanche à 14 h 30, l’issue des négociations semblait des plus incertaines. Au terme de la réunion, Angela Merkel a voulu saluer «une nouvelle impulsion». Les participants, a-t-elle indiqué, sont tombés d’accord pour réclamer «un cessez-le-feu permanent» et renforcer l’embargo sur les armes. Selon le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, ils ont promis de renoncer à toute «interférence» étrangère dans le conflit.«Tous les participants souhaitent une solution politique au conflit», a conclu la chancelière. Mais le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a souligné qu’«il n’y a toujours pas de dialogue sérieux entre les belligérants».
Plus tôt dans la journée, onze chefs d’État et de gouvernement ainsi que les représentants de quatre institutions internationales dont l’ONU et l’Union européenne, avaient pris place autour de l’immense table ronde en bois clair de la chancellerie. Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan, directement impliqués dans le conflit, sont venus à Berlin, de même qu’Emmanuel Macron, Boris Johnson et Giuseppe Conte. Les États-Unis sont représentés par Mike Pompeo. Seuls les belligérants manquaient autour de la table.
Le général Haftar, dont les troupes contrôlent 80 % du pays, et le chef du Gouvernement d’union nationale (GNA), Fayez al-Sarraj, reconnu par la communauté internationale, ne se sont pas croisés à Berlin
La base syrienne de Hmeimim attaquée par des drones, la défense antiaérienne les détruit
La base aérienne de Hmeimim, en Syrie, a repoussé une attaque de drones organisée par des radicaux: trois appareils ont été abattus, a annoncé le ministère russe de la Défense.
Des radicaux ont entrepris d’attaquer l’aérodrome militaire de Hmeimim, dans le gouvernorat syrien de Lattaquié, à l'aide de drones, a annoncé dimanche 19 janvier le ministère russe de la Défense.
Trois drones, venant du nord-est à la tombée de la nuit, ont ainsi été abattus par les systèmes de défense antiaérienne du site militaire russe.
«Les systèmes de missiles sol-air de la base aérienne russe ont détruit ces cibles à une distance sûre. Il n'y a pas de blessés, ni de dégâts matériels. La base russe de Hmeimim fonctionne comme d'habitude», a précisé le ministère dans un communiqué.
Ces derniers mois, la base a été la cible de plusieurs dizaines d'attaques de drones qui ont toutes été repoussées, rappelle l'agence de presse syrienne Sana.
Trump raconte la frappe contre Soleimani : «10, 9, 8... boum !»
Enregistré à son insu dans sa résidence en Floride, le président américain a livré l'effrayant récit de la mort programmée du général iranien.
Ce récit, le président des Etats-Unis l'a livré vendredi soir à des donateurs du Parti républicain réunis dans sa résidence de Mar-a-Lago, en FlorideNicholas Kamm / AFP
La chaîne américaine CNN a diffusé samedi 18 janvier l'enregistrement sonore qu'elle s'est procuré, dans lequel on entend Donald Trump parler du général iranien Soleimani éliminé le 3 janvier à l'aéroport de Bagdad avec son lieutenant irakien Abou Mehdi al-Mouhandis.
Cet enregistrement aurait été réalisé lors de l'un de ses dîners privés de levée de fonds. Ce vendredi 17 janvier, il s'est ainsi livré à des donateurs du Parti républicain réunis dans sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride. «Boum!», se vante le président américain lorsqu'il raconte les derniers instants du puissant général. «Il méritait qu'on le frappe durement parce qu'il était méchant», se justifie-t-il. Selon lui, juste avant le raid américain, «il disait des mauvaises choses sur notre pays, genre 'on va l'attaquer', 'on va tuer des Américains' , et alors j'ai dit : 'écoutez, combien de temps va-t-on devoir écouter ces conneries?'».
Un récit hallucinant où le président américain décrit l'opération du 3 janvier à Bagdad, allant jusqu'à imiter les militaires américains qui s'adressaient à lui grâce à des caméras «à des kilomètres d'altitude dans le ciel», lui permettant de suivre les événements en simultané depuis les États-Unis. : «Ils me disent : 'ils sont ensemble Monsieur et ils ont 2 minutes et 11 secondes à vivre.' Il n'y a pas d'émotions. 'Ils sont dans la voiture, ils sont dans un véhicule blindé, Monsieur, ils ont encore 1 minute à vivre, 30 secondes, 10, 9, 8, et soudainement boum ! Ils sont partis Monsieur'».
Une frappe dit-il, qui a «secoué le monde» certes, mais, selon lui, «il méritait qu'on le frappe durement parce qu'il était méchant, il a tué des centaines de milliers de personnes et des milliers d'américains», assure-t-il.
«Il était censé être invincible», a-t-il lancé. Le président américain s'est alors réjoui d'en avoir éliminé «deux pour le prix d'un», Qassem Soleimani et Abou Mehdi al-Mouhandis.
Après de nombreuses péripéties, Erdogan annonce la fin de la réalisation de l’accord sur les S-400
La Russie et la Turquie ont «résolument» été jusqu’au bout de l’accord sur la livraison des systèmes de défense antiaérienne S-400, «malgré toutes les pressions», a déclaré Recep Tayyip Erdogan lors d’une rencontre avec Vladimir Poutine.
L’achat a valu à la Turquie son exclusion du programme F-35 et de nombreuses menaces de la part des États-Unis. Cette issue fructueuse de l’accord sur les S-400 russes a été annoncée par le Président turc lors d’une réunion avec son homologue russe à Berlin, avant la conférence sur la Libye.
«Nous avons beaucoup apprécié l'année qui vient de s’écouler en ce qui concerne nos relations bilatérales. Malgré toutes les pressions, nous avons résolument été jusqu’au bout de l'accord sur les S-400», a-t-il déclaré.
Rappelant aussi l'achèvement du projet Turkish Stream, M.Erdogan a également tenu à attirer l'attention sur un projet conjoint de construction de centrale nucléaire en Turquie, notant son importance.
Salvini promet de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël s’il devient Premier ministre
Le Secrétaire général de la Ligue italienne Matteo Salvini s’est engagé à reconnaître Jérusalem comme capitale de l’État hébreu s’il accède un jour au poste de Premier ministre.
Dans un entretien accordé au journal Israel Hayom, l’ex-vice-Premier ministre italien Matteo Salvini a promis de reconnaître Jérusalem en tant que capitale israélienne s’il devient chef du gouvernement.
«Oui, absolument», a ainsi répondu très nettement M.Salvini à la question d’un journaliste portant sur ce sujet.
Dans la même optique, il juge nécessaire pour l’Union européenne de bannir le mouvement BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions) qui promeut les boycotts économique, académique, culturel et politique envers Israël et ses citoyens.
Sanctions contre l’Iran
L’ex-chef adjoint du gouvernement italien a également estimé que l’UE devait se joindre aux sanctions imposées par les États-Unis à l’encontre de la République islamique.
«Pour y arriver, nous avons besoins d’une Europe forte et libre car aujourd’hui nous sommes malheureusement les otages des intérêts économiques et des préjugés gauchistes anti-américains et anti-israéliens», a souligné Matteo Salvini.
"La question est de savoir si on peut continuer à avoir deux papes à la tête de l'Église"
L'écrivain et chroniqueur Henri Tincq était samedi l’invité de Patrick Cohen, sur Europe 1 pour parler de la cohabitation entre François et Benoit XVI au Vatican, qui devient de plus en plus problématique. Le premier tente de mener à bien ses réformes, quand le second multiplie les prises de position conservatrices.
INTERVIEW
Le Vatican est pris dans la tourmente alors que le pape François voit réapparaître son encombrant prédécesseur, Benoît XVI. Les différends idéologiques entre les deux pensionnaires du palais du Vatican n’étaient un secret pour personne. Mais ils deviennent problématiques au moment où François cherche à mener à bien des réformes auxquelles "l'autre pape" n'est pas favorable. Invité d'Europe 1, dimanche, l'écrivain Henri Tincq, chroniqueur religieux pour le journal Le Monde pendant vingt ans, analyse cette délicate situation.
Belgique : Des dizaines de jeunes sèment la terreur dans un village. « Ils tirent sur les animaux (…) Les enfants ne sortent plus dans la rue »
Depuis des mois, une bande de jeunes sème la terreur à Tildonk, une section de la commune de Haacht, dans le Brabant flamand. Une mère et sa fille témoignent de l’enfer que vivent les habitants du village dans les colonnes de Het Laatste Nieuws. “Les parents n’osent plus laisser leurs enfants dans la rue”, explique Marie, la mère de la jeune Sofie (prénoms d’emprunt).
Cette dernière a côtoyé les jeunes délinquants pendant quelques mois. “Ça a commencé par du petit vandalisme, mais depuis les grandes vacances, ça s’est vraiment intensifié”, déplore Marie. Sa fille ajoute: “La plupart d’entre eux ne vont plus à l’école. Ils traînent toujours dans la rue ou dans un bâtiment scolaire abandonné. Il y a en fait deux bandes, de quinze jeunes chacune. Certains sont de Tildonk, d’autres de villages voisins.” Leurs activités sont principalement la consommation et la vente de drogues et le vandalisme.
Ils maltraitent également régulièrement les animaux du quartier et leur tirent dessus avec des pistolets à plomb. “Selon un ami, ils ont maintenant aussi de vraies armes à feu”, craint Sofie. “Il y a quelques semaines, l’un d’entre eux a failli mourir. Il avait beaucoup bu et pris tellement de drogues que ses pupilles étaient aussi grandes que ses yeux. Les autres l’ont l’encouragé à continuer à boire et à sniffer.”
“Il y a quelques mois, ils sont entrés par effraction dans une école voisine pour tout détruire. Les dégâts ont été estimés à 30.000 euros”, ajoute-t-elle. “Leurs parents sont dos au mur”, poursuit Marie. “L’un d’eux a même poignardé son père dans la jambe avec des ciseaux.”
Manchester : 57 filles exploitées sexuellement par un réseau ethnique de 100 pédophiles (MàJ : la police a ignoré l’affaire par peur d’être taxée de racisme)
19/01/2020
Royaume-Uni – Un petit groupe de hauts-gradés de la police de Manchester occupait des postes clés au moment de la décision d’abandonner l’enquête sur un gang d’exploitation sexuelle composé d’une centaine d’hommes qui abusaient de dizaines d’enfants, dont beaucoup étaient pris en charge par les services sociaux.
Ces agents ont été mentionnés, mais non identifiés par leur nom, dans un rapport officiel sur le scandale publié mardi.
L’opération Augusta a été lancée en 2004 à la suite du décès de Victoria Agoglia, 15 ans, de Rochdale, qui, selon le rapport, avait été maltraitée « à la vue de tous ».
Elle est morte d’une overdose présumée, des mois après avoir dit aux travailleurs sociaux qu’on lui avait injecté de force de l’héroïne et qu’elle avait été violée.
(…)
De plus, le rapport révèle que certains membres de la Police de Manchester craignaient que l’Opération Augusta se concentre sur un gang d’hommes essentiellement pakistanais.
Lors de l’une des premières réunions en juillet 2004, on a demandé au « responsable de la communication » de la police quels effets pourrait avoir la diffusion d’un documentaire de Channel 4 sur l’exploitation sexuelle des enfants à Keighley, et des inquiétudes ont été exprimées sur « le risque des tactiques proactives ou le risque d’incitation à la haine raciale« , dit le rapport.
Égypte : une chrétienne se fait trancher la gorge par un musulman au prétexte qu’elle ne porte pas de voile
En pleine rue, tentative de meurtre sur une chrétienne au Caire
Une jeune chrétienne égyptienne a frolé la mort quand un extrémiste islamique a surgi derrière elle et lui a presque tranché la gorge parce qu’elle n’était pas voilée.
[…]
Pendant son attaque, l’auteur a crié «Allah akbar» (Allah est le plus grand) et a dit: «Je te massacre parce que tu n’es pas voilée.» La victime a été hospitalisée dans un état critique. Les médecins ont dû lui faire 68 points de suture
Nancy (54) : un homme égorgé en pleine rue (MàJ : aveux d’un d’hommecondamné 37 fois, il s’agirait d’une affaire de stupéfiants)
19/01/2020
Un homme de 40 ans, soupçonné d’avoir mortellement poignardé à la gorge un trentenaire, lundi 13 janvier à Nancy, lors d’une transaction de drogue, a été mis en examen pour meurtre dimanche et incarcéré, a-t-on appris auprès du parquet.
[…] « Condamné à 37 reprises depuis 1997, dont sept fois pour violences avec arme et trois fois pour stupéfiants », l’homme a reconnu avoir tué la victime lors d’une transaction portant sur de la drogue, a relaté M. Pérain.
[…]
Un homme a été tué lundi soir vers 19 h, sous les fenêtres de l’institut régional de réadaptation (IRR), situé boulevard Lobau, à Nancy. La victime, un homme d’une trentaine d’années, a été frappée violemment au niveau de la gorge par une arme blanche.
(…) L’agresseur a pris la fuite, laissant la victime agonir dans une mare de sang qui macule toujours, ce mardi matin, le macadam, sous les fenêtres des bureaux de l’IRR.
« La police avait tout bouclé et il y avait beaucoup de sang au sol… On a tout de suite su qu’un homme avait été touché à la gorge. »« Vous savez, ici, vous êtes à 200 mètres de la maison des addictions », poursuit un autre promeneur rencontré le long du canal, ce matin. « Et oui, je peux vous dire que sur les lieux du drame, ça deale. La mort de cet homme a d’ailleurs peut-être un lien avec les stupéfiants… »
Un ministre s’inquiète du communautarisme musulman : « La vraie question : est-ce qu’il n’est pas déjà trop tard? »
Que faire? Alors qu’Emmanuel Macron estimait en octobre, après l’attentat de la préfecture de police, que le combat contre le communautarisme constituait « une lutte essentielle », l’exécutif recherche activement un dispositif pour contrer ce phénomène. L’ampleur du chantier est énorme – les signaux d’alerte se multiplient sur la montée de l’influence islamiste dans de nombreux quartiers, mais aussi dans des secteurs comme l’éducation, le sport ou la santé. Face à cela, les administrations semblent désarmées. Et le risque de stigmatiser les musulmans de France complique la tâche. « Le plan n’est pas ficelé, mais il sera prêt avant les élections municipales », promet-on à l’Élysée, sans craindre d’être accusé d’électoralisme.
[…]
Outre les banlieues de Paris, Lyon et Marseille, depuis longtemps touchées par le phénomène, y figurent plusieurs cités du Nord : entre autres Maubeuge, où l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) a atteint 40% dans un bureau de vote et où « la situation est alarmante » ; l’agglomération de Denin ; ou encore Roubaix, où, « bien qu’historique, la situation prend des proportions inquiétantes », selon un préfet. Mais aussi des zones plus inattendues, comme en Haute-Savoie ou dans l’Ain, à Annemasse, Bourg-en-Bresse, Oyonnax ou Bourgoin-Jallieu. Encore plus surprenante, « l’apparition de microterritoires qui se salafisent dans des zones improbables », poursuit ce préfet, comme Nogent-le-Rotrou, en Eure-et-Loir.
[…]
Parmi les angles d’attaque, « l’égalité entre les femmes et les hommes »: « Il importe que la politique pénale sanctionne les infractions d’outrage sexiste observées dans certains quartiers dans lesquels certains prétendent dicter aux femmes la façon dont elles devraient se comporter et s’habiller », recommande la garde des Sceaux.
[…] Un ministre s’inquiète : « La vraie question : est-ce qu’il n’est pas déjà trop tard? »
150 quartiers en France sont « tenus » par les islamistes, selon un document classé secret-défense de la DGSI
La DGSI a listé 150 quartiers sous l’emprise de l’islam radical
Le 5 janvier, après l’attentat de Villejuif, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a adressé un télégramme aux préfets pour leur demander de réunir les GED (groupes d’évaluation départementaux). La DGSI vient de cartographier les quelque 150 quartiers « tenus » selon elle par les islamistes : un document classé secret-défense, qui n’a pas été divulgué, à l’exception de l’Intérieur, même aux ministres intéressés.Lesquels se voient présenter le document oralement par un fonctionnaire assermenté, tant le sujet est sensible…
Outre les banlieues de Paris, Lyon et Marseille, depuis longtemps touchées par le phénomène, y figurent plusieurs cités du Nord : entre autres Maubeuge, où l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) a atteint 40% dans un bureau de vote et où « la situation est alarmante » ; l’agglomération de Denin ; ou encore Roubaix, où, « bien qu’historique, la situation prend des proportions inquiétantes », selon un préfet. Mais aussi des zones plus inattendues, comme en Haute-Savoie ou dans l’Ain, à Annemasse, Bourg-en-Bresse, Oyonnax ou Bourgoin-Jallieu. Encore plus surprenante, « l’apparition de microterritoires qui se salafisent dans des zones improbables », poursuit ce préfet, comme Nogent-le-Rotrou, en Eure-et-Loir.
Note : malgré se fait, les politiciens vont continués a privilégier l’immigration musulmane (magrébines et subsaharienne) France
Port-de-Bouc (13): rafale de tirs à l’arme de guerre en pleine rue
« Des tirs d’intimidation » en pleine rue à Port-de-Bouc
Rafale à l’arme de guerre vendredi à 18h30, en visant un porche de la cité La Lèque
Elle en serait presque tombée de sa fenêtre, avec une peur bleue qui a germé à la vitesse de l’éclair vendredi soir dans cette rue Nationale à Port-de-Bouc. Cette riveraine ne cachait pas « ne pas être bien du tout ce matin », contrecoup du choc la veille au soir, autour de 18h30, presque une heure de pointe encore ! En fermant ses volets. « Je n’arrivais plus à les attraper », confesse cette habitante avec une main subitement tremblante ; ne cachant « pas des envies de déménager, mais mon bien risque de perdre de la valeur… » Triste confession, triste réalité au bout d’une scène effrayante en pleine rue. »Une arme de guerre »Si certains ont d’abord cru à des pétards, c’était bel et bien des tirs nourris. Une bonne rafale de balles ! Comme…
Note : je connais cette petite ville infecté de magrébins délinquant depuis des décennies
Roubaix : « Ici, c’est comme au bled! », « non-respect général de la loi », « certains lieux ne sont plus fréquentés par des femmes »
Au supermarché Le Triangle à Roubaix (Nord), les caissières, toutes voilées, alternent entre « Salam » et « Bonjour », en fonction de la clientèle. Partout dans les allées du magasin, le français est traduit en arabe, et à la sortie, une urne invite au don pour la construction d’une nouvelle mosquée. La ville de 96.000 habitants en compte déjà sept, dont une salafiste. Dans la rue aux maisons de briques rouges, les commerces s’appellent L’Aziza, Les Mille Merveilles, Les Délices du Maghreb. Et proposent pâtisseries orientales, voiles, livres en arabe ou viande halal. « Ici, c’est comme au bled! », s’exclame en souriant Hourya, qui flotte dans un jilbab, un voile enveloppant tout son corps.
Ici, en plein quartier de reconquête républicaine, l’islam est ostentatoire. Mais est-ce vraiment un problème? Oui, à en croire un rapport sur l’efficacité des politiques publiques mises en œuvre à Roubaix émanant des services d’inspection de plusieurs ministères. Ce document daté de juin 2019 et commandé par le Premier ministre pointe une « tendance au repli communautaire ». « Certains lieux ne sont plus fréquentés par des femmes », « le port du voile a fortement progressé », s’inquiètent les auteurs. Une source policière dépeint, dans certains quartiers, « un laisser-aller total, un non-respect général de la loi française ». Stationnement illicite, employés de commerces en situation irrégulière, terrasses de cafés non déclarées : « Ce sont des rues qui se gangrènent. »
[…]
Les éducateurs, glisse l’un d’entre eux, s’emploient à convaincre certains jeunes que « voter, ce n’est pas haram », c’est‑à-dire pas contraire aux préceptes du Coran. « Il y a un gros travail d’éducation à faire sur la laïcité », abonde Michel David, ancien directeur général adjoint des services de la ville. Le rapport interministériel de juin 2019 révèle aussi « une hausse des demandes d’enseignement à domicile pour des motifs d’ordre confessionnel ».
[…]
Traite humaine : le phénomène de la prostitution des ados en Ile-de-France dépasse la justice
En Ile-de-France, les magistrats veulent s’appuyer sur des associations spécialisées pour parvenir à mieux protéger les adolescentes des proxénètes.
[…]
Comme Gwenola, Inès, Nadia, Nelly ou Coralie vivent en Seine-Saint-Denis ou dans d’autres départements, sont fugueuses ou placées en foyer, et soupçonnées de se prostituer. Leur situation a été signalée par la police, leur famille, l’école. Moyenne d’âge : 15 ans et demi. La moitié ont déjà été victimes de violences auparavant, et ont connu une situation familiale instable, selon l’étude dévoilée par l’observatoire 93 des violences faites aux femmes en novembre dernier.
[…]
Si c’est de ce département, la Seine-Saint-Denis, que sont partis les premiers signalements de proxénétisme dit « de cité », le fléau n’épargne aucune département francilien : 51 affaires sont en cours dans le Val-de-Marne, 31 à Paris. En Essonne, une dizaine de victimes mineures ont été recensées en neuf mois. Et cela concerne aussi des jeunes provinciales. L’adolescente secourue en décembre, à Gentilly, dans un appartement où elle aurait effectué 200 passes en cinq jours, venait du Loiret. En septembre, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), des agents de la SNCF ont secouru une jeune fille d’Avignon (Vaucluse).
Michel Onfray relève qu’un bon nombre de pratiques sexuelles dégradantes (copr*phagie, zo*philie, bar*backing…) sont toujours prônées dans Libération
Joffrin, penseur du sexe
A la faveur de l’affaire Matzneff, Laurent Joffrin explique désormais avec force joffrinades dont il a le secret, que Libération fut en effet le journal des petites annonces de la pédophilie et de la défense de ce que d’aucuns, dont Anne-Elisabeth Lemoine sur le plateau de l’émission « C à vous », en ma présence, proposent désormais d’appeler « pédocriminalité » sans s’apercevoir qu’ainsi ils suggèrent que la pédophilie ne serait pas intrinsèquement pédocriminelle et qu’en sauvant le mot ils sauvent aussi la chose… Il s’agissait alors, déjà, de défendre un prétendu nouveau droit. L’élément de langage est le suivant: « C’était dans l’esprit du temps mais Libération n’en est plus là… »!
Où en est-il?
Facile, il suffit de le lire, d’avoir de la mémoire et d’archiver les articles.
Ainsi, le 17 janvier 2014, Libération a publié un article de Paul B. Preciado, chroniqueuse du journal, philosophe qui fut homme avant de se faire opérer pour devenir femme, sous le titre: « Déclarer la grève des utérus ». Ce texte donne l’horizon nouveau de la modernité en matière de sexualité. On peut en effet y lire ceci: « Depuis cette modeste tribune, j’invite tous les corps à faire la grève de l’utérus. Affirmons-nous en tant que citoyens entiers et non plus comme utérus reproductifs. Par l’abstinence et par l’homosexualité, mais aussi par la masturbation, la sodomie, le fétichisme, la coprophagie, la zoophilie… et l’avortement. Ne laissons pas pénétrer dans nos vagins une seule goutte de sperme national catholique. » Constatons que, cette fois-ci, la socratisation des enfants a été heureusement écartée.
Manger de la merde et sodomiser les chiens, voilà donc les nouveaux droits défendus par Libération.
Mais ce peut être aussi contaminer volontairement un partenaire quand on a le sida: le fameux journal héberge en effet le blog d’Eric Rémès, « Gay tapant » (on ne peut mieux dire…) dans lequel on trouve un éloge de la relation sexuelle non protégée bien qu’on la sache contaminante. Dans la préface à son livre Serial fucker – Journal d’un barebacker, Rémès s’oppose au projet de sanctionner par la loi ce type de pratique sous prétexte que ce comportement punitif procéderait de la « notion judéo-chrétienne du couple qui doit apporter protection et respect (…). Or être séropo, c’est avoir une blessure de l’estime de soi qui, bien souvent, peut empêcher tout respect. » En d’autres termes (qui n’obligent pas à en appeler au judéo-christianisme): « Je peux bien tuer puisque je vais mourir ». Act-Up s’est fort heureusement désolidarisé de ce genre de discours – pas Libération qui le propage.
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