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Le 8 novembre 2019
Le gouvernement yéménite et les forces soutenues par les Émirats arabes unis signent un accord de paix
le 7 novembre
Yémen: l'Onu salue la médiation saoudienne
Le 7 novembre
Les membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont salué mercredi dans une déclaration approuvée à l'unanimité «les efforts de médiation du Royaume d'Arabie saoudite» ayant conduit à la conclusion la veille d'un accord entre gouvernement et séparatistes dans le sud du pays. «Cet accord représente une étape positive et importante vers une solution politique globale et inclusive pour le Yémen», estiment-ils dans ce texte.
«Les membres du Conseil de sécurité réaffirment leur plein engagement en faveur de l'unité, de la souveraineté, de l'indépendance et de l'intégrité territoriale du Yémen», indique aussi leur déclaration. Le gouvernement yéménite reconnu par la communauté internationale a signé mardi dans la capitale saoudienne un accord de partage du pouvoir avec les séparatistes pour mettre fin à un conflit dans le sud du Yémen, un pays dévasté par une guerre aux fronts multiples.
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L'Iran aurait abattu un drone dans le sud-ouest du pays
Les forces de défense antiaérienne iranienne ont abattu un drone près du port de Bandar-e Mahshahr, dans le sud-ouest du pays, a rapporté ce 8 novembre l'agence ISNA.
Un drone a été abattu le 8 novembre près du port de Bandar-e Mahshahr, dans le sud-ouest de l'Iran, a annoncé l'agence d'information ISNA.
Toujours selon la même source, les systèmes de défense antiaérienne ont été activés après qu'un appareil non-identifié a été repéré dans l'espace aérien iranien.
Les autorités iraniennes n'ont pas encore commenté l'incident.
Personne n'est en mesure de confirmer à ce stade s'il s'agit un drone militaire ou civil.
Il a été annoncé que l'opération a eu lieu ce vendredi, dans la matinée.
Le port de Bandar-e Mahshahr se trouve dans le golfe Persique.
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Le nucléaire iranien au centre d’une réunion de l'AIEA
Le 7 novembre
Les États-Unis assurent qu’ils ne volent pas le pétrole de la Syrie
Le Pentagone a assuré jeudi que les États-Unis ne volaient pas le pétrole de la Syrie, même si des renforts militaires américains ont été illégalement envoyés dans l'est du pays pour y «protéger» les champs pétroliers. La Russie et la Syrie ont déja dénoncé cette présence illégale.
Le Pentagone a cherché a justifié la présence illégale des troupes américaines en Syrie dans les zones pétrolifères.
«Les États-Unis ne tirent aucun bénéfice de tout ceci. Les bénéfices reviennent aux FDS», a indiqué un porte-parole du Pentagone, Jonathan Hoffman, en référence aux Forces démocratiques syriennes, les Kurdes qui ont combattu le groupe Daech* aux côtés des Occidentaux.
L'objectif est «d'accorder aux Kurdes de la région, les forces FDS, une source de revenus et la possibilité de monter en puissance dans leur campagne militaire contre Daech», a-t-il précisé au cours d'une conférence de presse. «Il s'agit donc d'empêcher Daech d'y avoir accès et aussi de permettre aux Kurdes et aux FDS de contrôler» le pétrole.
Lorsque Daech contrôlait ces champs pétroliers en 2015, le groupe djihadiste pompait 45.000 barils par jour, pour un revenu de 1,5 million de dollars par jour qui leur permettait de financer leurs attentats dans le pays et à l'étranger, a rappelé de son côté un responsable de l'état-major américain, le vice-amiral William Byrne.
«Nous ne permettrons pas que ça se reproduise», a-t-il ajouté.
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Note : la malhonnêteté n'a plus de limite de nos jours
Les Occidentaux surpris par le nouveau “calife” de Daech
Désigné successeur d’al-Baghdadi le 31 octobre, Abou Ibrahim al-Hachimi al-Qurashi est un “quasi-inconnu” pour les services de renseignement.
Que sait-on vraiment du nouveau calife de Daech ? Pas grand-chose, mis à part son nom dévoilé le 31 octobre. Abou Ibrahim al-Hachimi al-Qurashi était un inconnu pour les services de renseignements occidentaux, comme l’ont confirmé certaines sources à l’Opinion. Après le raid des forces spéciales américaines provoquant la mort d’Abou Bakr al-Baghdadi, chef emblématique de l’État islamique, les cartes ont été rebattues au sein de l’organisation. « On le connaît sûrement moins qu’al-Baghdadi », avoue la source diplomatique de l’Opinion, qui reconnaît ne pas être beaucoup plus informée sur le nouveau porte-parole de l’EI, Abou hamza al-Mouhajir, nommé après la mort de son prédécesseur.
Selon la même source, cette nomination serait tout simplement le résultat d’une logique interne à l’EI, suivant une « dimension religieuse ». « Le ‘calife’ est non seulement un chef politique et militaire, mais il est aussi […] un dirigeant religieux », avance-t-elle, expliquant au passage que le groupe a peut-être privilégié « des alliances entre différents groupes ou des logiques ethniques à la légitimité acquise dans les combats. »
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Hongrie : le président turc Erdogan menace de nouveau de laisser partir les migrants vers l’Europe
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a menacé, ce jeudi, lors d’un déplacement en Hongrie, d’« ouvrir les portes » de l’Europe aux réfugiés syriens installés en Turquie […]. Il est possible qu’un grand nombre d’entre eux migrent en Europe », a insisté le président turc Recep Tayyip Erdogan, résolu à accentuer la pression sur les Européens pour qu’ils soutiennent ses projets de rapatriement des Syriens vers leur pays. […]
Le Télégramme
Israël: une policière tire dans le dos d'un Palestinien pour se divertir – vidéo
L’agent d’un poste frontière israélien situé en Cisjordanie a tiré une balle en caoutchouc dans le dos d’un Palestinien qui obéissait pourtant à ses ordres, comme le dévoile une vidéo filmée l’année dernière et redevenue virale. Selon le juge, c’était «une forme de divertissement douteuse».
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Finkielkraut : « Les Européens de l’Est ne veulent pas devenir des citoyens de sociétés multiculturelles »
Dans son dernier livre, «A la première personne», Alain Finkielkraut répond à ceux qui le traitent de réactionnaire. L’occasion d’interroger le philosophe, ancien directeur de la revue «Le Messager européen», sur ces trente années écoulées, durant lesquelles la mondialisation débridée a déferlé sur l’ancien glacis soviétique à l’est de l’Europe.
« (…) La France n’est pas programmé pour devenir une juxtaposition des communautés, accompagnée d’une certaine gestuelle religieuse et identitaire dont le port du voile islamique est l’une des principales marques. Est-ce que cela vaut aussi pour l’Europe? Je pense que oui. »
« (…) La cassure entre l’Europe occidentale et l’Europe centrale ou orientale est évidente. Hier, c’était un rideau de fer politique. Aujourd’hui, c’est un fossé culturel. Les Européens de l’Est ne veulent pas devenir des citoyens de sociétés multiculturelles. Ils veulent préserver l’héritage européen. Je vois bien que, derrière cela, des tentations politiques autoritaires sont aussi à l’œuvre, mais nous devons cesser de regarder ce qui se passe là-bas avec condescendance! J’ai entendu un ancien conseiller de Vaclav Havel, ancien président tchèque et grand défenseur des libertés, me dire qu’il ne souhaitait pas voir sa ville, Brno, devenir «la Marseille de l’Europe de l’Est». »
« (…) L’Europe de l’Ouest a été traumatisée, et elle le reste, par l’apocalypse nazie. Tout vient de là. Notre partie de l’Europe est sortie de son histoire dans l’espoir de ne pas retomber dans la folie. Les Européens ont voulu ne plus exclure, par peur d’emprunter de nouveau la voie raciste. Nous nous sommes aveuglés pour ne pas voir cette dimension de l’existence qu’est l’identité. On a donc créé – et l’intégration communautaire y a contribué – une sorte d’«homo economicus» européen standard et formaté. Les Européens de l’Est, eux, n’ont pas grandi dans cette obsession de l’apocalypse. »
(…) Le Temps
LIRE AUSSI : Marseille (13) : un homme armé d’un couteau et hurlant des « Allah Akbar » arrêté dans le centre-ville
Geoffroy Lejeune : « La question identitaire sera le principal problème à venir en France (…) Emmanuel Macron n’a jamais été clair sur ce sujet. »
“Punissons-la” : le rappeur Booba menace Zineb El Rhazoui
La journaliste avait pris la défense des forces de l’ordre, victimes d’un guet-apens le week-end précédent.
Un ennemi de plus pour Zineb El Rhazoui. Après ses propos sur les « racailles » de banlieue, sur lesquels elle conseillait aux policiers victimes de guet-apens de tirer à balles réelles, le rappeur Booba a menacé la journaliste, sur Instagram et appelé à la « pourrir » sur les réseaux sociaux.
Un appel au meurtre ?
« Oh put***, mais c’est qu’elle est sérieuse cette suc**** d’empereurs Romains !!! », a éructé « l’artiste » sur Instagram, en légende d’une photo de la journaliste tenant un pistolet dans chaque main. Ces doux mots sont accompagnés de ce qui ressemble à un appel au meurtre : le hashtag #punissonsla.
Sur un autre post du même réseau social, Booba appelle aussi à « pourrir la vie » de « cette grosse mer** puante », avec les hashtags #protectzeracaille ou encore #niquetamèreparlecul… Des propos d’une grande finesse…
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LIRE AUSSI : En pleine polémique, Zineb El Rhazoui reçoit le Prix Simone Veil récompensant son «engagement»
Note ,:curieux de voir si les personnes qui condamnent les propos de Zemmour seront aussi enthousiasme pour condamner les appelles au meurtre de ce(s) rapeur(s) musulman dit "modéré" !
Lire aussi : Booba, Niska, Plk, Maes s'en prennent violemment a-Zineb Rhazoui
François Pupponi : « J’ai déposé un amendement pour que les fichés S ne puissent pas être enseignant dans une école, il a été refusé »
Le nombre de policiers et gendarmes blessés « en mission » atteint un niveau sans précédent
L’observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) qui se base sur les données recensées par les services du ministère de l’Intérieur, décompte 10 790 agents blessés « en mission » en 2018.
Cette hausse concerne tant la police (+16 %) que la gendarmerie (+13 %).
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Les blessures par arme en augmentation
L’Observatoire rapporte que dans 11 % des cas, les blessures ont été occasionnées à l’aide d’une arme : 666 policiers ont été blessés par arme en mission contre 418 en 2017, soit une hausse de 60 %, un niveau également inédit depuis 2009.
Pour la gendarmerie, 48 % des militaires blessés lors d’opérations de police font suite à une agression. La proportion de ce type de blessés grimpe de 20 % par rapport à 2017.
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Dix morts de plus qu’en 2017
Selon le décompte de l’ONDRP, le nombre d’agents tués en 2018 a également augmenté. Vingt-cinq fonctionnaires et militaires ont perdu la vie dans l’exercice de leurs fonctions, soit dix de plus qu’en 2017.
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Ouest France
Tulle (19): un demandeur d’asile afghan condamné pour avoir balafré un policier à coups de bouteille
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Un policier s’avance vers lui mais il reçoit immédiatement un coup avec une bouteille de bière. Le fonctionnaire est sérieusement blessé, balafré à deux endroits sur le visage. Il faudra ensuite 5 policiers pour maîtriser l’individu.
Cet homme est demandeur d’asile. Il est Afghan.
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Le demandeur d’asile a été condamné à un an de prison ferme et maintenu en détention à l’issue de l’audience. Il est par ailleurs interdit de séjour en Corrèze pour 5 ans.
France Bleu
Nantes : 58 règlements de compte depuis le début de l’année 2019, nouvelle fusillade ce matin
Cannabis à Nantes. La guerre du shit : des armes et des larmes
Cinquante-huit règlements de compte depuis le début de l’année 2019 à Nantes, dont le commando armé, voilà une semaine. Trois morts. Pourquoi cette incroyable explosion ? D’où viennent les armes ? Éléments de réponse avec magistrats, policiers, avocats et gendarmes.
La rue de Charente, à l’ombre des tours HLM de Saint-Herblain, a pris des airs de stand de tir, fin juin. Fusillade le vendredi soir, « match retour » le samedi. Et deux jours plus tard, encore, la…
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Ouest France
Une nouvelle fusillade à Nantes ce vendredi matin quartier Malakoff. Au moins sept impacts de balle ont été découverts sur la façade d’un immeuble près de la rue de Chypre.
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Nantes est une fois de plus le théâtre d’une fusillade. Quartier Malakoff, à l’angle de la rue de Chypre et du mail de Rufisque. Une rafale d’une dizaine de balles tirée ce vendredi matin vers 7h. Sept d’entre elles ont touché un immeuble de six étages. Il n’y a pas de blessés. C’est un miracle dit un habitant du quartier.
[…]
France Bleu
Melun (77) : 102 migrants, « uniquement des hommes », accueillis dans un ancien hôpital, colère du maire qui n’a pas été prévenu
Ils ont quitté le camp de fortune de la Porte de la Chapelle pour un bâtiment de l’ancien hôpital Marc-Jacquet de Melun. Au total, 102 migrants, uniquement des hommes notamment des Soudanais et des Afghans, sont accueillis depuis ce jeudi midi dans l’ancien bâtiment réservé aux soins palliatifs.
Sur réquisition de la préfecture de police de Paris, ils ont été pris en charge par la Croix Rouge. Dès le début de l’après-midi, certains cherchaient déjà la gare de bus, située à deux pas, pour se déplacer, rejoindre Paris. « Leur situation administrative va être étudiée très rapidement afin de les orienter vers un hébergement pérenne », indique de son côté la préfecture de Seine-et-Marne.
La colère du maire de Melun
Furieux, le maire de Melun a été mis devant le fait accompli dans le courant de la matinée. « Sur la forme tout d’abord, il est inadmissible que la municipalité n’ait été prévenue par aucun canal officiel et qu’elle se retrouve en première ligne pour gérer les errements de la politique de la ville de Paris en matière d’accueil de migrants », déplore Louis Vogel, le maire (Agir) dans un communiqué.
Le Parisien
"L'Otan est en état de mort cérébrale", controverse suite aux propos d'Emmanuel Macron
Le squelette du général Gudin, ami de Napoléon, découvert en Russie
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