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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 24 juillet 2019

 

La Syrie dénonce une attaque israélienne contre son territoire

 

Israël a visé dans la nuit du 23 au 24 juillet la province de Deraa, près du plateau du Golan, dans le sud syrien, rapporte la télévision publique Sana en faisant état de dégâts matériels.

L'aviation israélienne a frappé dans la nuit du 23 au 24 juillet la province de Deraa, dans le sud de la Syrie, a rapporté l’agence locale Sana.

L’attaque a ciblé Tal al Hara, une colline stratégique surplombant le plateau du Golan occupé par Israël, a précisé le média en faisant état de dégâts matériels.

Depuis le début du conflit en Syrie en 2011, Israël a effectué plusieurs raids contre des positions militaires des autorités syriennes ainsi que contre celles de ses alliés, l'Iran et le Hezbollah.

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En Corée du Nord, Kim Jong-un dévoile un nouveau type de sous-marin

 

Le 23 juillet

En Corée du Nord, Kim Jong-un dévoile un nouveau type de sous-marin

Le dirigeant communiste apparaît dans une vidéo à côté d’un submersible en construction, mais bientôt opérationnel. Plusieurs experts estiment qu’il pourrait être porteur de missiles balistiques, ce qui illustrerait l’avancée du programme nucléaire nord-coréen et l’impasse des négociations avec Washington.

Certaines images sont lourdes de sens. Alors que les négociations entre Washington et Pyongyang sur le nucléaire nord-coréen sont dans l’impasse depuis le sommet de Hanoï, le dirigeant communiste Kim Jong-un a inspecté un sous-marin en construction lors d’une visite rendue publique ce mercredi. Pour de nombreux experts, ce submersible pourrait être porteur de missiles balistiques, potentiellement équipés de têtes nucléaires. Cette avancée indiquerait que Pyongyang cherche à se doter d’une composante sous-marine de sa dissuasion nucléaire, ce qui représenterait un nouveau défi en matière de prolifération.

La Corée du Nord possède un très grand nombre de sous-marins - probablement plusieurs dizaines - mais de petite taille - la plupart ne faisant que 20 à 40 mètres. Construits dans une logique asymétrique pour affronter une flotte ennemie bien supérieure, ces submersibles sont censés permettre de sanctuariser une zone à proximité des côtes nord-coréennes. Ce nouveau sous-marin pourrait néanmoins représenter une rupture dans les moyens mis en oeuvre et les ambitions affichées par Pyongyang. «Nous pouvons clairement voir qu’il s’agit d’un sous-marin massif, bien plus grand que celui qui est connu depuis 2014», a déclaré à Reuters Ankit Panda, chercheur à la Federation of American Scientists, basée aux États-Unis.

Un missile d’une portée de 1000 km tirés depuis un sous-marin

Depuis cette année-là, de nombreux experts de la Corée du Nord suivent le développement d’un premier sous-marin lanceur d’engins généralement dénommé Sinpo ou Gorae, qui servirait de plateforme d’essai dans l’optique de déployer des missiles balistiques tirés depuis des sous-marins (SLBM en anglais). Déployer des missiles depuis un submersible permet à un pays doté de l’arme nucléaire de répliquer à une première attaque, même si ses propres installations au sol ont été endommagées. Cette «capacité de seconde frappe» est une étape essentielle pour toute puissance qui cherche à garantir sa capacité de dissuasion nucléaire quelles que soient les circonstances.

Au vu des photos, «il est clair qu’il s’agit d’un sous-marin dérivé de la classe Romeo», note le spécialiste naval H. I. Sutton qui rappelle sur son blog que Pyongyang a acheté dans les années 1970-1980 à la Chine plusieurs de ces sous-marins d’origine soviétique, avant de les construire directement sous licence. «Je fais le pari que c’est un sous-marin lance-missiles», a déclaré le spécialiste à Reuters, évoquant la possibilité que le kiosque du submersible ait été rallongé pour accueillir des missiles installés à la verticale.

Impasse des négociations avec Donald Trump

En 2016, en parallèle de son programme de missiles intercontinentaux terrestres, Pyongyang a procédé avec succès au test d’un SLBM tiré vraisemblablement depuis le sous-marin Gorae. Dénommé Pukgeukseong-1 ou NK-11, ce missile a été montré lors de plusieurs parades militaires, notamment en avril 2017. Selon la majorité des experts, sa portée serait d’environ 1000 kilomètres. Associée à un sous-marin capable d’aller en haute mer et non seulement de rester près des côtes, une telle arme pourrait être une menace supplémentaire dans la région Pacifique, notamment pour la base américaine située sur l’île de Guam, à plus de 3000 km de Pyongyang.

Au cours de l’inspection présentée ce mardi par KCNA, Kim Jong-un était accompagné par Kim Jong-sik, l’un des principaux responsables du programme balistique nord-coréen, note Reuters. «Ce que je trouve ici important politiquement, c’est que c’est la première fois depuis un défilé militaire de février 2018 que Kim Jong-un inspecte un système militaire clairement conçu pour transporter et livrer des armes nucléaires», ajoute Ankit Ponda. Le message adressé à Washington est donc particulièrement offensif alors que Pyongyang et Washington ne parviennent pas à obtenir de résultats significatifs depuis le premier sommet de Singapour en mai 2018 lors duquel Kim Jong-un et Donald Trump s’étaient pourtant engagés dans la voie d’une «dénucléarisation de la péninsule coréenne», formule ambiguë qui ne semble pour l’instant pas se concrétiser.

» LIRE AUSSI - Programme nucléaire nord-coréen: retour sur 50 ans de rebondissements

«J’observe [ces images] comme le signe inquiétant que nous devrions prendre au sérieux le délai fixé par Kim Jong-un pour la mise en œuvre d’un changement de la politique américaine d’ici la fin de l’année», précise Ankit Ponda. Parmi les points d’achoppement entre Washington et Pyongyang, la question d’une levée des sanctions visant le régime communiste est particulièrement épineuse, les Nord-coréens la considérant comme un préalable, les Américains comme un résultat. La semaine dernière, la Corée du Nord avait averti que des exercices militaires imminents entre Washington et Séoul pourraient avoir des répercussions sur la reprise annoncée de ses pourparlers avec les États-Unis, laissant entendre qu’elle pourrait revoir son moratoire sur ses essais balistiques et nucléaires.

Source

 

 

 

 

 

La Corée du Nord saisit un bateau de pêche russe

 

La Corée du Nord retient depuis une semaine un bateau de pêche russe avec 17 membres d'équipage à son bord, accusé d'avoir violé les eaux territoriales nord-coréennes, a indiqué ce mercredi l'ambassade de Russie à Pyongyang.

» LIRE AUSSI - Quels pays entretiennent des relations diplomatiques avec la Corée du Nord ?

«Les garde-frontières nord-coréens ont saisi» le bateau de pêche russe le 17 juillet pour «violation des règles d'entrée et de séjour sur le territoire de la Corée du Nord», indique l'ambassade dans un communiqué. Le bateau avec 17 membres d'équipage à son bord, parmi lesquels 15 Russes et deux Sud-Coréens, est actuellement ancré au port de Wonsan, selon la même source. Le capitaine, son adjoint et deux marins sud-coréens ont été logés dans un hôtel de cette ville portuaire située au bord de la mer du Japon, alors que les autres marins restent sur le bateau, précise le communiqué.

Lundi, des diplomates russes du consulat de Russie en Corée du Nord ont rencontré les membres d'équipage qui sont «tous en bonne santé», souligne-t-il. «L'ambassade de Russie reste en contact permanent avec les autorités nord-coréennes (...) et prend toutes les mesures nécessaires pour régler cette situation dans les plus brefs délais», ajoute le communiqué.

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Selon M.Sedler, le navire a été immobilisé à 55 miles nautiques du territoire nord-coréen. Il a ajouté que des représentants des autorités nord-coréennes avaient débarqué à bord lorsque le Xiang Hailin 8 se déplaçait. Ils ont coupé tous les moyens de communication avant de le prendre en remorque.

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Note: La Corée du nord a une frontière commune  avec la Russie

 

 

 

 

Crise des tankers: l'Iran prévient Londres qu'il "protégera" le Golfe

 

Téhéran a adressé mardi un avertissement à Boris Johnson, tout juste désigné pour devenir le nouveau Premier ministre britannique, en affirmant que l'Iran comptait bien protéger le Golfe, en pleine crise des tankers entre la République islamique et le Royaume-Uni.

"Nous avons 1.500 miles (plus de 2.400 km) de côte sur le golfe Persique. Ce sont nos eaux et nous les protégerons", a écrit le ministre des Affaires étrangères iranien Mohammad Javad Zarif sur Twitter.

Disant féliciter M. Johnson pour son accession au 10, Downing Street, M. Zarif rappelle la position de Téhéran selon laquelle les Iraniens sont "responsables de la sécurité et de la liberté de navigation dans le golfe Persique".

Source

 

 

 

 

 

« Le Royaume-Uni ne veut pas suivre les États-Unis sur l'Iran »

 

Ancien ambassadeur du Royaume-Uni à Téhéran, Richard Dalton ne voit pas Boris Johnson s'aligner sur la politique de « pression maximale » de Trump.

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LIRE AUSSI : Donald Trump à court d'options face à l'Iran

 

 

 

Pékin veut une armée de pointe face aux tentatives de Washington de «saper» la stabilité

 

La Chine a présenté mercredi dans un document ses ambitions de bâtir une armée moderne et avancée technologiquement, tout en accusant les Etats-Unis de saper la stabilité mondiale au moment où la rivalité entre Pékin et Washington s'exacerbe sur de nombreux fronts.

La publication du livre blanc de la Défense chinoise donne un rare aperçu des orientations de l'Armée populaire de libération (l'APL) - la plus importante au monde avec deux millions de militaires - et des visées de Pékin, rapporte l'AFP.

«La rivalité stratégique au niveau mondial s'accentue», souligne le document, relevant que les Etats-Unis ont ajusté leurs stratégies de sécurité et de défense et pris des «mesures unilatérales».

Washington a «provoqué et intensifié la rivalité entre les principaux pays, augmenté de manière significative (ses) dépenses de défense, réclamé des capacités supplémentaires dans les domaines du nucléaire, de l'espace, de la cyberdéfense et de la défense antimissile, et sapé la stabilité stratégique mondiale». 

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Boris la menace

 

Editorial du « Monde ». Et maintenant ? Le 10, Downing Street, il y pense depuis l’âge de 8 ans, si l’on en croit sa sœur Rachel. Mercredi 24 juillet, Boris Johnson réalise enfin, à 55 ans, son rêve de devenir premier ministre, vingt-quatre heures après avoir été déclaré vainqueur sur son rival Jeremy Hunt à la tête d’un Parti conservateur dévasté par l’interminable saga du Brexit. A lui, désormais, de gouverner un royaume qui n’a plus d’uni que le nom. Dire que les défis qui attendent le remuant successeur de Theresa May sont immenses relève de l’euphémisme.

Boris Johnson s’est fixé trois principaux objectifs durant sa campagne parmi les militants du parti tory, de nouveau énoncés mardi, à l’annonce de sa victoire : « Réaliser le Brexit, unir le pays, battre Jeremy Corbyn », le chef du Labour. De ces trois tâches, seule la dernière paraît à peu près aisée, tant le Parti travailliste, égaré dans un épais brouillard idéologique, n’est plus que l’ombre de lui-même.

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CAN 2019: « Ils ont trahi la France qui les a accueillis » (Boualem Sansal)

 

Consterné par les saccages et les agressions ayant accompagné les victoires des Fennecs pendant la Coupe d’Afrique des nations (CAN), Boualem Sansal a fermement condamné le comportement des supporteurs de l’équipe d’Algérie qui ont pris part aux débordements recensés dans plusieurs villes de France.

Dans un entretien publié le 19 juillet, jour de la finale opposant l’Algérie au Sénégal, dans les colonnes de Marianne, Boualem Sansal est revenu sur les violences et les déprédations ayant eu lieu en France tout au long du parcours de l’équipe de football algérienne pendant la CAN.

« Nous, Algériens, avons rarement l’occasion d’être fiers de nous. Constamment, nous vivons dans la honte de ce qu’ont fait de nous et de notre pays ceux qui nous gouvernent depuis l’indépendance. Partout dans le monde, ‘Algérien’ rime avec  ‘vaurien’. Cette réputation d’incivilité et de vulgarité est dure à porter pour ceux d’entre nous qui vivent dans le respect d’eux-mêmes et le respect de l’autre», commence l’écrivain.

« C’est indigne, c’est insupportable »

« Ils […] ont trahi la France qui les a accueillis, qui leur a donné la possibilité de vivre dans la liberté et la démocratie. C’est indigne, c’est insupportable. Je suggère aux autorités françaises, en application de la simple bonne règle de la réciprocité, d’expulser dans l’heure ceux qui manquent aux règles de l’hospitalité », ajoute-t-il.

« Le gouvernement algérien, lui, n’a jamais hésité une seconde pour expulser les étrangers qui se rendent coupables de la moindre incartade […] », conclut Boualem Sansal.

The Epoch Times

 

 

 

Gambie : l’ex-président Jammeh accusé d’avoir fait tuer des migrants ghanéens

 

Une trentaine de migrants originaires du Ghana ont été exécutés sommairement par une unité paramilitaire sur ordre de l’ex-président gambien Yahya Jammeh, ont accusé mardi deux anciens membre de la garde présidentielle, reconnaissant avoir participé au massacre, lors d’une audition publique devant la Commission vérité et réconciliation (TRRC).

Les meurtres, qui remontent à juillet 2005, visaient 30 Ghanéens faisant partie d’un groupe de migrants clandestins –44 Ghanéens et plusieurs Nigérians, Sénégalais et Togolais– arrêtés sur une plage de Gambie alors qu’ils tentaient de se rendre en Europe.

« Yahya Jammeh a ordonné l’exécution de ces ressortissants étrangers », présentés comme des « mercenaires », a déclaré devant la TRRC Omar Jallow, ex-membre des « junglers », une unité officieuse de soldats choisis au sein de la garde nationale.

Selon son récit, qui confirme une enquête des ONG Human Rights Watch (HRW) et TRIAL, ces 30 Ghanéens ont été emmenés dans le village du président, Kanilai, avant d’être exécutés de l’autre côté de la frontière sénégalaise.

Les autres migrants ont également été tués, à l’exception d’un unique survivant ghanéen, Martin Kyere, qui avait réussi à sauter du véhicule en marche. Yahya Jammeh, en exil en Guinée Equatoriale, a toujours démenti être impliqué dans ces assassinats.

Un autre militaire, Malick Jatta a également avoué mardi avoir tué l’un des migrants ghanéens, mais assuré avoir épargné un fuyard, dans une probable référence à Martin Kyere. […]

Omar Jallow a aussi expliqué que l’un des migrants lui avait donné « 100 dollars pour qu’il puisse faire ses prières » mais qu’il avait été immédiatement abattu par Sanna Manjang. « J’ai gardé les 100 dollars ». […]

AFP

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