Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Washington est prêt au «pire absolu» avec l’Iran, déclare Trump
Sur fond d’une nouvelle montée des tensions entre Washington et Téhéran, le chef d’État américain a affirmé qu’il était pour lui «difficile de vouloir» conclure un nouvel accord avec Téhéran.
Donald Trump a affirmé que les États-Unis étaient prêts au «pire absolu» dans leurs relations avec l’Iran, ajoutant qu’il était difficile pour lui de négocier un nouvel accord sur le nucléaire.
«Cela devient plus difficile pour moi de vouloir parvenir à un accord avec l'Iran», a-t-il déclaré, ajoutant que Téhéran «se comporte très mal».
S’exprimant le 22 juillet devant les journalistes réunis à la Maison-Blanche, le chef d’État américain a répété que les militaires iraniens n’auraient pas dû abattre le drone américain, ajoutant que Washington était prêt au «pire absolu».
«Je vais attendre. C’est un pays très pauvre. On verra ce qui arrivera», a-t-il affirmé.
Alors que la crise internationale autour de l'Iran s'intensifie, les Gardiens de la Révolution ont annoncé avoir confisqué un tanker britannique. Bras armé de l'ayatollah Khamenei, ces soldats sont également connus pour avoir réprimé dans le sang plusieurs manifestations.
Une création de l'ayatollah Khomeiny
Le corps des Gardiens de la Révolution (CGRI), également appelé Pasdarans, constitue à lui seul un véritable pouvoir en Iran. Son rôle ne se cantonne pas au statut d’armée d’élite, les Gardiens s’étant infiltrés dans les domaines politiques et économiques du pays et même au-delà des frontières de l’Iran.
C’est en mai 1979 que l’ayatollah Khomeiny, fondateur de la République islamique d’Iran, créé, en plus de l’armée régulière, le corps des Pasdarans. Placés sous les ordres directs du guide suprême, ces derniers ont pour mission de protéger le régime et de «sauvegarder les acquis de la Révolution en luttant contre l’ennemi intérieur et extérieur».
Un statut qui permet aux Gardiens de la Révolution de réprimer par la force toute tentative d’opposition au pouvoir. Preuve en est, 21 personnes ont été tuées lors des récentes manifestations.
A la tête d'un empire économique
Outre leur rôle paramilitaire, les Pasdarans jouent également des rôles politiques et économiques. Nombreux sont les Gardiens qui occupent des postes clés au sein des ministères, des administrations et même du Majlis (le Parlement iranien). L’ancien président Mahmoud Ahmadinejad (de 2005 à 2013) était d’ailleurs un ancien membre de l’unité.
Economiquement, le CGRI s’appuie sur un empire colossal (ingénierie, construction, pétrochimie, télécommunications…). Notamment à travers la holding Khatam al-Anbia, créée à la sortie de la guerre contre l’Irak (1988), qui leur permet de remporter des centaines de contrats chaque année. Selon la Fondation d’Etudes pour le Moyen-Orient (FEMO), les Pasdarans contrôleraient aujourd’hui pas moins de 60% de l’économie iranienne.
Un but idéologique
Les Gardiens de la Révolution ont également pour objectif d’exporter l’idéologie de la Révolution islamique dans le monde. A ce titre ont été fondées les Forces Qods (une unité dans l’unité) qui agissent à l’extérieur de l’Iran. Ces milices sont présentes en Syrie, où elles soutiennent le régime de Bachar al-Assad, en Irak, ou encore au Liban à travers le Hezbollah. Les Forces Qods disposent de tous les moyens et seraient impliquées dans les exactions et même des attentats.
C’est ainsi que les Gardiens de la Révolution jouent un rôle déterminant, non seulement en Iran, mais également dans l’ensemble du Moyen-Orient.
«L'Afghanistan pourrait littéralement disparaître en 10 jours» : Trump se rapproche d'Islamabad
Lors de sa rencontre avec le Premier ministre pakistanais, Donald Trump n'a pas été avare de déclarations choc, mais a assuré vouloir trouver la paix grâce au travail engagé avec Islamabad pour ne «pas tuer 10 millions de personnes.»
Le 22 juillet, Donald Trump recevait le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, dans le bureau ovale de la Maison Blanche, notamment pour s'assurer d'un rapprochement avec Islamabad qui permettrait de trouver un débouché sur la reconstruction et la paix en Afghanistan.
Le président américain a toutefois prévenu devant les médias : «Je pourrais gagner cette guerre en une semaine. L'Afghanistan pourrait littéralement disparaître de la surface de la planète en 10 jours. [...] Je ne veux pas aller dans cette direction, je ne veux pas tuer 10 millions de personnes.»
Et de proposer le plan B : en s'appuyant sur le Pakistan, les Etats-Unis veulent poursuivre le désengagement et réduire leur présence sur le sol afghan. Donald Trump a ainsi déploré : «Cela fait 19 ans que nous sommes là-bas et nous avons fait les gendarmes, pas les soldats.»
Corée du Sud: la Russie réagit aux tirs de semonce présumés contre ses bombardiers
Le ministère russe de la Défense a rejeté les accusations de Séoul, affirmant que ses bombardiers n'avaient pas violé l'espace aérien sud-coréen.
Dans un communiqué, il a affirmé que des chasseurs sud-coréens F-16 avaient mis en danger les appareils russes. Ceux-ci effectuaient un vol planifié au-dessus des eaux neutres au-dessus de la mer du Japon.
«Selon les données de contrôle objectif, les avions Tu-95MS ne se sont pas écartés du trajet, conformément au règlement international, et sont passés à une distance de 25 kilomètres des îles Dokdo (Takeshima), sans violer l’espace aérien sud-coréen», ont indiqué les militaires.
«Dans la zone des îles Dokdo (Takeshima), deux chasseurs sud-coréens F-16 se sont approchés des avions russes, ils effectuaient des manœuvres non-professionnelles en croisant le trajet des bombardiers stratégiques russes et en les mettant en danger», a ajouté le ministère.
«Les pilotes sud-coréens n'ont pas essayé d'entrer en contact avec les équipages des Tu-95MS (...) et aucun coup de semonce n'a été tiré par les avions de chasse sud-coréens», a affirmé le ministère russe de la Défense, précisant que dans le cas inverse, «la réponse ne se serait pas fait attendre».
La station de radio houthiste Sam FM, située au Yémen, a organisé une campagne de collecte de fonds pour le Hezbollah intitulée « Bonté du Yémen » du 20 mai au 30 juin 2019. Le 20 juillet, Hamoud Mohammed Sharaf, directeur de la station, a mis en ligne une vidéo sur son compte Twitter montrant des piles de billets dans les bureaux de la radio.
Les hommes de la vidéo ont scandé : « Allah Akbar ! Mort à l’Amérique ! Mort à Israël ! Maudits soient les Juifs ! Victoire pour l’islam ! »
La campagne a rapporté 74 010 000 rials yéménites (environ 295 000 USD), remis au dirigeant houthiste Abdoul Malik Al-Houthi, qui à son tour doit les transmettre au secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah. Extraits :
Hamoud Mohammed Sharaf : Du pieux Yémen à la résistance libanaise, voici la campagne de dons « Bonté du Yémen ».
Hommes dans le studio : Allah Akbar ! Mort à l’Amérique ! Mort à Israël ! Maudits soient les Juifs ! Victoire pour l’islam !
Note ; apparemment la guerre, les morts, le manque de nourriture de leurs familles ne les affectent pas autant que cela . Ils donnent leurs pognons au Hezbollah ! des fanatiques
Royaume-Uni : Boris Johnson succède à Theresa May
Sans surprise, l'ancien ministre des Affaires étrangères et ex-maire de Londres Boris Johnson a été désigné nouveau chef du Parti conservateur ce 23 juillet, succédant ainsi à Theresa May. Il devra se présenter devant la reine dès le 24 juillet.
L'ancien chef de la diplomatie britannique Boris Johnson a été nommé ce 23 juillet nouveau chef du Parti conservateur, emportant 92 153 des voix, contre 46 656 pour Jeremy Hunt, des 159 320 votants. L'ex-maire de Londres devrait ainsi succéder à Theresa May à la tête du gouvernement britannique dès le 24 juillet, après une visite à la reine Elizabeth II.
Deux CRS retrouvés morts en France en quelques heures
Le 22 juillet
En France, deux autres fonctionnaires de police ont mis fin à leurs jours dans la matinée du lundi 22 juillet. Le nombre de morts volontaires dans les rangs de la police nationale continue d’augmenter.
Deux autres policiers français se sont donné la mort. Affecté à la CRS 15 de Béthune, dans le Pas-de-Calais, le premier a mis fin à ses jours avec son arme de service dans la nuit du dimanche 21 juillet au lundi 22 juillet dans la chambre de la compagnie.
D’après le syndicat UNSA Police, le fonctionnaire n’avait pas d’enfant et vivait en concubinage. Il n’a pas laissé de message qui pourrait expliquer son geste. En outre, ses collègues étaient en déplacement dans le sud-ouest lors du drame.
Presque une heure après l’annonce du décès du policier de Béthune, le syndicat UNSA Police a publié un message indiquant qu’un autre fonctionnaire de police avait été retrouvé sans vie à 8h40. Il était formateur à l’école nationale de police (ENP) de Nîmes. Selon la source policière, l’homme a été découvert pendu à son domicile à Poulx dans le Gard.
En 2018, quelque 33 gendarmes ont mis fin à leurs jours, ainsi que 35 policiers nationaux, rappelle Métropolitain. Plus de 50 membres des forces de l'ordre se sont ôté la vie depuis le début de l'année, avait précédemment annoncé Actu 17. Le taux de morts volontaires dans la profession est supérieur de 36% à celui de la population générale, selon une étude de l'Inserm.
Note : et du temps que nos policiers dépriment et ce donne la mort laissent leurs familles en deuils , les politiciens eux se goinfrent de caviars et de homards aux frais du contribuable
Une enquête sur les dîners de Macron avec le «Tout-Paris» aux frais de la République publiée
L’affaire François de Rugy a «ressuscité» le passé. Des journalistes et figures de la vie politique sont revenus, pour Franceinfo, sur les dîners organisés par Emmanuel Macron à Bercy alors qu’il était ministre de l'Économie. Ils ont notamment évoqué certaines «similitudes» dans ces deux cas.
Les dîners polémiques de François de Rugy ont rappelé aux journalistes et figures de la vie politique, interrogés par Franceinfo, les réceptions tenues à Bercy par Emmanuel Macron, à l’époque ministre de l'Économie. Selon eux, grâce à ces événements, le Président français a pu établir un solide réseau de contacts qui lui a été bénéfique pour construire sa carrière politique.
«Il y a des similitudes»
Pour Frédéric Says, éditorialiste à France Culture et auteur avec Marion L'Hour du livre Dans l'enfer de Bercy, il existe bien une ressemblance.
«Il y a des similitudes […]. Pour François de Rugy, on parle d'une dizaine de dîners entre octobre 2017 et juin 2018 mais du côté d'Emmanuel Macron, c'était quasiment tous les soirs! C'était très très soutenu», a tenu à préciser Frédéric Says.
«C'était impressionnant»
Christian Eckert, l’ancien secrétaire d’État chargé du Budget au ministère des Finances et des Comptes publics, s’est aussi souvenu de ces réceptions.
«Je ne sais pas si les dîners de Macron étaient comparables avec ceux de Rugy en terme de qualité des repas mais en terme de nombre et de fréquence, c'était impressionnant», a-t-il dit interrogé par Franceinfo.
Le «Tout-Paris» invité
Toujours d’après Christian Eckert, lors de ces dîners, le Président français s’entretenait avec des personnes de tous les domaines.
«La salle à manger peut accueillir les journalistes, les acteurs, les "people", les chefs d'entreprise, les chanteurs, le Tout-Paris et bien au-delà, accourus le plus souvent par l'entrée discrète située quai de Bercy», a-t-il souligné.
Toulouse : une femme poignardée et égorgée en pleine rue (MàJ : un individu « d’origine africaine » mis en examen)
22 juillet 2019
Cet agresseur, dont l’identité exacte reste à déterminer « est d’origine africaine », a précisé le procureur.
Il vit à Limoux dans l’Aude et a été arrêté en pleine rue à Toulouse, vendredi 19 juillet en pleine célébration de la victoire de l’Algérie à la coupe d’Afrique des Nations.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, en pleine nuit, une femme qui rentrait à son domicile après avoir quitté son travail, était violemment agressée par un inconnu à Toulouse (Haute-Garonne). Un homme s’était jeté sur elle chemin Linières, dans le quartier des Minimes, essayant de lui trancher la gorge avant de lui asséner trois puissants coups de couteau. Il était depuis activement recherché.
Selon La Dépêche, un homme a été mis en examen et incarcéré dimanche soir dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour « tentative de meurtre ». Jeune majeur, il est inconnu des services de police. Aucun élément n’a pour le moment été donné sur les circonstances de son arrestation.
Fausse piste. L’homme interpellé peu après la sauvage agression dont a été victime une jeune femme de 36 ans, jeudi 18 juillet 2019, vers 2 heures du matin, dans le quartier des Minimes, à Toulouse, a été « remis en liberté et officiellement disculpé« , selon une source proche de l’enquête qui l’a confirmé à Actu Toulouse.
Ce jeudi après-midi, la victime se trouvait toujours au service de réanimation de l’établissement. Et la gravité de ses blessures ne laisse aucun doute sur les intentions de son agresseur. Sa gorge a été tranchée de part en part, de la veine jugulaire à la carotide en passant par le larynx. Par ailleurs, en lui assénant des coups à la poitrine, l’individu a transpercé le thorax et le myocarde, le muscle qui enveloppe le cœur. Cette mère de famille qui est par ailleurs mariée souffre également d’une importante lésion au foie.
[…]
Dans la nuit de mercredi à jeudi, peu après l’agression, un homme qui correspondrait au signalement divulgué par la victime a été interpellé pour des faits de recel vers 4 heures du matin. Quelques heures auparavant, il aurait invectivé plusieurs passants. Cet individu sans domicile fixe était très agité. Il a été placé en garde à vue, une mesure qui a été prolongée ce jeudi soir. Mais le parquet a refusé d’indiquer s’il s’agissait de l’auteur présumé des coups de couteau. Trop tôt pour le dire
La Slovénie déploie des troupes pour renforcer les patrouilles aux frontières face à l’arrivée croissante de migrants
LJUBLJANA, Slovénie (AP) – L’armée slovène a annoncé que 35 soldats se joindront à la police pour patrouiller les frontières dans le sud-ouest du pays après qu’un nombre croissant de migrants ont été repérés dans la région.
L’armée a déclaré que les soldats apporteront leur équipement pour aider la police opérant dans la zone de la ville côtière de Koper, qui est près des frontières croate et italienne. Ils ont été déployés lundi.
La police de Koper a rapporté avoir appréhendé 122 migrants vendredi après avoir découvert plusieurs petits camps de fortune dans une zone forestière. La plupart des migrants venaient d’Afghanistan et au moins cinq d’entre eux étaient mineurs.
L’armée slovène participe à des patrouilles frontalières aux côtés de la police depuis 2016, après que des centaines de milliers de migrants ont traversé le pays de 2 millions d’habitants en cherchant à atteindre l’Europe occidentale.
14 pays d’Europe solidaires pour se répartir les migrants : « La France fait partie des pays actifs »
Quatorze pays européens ont donné leur accord, dont huit « de manière active », pour mettre en oeuvre un « mécanisme de solidarité » visant à se répartir les migrants secourus en Méditerranée, a annoncé lundi Emmanuel Macron. Le président français a reçu à l’Élysée le Haut-Commissaire de l’ONU pour les réfugiés (HCR) Filippo Grandi et le directeur général de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) Manuel de Carvalho Ferreira Vitorino.
Les huit pays « actifs » sont la France, l’Allemagne, le Portugal, le Luxembourg, la Finlande, la Lituanie, la Croatie et l’Irlande, a indiqué l’Élysée, sans préciser le nom des six autres.
Le ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, a qualifié de « flop » cette réunion qui a, selon lui, « réaffirmé que l’Italie devrait continuer à être le camp de réfugiés de l’Europe ».
Baromètre 2019 du prénom musulman : 21,6% de naissances en France l’an passé, 53,4% dans le 93 (màj : zoom sur les prénoms turcs)
L’INSEE a publié comme chaque année les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.
Ces fichiers sont téléchargeables via ce lien.
Pour la 4ème année consécutive, Fdesouche publie en exclusivité le baromètre des naissances enregistrées en France sous prénom musulman.
L’analyse de l’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en France en 2018 révèle :
• Un taux national qui atteint les 21,6%
• Un taux de croissance qui parait ralentir : une augmentation de 0,3% au regard de 2017, cette croissance était en moyenne de 0,7% depuis 2000.
• A noter cependant la nette augmentation des « prénoms rares », c’est à dire ayant enregistré moins de 3 naissances au niveau national sur l’année, qui complexifient la mesure
• Les statistiques indiquent un taux de prénom musulman estimé à 1/3 des prénoms rares (essentiellement des variations orthographiques de prénoms ou des prénoms composés), représentés en rouge sur le graphe.
• Sur cette base, l’estimation du taux national d’octroi de prénom musulman en France corrigé serait à 24,2% mais en raison de son caractère incertain, nous en restons au chiffre ci-dessus.
Méthodologie
Afin de mener cette étude présentant la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental, il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.
Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », il n’est pas évident de les identifier parmi les 34000 prénoms de la base de l’INSEE.
Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr. Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.
Plusieurs états civils de villes françaises ont enfin été examinés afin de valider l’association du prénom à des patronymes particuliers.
Certains prénoms sont systématiquement attribués à des enfants de familles musulmanes, ce sont les « prénoms musulmans certains ».
D’autres prénoms, majoritairement attribués à des enfants de familles musulmanes, peuvent parfois être attribués à d’autres enfants, nous les suivons comme prénoms mixtes. Afin de disposer de chiffres indiscutables, nous ne décomptons les « prénoms mixtes » que pour moitié dans le décompte des prénoms musulmans.
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