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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 24 juin 2019

 

 

Washington intensifie la pression sur l'Iran et appelle ses alliés à faire de même

Note: Les Américains passent leur temps à lécher les culs des Saoudiens
Il se passe pas une semaine sans qu'ils aillent leur prendre la température .

Il me tarde de voir leurs  réactions, lorsque les Saoudiens finiront par se ranger au côté des Iraniens pour leurs faire la guerre (prophéties annoncées)

 

«Nos forces armées sont prêtes à agir» : après l'apaisement, Washington menace à nouveau l'Iran

 

Sur le dossier iranien, l'administration de Donald Trump continue d'alterner apaisement et menaces. Après que Donald Trump a affirmé avoir renoncé à des représailles, son conseiller à la Sécurité nationale John Bolton a durci le ton.

 

«Nos forces armées sont prêtes à agir» : après l'apaisement, Washington menace à nouveau l'Iran

Ce 23 juin, John Bolton, conseiller à la sécurité nationale du président américain, a mis en garde l'Iran, deux jours après l'annulation à la dernière minute par Donald Trump de supposées frappes de représailles contre l'Iran.

«Ni l'Iran, ni aucun autre acteur hostile ne devrait confondre prudence et retenue de la part des Etats-Unis avec de la faiblesse», a-t-il déclaré, avant une rencontre à Jérusalem avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. 

«Nos forces armées sont prêtes à agir», a-t-il ajouté au lendemain de l'annonce par Donald Trump de nouvelles sanctions qu'il a qualifiées de «majeures» contre l'Iran.

D'après John Bolton, ces sanctions devraient être détaillées publiquement le 24 juin. Le conseiller américain à la sécurité nationale est en Israël pour des rencontres centrées sur la «sécurité régionale», selon la Maison Blanche, dans un climat de vives tensions entre Washington et Téhéran. John Bolton doit notamment s'entretenir avec ses homologues israélien, Meir Ben-Shabbat, et russe, Nikolaï Patrouchev. Il devrait entre autres être question de la situation en Syrie.

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LIRE AUSSI: Etats-Unis Iran: Washington avertit Téhéran de ne pas confondre «prudence» et «faiblesse»

 

 

Tout conflit régional pourrait devenir incontrôlable selon un général iranien

 

Un haut commandant militaire iranien a averti dimanche que tout conflit dans la région pourrait se propager de façon incontrôlable. Ses propos ont été tenus alors que Téhéran affirmait qu’elle s’opposerait fermement à toute menace à ses frontières, après que le président américain Donald Trump a déclaré que les militaires étaient « armés et prêts » à frapper après l’abattage d’un drone américain jeudi dernier.

« Si un conflit éclate dans la région, aucun pays ne sera en mesure d’en gérer la portée et le calendrier », a déclaré le général de division Gholamali Rashid, selon l’agence de presse semi officielle Fars, citée par Reuters

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«Je m’en fous des Européens», lance Trump à propos de l’accord sur le nucléaire iranien

 

«Les Européens (…) gagnent beaucoup d’argent… En France ils vendent des voitures à l’Iran». Tout en se disant intéressé par les échanges directs avec Téhéran, Donald Trump a dénoncé la position européenne, selon laquelle l'Iran respecte l’accord sur le nucléaire de 2015, arguant que les actions de l’UE étaient motivées par des intérêts commerciaux.

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« Si l’Iran continue ses politiques agressives, il devra en payer le prix »

 

Dans un entretien au « Monde », le ministre saoudien des affaires étrangères, Adel Al-Jubeir, revient sur la situation explosive dans le Golfe.

 

Le ministre saoudien des affaires étrangères, Adel Al-Jubeir, à l’ambassade d’Arabie saoudite de Londres, le 20 juin.

Le ministre saoudien des affaires étrangères, Adel Al-Jubeir, a rencontré à Paris le dimanche 23 juin son homologue français Jean-Yves Le Drian pour évoquer la situation dans le Golfe et la montée des tensions entre les Etats-Unis et l’Iran. Dans un entretien accordé au Monde, il a évoqué cette crise qui risque de déboucher sur un conflit direct entre Washington et Téhéran.

Pensez-vous qu’une guerre est possible dans le Golfe ?

Adel Al-Jubeir : J’espère que non. Nous avons dit que nous voulions éviter une guerre à tout prix, comme les Américains. Ce sont les Iraniens qui font le choix de l’escalade. Vous ne pouvez pas attaquer des navires dans le Golfe, vous ne pouvez pas attaquer des pipelines, vous ne pouvez pas fournir des missiles balistiques à des groupes terroristes comme les houthistes [les insurgés chiites en guerre contre le gouvernement yéménite] pour qu’ils s’en servent contre l’Arabie saoudite. Mais nous avons le devoir de riposter si nous sommes attaqués. Aujourd’hui, l’Iran est sous le coup de sévères sanctions économiques. Ces sanctions seront renforcées. Si l’Iran continue ses politiques agressives, il devra en payer le prix.

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LIRE AUSSI : Téhéran promet de «mettre le feu» aux intérêts US en cas d’agression

 

 

 

L’Iran à propos des présumées cyberattaques américaines : « Aucune n’a réussi »

 

L’Iran a assuré, lundi 24 juin, n’avoir subi aucun dégât à la suite de « cyberattaques » qui ont été lancées, selon la presse américaine, contre des systèmes de défense iraniens par les Etats-Unis. Le ministre iranien des télécommunications, Mohammad Javad Azari-Jahromi, a affirmé que cette opération avait échoué.

« Les médias s’interrogent sur la véracité de présumées cyberattaques contre l’Iran. Je dois dire que cela fait longtemps que nous faisons face au cyberterrorisme […] et à l’unilatéralisme » des Etats-Unis, a-t-il déclaré sur Twitter. « Aucune de leurs attaques n’a réussi, alors qu’ils font beaucoup d’efforts en ce sens », a-t-il affirmé. « L’an dernier, nous n’avons pas fait échouer une attaque, mais 33 millions » grâce à un nouveau système de défense informatique, a-t-il ajouté.

Samedi, des médias américains ont rapporté que les Etats-Unis avaient lancé des cyberattaques contre des systèmes de lancement de missiles et un réseau d’espionnage iraniens. Selon le Washington Post, une des cyberattaques a visé des ordinateurs servant à contrôler des lancements de missiles et de fusées. Selon Yahoo! News, l’autre attaque informatique a frappé un réseau d’espionnage chargé de surveiller les passages de navires dans le détroit d’Ormuz. Le groupe, lié aux gardiens de la révolution, procéderait notamment en créant des profils sur les réseaux sociaux pour converser sous une fausse identité avec des marins américains et connaître ainsi leurs déplacements. Cette technique est connue des services de sécurité américains et des entreprises spécialisées depuis au moins cinq ans, mais les Iraniens l’auraient récemment perfectionné. L’unité de renseignement est soupçonnée d’avoir participé au sabotage de six navires pétroliers en mer d’Oman depuis la mi-mai.

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Lire aussi : Washington a lancé des cyberattaques contre l'Iran

 

 

 

Le pétrole grimpe, de nouvelles sanctions américaines contre l'Iran attendues

 

Les prix du pétrole montaient légèrement lundi en cours d'échanges européens, continuant d'être soutenus par les tensions dans le Golfe alors que les Etats-Unis s'apprêtent à annoncer de nouvelles sanctions contre l'Iran.

Vers 10H00 GMT (12H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 65,27 dollars à Londres, en hausse de 7 cents par rapport à la clôture de vendredi. A New York, le baril américain de WTI pour la même échéance gagnait 42 cents à 57,85 dollars. De nouvelles mesures de rétorsion contre l'Iran ont été annoncées par Donald Trump samedi. "Nous mettons en place des sanctions supplémentaires majeures contre l'Iran lundi", avait-il tweeté. "L'Iran ne peut pas avoir d'armes nucléaires ! ". Les Etats-Unis ont déjà mis en place des sanctions contre les importateurs de pétrole iranien, mais les analystes de JBC Energy, qui estiment que l'Iran exporte encore "800.000 barils de pétrole par jour en juin", se demandaient lundi matin si Washington pourrait chercher un moyen de réduire encore la manne pétrolière de Téhéran.

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LIRE AUSSI :États-Unis-Iran: la guerre des mots pour ne pas perdre la face

 

 

 

États-Unis-Iran : vers une guerre ?

 

Iran : en pleine session parlementaire, les députés scandent "mort à l'Amérique"

 

Le 23 juin

Les élus ont donné tort à Donald Trump, qui s'était vanté il y a quelques semaines d'avoir dissuadé les Iraniens de reprendre le slogan popularisé par l'ayatollah Khomeini en 1979.

 

La scène a eu lieu dimanche 23 juin, en pleine session parlementaire. Les députés iraniens ont scandé "Mort à l'Amérique", selon l'agence Reuters. Ils ont entonné la célèbre formule pour saluer un discours du vice-président du Parlement. Dans celui-ci, Masoud Pezeshkian critiquait les Etats-Unis, les qualifiant de "véritable terroriste du monde qui sème le chaos dans les pays, confie des armes sophistiquées à des groupes terroristes, provoque l'insécurité et continue à dire : 'Venez négocier'".

Les députés iraniens ont donc donné tort à Donald Trump qui s'était vanté il y a quelques semaines d'avoir dissuadé les Iraniens de reprendre le slogan popularisé par l'ayatollah Khomeini lors de la Révolution islamique de 1979 et le renversement du Shah soutenu par Washington. "Ils [les Iraniens] ne crient plus 'Mort à l'Amérique' ces derniers temps", avait affirmé le président américain dans une interview sur Fox News.

La tension montre entre Washington et Téhéran depuis des semaines. Ils se sont exacerbés vendredi après que le président des Etats-Unis a reconnu vendredi avoir annulé à la dernière minute une opération militaire contre l'Iran, qui avait abattu la veille un drone américain.

Source

LIRE AUSSI : Le nouveau clip iranien « Mort = Amérique » montre un squelette de Statue de la Liberté tenant un chandelier juif : « La mort est une peine trop douce pour l’Amérique »

 

La diplomatie iranienne évoque un autre incident avec un «drone espion» fin mai (photo)

 

Le 23 juin

Après que l'Iran a annoncé le 20 juin avoir abattu un drone espion états-unien qui «était entré dans l'espace aérien iranien», la diplomatie de la République islamique a fait état d'un précédent incident avec un «drone espion» survenu fin mai.

Le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré sur son compte Twitter qu’un incident impliquant un «drone espion» s’était produit au mois de mai.

«[Il y a] plus de preuves, y compris d’une intrusion d’un drone espion MQ-9 le 26 mai», a-t-il constaté, faisant état également des acquisitions de bateaux et des conversations téléphoniques «planifiant d’attribuer des attaques de navires à l’Iran», a indiqué Mohammad Javad Zarif.

Selon lui, les alliés étaient «sur le point d’impliquer le Président américain dans une guerre», alors que «la prudence l’a empêché, mais le terrorisme économique ajoute de la tension».

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Trump: «Je n’ai jamais annulé la frappe contre l’Iran»

 

Le Président américain a affirmé, sur son compte Twitter, qu’il n’avait «jamais annulé» l’ordre de frapper l’Iran, ne faisant que suspendre sa décision «pour le moment».

Donald Trump a indiqué que ses propos concernant l’annulation de la frappe contre l’Iran ont été mal interprétés.

«Je n’ai jamais annulé la frappe contre l’Iran, comme le reportent de manière erronée les gens. Je n’ai fait que l’empêcher d’aller plus loin pour le moment», a-t-il indiqué sur Twitter.

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L'Iran exécute un prestataire du ministère de la Défense accusé d'être un "espion" de la CIA

 

Le 22 juin (mise a jour)

L'Iran a exécuté un prestataire du ministère de la Défense condamné pour espionnage au profit de l'Agence centrale du renseignement des Etats-Unis (CIA), a indiqué samedi 22 juin l'agence de presse Isna, dans un contexte de tensions accrues entre Téhéran et Washington. Isna, qui cite l'armée iranienne, n'a pas donné plus de détails sur la date de l'exécution. Jalal Haji Zavar était "un prestataire de l'organisation aérospatiale du ministère de la Défense", selon l'agence de presse.

Il avait été condamné par un tribunal militaire et sa sentence a été exécutée à la prison de Rajai-Shahr, au nord-ouest de Téhéran. Selon l'agence Isna, Jalal Haji Zavar a été "identifié par les services de renseignement du ministère de la Défense" et avait, au cours de l'enquête, "avoué explicitement espionner au profit de la CIA pour de l'argent tandis que des documents et des outils d'espionnage avaient été retrouvés à son domicile". Par ailleurs, son "ex-femme" effectue une peine de quinze ans de prison après avoir été condamnée pour "complicité d'espionnage", toujours selon Isna.

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Une guerre contre l’Iran «pourrait coûter à Trump sa réélection»

 

Le 22 juin

Le 20 juin, les Gardiens de la révolution islamique ont annoncé avoir abattu un drone espion américain qui «était entré dans l'espace aérien iranien». Washington affirme que cela se passait dans l’espace international. Irrité, Donald Trump était, selon lui, à 10 minutes de frapper des cibles iraniennes, mais est revenu sur sa décision, ayant suspendu l’opération peu avant que les avions ne décollent.

«Nous ne savons pas exactement ce qui s'est passé. […] D'après ce que j'ai compris de l'article dans le New York Times, l'opération était bel et bien amorcée. […] C’est plutôt gênant d’être à un stade aussi avancé d’une opération militaire et de l’arrêter subitement. Quoi qu'il en soit, les conséquences d’un tel acte de guerre contre l'Iran seraient très lourdes tant pour le Proche-Orient que pour les États-Unis eux-mêmes», a estimé dans un entretien accordé à Sputnik Claude El Khal, journaliste indépendant établi au Liban.

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Un aéroport saoudien attaqué par des rebelles yéménites, selon la coalition menée par Riyad

 

Selon la coalition menée par l'Arabie saoudite au Yémen, une attaque des rebelles houthis sur un aéroport du royaume wahhabite a fait un mort. Les rebelles ont intensifié ces dernières semaines les attaques, notamment avec des drones.

La coalition militaire engagée au Yemen et dirigée par l'Arabie saoudite a affirmé, selon Reuters et l'AFP, que la rébellion houthie avait lancé une attaque contre l'aéroport d'Abha, dans le sud du royaume saoudien. Une personne – de nationalité syrienne – aurait été tuée et sept autres blessées. 

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100 millions de dollars par mois: la Ligue arabe réitère son engagement financier à l'égard des Palestiniens

 

La Ligue arabe a réitéré au Caire son engagement à verser 100 millions de dollars par mois aux Palestiniens, sans en fournir les modalités, au lendemain de l'annonce du volet économique du plan américain pour résoudre le conflit israélo-palestinien.

Les ministres des Finances arabes, réunis au siège de la Ligue au Caire, ont confirmé un engagement pris par l'organisation le 22 avril «d'activer un filet de sécurité financière destiné à soutenir le budget de l'Autorité palestinienne avec un montant de 100 millions de dollars (près de 88 millions d'euros) par mois», selon un communiqué cité par l'AFP.

La Ligue arabe n'a pas indiqué les échéances du paiement de cette somme destinée à «soutenir la Palestine face aux pressions et aux crises financières», le calendrier des versements dépendant des pays membres.

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LIRE AUSSI : «La Palestine n’est pas à vendre» : le Hamas et l'OLP rejettent le plan de Jared Kushner

 

 

 

Dossier des S-400: «Nous aurons nos propres sanctions» contre les USA, promet Erdogan

 

Le Président turc a réaffirmé la détermination de son pays à déployer des systèmes antiaériens S-400 sur son territoire en dépit des menaces de sanctions proférées par les États-Unis.

L’achat de systèmes de missiles russes S-400 par Ankara est une affaire conclue et la Turquie est prête à riposter aux éventuelles sanctions promises par les États-Unis en lien avec ce contrat, a déclaré le dirigeant turc Recep Tayyip Erdogan.

S-400

Ces derniers mois, la partie américaine a multiplié les menaces en vue de dissuader la Turquie d’acquérir des S-400. Le Président Erdogan a recommandé à Washington de «réfléchir très soigneusement» avant de mettre ses menaces en œuvre:

«Nous aurons nos propres sanctions à leur encontre», a promis le Président turc.

M.Erdogan affirme que ses relations avec Donald Trump restent solides, alors que «nos rapports avec ceux qui travaillent pour lui sont bien différents»

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Les Etats-Unis veulent dissuader l'Inde d'acquérir le système de défense anti-aérienne russe S-400

 

Tahar Ben Jelloun - Morsi, une mort suspecte

 

L'écrivain dénonce le régime d'oppression du maréchal al-Sissi, lequel « pratique la vieille méthode de la répression tout azimut ».

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Algérie : un jeune chrétien condamné pour «exercice de culte non musulman»

 

Un jeune citoyen d’Akbou, de confession chrétienne, a été condamné, jeudi dernier, par le tribunal à 50 000 DA d’amende pour «exercice de culte non musulman et sans autorisation». Le jeune citoyen a été entendu le 29 mai dernier par le juge du tribunal de la même ville. Le procureur avait requis une peine de deux ans de prison ferme à l’encontre de l’accusé.

Après lamise sous scellés, le 17 octobre 2018, par la gendarmerie, de l’église «Ville de refuge», rattachée à l’Eglise protestante d’Algérie (EPA),  qui existe depuis 2013 à Akbou, l’accusé a procédé à l’installation d’un chapiteau pour permettre aux fidèles d’accomplir les messes du dimanche. Le 16 mai dernier, il est convoqué par le juge d’instruction, qui a qualifié l’affaire comme étant celle d’«exercice de culte sans autorisation».

[…]

Me Sofiane Ikken, en s’interrogeant sur les refus systématiques d’ériger des lieux de culte non musulmans, pense que «ce sont les autorités qui poussent ces chrétiens à entrer dans la clandestinité avant de les convoquer en justice». Pour rappel, l’EPA a condamné cette fermeture «abusive qui ne repose sur aucun justificatif valable». Selon elle, les gendarmes ont expliqué avoir «exécuté un ordre émanant du wali de Béjaïa».

 

El Watan

El Watan est un quotidien généraliste algérien en langue française, il est considéré comme le journal de référence en Algérie

 

 

Grenoble : Opération coup de poing de femmes en burkini dans une piscine publique (MàJ)

 

Un groupe de sept femmes s’est baigné en burkini (maillot couvrant, interdit) ce dimanche à la piscine Jean-Bron.

Après une première action fin mai aux Dauphins un groupe autobaptisé « Rosa Parks musulmanes » s’est baigné en burkini (maillot couvrant, interdit), cette fois à la piscine Jean-Bron de Grenoble, ce dimanche à 15h30.

Elles étaient sept femmes à le porter, entourées de sympathisants et de membres de l’association Alliance citoyenne.

Les responsables de la direction des sports et les vigiles de la sécurité leur ont signifié l’interdiction… sans effet.

(…) Le Dauphiné

 

 

 

Pour la Haut-Commissaire aux droits de l’homme, « les États ont le devoir de respecter les droits des islamistes, de leurs femmes et de leurs enfants »

 

 

«Que les choses soient claires, ceux qui sont suspectés d’avoir commis des crimes, quel que soit leur pays d’origine, doivent être jugés», a déclaré la Haut-Commissaire aux droits de l’homme avant de rappeler que les États avaient le devoir de respecter les droits des ex-combattants, de leurs femmes et de leurs enfants pour «protéger la société du risque de radicalisation et de violence dans le futur». […]

Jusqu’à présent, 29 000 enfants de combattants âgés de moins de 12 ans ont été recensés. «La principale considération doit être leur réadaptation. Les rendre apatride n’est pas une option envisageable», a mis en garde la Haut-Commissaire aux droits de l’homme, en dénonçant l’attitude de certains pays. «Infliger un tel traitement à des enfants qui ont déjà souffert l’innommable est d’une cruauté incroyable», a-t-elle ajouté.

24heures.ch

 

 

Paris 18e : face à la hausse de la délinquance dans les «secteurs populaires», les habitants se sentent abandonnés

 

Drogue, violence, insécurité, trafics : les secteurs populaires du XVIIIe arrondissement crient leur souffrance. La Ville demande des renforts policiers.

La Goutte-d’Or (XVIIIe), la violence, la drogue, les commerces qui ferment. Château-Rouge, ses éternels vendeurs à la sauvette, la porte de la Chapelle, sa colline du crack, maintes fois évacuée, et toujours présente. La place de la Chapelle et le quartier Pajol, qui attendent désespérément les renforts policiers promis depuis de longs mois.
Dans ce quartier populaire où se relaient sans relâche, depuis quelques semaines, les candidats aux municipales, Emmanuel Grégoire, le premier adjoint de la maire, Anne Hidalgo a martelé que « les feux de l’enfer » s’abattraient sur ceux qui y commettent des actes délictueux. Les habitants, eux, attendent. […]

«Une jeune femme avec un tout petit bébé m’a dit droit dans les yeux : Quand je sors du métro, il y a 200 m à faire, et je suis harcelée. Je ne veux pas voir grandir mon enfant dans cet environnement», retrace Colombe Brossel, adjointe à mairie de Paris chargée de la sécurité. Avant de citer cette autre habitante : « Pourquoi ma fille adolescente est obligée de mettre un gilet même en été, pour ne pas se faire insulter par les vendeurs à la sauvette ». […]

news.yahoo

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