Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Disparition de Jamal Khashoggi : Donald Trump pointe les «mensonges» de Riyad
Les versions saoudiennes contradictoires se multiplient, après que l'Arabie a reconnu la mort de Jamal Khashoggi.
Quarante-huit heures après que l'Arabie a affirmé que Jamal Khashoggi avait été tué au cours d'une «rixe» avec des Saoudiens ayant cherché «à dissimuler ce qui est arrivé» à leur consulat d'Istanbul, le scepticisme de la communauté internationale grandit. Les doutes atteignent même les États-Unis, le plus proche allié du royaume, face à cette version des faits qui dédouane le pouvoir à Riyad, en particulier le prince héritier Mohammed Ben Salman (MBS).
Après avoir jugé «crédible» l'explication de la justice saoudienne, Donald Trump évoque désormais des «mensonges» de Riyad. «Il y a manifestement eu tromperie et mensonges», a-t-il confié samedi au Washington Post, auquel collaborait le journaliste saoudien. «Leurs histoires partent dans tous les sens», a ajouté le président américain, qui répète qu'il va s'entretenir avec MBS.
«Fausses informations en interne»
Alors que la Turquie - elle aussi déçue par Riyad - se dit prête «à tout révéler» de l'assassinat de Khashoggi, les alliés européens de l'Arabie ont également exprimé leur déception. Dimanche, dans un communiqué commun, Londres, Paris et Berlin ont appelé à «un besoin urgent de clarification». Samedi, la chancelière allemande Angela Merkel avait jugéles explications saoudiennes «insuffisantes», tandis que son ministre des Affaires étrangères, Heiko Maas, se dit prêt à un gel des exportations d'armes vers l'Arabie, tant que la clarté n'aura pas été faite. Bref, la pression monte pour «une enquête exhaustive, minutieuse et crédible».
Erdogan promet de raconter «la vérité nue» sur la mort de Jamal Khashoggi
Le Président turc a assuré qu'il révélerait prochainement toute la vérité sur les circonstances de la mort du journaliste saoudien Jamal Khashoggi.
Tandis que le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Joubeir, a appelé à ne pas tirer de conclusions avant de connaître les résultats définitifs de l'enquête sur la mort du journaliste Jamal Khashoggi, le dirigeant turc Recep Tayyip Erdogan a promis de faire plus de lumière sur l'affaire mardi prochain.
«Nous aspirons à la justice et la vérité nue sur cette [affaire] sera présentée», a déclaré le chef de l'État lors d'un rassemblement à Istanbul, comptant faire une déclaration lors de la réunion à venir au Parlement avec les membres de son Parti de la justice et du développement (AKP).
La coalition US explique sa frappe contre une mosquée en Syrie
La coalition internationale sous commandement américain affirme avoir détruit une mosquée transformée, selon elle, en quartier général par des combattants de Daech* . Elle n’aborde en revanche pas la question des victimes civiles dans son communiqué expliquant les frappes.
«Nous irons au Paradis comme les martyrs»: les propos de Vladimir Poutine expliqués
Le porte-parole du Président russe a expliqué à quoi faisait référence Vladimir Poutine, lorsqu’au Club de discussion Valdaï, il évoquait la possibilité d’une frappe nucléaire, le «Paradis» et «les martyrs». Selon lui, il s’agit d’une image puisque la Russie «n'attaquera jamais personne en premier».
La Russie «n'attaquera jamais personne en premier» en cas de guerre nucléaire, a assuré lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, en commentant les propos tenus par Vladimir Poutine dans le cadre du Club de discussion Valdaï. «Nous, en tant que victimes de l'agression, nous irons au Paradis comme les martyrs, alors qu'eux [les agresseurs, ndlr], ils crèveront tout simplement, sans même avoir eu le temps de se repentir», a alors lancé le dirigeant russe.
«Il n'était principalement pas question du Paradis, encore moins de la question de savoir où on irait après la mort. Il s'agissait — ce que beaucoup n'ont pas entendu — du fait que la Russie ne se réserve pas le droit de procéder une frappe préventive dans le cadre de sa doctrine militaire. Nous n'attaquerons jamais personne en premier», a souligné M. Peskov.
En outre, le porte-parole a précisé sous quelles conditions la Russie pourrait toutefois recourir à une frappe nucléaire:
«La première option: on nous attaquerait en utilisant des armes nucléaires. La deuxième option: on nous attaquerait et mettrait en question l'existence de notre État en tant que tel. La Russie se réserverait le droit de recourir à des armes nucléaires seulement dans ces deux cas-là.»
D'après lui, les paroles de Vladimir Poutine visaient à mettre en avant cette idée, alors que «le Paradis», «l'Enfer» et «les martyrs» n'étaient que des images.
Manchester United prend ses distances avec le prince d'Arabie Saoudite
En pleines négociations avec le prince d'Arabie Saoudite Mohammed Ben Salmane, Avram Glazer, co-propriétaire de Manchester United, a choisi de mettre entre parenthèse le rachat du club suite au scandale de la mort du journaliste Jamal Khashoggi.
Dans l'œil du cyclone après l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, Mohammed Ben Salmane est en train de se faire une mauvaise pub. Le prince d'Arabie Saoudite est vivement critiqué pour avoir manqué aux droits de l'Homme et de mentir sur les circonstances de cet enlèvement et donc assassinat. Son image est écorchée un peu partout dans le monde et vient mettre un frein à ses activités. Parmi elles, le rachat de Manchester United.
Pierre Le Corf: pourquoi aucun gouvernement occidental «ne veut qu'Idlib soit libérée»
Si elle est proche, la libération de la province d'Idlib ne sera pas facile, les USA et leurs alliés ne voulant pas la voir nettoyée des terroristes, estime l'humanitaire français Pierre Le Corf dans un entretien accordé à Sputnik au cours duquel il évoque également la libération d'Alep dont les enseignements pourraient servir à Idlib.
Moment clef dans le conflit syrien, la libération à venir d'Idlib, le dernier fief des terroristes en Syrie, est déjà largement commentée dans les pays occidentaux. Cet emballement finalement logique quand on pense que la victoire des Syriens, qui sera la défaite des terroristes, est «quelque chose de fatal» qui fera échouer les projets de l'Occident, a expliqué Bachar el-Assad. Fondateur de l'ONG WeAreSuperheroes et humanitaire français Pierre Le Corf, qui vit à Alep, fait part à Sputnik de ses inquiétudes quant à la finale qui approche.
«La libération d'Idlib va être très difficile parce que toutes les forces de la coalition et les gouvernements qui se sont impliqués dans la guerre jusqu'à maintenant refusent qu'Idlib soit libérée. Parce que le jour où Idlib sera libérée, ce sera la fin de la guerre, ce sera [le moment] d'aller libérer les zones qui sont occupées [dans] le Nord illégalement: tant par la France que [par] les Américains, et même [par] les Italiens. Pour moi, aujourd'hui [aucun] gouvernement: tant la France que les États-Unis, l'Angleterre, etc., ne veut qu'Idlib soit libérée», déplore-t-il.
L'Occident pourrait facilement sacrifier la population du gouvernorat d'Idlib pour pour empêcher le gouvernement syrien de reprendre le contrôle du gouvernorat d'Idlib, «pour être sûr qu'Idlib soit et reste une zone […] non libérée, soit pour créer une provocation globale, comme à l'arme chimique», poursuit-il. Ce qui fait alors écho aux multiples mises en garde du gouvernement russe au sujet de provocation en préparation avec un but précis: accuser Damas et avoir donc un prétexte de frapper le territoire syrien.
Pierre Le Corf, qui aide depuis déjà plusieurs années les habitants, dont certains touchés psychologiquement et parfois physiquement par la guerre, à retrouver une vie normale, craint que les événements à venir n'entraînent de nouvelles souffrances et ne «renforce[r] le crash du pays sur lui-même».
«Et j'ai peur d'une confrontation globale sous un prétexte quel qu'il soit: chimique, humanitaire. Tout va être mis en place pour faire en sorte de manipuler l'opinion dans ce qui va arriver par la suite».
Pékin met en garde Washington contre un retrait du Traité FNI avec la Russie
Le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) conserve un rôle crucial pour la sécurité et sa disparition aura des «effets négatifs multilatéraux», a affirmé la Chine. Elle a également jugé «erronée» l’évocation de la Chine par Donald Trump pour motiver sa volonté de sortir du Traité.
La diplomatie chinoise a mis en garde les États-Unis contre les effets négatifs de leur retrait unilatéral du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), tout en rappelant le rôle de ce document pour la sécurité globale.
«Le FNI est un accord important sur le contrôle des armements détenus par les États-Unis et l'URSS à l'époque de la Guerre froide. Ce traité a joué un rôle crucial dans la stabilisation des relations internationales, dans le maintien de l'équilibre stratégique et dans la sécurité globale. Il conserve aujourd'hui une signification cruciale», a indiqué Hua Chunying, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
«Une sortie unilatérale aura des effets négatifs multilatéraux», a-t-elle souligné.
Et d'ajouter que «mêler la Chine à cette question [la sortie du Traité FNI dont la RPC n'est pas signataire, ndlr] était complétement erroné.»
Nucléaire : l'heure des explications entre Moscou et Washington
La Jordanie veut reprendre des territoires prêtés à Israëlen vertu d'un accord de paix de 1994
Le souverain jordanien a fait savoir ce 21 octobre qu'il souhaitait amender le traité de paix conclu en 1994 avec son voisin israélien, afin de récupérer deux localités prêtées par Amman à l'Etat hébreu : Baqoura et Ghoumar.
Le roi Abdallah II de Jordanie a annoncé ce 21 octobre que son pays avait notifié à Israël sa volonté de récupérer des zones prêtées à l'Etat hébreu pour une période renouvelable de 25 ans en vertu de l'accord de paix de 1994.
En Afghanistan, des élections législatives chaotiques
Le scrutin de samedi est terni par les attaques qui ont fait au moins 38 morts et 100 blessés, ainsi que par des dysfonctionnements dans l’organisation même du vote.
En Afghanistan, les jours d’élection sont parmi les plus dangereux de l’année car on sait d’avance ce qui va se passer. Le vote, samedi 20 octobre, pour le renouvellement du Parlement ne l’a pas démenti.
Les rues vides de la capitale Kaboul, les axes fermés à la circulation et les visages inquiets des nombreuses forces de sécurité annonçaient déjà un bilan qui s’établissait, dans la soirée, selon le ministre de l’intérieur, à 38 morts – dont 27 civils et 11 membres des forces de sécurité –, et 100 blessés. A lui seul, l’attentat suicide survenu dans un bureau de vote d’un quartier du nord-ouest de la ville a fait quinze morts.
Colère et frustration
A l’échelle du pays, d’après le gouvernement, 192 incidents, qui incluent des mines artisanales et des jets de grenades, ont troublé le bon déroulé des opérations électorales.
Fermeture de lieux de culte: l’Église protestanted’Algérie dénonce un «acharnement»
Par leurs décisions de fermer des lieux de culte en Kabylie et les poursuites judiciaires qu’elles ont engagées contre des fidèles, les autorités algériennes font preuve d’un acharnement injustifié à l’égard des chrétiens protestants dans le pays. C’est ce qu’a confié, le 21 octobre, un communiqué de l’Association de l’Église protestante d’Algérie.
Les chrétiens algériens fidèles de l'église protestante subissent de grandes pressions de la part des autorités du pays, qui leur ont fermé des lieux de culte et ont traduit en justice des fidèles. C'est ce qu'a dénoncé, le 21 octobre, l'Église protestante d'Algérie (EPA) dans un communiqué, cité par le site d'information Tout Sur l'Algérie (TSA).
«L'Association de l'Église protestante d'Algérie (EPA) est une fois de plus victime d'une campagne d'acharnement par la fermeture de ses lieux de culte dans la wilaya de Béjaïa et la menace d'en fermer à Tizi-Ouzou, ainsi que par les procès intentés contre des chrétiens», a déclaré le communiqué de l'EPA.
Note: Voilà comment les Algériens se comportent avec leur minorité chrétienne, et lorsque ces gens-là viennent en France ils demandent des mosquées et des droits égaux aux autres
Algérie : pourquoi le chef d’Ansar Eddine, le pire jihadiste du Sahel, semble t-il protégé ?
Le sort d’Iyad Ag-Ghali, le chef de la plus puissante alliance jihadiste au Sahel, apparaît lié aux luttes de pouvoir en cours à Alger. Le notable malien d’une puissante tribu touareg, a basculé dans le jihadisme en 2012. Il a alors fondé le groupe Ansar Eddine (les Partisans de la Religion) qui est parvenu à contrôler tout le Nord du Mali en collaboration, entre autres, avec la branche d’Al-Qaida pour le Maghreb Islamique (AQMI).
Cet émirat jihadiste du Nord-Mali a été démantelé par l’intervention menée par la France et ses alliés africains en 2013. Mais Iyad Ag-Ghali a réussi à échapper aux multiples raids menés contre lui et il s’est imposé, en mars 2017, à la tête d’un « Groupe de Soutien à l’Islam et aux Musulmans » (GSIM/JNIM dans son sigle arabe). Cette coalition jihadiste, qui a prêté allégeance à Al-Qaida, a depuis perpétré des attentats sanglants au Mali, au Burkina-Faso et au Niger, visant tout particulièrement la France, ses diplomates, ses militaires et ses ressortissants (le GSIM détient au moins six otages étrangers, dont une septuagénaire française).
Mais Iyad Ag-Ghali a réussi à échapper aux multiples raids menés contre lui et il s’est imposé, en mars 2017, à la tête d’un « Groupe de Soutien à l’Islam et aux Musulmans » (GSIM/JNIM dans son sigle arabe). Cette coalition jihadiste, qui a prêté allégeance à Al-Qaida, a depuis perpétré des attentats sanglants au Mali, au Burkina-Faso et au Niger, visant tout particulièrement la France, ses diplomates, ses militaires et ses ressortissants (le GSIM détient au moins six otages étrangers, dont une septuagénaire française).
« Le Monde », dans une enquête très documentée de juillet dernier, a révélé que les services lancés sur la trace d’Iyad Ag-Ghali l’avaient souvent signalé dans la localité algérienne de Tin Zaouatine, à la frontière du Mali, où résiderait sa famille. Le même article affirme que le chef jihadiste, hospitalisé dans un établissement algérien de Tamanrasset, y aurait échappé en 2016 à une tentative occidentale de « neutralisation ». Les autorités algériennes démentent naturellement ces informations avec constance. Les spécialistes du jihadisme au Sahel s’accordent cependant à penser qu’Iyad Ag-Ghali n’aurait certainement pas pu survivre, et encore moins tisser sa toile dans toute région, s’il ne disposait pas de « facilités » en Algérie. Ce n’est pas la nature de ces « facilités » qui sera ici discutée, mais la logique qui aurait amené une partie du pouvoir algérien à les accorder.
Iyad Ag-Ghali a une longue histoire de relations avec les services algériens. Alors qu’il dirige en 1990 une guérilla touareg d’inspiration nationaliste, le Département du renseignement et de la sécurité (DRS) parraine à Tamanrasset sa réconciliation avec des représentants de Bamako. Iyad Ag-Ghali y gagne un poste de conseiller du président malien, puis de consul en Arabie saoudite. Même après son basculement jihadiste de 2012, les responsables algériens sont convaincus qu’ils peuvent jouer Ansar Eddine contre AQMI, et limiter ainsi les effets de la déstabilisation du Nord-Mali sur leur propre territoire. Déjà, les divergences de vues sont criantes entre Alger et Paris, qui juge Iyad Ag-Ghali irrémédiablement engagé dans la subversion jihadiste.
En janvier 2013, Ansar Eddine, AQMI et leurs alliés font conjointement mouvement vers le centre du Mali, menaçant ainsi à terme Bamako. François Hollande, appelé à l’aide par le gouvernement malien, déclenche l’opération Serval. Il obtient d’Abdelaziz Bouteflika l’ouverture de l’espace aérien de l’Algérie à l’armée de l’Air française, ainsi que la fermeture de la frontière avec le Mali, deux conditions essentielles pour le succès de Serval. C’est peu de dire que cet engagement sans précédent ne fait pas l’unanimité chez les généraux algériens, au nationalisme ombrageux. La riposte jihadiste ne tarde d’ailleurs pas, avec l’attaque du complexe pétrochimique d’In-Amenas, alors que jamais des installations liées aux hydrocarbures n’avaient été visées en deux décennies de terrorisme algérien. L’armée reprend le contrôle du site, où 29 jihadistes et 40 otages entre leurs mains ont été tués.
Le chef d’état-major, le général Gaid Salah, accuse ses rivaux du DRS de n’avoir pas su anticiper un tel désastre. Mais il met plus largement en cause l’abandon de souveraineté auquel aurait, à ses yeux, consenti Bouteflika envers la France. Le président algérien, victime d’un AVC en avril 2013, est hospitalisé durant de longues semaines à Paris, dont il ne rentre qu’en chaise roulante. Il se présente néanmoins pour un quatrième mandat en avril 2014 et, réélu avec officiellement 81% des suffrages, n’exerce plus qu’une autorité de façade. Gaid Salah continue de concentrer de plus en plus de pouvoirs et obtient, à l’automne 2015, la tête du chef du DRS, puis le démantèlement de ce service. Alger reprend parallèlement la main au Mali en parrainant un accord de paix entre le gouvernement et les groupes armés du nord du pays, dont l’ONU a depuis dénoncé la collusion avec Iyad Ag-Ghali.
En cet automne 2018, Gaid Salah apparaît plus que jamais comme le véritable homme fort de l’Algérie, où les appels plus ou moins spontanés se multiplient en faveur d’un cinquième mandat d’un Bouteflika manifestement impotent. Le puissant chef d’état-major s’est posé en rempart contre « le dessein abject que le colonisateur n’a pu atteindre sur la terre d’Algérie ». Cette dénonciation de la France, habituel repoussoir dans les luttes de pouvoir en Algérie, vise désormais le Sahel, et plus précisément le Nord-Mali. Un des bénéficiaires d’un tel raidissement pourrait bien être Iyad Ag-Ghali, dont les réseaux jihadistes continuent de proliférer dans la région.
Iran : cache-cache avec les Mollahs (ARTE Reportage)
Iran : cache-cache avec les mollahs : Au-delà de l'étroit contrôle religieux imposé par le régime des mollahs, la jeunesse de Téhéran contourne régulièrement les interdits et les lois islamiques pour bâtir son propre espace de liberté.
200 migrantsforcent l'enclave espagnole de Melilla au Maroc: un mort, 19 blessés (images)
Environ 300 personnes ont pris d'assaut dimanche l'enclave espagnole de Melilla au Maroc. Alors que près de 200 migrants ont réussi à franchir la barrière métallique de six mètres de haut qui entoure Melilla, l'un des migrants est mort par arrêt cardio-respiratoire.
Un migrant est mort et 19 autres ont été blessés dimanche matin dans l'enclave espagnole de Melilla après avoir traversé, avec environ 200 autres personnes, la frontière clôturée avec le Maroc, a annoncé la préfecture.
Ils ont été conduits dans un centre d'accueil où leur identité doit être vérifiée.
Selon la préfecture, un groupe d'environ 300 migrants originaires d'Afrique subsaharienne ont tenté d'escalader la clôture, et «environ 200 y sont parvenus, tous des hommes». «Malheureusement, l'un des migrants est décédé» et «tout indique qu'il s'agit d'un arrêt cardio-respiratoire».
Il a été retrouvé inanimé sur le sol, près de l'endroit par lequel les migrants sont entrés. Les secours ont tenté pendant 40 minutes de le réanimer, a ajouté la préfète Sabrina Moh, citée dans le communiqué.
Une Suédoise fait un esclandre dans un avion et empêche l’expulsion d’un Afghan condamné pour crimes (MàJ : ouverture de poursuites contre la militante)
21/10/18
En juillet dernier, Elin Errson, une étudiante suédoise, avait divisé l’opinion publique de son pays de par son acte de contestation. Comme le rapportait alors The Guardian, la jeune femme avait empêché le décollage d’un avion depuis l’aéroport de Göteborg, dans lequel se trouvait un demandeur d’asile afghan de 52 ans qui devait être expulsé du pays scandinave. Malgré ses efforts, l’homme a été expulsé du pays quelques jours plus tard.
Au courant de cette situation, Elin avait acheté un billet pour le même vol dans l’espoir de retarder son départ, voire de l’annuler. Une fois dans l’appareil, cette dernière avait refusé de s’asseoir à son siège, malgré les injonctions du personnel de bord, rendant impossible le décollage. La jeune femme s’était filmée au moment des faits, montrant certains passagers qui l’applaudissaient. D’autres, moins sensibles à l’acte, avaient tenté de lui arracher son smartphone.
Si des potentielles poursuites judiciaires avaient été évoquées au moment des faits, celles-ci semblent devenir bien réelles trois mois plus tard. Ce vendredi, le procureur de la ville de Göteborg a en effet annoncé l’ouverture de poursuites pour « violation de lois aériennes » suédoises. Pour cela, elle encourt une amende et une peine de prison pouvant aller jusqu’à six mois. […]
L’Afghan de 52 ans qui devrait être expulsé a été condamné pour des crimes en Suède. Selon le journal finlandais Helsingin Sanomat, il s’agit de mauvais traitements (une autre traduction dit « agression »).
Lorsque la militante de gauche Elin Ersson a été confrontée à l’information selon laquelle l’Afghan est un criminel condamné, elle a dit que « c’est aussi un être humain » qu’elle a essayé d’aider.
« Je n’avais aucune information sur lui avant et je ne l’ai pas su après. C’était un humain que j’ai essayé d’aider, et je ne me suis pas concentrée sur ce qu’il avait déjà fait dans sa vie. C’était ma décision personnelle », a-t-elle dit à Dagens Nyheter.
Le lycéen ayant braqué sa prof serait quelqu’un de «sympathique», il aurait agi ainsi par crainte de la réaction de son père s’il apprenait qu’il avait été marqué absent (France 2)
Une journaliste de France 2 au sujet du lycéen qui a braqué sa prof : «Le jeune lycéen aura 16 ans le mois prochain, et c’est un garçon plutôt sympathique selon ceux qui le connaissent. En garde à vue, il s’est plutôt montré penaud, voici ce qu’il a déclaré aux enquêteurs … L’adolescent est donc arrivé en retard, et son enseignante l’avait inscrit “Absent”. Le jeune dit avoir eu peur de la réaction de son père, il a alors menacé l’enseignante avec l’arme factice pour qu’elle l’inscrive “Présent”. Un jeune qui a affirmé ne pas avoir mesuré sur le moment les conséquences de son acte. Il indique aussi qu’il ne savait pas que la scène était filmée. L’adolescent sera jugé prochainement. En attendant, il a interdiction d’entrer en contact avec l’enseignante, interdiction également de séjourner dans le Val de Marne.»
– France 2, 21 octobre 2018, 20h05
Débat sur l’enseignante braquée par un élève : «Celui qui rit à côté du braqueur est relâché alors qu’il est aussi coupable que lui» (Olivier Mazerolle)
Débat sur l’enseignante braquée par un élève : «Celui qui rit à côté du braqueur est relâché alors qu’il est aussi coupable que l’autre» (Olivier Mazerolle).
– LCI, 21 octobre 2018, 10h10
Note ; pareil pour celui qui filme tous en s’éclatant de rire
Fabrice Lhomme : « En Seine-Saint-Denis, 1 habitant sur 2 serait musulman. Le halal est presque devenu une obligation »
"En Seine-Saint-Denis 1 habitant sur 2 serait musulman.
Le halal est devenu une évidence, presque une obligation.
Les boucheries traditionnelles ferment et parfois on empêche ceux qui veulent en ouvrir au profit des boucheries halal." - Fabrice Lhomme
Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes d’investigation et grands reporters au Monde, étaient les invités de BFMTV. Ils sont venus défendre leur livre, intitulé « Inch’Allah, l’islamisation à visage découvert » (Éd. Fayard).
Un ouvrage qui explore l’islamisation en Seine-Saint-Denis. Avec les réactions de nos éditorialistes politiques Charlotte d’Ornellas et Laurent Neumann.
Après avoir visé la justice et la police, le leader de LFI s'en est pris ce week-end aux journalistes.
Sa colère n'est toujours pas redescendue. Après avoir - littéralement - hurlé au complot la semaine dernière, dénonçant une «opération politique» derrière les perquisitions de police qui ont notamment eu lieu à son domicile et au siège de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon n'a pas retrouvé son sang-froid. Le degré de tension, déjà élevé, est encore monté d'un cran ces derniers jours.
En cause: une enquête publiée vendredi par la cellule d'investigation de Radio France sur MediaScop, le prestataire de la campagne présidentielle de La France insoumise. L'entreprise, dirigée par Sophia Chikirou, une proche de Jean-Luc Mélenchon, est soupçonnée d'avoir surfacturé certains services. Dans une vidéo diffusée vendredi sur sa page Facebook, Jean-Luc Mélenchon a contre-attaqué, n'hésitant pas à qualifier ces journalistes d'«abrutis», rappelant que ses comptes de campagne «avaient été validés». «Pourrissez-les partout où vous pouvez. Les journalistes de France Info sont des menteurs, des tricheurs», a-t-il demandé à ses soutiens.
Je crois que maintenant il est affiché. Mais depuis la mise a jours de la par de Overblog , la section des messages a changé et leur nouvelle version est pas trop logique
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