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Le 3 avril
Affaire Skripal: Porton Down échoue à prouver la provenance russe de l'agent innervant
Les experts de Porton Down ne sont pas parvenus à prouver la provenance russe de l'agent utilisé pour empoisonner l'ex-agent double Serguei Skripal.
Les chercheurs du laboratoire britannique de Porton Down n'ont pas été en mesure d'établir le pays d'où provenait l'agent innervant utilisé dans la
tentative d'assassinat de l'ex-agent double russe Serguei Skripal et de sa fille Ioulia au Royaume-Uni.
«Nous avons été en mesure d'identifier cette substance en tant que Novichok et d'établir qu'il s'agissait d'un agent innervant de qualité militaire», a déclaré le chef du laboratoire Gary Aitkenhead dans une interview accordée à Sky News.
«Nous n'en avons pas établi la source exacte, mais nous avons fourni des rapports scientifiques au gouvernement, qui a ensuite eu recours à d'autres sources avant de tirer les conclusions dont on dispose aujourd'hui», a-t-il expliqué.
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L'économie mondiale pourrait s'effondrer à tout moment
De plus en plus de signes indiquent que la croissance économique mondiale a probablement déjà atteint son apogée. On ne peut donc s'attendre qu'à une aggravation, affirment les experts de Saxo Bank.
«Fin 2017 est apparu le concept de «croissance mondiale synchronisée/stimulation économique». Un trimestre plus tard, les analystes commencent à comprendre qu'il n'y a pas de croissance mondiale synchronisée», indique le pronostic. On le voit à l'exemple des économies de la Chine, ainsi que des USA et de l'UE, écrit mardi 3 avril le site d'information Gazeta.ru.
Le secteur le plus vulnérable de l'économie chinoise est l'immobilier. Ces dernières années, il a pu enregistrer une croissance grâce aux emprunts excessifs subventionnés par l'État. Aujourd'hui les prix des logements en Chine dépendent aux trois quarts de l'accessibilité des crédits, et le financement du secteur par les crédits de l'État se réduit.
Il sera difficile pour la Chine de réduire les prix de l'immobilier tout en évitant l'effondrement du marché, qui pourrait affaiblir tout le système bancaire et financier.
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Israël: Netanyahu annule l'accord avec l'ONU sur les migrants africains
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, au terme d'une spectaculaire volte-face, a annulé mardi l'accord avec l'ONU qui prévoyait la régularisation de milliers de migrants africains en Israël et la réinstallation d'un nombre similaire dans des pays occidentaux.
"Après avoir entendu de nombreuses remarques sur cet accord, j'ai examiné les avantages et les inconvénients et décidé de (l')annuler", a dit M. Netanyahu, selon un communiqué de son bureau.
Le Premier ministre avait suspendu lundi soir l'application de cet accord, quelques heures seulement après son annonce.
Conclu avec le Haut commissariat pour les réfugiés (HCR), il avait vocation à se substituer à un programme initial d'expulsions ayant fait l'objet d'une vive controverse et qui a lui-même été annulé.
Celui scellé avec l'ONU prévoyait la réinstallation de plus de 16.000 Soudanais et Erythréens vivant en Israël dans des pays occidentaux. En échange, l'Etat hébreu s'engageait à donner un titre de séjour à un nombre équivalent devant rester sur son territoire.
Cet épisode a suscité des critiques de tous bords à l'encontre de Benjamin Netanyahu: dans un premier temps, elles sont venues de la droite -son propre camp-, lorsqu'il a annoncé lundi l'annulation du programme initial d'expulsions et son remplacement par l'accord avec le HCR.
Puis, la gauche a pris le relais quand il a fait volte-face en soirée, en suspendant ce nouvel accord.
"Malgré les restrictions juridiques et difficultés croissantes, nous allons continuer avec détermination à tout mettre en oeuvre pour sortir les clandestins du pays", a finalement affirmé mardi M. Netanyahu.
De son côté, le HCR a réagi à l'ultime annonce en disant espérer qu'Israël allait "bientôt reconsidérer" cette annulation.
"Nous continuons de croire dans la nécessité d'un accord gagnant-gagnant qui puisse bénéficier à Israël, à la communauté internationale et aux personnes qui ont besoin d'un asile", a expliqué par courriel à l'AFP, William Spindler, porte-parole du HCR.
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Donald Trump capitule en Syrie
Alors que les relations entre la Russie et le tandem transatlantique formé par Londres et Washington se dégradent fortement à cause de l' «affaire Skripal», le «consensus d'experts» entrevoit une confrontation longue et très ferme entre la Russie et les USA en Syrie.
Сertains experts pointent à juste titre un certain risque que les faucons de l'administration Trump insistent pour tenter malgré tout de renverser le Président syrien Bachar al-Assad avec l'armée américaine puisqu'il a été impossible de le faire par le biais de Daech. La situation médiatique donnait suffisamment de raisons de croire au scénario parfaitement plausible selon lequel l'ensemble des pays occidentaux préparait une nouvelle provocation liée à l'usage de l'arme chimique, cette fois dans la Ghouta orientale. Le mode opératoire était très simple et fiable: il s'agissait d'accuser l'armée syrienne d'avoir utilisé de nouveau l'arme chimique et ensuite, compte tenu du scandale et de l'hystérie autour de l'empoisonnement de Skripal, essayer d'accuser la Russie de fournir des armes chimiques au gouvernement d'al-Assad. Inutile de souligner l'absence de logique dans ces accusations, qui auraient tout de même créé un fond médiatique et politique idéal pour «justifier» la décision d'intervenir directement en Syrie.
Ceci n'est pas une conspiration et s'appuie sur la déclaration sèche du ministère russe de la Défense:
«Nous avons des informations fiables concernant la préparation, par les terroristes, d'une mise en scène de l'usage de l'arme chimique par les forces gouvernementales contre la population civile. A ces fins, dans plusieurs quartiers de la Ghouta orientale ont été transportés des femmes, des enfants et des personnes âgées venus d'autres quartiers qui devront jouer le rôle de victimes d'un incident chimique. Il y a déjà sur places des activistes des Casques blancs et des équipes de tournage avec des équipements de diffusion par satellite.»
«Washington compte lancer une frappe de missiles contre les quartiers gouvernementaux de Damas», a souligné le général Guerassimov.
Cependant, au lieu d'une escalade du conflit, Donald Trump a déclaré (à la surprise de toute l'élite politique américaine) que les USA «se retireraient bientôt de Syrie». Voice of America relate la position du Président américain sans enthousiasme: pendant son discours de jeudi dernier à Richfield, Ohio, le Président Trump a déclaré que «l'heure était venue pour les USA de quitter la Syrie».
«Que d'autres s'en occupent, a déclaré le Président des USA. Très bientôt nous quitterons ce pays. Nous reviendrons dans notre pays, là […] où nous voulons être.»
La déclaration inattendue de Trump a coïncidé avec sa décision d'allouer 200 millions de dollars à la «reconstruction de la Syrie» dans les zones contrôlées par des groupes pro-américains. Cette décision a été rapportée par l'agence de presse Reuters et par le quotidien The Wall Street Journal. Cela indique que le Président américain a réellement décidé de s'engager sur la voie du retrait de la présence américaine dans la région. Dans le champ médiatique russe, les déclarations de Donald Trump sont passées pratiquement inaperçues. Mais ses opposants politiques y ont réagi très durement.
Selon l'influent sénateur républicain Lindsey Graham, le retrait des forces américaines de Syrie «entraînerait le rétablissement des positions de Daech et renforcerait l'influence de l'Iran sur le gouvernement syrien à Damas». De plus, dans une interview à Fox News, le sénateur a déclaré que «ce serait la pire des décisions à prendre par le Président». L'une des principales publications soutenant le parti démocrate, The Washington Post, a été encore plus dure en publiant un article à la franchise louable intitulé «Nous avons pris le pétrole de Syrie, et maintenant Trump veut le donner à l'Iran».
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«Israël a droit à un territoire» : nouveau geste saoudien envers l'État hébreu
Aux États-Unis, le prince héritier saoudien Mohammed Bin Salman a déclaré que «les Israéliens avaient droit à leur propre terre». Mais pourra-t-il aller plus loin sur un sujet aussi sensible?
C'est une déclaration qui intervient après de nombreux gestes d'ouverture adressés par l'Arabie envers son ancien ennemi israélien. «Je pense que les Palestiniens et les Israéliens ont droit à leur propre terre», a déclaré dans un entretien publié lundi par la revue américaine The Atlantic , le prince héritier saoudien Mohammed Bin Salman (MBS), actuellement en tournée aux États-Unis.
Mais pour aller plus loin dans ce concubinage de moins en moins secret entre Riyad et Tel Aviv, le jeune prince a pris soin de préciser que «nous devons obtenir un accord de paix pour garantir la stabilité de chacun et entretenir des relations normales». MBS sous-entend qu'il ne pourra y avoir de relations diplomatiques entre l'Arabie et Israël, tant que le conflit israélo-palestinien ne sera pas résolu, et que les Palestiniens ne disposeront pas d'un Etat. Mais de quel État parle-t-on, dans l'esprit du jeune leader saoudien? Alors que Donald Trump prépare un «plan de paix» entre Israéliens et Palestiniens bien loin de répondre aux aspirations nationales des Palestiniens, fondées sur les résolutions 242 et 338 de l'ONU, MBS - qui entretient d'excellentes relations avec Jared Kushner, le gendre de Trump - pourrait au contraire, selon plusieurs indiscrétions, avaliser ces idées américaines.
«Il y a beaucoup d'intérêts que nous partageons avec Israël, explique MBS, et, s'il y a la paix, il y aura beaucoup d'intérêts entre Israël et les pays du Conseil de coopération du Golfe», c'est-à-dire l'Arabie, les Émirats arabes unis, le Koweït, Qatar, Oman et Bahreïn.
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Le 2 avril
Israël: accord avec l’ONU pour expulser au moins 16250 clandestins africains vers les pays occidentaux plutôt que vers l’Afrique
Un sursis pour quelque 40 000 étrangers en situation irrégulière promis à l’expulsion ou à la prison en Israël. L’Etat hébreu a annoncé, lundi 2 avril, avoir annulé un projet controversé d’expulsion de migrants africains, principalement des Erythréens et des Soudanais. Un accord a été signé avec l’ONU pour la réinstallation d’une partie de ces migrants dans des pays occidentaux.
« Le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés et Israël sont arrivés à un accord permettant le départ d’au moins 16 250 migrants africains vers des pays occidentaux, tandis que l’Etat d’Israël règlera le statut de ceux qui resteront sur place »‘, indique un communiqué du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
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FranceTV
Note: et j'en avais parler ! connaissant la mentalité de l'ONU pro-islam, c’était telement prévisible
On est gouverné par des nuisibles, qui sont généreux avec notre argents
Les tyrans sionistes tuent les marcheurs contre l’esclavage à Pessah, dit l’Iran
Le ministre des Affaires étrangères de Téhéran affirme que l'Etat juif s'est engagé dans "un massacre sauvage" de manifestants avec le soutien de Trump
L’Iran, ennemi juré d’Israël, a condamné samedi ce qu’il a qualifié de « massacre sauvage » de Palestiniens, au lendemain de la mort dans la bande de Gaza de 16 manifestants, tués par les forces israéliennes.
Le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif a dénoncé dans un tweet les « tyrans sionistes qui tuent les manifestants pacifistes palestiniens dont la terre a été volée ». Il a raillé le fait que ces événements aient coïncidé avec la fête de Pessah que s’apprêtaient à fêter les Juifs israéliens.
La fête de Pessah, qui a commencé au coucher du soleil vendredi, commémore la libération par Dieu du peuple juif de l’esclavage en Egypte. Le récit est narré dans le livre de l’Exode, dans la bible hébraïque.
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Lire aussi:250 manifestants contre la réponse militaire à Gaza au siège du Likud
Violences à Gaza : un 17e Palestinien décède, Israël refuse toute enquête indépendante
Un Palestinien est décédé, lundi, après avoir été blessé par des tirs de soldats israéliens vendredi. Au total, 17 personnes ont été tuées lors de manifestations. Israël refuse toute enquête indépendante souhaitée par la communauté internationale.
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Turquie : Erdogan accuse Israël d’être «un Etat terroriste»
Note; parmi toute les agressions verbale, je retiens celle ci "arretez de vous vanter d'avoir les armes nucléaires, ces armes ne vous aideront pas le moment venue" (voir a 1:41 minute)
Des dizaines d’officiers français seraient arrivés dans le Kurdistan syrien
50 officiers français auraient été envoyés dans le nord-ouest de la Syrie, à Manbij, pour prêter main forte aux Kurdes syriens dans la région.
La France a envoyé 50 officiers dans la ville syrienne de Manbij, dans le nord-ouest du pays, afin de soutenir les Kurdes syriens, relate le journal Yeni Safak.
Selon le média, ces militaires français sont arrivés en ville vendredi à bord de quatre avions.
Dans le même temps, le journal précise que des officiers pourraient être envoyés à Manbij à partir de différentes bases situées en Syrie ainsi que depuis l'étranger.
Cette information n'a pas été confirmée par des sources officielles.
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Note: l'info viens d'un site turque !
Berlin compte coopérer avec Moscou après l'expulsion de diplomates
En dépit de l'expulsion massive de diplomates russes, les pays de l'UE espèrent toujours coopérer avec Moscou, affirme le chef de la diplomatie allemande.
Les pays de l'Union européenne ont besoin de la Russie et espèrent coopérer avec elle, a déclaré le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas.
«Nous sommes ouverts au dialogue et nous espérons que la confiance sera progressivement restaurée si la Russie, pour sa part, y est prête», a indiqué le chef de la diplomatie allemande dans un entretien au Bild.
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Kazakhstan : les forces aériennes russes testent le système de défense antimissile
Note: jamais les russes n'ont autant testé leurs armements.
Terroriste islamique, migration massive, Corée du nord, Iran, Arabie Saoudite, Yémen, Ukraine, OTAN, Chine, Inde, Pakistan le monde se prépare a la guerre
Pourquoi le contrôle d'un migrant par des douaniers français en Italie provoque la colère de Rome
Rome accuse Paris d'ingérence, alors que des douaniers français ont pratiqué en Italie un test urinaire - négatif - sur un Nigérian soupçonné de transporter de la drogue.
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En Inde, les Chrétiens célèbrent Pâques la peur au ventre
Pour la première fois de l’Histoire, le nombre de meurtres à Londres dépasse celui de New York
Le nombre d’homicides à Londres a dépassé pour la toute première fois celui de la ville de New York, alors qu’une douzième personne a été tuée en seulement dix-neuf jours.

Février a été le premier mois depuis que sont tenues ces statistiques où Londres a connu plus de meurtres que la ville américaine, avec un total de quinze homicides. Parmi les quinze victimes, neuf avaient trente ans ou moins.
En Mars, il y a eu vingt-deux meurtres à Londres, ce qui devrait égaler si ce n’est dépasser les statistiques pour New York.
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Les quinze victimes de février :
Sadiq Mohamed, 20 ans, Kentish Town, Abdikarim Hassan, 17 ans, Kentish Town, Josef Boci, 30 ans, Greenwich, Seyed Khan, 49 ans, Ilford, Rotimi Oshibanjo, 26 ans, Southall, Promise Nkenda, 17 ans, Canning Town, Sabri Chibani, 19 ans, Streatham Common, Lewis Blackman, 19 ans, Kensington, Hasan Ozcan, 19 ans, Barking, Hannah Leonard, 55 ans, Swiss Cottage, Kwabena Nelson, 22 ans, Tottenham, Mark Smith, 48 ans, Chingford, Bulent Kabala, 41 ans, Enfield, Saeeda Hussain, 54 ans, Ilford, Juan Olmos Saca, 39 ans, Peckham
(…)
Daily Mail
Guerre commerciale: la Chine répond aux États-Unis en taxant 128 produits américains
ÉCONOMIE - La Chine a annoncé lundi 2 avril des mesures de rétorsion contre les importations américaines en imposant des taxes sur 128 produits, d'une valeur de trois milliards de dollars, en réplique aux taxes américaines sur l'acier et l'aluminium, selon l'agence de presse Chine nouvelle.
Pékin avait prévenu le mois dernier qu'il envisageait l'imposition de ces taxes, faisant craindre le déclenchement d'une guerre commerciale entre les deux géants économiques mondiaux. Les nouvelles taxes chinoises, imposées par la commission chargée des tarifs douaniers au sein du Conseil d'État (gouvernement), portent sur des produits divers allant des fruits à la viande de porc.
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Éric Zemmour : « Les Français de souche se sont enfuis des banlieues, suivis par beaucoup de juifs, laissant la cité pure de toute «impureté» non islamique »
CHRONIQUE – L’antisémitisme islamique a vidé les quartiers où sont commis les crimes de ses populations exogènes, c’est-à-dire juives et chrétiennes, mises dans le même sac.

(…) Les représentants de la communauté juive insistent souvent sur la spécificité d’un antisémitisme islamiste. Ils ont tort: juifs et chrétiens sont mis dans le même sac d’infidèles et de Français. Les mêmes ajoutent aussitôt que ces actes horribles n’ont rien à voir avec l’islam. Ils ont encore tort: c’est dans le Coran, et dans la vie «parfaite» du prophète Mahomet, que les agresseurs trouvent les mots et les exemples pour armer leur vindicte.
On dit souvent que l’antisémitisme est un signal d’alarme. Encore faux: les violences ont commencé dès la fin des années 1970, après les premières arrivées du regroupement familial dans les banlieues de destination. Vols, viols, agressions touchaient alors les banlieusards si tranquilles. Mais, quand ceux-ci voulurent se défendre, les médias, les élites, les pouvoirs publics dénoncèrent le racisme des «Dupont Lajoie». Alors, les élites juives de gauche, les fondateurs de SOS Racisme, les BHL et consorts étaient aux premières loges pour ranimer le souvenir de la guerre et des rafles antisémites, et mettre en avant la solidarité des «victimes» et des minorités. Cette erreur funeste de diagnostic explique bien des comportements et des sentiments cruels d’isolement.
On a compris aujourd’hui qu’il y avait un lien direct entre délinquance, islamisation de ces quartiers et crimes djihadistes. Mais cette prise de conscience est bien tardive et timide. Dans les banlieues, les Français de souche se sont enfuis vers des contrées plus ou moins éloignées: c’est la fameuse France périphérique. Beaucoup de juifs les ont suivis, mais d’autres ont émigré en Israël, dont certaines villes sont devenues une sorte de France périphérique bis.
Ces crimes ont pour leur auteur un objectif personnel: ils lui permettent, en tout cas le croit-il, de racheter ses péchés. Mais ils ont aussi une fonction collective, souvent ignorée des acteurs eux-mêmes: ils vident les quartiers où ils sont commis de leurs populations «exogènes» – c’est-à-dire juives et chrétiennes, c’est-à-dire françaises qui, effrayées, s’enfuient, laissant la cité pure de toute «impureté» non islamique. Pendant ce temps-là, sur les plateaux de télévision, chacun pérore sur les beautés du «vivre-ensemble».
Le Figaro
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