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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 5 décembre 2017

 

Trump informe Abbas qu'il veut «transférer l'ambassade à Jérusalem»

 

 

Le président Donald Trump a informé le président palestinien Mahmoud Abbas « de son intention de transférer l'ambassade des Etats-Unis » en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem, affirme la présidence palestinienne ce mardi après un entretien téléphonique entre les deux dirigeants.

Au cours de cet échange, Mahmoud Abbas a mis en garde Donald Trump contre les « conséquences dangereuses d'une telle décision sur le processus de paix, la sécurité et la stabilité dans la région et dans le monde », a fait savoir l'Autorité palestinienne dans un communiqué diffusé ce mardi. Le communiqué de la présidence palestinienne ne laisse pas clairement apparaître si Trump avait signifié à Abbas son dessein d'engager immédiatement le déménagement, ou s'il s'agit d'une nouvelle déclaration d'intention à long terme.

Le président américain Donald Trump a prévu ce mardi une série d'échanges téléphoniques à l'approche de l'annonce de sa décision sur le statut de Jérusalem avec notamment le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le roi Abdallah II de Jordanie.

Mises en garde internationales

Lundi, le président Trump avait repoussé sa décision sur un éventuel transfert de l'ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem. De très nombreux responsables internationaux lui ont adressé des mises en garde. Les présidents français et turc, la cheffe de la diplomatie européenne, le secrétaire général de la Ligue arabe ont alerté sur le risque de déstabilisation de la région et la nécessité de trouver une issue négociée à la question de Jérusalem.

Les Palestiniens, eux, préviennent qu'en cas de reconnaissance de Jérusalem comme capitale israélienne par les Etats-Unis, ils se retireront de l'initiative de paix que l'administration Trump veut promouvoir.

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Jérusalem, capitale contestée

Le plan de partage de la Palestine de 1947 prévoyaient la coexistence de trois entités: un État juif, un État arabe... et Jérusalem.

Mais dès 1948, l'État hébreu est fondé et choisit Jérusalem-Ouest comme capitale. Jérusalem-Est, alors sous contrôle jordanien, bascule dans le giron d'Israël en 1967 après la guerre des Six-Jours. Israël adopte en 1980 une loi fondamentale qui fait de Jérusalem sa capitale "éternelle et indivisible".

Mais la communauté internationale considère Jérusalem-Est comme un territoire occupé - d'où l'installation des ambassades à Tel-Aviv.

Source

 

Notes : le 14 mai 2018 sera la 70ème années d'existence  d’Israël. Le nombre 70 est un nombre très important dans la Bible 

Le nombre soixante dix apparait 68  fois dans la Bible

Daniel 9:2 la première année de son règne, moi, Daniel, je vis par les livres qu'il devait s'écouler soixante-dix ans pour les ruines de Jérusalem, d'après le nombre des années dont l'Éternel avait parlé à Jérémie, le prophète.

 

Erdogan réagit à la reconnaissance possible US de Jérusalem comme capitale d’Israël

 

Recep Tayyip Erdogan a menacé de rompre les relations diplomatiques de la Turquie avec Israël, si les Etats-Unis reconnaissaient Jérusalem comme la capitale de l’Etat hébreu.

Si les Etats-Unis reconnaissaient Jérusalem comme la capitale d'Israël, la Turquie romprait ses relations diplomatiques avec lui, a annoncé Recep Tayyip Erdogan lors d'une réunion des députés du Parti de la justice et du développement.

«Jérusalem est la ligne rouge pour les musulmans. Une pareille décision sera un coup dur pour toute l'humanité. Nous ne l'admettrons pas. L'Amérique n'a-t-elle pas d'autres problèmes? Est-ce le seul qui lui reste à résoudre? Nous lutterons jusqu'au bout. Nous pourrions même aller jusqu'à rompre nos relations diplomatiques avec Israël. Je préviens l'Amérique encore une fois et lui conseille de ne rien faire qui pourrait aggraver la crise dans la région», a déclaré le Président turc.

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Notes ; comme a son habitude  le calife Erdogan menace et montre ces dents

 

 

 

La Syrie a repoussé une attaque israélienne de missiles (vidéo)

 

Des missiles israéliens aurait visé pendant la nuit le Centre de recherche scientifique dans le sud de Damas, mais le système syrien de défense aérienne a réussi à les intercepter, a annoncé à Sputnik une source présente sur les lieux.

Le système syrien de défense aérienne a intercepté une attaque de missiles israélienne visant le Centre de recherche scientifique situé dans la banlieue de Damas, a déclaré à Sputnik une source concernée.

«La défense aérienne syrienne a détruit trois des six missiles qu'Israël a lancés contre le Centre de recherche de la banlieue de Damas», a déclaré la source de Sputnik.

Les informations ont été confirmées par la télévision d'État syrienne.

La chaîne de télévision russe a obtenu une vidéo de l'attaque.

Le 2 décembre, plusieurs médias arabes ont annoncé que des missiles israéliens avaient visé une position militaire près de Damas, mais l'armée syrienne les avait également interceptés.

Le Premier ministre israélien a fait une déclaration suite à l'attaque sur une position militaire près de Damas, soulignant que Tel-Aviv ne permettrait pas la présence de forces iraniennes en Syrie.

Source

 

Poutine : le territoire de la Syrie presqu'entièrement libéré, y compris les régions chrétiennes

 

Le président russe a déclaré que la Syrie et ses régions historiquement chrétiennes étaient presque complètement libérées des terroristes. Il a invité à restaurer la paix pour permettre aux citoyens de toutes religions de rentrer chez eux.

«Les forces armées syriennes, avec le soutien de l'armée russe, ont libéré la quasi-totalité du territoire [de la Syrie], ce qui inclut les régions historiques chrétiennes», a déclaré le président russe Vladimir Poutine, ce 4 décembre 2017, lors d'une rencontre avec des représentants de l'Eglise orthodoxe.

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Pourquoi les USA s'accrochent à la base militaire d'al-Tanf en Syrie

 

Le président américain Donald Trump a déclaré que la présence américaine en Syrie serait maintenue «pour une durée indéterminée».

L'un des points d'appui de l'armée US sera la zone de désescalade de 55 km autour de la base militaire construite par le Pentagone en 2016 dans la ville d'al-Tanf, au sud-est de la Syrie à la frontière avec la Jordanie et l'Irak, écrit mardi le quotidien Nezavissimaïa gazeta

Officiellement, des forces spéciales et des instructeurs américains, britanniques et norvégiens sont présents dans cette zone pour former les unités de la Nouvelle armée syrienne (NAS) créée en tant que contrepoids à l'armée gouvernementale dans la lutte contre Daech, et pour l'aider à se protéger contre les attaques des terroristes visant la route Damas-Bagdad.

Cette zone n'est pas apparue par hasard: il s'agit d'un nœud de communications crucial reliant la Syrie, la Jordanie et l'Irak. En réalité, comme le constatent déjà de nombreux experts occidentaux, le principal objectif des USA consiste à bloquer l'apparition d'un pont terrestre susceptible, selon les Américains, de relier l'Iran à la Syrie et au Liban via l'Irak. C'est probablement la raison pour laquelle, selon certaines informations, le détachement américain d'al-Tanf reçoit des renforts en matériel militaire et en armements lourds, notamment en canons d'artillerie et en lance-roquettes multiples (LRM).

La NAS a pour objectif de contrôler les communications qui passent par le désert et de maintenir une menace pour Damas depuis le nord-est en s'unissant avec les groupes d'opposition dans le Qalamoun occidental et dans la Ghouta orientale.

Mais la situation opérationnelle a foncièrement changé en mai 2017. L'armée gouvernementale syrienne, soutenue par l'aviation russe, a repoussé Daech de l'autre côté de l'Euphrate en contournant al-Tanf et a établi son contrôle sur les itinéraires dans le désert. Les groupes contrôlés par les USA ont activement tenté d'empêcher la progression des forces syriennes vers l'Euphrate. De facto, le Pentagone et les groupes sous son contrôle ont agi en faveur des djihadistes en couvrant leur flanc gauche et leurs arrières dans les batailles contre les unités gouvernementales syriennes qui avançaient depuis le nord et l'ouest.

Au final, de nombreux groupes armés se sont accumulés dans la région d'al-Tanf, officiellement incontrôlés. Le Pentagone a l'intention d'utiliser ces groupuscules pour contrer le renforcement de l'influence de l'Iran dans la région. Par ces actions, les USA ont transformé la zone de désescalade autour d'al-Tanf en poudrière susceptible d'enflammer et de déstabiliser considérablement la situation dans la région.

Les actions des USA profitent aux chefs de guerre des groupes d'opposition qui s'efforcent d'éviter la dissolution définitive de leurs unités.

Source

 

Notes ; donc le risque d'un autre conflit, cette fois avec l’Iran risque d'advenir (et cela confirmerais les prophéties de Nostradamus)

 

Armes US en Syrie: Erdogan expose sa vision de la situation

 
Recep Tayyip Erdogan

Le Président turc a reproché à la partie américaine de fournir toujours les armes aux Kurdes syriens en dépit des promesses de mettre fin à ces livraisons.

Intervenant samedi devant les députés de son Parti de la justice et du développement, le Président turc Recep Tayyip Erdogan a de nouveau évoqué l'envoi d'armes américaines aux milices kurdes en Syrie.

«Trump a déclaré qu'il n'y aurait plus de livraisons d'armes une fois Daech vaincu. Et pourtant, ces livraisons se poursuivent», a affirmé le dirigeant turc.

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Comment la Chine se prépare à la confrontation avec les USA

 

D'un point de vue purement technique, une confrontation hypothétique entre la Chine et les USA pourrait commencer dès demain: les deux pays disposent d'un nombre suffisant d'armements et affichent régulièrement leur détermination et leur capacité à «aller jusqu'au bout».

Cependant les conséquences d'un tel conflit armé, même mineur, pourraient être irréparables, écrit lundi le site de la chaîne Zvezda.

Les experts militaires américains notent régulièrement depuis 2015 que les relations entre les États-Unis et la Chine ont franchi le «point de non-retour» et que chaque démarche de l'administration présidentielle américaine doit être «minutieusement réfléchie».

(..) Fin octobre, la revue américaine Defense News a rapporté que pendant les derniers exercices l'aviation chinoise s'était entraînée à détruire des sites similaires à la base aérienne des USA sur l'île de Guam.

Lire l'article

 

 

 

57 pays musulmans ne veulent pas que Washington reconnaisse Jérusalem comme la capitale d’Israël

 

La promesse de campagne de Donald Trump de déplacer l’ambassade des Etats-Unis en Israël de Tel Aviv à Jérusalem fait grincer des dents les pays de l'OCI. Cela impliquerait une reconnaissance de facto de Jérusalem comme capitale de l’Etat hébreu.

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Mort de Saleh au Yémen : un tournant dans la guerre ?

 

 

lire aussi : Saleh et Kadhafi, deux tyrans au destin semblable

Des pilotes allemands refusent de participer aux expulsions de migrants : 222 vols annulés

 

222 vols ont été annulés en Allemagne en 2017 parce que les pilotes ne voulaient pas décoller : à leur bord, des migrants dont la demande d'asile avait été rejetée et qui devaient être renvoyés dans leurs pays d'origine.

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Le reste de l'actualité sur  le site français de souche

Les chrétiens persécutés sur christianophobie.fr

L’avancé de l’Islam en France sur islamisation.fr

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Le 4 décembre 2017

 

Yémen : l’ex-président Saleh est mort, tué par des rebelles houthistes
 

 

image: http://img.lemde.fr/2017/12/04/0/0/3500/2463/534/0/60/0/c30b087_SIN204_YEMEN-SECURITY-SALEH_1204_11.JPG

L’ancien président yéménite Ali Abdallah Saleh assiste à une cérémonie à Sanaa, au Yémen, le 3 décembre 2017.

L’ancien président yéménite Ali Abdallah Saleh a été tué par des rebelles houthistes, a fait savoir Faïka Al-Sayyed, une dirigeante de son parti, le Congrès général du peuple (CGP), lundi 4 décembre, confirmant l’annonce faite plus tôt sur la station de radio des miliciens chiites houthistes. Selon la chaîne saoudienne Al Arabia, M. Saleh a été tué à Sanaa lors de combats entre ses troupes et des miliciens houthistes. Le chef des rebelles houthistes, Abdul-Malek Al-Houthi, a confirmé que ses forces l’avaient tué en raison de sa « trahison ». « C’est une défaite historique pour les forces de la coalition », a-t-il ajouté.

Des photos et des vidéos impossibles à authentifier circulaient lundi sur les réseaux sociaux, montrant un corps ressemblant à celui de M. Saleh. On y voit des miliciens déroulant une couverture enveloppant le cadavre en criant « Dieu soit loué » et « Hé Ali Affach », l’autre nom de l’ancien président. Sa résidence de Hadda, dans le quartier sud de la capitale yéménite, Sanaa, a également été endommagée par des combats, a également constaté un journaliste de l’Agence France-Presse.

En savoir plus 

Notes : les Saoudiens jubilaient hier (voir l’info plus bas) , aujourd’hui ils ragent

 

La Ligue arabe met Trump en garde contre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale israélienne

 

Ambassade américaine à Jérusalem : les enjeux d'une décision explosive

Ambassade américaine à Jérusalem : les enjeux d'une décision explosive

Le chef de la Ligue arabe a fait savoir dimanche qu’une décision du président américain Donald Trump consistant à reconnaître Jérusalem comme capitale israélienne attiserait le fanatisme et la violence, et ne servirait pas le processus de paix israélo-palestinien.

Le gendre et envoyé pour la paix de Trump, Jared Kushner, a fait savoir au Forum Saban, dimanche, que le président était sur le point de se décider sur la question de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l’Etat juif.

« Il est malheureux que certains insistent sur l’accomplissement de cette démarche sans prendre en compte les dangers qu’elle entraîne pour la stabilité du Moyen-Orient et du monde entier », a déclaré Ahmed Abul Gheit, chef de la Ligue arabe, aux journalistes réunis dimanche au Caire.

« Rien ne justifie une telle action… Elle ne servira pas la paix ou la stabilité, elle nourrira au contraire le fanatisme et la violence », a ajouté Abul Gheit.

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Lire aussi : Ambassade américaine à Jérusalem : les enjeux d'une décision explosive

 

 

La Corée du Sud et les États-Unis mènent des exercices militaires de grande ampleur

 

 

 

Corée du Nord : un sénateur américain promet "une guerre préventive"

 

Lindsey Graham, figure de l'administration Trump, veut "empêcher la Corée du Nord d'acquérir la capacité de frapper les États-Unis avec un missile à tête nucléaire".

"Maîtriser" la Corée du Nord ne suffira plus. Un influent sénateur américain, Lindsey Graham, est revenu sur le dernier tir de missile coréen, laissant planer le spectre d'une guerre préventive contre Pyongyang. "S'il y a un test nucléaire souterrain, il faudra se préparer à une réponse très sérieuse de la part des États-Unis", a-t-il mis en garde sur la chaîne américaine CBS. Des propos qui répondent au tir d'un missile balistique intercontinental à une altitude encore jamais atteinte par un engin nord-coréen, fin novembre.

Lindsey Graham, un faucon en matière de politique étrangère, a indiqué avoir discuté en détail du sujet avec l'administration Trump, qui selon lui a pour stratégie "d'empêcher la Corée du Nord d'acquérir la capacité de frapper les États-Unis avec un missile à tête nucléaire. Pas seulement de la maîtriser". Le sénateur Lindsey Graham avait déjà durci le ton. "S'il faut aller en guerre pour arrêter ça, nous irons", avait-il promis sur CNN fin novembre.

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Maison-Blanche: le risque d’une guerre contre la Corée du Nord «croît de jour en jour»

 

Constatant que chaque nouveau tir de missile nord-coréen est plus efficace que le précédent, le conseiller de Donald Trump à la sécurité nationale prévient que le risque d’un conflit militaire direct entre les États-Unis et la Corée du Nord croît de jour en jour.

Intervenant à la Bibliothèque présidentielle Ronald Reagan lors d'un forum consacré à la défense, H.R. McMaster, conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, a signalé que le «régime laissé pour compte en Corée du Nord était la principale menace directe pour les États-Unis et le reste du monde», précisant que le risque d'un conflit militaire avec la Corée du Nord a augmenté à la lumière du dernier test de missile balistique par Pyongyang.

«Je pense qu'il croît de jour en jour, ce qui veut dire que nous participons à une sorte de course: nous avons une limite de temps pour résoudre ce problème. Il y a des moyens de le résoudre sans un conflit militaire, mais c'est une course contre la montre parce qu'il (Kim Jong-un) est toujours plus près de son but et il reste assez peu de temps», a-t-il souligné.

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Guerre au Yémen : Saleh se tourne vers Riyad, les Saoudiens jubilent

 

L’annonce de l’ex-dictateur yéménite de rompre son alliance avec les rebelles houthis est une très bonne nouvelle pour les Saoudiens et leurs alliés émiratis. Ils y voient la promesse d’une victoire contre l’influence iranienne au Yémen. Mais de nouvelles luttes s’annoncent déjà. 

“J’appelle les pays frères à l’arrêt des hostilités et à ouvrir une nouvelle page. Nous travaillerons avec eux de manière constructive.” Cette déclaration, rapportée par le journal yéménite Al-Mutammar,  pourrait bien constituer un tournant décisif dans la guerre du Yémen, qui dure depuis près de trois ans. 

Elle a été faite le 2 décembre par l’ancien dictateur yéménite Ali Abdallah Saleh, qui continue de tirer les ficelles dans le pays alors qu’il avait été – théoriquement – renversé en février 2012, dans dans la foulée du Printemps arabe.

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Irak : colère chiite après l'appel de Macron à démanteler une force paramilitaire

 

"Les Irakiens attendaient de la communauté internationale, et notamment de la France, qu'elle félicite les combattants qui ont donné leur vie pour leur pays et pour le monde", a réagi le vice-président du parlement. 

Un appel du président français Emmanuel Macron au démantèlement des forces paramilitaires irakiennes du Hachd al-Chaabi a provoqué la colère de personnalités chiites, qui ont dénoncé une "interférence" française dans les affaires de leur pays.

Une coalition hétéroclite. En 2014, face à une offensive éclair des djihadistes du groupe État Islamique (EI), qui s'était emparé du tiers du pays et menaçait l'existence du pays, plus de 60.000 Irakiens avaient répondu à l'appel à la mobilisation du chef spirituel de la communauté chiite, l'ayatollah Ali Sistani. Ils avaient formé le Hachd al-Chaabi (Unités de mobilisation populaire), une coalition hétéroclite dominée par des milices chiites. Les plus puissantes d'entre elles sont souvent présentées comme parrainées par l'Iran.

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lire aussi : «Paris doit savoir que Téhéran ne négociera pas sur ses missiles» (Iran)

 

 

Yémen : la tension monte d'un cran

 

Vidéo du 3 décembre 2017

 

L’organisation terroriste Al-Qaïda soutient ses « frères musulmans Rohingyas » et menace la Birmanie

 

Des militants d’al-Qaïda ont lancé aujourd’hui un appel pour soutenir les Rohingya qui fuient vers le Bangladesh et ont prévenu la Birmanie qu’elle serait punie pour la répression qu’elle mène contre ces populations en majorité musulmanes.

« Le traitement barbare infligé à nos frères musulmans ne restera pas impuni », affirme un communiqué de l’organisation djihadiste selon le site SITE spécialisé dans la surveillance des activités en ligne des groupes extrémistes.

« Le gouvernement de la Birmanie va goûter ce qu’il fait goûter à nos frères musulmans », ajoute l’organisation appelant à fournir de l’aide, des armes et un « soutien militaire » aux Rohingya.

Le Figaro

 

Suicide en plein procès de l'ex-militaire croate Slobodan Praljak : la nature du poison révélée

 

 

Suicide en plein procès de l'ex-militaire croate Slobodan Praljak : la nature du poison révélée

Slobodan Praljak, le Croate de Bosnie qui s'est suicidé en avalant le contenu d'une fiole dans une salle d'audience du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie à La Haye, est mort d'une insuffisance cardiaque causée par du cyanure.

«Les résultats préliminaires des analyses toxicologiques ont montré que monsieur Praljak présentait une forte concentration de cyanure de potassium dans le sang», a expliqué le 1er décembre le parquet néerlandais, dans un communiqué après l'autopsie du corps de Slobodan Praljak. «Cela a provoqué une insuffisance cardiaque, soupçonnée d'être la cause de sa mort», a-t-il ajouté.

Parallèlement, une enquête interne du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) commencera la semaine prochaine en complément de l'enquête du parquet néerlandais, sollicité par le tribunal après le dramatique incident.

Au moment où le TPIY rendait son ultime jugement, le 29 novembre, l'ancien chef militaire des Croates de Bosnie âgé de 72 ans s'est soudainement donné la mort à l'aide d'une fiole de «poison», avait raconté son avocat. Il venait de recevoir confirmation de sa condamnation à 20 ans de prison pour des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité commis pendant la guerre en Bosnie (1992-1995).

L'autopsie du corps a été réalisée à Rijswijk, près de La Haye, à l'Institut médico-légal néerlandais, reconnu comme étant l'un des plus importants laboratoires de médecine légale du monde. Déjà, un test provisoire avait révélé le 30 novembre la présence d'une «substance chimique qui peut entraîner la mort», dans la fiole que Praljak avait sortie de sa poche avant d'en boire le contenu d'une seule gorgée.

Un TPI pour l'ex-Yougoslavie qui déclenche les passions

La semaine précédente, le même tribunal avait condamné à perpétuité l'ancien chef militaire des Serbes de Bosnie Ratko Mladic pour génocide, crimes de guerre et crimes contre l'humanité durant la guerre de Bosnie-Herzégovine. Peu avant l'énoncé du verdict, le prévenu, qui plaidait non-coupable, avait été évacué de la salle d'audience du tribunal pénal international de La Haye après s'être levé et avoir crié, énervé, aux juges qu'ils mentaient. «Ce n'est pas une cour de justice de l'OTAN», avait-il notamment lancé.

Certains observateurs remettent en cause l'impartialité des jugements internationaux pour des crimes de guerre commis durant la guerre des Balkans. Parmi les 161 individus poursuivis par le TPIY, 94 sont serbes, tandis que 29 sont croates. Le tribunal se défend toutefois de tout déséquilibre et soutient que les inculpations reflètent la réalité du conflit.

Source

 

Notes ; un procès dirigé par une Europe ultra  islamo-gauchiste ne peut rien apporté de bon , surtout dans un procès de cette dimension

 

 

Moscou promet de ne pas rester les bras croisés face au bouclier US en Europe

 

La Russie s'engage à réagir de façon adéquate en réaction au déploiement du bouclier antimissile américain sur le continent européen, a annoncé à Sputnik un diplomate russe haut placé.

 
Face à l'implantation du bouclier antimissile US en Europe, Moscou prendra des mesures de rétorsion adéquates, a déclaré à Sputnik Andreï Keline, chef du département de la coopération européenne du ministère russe des Affaires étrangères.

Mi-novembre dernier, le Pentagone a annoncé avoir pris la décision de livrer à la Pologne des systèmes antimissiles Patriot pour un montant total de près de 10,5 milliards de dollars. La fourniture pourrait avoir lieu courant 2019.

Selon M.Keline, les efforts déployés par les USA et l'Otan dans ce domaine constituent «un important facteur destructeur qui sape la stabilité en Europe». L'accord sur le nucléaire iranien signé en 2015 a, d'après le diplomate russe, invalidé les «faux prétextes» évoqués par Washington pour justifier la mise en place du bouclier antimissile en Europe.

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Voici le système de missiles qui protège les côtes d’Extrême-Orient russe

 

 
Un système de missiles sol-mer Bastion

Afin de protéger ses côtes d'Extrême-Orient, la Russie déploiera bientôt une deuxième batterie du système de missiles supersoniques dernier cri Bastion sur la péninsule du Kamchatka.

Dans un proche avenir, la brigade de missiles et d'artillerie côtière stationnée au Kamtchatka recevra une deuxième batterie de système de missiles Bastion, a annoncé lundi Sergueï Lipiline, commandant des troupes et des Forces dans le nord-est de la Russie.

«Le système de missiles côtiers Bastion a remplacé les complexes Rubezh et Redout obsolètes et usagés. Actuellement, une seconde division a été créée et reçoit une formation», a-t-il déclaré dans un entretien accordé au journal Krasnaïa Zvezda. «En outre, selon les projets, dans les prochaines années, nous devrions obtenir plus de bataillons Bastion et Ball. Un chaque année.»

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Allemagne: Le colis piégé près du marché de Noël de Potsdam visait à extorquer de l’argent à DHL (Màj)

 

L’engin suspect retrouvé vendredi près d’un marché de Noël à Potsdam en Allemagne visait en fait à extorquer des fonds au groupe allemand de livraison express DHL. Dans un premier temps, les autorités locales avaient envisagé la piste terroriste.
« Il ne s’agissait pas d’un acte terroriste, mais d’un crime de droit commun », a indiqué dimanche le procureur en charge de l’enquête, Heinrich Juncker. Le ou les maîtres-chanteurs ont réclamé dans une lettre adressée à DHL « une somme de plusieurs millions d’euros » et menacé d’envoyer d’autres colis piégés – en pleine période de Noël – s’ils n’obtenaient pas satisfaction, a précisé le ministre régional de l’Intérieur, Karl-Heinz Schröter.

(…) 20minutes.fr

 

Trump retire les États-Unis d’un nouveau pacte mondial sur la migration (màj : VIDEO)

 

Le président des États-Unis a retiré son pays du Pacte mondial sur la migration, jugé « incompatible avec la souveraineté américaine ».

Avec Donald Trump, les États-Unis ont totalement renoué avec leurs vieux réflexes isolationnistes. « La mission américaine auprès de l’ONU a informé son secrétaire général que les États-Unis mettaient fin à leur participation au Pacte mondial sur la migration », a annoncé dans un communiqué son administration. Une décision qui s’ajoute à une longue liste de projets ou d’accords internationaux dont le milliardaire a décidé de retirer son pays, au grand dam des partisans du multilatéralisme.

En septembre 2016, les 193 membres de l’Assemblée générale de l’ONU avaient adopté à l’unanimité un texte appelé Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants, qui vise à améliorer à l’avenir leur gestion internationale (accueil, aide aux retours…). Sur la base de cette Déclaration, le Haut commissaire aux Réfugiés a été mandaté pour proposer un Pacte mondial sur les migrants et réfugiés dans son rapport annuel à l’Assemblée générale en 2018. Ce Pacte doit reposer sur deux axes: définition d’un cadre des réponses à apporter à la problématique et programme d’actions.

« La Déclaration de New York comprend plusieurs dispositions qui sont incompatibles avec les politiques américaines d’immigration et de réfugiés et les principes édictés par l’Administration Trump en matière d’immigration, a expliqué dans un communiqué la mission des États-Unis auprès de l’ONU, sans dire lesquelles. En conséquence, le président Trump a décidé l’arrêt de la participation de son pays à la préparation du Pacte qui vise à obtenir un consensus à l’ONU en 2018. »  (….)

 

 

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