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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 19 juillet 2023

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Les soldats russes ont avancé de plus d'un kilomètre dans le nord-est du pays, annonce Moscou...

 

L'ESSENTIEL

  • La Russie a frappé hier le port d'Odessa, au lendemain de la fin de l'accord sur les exportations de céréales ukrainiennes. Officiellement, l'armée russe indique avoir détruit le site où on été fabriqués les drones qui ont servi dans l'attaque contre le pont de Crimée.
  • Sur le front, l’armée russe a fait état mardi d’une avancée. Les forces russes auraient pris un kilomètre et demi près de Koupiansk, dans le nord-est de l’Ukraine, une zone où Kiev a constaté une concentration de troupes russes et parle de combats acharnés depuis plusieurs jours.
  • Kiev est dotée «d'une importante puissance de combat qui n'a pas encore été engagée» dans la contre-offensive, et la préserve actuellement, selon le chef d'état-major américain Mark Milley. «Ils sont en train de progresser à travers ces champs de mines, lentement, de façon délibérée et avec constance, et c'est un combat difficile.»

 

14h07 : 60.000 tonnes de céréales ukrainiennes détruites lors de frappes russes

Pas moins de soixante mille tonnes de céréales ukrainiennes destinées à l’exportation et entreposées dans le port de Tchornomorsk, près d’Odessa, ont été détruites dans les frappes russes de la nuit, a indiqué mercredi le ministre ukrainien de l’Agriculture.

« Il faudra au moins un an pour réparer intégralement les infrastructures endommagées. Dans le port de Tchornomorsk, 60.000 tonnes de céréales ont également été détruites, qui auraient dû être (…) expédiées par le couloir céréalier il y a soixante jours », a annoncé Mykola Solsky, dans un communiqué publié sur le site de son ministère.

 

13h36 : Moscou dit avoir avancé de plus d’un kilomètre dans le nord-est de l’Ukraine

L’armée russe a indiqué ce mercredi avoir avancé de plus d’un kilomètre lors d' « opérations offensives » au nord de la ville de Koupiansk, dans le nord-est de l’Ukraine, et revendiqué la capture d’une gare ferroviaire.

« Au cours de la journée, l’avancée des unités russes s’est élevée à plus d’un kilomètre en profondeur et jusqu’à deux kilomètres le long du front. Les unités ont capturé la gare de Moltchanovo », à moins de 20 km au nord de Koupiansk, a indiqué le ministère russe de la Défense dans un communiqué.

 

13h35 : L’armée russe dit avoir bombardé des sites militaires près d’Odessa

Moscou a affirmé ce mercredi avoir bombardé dans la nuit des sites militaires ukrainiens près de la ville d’Odessa, la deuxième attaque nocturne consécutive contre ce port stratégique du sud de l’Ukraine.

« Les forces armées russes ont effectué une frappe groupée (…) sur des sites industriels militaires, des infrastructures pour le carburant et des dépôts de munitions de l’armée ukrainienne », a déclaré le ministère russe de la Défense, ajoutant avoir également frappé la base aérienne de Kanatovo, dans la région ukrainienne de Kirovograd.

 

12h57 : Poutine ne participera pas au sommet des Brics à Johannesburg

Vladimir Poutine ne se rendra pas au sommet des Brics (Afrique du Sud, Brésil, Chine, Inde et Russie) prévu fin août à Johannesburg, a annoncé mercredi la présidence sud-africaine, mettant fin à plusieurs mois de spéculation sur le sujet.

Cette annonce épargne un épineux dilemme à Pretoria, qui préside les Brics et refuse de condamner l’invasion russe de l’Ukraine. Vladimir Poutine est en effet visé par un mandat de la Cour pénale internationale (CPI), et en tant que membre de la CPI, l’Afrique du Sud est théoriquement censée l’arrêter s’il entre sur son territoire.

 

HIER

20h49 : L’Ukraine a encore des réserves « importantes » pour sa contre-offensive, selon Washington

L’Ukraine dispose de réserves « importantes » de forces armées qui ne sont pas encore engagées dans sa lente contre-offensive contre les troupes russes, a assuré mardi le chef d’état-major américain. Les Ukrainiens font face à des soldats russes qui ont eu le temps d’établir de solides défenses, notamment de redoutables champs de mines, des barbelés ou des tranchées, a déclaré Mark Milley à des journalistes, qui lui demandaient si la contre-offensive s’enlisait.

Kiev est dotée « d’une importante puissance de combat qui n’a pas encore été engagée » et la préserve actuellement, a-t-il dit. « Ils sont en train de progresser à travers ces champs de mines, lentement, de façon délibérée et avec constance, et c’est un combat difficile. » Pour Mark Milley, il est « bien trop tôt » pour dire si cette contre-offensive est un échec. « Cela va être long, cela va être difficile, et cela va être sanglant », a-t-il ajouté.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : "Une opération réussie", Kyiv se félicite de l'incendie d'un terrain militaire en Crimée

 

  • Plusieurs vidéos de l'incendie ont été diffusées sur les réseaux sociaux.
    Plusieurs vidéos de l'incendie ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Capture d'écran
Publié le

L'incendie a eu lieu ce mercredi 19 juillet au matin sur un terrain militaire de Crimée occupée, entraînant l'évacuation de 2000 personnes.

"Une opération réussie a été menée en Crimée occupée. L'ennemi cache l'étendue des dégâts et le nombre de victimes" a affirmé sur Telegram Kyrylo Boudanov, le chef du renseignement militaire ukrainien, ce mercredi 19 juillet. Son message est accompagné d'une vidéo dans laquelle on peut voir un incendie dans une installation, sans qu'il soit possible d'identifier l'infrastructure.

2000 personnes évacuées

Cette déclaration intervient quelques heures après le déclenchement d'un incendie dans un camp d'entraînement militaire dans le district de Kirovske, en Crimée occupée.

Celui-ci a entraîné, d'après le gouvernement pro-russe de la péninsule, l'évacuation de plus de 2000 personnes et la fermeture des voies express aux alentours. Plusieurs vidéos des flammes ont été diffusées sur les réseaux sociaux.

L'incendie correspond à la deuxième attaque de l'Ukraine sur les trois derniers jours, après l'explosion qui a endommagé le pont de Crimée, qui relie la péninsule à la Russie.

Moscou a de son côté mené une attaque sur le port ukrainien d'Odessa pour la deuxième nuit consécutive, entre ce mardi 18 et ce mercredi 19 juillet.

Source

 

 

Guerre en Ukraine: Les représailles continuent après l'attaque du pont de Crimée, nouvelles frappes russes contre Odessa

  • La Russie tire des missiles depuis la mer Noire.

    La Russie tire des missiles depuis la mer Noire. Wikimedia commons

La Russie a lancé des attaques aériennes contre le port d'Odessa, sur les rives de la mer Noire, pour la deuxième nuit consécutive, ont annoncé tôt ce mercredi des responsables ukrainiens.

Le gouverneur de la région d'Odessa, Oleh Kiper, a indiqué sur les réseaux sociaux que les systèmes de défense antiaérienne étaient à l'œuvre et a appelé la population à rester à l'abri.

Les frappes font suite à la promesse de représailles de la part de la Russie après l'attaque meurtrière du pont de Crimée, lundi.

Peu après l'attaque du pont de Crimée, la Russie a annoncé qu'elle suspendait sa participation à l'accord sur les exportations de céréales en mer Noire.

Trois ports ukrainiens sont couverts par l'accord: Odessa, Tchornomorsk et Pivdenny.

"Odessa n'a pas eu peur, n'a pas peur et n'aura pas peur"

"(Ils) tentent d'effrayer le monde entier, surtout ceux qui souhaitent œuvrer à l'accord céréalier. L'Ukraine, la Turquie et les Nations unies", a déclaré tôt ce mercredi le porte-parole de l'administration militaire d'Odessa.

"Je pense toutefois que toute personne normale, raisonnable, verra cela et dira: Odessa n'a pas eu peur, n'a pas peur et n'aura pas peur - nous travaillerons", a ajouté Serhy Bratchouk.

L'armée de l'air ukrainienne a prévenu que des missiles de croisière russes pourraient être tirés dans la nuit depuis la mer Noire.

Une alerte aérienne a été déclenchée peu après minuit mercredi dans l'est de l'Ukraine. La Russie n'a pas immédiatement fait de commentaire sur les attaques.

Source

 

Rapport de situation sur la guerre en Ukraine : La réalité défait le récit de guerre 

 
 

Au début de la guerre en Ukraine, j’ai souligné que le faux récit de «l’Ukraine gagne» que la propagande «occidentale» a constamment promue ne gagnerait pas la vraie guerre sur le terrain.

Pendant que la guerre continuait, je l’ai dit encore et encore.

Propaganda Does Not Change The War – The Ukraine Is Still Losing – Updated – March 25, 2022
(«La propagande ne change pas la guerre – L’Ukraine est toujours perdante – Mis à jour»)

Ukraine – War Propaganda And News Items – October 11, 2022
(«La propagande ne change pas la guerre – L’Ukraine est toujours perdante – Mis à jour»)

No – Such Propaganda Delusions Will Not Win The War – June 07, 2023
(«Non – Ces illusions de propagande ne gagneront pas la guerre»)

Dans les colonnes de SCF de cette semaine Alastair Crooke fait le même point avec beaucoup plus de détails.

«A Bonfire of the Vanities» («Un feu de joie des vanités»)

«L’orgueil consiste à croire qu’un récit artificiel peut, en soi, apporter la victoire. C’est un fantasme qui a déferlé sur l’Occident – plus particulièrement depuis le XVIIe siècle. Récemment, le Daily Telegraph a publié une vidéo ridicule de neuf minutes prétendant montrer que «les récits gagnent les guerres», et que les revers dans l’espace de bataille sont accessoires, ce qui importe, c’est d’avoir un fil narratif unitaire articulé, verticalement et horizontalement, dans l’ensemble du spectre – du soldat des forces spéciales sur le terrain au sommet politique.»

 

 

Pourquoi la stratégie de l’Ukraine terrifie l’armée russe | Défense en profondeur Une façon pour les commandants militaires d’envisager une campagne est de tenir compte de la dimension géographique des opérations de fond, rapprochées et arrières. En profondeur : tirs d’artillerie de précision et de missiles à longue portée, attaques de forces spéciales ou de partisans et raids commandos visant à détruire des infrastructures clés comme des aérodromes ou des stations radar.

L’essentiel, c’est que «nous» (l’Occident) avons un récit convaincant, tandis que la Russie est «maladroite» – «Par conséquent, gagner est inévitable».

Il est facile de se moquer, mais néanmoins nous pouvons reconnaître en elle une certaine substance (même si cette substance est une invention). Le récit est maintenant comment les élites occidentales imaginent le monde.

«Ukraine : Comment gagner une guerre impossible à gagner ? Eh bien, la réponse de l’élite a été à travers le récit. En insistant contre la réalité que l’Ukraine est en train de gagner, et que la Russie est en train de «craquer». Mais un tel orgueil est finalement brisé par les faits sur le terrain. Même les classes dirigeantes occidentales peuvent voir que leur demande pour une offensive ukrainienne réussie a échoué. À la fin, les faits militaires sont plus puissants que la gaufre politique : une partie est détruite, ses nombreux morts deviennent le moteur «tragique du renversement des dogmes». 

Alors même que la réalité s’infiltre dans le récit d’une tactique de combat «réussie» occidentale sous forme de guerre armée combinée se renforce.

«Ukraine aims to sap Russia’s defenses, as U.S. urges a decisive breakthrough» – Washington Post
«L’Ukraine vise à saper les défenses de la Russie, alors que les États-Unis réclament une percée décisive
»

«Les responsables et les analystes occidentaux affirment que l’armée ukrainienne a jusqu’à présent adopté une approche basée sur l’attrition visant principalement à créer des vulnérabilités dans les lignes russes en tirant de l’artillerie et des missiles sur les sites de commandement, de transport et de logistique à l’arrière de la position russe, au lieu de mener ce que les responsables militaires occidentaux appellent des opérations «interarmes «qui impliquent des manœuvres coordonnées par de grands groupes de chars, de véhicules blindés, d’infanterie, d’artillerie et, parfois, de puissance aérienne.

Les dirigeants militaires de l’Ukraine soutiennent que, faute de pouvoir aérien, ils doivent éviter des pertes inutiles contre un adversaire disposant d’un bassin de recrues et d’armes beaucoup plus important. Pour préserver la main-d’œuvre, l’Ukraine a déployé seulement quatre d’une douzaine de brigades entraînées dans la campagne actuelle». 

Un nouvel élément dans le récit est que l’Ukraine perd parce qu’elle n’utilise pas les glorieuses opérations militaires interarmes «occidentales» leur a dit d’utiliser.

Franz-Stefan Gady, du British International Institute for Strategic Studies, vient de se rendre en Ukraine où il s’est entretenu avec des soldats et des commandants ukrainiens en première ligne. Dans un fil Twitter, il résume ce qu’il a vu, mais il promeut fortement le même récit :

«Dans l’ensemble, il s’agit d’un combat d’infanterie (niveau escouade, peloton et compagnie) soutenu par l’artillerie le long de la majeure partie de la ligne de front. Cela a plusieurs implications :

1er : La progression est mesurée par mètres/yards et non par km/miles compte tenu de la mobilité réduite.

Deuxièmement : Les formations mécanisées sont rarement déployées en raison du manque de facilitateurs pour la manœuvre. Cela comprend des quantités insuffisantes d’équipement de déminage, de défenses aériennes, de MGAT, etc.

2) Les forces ukrainiennes n’ont toujours pas maîtrisé les opérations interarmes à grande échelle. Les opérations sont plus séquentielles que synchronisées. Cela crée divers problèmes pour l’infraction et l’OMI est la principale cause de progrès lents. (…)

4) Les champs de mines sont un problème comme la plupart des observateurs le savent. Ils confinent l’espace de manœuvre et les avancées lentes. Mais beaucoup plus impactant que les champs de mines en soi sur la capacité de l’Ukraine à percer les défenses russes est l’incapacité de mener des opérations interarmes complexes à grande échelle.

L’absence d’une approche globale des armes combinées à grande échelle rend les forces ukrainiennes plus vulnérables aux AGV russes, à l’artillerie, etc. pendant leur progression. Ce n’est donc pas seulement une question d’équipement. Il n’y a tout simplement pas de séparation systématique du système défensif russe que je pourrais observer».

L’élément narratif est le même que dans le Washington Post. Le fait que les Ukrainiens n’utilisent pas nos fameuses opérations interarmes est la raison de leur échec.

L’article bien synchronisé du New York Times dit la même chose :

«Mais cette approche axée sur l’artillerie soulève la question de savoir si l’Ukraine a perdu confiance dans les tactiques d’armement combinées – attaques synchronisées par les forces d’infanterie, d’armure et d’artillerie – que neuf nouvelles brigades ont apprises des conseillers étatsuniens et occidentaux au cours des derniers mois. Les responsables occidentaux ont qualifié cette approche de plus efficace que la coûteuse stratégie consistant à épuiser les forces russes par attrition et à épuiser leurs stocks de munitions.

Au cours des dernières semaines, de hauts responsables étatsuniens ont exprimé en privé leur frustration devant le fait que certains commandants ukrainiens, exaspérés par la lenteur de l’assaut initial et craignant une augmentation des pertes dans leurs rangs, étaient revenus à de vieilles habitudes — des décennies deun entraînement de style dans des barrages d’artillerie — plutôt que de s’en tenir aux tactiques occidentales et d’insister davantage pour percer les défenses russes». 

Cependant, le récit est faux.

Les Ukrainiens ne craignent pas une augmentation des pertes. Ils ont essayé la guerre interarmes au début de la contre-offensive au début de juin. Après quelques jours d’essais encore et encore ils ont noté que les attaques ont échoué avec des pertes toujours plus grandes et n’étaient pas endurables. Un tiers des chars et autres matériaux que l’Occident avait envoyés en Ukraine a été détruit dans les tentatives d’utiliser le feu et la manœuvre pour percer les champs de mines et les lignes de défense russes.

L’Ukraine est ensuite revenue à la ‘tactique actuelle des moustiques’ où de petits groupes de soldats d’infanterie essaient de faire de petits progrès petit à petit. La perte probable d’autres chars a donc été remplacée par la perte probable d’autres vies.

L’élément narratif selon lequel une attaque combinée aurait plus de succès est tout simplement faux. 

Comme l’explique Crooke :

«L’orgueil, à un certain niveau, résidait dans le fait que l’OTAN opposait sa prétendue doctrine et ses armes militaires «supérieures «à celles d’une rigidité militaire russe dépréciée, de style soviétique, et «incompétente».

Mais les faits militaires sur le terrain ont exposé la doctrine occidentale comme de l’orgueil – avec les forces ukrainiennes décimées, et ses armes de l’OTAN gisant dans des ruines fumantes. C’est l’OTAN qui a insisté pour recréer la bataille de 73 Easting (du désert irakien, mais maintenant traduite en Ukraine).

En Irak, le «poing blindé «a frappé facilement dans les formations de chars irakiens : c’est en effet un «poing «qui a frappé l’opposition irakienne «pendant six ans «. Mais, comme le commandant des États-Unis à cette bataille de chars (le colonel Macgregor), admet franchement, son résultat contre une opposition motivée était largement fortuite.

Néanmoins, «73 Easting» est un mythe de l’OTAN, transformé en doctrine générale pour les forces ukrainiennes – une doctrine structurée autour des circonstances uniques de l’Irak».

Au cours de la première année de la Seconde Guerre mondiale, la Wehrmacht allemande a utilisé la guerre interarmes pour mener sa blitzkrieg contre des adversaires inférieurs. La tactique échoua deux ans plus tard quand elle essaya de percer les solides lignes de défense soviétiques.

Lors de la bataille du 73 Easting, l’armée étatsunienne pouvait répéter les tactiques de guerre éclair parce qu’il avait une supériorité aérienne, des troupes bien entraînées et de meilleures armes. Mais la situation en Ukraine ne peut pas être comparée à une guerre mobile dans le désert.

L’accord sur le grain de la mer Noire est terminé, comme nous nous y attendions. L’Ukraine a réagi à cette perte anticipée avec une autre attaque réussie sur le pont de Kertch. La circulation routière sera entravée ou bloquée pendant deux ou trois mois, mais les lignes de chemin de fer les plus importantes le long de la route sont toujours intactes.

Comme on s’attendait à ce que l’accord sur les céréales échoue, les Ukrainiens ont peut-être pensé à briser le blocus de leurs ports en demandant que d’autres navires viennent. Mais l’armée russe a maintenant utilisé un gros drone et des missiles pour s’assurer que les installations d’Odessa et d’autres ports ukrainiens de la mer Noire ne peuvent plus être utilisés pour charger ou décharger des navires. Il n’est donc pas logique qu’un navire s’y rende.

Au cours de la dernière semaine, la guerre terrestre en Ukraine de l’Est s’est encore intensifiée. Au nord de la ligne de contact orientale, l’armée russe a lancé ses propres attaques. Au centre et au sud, les Ukrainiens tentent encore de percer les défenses russes. Mais ils perdent environ 700 soldats par jour avec peu de gains à montrer pour les pertes subies.

Les Russes se concentrent à nouveau sur la défaite de l’artillerie ukrainienne. Au cours des cinq derniers jours, ils ont affirmé avoir détruit 27 dépôts de munitions de niveau brigade. Chacune d’elles devrait normalement contenir environ 30 tonnes d’obus et de missiles. Ainsi de telles attaques s’additionnent. Pendant ces cinq jours, les Russes ont également prétendu avoir détruit quelque 66 pièces d’artillerie ukrainiennes. C’est la course de ce qui sera complètement perdu en premier, les munitions que les Ukrainiens peuvent utiliser ou les fusils qui sont nécessaires pour les tirer.

Mais certains Ukrainiens insistent encore pour poursuivre le combat insensé.

«Le retour de Bakhmout est une question d’honneur. Nous avons perdu beaucoup de nos frères là-bas, nous devons simplement le reprendre» – Syrsky lors d’une entrevue à la BBC

La citation de l’interview trop émouvante n’est pas dans la rédaction de l’interview de la BBC, mais je n’ai toujours pas vu une vidéo de celle-ci.

Que l’Ukraine ait déjà perdu de nombreux soldats à Bakhmout ne devrait certainement pas être une raison pour continuer à se battre pour elle. Elle n’a maintenant qu’une valeur symbolique. Même si elle changeait encore de mains, elle ne changerait pas la trajectoire de la guerre.

L’Ukraine perd cette guerre. The Jig Is Up le sait et l’OTAN le sait. L’Ukraine ne sera jamais autorisée à en devenir membre.

Un nouvel élément narratif s’immisce dans les pourparlers au sujet d’un cessez-le-feu en Ukraine. Cela donnerait à l’Ukraine le temps de réaménager son armée.

Mais la Russie n’a absolument aucune raison d’accepter une pause dans le combat. Pendant la guerre son armée est devenue plus grande et meilleure et une défaite totale de l’armée ukrainienne est seulement une question de temps.

Les États-Unis et l’OTAN auront bientôt perdu leur grande guerre par procuration contre la Russie.

À la lumière de cette réalité, le récit bien plus vaste, vieux de plusieurs siècles, de l’Occident supérieur s’effondre également.

Cela aura des conséquences mondiales pendant des décennies.

source : Moon of Alabama via La Cause du Peuple

 

 

Commission Européenne : Une Américaine nommée chef économiste à la Direction Générale de la Concurrence, elle a déjà eu affaire avec Google et Facebook (MàJ : face à la polémique, elle refuse le poste)

19/07/2023

Après plusieurs jours de polémique, la Commission européenne ne recrutera finalement pas une Américaine au poste d’économiste en chef de la direction générale de la concurrence de l’Union. Dans un message posté notamment sur Twitter ce mercredi matin, la commissaire en charge de la Concurrence, Margrethe Vestager, a indiqué que Fiona Scott Morton a choisi de «ne pas accepter le poste». (…)

Le Figaro

13/07/2023

 

 

 

Panique en Espagne: Armé d'une mitraillette, il tire à plusieurs reprises en pleine rue puis met le feu à sa voiture et provoque un incendie de forêt

 

  • Les faits se sont produits ce mardi à Marbella.
    Les faits se sont produits ce mardi à Marbella. Capture d'écran

Les habitants et touristes de la station de Marbella (sud de l'Espagne) ont vécu des instants de terreur mardi après-midi.

Moment de panique ce mardi 18 juillet en Espagne. Vers 18 heures, un homme armé d'une mitraillette a surgi dans les rues de Puerto Banús (marina de luxe) à Marbella (Andalousie, sud) et tiré au moins trois coups de feu en plein jour, rapporte El Mundo. Aucune personne n'a heureusement été blessée.

Le suspect a rapidement pris la fuite à bord d'une voiture de marque BMW, conduite par un complice, dont les plaques d'immatriculation étaient maquillées.

Un Français ?

La police espagnole a ouvert une enquête pour identifier l'auteur des faits qui apparaît, dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, le visage en partie en partie camouflé par un foulard, coiffé d'une casquette et vêtu d'un maillot d'une équipe de sport.

Certains pensent avoir reconnu les couleurs du club de football de l'Olympique lyonnais, laissant supposer que le tireur pourrait être un Français.

Incendie de forêt

Près d'une demi-heure après cette fusillade en pleine rue, le véhicule des mis en cause était découvert en périphérie de Marbella. Les fuyards y avaient mis le feu et provoqué un incendie de forêt du côté de Benavolá.

Les sapeurs-pompiers d'Andalousie, appuyés par trois hélicoptères et trois avions, sont finalement parvenus à éteindre l'incendie, qui a brûlé près de deux hectares de végétation, vers 20h30 mardi soir.

Pour l'heure, la police espagnole poursuit son enquête et n'a procédé à aucune arrestation.

Source

 

 

 

Rabastens (81) : une statue de la vierge Marie vandalisée ; le maire pointe, sans pour autant faire le lien, un « contexte politique compliqué »

Une statue de la vierge Marie a été vandalisée début juillet à Rabastens (Tarn). Un énième épisode de dégradations dans une petite commune d’Occitanie. Mais comme souvent, difficile voire impossible de comprendre les raisons d’un tel acte. (…)

Il rappelle néanmoins “le contexte politique compliqué” au sein de sa ville, et la série d’une dizaine de tags subie par la mairie bien avant ce dernier épisode. Des inscriptions comme forme de contestation contre plusieurs projets “comme la 5G, la vidéo protection, l’autoroute A69” énumère-t-il. Mais il insiste : aucun lien n’est fait entre cette dégradation et ce contexte délicat. (…)

Des dispositions vont être prises pour restaurer la statue, “mais ça prend du temps” prévient l’édile. “On ne peut pas la nettoyer avec de simples détergents, il faut faire appel à des spécialistes.” La mairie a déjà porté plainte en plus des constatations déjà effectuées par la police municipale. 

France 3 Régions

 

 

Pantin (93) : les coupables d’une agression dans une supérette identifiés mais tous relaxés (MàJ)

23/06/23

 

 

Beausoleil (06) : un migrant comorien brûle le drapeau français d’un commissariat et fait l’apologie du terrorisme ; il est placé en psychiatrie

Un homme âgé de 34 ans a été interpellé dans la nuit de dimanche à lundi à Beausoleil (Alpes-Maritimes), vers 1 heure, alors qu’il venait de mettre le feu au drapeau français installé à l’entrée du poste de la police municipale. (…)

Actu17

(…) Ce résident de Beausoleil de nationalité comorienne, “tenait des propos incohérents, prônait le terrorisme et la haine des institutions”, selon une source proche de l’enquête sollicitée par Monaco-Matin

Remis à un officier de police judiciaire et placé en garde à vue pour “apologie du terrorisme et destruction du drapeau tricolore dans un lieu public avec l’intention d’outrager ce drapeau”, l’individu n’a pas expliqué les raisons de son acte.

Au regard de l’expertise psychiatrique, le parquet de Nice a décidé de son internement en psychiatrie à l’hôpital Sainte-Marie à Nice. (…)

Nice Matin

 

 

Béziers (34) : Robert Ménard refuse de marier un migrant clandestin algérien, sous OQTF, déjà condamné pour vol, recel et agression (MàJ : le fiancé arrêté et placé en centre de rétention)

 

18/07/2023

L’Algérien de 23 ans que le maire de Béziers Robert Ménard a refusé de marier avec une Française de 29 ans, a été placé ce lundi en centre de rétention administrative à Sète, dans l’Hérault, a appris BFMTV.

Cet homme fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Selon sa fiancée, contactée par BFMTV, il a rendez-vous ce mardi au consulat d’Algérie et mercredi devant la juge qui doit statuer sur l’exécution ou non de son expulsion vers l’Algérie. Toujours d’après sa compagne, l’OQTF devait prendre fin à la fin du mois d’août. (…)

BFMTV

(…) Eux évoquent leur histoire d’amour et la Convention des droits de l’Homme. L’élu pointe du doigt le scandale de devoir accueillir officiellement en mairie quelqu’un qui devrait être expulsé. (…)

Midi Libre

6/07/23


 

« Des hommes prennent la place de femmes méritantes » : le député RN Julien Odoul dépose une proposition de loi “pour protéger le sport féminin de la concurrence déloyale transgenre”

(…) Il dénonce une “dérive” transgenre dans le sport féminin. Le député du Rassemblement national Julien Odoul a déposé début juillet une proposition de loi pour “faire concourir les sportifs dans la catégorie correspondant à leur sexe figurant sur leur acte de naissance”. Un texte qui reviendrait à interdire aux personnes transgenres de concourir dans des compétitions sportives dans la catégorie correspondant à leur genre.

Présenté à la presse mardi, le texte vise, selon le député de l’Yonne, à “préserver le sport féminin” face à une pratique qu’il assimile à “une forme de dopage légalisé”: le fait que des sportives transgenres “remportent des compétitions du fait de leur avantage physiologique”.

“C’est un vrai danger pour le sport féminin, qui vise tout simplement à remplacer des sportives par des sportifs”, assure l’élu d’extrême droite.

Julien Odoul – député RN de l’Yonne

(…)

BFMTV

Julien Odoul, député de la 3e circonscription de l’Yonne (Rassemblement national), et son collègue député Roger Chudeau ont déposé une proposition de loi visant à faire concourir les sportifs dans la catégorie correspondant à leur sexe figurant sur leur acte de naissance (…)

De facto, les athlètes transgenres, nés biologiquement hommes, viennent imposer une concurrence déloyale inacceptable et une forme de dopage. Les sociétés occidentales assistent à une véritable entreprise d’effacement, où sous couvert de défendre la diversité et l’égalité des droits, des hommes prennent la place de femmes méritantes. (…)

Info Beaune

 

 

Égypte : un chercheur condamné à trois ans de prison ferme pour avoir dénoncé la discrimination des chrétiens coptes

Le chercheur égypto-italien Patrick Zaki a été condamné ce mardi à trois ans de prison pour «fausses informations» à cause d’un article dénonçant les discriminations contre les chrétiens en Egypte, rapporte l’ONG à laquelle il appartient. Libéré en décembre 2021 après 22 mois en détention préventive, M. Zaki, qui encourait jusqu’à cinq ans de prison, a été arrêté au tribunal de Mansoura, au nord du Caire, et aussitôt emmené en prison, précise Hossam Bahgat, fondateur de l’Initiative égyptienne pour les droits personnels (EIPR).

RFI

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