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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 20 juillet 2023

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Des dépôts de munitions et de drones détruits lors des frappes russes à Odessa…

 

L’ESSENTIEL

  • La Russie a bombardé Odessa pour la troisième nuit consécutive, après l’expiration de l’accord sur les céréales. A Mykolaïv aussi, un incendie s’est déclaré dans un immeuble résidentiel après une frappe russe et au moins 18 personnes ont été blessées.
  • Théorie un peu folle ou fine anticipation ? Selon un responsable de la Maison Blanche à Washington, les forces russes pourraient attaquer des navires marchands transportant des céréales d’Ukraine en mer Noire pour ensuite accuser Kiev.
  • Les Etats-Unis ont annoncé mercredi un nouveau plan d’aide militaire à l’Ukraine s’élevant à 1,3 milliard de dollars. Ce plan prévoit notamment la livraison de quatre systèmes de missiles de défense anti-aérienne, de munitions d’artillerie, de matériel de déminage, et de drones explosifs, détaille le Pentagone dans un communiqué.

 

13h50 : Moscou aurait frappé à Odessa des sites de production de drones navals

L’armée russe a annoncé ce jeudi avoir bombardé durant la nuit des sites militaires ukrainiens dans le sud de l’Ukraine, la troisième attaque nocturne consécutive, assurant notamment avoir détruit des sites de production et de stockage de drones navals à Odessa.

« Les forces armées russes ont poursuivi leurs frappes de représailles avec des armes aériennes et maritimes de précision contre des sites de production et de stockage de bateaux sans équipage dans la région d’Odessa », a déclaré le ministère russe de la Défense. « En outre, des infrastructures de carburant et des dépôts de munitions ont été détruits près de Mykolaïv ».

 

12h17 : L’UE envisage un fonds de 20 milliards d’euros pour la défense de l’Ukraine

L’Union européenne étudie la création d’un fonds doté de 20 milliards d’euros sur quatre ans pour continuer à soutenir l’armée ukrainienne dans son combat contre l’invasion russe, ont déclaré jeudi des sources diplomatiques. « Nous allons discuter de la manière de continuer à soutenir l’Ukraine à long terme, des engagements de sécurité et des garanties que nous pouvons apporter », a indiqué le chef de la diplomatie de l’UE, Josep Borrell, avant une réunion des ministres européens des Affaires étrangères à Bruxelles.

« Nous avons présenté un plan visant à garantir un soutien financier à l’Ukraine à partir de l’an prochain, ce qui représentera un montant assez important. J’espère que les ministres le soutiendront », a-t-il ajouté, sans vouloir préciser de chiffre avant qu’il soit examiné par les Vingt-Sept. Une source diplomatique a indiqué à l’AFP que l’aide militaire envisagée était de cinq milliards d’euros par an sur quatre ans (de 2024 à 2027), soit 20 milliards au total, même si les discussions n’en étaient qu’à leurs « débuts ».

 

11h04 : Le groupe Wagner va s’entraîner avec les forces spéciales biélorusses, annonce Minsk

Les combattants du groupe paramilitaire russe Wagner, contraints de partir en Biélorussie après leur rébellion manquée en Russie fin juin, vont s’entraîner avec les forces spéciales de ce pays allié de Moscou, a annoncé Minsk jeudi. « Au cours de la semaine, des unités des forces spéciales et des représentants de l’entreprise vont s’entraîner aux missions de combat sur le terrain d’entraînement de Bretsky », près de la frontière avec la Pologne, a annoncé le ministère biélorusse de la Défense sur Telegram. La semaine dernière, Minsk avait déjà indiqué que les combattants de Wagner formaient des conscrits biélorusses, sur un terrain d’entraînement au sud-est de la capitale, Minsk.

 

10h43 : Début de nouveaux exercices militaires entre la Russie et la Chine en mer du Japon

La Russie et la Chine ont entamé jeudi des exercices militaires conjoints en mer du Japon, a annoncé le ministère russe de la Défense, dans un contexte de fortes tensions avec les pays occidentaux. Les deux pays, qui partagent une volonté commune de contrer ce qu’ils présentent comme l’hégémonie américaine, se sont rapprochés dans le domaine militaire depuis l’offensive militaire russe en Ukraine, que Pékin refuse de condamner.

Pour renforcer leur coordination, la Chine et la Russie ont ainsi organisé ces derniers mois plusieurs exercices entre leurs armées. Ces exercices, qui doivent durer jusqu’à dimanche, impliquent notamment des navires anti-sous-marins et des corvettes russes, selon ce communiqué. Pékin avait évoqué dimanche dans un communiqué la présence notamment de cinq bâtiments de guerre chinois, dont le destroyer lanceur de missiles guidés Qiqihar. « Des missions anti-sous-marines et de combat naval » sont au programme, selon le communiqué du ministère russe de la Défense, ajoutant qu’il est également « prévu d’effectuer des tirs d’artillerie conjoints ».

 

07h45 : La Russie envisage d’attaquer des navires marchands en mer Noire pour ensuite accuser Kiev, selon Washington

La Russie envisage des attaques sur des navires marchands transportant des céréales d’Ukraine en mer Noire pour ensuite accuser Kiev, a assuré mercredi un responsable de la Maison Blanche. « L’armée russe pourrait élargir son ciblage » des installations et moyens de transports de céréales de l’Ukraine « pour inclure des attaques sur des bateaux civils », a déclaré Adam Hodge, porte-parole du Conseil de sécurité national américain.

Ces accusations se fondent sur des éléments des renseignements qui viennent d’être déclassifiés, a précisé le porte-parole. D’autant que Moscou a clairement annoncé considérer comme « cible militaire » tout navire qui se dirigerait vers un port ukrainien.

 

07h28 : La Russie met en garde tout cargo céréalier en mer Noire

La Russie a annoncé mercredi qu'elle considèrerait comme une cible militaire tout navire se dirigeant vers les ports céréaliers ukrainiens de la mer Noire, au moment où Kiev, qui accuse Moscou de bombarder ses terminaux céréaliers, réclame des escortes internationales pour ces cargos après l'expiration d'un accord crucial pour l'alimentation mondiale.

HIER

19h32 : Washington annonce 1,3 milliard de dollars d'aide à l'Ukraine

Les Etats-Unis ont annoncé ce mercredi un nouveau plan d'aide militaire à l'armée ukrainienne s'élevant à 1,3 milliard de dollars.

Ce plan prévoit notamment la livraison de quatre systèmes de missiles de défense anti-aérienne, de munitions d'artillerie, de matériel de déminage, et de drones explosifs, détaille le Pentagone dans un communiqué.

DIRECT

 

 

 

 

L'Ukraine s'engage à attaquer les navires se dirigeant vers les ports russes

 

MOSCOU (Spoutnik) - À partir du 21 juillet, Kiev pourrait considérer les navires naviguant en mer Noire en direction des ports maritimes russes comme transportant des marchandises militaires présentant des "risques correspondants", a déclaré le ministère ukrainien de la Défense.

La navigation dans les zones de la partie nord-est de la mer Noire et du détroit de Kertch est interdite car dangereuse depuis jeudi, les informations de navigation pertinentes ont déjà été rendues publiques, a déclaré le ministère ukrainien de la Défense.

« La navigation dans les zones de la partie nord-est de la mer Noire et du détroit de Kertch-Yenikale en Ukraine est interdite car dangereuse, à partir de 05h00 [heure locale, 03h00 GMT] le 20 juillet 2023. Les informations de navigation pertinentes pour les marins ont déjà été rendues publiques », a écrit le ministère sur Telegram.

Spoutnik

 

 

 

Guerre en Ukraine : Vladimir Poutine est prêt à revenir à l'accord céréalier avec Kiev si ses demandes sont réalisées "dans leur totalité"

 

Le 19 - 07 - 2023

La Russie a décidé cette semaine de ne pas prolonger l'accord visant à permettre les exportations de céréales ukrainiennes après des mois de critiques envers ce texte, Moscou affirmant que ses propres livraisons de produits agricoles et d'engrais sont entravées par les sanctions.

Vers une guerre de religion, infos du 20 juillet 2023

Le président Vladimir Poutine a assuré mercredi 19 juillet que la Russie était prête à revenir à l'accord sur les exportations de céréales ukrainiennes si ses demandes sont réalisées "dans leur totalité", sans quoi sa prolongation "n'a plus de sens".

"Nous examinerons la possibilité de retourner (à l'accord), mais à une condition: que tous les principes de participation de la Russie à cet accord soient pris en compte et réalisés sans exception et dans leur totalité", a déclaré Poutine lors d'une réunion gouvernementale retransmise à la télévision.

Quelles sont les demandes ?

La Russie a décidé cette semaine de ne pas prolonger l'accord visant à permettre les exportations de céréales ukrainiennes après des mois de critiques envers ce texte, Moscou affirmant que ses propres livraisons de produits agricoles et d'engrais sont entravées par les sanctions. Elle réclame aussi que des banques et institutions financières russes soient reconnectées au système bancaire international SWIFT, dont elles ont été privées après le début de l'offensive en Ukraine en 2022.

Le secteur agricole de la Russie, l'un des plus grands exportateurs mondiaux de céréales avec l'Ukraine, doit aussi faire face au manque de pièces détachées pour les machines et l'industrie, ainsi qu'à des problèmes d'assurance des navires. Moscou réclame enfin la reprise du fonctionnement du gigantesque pipeline reliant la ville russe de Togliatti au port ukrainien d'Odessa servant à l'exportation d'ammoniac, composant-clef des engrais. Ce tube, hors service depuis le conflit, a été victime d'une explosion attribuée à Kiev par Moscou en juin.

Les Occidentaux ont "profité sans vergogne"

"Dès que (ces conditions) seront remplies, nous reviendrons immédiatement à cet accord", a martelé Poutine, accusant les Occidentaux d'avoir "profité sans vergogne" des exportations de céréales depuis l'Ukraine. "Au lieu d'aider les pays qui en ont réellement besoin, l'Occident a utilisé l'accord sur les céréales à des fins de chantage politique et en a fait un outil d'enrichissement de multinationales, de spéculateurs sur le marché mondial", a-t-il accusé. Selon lui, l'accord céréalier a provoqué des pertes chiffrées à 1,2 milliards de dollars chez les agriculteurs russes et une baisse de rentabilité des exportations.

Source

 

 

Exercices militaires conjoints Russie-Chine en mer du Japon

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 20 juillet 2023

"Des missions anti-sous-marines et de combat naval" sont au programme, selon le communiqué du ministère russe de la Défense

La Russie et la Chine ont débuté jeudi des manœuvres militaires en mer du Japon, accentuant leurs liens militaires face aux tensions avec les pays occidentaux. Les deux pays visent à renforcer leur coopération navale pour maintenir leur présence dans la région Asie-Pacifique, marquant ainsi leur opposition à l'influence américaine.

Ces exercices, qui doivent durer jusqu'à dimanche, impliquent notamment des navires anti-sous-marins et des corvettes russes, selon ce communiqué. Pékin avait évoqué dimanche dans un communiqué la présence notamment de cinq bâtiments de guerre chinois, dont le destroyer lanceur de missiles guidés Qiqihar.

"Des missions anti-sous-marines et de combat naval" sont au programme, selon le communiqué du ministère russe de la Défense, ajoutant qu'il est également "prévu d'effectuer des tirs d'artillerie conjoints".

Début juillet, le ministre chinois de la Défense, Li Shangfu, avait prôné le renforcement de la coopération militaire navale avec la Russie lors d'un entretien à Pékin avec un haut gradé russe.

En effet, ces derniers mois, la Chine et la Russie ont ainsi orchestré plusieurs exercices entre leurs armées. En mars dernier, lors de la visite du président chinois Xi Jinping au Kremlin aux côtés de son homologue russe Vladimir Poutine, les deux dirigeants avaient évoqué dans une déclaration signée la volonté de mener "régulièrement des patrouilles communes" dans le but "d'approfondir la confiance mutuelle".

"L'objectif principal (de ces nouvelles manœuvres) est de renforcer la coopération navale entre la Russie et la Chine, de maintenir la stabilité et la paix dans la région Asie-Pacifique", a assuré jeudi dans un communiqué l'armée russe.

Le mois dernier, la Chine et la Russie avaient effectué une patrouille militaire aérienne conjointe au-dessus des mers du Japon et de Chine orientale, poussant la Corée du Sud à déployer des avions de chasse par précaution. Il s'agissait de la sixième patrouille du genre menée par Pékin et Moscou dans la zone depuis 2019.

Source

 

 

 

Péninsule coréenne : les États-Unis déploient un sous-marin à double dissuasion nucléaire

 

 

Le 19 - 07 - 2023

Les États-Unis ont dépêché pour la première fois depuis les années 1980 un sous-marin doté d’armes nucléaires dans un port de Corée du Sud. Une manœuvre risquée dans le contexte de tensions avec la Corée du Nord mais qui répond à la nécessité pour Washington de réaffirmer son rôle dans cette région alors que Séoul pense à se doter de l’arme atomique.

Vers une guerre de religion, infos du 20 juillet 2023

L’arrestation en Corée du Nord, mercredi 19 juillet, du soldat américain Travis King pouvait difficilement intervenir à un moment moins opportun pour le président américain Joe Biden. Elle offre à Pyongyang un levier de négociation alors que la Maison Blanche semblait décidée à mettre davantage la pression sur le régime de Kim Jong-un.

Avant que Travis King ne prenne la décision de se rendre en Corée du NordJoe Biden avait pris une décision sans précédent pour les États-Unis depuis quarante ans. Le président américain a envoyé un sous-marin capable de tirer des missiles nucléaires, qui est arrivé mardi dans le port de Busan, au sud de la Corée du Sud.

Jusqu'à 80 missiles nucléaires à bord

Depuis les années 1980, Washington évitait de sortir ses griffes nucléaires trop près de la frontière nord-coréenne afin de limiter l’escalade des tensions sur la péninsule.

Washington a finalement renoncé à sa retenue. Les États-Unis ont dépêché l’USS Kentucky, capable de transporter jusqu’à 80 missiles nucléaires. "C’est l’un des 14 sous-marins nucléaires lanceurs d’engin de classe Ohio actifs dont disposent les États-Unis", souligne Ho Ting "Bosco" Hung, spécialiste de la Chine et des questions de sécurité en Asie à l'International Team for the Study of Security (ITSS) Verona. Ces submersibles constituent le fer de lance de la dissuasion nucléaire maritime des États-Unis.

Pyongyang a vu d'un mauvais œil l’arrivée de l’USS Kentucky dans les eaux sud-coréennes. Elle "éloigne plus que jamais la Corée du Nord de la table des négociations", a affirmé Kim Yo Jong, l’influente sœur du dirigeant nord-coréen.

Mais il était temps que les États-Unis haussent le ton dans la région, estime Ho Ting "Bosco" Hung. "Durant les présidences de Barack Obama et Donald Trump, Washington faisait régulièrement référence à la menace nord-coréenne traitée comme l’une des principales priorités. Joe Biden a été beaucoup plus discret sur la question", rappelle cet expert. Pour l’actuel locataire de la Maison Blanche, l’ordre des priorités était simple : la Russie en première place, la Chine ensuite et la Corée du Nord en troisième position mais loin derrière.

Dissuader la Corée du Sud d'opter pour l'arme nucléaire

"On a au même moment en Corée du Sud, l’arrivée de ce sous-marin nucléaire lanceur d’engins, et la visite de Kurt Campbell, le coordinateur pour l'Indo-Pacifique du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, pour la première réunion du Groupe consultatif nucléaire (NCG)", souligne Antoine Bondaz, spécialiste de la péninsule coréenne à la Fondation pour la recherche stratégique.

Cette initiative a été lancée dans la foulée de la rencontre entre Joe Biden et le président sud-coréen Yoon Suk-yeol en avril. Le NCG doit servir à améliorer la réponse sud-coréenne à l’évolution de la menace nucléaire du voisin au nord.

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Experts militaires : L’Ukraine a utilisé le corridor céréalier de la mer Noire pour la contrebande d’armes et les attentats terroristes

 
 

Le régime de Kiev a profité de l’accord pour transférer des armes et comme prétexte pratique pour ses opérations terroristes contre les infrastructures civiles russes, ont déclaré des experts militaires à Sputnik.

Le 17 juillet, l’accord sur les céréales de la mer Noire a expiré et la Russie a décidé de ne pas le prolonger, étant donné que l’accord n’a jamais été mis en œuvre dans son intégralité par le collectif occidental.

De plus, l’Ukraine a utilisé le corridor céréalier sûr à des fins militaires, selon l’expert militaire russe à la retraite Colonel Viktor Litovkin.

«[L’Ukraine] a utilisé des navires civils pour transporter des armes dans les deux sens», a déclaré Litovkin à Sputnik. «Nous savons que les autorités ukrainiennes (peut-être pas les autorités, mais des personnes proches des autorités) ont activement utilisé les marchés noirs pour s’approvisionner, pour revendre des armes au Moyen-Orient et même à la France. En France, on a trouvé ces types d’armes qui avaient été fournies à [l’Ukraine] par des pays occidentaux. Ils ont réussi à revendre certaines de ces armes à l’Occident, à l’Afrique, au Moyen-Orient».

«Ils ont également reçu des armes couvertes de grain venant d’Odessa. Sans parler du fait que sous couvert d’un accord sur les céréales, y compris celui qui a eu lieu la nuit dernière [le 17 juillet], ils ont lancé un drone de surface sans pilote qui a fait exploser une partie du pont de Crimée », a poursuivi Litovkin.1

Lundi, le Comité national antiterroriste russe a déclaré que Kiev avait mené une attaque terroriste sur le pont de Crimée qui relie la Russie continentale et la Crimée. Le sabotage du 17 juillet est devenu la deuxième attaque de l’Ukraine contre le pont. Plus tôt, le 8 octobre 2022, des saboteurs ukrainiens ont fait exploser un camion sur le pont et provoqué l’incendie de sept réservoirs de carburant d’un train de marchandises et l’effondrement partiel de deux travées de voitures, tuant trois civils. Kiev a admis sa complicité dans les deux attaques terroristes.

En outre, une partie des attaques menées par des drones ukrainiens contre la péninsule ont été menées à partir de la zone du couloir de sécurité de la mer Noire, selon Boris Rozhin, un expert militaire du Centre de journalisme militaro-politique, un penseur indépendant des affaires militaires russes.

«Une partie des attaques de drones a été menée depuis la zone où passait le couloir céréalier, c’est-à-dire qu’il a été utilisé comme couverture», a déclaré Rozhin à Sputnik. «Les navires qui y naviguaient servaient également de couverture. Par conséquent, bien sûr, il était initialement clair que l’ennemi utiliserait le corridor céréalier spécifiquement à des fins militaires. Les attaques contre Sébastopol et d’autres attaques provenaient de la zone du corridor céréalier ou passaient par la zone du corridor vert, en particulier celles qui venaient d’Izmail ou de la région d’Odessa. C’est-à-dire qu’ils ont en quelque sorte traversé le territoire du corridor céréalier».

Comment la suspension de Deal affectera-t-elle l’opération militaire spéciale ?

Après avoir gelé l’accord sur les céréales de la mer Noire, Moscou a souligné qu’il était prêt à le reprendre si l’Occident mettait en œuvre sa part de l’accord, l’Ukraine cessant ses activités terroristes dans la région. Pour l’instant, la Russie devrait renforcer sa sécurité en mer Noire, selon les interlocuteurs de Sputnik.

Pendant ce temps, l’Ukraine a ignoré la proposition de Moscou et a signalé qu’elle souhaitait continuer à expédier ses céréales malgré la suspension de l’accord par la Russie.

Selon Litovkin, la Russie dispose d’un certain nombre d’options possibles pour assurer sa sécurité : premièrement , elle peut déclarer la partie nord-ouest de la mer Noire zone de combat. «Et [l’armée russe] ne laissera pas un seul navire y aller, pas un seul navire, pas seulement des navires de guerre, mais aussi des navires civils», a supposé le colonel à la retraite.

Deuxièmement, la Russie pourrait cibler les ports d’Odessa et de Nikolaev, où le grain est chargé, interrompant ainsi leur fonctionnement. Idéalement, si la Russie libérait Odessa et Nikolaev du régime «banderite» de Kiev, il serait totalement garanti que l’Ukraine ne frapperait pas la Crimée et les navires russes avec des drones de surface ou sous-marins sans pilote, a suggéré Litovkin.

En général, les interlocuteurs de Sputnik ne s’attendent à aucun changement radical dans le cours de l’opération militaire spéciale russe au lendemain de la suspension de l’accord sur les céréales.

«Je ne pense pas que des changements majeurs se produiront dans la partie nord-ouest de la mer Noire», a déclaré Rozhin. «On ne s’attend pas à des opérations de débarquement, forcer le Dnepr du côté [de la Russie] en direction de Nikolaev dans les mois à venir est également peu susceptible d’avoir lieu».

Cependant, l’expert a prévu que les actions militaires dans les directions Krasnolimanskoe et Kupyanskoe seront intensifiées. De même, il y aura des opérations plus actives dans la région de Donetsk, a suggéré Rozhin.

«Naturellement, au moins jusqu’au dégel [d’automne], des combats intenses se poursuivront dans la direction de Zaporozhye sur le front de Kamensky à Ugledar», a conclu l’expert militaire.

source : Sputnik International via La Cause du Peuple

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : Wagner toujours plus menaçant, le groupe paramilitaire mène des exercices en Biélorussie près de la frontière polonaise

 

  • Après leur rébellion avortée, les mercenaires du groupe Wagner ont remis leurs armes aux soldats de l'armée russe.
    Après leur rébellion avortée, les mercenaires du groupe Wagner ont remis leurs armes aux soldats de l'armée russe. MAXPPP - RUSSIAN DEFENCE MINISTRY PRESS SERVICE HANDOUT

Des mercenaires de la milice privée russe Wagner vont aider à la formation de soldats des forces spéciales biélorusses dans une installation militaire située à portée de fusil de la Pologne, membre de l'Otan, a annoncé jeudi le ministère biélorusse de la Défense.

Des mercenaires de la milice privée russe Wagner vont aider à la formation de soldats des forces spéciales biélorusses dans une installation militaire située à portée de fusil de la Pologne, membre de l'Otan, a annoncé jeudi le ministère biélorusse de la Défense. Le chef de Wagner, Evguéni Prigojine, est apparu sur une vidéo mercredi accueillant des combattants en Biélorussie, leur indiquant qu'ils ne participeront plus aux combats en Ukraine et leur demandant de rassembler leurs forces pour l'Afrique pendant qu'ils formaient l'armée biélorusse.

"Les forces armées biélorusses continuent la formation conjointe avec les combattants de Wagner PMC (Compagnie militaire privée)", a déclaré le ministère biélorusse de la Défense. "Durant cette semaine, les unités des forces d'opérations spéciales avec les représentants de la Compagnie vont s'entraîner au combat à la gamme militaire de Brest [en Biélorussie, NDLR]", a également indiqué le ministère.

La Pologne a annoncé plus tôt dans le mois l'envoi de 500 membres des forces de l'ordre à sa frontière avec la Biélorussie pour gérer le flux plus important de migrants et toute menace potentielle de la part des mercenaires de Wagner. La mutinerie avortée des hommes de Wagner a été vue comme un défi sans précédent au pouvoir du président russe, Vladimir Poutine. Le Kremlin affirme de son côté que le peuple est soudé autour de son président et de son armée. 

Wagner a perdu 22 000 hommes depuis le début de la guerre en Ukraine

Un accord a été trouvé le 24 juin sous l'égide du président de la Biélorussie, Alexandre Loukachenko, permettant aux paramilitaires de trouver refuge en Biélorussie, d'être réintégrés sous le commandement du ministère russe de la Défense ou de retourner auprès de leur famille. Wagner a perdu 22.000 hommes depuis le début de la guerre en Ukraine, 40.000 ont été blessés et 10.000 d'entre eux vont arriver en Biélorussie, selon la publication d'un haut commandant, partagée par la chaîne Telegram de Wagner.

Au total, 78.000 hommes de Wagner ont participé à ce qui est présenté comme un "voyage d'affaires ukrainien" dont 49.000 prisonniers, selon la même publication. Wagner a aidé la Russie à annexer la Crimée en 2014, à prendre la ville ukrainienne de Bakhmout, à combattre des militants du groupe Etat islamique en Syrie et a opéré en Afrique.

Source

 

 

Isolement de la Russie : Où en est-on ?

 

À ceux qui ne cessent d’évoquer l’isolement en cours de la Russie et l’effondrement imminent de son économie, le simple examen des faits apporte un démenti cinglant.

Depuis le début de l’année 2023, tous les événements internationaux majeurs organisés par la Russie affichent une participation record rarement observée jusqu’alors Les pressions insistantes des USA et de l’OTAN, les menaces de sanctions ne font plus effet. Depuis le début de l’opération spéciale russe en Ukraine, les USA et l’OTAN ont perdu une large part de leur crédibilité et ne font plus peur à personne. Nombre de pays changent de camp, le monde respire mieux que sous la seule autorité tyrannique de l’hégémon US.

À Moscou, le second forum économique eurasiatique, donc régional, du 24 au 25 mai 2023 a rassemblé plus de 2700 participants de 59 pays. Pour un forum régional, limité à l’Eurasie, et en pleine guerre OTAN-Russie en Ukraine, on peut difficilement faire mieux. La participation est en hausse par rapport au forum 2022.

Le 26ème Forum de Saint Pétersbourg 2023 a retrouvé son niveau d’avant Covid avec 17 000 participants de 130 pays dont 25 pays classés «inamicaux». C’est beaucoup pour un pays déclaré isolé par nos médias et dont on voudrait détruire l’économie. Plus de 900 contrats ont été signés pour un montant équivalent à plus de 46 milliards de dollars US, nouveau record. À noter que la délégation US était la 7ème par ordre d’importance… ??? La guerre n’empêche donc pas les affaires…1

Le sommet Russie-Afrique des 27-28 juillet prochain s’annonce aussi un excellent cru. 49 pays africains ont déjà annoncés leur participation dont près de la moitié seront représentés par leur chef d’État ou leur premier ministre. La liste de participation n’est pas close.2

Ceux qui fantasment encore sur l’isolement de la Russie devraient commencer à se poser des questions. Plus la guerre dure et moins la Russie apparaît isolée… Eh, les médias mainstream, Challenge par exemple, rapportez nous les faits au lieu de traiter «d’agents de Poutine» ceux qui les rapportent !

Dominique Delawarde

 

 

Le nombre de pays participant au sommet des BRICS ne cesse de croître

 

 

Plus de 30 États ont exprimé leur volonté de participer au prochain sommet des BRICS qui pourrait ainsi devenir le plus représentatif de toute l’histoire de l’organisation, selon un média sud-africain.

Le sommet des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) se déroulera avec la participation de plus de 30 pays, rapporte l’hebdomadaire sud-africain City Press.

Selon le média, de nombreux pays ont exprimé leur intention de participer aux travaux du sommet.

Une opportunité pour l’économie sud-africaine

"Cela inclut les pays européens, arabes et africains qui souhaitent faire partie du sommet, car ils considèrent les BRICS comme le bloc à la croissance la plus rapide capable de défier l'Otan."

"[Le Président sud-africain Cyril] Ramaphosa était convaincu que le sommet serait un succès et a appelé la nation à offrir l'hospitalité nécessaire aux nombreux délégués qui arriveraient de diverses parties du continent et du monde", avance l’hebdomadaire.

La Russie représentée par Lavrov

Le sommet des BRICS aura lieu du 22 au 24 août à Johannesburg. Ses organisateurs attendent la présence non seulement des dirigeants du Brésil, d’Inde, de Chine et d’Afrique du Sud, mais aussi de Présidents et de chefs de gouvernement d’autres pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine.

Vladimir Poutine a décidé d’y participer en visioconférence. La Russie sera représentée par le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

Cyril Ramaphosa a invité les dirigeants de tous les pays africains. Les organisateurs attendent à Johannesburg les chefs d’État et de gouvernement de l’Association des nations d’Asie du Sud-Est (ASEAN), de la Communauté caribéenne et les membres du Groupe des 77.

Spoutnik

 
 

 

 

Incendie de l'ambassade de Suède et autodafé du Coran : Le gouvernement irakien rappelle son ambassadeur à Stockholm et menace de rompre ses relations avec la Suède

 

  • L'incendie a fait suite à l'autorisation par la Suède d'un autodafé du Coran.
    L'incendie a fait suite à l'autorisation par la Suède d'un autodafé du Coran. Pixabay (Illustration) - Erni Abdullah

Des centaines de manifestants ont pris d'assaut tôt ce jeudi 20 juillet au matin l'ambassade de Suède à Bagdad, en Irak, avant de l'incendier. Un rassemblement lors duquel un Coran doit être brûlé dans la journée a été autorisé à Stockholm.

L’Irak a annoncé ce jeudi 20 juillet au matin que le pays était prêt à "rompre ses relations avec la Suède en cas de nouvel autodafé du Coran". Le gouvernement irakien a par ailleurs demandé l'expulsion de l'ambassadrice suédoise et a rappelé l'ambassadeur irakien à Stockholm, comme l'indique France Info.

"Ce qui s'est passé est totalement inacceptable et le gouvernement condamne fermement ces attaques", a déclaré le ministre suédois des Affaires étrangères dans un communiqué. "Le gouvernement est en contact avec des hauts représentants irakiens pour leur faire part de sa consternation."

Des tensions diplomatiques fortes entre les deux pays découlent alors de l'incendie visant l'ambassade suédoise à Bagdad, ce jeudi 20 juillet au matin.

Mais le personnel de l'établissement est désormais en sécurité, selon Tobias Billstrom, qui a pointé du doigt la responsabilité des autorités irakiennes dans le manque de protection de l'édifice.

L'Irak condamne l'incident

Un appel à manifester avait été lancé par des partisans de Moktada al Sadr pour protester contre un nouvel autodafé du Coran en Suède, selon des messages publiés dans un groupe Telegram lié au puissant imam chiite. La police suédoise avait autorisé une manifestation devant l'ambassade d'Irak à Stockholm ce jeudi, lors duquel les organisateurs prévoient de brûler un Coran et un drapeau irakien.

Le ministère irakien des Affaires étrangères a également condamné l'incident et a annoncé que le gouvernement avait ordonné l'ouverture d'une enquête. Les forces de sécurités ont été déployées dans l'ambassade et les pompiers éteignaient ce jeudi 20 juillet à l'aube les dernières braises, selon des témoins de Reuters.

Les forces de l'ordre ont ensuite chargé quelques dizaines de manifestants qui se trouvaient encore à l'extérieur de l'ambassade pour tenter de les évacuer de la zone.

Il voulait interdire le Coran

Fin juin, un homme a déchiré et brûlé un exemplaire du Coran devant la Grande Mosquée de Stockholm à l'occasion d'une manifestation autorisée par la police. Cet homme s'est décrit dans un entretien accordé à la presse comme un réfugié irakien cherchant à interdire le Coran, le texte religieux sacré de l'islam.

Les gouvernements de plusieurs pays musulmans, dont l'Irak, la Turquie, les Émirats arabes unis, la Jordanie et le Maroc, ont protesté contre l'incident, l'Irak demandant l'extradition de l'homme pour qu'il soit jugé dans le pays.

Source

 

 

Marseille : Six policiers de la BAC placés en garde à vue, ils auraient réprimé trop violemment un émeutier. Ils sont sortis de l’IGPN sous les applaudissements de leurs collègues (MàJ)

Six policiers placés en garde à vue suite aux émeutes

Sept policiers de la brigade anticriminalité (BAC) sud et centre de Marseille, soupçonnés de violence en réunion en marge des émeutes survenues à Marseille après la mort de Nahel tué par un tir de policier à Nanterre le 27 juin, ont été placés en garde à vue mardi dans les locaux de l’IGPN.

Mercredi, six d’entre eux étaient toujours auditionnés dans d’autres commissariats de la ville où ils ont été transférés en deux temps. Au moins quatre d’entre eux devraient être déférés ce jeudi matin, indiquait hier soir BFM. Le septième officier avait été remis en liberté mardi après-midi.

Plusieurs heures de coma

Le mercredi 5 juillet, une information judiciaire du chef de « violences en réunion par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours » a été ouverte par le parquet de Marseille. Dans la nuit du 1er au 2 juillet, un jeune homme de 22 ans, dont le témoignage avait été mis en lumière par nos confrères de La Provence, assure avoir été victime de violences de la part de policiers. Ils sont soupçonnés de lui avoir tiré dessus avec un flash-ball, puis de l’avoir roué de coups, le laissant pour mort sur un trottoir. La victime, toujours hospitalisée, a été opérée d’un lourd traumatisme crânien après avoir été plongée plusieurs heures dans le coma après son agression.

www.lamarseillaise.fr

 

Le député LFI Jean-François Coulomme qualifie Jean Messiha de “néo-nazi” et les donateurs de la cagnotte de “suprémacistes, racistes et néo-nazis” (MàJ : Messiha porte plainte et invite les donateurs à faire de même)

 

 

 

 

« Levez-vous monsieur Hitler, levez-vous ! Il y a des personnes qui ont besoin d’être brûlées ! » journalistes de la chaîne arabophone publique France 24

Notes ; c'est de ces journalistes qu'il fait allusion

Vers une guerre de religion, infos du 20 juillet 2023 Vers une guerre de religion, infos du 20 juillet 2023

 

Remaniement : Pap Ndiaye mis à la porte, Gabriel Attal nouveau ministre de l’Éducation nationale

Gabriel Attal nommé ministre de l’Éducation nationale en remplacement de Pap Ndiaye

Gabriel Attal, actuellement ministre déléguée au Budget, remplace Pap Ndiaye à l’Éducation nationale, d’après des informations de BFMTV. (…)

BFMTV

 

 

 

Béziers (34) : Robert Ménard refuse de marier un migrant clandestin algérien, sous OQTF, déjà condamné pour vol, recel et agression (MàJ : expulsé par avion selon la fiancée)

 

20/07/2023

(…) “Ils ont trouvé mon passeport, ils m’ont amené à Marseille et ils m’ont mis dans l’avion”. Mélissa, la compagne de ce jeune Algérien (…)

France Bleu


18/07/2023

L’Algérien de 23 ans que le maire de Béziers Robert Ménard a refusé de marier avec une Française de 29 ans, a été placé ce lundi en centre de rétention administrative à Sète, dans l’Hérault, a appris BFMTV.

Cet homme fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Selon sa fiancée, contactée par BFMTV, il a rendez-vous ce mardi au consulat d’Algérie et mercredi devant la juge qui doit statuer sur l’exécution ou non de son expulsion vers l’Algérie. Toujours d’après sa compagne, l’OQTF devait prendre fin à la fin du mois d’août. (…)

BFMTV

(…) Eux évoquent leur histoire d’amour et la Convention des droits de l’Homme. L’élu pointe du doigt le scandale de devoir accueillir officiellement en mairie quelqu’un qui devrait être expulsé. (…)

Midi Libre

 

 

 

 

Royaume-Uni : tollé après la fermeture du compte bancaire de Nigel Farage, artisan du Brexit, en raison de… ses opinions politiques, son amitié pour Djokovic, son soutien à Trump et d’une blague sur les transgenres

L’europhobe britannique Nigel Farage, apôtre du Brexit, a affirmé que sa prestigieuse banque lui avait fermé ses comptes car les opinions de l’homme politique d’extrême-droite ne correspondraient pas à «ses valeurs», suscitant mercredi des réactions outrées jusqu’à Downing Street. (…)

Actuellement à la tête d’une émission de télé où il pourfend le «wokisme» et la supposée «cancel culture», il affirme que la banque a estimé que «des commentaires et des comportements qui ne collent pas avec les valeurs et les objectifs de la banque ont été démontrés» et que Nigel Farage est «vu comme xénophobe et raciste». (…)

Selon le tabloïd Mail Online qui a eu accès aux documents, la banque cite le partage par Nigel Farage d’une «blague» tweetée par l’humoriste Ricky Gervais sur les femmes transgenres, l’amitié de Nigel Farage avec le tennisman Novak Djokovic, opposé à la vaccination contre le Covid, le soutien exprimé de Nigel Farage pour Donald Trump ou encore sa critique des objectifs environnementaux du gouvernement britannique. (…)

« (…) Personne ne devrait être interdit d’utiliser des services de base en raison de ses vues politiques. La liberté d’expression est la pierre angulaire de notre démocratie», a affirmé le Premier ministre Rishi Sunak mercredi. (…)

Le Figaro

(…) Nigel Farage a demandé des excuses à la BBC après avoir signalé que son compte bancaire Coutts avait été fermé pour des raisons financières plutôt que politiques. (…)

The Telegraph

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