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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 18 juillet 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Poursuivre les exportations de céréales poserait « certains risques sécuritaires », met en garde le Kremlin…

 

L’ESSENTIEL

  • Moscou a une nouvelle fois provoqué l’indignation générale en refusant de poursuivre l’accord d’exportation de céréales ukrainiennes. Kiev a affiché sa volonté de continuer à exporter ses céréales par la mer Noire, avec ou sans l’accord de Moscou sur la sécurité des navires.
  • La Russie a promis une réponse à l’attaque du pont de Crimée réalisée par les forces navales et les services secrets ukrainiens à l’aide de « drones navals », qui a fait deux morts parmi les civils, selon les autorités du Kremlin.
  • Sur le front, l’armée ukrainienne décrit ces derniers jours des combats « intenses » entre ses unités engagées dans une contre-offensive et les soldats russes.

 

14h00 : Londres va dépenser près de 3 milliards d’euros pour renforcer ses stocks militaires

Le gouvernement britannique a annoncé mardi vouloir dépenser 2,5 milliards de livres (2,9 milliards d’euros) supplémentaires pour renforcer ses stocks militaires et ses réserves de munitions, en réaction à l’invasion russe de l’Ukraine.

Alors que les réserves occidentales de munitions ont été réduites par l’aide à Kiev, cet investissement est compris dans une actualisation de la stratégie militaire britannique qui « tire les leçons de la guerre en Ukraine et plus largement des menaces à notre sécurité », précise le gouvernement dans un communiqué.

 

13h41 : L’expiration de l’accord céréalier entraîne « le retrait des garanties de sécurité » en mer Noire

L’expiration de l’accord céréalier entraîne « le retrait des garanties de sécurité » pour l’exportation des céréales ukrainiennes en mer Noire, a indiqué mardi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, lors d’un échange téléphonique avec son homologue turc, Hakan Fidan.

« Concrètement, cela signifie le retrait des garanties de sécurité de la navigation et le rétablissement d’une zone temporairement dangereuse au nord-ouest de la mer Noire » ainsi que la « dissolution du Centre conjoint de coordination à Istanbul », a indiqué Sergueï Lavrov.

 

12h42 : La Russie dit avoir avancé d’un kilomètre et demi dans le nord-est de l’Ukraine

Le ministère russe de la Défense a affirmé mardi avoir avancé d’un kilomètre et demi lors d'« opérations offensives » près de Koupiansk, dans le nord-est de l’Ukraine, sur un front de deux kilomètres.

« Dans la zone de Koupiansk, les unités du groupement "Ouest" poursuivent avec succès des opérations offensives (…) L’avance totale a été jusqu’à deux kilomètres de front et jusqu’à un kilomètre et demi en profondeur », a indiqué le ministère dans un communiqué.

 

11h40 : Le Kremlin accuse Kiev d’utiliser le couloir destiné à l’exportation des céréales « à des fins militaires »

Le Kremlin a accusé mardi Kiev d’utiliser le couloir maritime destiné jusque-là à l’exportation des céréales ukrainiennes « à des fins militaires », quelques heures après le retrait russe d’un accord crucial pour l’alimentation mondiale.

« Ce n’est plus un secret pour personne, c’est un fait évident que cette zone est utilisée par le régime de Kiev à des fins militaires », a affirmé aux journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. « C’est un aspect très important qu’il ne faut pas oublier non plus », a-t-il ajouté.

 

11h40 : Le Kremlin met en garde contre des « risques » sécuritaires après le retrait russe de l’accord céréalier

Poursuivre les exportations de céréales ukrainiennes par la mer Noire, comme proposé par Kiev, poserait « certains risques » sécuritaires, a mis en garde le Kremlin mardi, après le refus de Moscou de prolonger l’accord international qui les autorisait.

« En l’absence de garanties de sécurité appropriées, certains risques se posent », a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, ajoutant que « si quelque chose doit être élaboré sans la Russie, ces risques doivent être pris en compte ».

 

11h17 : La Russie dit avoir détruit à Odessa les sites utilisés pour préparer l’attaque contre le pont de Crimée

Le ministère russe de la Défense a dit mardi avoir détruit à Odessa, dans le sud de l’Ukraine, les sites utilisés par Kiev pour préparer l’attaque de la veille contre l’important pont de Crimée, qui relie la Russie à la péninsule ukrainienne annexée.

« Dans la nuit, les forces armées russes ont lancé une frappe groupée de représailles (…) sur des installations où des actes terroristes contre la Russie étaient préparés en utilisant des drones navals », a indiqué le ministère dans un communiqué, ajoutant que « le lieu de leur fabrication dans un chantier naval près de la ville d’Odessa » a aussi été touché.

DIRECT

 

 

 

Pourquoi l’OTAN regroupe 300 000 soldats aux frontières avec la Russie ?

 
 

Les médias occidentaux ont révélé le plan de l’OTAN en cas de guerre avec la Russie. Celui-ci implique une augmentation de la taille des forces de réaction rapide de l’Alliance atlantique à 300 000 soldats, tout en plaçant sous la tutelle des alliés les plus forts le rôle de cette défense concernant des pays d’Europe de l’Est. À quoi, donc, ressemble exactement cette distribution et comment la Russie pourrait réagir face à la mise en œuvre de tels plans ?

Bild a révélé les détails du plan de l’OTAN en cas de conflit militaire avec la Russie. Le document, décrit par le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, comme «le plus grand plan de défense depuis la Guerre froide», contient plus de quatre mille pages. Il en ressort, en particulier, que le commandant en chef des forces de l’OTAN, l’amiral Rob Bauer, président du Comité militaire de l’OTAN, en Europe pourra prendre seul certaines décisions, sans consultations supplémentaires avec l’Alliance atlantique. 

De plus, certains pays de l’Alliance atlantique prendront en charge la protection des pays du flanc oriental. L’Allemagne sera responsable de la Lituanie, le Royaume-Uni de l’Estonie, le Canada de la Lettonie et les États-Unis de la Pologne. Dans le même temps, l’Allemagne apparaît dans le document comme la plaque tournante logistique la plus importante – pour cela, l’Alliance atlantique ouvrira le deuxième quartier général des forces terrestres de l’OTAN à Wiesbaden, en Allemagne (le premier est situé à Izmir en Türkiye). Deutschlandfunk rapportait le 10 juillet dernier que «​l’Australie a stationné des avions militaires et des soldats en Allemagne».

L’Alliance atlantique a également l’intention d’améliorer la protection des pipelines et d’autres infrastructures critiques ; de renforcer les unités équipées d’armes lourdes et de systèmes de défense aérienne, de constituer des stocks de missiles à longue portée et de systèmes d’artillerie. Les pays membres de l’OTAN ont réaffirmé leur engagement à porter leurs dépenses de défense à au moins 2% de leur PIB. 

Et surtout, le plan implique le déploiement de 300 000 soldats à un degré élevé de préparation (il y en a maintenant 40 000). Cette décision a été confirmée, il y a quelques jours lors du sommet de l’OTAN à Vilnius confirmant la décision prise au printemps. Le premier envoi est constitué de 100 000 soldats prêts à être envoyés dans les dix jours. L’envoi du deuxième groupe prendra jusqu’à 30 jours. 

Volatilité de la situation dans l’est de l’Europe

Les informations publiées par les médias allemands sur les résultats du sommet de l’OTAN à Vilnius témoignent du retour de l’Alliance atlantique aux schémas de la Guerre froide. De plus, à l’heure actuelle, 100 000 militaires américains sont déjà déployés en Europe, comme le rapporte Politico. Et, la Pologne et l’Allemagne ont annoncé à plusieurs reprises une augmentation du nombre de forces armées. De plus, les pays de l’OTAN poursuivent leur politique de militarisation et de formation d’une base militaire de choc en Europe de l’Est même s’ils la qualifient exclusivement de défensive. Puis, «Joe Biden autorise le rappel de 3000 réservistes au profit de l’opération Atlantic Resolve». «Atlantic Resolve (lancée en 2014) change donc de statut, ce qui en dit long sur la détermination de l’administration Biden et sur son analyse de la volatilité de la situation dans l’est de l’Europe», précise l’expert militaire de Ouest-France. «Une partie de ces spécialistes pourrait (aucune confirmation officielle US pour l’heure) rejoindre la Roumanie où va commencer la formation des personnels ukrainiens sur F-16 dans le cadre de la coalition de 11 pays annoncée lors du sommet de l’OTAN et menée par les Pays-Bas et le Danemark», rajoute le journaliste de Ouest-France. 

Ainsi, les pays occidentaux créent une grande armée en Pologne et dans les États baltes pour une éventuelle invasion de la Russie. Les pouvoirs du commandant en chef de l’OTAN sont étendus dans le même but – pour se préparer à une guerre future. Varsovie reçoit maintenant une énorme quantité d’armes offensives : MLRS HIMARS, Leopard 2. En outre, la brigade lituano-polono-ukrainienne passe à 25 000 personnes où un recrutement actif est déjà en cours. 

Selon des observateurs, «soit l’OTAN nous entraîne dans une longue guerre d’usure en Ukraine, soit une trêve sera conclue avec la Russie, que l’alliance utilisera pour l’encercler de toutes parts. Dans le même but, la situation dans le Caucase du Sud est en train de s’embraser, les pays occidentaux s’efforcent de créer un deuxième front contre la Russie». 

«Pour comprendre l’ampleur du déploiement du groupement de l’OTAN en Europe, il suffit de regarder la mobilisation partielle en Russie. Un peu plus de 300 000 personnes ont été enrôlées dans les troupes russes. C’était suffisant pour répondre aux besoins des forces armées russes en personnel sur un front de plus de mille kilomètres de long. Le nombre des futures forces de réaction rapide de l’OTAN sera supérieur à celui de l’armée du Royaume-Uni ou de France. Cet exemple est également indicatif», avertissent-ils.

Les troupes de l’Alliance atlantique peuvent être déployées en Finlande qui envisage de construire une base militaire sur son territoire. Il y a aussi la Roumanie et la Grèce où se trouvent déjà les forces armées de l’OTAN. 

Les observateurs notent que la Russie répond déjà à ces menaces en créant des districts militaires, formant de nouvelles subdivisions. Et, le recrutement actif pour le service contractuel est en cours. L’armée russe aide également à la défense de la Biélorussie en y installant une défense aérienne, comme des armes nucléaires tactiques. Toutes ces actions sont liées à la préparation d’une éventuelle agression de l’OTAN.

source : Observateur Continental

 

 

 

L'ingénierie inverse en action : la Russie découvre le point faible d'HIMARS

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 18 juillet 2023

Le président Poutine a indiqué que la Russie n'exclurait pas la rétro-ingénierie d'équipements militaires occidentaux sophistiqués capturés par les forces russes en Ukraine. La Russie a déjà accumulé pas mal de succès dans ce domaine, déclare Anatoliy Matviychuk, officier du renseignement militaire russe à la retraite.

"L'ennemi produit également des équipements modernes. Et s'il y a une opportunité de regarder à l'intérieur et de voir s'il y a quelque chose que nous pouvons utiliser, eh bien, pourquoi pas?" Poutine a déclaré dimanche dans une interview aux médias russes.

Les États-Unis et leurs alliés ont déversé plus de 94,5 milliards de dollars d'équipements militaires en Ukraine au cours des 18 derniers mois, vidant leurs propres armureries pour tout envoyer, des dernières modifications des chars Leopard 2 et des véhicules de combat d'infanterie Bradley aux lance-roquettes de précision HIMARS, Storm Shadow des missiles de croisière, des systèmes de défense aérienne Patriot et NASAMS et des obusiers Caesar .

populaire du Donbass ont commencé à capturer cet la milice de troupes de l'armée russe et les miliciens mesure que le conflit progressait, les équipement fur et à Au . Plus tôt ce mois-ci, les troupes russes ont mis la main sur un missile Storm Shadow intact, le démontant et l'emmenant dans un camion vers une zone arrière pour une analyse plus approfondie.

"Tout équipement de trophée que nous capturons sur le champ de bataille est précieux en termes de caractéristiques de conception, de certaines solutions de conception pour certains de ses composants", a déclaré à Sputnik Anatoliy Matviychuk, officier du renseignement militaire à la retraite et analyste militaire.

« Prenons par exemple le char Leopard, qui nous intéresse par les composants de son blindage, et le système de conduite de tir de son canon de char. Le Bradley IFV est également intéressant, en termes de projectiles utilisés par son canon de 25 mm », a déclaré le colonel à la retraite, dont le dossier militaire comprend le service dans le groupe de forces soviétiques en Allemagne de l'Est, en Afghanistan et en Syrie.

"Tous les équipements que nous capturons sont soigneusement étudiés par nos ingénieurs militaires. Nous les comparons à nos propres équipements et faisons immédiatement des recommandations méthodologiques sur les moyens de combattre ces équipements sur le champ de bataille. Et, à l'avenir, il est possible que certains éléments puissent même être introduit dans notre propre équipement », a expliqué Matviychuk.

Succès de la rétro-ingénierie

Matviychuk dit qu'il existe de nombreuses preuves montrant que les forces russes profitent déjà de l'analyse des équipements de l'OTAN capturés, en particulier dans le domaine des missiles.

"Les HIMARS que nous avons capturés étaient autrefois capables d'échapper assez bien à nos systèmes de défense aérienne Pantsir. Plus maintenant. Nous avons trouvé leur point faible, trouvé les fréquences de leur système de contrôle, et nos systèmes de défense aérienne les détruisent maintenant superbement. Quant à la tempête Missile fantôme que nous avons capturé, nous voyons également maintenant dans les rapports du ministère de la Défense que près de 90 % de ces missiles sont tirés du ciel par nos systèmes de défense aérienne », a déclaré l'observateur.

Les troupes de défense aérienne russes sur le terrain ont confirmé en janvier que leurs plates-formes Pantsir avaient été équipées d'un nouvel imageur thermique et d'une mise à jour logicielle pour augmenter considérablement le taux d'interception des roquettes HIMARS.

La semaine dernière, un cadre supérieur du géant russe de la technologie Rostec a déclaré que l'efficacité des systèmes de missiles/armes à feu Pantsir améliorés avait atteint "100%" contre les roquettes HIMARS sur le champ de bataille dans certains cas.

"Toute arme est modernisée et améliorée en fonction des résultats de son emploi au combat. Il s'agit d'un processus continu. Par exemple, après que l'ennemi a reçu plusieurs systèmes de lance-roquettes HIMARS, les spécialistes de High Precision Systems ont amélioré le Pantsir pour intercepter ces roquettes. Aujourd'hui, nous voir des exemples de frappes HIMARS contrées avec succès par notre système de missile/canon sol-air. Il y a des précédents où les 12 roquettes lancées depuis un MLRS américain ont été abattues », a déclaré le responsable.

Maintenant, le problème est d'obtenir suffisamment de systèmes de défense aérienne améliorés sur la ligne de front de 1 000 km, étant donné la tendance des forces ukrainiennes à utiliser leur équipement fourni par l'Occident pour attaquer non seulement les forces russes, mais aussi pour cibler délibérément des zones civiles, en particulier dans le Donbass.

Spoutnik

 

 

Medvedev réagit à l’attaque terroriste sur le pont de Crimée

 

Les sanctions, les exhortations et l’intimidation ne fonctionnent pas dans le cas des terroristes, et «seul le langage de la force», «des méthodes personnelles et totalement inhumaines» doivent être utilisées pour les combattre, a déclaré le vice-président du Conseil de sécurité, Dmitri Medvedev.

«L’expérience du monde et la nôtre montrent que les terroristes ne peuvent être combattus par des sanctions internationales, l’intimidation ou l’exhortation. Ils ne comprennent que le langage de la force», a écrit M. Medvedev sur son canal Telegram.

Selon lui, la clé de la lutte contre les terroristes est «la destruction des hauts responsables des formations terroristes», où qu’ils se cachent.

«C’est pourquoi il est nécessaire de faire exploser leurs propres maisons et celles de leurs proches. Rechercher et liquider leurs complices, en abandonnant l’idée fade de les juger. Mais l’essentiel est de détruire les hauts responsables des formations terroristes, quel que soit l’endroit où ces insectes se cachent. C’est difficile mais possible», a déclaré le vice-président du Conseil de sécurité.

source : News Front

 

Guerre en Ukraine : L’échec de la contre-offensive et le rôle trouble de la CIA

 

«Il y a une petite inquiétude sourde qui commence à poindre : où est-ce que ça va s’arrêter ? Comment ? Sur quoi on peut négocier ? Ce sommet de l’OTAN ne nous apporte pour l’instant aucune réponse».

source : Ligne Droite

 

 

Caroline Galactéros : «Poutine n’est pas un autocrate, un dictateur, ni un fou dangereux»

 
 

Caroline Galactéros, géopolitologue, spécialiste affaires diplomatiques et géostratégiques, Présidente de Géopragma et Docteur en sciences politiques, est l’invitée d’Eric Morillot.

 

 

L'Iran se réserve le droit de "mesures dissuasives" alors que les États-Unis envoient des F-16 dans son arrière-cour

 

 

Le Pentagone a renforcé sa garnison du Moyen-Orient avec des avions de chasse F-16 au cours du week-end, soi-disant pour « dissuader » l'Iran de saisir d'autres pétroliers. La République islamique affirme que ses saisies de navires sont liées à des activités de contrebande illégales et à des tentatives de navires étrangers de fuir les lieux d'accidents impliquant des navires de pêche iraniens.
Le déploiement de moyens militaires américains supplémentaires dans le golfe Persique menace de déstabiliser la région, et l'Iran a le droit de prendre des "mesures dissuasives" pour réagir en conséquence, a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Nasser Kanaani.

"Compte tenu du contrôle et des capacités de ses forces armées en matière de navigation et de sécurité aérienne dans la région du golfe Persique, l'Iran se réserve le droit de prendre les dispositions dissuasives nécessaires conformément aux règles et règlements du droit international, et exercera ses droits inaliénables Kanaani en conséquence », a déclaré lors d'une conférence de presse lundi.

Les actions "déstabilisatrices et provocatrices" de Washington "pourraient créer de nouvelles sensibilités dans la région dans la sphère stratégique du golfe Persique et attiser l'insécurité et l'instabilité", a déclaré le porte-parole.

"L'Iran surveille avec sensibilité et précision tout acte illégal et non constructif qui affecte la sécurité de la région, et il accordera une attention particulière à tout mouvement provocateur et illégal, en particulier près de ses frontières", a souligné Kanaani.

La République islamique possède l'une des armées les plus puissantes du Moyen-Orient et a prouvé à maintes reprises qu'elle est prête à l'utiliser pour défendre les intérêts de la nation, y compris même contre les États-Unis. En juin 2019, les forces de défense aérienne iraniennes ont abattu un drone espion américain de 220 millions de dollars après avoir violé l'espace aérien iranien au-dessus du détroit d'Ormuz. En janvier 2020, après que Washington a lancé une frappe d'assassinat non provoquée contre Qasem Soleimani , le commandant de la force Qods du CGRI, l'Iran a bombardé deux bases américaines en Irak avec une douzaine de missiles balistiques, laissant plus de 100 soldats américains avec des lésions cérébrales traumatiques.

À ces deux occasions, Téhéran a également pris des mesures pour éviter des pertes de vie inutiles et une nouvelle escalade, épargnant un avion espion américain volant près du drone détruit lors de l'incident de 2019, et donnant à l'Irak un délai d'avertissement suffisant avant les frappes de janvier 2020, avec le probable sachant que Bagdad transférerait l'avertissement à Washington.

Déploiement de F-16

Les États-Unis ont déployé un nombre inconnu d'avions de combat F-16 dans le golfe Persique au cours du week-end, un haut responsable militaire américain anonyme suggérant que la "visibilité" accrue du Pentagone dans la région servirait de "dissuasion" pour empêcher l'Iran de saisir tout plus de navires commerciaux. Le responsable a également souligné les tensions croissantes entre les forces d'occupation américaines dans le nord-est de la Syrie et les militaires russes, syriens et iraniens, citant notamment "l'agression russe" dans le ciel de la République arabe.

Dimanche, l'armée russe a signalé une douzaine de violations américaines d'un accord de déconfliction de 2019 par la coalition antiterroriste dirigée par les États-Unis en l'espace de 24 heures, y compris des violations de l'espace aérien syrien par deux avions de combat F-16 et un avion de reconnaissance MC-12W. avions dans la zone d'at-Tanf le long des routes aériennes commerciales internationales.

Les États-Unis ont mis en place une garnison illégale à at-Tanf en 2016 et l'ont transformée en une base d'entraînement majeure où Damas, Moscou et Téhéran allèguent que les militants djihadistes reçoivent une formation pour les opérations contre le gouvernement syrien.

Spoutnik

 

Note; cette région du monde est une vraie poudrière, si l'Amérique tente de mettre encore le désordre, cette fois l'Iran et la Russie s'attaquerons à Israël, et l'apocalypse commencera

 

 

 

 

La nouvelle loi britannique sur l’immigration, qui prévoit d’empêcher les migrants arrivés au Royaume-Uni de manière illégale de demander l’asile dans le pays, est contraire au droit international, a dénoncé l’ONU (Màj)

18/07/23


08/03/23


Selon le projet de loi présenté mardi, les arrivants seront détenus puis renvoyés soit vers leur pays d’origine, soit vers un pays tiers. « Une violation claire de la convention de l’ONU sur les réfugiés », dénonce le HCR.

Le projet de loi contre l’immigration illégale présenté mardi 7 mars n’est pas la première tentative d’un gouvernement conservateur britannique de stopper le phénomène des canots pneumatiques de migrants qui traversent la Manche, mais il est probablement la tentative la plus controversée à ce jour. La ministre de l’intérieur, Suella Braverman, a introduit à la Chambre des communes ce nouveau texte, qui permet de refuser à toute personne arrivée sur les côtes du Kent en bateau pneumatique le droit de demander l’asile au Royaume-Uni – le ministère a comptabilisé 45 000 passages via ces frêles embarcations en 2022. Le texte soulève de nombreuses questions morales, légales et pratiques.

A la seule exception des mineurs et des personnes très malades, les arrivants seront détenus puis renvoyés soit vers leur pays d’origine s’il est « sûr » soit vers un pays tiers également jugé « sûr » par Londres, comme le Rwanda, avec lequel le Royaume-Uni a signé un accord déjà très contesté de sous-traitance de ses demandes d’asile en 2022. Les tentatives d’invoquer des lois protectrices – loi britannique « anti-esclavage moderne » par exemple – ne seront examinées qu’une fois la personne expulsée.

« Il est injuste que des gens qui ont traversé toute une série de pays sûrs, puis sont arrivés illégalement au Royaume-Uni, abusent de notre système d’asile. Cela doit cesser », a jugé Suella Braverman, qui, bien qu’elle soit fille d’immigrants d’origine indienne, s’est fait l’avocate d’une politique anti-migrants assumée et est régulièrement critiquée par les travaillistes et les ONG pour sa rhétorique provocante – elle avait qualifié d’« invasion » les arrivées de canots pneumatiques en 2022.

[…]

 

Le Monde


05/03/23

Le gouvernement britannique souhaite rendre irrecevables les demandes d’asile des migrants qui ont traversé la Manche illégalement pour rejoindre le Royaume-Uni.

Le gouvernement britannique veut empêcher les migrants qui ont traversé la Manche d’effectuer une demande d’asile au Royaume-Uni. A cet effet, le Premier ministre Rishi Sunak et la ministre de l’Intérieur, Suella Braverman, présenteront la semaine prochaine leur plan pour rendre irrecevables les demandes d’asile des migrants traversant la Manche illégalement pour rejoindre le Royaume-Uni. Ces derniers ne pourront plus déposer de demande d’asile et une fois expulsés, ils seront interdits de séjour outre-Manche, rapporte le Daily Mail ce samedi 4 mars.

Le Gouvernement conservateur a fait de la question de l’immigration une priorité depuis le Brexit et dit vouloir réduire fortement le nombre de migrants que le pays prend en charge. En octobre dernier, Suella Braverman avait affirmé qu’il y avait « trop de demandeurs d’asile qui abusent du système » et qui ne servent pas « les besoins de l’économie ».

Suella Braverman a confirmé que les autorités britanniques expulseront « dès que possible » tous les migrants arrivés au Royaume-Uni par la Manche. Ils seront transférés au Rwanda ou dans un autre « pays tiers sûr ».

(…) Valeurs


04/10/22

BIRMINGHAM, Angleterre (Reuters) – La ministre britannique de l’Intérieur, Suella Braverman, va proposer mardi de durcir la législation pour interdire aux migrants qui traversent illégalement la Manche de demander l’asile au Royaume-Uni et faciliter leur expulsion, a-t-on appris de source gouvernementale.

La secrétaire au Home Office va faire ces propositions lors de la conférence annuelle du Parti conservateur, alors que la Première ministre Liz Truss est sous pression pour répondre à l’augmentation du nombre de personnes qui traversent la Manche, malgré l’accord conclu par le gouvernement de Boris Johnson avec le Rwanda pour les expulser.

Plus de 30.000 migrants ont rallié les côtes britanniques depuis le début de l’année, soit davantage qu’en 2021 qui avait pourtant été une année record.

Suella Braverman, née de parents d’origine indienne arrivés au Royaume-Uni du Kenya et de l’île Maurice dans les années 1960, va souligner devant les délégués conservateurs que le Royaume-Uni “continuera de tendre une main amicale à ceux qui en ont vraiment besoin”, selon des extraits de son discours.

“Une partie du système (d’asile) ne fonctionne pas”, va-t-elle cependant ajouter. “Nous devons mettre fin aux abus et réduire le nombre (de migrants) qui ne répondent pas aux besoins de notre économie.”

La ministre de l’Intérieur va demander au Parlement de lui octroyer pour cela de nouveaux pouvoirs, qui reviendront à interdire à quiconque entre illégalement au Royaume-Uni de demander à y bénéficier du statut de réfugié, a dit la source gouvernementale.

(…) Boursier.com

 

Note : le droit international, les droits de l'homme, les valeurs "religieuse" de l'Europe communistes ! Et, je dois encore poster cet article, pour les nouveaux arrivé sur mon blog comprennent

Vers une guerre de religion, infos du 18 juillet 2023 Vers une guerre de religion, infos du 18 juillet 2023

 

Mandelieu-La-Napoule (06) : le Conseil d’Etat a suspendu l’arrêté interdisant le port du burkini sur les plages, contesté en justice par la Ligue des droits de l’Homme (Màj)

17/07/2023

Le Conseil d’Etat a suspendu lundi l’arrêté de Mandelieu-La Napoule interdisant le port du burkini sur les plages, contesté en justice par la Ligue des droits de l’Homme (LDH).

“En application d’une jurisprudence constante”, l’interdiction “de l’accès aux plages aux personnes portant une tenue manifestant de manière ostensible une appartenance religieuse, telle que le burkini” se doit d’“être justifiée par un risque actuel et avéré pour l’ordre public”, a déclaré la plus haute juridiction administrative dans un communiqué.

Après avoir suspendu à l’été 2016 plusieurs arrêtés anti-burkini, le Conseil d’Etat examinait le référé de la LDH contre un arrêté similaire de la commune de Mandelieu-la-Napoule (Alpes-Maritimes).

Renouvelé chaque année depuis 2012, cet arrêté interdisait l’accès à la baignade du 15 juin au 31 août 2023, “à toute personne ayant une tenue non respectueuse des règles de l’hygiène et de sécurité des baignades adaptées au domaine public maritime, à toute personne dont la tenue est susceptible d’entraver ses mouvements lors de la baignade et de compliquer les opérations de sauvetage en cas de noyade et à toute personne dont la tenue est susceptible d’entraîner, à l’instar des années 2012 et 2016, des troubles à l’ordre public, voire des affrontements violents”.

Le Conseil d’Etat a estimé que cette interdiction portait atteinte à “la liberté d’aller et venir, la liberté de conscience et la liberté personnelle”. Il constate que pour justifier d’un trouble à l’ordre public durant l’été 2023, “la commune ne mentionne aucun incident récent” et ne rappelle que des faits survenus “il y a respectivement 7 et 11 ans et le contexte général de menace terroriste” après les attentats de Nice en 2016 et 2020.

[…]

 

Nice-Matin


07/07/2023

L’arrêté de la mairie de Mandelieu-La-Napoule interdisant l’accès à ses plages et à la baignade aux « personnes ayant une tenue non respectueuse des règles d’hygiène et de sécurité pouvant entraver des troubles à l’ordre public » avait été attaqué en justice par la Ligue des droits de l’homme. Le tribunal administratif de Nice a rejeté ce recours, estimant que le texte ne portait « une atteinte grave et manifestement illégale à aucune liberté fondamentale ».

Le juge des référés a conclu que l’arrêté se justifiait pour « prévenir à la survenance de troubles à l’ordre public » dans « le contexte actuel de cohabitation particulièrement tendue interreligieuse et intercommunautaire ».

La polémique avait éclaté en 2016. Plusieurs communes avaient vu leur arrêtés anti-burkini attaqués en justice. Ça n’avait pas encore été le cas de la mairie de Mandelieu-La-Napoule (Alpes-Maritimes), qui interdit, depuis 2012, l’accès à ses plages et à la baignade aux « personnes ayant une tenue non respectueuse des règles d’hygiène et de sécurité pouvant entraver des troubles à l’ordre public ».

Le texte, reconduit le 7 juin pour la douxième année consécutive et pour une application du 15 juin au 31 août, a fait l’objet pour la première fois d’un recours de la Ligue des droits de l’homme (LDH). La LDH estimait que les libertés « de manifester ses convictions religieuses », « d’aller et venir » et « de se vêtir dans l’espace public » étaient entravées par le texte signé par le maire LR de Mandelieu, Sébastien Leroy. Le juge des référés du tribunal administratif de Nice a conclu de son côté que l’arrêté se justifiait pour « prévenir à la survenance de troubles à l’ordre public » dans « le contexte actuel de cohabitation particulièrement tendue interreligieuse et intercommunautaire ».

20 minutes

 

 

Lorient : Ouest France dénonce le recrutement d’un jeune saisonnier à la police municipale pour son militantantisme à Reconquête et à la Cocarde. Le maire “embarrassé” promet “très certainement à l’avenir de googliser les candidats”

La police municipale de Lorient ne fait pas exception. Pour garantir des effectifs suffisants pendant l’été, la Ville fait appel au renfort de saisonniers, y compris pour des postes d’agents de surveillance de la voie publique (ASVP). En l’espèce, deux jeunes sont sous contrat, jusqu’à fin août.

Si le principe d’un tel recrutement pour assurer cette mission aux côtés des agents titulaires est habituel, le profil de l’un d’entre eux interpelle. Un jeune homme, adhérent de la Cocarde, un syndicat étudiant d’une droite radicale, et militant déclaré de Zemmour, membre du bureau départemental du Morbihan de Reconquête, a été recruté par les services de la ville pour endosser l’uniforme. (…)

Même si ce recrutement ne pose pas de problème légalement, il embarrasse la mairie. « Le service des ressources humaines de la Ville a procédé à ces recrutements (vers fin mai, début juin) sur la base du CV et des compétences (le chef de la police municipale est normalement associé à la sélection). Sans avoir googlisé les candidats », détaille à Ouest-France Fabrice Loher, le maire, qui reconnaît « qu’on le fera très certainement à l’avenir ».

L’élu assure que dès qu’il a eu connaissance du militantisme de la jeune recrue, ce dernier « a été convoqué », vers mi-juin. « On lui a rappelé qu’il était astreint à un devoir de réserve. Et qu’il ne pouvait pas engager l’image de la Ville. Je comprends le malaise que ça crée, mais si je mets fin à son contrat, alors je commence à me mêler des appartenances politiques des employés municipaux : c’est impossible », se justifie le maire.

Ouest France

 

Note :  la dictature gauchiste continue (c'est justement ce que j'expliquerai hier sur Twitter)

 

 

 

État de Manipur (Inde) : guerre civile entre chrétiens et hindous, plus de 250 églises brûlées et 130 morts ; le parlement européen demande aux autorités d’établir « un dialogue inclusif » avec les communautés

Les affrontements entre deux ethnies ont causé la mort de 130 personnes. Le Parlement européen a appelé jeudi dernier le gouvernement indien à établir « un dialogue inclusif avec les communautés affectées ».

Quelque 36.000 soldats déployés, 74 jours de violences, 60.000 réfugiés, 130 morts, plus de 250 églises détruites… L’État de Manipur, frontalier de la Birmanie, est en proie à des désordres auxquels personne ne trouve de solutions. Des observateurs commencent à parler de guerre civile entre les Kukis, majoritairement chrétiens, et les Meiteis, hindous pour la plupart (…)

« Des groupes armés meiteis attaquent des villages kukis pour les brûler. Du coup, la population se défend », explique Golan Naulak, un habitant de Lamka, au sud-ouest de Manipur. Membre de l’ethnie kuki-zomie, il ajoute: « Le calme règne dans le reste de Manipur. Mais on sent un climat de guerre. Internet est coupé. » Si les écoles ont rouvert début juillet, Manipur reste interdit aux journalistes étrangers (…)

Le Figaro

NdeFDS – Juin 2023 | Un mois après que les violences ont éclaté au Manipur entre la tribu Kuki et la communauté Meitei, il semble que les violences entre les deux groupes ne s’arrêtent pas. Les victimes de la violence continuent d’être dans une situation désespérée. (…)

De nombreux chrétiens du groupe majoritaire hindou Meitei sont contraints de se reconvertir à l’hindouisme. (…)

Open Doors UK

 

 

Royaume-Uni : un milliardaire musulman va transformer une partie d’un bâtiment emblématique de Londres en un centre islamique de trois étages

Une grande mosquée financée par un milliardaire musulman devrait être construite à l’intérieur du complexe de divertissement du Trocadéro, au centre du West End de Londres.

Asif Aziz, 56 ans, entrepreneur milliardaire basé à Londres et fondateur et directeur général de la société immobilière Criterion Capital, supervisera la construction d’un centre islamique de trois étages entre Soho et Piccadilly Circus, a rapporté le Daily Mail.

Il occupera l’espace qui appartenait auparavant à un cinéma Metro, fermé en 2006, au sein du Trocadéro, racheté en mai 2005 par M. Aziz.

La nouvelle maison de prière devrait avoir une capacité de 390 fidèles.

Les offres précédentes de construction d’une mosquée d’une capacité de 1 000 personnes ont été retirées en 2020 à la suite de plaintes de résidents et d’une réaction violente de groupes d’extrême droite. (…)

The Telegraph

Ils disent que la mosquée servira les musulmans qui travaillent dans la région, ainsi que ceux qui visitent Londres en tant que touristes. (…)

The Scottish Sun

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