Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a promis d'imposer des sanctions "dures" en réponse à la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi à Taiwan de
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Les Infos du 3 aout 2022
Tensions en Asie : Nancy Pelosi a quitté Taïwan
Moins de 24 heures après y avoir atterri, Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des Représentants américaine, a décollé de Taïwan ce mercredi aux alentours de midi.
Une visite express qui n'est pas passée inaperçue. Après y avoir atterri ce mardi, Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des Représentants américaine, a quitté Taïwan ce mercredi midi, rapporte BFM TV.
La venue de la présidente de la Chambre des représentants américaine sur le sol taïwanais n'a pas été du goût de la Chine. Cette dernière, qui s’insurge contre tout acte considéré comme une reconnaissance officielle de Taïwan, n'a pas tardé à réagir. "Ceux qui offensent la Chine devront être punis, de façon inéluctable", a ainsi averti, ce mercredi, le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, selon des propos rapportés par France Info.
La Chine a ainsi déployé une série de sanctions commerciales contre Taïwan mais également annoncé des exercices militaires tout autour de l'île. Des chars chinois se sont, par exemple, installés sur des plages de la province du Fujian, sous le regard de touristes, rapporte Le Monde.
"Certaines des manœuvres de la Chine empiètent sur les eaux territoriales de Taïwan", a indiqué le porte-parole du ministère taïwanais de la Défense, Sun Li-fang. "Il s'agit d'un acte irrationnel visant à défier l'ordre international."
Cette visite est la première sur l'île d'un responsable américain d'un rang aussi élevé depuis 25 ans, et a été dénoncée par la Chine,.
Alors que Pékin, qui considère l'île comme une province renégate, n'exclut pas de recourir à la force pour la ramener dans le giron chinois, les Etats-Unis avaient mis en garde la Chine contre l'éventualité de prétexter cette visite pour lancer une opération militaire contre Taïwan.
Washington n'a pas de relations diplomatiques officielles avec Taipei mais, par la loi, est contraint de fournir à Taiwan les moyens de se défendre. Outre ces manœuvres militaires, les autorités chinoises ont également décrété de nouvelles sanctions commerciales contre Taïwan, avec une suspension des importations d'agrumes et de certains poissons en provenance de Taïwan, et une interdiction des exportations de sable naturel vers l'île.
Ce regain de tensions dans la région a conduit l'Union européenne (UE), qui soutient la doctrine "une seule Chine" de Pékin tout en revendiquant "une relation amicale et une coopération étroite avec Taïwan", à appeler au dialogue. "Nous encourageons une résolution pacifique des problématiques autour du détroit de Taïwan. Les tensions doivent être apaisées par le dialogue et les canaux de communication appropriés doivent être maintenus pour réduire le risque de malentendus", a déclaré mercredi un porte-parole des Vingt-Sept.
A Moscou, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a jugé qu'il ne fallait pas "sous-estimer" les tensions déclenchées par la visite de l'élue américaine à Taïwan, qualifiée de "provocation". Nancy Pelosi, qui s'est rendue à Singapour et en Malaisie avant son étape taïwanaise, va poursuivre sa tournée en Asie, avec des déplacements prévus en Corée du Sud et au Japon.
Note: la vidéo affirme que les américains sont pour 1 seul Chine ! Mais ils vendent des armes a Taïwan, pour qu’elle défende son indépendance !
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Les américains avaient aussi promis de pas étendre l'Otan au pays de l'ex URSS ! Et on en a vus le résulta en Ukraine ! Il mentent, manipulent et tous cela dans une arrogance inégalable
Joe Biden nous prépare une guerre mondiale, et les journalistes ne comprennent rien, pire en en son complice
« Ceux qui offensent la Chine seront punis » : Pékin promet des sanctions pour la visite de Pelosi à Taïwan
Pékin a averti à plusieurs reprises que le voyage de la présidente de la Chambre des États-Unis, Nancy Pelosi, à Taïwan enfreindrait le principe d'une seule Chine et mettrait en péril les relations bilatérales entre les États-Unis et la Chine.
"C'est une farce complète. Les États-Unis violent la souveraineté de la Chine sous couvert de soi-disant « démocratie » […]. Ceux qui offensent la Chine seront punis », a déclaré Wang en marge d'un rassemblement de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN) à Phnom Penh mardi.
Wang a également déclaré que la réunification complète de la Chine avec Taïwan est « une tendance générale et une inévitabilité historique ».
En outre, le haut diplomate chinois a averti que Pékin "ne laissera aucune place à l'action des forces indépendantistes pro-Taïwan ni à l'ingérence de forces extérieures".
Wang a également fait valoir que les tentatives d'utiliser Taïwan pour contenir le développement de la Chine sont vouées à l'échec, ajoutant : "Les États-Unis ne devraient pas se faire d'illusions sur le fait de saper le développement et la relance de la Chine".
Il s'est exprimé alors que Ma Xiaoguang, porte-parole du Bureau des affaires taïwanaises du Conseil d'État chinois, a déclaré mercredi que les États-Unis et le Parti démocrate progressiste au pouvoir à Taïwan sont devenus les auteurs du conflit et "les destructeurs de la paix et de la stabilité" à Taïwan. Détroit.
"La direction du Parti démocrate progressiste, s'appuyant sur un soutien extérieur, a volontairement pris le rôle de pion et multiplié les provocations dans la quête de l'indépendance. Les États-Unis ont intensifié leurs efforts pour essayer de jouer la carte de Taiwan, ont continuellement alimenté le feu, faisant des plans pour contenir la Chine à travers Taïwan », a souligné Ma.
Il a ajouté que "Peu importe les astuces qu'ils [Washington et Taipei] utilisent, comment ils embellissent, ils ne pourront pas se blanchir […]".
Ces remarques interviennent après que Pelosi a rencontré la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen à Taipei, soulignant que le but de son voyage sur l'île était de "dire sans équivoque que nous [les États-Unis] n'abandonnerons pas notre engagement envers Taïwan".
« La solidarité américaine avec Taiwan est cruciale ; c'est le message que nous apportons ici, aujourd'hui », a-t-elle souligné.
Pelosi est arrivée à Taïwan mardi dans le cadre de la tournée d'une délégation du Congrès dans la région indo-pacifique , rejetant les avertissements privés de l'administration Biden sur le risque que sa visite diplomatique de haut niveau pourrait entraîner et suscitant une réponse nette du gouvernement chinois.
En particulier, Pékin a commencé des exercices militaires dans les eaux du nord, du sud-ouest et du sud-est au large de Taiwan.
Note ; la Chine a ici perdu de sa crédibilité, malgré ces menaces, elle n'a pas réagi et c'est fait ridiculisé par une vielle peaux 82 ans !
Nancy Pelosi à Taïwan : dans une période risquée pour Xi Jinping, Pékin montre les muscles
Peu après l'arrivée de la présidente de la Chambre américaine des représentants, Nancy Pelosi, à Taïwan, mardi, les autorités chinoises ont lancé des "actions militaires ciblées" et des manœuvres inédites autour de l'île. "Des menaces d'une rare intensité", note le chercheur Jean-François Di Meglio, qui révèlent, selon lui, un sentiment d'insécurité de Pékin à la veille du Congrès du Parti communiste.
À peine Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre américaine des représentants avait-elle posé un pied sur le tarmac de l'aéroport de Taïwan, à Taipei, mardi 2 août, que Pékin laissait éclater sa colère. Pour cause, en 25 ans, jamais une élue américaine aussi haut placée ne s'était rendue dans l'archipel. Un affront clair, pour les autorités chinoises, qui s'insurgent contre tout geste qui signifierait une reconnaissance officielle de Taïwan comme territoire indépendant.
Le soir même, Pékin annonçait ainsi des mesures de représailles d'une intensité inédite, avec des exercices militaires autour de l'île et de sévères sanctions économiques. "Il n'arrivera rien de bon à ceux qui jouent avec le feu. Ceux qui offensent la Chine devront être punis, de façon inéluctable", a insisté, mercredi, le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi. Peu après, sa porte-parole, Hua Chunying, évoquait des "mesures de rétorsion" : "Il y aura tout le nécessaire. Ces mesures seront fermes, énergiques et efficaces. La partie américaine et les partisans de l'indépendance de Taïwan vont les sentir sur la durée", a-t-elle assuré.
Une période de tensions exacerbées
Depuis plusieurs années, l'exaspération monte à Pékin devant le rapprochement à l'œuvre entre Washington et Taipei. La Chine estime ainsi que les États-Unis ne respectent plus ce qu'elle considère comme un principe fondamental des relations bilatérales, la politique "d'une seule Chine". Elle dénonce aussi des ventes d'armes américaines à Taipei et des visites officielles de plus en plus fréquentes à Taïwan de représentants politiques étrangers.
"Or, depuis janvier 2020, nous sommes dans une période de tensions exacerbées dans le détroit de Taïwan avec des manœuvres militaires chinoises de plus en plus fréquentes", rappelle sur France 24 Stéphane Corcuff, chercheur au centre français sur la Chine contemporaine à Taipei. "Et, face à cela, Taïwan est d'autant plus à la recherche constante de signes de soutien de la part des États-Unis. Avec la venue de Nancy Pelosi, ce soutien est implicitement réitéré."
>> À Taïwan, "plus la capacité militaire de la Chine augmente, plus le risque d'invasion grandit"
Détourner le regard des problèmes économiques
Selon Jean-François Di Meglio, président du think thank Asia Centre, cette réponse agressive de la Chine révèle un sentiment d'insécurité de la part de Pékin. "Nous sommes à un moment important. Nous approchons du XXe Congrès du Parti communiste chinois et les dirigeants ont besoin d'affirmer qu'ils sont toujours aux commandes dans une période où l'économie est en berne du fait de la pandémie de Covid-19", explique-t-il. Organisé cet automne, le XXe Congrès du Parti communiste devrait confirmer Xi Jinping pour un troisième mandat à la tête du pays, une longévité inédite depuis Mao Zedong.
"Dans cette situation, Xi Jinping, comme tout autocrate, est inquiet de menaces sur sa légitimité", poursuit Jean-François Di Meglio. Jouer sur les sentiments nationalistes est ainsi une parfaite diversion face à une économie en berne et une population qui s'impatiente après plus de deux ans de mesures strictes liées à sa politique zéro Covid.
Une analyse partagée par Willy Lam, analyste de politique chinoise basé à Hong Kong. "Le Parti communiste chinois trouve sa légitimité dans deux piliers : la croissance économique et le nationalisme", rappelle-t-il auprès de l'AFP. La passe d'armes autour de Taïwan permet donc de "dévier l'attention du public chinois des problèmes économiques".
"Pékin a pris plus de risques que Nancy Pelosi"
"Mais, avec cette posture offensive, Pékin a pris plus de risques que Nancy Pelosi", estime Jean-François Di Meglio. "Son agressivité et ses menaces ont été tellement fortes que cela pourrait se retourner contre lui. Car, sauf surprise, les actes ne seront pas à la hauteur des menaces."
Pékin avait en effet haussé le ton dès que le projet de visite de Nancy Pelosi avait été évoqué dans les médias. Lors d'un échange téléphonique entre le président américain, Joe Biden, et Xi Jinping, le dirigeant chinois avait ainsi prévenu son homologue que "ceux qui jouent avec le feu se brûlent à mort". Le lendemain, de nouveaux exercices militaires étaient lancés dans le détroit de Taïwan. "Mais cela n'a pas réussi à dissuader Nancy Pelosi de venir…", note Jean-François Di Meglio.
Maintenant que la visite s'est concrétisée, les menaces sont encore montées d'un cran. Parmi les exercices militaires annoncés par Pékin, certains devraient s'approcher à 20 km des côtes taïwanaises, menaçant plusieurs zones urbaines, selon le ministère taïwanais de la Défense.
Du côté des sanctions commerciales, les douanes chinoises ont décidé de suspendre l'importation des agrumes et de certains poissons de Taïwan. De son côté, le ministère du Commerce a annoncé "suspendre" l'exportation de sable naturel vers Taïwan", sans donner d'explications – un matériau dont Taïwan dépend majoritairement de la Chine pour s'en fournir.
"Face à des menaces militaires importantes, Taïwan ne va pas reculer. Nous allons continuer à préserver notre souveraineté et à tenir la ligne de défense de la démocratie. Nous souhaitons coopérer avec toutes les démocraties du monde", a rétorqué la présidente de Taïwan, Tsai Ing-wen.
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Une pénurie mondiale de puces pourrait bientôt avoir lieu, voici pourquoi
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Une guerre en Asie pour le contrôle de Taiwan pourrait non seulement mettre à mal les relations mondiales, mais surtout provoquer une pénurie mondiale sans précédent de semiconducteurs. Le marché de la technologie serait alors paralysé bien plus fortement que ce que nous avons connu ces deux dernières années à cause de la pandémie de COVID-19. Pour rappel, le marché des smartphones est en chute libre, les ventes de la PS5 de Sony déçoivent et les cartes graphiques commencent seulement à retrouver des tarifs intéressants.
TSMC met en garde contre les risques d’une guerre entre la Chine et Taiwan
Le président de la Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC), Mark Liu, a averti que les économies des deux côtés du détroit de Taiwan plongeraient dans la tourmente si la Chine envahissait Taiwan. En effet, dans une interview, Liu a déclaré que si la Chine envahit Taiwan, l'usine de fabrication de puces ne pourra pas fonctionner, car elle dépend des chaînes d'approvisionnement mondiales.
« Personne ne peut contrôler TSMC par la force », a déclaré Liu. « Si vous prenez une force militaire ou une invasion, vous rendrez l'usine TSMC inopérante ». « Comme il s'agit d'une usine de fabrication de pointe, elle s'appuie sur une communication en temps réel avec le monde extérieur, avec l'Europe, le Japon et les États-Unis, qu'il s'agisse de matériaux, de produits chimiques, de pièces ou de logiciels d'ingénierie et de diagnostic », a-t-il annoncé.
Selon lui, comme dans toutes les guerres, il n'y aurait « aucun gagnant » si un tel conflit se produisait, la Chine, Taiwan et l'Occident étant tous perdants. Ce scénario aurait des conséquences allant au-delà de l'industrie des semiconducteurs, entraînant la « destruction de l'ordre mondial fondé sur des règles ». L'année dernière, Taïwan a fabriqué plus de 60 % des semiconducteurs du monde. Liu a donc exhorté toutes les parties à trouver des moyens d'éviter la guerre afin que le « moteur de l'économie mondiale puisse continuer à tourer ».
La Chine n’aurait pas intérêt à déstabiliser TSMC, puisque le pays dépend également du fondeur. Selon l’entreprise, la Chine représente 10 % de son activité. Le président a précisé que TSMC ne travaille qu'avec le marché de consommation de la Chine, et non avec son armée. On espère que la situation géopolitique va s’apaiser dans la région.
Un conflit entre la Chine et Taiwan retarderait la sortie des prochains smartphones
Note ; se qui sous entant qu'en qu'a de guerre mondiale, fini les téléphones portable
Tensions à Taïwan : le Japon « préoccupé », la Russie soutient la Chine
Tokyo est inquiet pour sa sécurité et « pour la stabilité internationale ». La Corée du Nord a critiqué la visite américaine sur l’île revendiquée par Pékin.
Un « détour » qui suscite énormément de réactions. « La visite de notre délégation parlementaire à Taïwan démontre le soutien inconditionnel de l'Amérique à la vibrante démocratie de Taïwan », a déclaré Nancy Pelosi dans un communiqué publié peu après son arrivée.
Le Japon s'est dit mercredi 3 août « préoccupé » des « actions militaires ciblées » promises par Pékin, en réaction à la visite à Taïwan de la présidente américaine de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, dont certaines auront lieu à l'intérieur de la zone économique exclusive (ZEE) japonaise. « La zone maritime annoncée par la Chine pour les exercices militaires qui seront menés à partir du 4 août à midi (5 heures, en France) inclut la ZEE du Japon », a déclaré le porte-parole du gouvernement nippon, Hirokazu Matsuno.
Tokyo « a exprimé sa préoccupation auprès de la Chine, compte tenu de la nature des activités militaires », qui incluent « le tir de munitions réelles », a-t-il ajouté. « La paix et la stabilité dans le détroit de Taïwan sont importantes non seulement pour la sécurité de notre pays, mais aussi pour la stabilité internationale, a jugé le représentant japonais. La position constante du Japon a toujours été qu'il attend que les questions relatives à Taïwan soient réglées pacifiquement, par le dialogue. »
Corée du Nord et Russie : des alliés de poids au rendez-vous
Alliée indéfectible de la Chine, la Corée du Nord a qualifié mercredi d'« ingérence impudente » dans les affaires intérieures chinoises la visite à Taïwan de Nancy Pelosi et a assuré à Pékin son « soutien total ». « L'ingérence impudente des États-Unis dans les affaires intérieures des autres pays et ses provocations politiques et militaires délibérées sont assurément la cause première de la dégradation de la paix et de la sécurité dans la région », a déclaré un porte-parole du ministère nord-coréen des Affaires étrangères cité par l'agence officielle KCNA.
« Taïwan est une partie inséparable de la Chine, et la question de Taïwan concerne les affaires intérieures de la Chine », a poursuivi ce porte-parole. « Nous dénonçons avec véhémence toute ingérence d'une force extérieure dans la question de Taïwan, et soutenons pleinement la juste position du gouvernement chinois qui défend résolument la souveraineté du pays et son intégrité territoriale », a-t-il ajouté.
De son côté, la Russie a estimé mardi que la Chine avait le droit de prendre les « mesures nécessaires pour protéger sa souveraineté », qualifiant de « provocation évidente » la visite de Pelosi. « La partie chinoise a le droit de prendre les mesures nécessaires pour protéger sa souveraineté et son intégrité territoriale concernant le problème de Taïwan », a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères de Sergueï Lavrov.
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Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'inspection du cargo Razoni et de ses céréales est terminée...
L'ESSENTIEL
- Alors que les Européens s'inquiètent d'une réduction des importations de pétrole en raison de l'embargo sur la production russe, les ministres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) se réunissent à Vienne en Autriche à 15 heures (13h GMT) ce mercredi.
- La société Générale essuie les premières conséquences de la cession de sa filiale russe avec une perte nette de 1,5 milliard d'euros au second semestre.
- La Cour suprême russe a classé le régiment ukrainien Azov, comme «organisation terroriste», ce qui pourrait valoir de très lourdes poursuites à ses combattants faits prisonniers par la Russie.
« Des missiles russes de haute précision » ont détruit près de Radekhiv, dans la région de Lviv, un « dépôt d’armes et de munitions étrangères qui ont été livrées au régime de Kiev depuis la Pologne » voisine, a déclaré l’armée russe, sans autre indication.
La veille, l’Armée de l’air ukrainienne avait fait état de huit missiles de croisière russes tirés à partir de la mer Caspienne dont l’un « a atteint un complexe de défense antiaérienne dans la région de Lviv », les sept autres ayant interceptés, selon elle.
17h39 : De 60 à 65 millions de tonnes de céréales
Les prévisions de Kiev pour les récoltes de 2022 sont passées de 60 millions de tonnes à 65-67 millions de tonnes de céréales, a déclaré ce mercredi Denys Chmyhal. Le Premier ministre a félicité les agriculteurs pour avoir poursuivi leurs récoltes malgré l'invasion russe, même dans les zones bombardées.
17h05 : « Défendre nos valeurs, nos modes de vies et notre liberté »
« L’adhésion de la Suède et de la Finlande rendra notre alliance de l’Otan plus forte pour défendre nos valeurs, nos modes de vies et notre liberté face à ceux qui les menacent », a déclaré la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna.
14h26 : Pour Moscou, la situation du gazoduc est « absurde » et provoquée par « les sanctions »
Olaf Scholz a accusé mercredi la Russie d’être responsable du blocage de la livraison d’une turbine dont le gazoduc Nord Stream a besoin. « Il n’y a aucune raison qui empêcherait la livraison d’avoir lieu » et Moscou doit juste « fournir les informations douanières nécessaires pour son transport vers la Russie », a-t-il martelé.
L’opérateur russe Gazprom accuse, lui, Siemens Energy de ne pas avoir envoyé les documents nécessaires pour permettre une remise en marche de la turbine, ce dont l’entreprise se défend. « Cette situation tendue et absurde a été provoquée par les restrictions et les sanctions » occidentales, a dénoncé mercredi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
14 heures : eures : La Finlande saisit des marchandises à capacité militaire à la frontière russe
Les douanes finlandaises ont annoncé mercredi avoir saisi à la frontière avec la Russie des marchandises pouvant renforcer « les capacités industrielles et militaires » de Moscou et autres marchandises faisant l’objet de sanctions internationales.
Ces saisies interviennent alors que la Finlande réfléchit à d’éventuelles restrictions des visas russes, dans la foulée de l’invasion de l’Ukraine par la Russie et des sanctions occidentales qui ont suivi.
Plus de 2.500 contrôles ont été effectués entre le 22 et le 27 juillet et près d’une centaine cas similaires a été décelée, a indiqué l’autorité douanière. Une vingtaine de ces cas sont « en cours d’examen préliminaires », a déclaré l’administration douanière dans un communiqué.
13 heures : eures : Démonstration de force de l’Otan en Méditerranée
7h40 : Le régiment Azov qualifié de « terroriste »
La Cour suprême russe a classé le régiment ukrainien Azov, célèbre pour avoir défendu Marioupol en Ukraine, comme « organisation terroriste ». En vertu de la loi russe, les dirigeants d’une organisation terroriste risquent de 15 à 20 ans de prison, leurs simples membres entre cinq et dix ans. Ces peines pourraient donc être appliquées aux combattants faits prisonniers par la Russie.
7h30 : Le Parlement français dit oui à la Suède et la Finlande
Mardi soir tard, le Parlement français a ratifié l’adhésion de la Suède et de la Finlande à l’Otan. Les députés ont adopté le texte par 209 voix contre 46 avec le soutien de LR (droite), du Parti socialiste (PS) et des écologistes. Les députés du Rassemblement national se sont abstenus et la France Insoumise a voté contre.
Patrick Pouyanné, patron de Total Énergie, détruit la propagande du gouvernement
Se retirer de Russie n’est rien d’autre qu’un suicide économique !
Les propos sont limpides : personne d’autre dans le monde – Allemands, Yankees, Angliches… – ne s’est retiré et pourtant ils veulent que Total abandonne près de 14 milliards de dollars d’actifs aux Russes, sans oublier les sanctions judiciaires qui suivront !
Ils veulent détruire Total à l’instar de Renault qui vient de perdre près d’un milliard et demi après son retrait de Russie !
source : Le liibre penseur (voir video)
Note : il demontre ici toute l'absurdité des sanctions, qui dont perdre des milions aux grandes entreprises
Renault est partie et la Russie ea récupéré Renault pour pas un rouble et encore mois un euro
Note : il demontre ici toute l'absurdité des sanctions, qui font perdre des milions aux grandes entreprises.
Renault est partie et la Russie et la Russie a récupéré Renault pour pas un rouble et encore moin un euro
Energie: La France assure que ses réserves stratégies de gaz seront remplies à 100%
Les réserves stratégiques de gaz seront remplies à 100% avant le 1er novembre a assuré la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.
Les réserves stratégiques de gaz de la France seront remplies en totalité avant le 1er novembre, a déclaré mercredi la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ce mercredi matin.
"Nous sommes aujourd'hui à 80% de remplissage de nos stocks de gaz stratégiques, nous sommes en avance par rapport à notre objectif et cela veut dire que nous remplirons à 100% nos stockages avant le 1er novembre, ce qui était notre objectif", a-t-elle précisé sur CNEWS.
Mais Agnès Pannier-Runacher a aussi précisé qu'il allait falloir "réduire notre consommation d'énergie fossile et donc faire en sorte d'utiliser moins de gaz dans les années à venir".
Emmanuel Macron insulte tout un continent, l’Afrique. Mais de quel droit ?
par Bertrand Dunouau.
Lors de sa visite officielle en Afrique du lundi 25 juillet au mercredi 27 juillet 2022, Emmanuel Macron a répondu à la question d’un journaliste pour la télévision camerounaise, durant la conférence de presse conjointe avec le président du Cameroun Paul Biya, sur la question de la guerre en Ukraine et n’a pas pu s’empêcher, dans un français relâché, d’insulter l’Afrique en tenant les propos suivants : « Là où je vois trop souvent de l’hypocrisie, en particulier sur le continent africain et je vous le dis avec beaucoup de calme et de sérénité, à ne pas savoir qualifier une guerre qui en est une et à ne pas savoir dire qui l’a lancée, parce qu’il y a des pressions diplomatiques, je ne suis pas dupe, m’enfin faut dire les choses, on vit mieux ; nous, nous avons décidé de tout faire pour stopper cette guerre […] ».
Il a ensuite eu l’outrecuidance d’ajouter, en évoquant de manière confuse une situation internationale qu’il semble interpréter comme un désordre provoqué par la Russie, notamment à cause des sanctions que les pays, en particulier européens, doivent, selon Emmanuel Macron bien sûr, utiliser comme un moyen de « bloquer son effort de guerre » : « Ce n’est pas l’ordre international que nous voulons, qui repose sur la coopération et le respect de la souveraineté de chacun ». Par ailleurs, dans son allocution du mardi 26 juillet 2022 devant la communauté française du Cameroun, Emmanuel Macron ne jurera que par des mots positifs qui ne lui siéent aucunement : « dialogue respectueux et confiant », « … je crois qu’il y a entre la France et le Cameroun, entre la France et le continent africain une profonde histoire d’amour, de respect, d’échange, de métissage, de créolisation aussi, de mélange, de richesses mutuelles qu’il nous faut savoir raviver », « je suis pour la régulation et la transparence », « aucun développement économique n’est possible […] sans la paix et la sécurité », « accompagner avec bienveillance, respect et humilité »…
Mais dans les faits, le peuple africain s’est senti insultéet à juste titre par « l’hypocrisie » appliquée à son continent par un homme venu de France et qui a lui-même un lourd passé d’hypocrite. Si nous ne devions citer qu’une seule de ses hypocrisies, la plus flagrante et la plus odieuse serait celle-ci : « Je ne rendrai pas la vaccination obligatoire» (novembre 2020), alors qu’à cause de l’état d’urgence sanitaire qu’il déclenche et qui lui permettra de développer tout un arsenal de lois et de décrets dont on ne saura plus s’il est pseudo-juridique, pseudo-médical ou pseudo-politique, des personnels soignants et des pompiers seront renvoyés en masse et ne sont toujours pas rétablis dans leurs fonctions pour n’avoir pas été vaccinés ! Peuples d’Afrique, sachez ceci : pour moi, mais il me semble que je ne suis pas le seul Français à le considérer de la sorte, Emmanuel Macron n’est pas le représentant du peuple français, du pays que j’appelle France ; il est le VRP d’un consortium qui se fait appeler « République française » et ne représente que ce petit groupe privé de personnes obscures qui se considèrent comme une élite. C’est la raison pour laquelle vous le voyez méprisant et condescendant.
« Là où je vois trop souvent de l’hypocrisie, en particulier sur le continent africain et je vous le dis avec beaucoup de calme et de sérénité, à ne pas savoir qualifier une guerre qui en est une et à ne pas savoir dire qui l’a lancée, parce qu’il y a des pressions diplomatiques, je ne suis pas dupe, m’enfin faut dire les choses, on vit mieux ; nous, nous avons décidé de tout faire pour stopper cette guerre […] ».
Lors de sa visite officielle en Afrique du lundi 25 juillet au mercredi 27 juillet 2022, Emmanuel Macron a répondu à la question d’un journaliste pour la télévision camerounaise, durant la conférence de presse conjointe avec le président du Cameroun Paul Biya, sur la question de la guerre en Ukraine et n’a pas pu s’empêcher, dans un français relâché, d’insulter l’Afrique en tenant les propos suivants : « Là où je vois trop souvent de l’hypocrisie, en particulier sur le continent africain et je vous le dis avec beaucoup de calme et de sérénité, à ne pas savoir qualifier une guerre qui en est une et à ne pas savoir dire qui l’a lancée, parce qu’il y a des pressions diplomatiques, je ne suis pas dupe, m’enfin faut dire les choses, on vit mieux ; nous, nous avons décidé de tout faire pour stopper cette guerre […] »1.
Il a ensuite eu l’outrecuidance d’ajouter, en évoquant de manière confuse une situation internationale qu’il semble interpréter comme un désordre provoqué par la Russie, notamment à cause des sanctions que les pays, en particulier européens, doivent, selon Emmanuel Macron bien sûr, utiliser comme un moyen de « bloquer son effort de guerre » : « Ce n’est pas l’ordre international que nous voulons, qui repose sur la coopération et le respect de la souveraineté de chacun ». Par ailleurs, dans son allocution du mardi 26 juillet 2022 devant la communauté française du Cameroun, Emmanuel Macron ne jurera que par des mots positifs qui ne lui siéent aucunement : « dialogue respectueux et confiant », « … je crois qu’il y a entre la France et le Cameroun, entre la France et le continent africain une profonde histoire d’amour, de respect, d’échange, de métissage, de créolisation aussi, de mélange, de richesses mutuelles qu’il nous faut savoir raviver », « je suis pour la régulation et la transparence », « aucun développement économique n’est possible […] sans la paix et la sécurité », « accompagner avec bienveillance, respect et humilité »2…
Mais dans les faits, le peuple africain s’est senti insulté3 et à juste titre par « l’hypocrisie » appliquée à son continent par un homme venu de France et qui a lui-même un lourd passé d’hypocrite. Si nous ne devions citer qu’une seule de ses hypocrisies, la plus flagrante et la plus odieuse serait celle-ci : « Je ne rendrai pas la vaccination obligatoire4 » (novembre 2020), alors qu’à cause de l’état d’urgence sanitaire qu’il déclenche et qui lui permettra de développer tout un arsenal de lois et de décrets dont on ne saura plus s’il est pseudo-juridique, pseudo-médical ou pseudo-politique, des personnels soignants et des pompiers seront renvoyés en masse et ne sont toujours pas rétablis dans leurs fonctions pour n’avoir pas été vaccinés ! Peuples d’Afrique, sachez ceci : pour moi, mais il me semble que je ne suis pas le seul Français à le considérer de la sorte, Emmanuel Macron n’est pas le représentant du peuple français, du pays que j’appelle France ; il est le VRP d’un consortium qui se fait appeler « République française » et ne représente que ce petit groupe privé de personnes obscures qui se considèrent comme une élite. C’est la raison pour laquelle vous le voyez méprisant et condescendant.
Il est vrai que les Français se sont malheureusement habitués à laisser parler ce VRP en son nom, même lorsque ce dernier insultait le peuple qu’il disait vouloir représenter : nous n’oublions pas sa provocation (« qu’ils viennent me chercher »5) ni ses diverses insultes à notre encontre (les ouvrières « illettrées » de Gad, « des gens qui ne sont rien »6, « soixante-six millions de procureurs »7, « je traverse la rue, du travail je vous en trouve »8, « je ne céderai rien aux fainéants ni aux cyniques ni aux extrêmes »9, les « Gaulois réfractaires »10, « les entreprises non essentielles »11, « hé bien là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder »12).
Mais le peuple français est surprenant : aussi prompt à décapiter un roi débonnaire, Louis XVI, qui a tout fait pour gouverner avec lui qu’à laisser en place un petit banquier méprisant qui gouverne en son nom, mais sans lui et même contre lui ! « Qu’attendez-vous ? » me demanderez-vous peut-être, peuples d’Afrique ? Je crois qu’en réalité le peuple français s’est laissé engluer dans la colonisation de son propre pays par des hommes français que je qualifierais de pseudo-politiques et qui laissent aujourd’hui la France dans cet état de sidération dans lequel nous vous avions laissés et dont vous sortez aujourd’hui avec fierté et surtout avec honneur. Je ne puis donc prédire le moment où nous sortirons nous aussi de cet état glaçant de sidération et de torpeur. Mais Frères de peine, j’oserais vous demander : pourrons-nous donc un jour nous retrouver sur un terrain de discussion d’égal à égal, lorsque cette caste politico-financière aura été définitivement écartée de notre pays ?
- https://www.elysee.fr/2022/07/26/deplacement-du-president-de-la-republique-au-cameroun
- https://www.youtube.com/watch?v=TUFQyacW7d4
- https://qactus.fr/2022/07/31/niger-au-niger-macron-suscite-lindignation-meritee-pour-ses-propos-insultants-sur-lafrique
- https://www.youtube.com/watch?v=boqEam6y6Jg
- https://www.youtube.com/watch?v=e0XFhEmiS4
- https://blogs.mediapart.fr/marugil/le-mepris-et-les-insultes-de-m-macron
- https://www.gqmagazine.fr/emmanuel-macron-s-en-prend-violemment-aux-francais-ces-66-millions-de-procureurs-et-provoque-la-fureur-des-internautes
- https://www.nouvelobs.com/2020/01/17/traverser-la-rue-pour-trouver-du-travail-brigitte-macron-explique-l-origine-de-la-phrase
- https://www.profession-gendarme.com/macron-nous-a-meprises-et-insultes-des-le-premier-jour-et-reconnus-jusquau-dernier
- https://www.lemonde.fr/2018/08/29/emmanuel-macron-compare-les-francais-a-des-gaulois-refractaires-au-changement
- https://www.latribune.fr/confinement-que-pesent-les-activites-non-essentielles-dans-le-commerce-francais
- https://www.youtube.com/watch?v=LWCtLiS0Xuc
Note ; ce mec est pourrie jusqu'a l'os, il utilise les memes mots que Mélenchon "métissage et créolisation"
Viol, vols, coup de couteau, piqûres sauvages : des violences aux fêtes de Bayonne, la préfecture se veut rassurante
Entre 1,1 et 1,2 million de personnes ont participé aux traditionnelles fêtes de Bayonne. La sous-préfecture en a fait un bilan positif ce mardi, malgré 210 faits délictueux sur les cinq jours.
(…)
Un viol a également été constaté, précise France Bleu Pays basque, qui a ajouté, plus tard dans l’après-midi, que deux hommes ont été mis en examen pour « viol en réunion ». 1400 personnes ont été prises en charge par les soignants mobilisés sur le terrain, qui ont examiné 124 patients se plaignant de piqûres. Sur ces 124 personnes, 11 ont déposé plainte et 17 ont subi des prélèvements.
Des fêtes « plus respectueuses »
Ces chiffres sont toutefois en deçà des craintes initiales de la préfecture : « Le phénomène des piqûres n’a pas eu l’ampleur que certains redoutaient », a commenté le sous-préfet de Bayonne. Les fêtes étaient « plus apaisées, plus respectueuses, et ce, malgré une hausse de la fréquentation », a salué le sous-préfet.
Nouvelle nuit de violences à Limoges : les policiers ciblés par des tirs de mortiers par au moins 40 individus (MàJ)
03/08/22
Des policiers ont à nouveau été ciblés par des tirs de mortiers dans la nuit du mardi 3 au mercredi 4 août dans le quartier du Val de l’Aurence, à Limoges, a appris franceinfo de source policière ce mercredi. Ces violences interviennent 24 heures après une nuit déjà agitée dans cette cité.
Selon France Bleu Limousin, 30 à 40 personnes ont participé à ces nouveaux tirs contre des policiers en patrouille dans le quartier vers 1 heure du matin. Un des CRS a été touché par un tir de mortier et a été amené à l’hôpital pour des examens, selon une source policière à franceinfo.
Les affrontements ont duré moins d’une heure. Ils ont été rapidement stoppés par l’intervention de l’unité de CRS venue spécialement en renfort dans le secteur mardi, après une première nuit tendue, de lundi à mardi.
02/08/22
Des pompiers et des policiers visés par des jets de projectiles, de cocktails Molotov et de mortiers pendant une intervention, cinq heures d’affrontements, aucune interpellation
Des pompiers et des policiers ont été ciblés par des tirs de projectiles dans la nuit du lundi 1er au mardi 2 août alors qu’ils intervenaient sur un véhicule en feu dans le quartier du Val de l’Aurence à Limoges (Haute-Vienne), a appris franceinfo de source policière mardi. Les affrontements avec plusieurs jeunes ont duré près de cinq heures. Il n’y a pas eu d’interpellation.
Vers 23 heures, les pompiers de Limoges ont d’abord sollicité l’assistance des policiers pour pouvoir intervenir dans cette cité. À leur arrivée sur les lieux, ils ont tous été visés par des jets de pierre, de cocktails Molotov et de mortiers lancés par une trentaine de personnes encagoulées. Ces jeunes ont mis le feu à deux autres véhicules et empêchaient les pompiers d’intervenir en érigeant des barricades.
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