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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 2 aout 2022

 

 

Actualité a suivre ...

 

 

Pas de nouvelle info, la vidéo plus bas (effacer) peut être juste un exercice, difficile de si retrouver dans toutes ces informations. la chine va perdre sa crédibilité, certain commence déjà les moqueries

EN DIRECT - Visite de Nancy Pelosi à Taïwan: Pékin dénonce l'attitude "dangereuse" des États-Unis

 

 

Plusieurs navires américains croisent dans la région de Taïwan

Plusieurs navires américains étaient présents ce mardi dans la région de Taïwan au moment où la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi arrivait dans l'île que Pékin considère comme l'une de ses provinces, selon des sources militaires américaines.

Alors que la Chine a annoncé que son armée allait lancer des "actions militaires ciblées" en réponse à cette visite, la 7e flotte américaine a fait savoir mardi sur Twitter que le porte-avions USS Ronald Reagan, qui croise dans la région depuis début juillet, se trouvait dans la mer des Philippines, au sud de Taïwan.

L'US Navy a publié des images du Ronald Reagan effectuant des manoeuvres avec le navire ravitailleur USS Carl Brashear dimanche.

Le porte-avions et son groupe aéroporté "effectuent une mission de routine dans l'ouest du Pacifique", a souligné une responsable américaine ayant requis l'anonymat.

Le Pentagone a assuré que la présence de ces deux navires dans la région n'était pas liée à la visite de Nancy Pelosi, la plus haute responsable américaine à visiter l'île depuis son prédécesseur Newt Gingrich en 1997

Direct

 

 

La cheffe des députés américains Nancy Pelosi est arrivée à Taïwan malgré les menaces chinoises

 

 

La cheffe de file des démocrates américains à la chambre des représentants cause la colère de Pékin par cette action.
 

Les menaces chinoises n'auront rien changé. Nancy Pelosi, la présidente de la chambre des représentants américaine, est arrivée à Taïwan ce mardi. Un atterrissage particulièrement suivi à l'international pour les conséquences diplomatiques qu'il pourrait avoir.

En effet, la Chine a assuré ces dernières heures que les États-Unis "paieront le prix" si jamais la parlementaire allait au bout de cette initiative. Il s'agit de la première visite officielle américaine sur l'île depuis 25 ans. Cette venue risque fortement d'augmenter les tensions, déjà vives, entre Washington et Pékin.

Vers une guerre de religion, infos du 2 aout 2022

"La visite de notre délégation à Taïwan honore l'engagement ferme des États-Unis pour soutenir la vibrante démocratie de Taïwan", a écrit Nancy Pelosi sur Twitter.

Pékin dénonce une "attitude extrêmement dangereuse"

Le ministère des Affaires étrangères chinois a rapidement "condamné" cette visite dans un communiqué diffusé par la télévision chinoise CGTN. Selon le média d'État, le déplacement de l'Américaine envoie "des mauvais signaux" à ceux qui défendent une "indépendance de Taïwan". Pour Pékin, les États-Unis ont une attitude "extrêmement dangereuse".

Peu avant l'atterissage de Nancy Pelosi, des avions de chasse chinois ont traversé le détroit de Taïwan, qui sépare l'île de la Chine.

"La partie américaine a trahi sa parole sur la question taïwanaise", a déploré dans un communiqué Wang Yi, le ministre chinois des Affaires étrangères, en référence à l'engagement des États-Unis, depuis 1979, à n'avoir aucune relation officielle avec Taïwan.

Nancy Pelosi rejette cette vision des choses, expliquant que sa visite ne contredit pas l'accord de 1979. "Les États-Unis continuent de s'opposer aux efforts unilatéraux pour changer le status quo", a-t-elle expliqué dans un communiqué.

Source

 

 

 

 

Washington «paiera le prix» en cas de visite de Nancy Pelosi à Taïwan, prévient Pékin

«Les États-Unis auront assurément la responsabilité (des conséquences) et devront payer le prix de leur atteinte à la souveraineté et à la sécurité de la Chine», a indiqué devant la presse une porte-parole de la diplomatie chinoise, Hua Chunying.

 

Pékin considère l’île comme une partie de son territoire à réunifier, par la force si nécessaire, et a plusieurs fois mis en garde Washington contre une visite de la haute responsable qui serait vécue comme une provocation majeure. Dans la foulée des menaces chinoises, la Russie, un allié majeur de la Chine, a accusé les États-Unis de « déstabiliser le monde ». « Washington déstabilise le monde. Pas un seul conflit réglé dans les dernières décennies, mais plusieurs provoqués », a déclaré, sur son compte Telegram, la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova. Quelques instants plus tard, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Pesko, a qualifié cette hypothétique visite de « pure provocation ». « Cela aggrave la situation dans la région et renforce les tensions », a déclaré l’officiel russe à la presse.

Source

 

 

 

L'armée chinoise commence des exercices militaires en mer de Chine méridionale au milieu de l'escalade à Taiwan

 

BEIJING (Spoutnik) - L'Armée de libération du peuple chinois (APL) entame mardi des exercices militaires en mer de Chine méridionale au milieu d'une escalade régionale concernant une éventuelle visite à Taïwan de la présidente de la Chambre des États-Unis, Nancy Pelosi.

L'Administration chinoise de la sécurité maritime a annoncé que des exercices militaires se tiendront dans la zone de la mer de Chine méridionale , dont les coordonnées sont indiquées sur le site Internet de l'agence, du 2 août jusqu'à la fin du 6 août heure locale, à propos desquelles l'entrée de tous les navires dans la zone sera interdite.

Les détails sur les types de troupes qui participeront aux exercices et sur les manœuvres prévues n'ont pas été précisés.

Les exercices surviennent au milieu de tensions croissantes alors que des rapports suggèrent qu'une délégation américaine dirigée par Nancy Pelosi pourrait se rendre à Taipei lors de son voyage en Asie.

La Chine s'est toujours opposée à tout contact entre des représentants de Taïwan et des hauts responsables ou des chefs militaires d'autres pays.

Source Spoutnik
 
 

 

 

Biden aurait dit aux hauts fonctionnaires d'informer Pelosi des risques de visite à Taïwan, mais elle "a continué"

 

Lundi, le coordinateur du Conseil de sécurité nationale des États-Unis pour les communications stratégiques, John Kirby, a déclaré que la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, qui est actuellement en tournée en Asie, a le droit de se rendre à Taïwan, mais qu'elle n'a encore confirmé aucun projet de voyage.

Le président américain Joe Biden a chargé de hauts responsables, dont le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan, de présenter à la Chambre Nancy Pelosi un aperçu des risques liés à sa visite à Taïwan, mais elle avait décidé de poursuivre "le voyage historique", selon The Financial Fois.

Le journal a cité des sources anonymes disant que Pelosi prévoyait apparemment de rencontrer le président taïwanais Tsai Ing-wen mercredi, dans le cadre de sa tournée asiatique en cours qui a débuté dimanche à Singapour.

Les affirmations ont suivi le portail d'information taïwanais ETtoday rapportant lundi que le président de la Chambre devrait arriver à Taïwan mardi soir, tenir une réunion avec Tsai mercredi et quitter l'île vers midi le même jour. Le ministère taïwanais des Affaires étrangères n'a pas encore commenté le rapport.

Dans un développement distinct lundi, le coordinateur du Conseil de sécurité nationale des États-Unis pour les communications stratégiques, John Kirby, a déclaré aux journalistes que le président Joe Biden n'avait pas directement parlé avec Pelosi de ses projets de visite à Taïwan, mais que son voyage potentiel là-bas avait été discuté dans les cercles de sécurité nationale. .

Kirby a noté que Pelosi n'avait encore confirmé aucun projet de voyage, ajoutant qu'elle "a le droit de se rendre à Taïwan et que le président de la Chambre s'est déjà rendu à Taïwan sans incident, comme l'ont fait de nombreux membres du Congrès, y compris cette année".

Le coordinateur du Conseil de sécurité nationale des États-Unis a également souligné que Washington ne se livrerait pas à des bruits de sabre ni ne serait intimidé par Pékin après l'annonce de la visite potentielle du président de la Chambre à Taïwan.

« Nous continuerons à opérer dans les mers et les cieux du Pacifique occidental comme nous l'avons fait pendant des décennies. Nous nous engageons également à maintenir des lignes de communication ouvertes avec Pékin », a-t-il souligné.

Kirby a mis en garde contre des "mesures potentielles de la Chine" dans les prochains jours, qui, selon lui, "pourraient inclure des provocations militaires, telles que des tirs de missiles dans le détroit de Taiwan ou autour de Taiwan, des opérations qui enfreignent les normes historiques telles que l'entrée aérienne à grande échelle dans l'air de Taiwan. Zone d'identification de défense, […] activités aériennes ou navales franchissant la ligne médiane et exercices militaires.

Ces remarques sont intervenues alors que l'ambassadeur de Chine à l'ONU, Zhang Jun, a déclaré lundi lors d'un point de presse que la Chine avait à plusieurs reprises exprimé sa position sur une éventuelle visite de Pelosi à Taïwan "très claire", et que Pékin avait "exprimé à plusieurs reprises" ses "sérieuses préoccupations et sa fermeté". opposition à une telle visite.

« Comme nous le voyons, une visite de la Maison Blanche ou de Pelosi, une telle visite est apparemment très dangereuse, très provocante. Si les États-Unis insistent pour effectuer cette visite, la Chine prendra des mesures fermes et fortes pour sauvegarder notre souveraineté nationale et notre intégrité territoriale », a souligné M. Zhang.

L'envoyé a ajouté que la visite potentielle de Pelosi à Taïwan « compromettrait la paix et la stabilité régionales dans le détroit de Taïwan » ainsi que les relations entre Washington et Pékin.

tensions sino-américaines latentes à propos de Taïwan , considéré par Pékin comme une partie essentielle de la Chine continentale, ont considérablement augmenté pendant le mandat du président Joe Biden à la suite des promesses répétées de POTUS de venir à la défense de l'île si elle était « envahie » par la Chine.

À la fin de l'année dernière, le ministère de la Défense de Taiwan a révélé que plus de 600 militaires américains s'étaient rendus sur l'île depuis 2019, en violation de la politique d'une seule Chine.

En plus de cela, les États-Unis ont envoyé à plusieurs reprises leurs navires de guerre dans le détroit de Taiwan, Pékin qualifiant ces missions de provocations et qualifiant Washington de « destructeur de la paix et de la stabilité » et de « créateur de risques pour la sécurité » dans la région.

Source Spoutnik (traduction)

 
 
 

 

 

Tensions en Asie : Pour la Russie, une éventuelle visite de Nancy Pelosi à Taïwan serait une "pure provocation" vis-à-vis de la Chine

 

Le Kremlin a estimé mardi une visite à Taïwan de la présidente de la Chambre américaine des représentants Nancy Pelosi constituerait une "pure provocation" vis-à-vis de la Chine.

  •  La présidente de la Chambre américaine des représentants Nancy Pelosi.
    La présidente de la Chambre américaine des représentants Nancy Pelosi. - MAX PPP

"Nous ne pouvons pas dire avec certitude pour l'instant si elle s'y rendra ou non, mais tout ce qui concerne cette tournée et l'éventuelle visite à Taïwan est une pure provocation", a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

La Chine a déconseillé à plusieurs reprises à Nancy Pelosi, qui a entamé dimanche une tournée en Asie, de se rendre à Taïwan, que Pékin revendique comme partie intégrante de son territoire.

Cet épisode nourrit la tension entre les Etats-Unis et la Chine. Si la plupart des observateurs jugent faible la probabilité d'un conflit armé, des responsables américains ont dit se préparer à de possibles démonstrations de force de l'armée chinoise, rapporte France Info.

Plusieurs avions de chasse chinois ont été repérés ce mardi matin près de la ligne de démarcation du détroit de Taïwan, alors que quatre navires de guerre américains étaient positionnés à l'est de l'île.

Guerre en Ukraine : "Il ne peut y avoir de vainqueur" en cas de conflit nucléaire, affirme Vladimir Poutine

 

Les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France ont appelé Moscou "à cesser sa rhétorique nucléaire et son attitude irresponsable et dangereuse" depuis son assaut contre l'Ukraine.

  • Depuis le début de la guerre en Ukraine, la Russie laisse planer la menace d'un conflit nucléaire,
    Depuis le début de la guerre en Ukraine, la Russie laisse planer la menace d'un conflit nucléaire, AFP - ALEXEI NIKOLSKY

C'est une déclaration qui fait office de contrepied. La 10e conférence d'examen du traité de non-prolifération nucléaire (TNP) se tiendra jusqu'au 26 août, au siège des Nations unies à New York. Le lundi 1er août, Vladimir Poutine en a profité pour adresser un message aux 191 pays signataires du TNP. Le chef d'Etat russe a assuré qu'une guerre nucléaire ne devait jamais "être déclenchée".

Nous partons du principe qu'il ne peut y avoir de vainqueurs dans une guerre nucléaire et que cette dernière ne doit jamais être déclenchée", a indiqué le président russe.

 

Un contrepied sur les menaces de guerre nucléaire

Publié sur le site du Kremlin, Vladimir Poutine a assuré que la Russie continuait de suivre "la lettre et l'esprit" de ce traité. Pourtant, la Russie laisse planer la menace d'un conflit nucléaire. En février dernier, au début de la guerre en Ukraine, le pays a placé ses forces nucléaires en état d'alerte. Le chef du Kremlin avait même évoqué des représailles "rapides comme l'éclair" en cas d'intervention directe de l'Occident dans le conflit.

Selon le secrétaire général de l'ONU, l'humanité n'est qu'à "un malentendu de l'anéantissement nucléaire". Antonio Guterres appelle les dirigeants internationaux à construire un monde "débarrassé des armes nucléaires".

Source

 

 

 

Ministère russe des Affaires étrangères : les États-Unis fournissent des armes et agissent en tant que pointeurs d'armes dans le conflit ukrainien

 

En avril, Moscou a envoyé une note à Washington avertissant que les livraisons d'armes des États-Unis et de l'OTAN à Kiev exacerbent le conflit ukrainien et peuvent avoir des conséquences imprévisibles.

La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que les conseillers américains agissent comme des "pointeurs d'armes" dans le conflit ukrainien.

« La fourniture d'armes par les États-Unis à l'Ukraine s'accompagne non seulement d'instructions ; Washington remplit également la fonction de pointeurs d'armes à feu », a-t-elle déclaré aux journalistes mardi.

Le ministère russe de la Défense a à son tour déclaré qu'en Ukraine et dans le monde, il ne devrait y avoir aucun doute que les frappes HIMARS, y compris celles sur Elenovka, ont été planifiées par l'administration Zelensky et approuvées par les États-Unis.

Le porte-parole du ministère, Igor Konashenkov, a souligné que l'administration Biden et le président ukrainien Volodymyr Zelensky "portent directement la responsabilité politique, pénale et morale du massacre d'Elenovka et d'autres crimes de guerre en Ukraine".

Il a ajouté que la Russie appelait l'ONU et le Comité international de la Croix-Rouge à enquêter sur les développements à Elenovka.

La déclaration intervient après que le Telegraph a rapporté que les forces armées ukrainiennes consultaient Washington avant d'ouvrir le feu avec les HIMARS (High Mobility Artillery Rocket Systems) de fabrication américaine, au milieu de l'opération militaire spéciale russe en cours dans le pays.

Le journal a cité le général de division Vadym Skibitsky, chef adjoint par intérim du renseignement militaire ukrainien, affirmant que les États-Unis et le Royaume-Uni aidaient Kiev à chasser les "espions russes ciblant les armes fournies par l'Occident".

Skibitsky a également déclaré au Telegraph que bien que les responsables américains ne fournissent pas d'informations de ciblage direct liées aux attaques de l'armée ukrainienne contre les colonies du Donbass, il y avait un niveau de consultation entre les responsables du renseignement des deux pays avant le lancement des missiles HIMARS.

 

« Je ne peux pas vous dire si [nous assignons directement] des satellites britanniques et américains, mais nous avons de très bonnes images satellites. Nous avons une très bonne coopération avec nos partenaires au Royaume-Uni dans ce domaine. Nous avons une très bonne communication avec toutes les agences de renseignement sœurs », a affirmé le général.

« Je ne peux pas vous dire si [nous assignons directement] des satellites britanniques et américains, mais nous avons de très bonnes images satellites. Nous avons une très bonne coopération avec nos partenaires au Royaume-Uni dans ce domaine. Nous avons une très bonne communication avec toutes les agences de renseignement sœurs », a affirmé le général.

L'armée ukrainienne a bombardé à plusieurs reprises les colonies de la région du Donbass, dans l'est de l'Ukraine, à l'aide de systèmes HIMARS. Les forces ukrainiennes ont également lancé une attaque contre une prison à Elenovka, dans la République populaire de Donetsk , où étaient détenus les membres capturés du régiment Azov*. Une cinquantaine de personnes ont été tuées dans la frappe.

La Russie a lancé son opération militaire spéciale en Ukraine le 24 février, suite à une demande des républiques du Donbass de les protéger des provocations de Kiev.

*Régiment Azov, un groupe terroriste interdit en Russie

Source Spoutnik (traduction)

 

Note : c'est-ce que j'ai affirmé, il de cela quelques jours. je suis sûr que les Américains donnent les coordonnés des cibles russes pour les tirs des  missiles HIMARS

 

Guerre en Ukraine : Les Etats-Unis vont envoyer de nouvelles armes à l'Ukraine, dont des lance-roquettes Himars, pour une valeur de 550 millions de dollars

 

Le Pentagone a annoncé lundi qu'il fournirait une aide militaire supplémentaire d'une valeur de 550 millions de dollars (536 millions d'euros) à l'Ukraine.

"Afin de répondre aux besoins de l'Ukraine sur le champ de bataille, les Etats-Unis vont continuer de travailler avec leurs alliés et leurs partenaires pour fournir à Kiev les capacités nécessaires", a indiqué le Pentagone dans un communiqué.

Cette nouvelle aide comprendra notamment des Himars, ces systèmes de lance-roquettes multiples dont l'Ukraine a justement annoncé ce lundi avoir reçu une nouvelle livraison par les États-Unis.

Ces lance-roquettes ont comme spécificité d'avoir une portée de 80 kilomètres, permettant ainsi à l'Ukraine d'atteindre des cibles russes plus éloignées qu'auparavant. 

Ces armes ont permis aux forces ukrainiennes de rééquilibrer le rapport de force et sont clairement devenues la cible à abattre pour l'armée russe.

Source

Note : ils n’arrêtent pas, les américains n’arrêteront pas de jeté de l'huile tant qu'ils n'auront pas transformé cette guerre ukrainienne en guerre mondiale ! Les américains vont se retrouvé sur plusieurs front, a devoir affronté russes et chinois, puis après l'Iran, qui transformera cette guerre en guerre de religion   (les armées US qui sont dans les pays musulmans vont se retrouvées dans de vraies fourmilières)

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT :  Pour Marine Le Pen, les sanctions « ne servent strictement à rien »...

 

L’ESSENTIEL

  • Un premier navire chargé de céréales a pu partir du port d’Odessa lundi, comme prévu par un accord international. Cette reprise des exportations a été saluée dans le monde entier, alors que plusieurs pays craignent pour leur sécurité alimentaire.
  • Les Etats-Unis ont annoncé l’envoi de nouvelles armes et munitions en Ukraine, notamment des roquettes pour les lance-missiles Himars, d’une valeur totale de 550 millions de dollars.
  • Lors de l’ouverture de la dixième Conférence d’examen du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), Paris, Londres et Washington ont appelé Moscou à mettre fin à sa « dangereuse » rhétorique nucléaire. Le Kremlin fait en effet régulièrement référence à son arsenal comme réponse possible à une intervention occidentale dans la guerre en Ukraine.

 

15h35 : Pour Marine Le Pen, les sanctions « ne servent strictement à rien »

« Ces sanctions ne servent strictement à rien si ce n’est à faire souffrir les peuples européens et notamment le peuple français », estime Marine Le Pen pour qui il faut être « de mauvaise foi » pour ne pas voir que « l’économie russe n’est pas à genoux » et Moscou n’est « pas en cessation de paiements ».

« Nous sommes beaucoup plus victimes de ces sanctions que ne l’est la Russie », juge la dirigeante d’extrême droite pour qui il s’agit d’une « succession d’échecs ». « Je souhaite » que les sanctions « disparaissent pour éviter à l’Europe de se retrouver face à un black-out, notamment concernant les importations de gaz », a déclaré la cheffe de file des députés RN au cours d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale.

 

Note : ça fait plaisir de voir que MLP à tous compris, sanction inutile et qui  se retournent contre nous, ainsi que des alliances entre la Russie et d'autres pays qui pourraient très bien se retourner aussi contre nous (pour elle c'est une crainte prévisible, pour moi tous ceux-là va se concrétiser, puisque prophétisers

 

DIRECT

 

 

 

 

Téhéran critique les nouvelles sanctions de Washington, promet une riposte

 

L'Iran a critiqué mardi 2 août les États-Unis après leur annonce la veille de nouvelles sanctions contre le pétrole iranien, promettant de répondre à ces mesures, alors que les pourparlers entre les deux pays sur le nucléaire iranien sont à l'arrêt depuis des mois.

L'Iran «prendra toutes les mesures nécessaires pour neutraliser [ses] éventuels effets négatifs» sur «le commerce du pays», a promis Nasser Kanani

L'administration Biden «ne cesse de prendre des initiatives stériles et destructrices même au moment où des efforts sont en cours pour reprendre les négociations visant à relancer l'accord» sur le nucléaire iranien, a indiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Nasser Kanani, dans un communiqué.

Washington a annoncé lundi des mesures punitives contre «six entités facilitant les transactions illicites liées au pétrole iranien», selon un communiqué du secrétaire d'État américain, Antony Blinken. Les pourparlers entamés à Vienne entre l'Iran et les grandes puissances parmi lesquelles les États-Unis pour relancer l'accord international sur le nucléaire iranien de 2015 sont au point mort depuis mars, après plus d'un an de discussions.

Le 26 juillet, le chef de la diplomatie européenne et coordinateur pour le dossier du nucléaire iranien, Josep Borrell, a soumis un projet de compromis et a appelé les parties engagées dans les pourparlers à l'accepter pour éviter une «dangereuse crise». Nasser Kanani a accusé l'administration Biden de «poursuivre et même élargir» la politique «ratée» de celle de son prédécesseur, Donald Trump.

«Neutraliser les effets négatifs»

Début 2021, le président démocrate, Joe Biden, avait fait le pari de négociations rapides pour ressusciter l'accord de 2015, dont les États-Unis se sont retirés sous le règne de son prédécesseur républicain, Donald Trump. Washington avait alors réimposé des sanctions, après quoi Téhéran s'est progressivement affranchi de ses obligations. La «riposte» de la République islamique à ces sanctions sera «ferme et immédiate» , et l'Iran «prendra toutes les mesures nécessaires pour neutraliser [ses] éventuels effets négatifs» sur «le commerce du pays», a promis Nasser Kanani.

Source Le Figaro (voir vidéos) 

 

 

 

 

Les Etats-Unis annoncent avoir tué Ayman al Zawahiri, le chef d'Al Qaïda et cerveau des attentats du 11-Septembre 2001

 

Le chef d'Al Qaïda tué dans une frappe américaine en Afghanistan a annoncé Joe Biden dans la nuit de lundi à mardi.

  • Le chef d'Al Qaïda était le cerveau des attentats du 11-Septembre 2001. Le chef d'Al Qaïda était le cerveau des attentats du 11-Septembre 2001.
    Le chef d'Al Qaïda était le cerveau des attentats du 11-Septembre 2001. Maxppp

Le chef d'Al Qaïda, Ayman al Zawahiri, a été tué au cours du week-end dans une attaque au drone menée par les Etats-Unis, a déclaré lundi le président américain Joe Biden, ce qui constitue le plus important revers porté au groupe islamiste depuis l'assassinat de son fondateur, Oussama ben Laden, en 2011.

Ayman al Zawahiri, chirurgien égyptien, est considéré comme l'un des cerveaux des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis qui ont fait près de 3.000 morts. Des représentants américains s'exprimant sous couvert d'anonymat ont indiqué que la frappe avait été menée dimanche à 06h18 locale dans la capitale afghane Kaboul.

"Justice a désormais été rendue, et ce chef terroriste n'est plus", a déclaré Joe Biden au cours d'un discours depuis la Maison blanche. "Peu importe le temps que cela prend, peu importe où vous vous cachez, si vous êtes une menace pour notre peuple, les Etats-Unis vous trouveront et vous élimineront".

Un haut représentant américain a fait savoir aux journalistes que les services du renseignement américain ont déterminé avec un haut degré de confiance que l'homme tué était Ayman al Zawahiri. Ce dernier a été tué alors qu'il se trouvait sur le balcon d'une maison de Kaboul qu'il partageait avec des membres de sa famille, a ajouté ce représentant, précisant qu'aucun civil n'avait été blessé ou tué. Joe Biden a déclaré qu'Ayman al Zawahiri était le cerveau ou impliqué dans plusieurs attaques contre des intérêts américains. "Zawahiri continuait de représenter une menace active pour les ressortissants, intérêts américains et pour la sécurité nationale américaine", a dit le haut représentant de l'administration américaine. "Sa mort constitue un sérieux revers pour Al Qaïda et va détériorer la capacité du groupe à opérer", a-t-il poursuivi au cours d'une conférence téléphonique.

PREMIÈRE FRAPPE DES ETATS-UNIS EN AFGHANISTAN DEPUIS LEUR RETRAIT

Ces dernières années, des rumeurs ont fait état à plusieurs reprises du décès du chef d'Al Qaïda, dont la santé aurait décliné de longue date. Se pose la question de l'éventuel asile accordé à Ayman al Zawahiri par les taliban, qui ont repris le pouvoir à Kaboul en août 2021. Le haut représentant de l'administration américaine a déclaré que les taliban étaient informés de la présence de Zawahiri à Kaboul. Il s'agit de la première frappe menée par les Etats-Unis en Afghanistan depuis le retrait des soldats et diplomates américains l'été dernier.

Elle pourrait servir à crédibiliser le discours de Washington selon lequel les Etats-Unis sont toujours en mesure de faire face aux menaces en provenance d'Afghanistan sans présence militaire sur le terrain. Le porte-parole des taliban, Zabihullah Moujahid, a confirmé dans un communiqué qu'une frappe s'était produite, la dénonçant comme une violation des "principes internationaux". Alors que les rumeurs le donnaient en fuite dans des zones rurales du Pakistan ou d'Afghanistan, Ayman al Zawahiri a été retrouvé grâce à un travail continu de lutte anti-terroriste, a dit le haut représentant américain.

Les Etats-Unis ont déterminé cette année que l'épouse et les enfants d'Ayman al Zawahiri s'étaient installés dans une "planque" à Kaboul, avant d'identifier la présence de Zawahiri lui-même sur les lieux, a ajouté le représentant. Joe Biden a tenu ces dernières semaines des réunions pour analyser les renseignements. Un projet d'opération lui a été proposé le 1er juillet, puis une version mis à jour le 25 juillet. Le président américain a alors autorisé une frappe contre Ayman al Zawahiri dès qu'une opportunité se présenterait. Ayman al Zawahiri et Oussama ben Laden avaient échappé aux Etats-Unis lorsque ceux-ci ont lancé une opération militaire en Afghanistan en 2001 en réponse aux attentats menés sur le territoire américain. Oussama ben Laden a été tué au Pakistan dans une opération des forces spéciales américaines en 2011.

Source

LIRE AUSSI: Ce que l'on sait de la mort d'Ayman al-Zawahiri, le chef d'Al-Qaïda tué par une frappe aérienne américaine en Afghanistan

 

 

 

 

Limoges (87) : des pompiers et des policiers visés par des jets de projectiles, de cocktails Molotov et de mortiers pendant une intervention, cinq heures d’affrontements, aucune interpellation

Des pompiers et des policiers ont été ciblés par des tirs de projectiles dans la nuit du lundi 1er au mardi 2 août alors qu’ils intervenaient sur un véhicule en feu dans le quartier du Val de l’Aurence à Limoges (Haute-Vienne), a appris franceinfo de source policière mardi. Les affrontements avec plusieurs jeunes ont duré près de cinq heures. Il n’y a pas eu d’interpellation.

Vers 23 heures, les pompiers de Limoges ont d’abord sollicité l’assistance des policiers pour pouvoir intervenir dans cette cité. À leur arrivée sur les lieux, ils ont tous été visés par des jets de pierre, de cocktails Molotov et de mortiers lancés par une trentaine de personnes encagoulées. Ces jeunes ont mis le feu à deux autres véhicules et empêchaient les pompiers d’intervenir en érigeant des barricades.

msn

 

 

 

Émeutes à Vitry-sur-Seine (94) : Le commissariat attaqué toute la nuit par des tirs de mortiers et des jets de cocktails Molotov (MàJ : Vidéo)

Une vingtaine d’individus ont pris pour cible le commissariat de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) pendant 45 minutes dans la nuit de dimanche à lundi. Trois interpellations ont eu lieu. Une personne a été placée en garde à vue ce mardi.


01/08/22

Deux personnes ont été interpellées après des tirs de mortiers d’artifice et de cocktails incendiaires contre le commissariat de Vitry-sur-Seine dans la nuit de ce dimanche à lundi.

Vers 1 heure du matin ce lundi, des pétards et des explosions ont retenti à Vitry-sur-Seine, autour du commissariat de police. Plusieurs mortiers d’artifice et des cocktails Molotov ont été jetés contre le bâtiment. “Ces tirs ont visé notamment des collègues qui se trouvaient à ce moment-là dans la cour extérieure”, précise un policier. Après le retour au calme, plusieurs équipages de police appelés en renfort de tout le département se sont rendus dans les quartiers avoisinants, à la recherche des auteurs présumés. Des heurts entre fonctionnaires et émeutiers ont émaillé la nuit avec de nouveaux tirs de mortiers d’artifices et l’usage de balles de défenses et de grenades. Des bouteilles incendiaires ont été retrouvées et deux personnes ont été interpellées.

Citoyens

 

 

 

 

Le Castellet (83) : il attend les gendarmes avec un hachoir et un couteau scotchés à ses mains pour les attaquer, un militaire blessé

Des gendarmes en intervention ce week-end au Castellet (Var) ont été confrontés à un individu s’étant scotché un hachoir et un couteau sur les mains, dans le but d’en découdre avec à eux.

Une scène pas banale et dangereuse. Des gendarmes de La Valette (Var) sont intervenus dans la nuit de samedi à dimanche au domicile d’une famille du Castellet, où un homme les attendait avec un hachoir et un couteau directement scotchés sur ses mains.

Alertés par des voisins pour des faits de violences conjugales, les militaires du PSIG (peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie) se sont donc retrouvés face au trentenaire, déjà bien connus des services judiciaires, rapporte France Bleu.

Prêt à en découdre et équipé de ses armes blanches, l’individu a aussi actionné une fronde, qui a envoyé une pierre d’un kilo sur les forces de l’ordre. Un gendarme a été blessé à l’épaule, se faisant attribuer quatre jours d’ITT.

(…) CNews

 

 

 

Savoie : quatre Italiens, soupçonnés d’être des passeurs, ont été interpellés à la frontière, les neuf clandestins syriens qu’ils accompagnaient ont reçu une OQTF

Ce week-end, la Police aux frontières et les gendarmes mobiles ont intercepté quatre passeurs italiens dans deux véhicules sur la route du Mont-Cenis (Savoie). Ils essayaient de faire entrer en France neuf étrangers de nationalité syrienne, dont trois enfants.

Dans la nuit du samedi 30 juillet au dimanche 31 juillet, à 3h10 du matin, la Police aux frontières et les gendarmes mobiles ont intercepté deux véhicules sur la route du Mont-Cenis (Savoie), la RD 1006. À l’intérieur des véhicules, il y avait quatre passeurs italiens. Les quadragénaires tentaient de faire entrer en France neuf étrangers de nationalité syrienne, six adultes âgés de 24 à 39 ans et trois enfants âgés de 1, 3 et 10 ans.  

Tous ont été conduits dans les locaux de la police aux frontières à Modane. Les ressortissants syriens ont reçu l’obligation de quitter le territoire français. Les quatre passeurs italiens devront, eux, s’expliquer devant le tribunal d’Albertville en mars prochain.

France Bleu

 

 

Le président de la Serbie affirme que les Kosovars préparent une opération militaire contre la minorité serbe vivant dans le nord du Kosovo

Graves tensions entre la Serbie et le Kosovo : Les rapports sont fragmentaires pour l’instant, mais des alarmes auraient retenti dans tout le nord du Kosovo, des coups de feu ont été entendus et des mouvements de troupes observés à la frontière entre les deux pays, tandis que les points de passage entre les deux nations seraient fermés.

Ilsole24ore.com

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