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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 4 aout 2022

 

 

DIRECT. Taïwan : 22 avions de combats chinois sont entrés dans la zone de défense aérienne de l'archipel, annonce le gouvernement

 

Ce qu'il faut savoir

Vingt-deux avions de combat chinois sont brièvement entrés jeudi 4 août dans la zone de défense aérienne taïwanaise, a annoncé sur Twitter le ministère de la Défense de l'archipel. Les systèmes de défense anti-aériens ont traqué les avions chinois, a-t-il ajouté sur son site internet. La Chine a entamé dans la matinée de grandes manœuvres militaires dans les eaux entourant Taïwan en réaction à la visite de l'élue américaine Nancy Pelosi. Suivez notre direct.

 

Des missiles chinois suspectés d'être tombés dans la zone économique exclusive du Japon.  "Le Japon a déposé une protestation auprès de la Chine par la voie diplomatique", a souligné le ministre de la Défense du pays Nobuo Kishi, qualifiant l'incident de "problème grave qui affecte notre sécurité nationale et celle de nos citoyens". Certaines îles d'Okinawa, à l'extrême sud du Japon, se trouvent à quelques dizaines de kilomètres seulement de Taïwan. 

Taïwan "se prépare à la guerre"L'armée taïwanaise a affirmé "se préparer à la guerre sans chercher la guerre". Le porte-parole du ministère de la Défense de l'île avait fustigé la veille "un acte irrationnel visant à défier l'ordre international". Selon lui, d'ailleurs, ces manœuvres de la Chine "empiètent sur les eaux territoriales de Taïwan".

L'UE condamne des manœuvres "agressives"Josep Borrell, le chef de la diplomatie de l'Union européenne, a condamné les manœuvres militaires "agressives" de la Chine. Selon lui, il n'y a "aucune justification" à utiliser "comme prétexte" la visite à Taïwan de l'élue démocrate américaine Nancy Pelosi.

 

 

17h48 : Vingt-deux avions chinois sont entrés dans l'espace aérien de Taïwan aujourd'hui, affirme le ministre de la Défense taïwanais, un décompte similaire à celui des jours précédents. Taïwan confirme aussi avoir été survolée par quatre des missiles tirés par la Chine ce matin lors de manoeuvres militaires répondant à la visite de la présidente de la Chambre des représentants américaine, Nancy Pelosi.

 

16h42 : Le Japon affirme que quatre des cinq missiles chinois qui sont tombés dans sa zone économique exclusive, dans le cadre de manoeuvres militaires, "auraient survolé l'île de Taïwan". Ce serait la première fois que des missiles tirés par la Chine font un tel survol de ce territoire indépendant sur lequel Pékin revendique la souveraineté. Tokyo appelle à "l'arrêt immédiat" de ces manoeuvres, censées durer jusqu'à dimanche.

 

14h31 : Le ministre de la Défense du Japon annonce que cinq missiles tirés ce matin par la Chine, dans le cadre de ses manoeuvres militaires autour de Taïwan, "sont suspectés d'être tombés dans la zone économique exclusive du Japon", c'est-à-dire les eaux sous autorité japonaise. C'est une première Le ministre affirme que Tokyo a "déposé une protestation auprès de la Chine par la voie diplomatique".

DIRECT

 

 

 

 

La Chine lance trois jours d’exercices militaires par des tirs en direction de Taïwan

 

Les exercices militaires ont lieu dans six zones autour de Taïwan, dont certaines empiètent sur les eaux territoriales taïwanaises.

Des hélicoptères militaires chinois survolent l’île de Pingtan (Chine), en direction de Taïwan, le 4 août.

A midi, heure de Pékin, l’Armée populaire de libération a lancé ses plus grands exercices militaires jamais effectués à proximité de Taïwan, jeudi 4 août. Des hélicoptères de l’armée de l’air chinoise ont survolé l’île de Pingtan, dans la province du Fujian, en direction de Taïwan, d’après des vidéos de journalistes de l’AFP sur place, et des tirs de missiles de précision ont été effectués.

 

Au lendemain du départ de Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants américaine, qui s’est entretenue avec la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen, des navires de guerre et des avions de combat chinois sont déployés dans six zones tout autour de l’île de Taïwan pour trois jours d’exercices qui risquent de perturber le trafic maritime dans le détroit de Taïwan, et présentent des risques d’escalade militaire importants. En effet, les zones choisies par l’état-major chinois pour les exercices empiètent sur les eaux territoriales taïwanaises (20 kilomètres autour des côtes)...

Source

 

 

 

 

Tensions en Asie : d'impressionnantes images des tirs de missiles chinois à proximité de Taïwan

 

La Chine a tiré plusieurs missiles à proximité de Taïwan jeudi, alors que son armée a lancé une série d'exercices militaires dans les eaux et dans l'espace aérien entourant l'île autonome que Pékin considère comme son territoire souverain

L'armée chinoise a déclaré avoir effectué de multiples tirs de missiles conventionnels sur les eaux au large de la côte orientale de Taïwan dans le cadre des exercices prévus. Des images de ces tirs ont très vite été publiées sur les réseaux sociaux et authentifiées par plusieurs médias. D'autres vidéos ont directement été postées par les médias chinois. 

Le ministère de la défense de Taïwan a indiqué que plusieurs missiles Dongfeng ont été tirés dans les eaux situées au nord-est et au sud-ouest de l'île. Deux missiles ont également été lancés par la Chine près des îles Matsu de Taïwan, qui se trouvent au large de la côte chinoise, vers 14 heures, heure locale (06h00 GMT), en direction des zones d'exercice annoncées par la Chine, selon un rapport interne de la sécurité taïwanaise consulté par Reuters et confirmé par une source de sécurité taïwanaise.

Le porte-parole du cabinet taïwanais, exprimant sa vive condamnation des exercices, a également déclaré que les sites Internet des ministères de la Défense, des Affaires étrangères et du bureau présidentiel avaient été attaqués par des pirates informatiques. Ces manœuvres, réparties sur six sites, doivent se terminer dimanche à midi heure locale (04h00 GMT), selon les informations rapportées par la télévision d'Etat, et font suite à la visite de la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, à Taïwan, un voyage condamné par Pékin, qui revendique le territoire.

La zone concernée encercle quasiment l'île, par le nord, l'est et le sud, et traverse les 12 miles nautiques d'eaux territoriales revendiquées par Taïwan, ce qui, selon Taipei, remet en cause l'ordre international et équivaut à un blocus de son espace maritime et aérien. Cette zone de manœuvres est sans précédent, a déclaré Meng Xiangqing, professeur à l'Université chinoise de la défense nationale, à la télévision d'État. Il estime par ailleurs plausible une opération militaire réelle contre Taïwan.

"En fait, cela crée de très bonnes conditions pour nous lorsque, à l'avenir, nous remodèlerons notre paysage stratégique en faveur de notre unification", a dit Meng Xiangqing Les forces chinoises présentes dans deux zones au large de la côte nord de Taïwan pourraient potentiellement bloquer Keelung, un port important, tandis que des frappes pourraient être lancées depuis une zone située à l'est de Taïwan et cibler les bases militaires de Hualien et Taidong, a-t-il ajouté. Les "portes" de Kaoshiung pourraient également être bloquées par les militaires chinois au large de la côte sud-ouest, a ajouté le professeur.

 

 

Medvedev de Russie dit que les États-Unis feront face à des conséquences mondiales après le voyage de Pelosi à Taiwan

 

MOSCOU (Spoutnik) – Les États-Unis subiront de graves conséquences mondiales, telles que la détérioration de la situation sécuritaire en Asie, après la visite de la présidente de la Chambre des États-Unis Nancy Pelosi à Taïwan, a déclaré jeudi à Sputnik le vice-président du Conseil de sécurité russe et ex-président Dmitri Medvedev.

« C'est probablement ce que les Américains, qui alimentent les tensions régionales, ont voulu, mais en vain. Après tout, ils auront des conséquences bien plus graves à l'échelle mondiale. La sécurité en Asie va se dégrader dramatiquement. continuent de baisser. Les prix de l'essence et des produits alimentaires vont augmenter », a déclaré Medvedev.

Il a également exprimé son scepticisme concernant les déclarations de la Maison Blanche, qui affirmait que l'administration n'avait pas approuvé le voyage de Pelosi et l'avait mise en garde contre les risques possibles . Medvedev a noté qu'il ne s'agissait que d'une pièce de théâtre.

 

 

"De telles visites sont planifiées à l'avance. Des scénarios sont écrits pour tous les participants. Les rôles y sont distribués, les propos sont scrupuleusement coordonnés. Il n'y a pas de contradictions internes entre l'administration Biden et le Congrès sur cette question", a déclaré l'ex-président.

 

 

Pelosi s'est rendue à Taïwan mardi dans le cadre de sa tournée asiatique, malgré les multiples avertissements de Pékin, affirmant qu'une telle décision est une provocation sapant les relations américano-chinoises et une violation de la politique d'une seule Chine, qui stipule que Taïwan n'est pas un pays indépendant. État, mais une partie du pays.

À la suite de la visite, la situation s'est fortement aggravée, la Chine lançant des exercices militaires à grande échelle avec des exercices de tir réel.

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : La star américaine de basket Brittney Griner demande au tribunal de « ne pas mettre fin à sa vie »…

 

L’ESSENTIEL

  • En Russie, une audience se tiendra ce jeudi à 13 heures au procès de la basketteuse américaine Griner pour trafic de drogue.
  • Le comité de créanciers CDDC se réunit à 15 heures (13H00 GMT) pour discuter de la dette russe.
  • Le Sénat américain a approuvé mercredi soir une résolution ratifiant les protocoles d’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’Otan.

 

 

15h55 : L’Ukraine « indignée » par les accusations « injustes » d’Amnesty

Le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kouleba, s’est dit jeudi « indigné » par les accusations « injustes » de l’ONG Amnesty International, qui a reproché à Kiev de mettre en danger des civils dans le cadre de la guerre avec Moscou. « Je suis indigné tout comme vous par le rapport d’Amnesty International. Je le considère comme injuste », a dit Dmytro Kouleba dans un commentaire par vidéo publié sur Facebook.

 

15h49 : Quelques 100.000 réfugiés ukrainiens en France

Plus de cinq mois après la guerre en Ukraine, le seuil des 100.000 réfugiés ukrainiens en France a été franchi cette semaine, a indiqué le directeur général de l'Office français de l'immigration et de l'intégration (Ofii) Didier Leschi.

 

14h44 : « Moment le plus dangereux pour l’Europe depuis la Seconde Guerre mondiale »

Selon Jens Stoltenberg, la guerre en Ukraine est le moment le plus dangereux pour l’Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. « Si la Russie gagne, elle aura la confirmation que la violence fonctionne. D’autres pays voisins pourraient alors être les suivants », a déclaré le secrétaire général de l’OTAN.

 

14h23 : « Extrêmement préoccupée » par la situation au Nagorny Karabakh, la Russie « appelle à la retenue »

La Russie s’est déclarée jeudi « extrêmement préoccupée » par l’escalade des tensions qui a fait au moins trois morts au Nagorny Karabakh, région séparatiste azerbaïdjanaise soutenue par l’Arménie, en appelant à la « retenue ».

« Nous sommes extrêmement préoccupés par l’escalade des tensions (…) et appelons les parties à faire preuve de la retenue et à respecter le cessez-le-feu », a indiqué la diplomatie russe dans un communiqué, précisant que Moscou était en « contact étroit » avec Bakou et Erevan pour « stabiliser » la situation sur le terrain.

 

12h02 : La Russie va lancer en orbite un satellite iranien la semaine prochaine

La Russie va lancer en orbite un satellite iranien de télédétection la semaine prochaine, ont confirmé Moscou et Téhéran, un peu plus de deux semaines après la visite du président russe Vladimir Poutine en Iran.

« En coopération avec la Russie, le satellite Khayyam sera lancé par une fusée Soyouz la semaine prochaine depuis le cosmodrome (russe) de Baïkonour, au Kazakhstan », a annoncé l’agence spatiale iranienne mercredi soir.

Ce satellite, nommé en l’honneur du poète et savant persan Omar Khayyam (1048-1131), a notamment pour but de « surveiller les frontières du pays », d’améliorer la productivité agricole, de contrôler les ressources hydriques et les catastrophes naturelles.

Le lancement est prévu mardi, a confirmé la Russie.

 

11h18 : L'Arménie demande aux soldats de la paix russes d’agir au Nagorny Karabakh

Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a appelé jeudi les soldats de la paix russes déployés au Nagorny Karabkh à agir après une nouvelle flambée de violences entre l’armée azerbaïdjanaise et des séparatistes arméniens dans cette enclave disputée.

« Au Nagorny Karabakh, il y a une ligne de contact où sont déployés des soldats de la paix, et ce territoire est sous leur responsabilité. Nous attendons que chaque tentative de violer la ligne de contact soit empêchée par le contingent de soldats de la paix », a-t-il déclaré lors d’une réunion de son gouvernement.

La veille, l’Azerbaïdjan avait affirmé avoir pris le contrôle de plusieurs positions et détruit des cibles arméniennes au Nagorny Karabakh, lors d’une escalade qui a fait au moins trois morts et ravivé le risque de guerre.

DIRECT

 

 

 

Nouvelle flambée de violence au Karabakh, Bakou prend plusieurs positions, trois morts

 

 

L’Azerbaïdjan a affirmé avoir pris le contrôle mercredi de plusieurs positions et détruit des cibles arméniennes au Nagorny Karabakh, lors d’une escalade qui a fait trois morts et ravivé le risque de guerre dans cette enclave montagneuse
Vers une guerre de religion, infos du 4 aout 2022

Deux combattants arméniens et un soldat azerbaïdjanais ont été tués mercredi dans des violences près du Nagorny Karabakh, une enclave séparatiste soutenue par Erevan où les tensions sont restées vives depuis une guerre en 2020. Ces incidents risquent de peser sur les pourparlers de paix qui ont lieu depuis plusieurs mois entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie, deux ex-républiques soviétiques rivales du Caucase, avec la médiation de l’Union européenne.

Mercredi, deux membres des forces séparatistes arméniennes ont été tués et 14 blessés dans une frappe de drone azerbaïdjanaise, ont déclaré les autorités de l’enclave, dénonçant une « violation flagrante du cessez-le-feu ».

Dans l’autre camp, le ministère azerbaïdjanais de la Défense a annoncé la mort d’un conscrit après que des « tirs nourris » ont visé une position de l’armée azerbaïdjanaise dans le district de Latchin, une zone tampon entre la frontière arménienne et le Nagorny Karabakh, affirmant avoir pris le contrôle mercredi de plusieurs zones et détruit des positions de combat arméniennes.

« Le contrôle a été établi sur plusieurs hauteurs importantes », dont des collines, a déclaré le ministère azerbaïdjanais de la Défense dans un communiqué, ajoutant que ses forces étaient en train de fortifier ces positions.

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Note; les conflits se multiplient c'est pas bon signe.

 

Apocalypse 6:3.4  Quand il ouvrit le second sceau, j'entendis le second être vivant qui disait: Viens. Et il sortit un autre cheval, roux. Celui qui le montait reçut le pouvoir d'enlever la paix de la terre, afin que les hommes s'égorgeassent les uns les autres; et une grande épée lui fut donnée.

 

 

 

 

TNP : les États-Unis et l'OTAN mènent les provocations et créent les conditions d'un scénario nucléaire, avertit un universitaire

 

 

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a averti que l'humanité était "à une erreur de calcul de l'anéantissement nucléaire" alors que la conférence d'examen du Traité sur la non-prolifération nucléaire (TNP) d'un mois a commencé le 1er août à New York.

La dixième Conférence d'examen du TNP a débuté lundi pour examiner comment les acteurs mondiaux adhèrent au traité historique visant à empêcher la propagation des armes nucléaires.

Lors de l'ouverture de la conférence, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a lancé un terrible avertissement concernant les menaces nucléaires en Asie, au Moyen-Orient et en Europe.

Il a également mentionné l'opération militaire spéciale en cours en Ukraine, qui a été lancée par la Russie le 24 février pour démilitariser et dénazifier l'État d'Europe de l'Est. Les représentants des États-Unis, du Japon et de l'Allemagne ont également pointé du doigt la Russie, affirmant sans fondement qu'elle a mis le TNP en danger. Ils sont cependant restés silencieux sur les derniers efforts militaires des États-Unis et de l'OTAN.

Vers une guerre de religion, infos du 4 aout 2022

"Je pense qu'il est malheureusement évident que depuis un certain temps, l'ONU est devenue un larbin de l'Occident", a expliqué Bruce Gagnon, directeur du Réseau mondial contre les armes et l'énergie nucléaire dans l'espace. "Alors que les États-Unis sont très en retard dans le paiement de leur dû à l'ONU, ils sont toujours en mesure d'utiliser l'organisme international pour projeter et protéger leur propre programme militariste (…) Le secrétaire général de l'ONU semble réticent ou incapable de critiquer directement les États-Unis pour son bellicisme constant ou son rejet des traités de désarmement ».

Selon Gagnon, "il est extrêmement injuste" que le secrétaire général de l'ONU reproche à la Russie d'avoir soi-disant créé des "tensions internationales" tout en "gardant le silence sur l'expansion mondiale des États-Unis et de l'OTAN qui a déclenché un conflit pouvant conduire à une guerre nucléaire brûlante avec la Russie". et la Chine."

 

Washington est « opposé au traité »

Le directeur du groupe de réflexion a attiré l'attention sur le fait que les États-Unis sont devenus "opposés aux traités", mettant ainsi en danger la stabilité mondiale et le TNP vieux de 50 ans.

"Le retrait de Washington de traités tels que le Traité sur les missiles anti-balistiques (ABM), le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (INF) et d'autres accords similaires a prouvé que les États-Unis n'ont ni intérêt ni intention d'aider à créer un ordre international stable et pacifique. ," il a dit.

(..)

Les États-Unis et l'OTAN arment l'Ukraine et provoquent la Chine à Taiwan

Cependant, l'administration Biden n'est pas moins imprudente et belliciste que ses prédécesseurs, selon le chercheur.
 
 

« Le secrétaire d'État Antony Blinken a condamné ce qu'il appelle les « coups de sabre de la Russie » au moment même où Washington et Bruxelles arment l'Ukraine dans leur guerre par procuration contre la Russie », a souligné M. Gagnon. "Le New York Times a rapporté le 25 juin que la CIA (et d'autres services de renseignement occidentaux) menaient essentiellement la guerre à l'intérieur de l'Ukraine - notamment en fournissant les coordonnées de ciblage par satellite pour le HIMARS et d'autres systèmes de missiles fournis par l'Occident. Si tel n'est pas le cas, s'agit-il d'une provocation sérieuse, alors comment pourrait-on l'appeler autrement ? Peut-être une crise des missiles cubains à l'envers ? »

En décembre 2021, la Russie a remis des projets d'accords de sécurité aux États-Unis et à l'OTAN, qui cherchaient à apaiser les tensions suscitées par l'expansion de l'alliance transatlantique vers l'est depuis des décennies et les efforts de Washington pour armer l'Ukraine et créer de nouvelles installations militaires aux portes de la Russie.

Les projets de documents de la Russie envisageaient la non-expansion de l'OTAN, la non-admission de l'Ukraine dans le bloc militaire, le non-déploiement de systèmes d'armes offensives près des frontières de la Russie et le retour des capacités et des infrastructures européennes de l'OTAN aux niveaux de 1997. Moscou a averti les États occidentaux que si ses propositions étaient rejetées, la Russie aurait recours à une option militaro-technique. Cependant, l'initiative a été ignorée par les États-Unis et l'OTAN, ainsi que par l'UE.

"Si les dirigeants de l'ONU étaient sérieux au sujet de la" désescalade "d'un conflit nucléaire potentiel, ils pourraient essayer de désigner les nations qui sont les agents de l'escalade dans le monde aujourd'hui", a déclaré Gagnon.

Ainsi, alors que le secrétaire d'État américain Blinken, le Premier ministre japonais Fumio Kishida et la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock accusaient la Russie d'avoir prétendument mis en danger le TNP et sa soi-disant « rhétorique nucléaire irresponsable », ils ont omis de mentionner la menace du président ukrainien Volodymyr Zelensky de reconsidérer l'accord de Kiev statut non nucléaire en vertu du Mémorandum de Budapest de 1994. Zelensky a fait cette remarque publique le 19 février lors de la conférence de Munich sur la sécurité.

De même, alors que Blinken affirmait que la Russie mettait en danger la sécurité de la centrale nucléaire de Zaporizhzhya – ce que Moscou a résolument nié – le secrétaire d'État américain a hésité à réprimander les groupes de sabotage de Kiev qui ont provoqué des affrontements à la centrale le 4 mars . Des unités ukrainiennes ont également été détectées en train de détruire des installations du réseau électrique qui fournissent de l'électricité à la centrale nucléaire de Tchernobyl. Les deux provocations ont été contrecarrées par l'armée russe, les réacteurs nucléaires et les infrastructures critiques n'ayant subi aucun dommage .

Pendant ce temps, juste au moment où la conférence d'examen du TNP commençait, Washington au voyage provocateur de la présidente de la Chambre Nancy Pelosi à Taiwan au mépris des avertissements répétés de Pékin. En conséquence, la région de l'Asie du Sud-Est a vu une concentration accrue des forces militaires par deux puissances nucléaires près de l'île.

« Les institutions contrôlées par l'Occident sont chargées d'hypocrisie », a souligné Gagnon. "Ils doivent accepter un certain niveau de responsabilité pour l'état extrêmement instable du monde aujourd'hui. Soyons honnêtes et admettons que la machine de guerre sans fin des États-Unis et de l'OTAN est en effet les principaux provocateurs dans le monde - ceux-là mêmes qui créent les conditions d'une guerre nucléaire."

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

 

En Afrique, les missions de l'ONU "en fin de course"

 

Le gouvernement congolais a appelé au départ du porte-parole de la Monusco, la mission des Nations unies, a-t-on appris mercredi, alors qu’une vague de violentes manifestations contre la présence des Casques bleus a fait 36 morts. Le 20 juillet dernier, les autorités maliennes avaient elles aussi expulsé le représentant des Nations unies, dans un contexte de fortes tensions. Comment expliquer cette défiance grandissante vis-à-vis des forces de l’ONU en Afrique ? Entretien.

 

La mission des Nations unies en République démocratique du Congo se dirige-t-elle vers un retrait anticipé ? Un courrier rendu public mercredi 3 août révèle que le gouvernement congolais a demandé à l'ONU le départ de son porte-parole dans le pays. Une requête qui intervient dans un contexte de violentes manifestations dans l’est du pays contre la présence des Casques bleus, qui a coûté la vie à 36 personnes en une semaine.

Présente depuis 22 ans dans le pays, la mission de l'ONU en RDC (Monusco), est l’une des plus importantes et des plus coûteuses au monde, avec quelque 14 000 soldats de la paix sur le terrain. Mais son efficacité est remise en question par la population, notamment dans la région du Kivu, où les civils sont la cible d’exactions de groupes armés.

Pour faire le point sur cette crise de confiance à l’égard des Casques bleus, France 24 s’est entretenu avec Michel Luntumbue, chercheur au Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité (GRIP), spécialiste des questions sécuritaires en Afrique.

Comment expliquez-vous cette soudaine montée de tensions autour de la présence de la Monusco dans le pays au cours des dernières semaines ?

Cette crise doit être replacée dans le contexte sécuritaire complexe et fragile de la République démocratique du Congo. Il s’agit d’un pays immense, aux richesses fabuleuses mais dirigé par un pouvoir faible et qui suscite les convoitises de puissances étrangères ainsi que des pays riverains depuis plusieurs décennies.

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Gérald Darmanin : « Aujourd’hui, les étrangers représentent 7 % de la population française et commettent 19 % des actes de délinquance. À Lyon et à Paris, 39 % et 48 % des actes de délinquance sont le fait d’étrangers »

ENTRETIEN EXCLUSIF – Le ministre de l’Intérieur annonce au Figaro un débat sur l’immigration et dévoile les pistes de l’exécutif pour mieux lutter contre l’insécurité.

[…]

 

Comment simplifier le contentieux des étrangers, qui reste un casse-tête en France ?

Aujourd’hui, les recours peuvent se multiplier et durer plusieurs années. C’est bien trop long ! Ces délais permettent à certains de se volatiliser dans la nature. C’est pourquoi nous proposons de simplifier les règles du contentieux des étrangers, conformément aux orientations du Conseil d’État et de l’excellent rapport du sénateur LR François-Noël Buffet. Cela passe notamment par une forte réduction du nombre de procédures applicables.

[…]

 

Établissez-vous un lien entre insécurité et immigration ?

Nous ne sommes ni dans la naïveté générale de l’extrême gauche, ni dans la caricature absolue de l’extrême droite. Nous ne jugeons pas les étrangers pour ce qu’ils sont, mais pour ce qu’ils font. S’ils souhaitent s’intégrer à la République, ils sont les bienvenus. S’ils ne respectent pas nos valeurs et nos lois, ils doivent partir. Aujourd’hui, les étrangers représentent 7 % de la population française et commettent 19 % des actes de délinquance. Refuser de le voir, ce serait nier le réel. Mais il serait faux de réduire la délinquance aux étrangers. Nous devons avoir davantage de fermeté lorsqu’on constate que, à Lyon et à Paris, respectivement 39 % et 48 % des actes de délinquance sont le fait d’étrangers, souvent des multirécidivistes qui n’ont rien à faire sur notre sol et que je vais m’employer à expulser.

[…]

 

Le Figaro

Ce que disait Gérald Darmanin :

 

 

Bordeaux : une femme agressée sexuellement par un Algérien en situation irrégulière, un passant est intervenu pour la défendre

Un trentenaire était jugé ce mercredi 3 août pour agression sexuelle par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Les faits se sont déroulés en début de semaine

C’est un passant qui a donné l’alerte, ce lundi 1er août, quand il a vu un homme plaquer une femme contre un mur, cours de la Marne à Bordeaux, et lui imposer des caresses sur les seins. Il a même volé au secours de la victime, une jeune sans domicile fixe injoignable depuis les faits.

Interpellé un peu plus loin une bière à la main, titubant et la braguette ouverte, un homme correspondant au signalement – nord-africain, short noir, haut gris et sac à dos rouge – était jugé ce mercredi 3 août par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Cet Algérien de 34 ans en situation irrégulière était en outre poursuivi pour maintien irrégulier sur le territoire français.

[…]

 

Sud-Ouest

 

 

 

Un « ambassadeur aux droits LGBT+ » sera « nommé avant la fin de l’année », annonce Elisabeth Borne

La bataille n’est pas gagnée, il y a encore des étapes à franchir.” La Première ministre Elisabeth Borne a annoncé, jeudi 4 août, la nomination “avant la fin de l’année” d’un “ambassadeur aux droits LGBT+” . Rattaché au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, ce dernier “portera la voix de la France et défendra notamment la dépénalisation universelle de l’homosexualité et de la transidentité“, a précisé la cheffe du gouvernement.

Elisabeth Borne s’est exprimée lors d’une visite du centre LGBT+ d’Orléans (Loiret), à l’occasion du quarantième anniversaire de la dépénalisation de l’homosexualité. La Première ministre a également annoncé la mise en place d’un fonds de 3 millions d’euros dans le but de créer dix nouveaux centre LGBT+ et financer ceux qui existent déjà. Nous voulons qu’il y ait deux centres au moins dans chaque région de l’Hexagone et un centre au moins dans chaque région d’Outre-mer“, a-t-elle ajouté.

francetvinfo

 

 

En défendant l'IVG, les habitants du Kansas ont aussi conforté Biden • FRANCE 24

 

 

Note : pour info Trump est contre, alors que ces maudits démocrates sont pour (personnellement je suis contre l'avortement après deux mois de grossesse, et pour l'avortement en cas de viol et d'inceste) 

Droit à l'avortement révoqué : «C'est la volonté de Dieu», assure Donald Trump

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