Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

____________________

Le 22 septembre

 

 

Pourquoi l'idée d'un essai nucléaire nord coréen dans le Pacifique est très inquiétante

 

L'explosion à l'air libre d'une bombe atomique serait une première depuis la fin de ce type d'essais en 1980.

La provocation du président américain Donald Trump à l'encontre de la Corée du Nord, qu'il a menacée de «totalement détruire» dans son discours à l'ONU, a clairement porté ses fruits. Mais peut-être pas ceux qu'il attendait. Non seulement Kim Jong-un a proféré un flot d'injures contre l'Américain, promis de poursuivre son programme nucléaire, et menacé de discipliner «par le feu le gâteux américain mentalement dérangé». Le chef de la diplomatie nord-coréenne Ri Yong-ho a été plus précis, et a expliqué que son pays pourrait mener «un essai de bombe H d'un niveau sans précédent, peut-être au-dessus du Pacifique».

Depuis le début de son programme, la Corée du Nord a déjà fait exploser six bombes nucléaires et a testé cet été ses premiers missiles balistiques capables de frapper l'Europe et le continent nord-américain. Mais un essai nucléaire dans le Pacifique serait bien plus dangereux que tout ce qui a déjà été réalisé par le régime de Pyongyang. Car pour faire exploser une charge nucléaire, que ce soit une puissante bombe H ou une plus classique bombe atomique (à fission) aussi loin du territoire nord-coréen, il faut l'installer sur un missile. Or, à ce jour, les tests de bombes et de missiles ont toujours été réalisés de manière séparée. Et pour une bonne raison: chaque type de test présente des risques particuliers, et les combiner est plus que risqué.

Lire la suite

 

 

 

Pékin dit «non» aux nouvelles sanctions US à l’encontre de Pyongyang

 

Pékin n’approuve pas les nouvelles sanctions américaines appliquées à l’encontre de la Corée du Nord sans l’approbation du Conseil de sécurité de l’Onu, a affirmé le porte-parole officiel du ministère chinois des Affaires étrangères Lu Kang.

Pékin a critiqué en termes forts les nouvelles sanctions que le Président américain a introduites à l'encontre de Pyongyang.

«Si vous parlez du nouveau paquet de sanctions signé hier par le Président Trump, la position de la Chine sur cette question est déjà connue: nous sommes opposés aux sanctions unilatérales introduites en dehors du cadre du Conseil de sécurité de l'Onu. Cette position est claire et cohérente», a souligné le porte-parole officiel du ministère chinois des Affaires étrangères Lu Kang.

Les États-Unis durcissent les sanctions contre la Corée du Nord, a déclaré jeudi 21 septembre le Président américain Donald Trump, soulignant que le décret qu'il a signé visait à mettre fin au financement du programme militaire de Pyongyang et affectait, en particulier, les compagnies de messageries maritimes et les chaînes de commerce nord-coréennes importantes.

Dans le même temps, le locataire de la Maison-Blanche a appelé les «pays responsables» à respecter les sanctions de l'Onu et à imposer leurs propres restrictions financières à la Corée du Nord, en s'inspirant de celles mises en place par les États-Unis.

Source

 

Notes : les "pays responsables" ! comme la Chine qui continue a faire commerce avec la Corée du Nord

 

Lavrov: le partage de la Syrie est inadmissible, il entraînera une réaction en chaîne

 

Le partage de la Syrie entraînera une réaction en chaîne au Proche-Orient, a déclaré vendredi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d'une conférence de presse finale organisée à New York dans le cadre de la 72e session de l'Assemblée générale de l'Onu.

«Il faut éviter le partage de la Syrie, sinon une réaction en chaîne commencera au Proche-Orient. Ce serait l'objectif de certains pays qui profitent du chaos dans cette région», a indiqué M.Lavrov.

Selon lui, il est déjà temps de réfléchir sur les moyens de rétablir l'intégrité territoriale de la Syrie sans attendre la fin de la lutte contre le terrorisme.

Le ministre a rappelé que les quatre zones de désescalade mises en place en Syrie ne fonctionneront que six mois.

«Une période de six mois a été fixée pour ce concept. Nous avons déjà déclaré que nous souhaitons encourager la réconciliation nationale pendant l'existence des zones de désescalade. Il faut lancer le dialogue national et jeter les bases du processus politique. Ces efforts compléteront ceux de Genève», a noté le ministre.

Lire la suite

 

 

Lire aussi : Une confrontation entre la Russie et les USA à Deir ez-Zor est-elle possible?

 

Damas: Washington hostile à la participation de la Syrie à la libération de Deir ez-Zor

 

Selon le chef de la diplomatie syrienne, Washington est hostile à la participation de Damas dans la libération de Deir ez-Zor en coopération avec Téhéran et Moscou.

Les États-Unis ne veulent pas que les forces syriennes participent à la libération de la ville de Deir ez-Zor des djihadistes, a déclaré le ministre syrien des Affaires étrangères Walid al-Mouallem.

Il a également accusé Washington de chercher à torpiller le réglement de la crise syrienne avec l'aide de «terroristes sous son contrôle».

«Ils sont mécontents des succès de la conférence d'Astana et c'est pourquoi ils se sont mis à aider le Front al-Nosra», a affirmé le chef de la diplomatie syrienne en marge de l'Assemblée générale de l'Onu à New York.

Lire la suite

 

Notes : Tous les pays qui font la guerre en Syrie, vont bientôt se retrouver dans les mm secteurs de combat (coalisions Américaine, Russie, armé Syrienne, opposition syrienne et l'EI), un faux pas, ou une provocation américaine de trop, (ou une fausse attaque au chimique) pourrait mette le feu à la poudrière

 

Les voisins de la Syrie accueillent Daech «à bras ouverts»

 

Alors que les forces gouvernementales syriennes continuent leur percée dans la région de l’Euphrate, l’expert militaire Viktor Baranets affirme au micro de Sputnik que des objectifs importants devront encore être atteints par l’armée syrienne, tandis que les terroristes de Daech fuient dans les pays voisins qui les accueillent «à bras ouverts».

Même si Daech a déjà été évincé de la majeure partie du territoire syrien, le combat n'est pas encore gagné une fois pour toutes, explique à Sputnik l'expert militaire et colonel en retraite Viktor Baranets.

«Les 15% restants [du territoire syrien, ndlr] peuvent s'avérer être incroyablement difficiles. Oui, les djihadistes quittent Deir ez-Zor, une partie se dirige vers Raqqa où ils s'apprêtent à donner leur dernier combat. C'est leur dernier bastion, sur lequel ils plaçaient de grands espoirs mais apparemment, à Washington et à Londres, cette position a été revue et on leur a ordonné de "foutre le camp". Quelques groupes de terroristes ont déjà traversé la frontière avec la Jordanie où ils se sont installés. Il semblerait que le Qatar et l'Arabie saoudite les accueille également "à bras ouverts". On peut tirer la conclusion stratégique qu'une partie des troupes terroristes se disperse dans les pays voisins mais ils ne resteront pas là-bas les bras croisés, ils vont préparer la contre-attaque», a-t-il déclaré.

Lire la suite

 

 

Kim Jong-un veut «faire payer» Donald Trump pour son discours à l'ONU

 

Le dictateur nord-coréen menace les États-Unis de «contre-mesures radicales» tandis que son ministre des Affaires étrangères évoque la possibilité d'un prochain essai nucléaire dans le Pacifique.

Nouvel épisode dans la série d'échanges fleuris entre le président américain et le dictateur nord-coréen. Pour Kim Jong-un, Donald Trump ne serait qu'un «radoteur mentalement déséquilibré» auquel il promet de «faire payer» son discours musclé à l'ONU au cours duquel le président américain avait menacé de rayer la Corée du Nord de la carte.

 

«Ses remarques [...] m'ont convaincu, plutôt que de m'effrayer ou de m'arrêter, que la voie que j'ai choisie est correcte et que c'est celle que je dois suivre jusqu'au bout, a-t-il expliqué dans une rare déclaration publique diffusée par les médias officiels. Et de se livrer lui aussi à une petite série de noms d'oiseau, qualifiant Donald Trump de «radoteur américain mentalement déséquilibré» ou encore de «voyou et gangster qui aime jouer avec le feu, plutôt qu'un dirigeant politique».

Lire la suite

 

Trump promet une «épreuve inédite» au «forcené» de Kim Jong-un

 

Alors que les tensions ne cessent de grimper autour de la péninsule coréenne, le chef de la Maison-Blanche a promis de mettre Kim Jong-un à l'épreuve «comme jamais».

Un homme devant l'écran montrant Kim Jong-un et Donald Trump
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un sera «mis à l'épreuve comme jamais», a promis le Président US sur son compte Twitter.

«Kim Jong-un de la Corée du Nord, qui est de toute évidence un forcené prêt à imposer la faim à son peuple et à le tuer, sera mis à l'épreuve comme jamais», a écrit M.Trump sans plus de précisions.

Source

 

L’aéroport de Damas frappé par des roquettes, possible attaque d’Israël

 

Deux roquettes ont frappé vendredi l'aéroport de Damas, annonce al-Masdar News supposant que l’attaque aurait pu être menée par des avions de combat israéliens.

L'aéroport de Damas a été frappé par deux roquettes lors d'une attaque lancée depuis un pays étranger, a déclaré le média al-Masdar News

Le média suppose que la frappe aurait pu être réalisée par des avions de combat israéliens.

Pour le moment, la chaîne ne fournit aucun autre détail sur l'incident.    

Une porte-parole de l'armée israélienne a refusé de commenter l'incident. «Nous ne répondons pas à de tels rapports», a-t-elle lancé, citée par Reuters.

Plus tôt, l'armée syrienne a signalé une attaque aérienne israélienne contre un site militaire dans la province de Hama.

Israël a déclaré avoir frappé des convois de l'armée syrienne et du groupe Hezbollah, soutenu par l'Iran, près de 100 fois au cours des cinq dernières années, signale Reuters.

Source

 

 

A l'ONU, Sergueï Lavrov accuse la coalition menée par Washington d'épargner le Front al-Nosra

 

S'exprimant à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU le 21 septembre, le chef de la diplomatie russe a accusé la coalition arabo-occidentale contre Daesh d'épargner les djihadistes du Front Fatah al-Cham (ex-Front al-Nosra) en Syrie.

 

 

L’Iran dévoile un missile balistique d’une portée de 2.000 km

 
Essai d'un missile iranien. Image d'illustration.

Cité par la chaîne de télévision Press TV, le général de brigade Amir Ali Hajizadeh a annoncé que l'Iran s'était doté d'un missile balistique d'une portée de 2.000 km capable de porter plusieurs ogives.

Le missile baptisé Khorramshahr a été dévoilé lors d'un défilé militaire à Téhéran en présence du président iranien Hassan Rohani et de hauts gradés de l'armée iranienne.

Hassan Rohani avait précédemment annoncé l'intention de l'Iran d'accroître son potentiel balistique. 

Ces derniers temps le ton ne cesse de monter entre les États-Unis et l'Iran. Washington a frappé Téhéran de nouvelles sanctions et envisage la sortie de l'accord sur le nucléaire iranien.

En réponse à l'«aventurisme» des Américains, le Parlement iranien a décidé d'allouer 520 millions de dollars à son programme balistique.

Source

 

 

Le Pakistan dans le sillage de la Corée du Nord

 

Le seuil de menace militaire se réduit en Asie du Sud: le premier ministre pakistanais Shahid Khaqan Abbasi a averti l'Inde qu'une arme nucléaire à courte portée pouvait être utilisée contre New Delhi, ce qui constitue un nouveau facteur dissuasif de poids dans la région.

Cela se produirait si les forces indiennes lançaient une attaque surprise selon la doctrine du démarrage à froid (Cold Start). Étant donné que des combattants islamistes commettent souvent des attaques contre les Indiens depuis le territoire pakistanais, le scénario de conflit nucléaire est donc de plus en plus plausible. Selon le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

Le chef de la diplomatie pakistanaise Khawaja Asif en Chine

La doctrine du démarrage à froid a été élaborée après l'attaque de kamikazes liés au Pakistan contre le parlement indien en 2001, suite à laquelle la réaction de l'armée indienne avait été trop lente: le corps de choc de l'Inde avait mis presque un mois pour se projeter près de la frontière pakistanaise. Le commandement pakistanais avait alors eu le temps de concentrer ses forces pour parer une éventuelle attaque.

Lire la suite

 

 

Un djihadiste français, «émir» de premier plan, remis à la France par la Turquie

 

Un djihadiste français qui avait été capturé en Syrie par des rebelles syriens a été remis le 11 septembre à la France par la Turquie.

Jonathan Geffroy, alias Abou Ibrahim al Fransi, a été transféré en France par la Turquie avec sa femme et ses deux enfants, selon une source proche du dossier, confirmant une information du quotidien L’Opinion. Ce transfèrement a eu lieu le 11 septembre. Originaire de Toulouse, il était visé par une enquête préliminaire depuis janvier 2016 en raison de son départ pour la Syrie. L’un de ses proches s’était présenté en novembre 2015 à la police pour signaler son départ, intervenu début 2015.
Jonathan Geoffroy serait un proche de Sabri Essid, le beau-frère de Mohamed Merah, qui se trouverait également en Syrie. (…)

Le Parisien

 

 

Erdogan à New York: nouveaux incidents (vidéo)

 

Cinq activistes ont été interpellés à l'hôtel Marriott Marquis de New York, jeudi 21 septembre, après avoir perturbé un discours du Président turc Recep Tayyip Erdogan. Selon le New York Times, le discours du Président turc lors d'une réunion du Comité directeur national turco-américain a été interrompu par un homme.

«Terroriste! Va-t'en de mon pays», a-t-il crié, provoquant une bagarre filmée par les caméras installées dans la salle.

Sur la vidéo, on voit les assistants frapper les protestataires avec des drapeaux turcs alors que ces derniers étaient évacués de la salle par des agents de sécurité. Selon Meghan Bodette, une participante de cette action, l'objectif était d'«attirer l'attention sur les crimes de guerre de l'État turc et la violation des droits de l'homme du peuple kurde» aussi bien en Turquie qu'en Syrie.

Lire la suite

 

 

Bourgoin-Jallieu (38) : deux hommes de type caucasien armés criant « Allah akbar » interpellés

 

Les faits se sont déroulés ce jeudi après-midi. L’un des hommes était armé d’une hache, l’autre d’un tournevis. Selon les informations du Dauphiné Libéré, ces deux hommes, de type caucasien, auraient également crié Allahou Akbar.

Tous les deux ont été interpellés par d’importants moyens de police et de gendarmerie. Le Raid était également sur place. Les interpellations ont eu lieu sous le Pont Saint-Michel. Aucun blessé n’est à déplorer.

Une perquisition est en cours. Selon nos informations, il ne s’agit aucunement d’une attaque terroriste.

Les deux individus interpellés étaient sous l’emprise de l’alcool.

La hache a été découverte, dissimulée derrière une haie.

(…) Le Dauphiné

 

 

Val-de-Reuil (27) : le commissariat encerclé et bloqué par 80 membres de la communauté turque

 

À 21 h, hier mardi 19 septembre, le commissariat de police de Val-de-Reuil s’est retrouvé en état de siège. À l’extérieur, 80 personnes de la communauté turque encerclent le bâtiment et leurs voitures bloquent les portails, empêchant les policiers et usagers, à l’intérieur du commissariat, de sortir. Elles réclament la libération d’un de leur proche interpellé en fin de journée. […]

Le Rolivalois, alors en garde à vue, a été interpellé à Louviers vers 18 h 15. Alors qu’il avait commis une infraction routière, les forces de l’ordre avaient constaté un défaut de permis de conduire.

Après l’arrivée d’une vingtaine de policiers en renfort et une heure et demie de pourparlers, le groupe est finalement parti. Le conducteur a été libéré ce mercredi matin.

Paris Normandie

 

 

L’Italie craint l’arrivée de terroristes parmi les migrants clandestins venant de Tunisie

 

Avec le flux continu des migrants dans la Méditerranée et le risque terroriste ascendant, l’Italie a commencé à focaliser plus les bateaux dits fantômes qui transportent des migrants tunisiens vers ses cotes, et qui suscitent la crainte des autorités quant à l’arrivée davantage de terroristes.

Selon The Time, les chiffres indiquent que 5 000 Tunisiens sont arrivés sur les petits bateaux en Sicile, Lampedusa et Linosa depuis juin. Les procureurs soupçonnent que certains de ces bateaux fantômes, qui se glissent sur les plages italiennes la nuit, ont été chargés à partir de navires masqués comme bateaux de pêche.

« Beaucoup de tunisiens naviguent de Bizerta et Sfax en Tunisie et disparaissent dès qu’ils arrivent en Italie, laissant des vêtements mouillés sur les plages. En août, un sweat-shirt a été retrouvé avec le slogan «Haters Paris» ‘Ennemis de Paris) et une image d’une Tour Eiffel à l’envers, une preuve considérée comme une référence aux attaques terroristes en 2015 », indique la même source.

« Parmi ces migrants, il se peut qu’il y ait des personnes liées à des associations terroristes internationales », a déclaré Luigi Patronaggio, procureur.

Webdo.tn

Mohamed est le prénom le plus donné en Angleterre et au Pays de Galles

 

Il faut parfois savoir analyser les statistiques pour en tirer des tendances. C’est ainsi que le prénom le plus donné ces dernières années dans le sud du Royaume-Uni n’est pas celui donné par le Bureau de la statistique nationale britannique.

France 24

____________________

Le 21 septembre

 

Israël ne permettra pas à l'Iran d'établir des bases militaires en Syrie, selon Netanyahu

 

Intervenant lors de la 72e Assemblée générale de l'Onu, le Premier ministre israélien a assuré que son pays ne permettrait jamais à l'Iran de s'implanter d'une façon permanente en Syrie.

Israël agira pour empêcher l'Iran d'implanter des bases militaires en Syrie, a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lors de la 72e Assemblée générale de l'Onu.

«Israël se défendra avec toute la force de nos armes et toute la puissance de nos convictions», a indiqué le chef du gouvernement israélien.

«Nous agirons pour empêcher l'Iran d'établir des bases militaires permanentes en Syrie, pour ses forces aériennes, navales et terrestres», a aussi assuré le Premier ministre israélien.

«Nous agirons pour empêcher l'Iran de fabriquer des armes mortelles en Syrie ou au Liban destinées à être utilisées contre nous, et nous agirons pour empêcher l'Iran d'ouvrir de nouveaux fronts terroristes contre Israël le long de notre frontière nord», a martelé Netanyahu.

«De la mer Caspienne à la Méditerranée, de Téhéran à Tartous (base russe en Syrie, ndlr), un rideau iranien descend sur le Moyen-Orient», a déclaré le Premier ministre israélien.

Dans le même temps, le chef du gouvernement israélien a lancé au peuple iranien un message en persan: «Vous n'êtes pas nos ennemis, vous êtes nos amis».

Source

 

 

L'ONU dans l'impasse sur le sort de l'accord nucléaire avec l'Iran

 

VIDÉO - Les signataires se sont retrouvés mercredi dans une ambiance tendue à l'ONU sans parvenir à sortir de l'impasse provoquée par la menace américaine de dénoncer le texte.

L'ambiance s'annonçait tendue à l'ONU. La réunion a finalement duré plus d'une heure. Les signataires de l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien se sont retrouvés mercredi pour la première fois depuis l'élection de Donald Trump mais ne sont pas parvenus à sortir de l'impasse provoquée par la menace américaine de dénoncer le texte. Dans un climat rendu plus explosif chaque jour par les déclarations incendiaires du président américain contre l'Iran, les chefs de la diplomatie américaine Rex Tillerson et iranienne Mohammad Javad Zarif se sont retrouvés dans la même pièce pour la première fois. Avec eux, les autres signataires de l'accord historique de Vienne: Russie, Chine, Grande-Bretagne, France et Allemagne.

D'après une source européenne, la réunion a été «difficile». Rex Tillerson et Mohammad Javad Zarif ont eu des «échanges directs» assez longs. «Le ton était très concret, il n'y a pas eu de cris, nous ne nous sommes pas lancé des chaussures dessus», a assuré le secrétaire d'État américain, jugeant «utile d'entendre» le point de vue des autres parties. La chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, qui préside la commission du suivi, a souligné que tous les participants étaient tombés «d'accord pour juger que le texte est jusqu'ici respecté par tous». «Nous avons déjà une crise nucléaire, nous n'avons pas besoin d'une deuxième», a-t-elle ajouté, en référence à la Corée du Nord.

 

» Lire aussi - L'avenir de l'accord nucléaire iranien suspendu à la décision de Trump

La rencontre de mercredi n'a toutefois pas permis de lever le doute sur les intentions américaines: «Nous n'avons pas de visibilité réelle sur ce que sera leur décision», selon la source européenne. Les déclarations qui ont suivi la réunion n'incitent pas à l'optimisme: les États-Unis «ont de gros problèmes» avec l'accord, a confirmé Rex Tillerson. Pour tenter d'amadouer les Américains, l'idée de rouvrir des discussions sur certaines des échéances de l'accord ainsi que sur des sujets annexes, comme le rôle de l'Iran au Moyen-Orient, est soulevée par certains, dont le président français Emmanuel Macron. Des diplomates français ont insisté sur le fait qu'il ne s'agissait pas de «renégocier» l'accord mais de le «compléter».

Lire la suite

 

 

ONU: l'Iran refuse de renégocier l'accord nucléaire avec le "voyou" Trump

 

L'Iran refuse de renégocier l'accord nucléaire de 2015 et réagira avec "détermination" si Donald Trump, qualifié de "voyou", devait le dénoncer, a prévenu mercredi le président iranien Hassan Rohani devant l'ONU, au lendemain d'un virulent discours du président américain.

"Nous n'avons trompé personne" dans l'application de l'accord, mais Téhéran "réagira avec détermination" à toute violation du texte, a ajouté M. Rohani. Alors que les Etats-Unis menacent de plus en plus de dénoncer l'accord, il a jugé qu'il "serait dommage" qu'il "soit détruit par des nouveaux voyous en politique internationale".

Mardi, le président américain avait attaqué l'Iran en le qualifiant d'"Etat voyou" et de "dictature corrompue", à la même tribune de l'Assemblée générale des Nations unies. Mercredi, le président iranien s'est fait le chantre de la "modération" et de la "démocratie".

Le bras de fer sera au menu plus tard dans la journée à New York d'une réunion des pays signataires du texte historique, qui donnera lieu à la première rencontre entre le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson et son homologue iranien Mohammad Javad Zarif depuis le changement d'administration américaine en janvier.

Au coeur de la crise, l'accord signé par Téhéran et les grandes puissances - dont les Etats-Unis -, que Donald Trump voue aux gémonies.

Lire la suite

 

 

 

 

Russie : tir d’un missile balistique intercontinental IARS sur une cible en Extrême-Orient russe

 

Le ministère russe de la Défense a publié la vidéo du lancement d’un missile balistique intercontinental IARS depuis le cosmodrome de Plessetsk. L’engin a frappé une cible au Kamtchatka, dans l'Extrême-Orient russe.

Notes: C’est la course aux armements, le retour a la guerre froide et très peu de gens ont compris les risques encourus !

 

Moscou: l'opposion syrienne afflue à Deir ez-Zor pour soutenir Daech

 

Les militaires russes ont repéré le déplacement de combattants des Forces démocratiques syriennes depuis la province de Raqqa vers le nord de la province de Deir ez-Zor, a annoncé Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense.

Selon le général Konachenkov, les Forces démocratiques syriennes (FDS) ont procédé au transfert de leurs combattants depuis la province de Raqqa vers les régions nord de la province de Deir ez-Zor.

«Je tiens à signaler que les combattants des FDS se déplacent vers Deir ez-Zor depuis le nord et rejoignent les rangs de Daech sans rencontrer aucun obstacle. La semaine dernière, les drones et les éclaireurs russes n'ont observé aucun affrontement entre Daech et cette «troisième force», c'est-à-dire les Forces démocratiques syriennes », a signalé Igor Konachenkov.

Le ministère russe de la Défense avait précédemment annoncé que l'armée syrienne avait repris 85% du territoire de Deir ez-Zor et que la ville serait complètement libérée la semaine prochaine.

Lire la suite

850 terroristes éliminés en 24h par l'artillerie syrienne et l'aviation russe

 

Quelque 850 terroristes ont été éliminés par l'artillerie syrienne et les Forces aérospatiales russes. En outre, 11 chars, 4 véhicules de combat d’infanterie et 38 entrepôts d'armes ont été détruits. Voilà comment a été contrée l'offensive lancée par les extrémistes du Front al-Nosra dans la zone de désescalade d'Idlib.

Lire l'article

 

 

 

 

 

La Terre comptera 10 milliards d'habitants en 2050, dont un quart d'Africains

 

Selon les projections d'une nouvelle étude, la population mondiale pourrait atteindre les 11 milliards d'ici la fin du siècle.

La population mondiale continue de croître en dépit de la décélération de la croissance démographique. Selon les projections, l'humanité devrait augmenter d'un tiers d'ici 2050, passant de 7,5 milliards actuellement à 10 milliards, notamment en raison de la progression de la population africaine qui pourrait doubler, selon une analyse de l'Institut français d'études démographiques (Ined) publiée ce mercredi. 

"L'un des grands changements à venir est le formidable accroissement de la population de l'Afrique", indique l'étude. Alors qu'un homme sur six vit aujourd'hui sur ce continent, plus d'un sur trois y vivra dans un siècle.  

4,4 milliards d'Africains en 2100

De 1,2 milliard d'habitants en 2017, le continent verra sa population atteindre 2,5 milliards en 2050 et "pourrait quadrupler pour atteindre 4,4 milliards en 2100, ceci malgré le sida". Ces projections ont été revues à la hausse en raison d'une "baisse rapide de la mortalité, notamment des enfants, avec de gros progrès depuis 15 ans, et à une baisse de la fécondité plus lente que dans d'autres continents". 

Les sept pays les plus peuplés de la planète -Chine, Inde, États-Unis, Indonésie, Brésil, Pakistan et Nigeria- totalisent 3,93 milliards d'habitants en 2017. Ensemble ils représentent plus de la moitié de la population mondiale.

La population mondiale, dont le nombre a été multiplié par sept au cours des deux derniers siècles, devrait quant à elle atteindre les 10 milliards d'habitants d'ici 2050. Sa croissance pourrait par ailleurs se poursuivre, mais moins rapidement, pour atteindre les 11 milliards à la fin du 21e siècle. 

Lire la suite

 

Afrique : ce choc démographique annoncé

 

Les prévisions des démographes sonnent l’alerte : la population du continent africain devrait doubler d’ici à 2050, quadrupler d’ici à 2100. Explications.

Estimée à 140 millions en 1900, elle atteignait un milliard d’habitants en 2010. Elle en comptera 2,5 en 2050 et plus de 4 en 2100, selon le scénario moyen des projections des Nations unies (voir la figure ci-dessous). Un humain sur six habite aujourd’hui en Afrique. En 2050, ce sera un sur quatre, et plus d’un sur trois en 2100, selon ces mêmes projections.

(…)

Le Point

 

Notes : Et se seras pareil en France ! Merci au communautarisme !

 

 

 

Schaerbeek : un policier informait le frère du terroriste le plus recherché de Belgique

 

Selon nos infos, c’est à Yassine Atar que Momo E.S. envoyait des informations via Whatsapp !

La DH vous révélait ce matin l’inculpation d’un policier schaerbeekois accusé de violation du secret professionnel et de corruption. La DH est en mesure désormais de vous divulguer l’identité du terroriste que le policier informait. Il s’agit de Yassine Attar. Inculpé depuis le mois de juin dernier comme dirigeant d’une organisation terroriste, Yassine Atar se trouve toujours en prison. Et c’est à lui que le policier de Schaerbeek, Momo E.S. adressait des informations confidentielles !

Yassine Atar est aussi le frère d’Oussama Atar, suspecté d’être le cerveau des attentats de Bruxelles du 22 mars 2016. Ce dernier est devenu l’homme le plus recherché de Belgique. En avril dernier, une opération de police avait été menée à Barcelone pour tenter de le retrouver, en vain.

Précisons que la famille du policier, incarcéré à Saint-Gilles depuis ce lundi, a consulté le célèbre pénaliste Sven Mary.

La DH

 

2.000 CRS se mettent simultanément en arrêt maladie pour protester

 

Un mouvement de grogne sans précédent chez les CRS qui devient un véritable casse-tête pour gérer les manifestations contre la réforme du Code du travail, organisées jeudi 21 septembre.

Le moment tombe mal. 2.000 CRS ont posé ce jeudi matin un arrêt maladie. Un chiffre qui équivaut à 50% des effectifs censés travailler aujourd’hui. Une manière pour eux, qui n’ont pas le droit de grève, de protester contre la volonté du gouvernement de fiscaliser leur prime d’éloignement. Le jour n’est pas choisi par hasard alors que des manifestations sont organisées en France contre la réforme du Code du travail engagée par le gouvernement. Ce jeudi, la CGT défile d’ailleurs en France. Dimanche se sera le tour de La France insoumise de Mélenchon.

Des gendarmes ont donc dû être appelés en urgence pour remplacer les CRS « malades ». Le déplacement d’Emmanuel Macron à Marseille a également été un casse-tête. Exemple avec les 16 motards prévus pour encadrer le président de la République étaient tous en arrêt. Là encore, il a fallu appeler les gendarmes à la rescousse.
RTL

 

 

 

Gap (05) : Nordine, un « déséquilibré », menace une militaire et un enfant handicapé avec son couteau, 1 an ferme

 

Nordine Baghdadi, 42 ans, était jugé, ce mercredi après-midi, en comparution immédiate au tribunal correctionnel de Gap. Originaire des Alpes-de-Haute-Provence, il a été reconnu coupable d’avoir menacé avec un couteau deux clients d’un snack du centre-ville, lundi soir vers 22 h. Le ministère public avait requis deux ans de prison ferme. Le tribunal l’a condamné à un an, avec mandat de dépôt, une peine aménageable.

 

Il sera, dans un premier temps, incarcéré à la maison d’arrêt de Gap. Son casier judiciaire est déjà très chargé. Condamné plusieurs fois pour violences, il vient de purger une peine de 10 ans de réclusion pour viol aggravé sur sa belle-fille. Il est, par ailleurs, atteint de schizophrénie, de troubles bipolaires et d’addiction à l’alcool.

Ce soir-là, la gérante demande à Nordine Baghdadi de ne pas rester sur les marches, à proximité de son snack. Celui-ci, qui a bu une bouteille entière de whisky un peu plus tôt, réagit de façon très agressive, en l’insultant de « sale juive » et en la menaçant de brûler son restaurant.

Sur le coup, une des clientes, militaire professionnelle de 17 ans d’expérience, hausse le ton face à lui. L’homme entre dans le snack et sort un couteau de sa poche. La militaire réussit à éviter plusieurs fois la lame qu’il agite vers son bras et son ventre. Elle s’interpose, aussi, pour protéger un enfant, âgé de 15 ans et porteur d’un handicap mental, qui était menacé.

Les policiers de la brigade anti-criminalité (Bac) de Gap, prévenus par la gérante, sont intervenus rapidement et ont maîtrisé le forcené. Le tribunal lui a interdit de porter une arme pendant 10 ans et l’oblige à verser 400 € pour préjudice moral aux deux parties civiles : la militaire et la mère de l’enfant.

Le Dauphiné

 

Saint-Just (34) : son visage écrasé et sa mère morte pour 780 €

 

Un trio est jugé à Montpellier depuis ce mardi 19 septembre pour une attaque crapuleuse à domicile qui a dégénéré en mars 2014, à Saint-Just. Un cambriolage qui a mal tourné et eu de terribles conséquences.

La photo, terrifiante, un gros plan sur son visage défiguré, où l’on voit la trace de la basket incrustée sur la joue et le front, est projetée, mardi, devant la cour d’assises de l’Hérault. Josette, 72 ans, ne peut retenir ses larmes. Dans son malheur, elle a échappé au pire. Mais pas sa mère Odile, 90 ans, décédée après cette attaque à domicile et crapuleuse, qui a dégénéré, le 27 mars à Saint-Just, près de Lunel.

“Je leur avais dit qu’elle était cardiaque, qu’elle était fragile… C’est pas possible de voir sa fille en sang et des hommes cagoulés, personne ne le supporterait”, lance la victime, en sanglots. Elle poursuit alors son récit gorgé d’émotion et d’effroi, glaçant la cour, jusqu’au box où deux des trois accusés, Mourad Chaloukh, 33 ans, et Hedi Bennamar, 25 ans, contestent toute implication. “Ce matin-là, j’entends des pas, je me retourne, je vois un homme cagoulé et un deuxième, plus petit, qui se précipitent, m’attrapent et je me suis retrouvée face contre terre, projetée au sol”, se remémore-t-elle.
Elle a en fait pris une décharge électrique de Taser de Bennamar, si l’on en croit les dires de Radouane Quabbari, 28 ans, le troisième homme, le seul à reconnaître sa participation et à charger ses comparses. “Le coup était prévu la veille mais Bennamar ne s’est pas réveillé, ça devait être un simple cambriolage, mais malheureusement non… », minimise l’accusé. Ils ont pourtant ce pistolet électrique, des cagoules et du gros scotch… Et ils sont persuadés trouver de l’argent chez les victimes qui louent des appartements. “J’ai senti qu’on me ligotait, qu’on me bâillonnait, je ne pouvais plus respirer”, poursuit Josette. Le pire arrive alors.

Le Midi Libre

 

 

Paris : une grand-mère de 88 ans tabassée devant son petit-fils de 9 ans par deux jeunes agresseurs

 

La scène s’est déroulée samedi soir, vers minuit, rue des Minimes dans le IIIe arrondissement. La vieille dame, âgée de 88 ans, se trouvait en compagnie de son petit-fils de 9 ans. Trois hommes ont été arrêtés.

Des coups de poing et des coups de pied. Voilà les violences que deux (très) jeunes hommes n’ont pas hésité à infliger à une dame de 88 ans… pour lui dérober son sac à main.

La scène s’est déroulée samedi soir, vers minuit, dans la rue des Minimes (IIIe) où la victime, de retour d’une fête de famille, rentrait avec son petit-fils âgé de 9 ans. L’octogénaire, qui avait chuté au sol et avait brièvement perdu connaissance, a dû être hospitalisée pour une fracture du fémur. Ses agresseurs avaient pris la fuite tout de suite après l’attaque en se débarrassant du sac, vidé de son contenu, quelques mètres plus loin. Mais en fin de nuit, trois jeunes âgés de 17 ans avaient été arrêtés dans le XVIIIe.

Le Parisien

 

 

 

Commenter cet article