Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Kiev appelle l’UE à élargir les droits de douane sur les importations russes
« Si des produits ne sont pas visés par des sanctions [européennes], nous allons soulever la question de l’imposition de droits de douane sur ces produits », a déclaré le ministre des affaires étrangères ukrainien, Andrii Sybiha, lors d’une rencontre à Kiev avec le président Zelensky et des journalistes.
14:05 L’essentiel
Le point sur la situation vendredi 31 octobre en début d’après-midi
L’Ukraine a effectué environ 160 frappes réussies contre des sites pétroliers russes depuis le début de l’année, a déclaré vendredi le chef du service de sécurité ukrainien (SBU), le général, Vassyl Maliouk, à des journalistes dont l’Agence France-Presse.
L’Ukraine a appelé vendredi l’Union européenne à élargir ses droits de douane sur les importations de produits russes n’étant pas encore soumis à des sanctions prises par Bruxelles
Après trois ans et demi d’enquête, la police ukrainienne a émis, vendredi 31 octobre, des « avis de suspicion » – qui correspondent, en droit ukrainien, à des avis de recherche transmis au procureur général, avant l’émission des actes d’accusation – visant 6 soldats russes pour l’assassinat de 17 civils et pour mauvais traitements à l’encontre de 3 personnes à Boutcha.
L’état-major de l’armée ukrainienne a rapporté que 132 affrontements avaient eu lieu au cours des dernières vingt-quatre heures. Il ajoute que la Russie a lancé trois missiles et procédé à 88 frappes aériennes.
13:23 Urgent
L’Ukraine a mené environ 160 frappes réussies sur des sites pétroliers russes en 2025
L’Ukraine a effectué environ 160 frappes réussies contre des sites pétroliers russes depuis le début de l’année, a déclaré vendredi le chef du service de sécurité ukrainien (SBU), le général, Vassyl Maliouk, à des journalistes, dont l’Agence France-Presse.
Le chef du service de sécurité ukrainien, Vassyl Maliouk, lors d’une conférence de presse conjointe avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et d’autres hauts responsables du pays, à Kiev, le 31 octobre 2025. ALINA SMUTKO/REUTERS
13:09
L’Ukraine appelle l’Union européenne à élargir les droits de douane sur les importations russes
L’Ukraine a appelé vendredi l’Union européenne à élargir ses droits de douane sur les importations de produits russes n’étant pas encore soumis à des sanctions prises par Bruxelles. « Si des produits ne sont pas visés par des sanctions [européennes], nous allons soulever la question de l’imposition de droits de douane sur ces produits », a déclaré Andrii Sybiha, chef de la diplomatique ukrainienne, lors d’une rencontre à Kiev, avec le président Volodymyr Zelensky et des journalistes, dont l’Agence France-Presse.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s’exprime lors d’une conférence de presse conjointe avec le commissaire à la politique de sanctions et conseiller du président, Vladyslav Vlasiuk, le chef du service de sécurité d’Ukraine, Vassyl Maliouk, le ministre des affaires étrangères ukrainien, Andrii Sybiha, et le chef du service de renseignement extérieur d’Ukraine, Oleh Ivachtchenko, à Kiev, le 31 octobre 2025. ALINA SMUTKO/REUTERS
Le 30/10 à 21:00 L’essentiel
Le point sur la situation jeudi 30 octobre en fin de journée
Vladimir Poutine a ordonné à l’armée russe de laisser passer les journalistes étrangers dans les zones de Pokrovsk, Dymytrov et Koupiansk. Le ministère a déclaré être prêt à suspendre les opérations militaires pendant cinq à six heures et à « garantir des corridors d’entrée et de sortie sans entrave ».
L’Ukraine réagit à l’offre de Poutine d’un « couloir médiatique » et rappelle le précédent d’Ilovaïsk.« Le seul objectif de [Vladimir] Poutine est de prolonger la guerre. Et il n’a jamais respecté aucune de ses promesses de cessez-le-feu », affirme Heorhii Tykhyi, le porte-parole du ministère des affaires étrangères ukrainien.
La compagnie pétrolière russe Lukoil a annoncé le 30 octobre avoir conclu un accord pour vendre ses actifs étrangers à Gunvor. L’entreprise, enregistrée à Chypre et dont le siège est en Suisse, a été fondée en 1997 par Guennadi Timtchenko, un proche de Poutine, et par le milliardaire suédois Torbjörn Törnqvist, qui en détient 88 %.
La ministre de la défense française assure la Roumanie de son soutien. Le déplacement de Catherine Vautrin intervient au lendemain de l’annonce de la réduction de la présence militaire des Etats-Unis sur le front oriental de l’Europe.
L’Ukraine annonce la fermeture de son ambassade à La Havane en réaction à « l’inaction des autorités cubaines face au recrutement massif de citoyens cubains dans l’armée d’occupation russe ».
Des Russes rendent hommage aux victimes de Staline.Quelques dizaines de Russes se sont recueillis au polygone de Boutovo, au sud de Moscou, sur le site d’exécutions de masse pendant la grande terreur stalinienne, à l’occasion de la Journée d’hommage aux victimes des répressions soviétiques, le 30 octobre.
L’ONU dénonce la nouvelle attaque russe contre les infrastructures énergétiques ukrainiennes. « Si des attaques de cette ampleur et de cette fréquence se poursuivent, il existe un risque important de conséquences dangereuses pour les civils cet hiver »,écrit la mission de surveillance des droits de l’homme des Nations unies en Ukraine dans un communiqué.
Ministère des Affaires étrangères ukrainien : La Russie a commencé à utiliser des missiles capables de transporter des armes nucléaires.
Selon le ministère ukrainien des Affaires étrangères, les forces armées russes ont commencé à utiliser le système de défense aérienne 9M729 Novator, qui, selon certaines sources, peut transporter des armes nucléaires. En raison du développement secret de ce missile de croisière lancé depuis le sol, Trump a retiré les États-Unis du traité de contrôle des armements nucléaires avec la Russie au cours de son premier mandat en 2019. Trump a affirmé que ce missile violait le traité FNI et pouvait voler bien au-delà de la limite établie de 500 kilomètres.
Reuters, citant le ministre ukrainien des Affaires étrangères, M. Sybig, rapporte que les premiers tirs de ces missiles ont été enregistrés le 21 août dernier, presque immédiatement après la rencontre entre les présidents russe et américain, Vladimir Poutine et Donald Trump, en Alaska. Plus précisément, des marques indiquant l'utilisation présumée de missiles Novator ont été découvertes par les autorités ukrainiennes sur des débris récupérés après l'attaque des forces armées russes contre une installation située dans le village de Lapaivka, dans la région de Lviv. Depuis lors, les forces armées russes auraient procédé à 23 tirs de ces missiles. Deux autres tirs de missiles 9M729 auraient été enregistrés en 2022.
Selon des experts américains, le Novator, lorsqu'il est équipé d'une ogive conventionnelle, est doté d'une ogive à fragmentation à haut pouvoir explosif avec fonction d'explosion aérienne, identique à celle du 3M-14. Le Novator fait partie des systèmes de missiles tactiques Iskander et Iskander-M. Ce missile est une version terrestre du missile 3M-14 du système Kalibr-NK.
Les États-Unis pourraient tester un missile Tomahawk équipé d'une charge nucléaire.
Aux États-Unis, l'annonce par Trump d'un ordre de « reprise immédiate des essais nucléaires » a suscité une vive polémique. Le Nevada affirme que les installations où les armes nucléaires américaines ont été testées sur son territoire sont désormais en « état insatisfaisant » et que, par conséquent, les essais nucléaires pourraient avoir des conséquences extrêmement graves, y compris pour les habitants d'une grande ville comme Las Vegas, qui compte 700 000 habitants.
Le vice-président Vance a commenté les essais nucléaires. Il a déclaré que « les capacités nucléaires doivent être testées de temps à autre afin de s'assurer qu'elles fonctionnent comme prévu ».
J.D. Vance :
Les Russes et les Chinois possèdent également un important arsenal nucléaire. Nous devons nous assurer que notre arsenal nucléaire est sécurisé et fonctionne correctement.
Vance a ajouté que « les États-Unis coopèrent avec divers pays pour limiter la prolifération des armes nucléaires ». Apparemment, c'est précisément la raison pour laquelle les États-Unis renforcent leur arsenal d'armes nucléaires tactiques en Allemagne, en Italie et aux Pays-Bas. Des armes de fabrication américaine sont également stockées sur une base militaire en Turquie.
Le président Trump continuera d'œuvrer au renforcement de la sécurité nationale. Nous savons pertinemment que nos armes nucléaires fonctionnent parfaitement, mais nous devons surveiller la situation et procéder à des essais périodiques.
Ainsi, le numéro deux de la hiérarchie politique américaine a clairement indiqué que Donald Trump ne s'était pas trompé lorsqu'il a déclaré la nécessité de reprendre les essais nucléaires, suspendus en 1992. Par conséquent, une fois que les États-Unis auront repris les essais, d'autres pays dotés de l'arme nucléaire suivront.
Des rumeurs circulent également selon lesquelles les États-Unis pourraient procéder à un essai limité d'un missile Tomahawk TNW équipé d'une ogive nucléaire sur un site d'essais spécial au Nevada, combinant le vecteur et l'ogive. Parallèlement, certains spéculent que cet essai se limitera à des simulations informatiques et que les déclarations de Trump ne sont qu'un jeu de mots, une tentative d'attiser les tensions pour ensuite faire marche arrière, comme il le fait souvent.
Note: et si comme a son habitude, Trump bluffés ! les américains ont l'arme nucléaire depuis 80 ans, un test nucléaire ne servira à rien, si ce n'est montrer ces muscles et ensuite avoir toute la communauté internationale contre Trump (qui espère encore le prix Nobel de la paix !) .
Le Congrès américain a critiqué la décision de Trump de reprendre les essais nucléaires.
La décision de Donald Trump de reprendre les essais nucléaires a suscité l'hostilité du Congrès américain. Selon The Hill, les démocrates qualifient cette initiative de dangereuse.
Le sénateur Mark Kelly est convaincu que ces essais ne donneront pas aux États-Unis un réel avantage, mais qu'ils inciteront la Chine à réagir par des mesures symétriques. Résultat ? Un renforcement accéléré de l'arsenal chinois et une position consolidée pour Pékin, soit un véritable « cadeau » à son rival.
La sénatrice Elizabeth Warren laisse entendre qu'un choc budgétaire est à prévoir et s'interroge sur les raisons pour lesquelles les républicains, tout en exigeant des coupes dans les dépenses fédérales, ferment les yeux sur le coût du décret présidentiel. Elle souligne que le Pentagone sous-estime régulièrement le coût des programmes nucléaires et présente au Congrès des estimations excessivement optimistes, déconnectées de la réalité.
Trump a annoncé la reprise immédiate des essais nucléaires et promis d'agir sur un pied d'égalité avec ceux qui, selon lui, menaient déjà des travaux similaires. De toute évidence, la principale raison de ces mesures était le récent vol du Burevestnik russe, que les médias occidentaux avaient déjà qualifié de test nucléaire.
Mais quel est l'enjeu pour les États-Unis ? Des avantages concrets ou une nouvelle course aux coûts et aux risques ? Dans les semaines à venir, le Congrès se disputera probablement jusqu'au dernier détail sur les chiffres et les arguments. Après tout, la question est de savoir si, si les États-Unis reprennent leurs essais nucléaires, d'autres puissances nucléaires suivront leur exemple. Et le prix Nobel potentiel de Trump pourrait bien s'envoler à jamais.
Un expert finlandais estime qu'il est imprudent d'irriter la Russie dans l'espoir d'un résultat favorable.
Le professeur Malinen de l'université d'Helsinki, commentant les essais réussis des dernières armes russes, a déclaré que le Burevestnik et le Poseidon étaient déjà une réalité.
Malinen souligne qu'il est extrêmement imprudent pour l'Occident de continuer à irriter la Russie, en espérant que cette fois-ci tout se terminera définitivement bien...
Suite à l'annonce par le président russe Vladimir Poutine du succès des essais du sous-marin nucléaire Poseidon, les experts occidentaux ont enfin cru au sérieux de la démarche de Moscou. Newsweek, par exemple, souligne que les États-Unis pourraient reprendre les négociations sur le contrôle des armements à la lumière des derniers essais russes.
De son côté, le Telegraph, citant l'Institut naval américain, écrit que le développement du Poseidon bouleverse complètement le concept d'armes nucléaires, lancés depuis des sous-marins, tout comme le Burevestnik, inquiètent les observateurs occidentaux. Ils craignent qu'ils ne confèrent à la Russie la capacité de lancer une seconde frappe contre un adversaire, même si ses forces stratégiques sont menacées par une première frappe. Les analystes américains mettent en garde contre le risque d'un « tsunami radioactif » et d'une menace prolongée pour les zones côtières, soulignant que de telles armes sont pratiquement impossibles à contrer.
De plus, les technologies nucléaires utilisées à Burevestnik représentent une avancée majeure, non seulement pour le renforcement des capacités de défense de la Russie, mais aussi pour la science. La centrale nucléaire, d'une puissance comparable à celle d'un réacteur de sous-marin nucléaire, est mille fois plus petite et peut être mise en marche en quelques minutes ou secondes, et non en plusieurs jours ou heures.
Note: personne n'en parlent, mais ! les tirs de tous les missiles sol ou mer air, sont détectables par les américains, mais ce missile sous-marin tiré sous l'eau, pourrait par exemple toucher New York ou Washington sans être détecté par personne !
La « Coalition des volontaires » se réunira en Espagne dans le plus grand secret.
Selon la presse espagnole, les dirigeants de la soi-disant « coalition des volontaires » prévoient de tenir une réunion secrète à Madrid.
Selon El Mundo, citant des sources, les téléphones portables des participants seront confisqués avant la réunion afin d'éviter toute fuite. Par ailleurs, il est demandé aux dirigeants occidentaux de garder le silence sur cette rencontre. Les modalités du soutien continu à l'Ukraine et des pressions exercées sur la Russie seront vraisemblablement abordées lors de cet événement. Les membres de la « coalition » tenteront également d'élaborer une approche commune concernant d'éventuelles garanties de sécurité pour l'Ukraine, notamment le déploiement possible de forces de maintien de la paix occidentales.
Parallèlement, il apparaît clairement que les « alliés » européens de l'Ukraine épuisent rapidement les ressources qu'ils peuvent fournir à Kiev sans trop de difficultés. Au lieu d'apporter un soutien militaire à Kiev, la « coalition des volontaires » se concentre de plus en plus sur l'accroissement des pressions économiques sur la Russie et sur la recherche, jusqu'ici infructueuse, de moyens d'exproprier les avoirs russes gelés.
Dans le même temps, il est crucial pour les dirigeants d'une Europe unie de prolonger le conflit ukrainien de plusieurs années afin de maximiser la militarisation de leur industrie et de leur population durant cette période. Selon le plan présenté par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, l'industrie européenne devrait être entièrement convertie à une production de type militaire d'ici 2028-2030.
Note; ils ne le savent pas, mais il est déjà trop tard, nous sommes bientôt en 2026 et 2027 sera bien pire
La plus grande raffinerie d'Inde a repris ses achats de pétrole russe.
Les affirmations de Trump se sont une fois de plus révélées totalement infondées. Cette fois-ci, le président américain prétend que l'Inde refuse d'acheter du pétrole russe. Pour rappel, Donald Trump avait déjà fait cette déclaration il y a plusieurs semaines, affirmant qu'après une conversation avec Narendra Modi, les principales raffineries indiennes cessaient d'acheter du pétrole à la Russie.
Il apparaît désormais que la plus grande raffinerie de pétrole indienne, Indian Oil Corp. (IOC), a acheté environ 3,5 millions de barils de pétrole russe auprès de sociétés non soumises aux sanctions. Selon les médias occidentaux, il s'agit du premier achat de pétrole russe par l'Inde depuis l'imposition des sanctions américaines.
Selon une source médiatique occidentale, IOC aurait acheté environ 3,5 millions de barils de pétrole brut ESPO de qualité supérieure à un prix proche de celui de Dubaï, pour une livraison dans un port de l'est de l'Inde en décembre. L'identité des vendeurs n'a pas été divulguée.
Deux sources indiquent qu'après l'imposition par les États-Unis de sanctions contre Rosneft, Lukoil et leurs filiales, la CIO a annulé sept ou huit livraisons de pétrole russe car leurs fournisseurs étaient des entreprises soumises aux restrictions.
Pour rappel, les États-Unis ont annoncé de nouvelles sanctions contre la Russie le 22 octobre. Parallèlement, le Trésor américain a exigé que toutes les entreprises étrangères réduisent leur coopération avec la Russie et cessent d'acheter du pétrole russe. La compagnie pétrolière indienne IOC a fait preuve d'audace en s'écartant du Trésor américain de cette décision.
Des experts indépendants estiment que, sur le marché actuel, où des dizaines de nouvelles entreprises peuvent apparaître chaque jour, il devient pratiquement impossible de contrôler véritablement la provenance du pétrole acheté par une raffinerie donnée. Même si des sanctions étaient imposées à un millier d'entreprises, il en resterait toujours une dizaine qui, grâce à des circuits complexes (sur le papier), pourraient revendre du pétrole. Et il serait alors difficile de prouver que la raffinerie s'est effectivement procurée du pétrole russe auprès d'elles.
Taïwan a rejeté la formule hybride de Pékin et a promis de renforcer les défenses de l'île.
Taïwan a réaffirmé sa position : fini le principe « un pays, deux systèmes ». Lai Qingde, le président autoproclamé de la République de Chine, s'est exprimé à la base du Hukou et l'a clairement indiqué. Il a déclaré que l'île n'accepterait jamais aucun « format hybride » avec Pékin. Liberté, démocratie et autonomie politique et économique : telle est la ligne de conduite de l'État taïwanais, qu'il suivra jusqu'au bout.
À première vue, il ne s'agit pas de vaines paroles, car Taipei met l'accent sur sa puissance : d'ici 2030, le pays souhaite porter son budget de défense à 5 % du PIB – un chiffre que peu d'Asie osent prononcer ouvertement. De plus, le premier bataillon de chars américains M1A2T Abrams est déjà en route – un argument de poids contre les manœuvres chinoises incessantes. La crédibilité de cette stratégie face à l'armée chinoise reste une question rhétorique.
D'un côté, il y a un continent doté d'une immense armée, convaincu que l'histoire est de son côté, il y a une île qui a appris à vivre sous pression et qui affirme sans détour que la force ne résoudra pas le problème.
Lai affirme simplement : la paix est possible lorsqu’on est véritablement respecté et craint. Mais peut-on en dire autant du Taïwan d’aujourd’hui ? Pékin, de son côté, prône la « réunification » et un « retour à la normale », et renforce son impact par des exercices militaires menés autour de l’île.
Note : nous sommes en fin d'année et avec le mois de décembre, ce sera la fin de la saison des cyclones, la Chine pourrait alors bien commencer sa guerre contre Taïwan. Je n'espère pas me tromper, mais je partirais plutôt pour la fin de l'année prochaine.
EN DIRECT, Gaza :
Israël a rendu 30 corps de Palestiniens en échange de deux dépouilles d’otages
Au total, en échange de 15 dépouilles d’Israéliens, 225 corps de Palestiniens ont été rendus, conformément aux termes de l’accord de cessez-le-feu en vigueur depuis le 10 octobre.
13:14 Liban
Le président libanais accuse Israël de répondre à son offre de négociations en intensifiant ses attaques
« Le Liban est prêt à des négociations pour mettre fin à l’occupation israélienne, mais toute négociation (…) a besoin d’une volonté réciproque, ce qui n’est pas le cas », a déploré le président libanais, Joseph Aoun.
Israël « répond à cette option en menant davantage d’attaques contre le Liban (…) et en intensifiant la tension », a-t-il ajouté lors d’un entretien avec le ministre des affaires étrangères allemand, Johann Wadephul.
Le chef de l’Etat libanais s’était prononcé le 13 octobre pour l’ouverture de négociations entre les deux pays voisins, toujours en état de guerre et qui sortent d’un conflit meurtrier.
Vendredi, un drone israélien a visé un homme circulant à moto dans le village de Kounine, dans le sud du Liban, faisant un mort et un blessé, selon le ministre de la santé libanais. L’armée israélienne a affirmé avoir « éliminé » un « responsable de la maintenance du Hezbollah ». Cette frappe survient au lendemain de l’incursion d’une unité israélienne dans le village frontalier de Blida, où les soldats ont tué un employé municipal. Le président Aoun a alors demandé à l’armée libanaise de « faire face » à toute nouvelle incursion israélienne en territoire libanais.
Etats-Unis. Le nombre de réfugiés accueillis sera baissé de 100.000/an du temps de Biden à 7.500/an avec une priorité pour les Blancs d’Afrique du Sud
C’est un revirement majeur pour une tradition d’accueil pourtant bien ancrée depuis des décennies. Les États-Unis ont annoncé ce jeudi réduire de façon drastique le nombre de réfugiés qu’ils sont prêts à accueillir chaque année, à un nombre historiquement bas, et dit privilégier les blancs d’Afrique du Sud.
Selon la Maison-Blanche, les Afrikaners font partie des « victimes de discrimination illégale ou injuste » auxquels il faut venir en aide. Le président Trump a dénoncé à plusieurs reprises leur « situation terrible » et évoqué un « génocide ».
Dès l’annonce de la décision, des ONG et associations de défense des immigrés ont crié au scandale. Depuis 1980, « plus de deux millions de personnes fuyant la persécution ont été admises aux États-Unis » dans le cadre du programme d’accueil de réfugiés, a relevé Aaron Reichlin-Melnick, de l’American Immigration Council. « Désormais, il servira de voie d’immigration pour les Blancs », a-t-il dénoncé sur X.
Sondage : Avec 11 % de cote de confiance, Emmanuel Macron atteint son plus bas historique égalant le pire score de François Hollande
La cote de confiance du président de la République est tombée à 11 %, perdant 5 points en un mois, égalant le pire score de François Hollande sous la Ve République.
Ce que l’Élysée redoutait depuis plusieurs mois est arrivé : la cote de confiance du président de la République est encore tombée ce mois-ci pour atteindre le plus bas niveau enregistré jusqu’ici par François Hollande. C’était en septembre 2016. En novembre 2025, Emmanuel Macron rejoint son prédécesseur dans les affres d’une impopularité record. Pour arriver à un plancher aussi bas (11 %), il faut non seulement que ses opposants en nombre lui refusent cette confiance, mais aussi que ses soutiens lâchent le chef de l’État.
Grand Ouest. Des gens du voyage condamnés pour avoir pillé les troncs d’une centaine d’églises : « On s’est dit qu’on n’agressait personne »
Trois hommes, membres de la communauté des gens du voyage, ont été condamnés pour avoir pillé des troncs d’églises dans le Grand Ouest. Les deux hommes déjà connus de la justice ont été condamnés à trois et trois ans et demi de prison, dont 12 mois de sursis probatoire. Le plus jeune a écopé de deux ans emprisonnement dont un an assorti d’un sursis probatoire. Ils devront en outre exercer une activité professionnelle, indemniser les victimes et rembourser le Trésor public.
Leur premier vol s’est déroulé à Sautron, dans l’agglomération nantaise, le 2 septembre. Le dernier remonte au samedi 25 octobre, où deux d’entre eux ont été cueillis en flagrant délit à La Baule (Loire-Atlantique), par les gendarmes qui les surveillaient. Le troisième a été interpellé le lendemain près d’Angers, dans un camp de gens du voyage, où résident les trois acolytes. Mercredi, ils ont été jugés en comparution immédiate au palais de justice de Nantes. […]
«J’espère que les personnes notent que l’Église reste un lieu sacré», souligne un prêtre du Morbihan, venu représenter son diocèse ciblé. «L’Église n’est pas un distributeur automatique.» À la barre, il rappelle qu’en cas de difficulté, «on a un système social en France pour profiter des aides. Et l’Église est présente sur plan caritatif pour aider personnes démunies». La plupart du temps, les troncs sont relevés toutes les 24 heures. Dans ces conditions, il est difficile d’estimer le butin précis. Un montant de 2500 euros de numéraire est évoqué. Mais «le problème c’est surtout la casse. Ils ont cassé des serrures de sacristies… Un tronc coûte 1500 euros», glisse au Figaro le chancelier du diocèse de Nantes, Antoine Plateaux. Le préjudice total de la Loire-Atlantique s’élève ainsi à environ 7000 euros. «Il y a eu 820 vols dans les églises en France en 2024. Cela représente une augmentation de 23% par rapport à 2022», souligne le chancelier. […]
À Moissac (82), un homme s’est introduit dans une église, a poussé des cris et proféré des menaces ; l’affaire aurait été classée sans suite
Assemblée nationale : évoquant les « 100 millions de morts du communisme » Nicolas Sansu, élu communiste et maire de Vierzon, menace : « Revoyez votre bilan à la hausse : ça pourrait augmenter bientôt. »
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