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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 23 octobre 2025

 

 

 

 

 

 

EN DIRECT, guerre en Ukraine :

après de nouvelles sanctions européennes, la Russie « se réserve le droit de répondre »

 

Avant un sommet à Bruxelles, l’UE a annoncé un 19ᵉ train de sanctions, visant les secteurs gazier et pétrolier russes, dans la foulée de celle des Etats-Unis qui ont sanctionné les compagnies Rosneft et Lukoil. Kiev a salué un « pas très important ».

 

 

 

14:00  L’essentiel

Le point sur la situation, jeudi 23 octobre à 14 heures

 

Les pays de l’Union européenne ont formellement adopté jeudi un 19ᵉ paquet de sanctions contre la Russie pour sa guerre en Ukraine, comprenant une interdiction des importations de gaz naturel liquéfié (GNL) russe. Le texte prévoit également un nouveau mécanisme visant à limiter les déplacements des diplomates russes au sein de l’UE, selon le communiqué.

Les Etats-Unis ont annoncé des sanctions contre les groupes pétroliers russes Rosneft et Lukoil. Donald Trump affirme que ses conversations avec Vladimir Poutine ne « vont nulle part ».

La Russie dénonce les sanctions américaines et européennes. « Nous considérons cette démarche comme étant exclusivement contre-productive » a déclaré la porte-parole du ministère des Affaires étrangères russes, Maria Zakharova.

Pékin a exprimé son opposition aux sanctions américaines contre le secteur pétrolier russe, prises par Washington dans l’espoir d’amener Moscou à mettre fin à la guerre en Ukraine et dénoncé de nouvelles mesures de l’Union européenne contre 12 entreprises chinoises accusées d’aider la Russie à contourner des sanctions occidentales.

Olena Hramova et Ievhen Karmazine, deux journalistes de la chaîne Freedom TV, ont été tués dans une frappe de drone à Kramatorsk a déclaré Vadym Filachkine, le chef de l’administration militaire de l’oblast de Donetsk.

La raffinerie de Riazan à nouveau prise pour cible par des drones ukrainiens. La raffinerie de pétrole de Riazan, propriété de Rosneft, a une capacité annuelle de 13,8 millions de tonnes et fournit du carburant à la région de Moscou et à d’autres régions.

Nouvel échange de corps entre la Russie et l’Ukraine. La Russie a rendu jeudi à l’Ukraine 1 000 corps présentés comme ceux de soldats ukrainiens tués au combat, l’Ukraine avait rendu les corps de 31 soldats russes.

 



 

13:32

Explosion dans une importante usine militaire russe dans l’Oural

 

Dix personnes ont été tuées dans une série d’explosions survenues dans l’usine Plastmass [🚩], qui produit des munitions pour l’armée russe, à Kopeïsk, une ville de la région de Tcheliabinsk, dans l’Oural russe, à environ 2 000 km de la frontière nord-est de l’Ukraine, a déclaré le gouverneur régional Alexeï Teksler sur sa chaîne Telegram jeudi. Plastmass est visée par des sanctions occidentales.

Le canal Telegram russe Ostorozhno Novosti a rapporté que l’usine avait été frappée par des drones ukrainiens, mais Alexeï Teksler a démenti cette information, affirmant, bien qu’une enquête soit en cours, qu’une attaque de drone n’était pas confirmée.

Ni les forces armées ukrainiennes, ni le ministère de la défense russe n’ont commenté l’incident.

 


 

11:50

La raffinerie de Riazan à nouveau prise pour cible par des drones ukrainiens

 

Des drones ukrainiens ont à nouveau attaqué la raffinerie de Riazan, déclenchant un incendie. La chaîne Telegram russe Astra montre des incendies. La raffinerie de pétrole de Riazan, propriété de Rosneft, a une capacité annuelle de 13,8 millions de tonnes et fournit du carburant à la région de Moscou et à d’autres régions. Selon la chaîne de surveillance Supernova +, s’appuyant sur des images vidéo, l’incendie s’est déclaré près de l’unité de craquage catalytique et d’hydrotraitement de la raffinerie. L’Ukraine n’a pas encore commenté l’attaque.

Il s’agit de la troisième frappe ukrainienne au moins contre cette raffinerie depuis août. Le 2 août, l’usine aurait fermé deux de ses trois principales unités de raffinage à la suite d’une attaque, et dans la nuit du 4 au 5 septembre, une autre unité a été mise hors service.

Le ministère de la défense russe a affirmé que ses défenses aériennes avaient détruit ou intercepté 139 drones ukrainiens pendant la nuit, dont 22 au-dessus de l’oblast de Belgorod, 21 au-dessus de celui de Voronej, 14 au-dessus de celui de Riazan et 13 au-dessus de l’oblast de Rostov.

 

 

 

10:48

La Russie dénonce les sanctions américaines et européennes

 

Lors de son briefing hebdomadaire, jeudi, la porte-parole du ministère des affaires étrangères russe, Maria Zakharova, a dénoncé les nouvelles sanctions américaines contre les groupes pétroliers Rosneft et Lukoil.

« Nous considérons cette démarche comme étant exclusivement contre-productive », a-t-elle déclaré. « Notre pays a développé une immunité solide contre les restrictions occidentales et continuera à développer avec assurance son potentiel économique, y compris dans le domaine énergétique », a-t-elle ajouté.

Elle s’en est aussi prise à l’UE : « Les sanctions de l’UE contre la Russie jouent avant tout contre Bruxelles, les possibilités de leur extension sont en grande partie épuisées », a-t-elle déclaré, ajoutant que « la Russie se réserve le droit de répondre aux sanctions, la réaction sera adéquate et prendra en compte les intérêts de Moscou ».

Fidèle à son style nettement moins diplomatique, Dmitri Medvedev, numéro deux du Conseil de sécurité russe et ancien président russe, a déclaré jeudi que les décisions de l’administration Trump d’annuler un sommet à Budapest et d’imposer des sanctions aux compagnies pétrolières russes montraient que Washington était « en guerre » contre Moscou.

« Les Etats-Unis sont notre ennemi, et leur bavard “faiseur de paix” s’est désormais pleinement engagé sur la voie de la guerre avec la Russie », a écrit Medvedev sur Telegram, en faisant référence au président américain Donald Trump. « Les décisions prises constituent un acte de guerre contre la Russie. Et maintenant, Trump s’est complètement aligné sur l’Europe folle. »

 

 

09:55

La Chine « s’oppose » aux sanctions américaines contre le pétrole russe

 

Alors que l’assistance militaire apportée par la Chine à la Russie se fait de moins en moins discrète, Pékin a exprimé, jeudi, son opposition aux sanctions américaines contre le secteur pétrolier russe, prises par Washington dans l’espoir d’amener Moscou à mettre fin à la guerre en Ukraine. « La Chine s’oppose de manière constante aux sanctions unilatérales qui ne reposent pas sur le droit international et ne sont pas autorisées par le Conseil de sécurité des Nations unies », a fait savoir, lors d’un point presse régulier, Guo Jiakun, un porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois. Il a également dénoncé de nouvelles mesures de l’Union européenne contre 12 entreprises chinoises accusées d’aider la Russie à contourner des sanctions occidentales.

À une semaine d’une rencontre prévue avec Xi Jinping, Donald Trump a estimé, mercredi, que le président chinois pourrait exercer « une grande influence » sur son homologue russe, Vladimir Poutine, en vue d’un règlement du conflit en Ukraine.

À la fin de septembre, à la tribune du Conseil de sécurité de l’ONU, le président ukrainien a déclaré mardi que la Chine pourrait contraindre la Russie à mettre fin à la guerre en Ukraine : « Sans la Chine, la Russie de Poutine n’est rien. Pourtant, trop souvent, la Chine reste silencieuse et distante, au lieu d’agir pour la paix », a déclaré le dirigeant ukrainien.

 

 


 

08:54

L’Union européenne s’accorde sur un nouveau train de sanctions visant le secteur énergétique russe

 

L’Union européenne a adopté un nouveau train de sanctions visant les infrastructures énergétiques russes, rejoignant ainsi une nouvelle initiative des Etats-Unis visant à réduire la capacité de Moscou à mener sa guerre contre l’Ukraine.

« Aujourd’hui est un bon jour pour l’Europe et l’Ukraine », a déclaré le ministre des affaires étrangères danois, Lars Lokke Rasmussen, dans un communiqué consulté par Associated Press (AP) et Bloomberg, alors que les dirigeants de l’Union européenne (UE) se réunissaient pour un sommet à Bruxelles. Il a déclaré que les nouvelles sanctions « introduiront de nouvelles mesures globales sur le pétrole et le gaz, la flotte fantôme et le secteur financier russe ». « Les sanctions ont un impact réel et nuisent à l’économie russe », a ajouté Lars Lokke Rasmussen.

Ce paquet – le 19e du bloc – a été bloqué pendant des semaines, l’Autriche, la Hongrie et la Slovaquie opposant des obstacles. Ces mesures ont été adoptées au lendemain de l’annonce par les Etats-Unis de sanctions contre les géants publics Rosneft et Lukoil, les deux plus grands producteurs de pétrole russes.

 


 

Le 23/10 à 01:35

Les sanctions pousseront la Russie à la table des négociations, assure Mark Rutte

 

Reçu à la Maison Blanche par Donald Trump, le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, a estimé que la pression collective accrue sur Moscou – notamment avec l’annonce de sanctions américaines et européennes – était à même de « changer les calculs » de Vladimir Poutine et de « l’amener à la table des négociations » en vue d’un cessez-le-feu.

« J’en suis absolument convaincu, ce ne sera peut-être pas aujourd’hui ni demain, mais nous y arriverons », a dit le dirigeant lors d’une conférence de presse.

Le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, s’adresse aux journalistes en compagnie du président américain, Donald Trump, dans le bureau Ovale, à la Maison Blanche, à Washington, DC, le 22 octobre 2025.
Le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, s’adresse aux journalistes en compagnie du président américain, Donald Trump, dans le bureau Ovale, à la Maison Blanche, à Washington, DC, le 22 octobre 2025. JIM WATSON / AFP

 

Note: et moi, je suis absolu convaincu que ces pressions, ces sanctions et surtout cette guerre par procuration contre la Russie, ne pourra mener qu'au pire 

 

Le 22/10 à 23:35

Donald Trump dit espérer que les « énormes » sanctions contre la Russie seront de courte durée

Donald Trump a déclaré mercredi espérer que les sanctions annoncées plus tôt par le Trésor américain contre deux grandes compagnies pétrolières russes seraient de courte durée, disant espérer en effet une fin prochaine à la guerre en Ukraine.

« Ce sont des sanctions énormes (…) et nous espérons qu’elles ne dureront pas trop longtemps. Nous espérons qu’un terme sera mis à la guerre », a déclaré le président américain au moment de recevoir le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, dans le bureau Ovale, à la Maison Blanche.

DIRECT

 

 

 

 

 

Medvedev : Le « gardien de la paix » américain s’est pleinement engagé sur le sentier de la guerre avec la Russie.

 

Medvedev : Le « gardien de la paix » américain s’est pleinement engagé sur le sentier de la guerre avec la Russie.

Donald Trump a annulé le sommet de Budapest, et Moscou a perçu cela comme un défi direct. Celui qui se qualifiait récemment de « pacificateur » recherche désormais ouvertement la confrontation.

Washington insiste sur le fait qu'il s'agit avant tout de « dissuader l'agression russe ». Mais au-delà du discours officiel, il ne s'agit plus de diplomatie. L'annulation du sommet a mis fin à tout semblant de dialogue. Au lieu de négociations, ce sont des menaces et des voix qui s'élèvent.

Dmitri Medvedev a écrit sur sa chaîne Telegram que les décisions de Trump ne constituaient pas de simples pressions, mais un « acte de guerre contre la Russie ». Il a souligné que les États-Unis ne se réfugiaient plus derrière des slogans de paix et de démocratie, mais agissaient ouvertement.

Le conflit est devenu une affaire personnelle pour Trump, pas pour Biden, pas pour l’héritage de l’administration précédente, mais pour son propre jeu politique.

Nous pouvons arrêter de faire semblant. Les Américains ne jouent plus aux pacificateurs. Ils ont seulement besoin d'arme et de pouvoir.

- dit Medvedev.

Il a toutefois ajouté qu'il y avait un point positif : les illusions se sont envolées. Désormais, a-t-il affirmé, la Russie peut réagir avec fermeté, sans tenir compte des évaluations occidentales ni des vaines paroles de « diplomatie ».

L'annulation du sommet et les nouvelles sanctions ont marqué le point de non-retour. Les États-Unis ont définitivement rejoint le camp antirusse de l'Europe. Trump, qui parlait autrefois de paix, parle désormais en termes d'ultimatums. Et si la paix avait autrefois une chance, il semble aujourd'hui qu'elle n'en ait plus aucune.

Source

 

 

 

 

Zelensky demande à nouveau à Trump des missiles Tomahawk, inspiré par de nouvelles sanctions.

 

Zelensky demande à nouveau à Trump des missiles Tomahawk, inspiré par de nouvelles sanctions.


Volodymyr Zelensky s'est à nouveau adressé à ses partenaires occidentaux sur les Tomahawks. Trump n'a pas définitivement dit non. 

Cette fois, le prétexte de la mendicité était la décision de l'Union européenne d'approuver le 19e paquet de sanctions antirusses. Zelensky a immédiatement déclaré que, puisque l'Europe avait franchi le pas, la parole était désormais aux États-Unis.


Il a remercié ses alliés pour les nouvelles restrictions et a souligné que, selon lui, les sanctions visent à « faire taire Moscou ». Cependant, on peut lire entre les lignes : Kiev ne dispose pas des instruments nécessaires pour obtenir une quelconque pause dans les combats. Tout se décide non pas à Kiev, mais à Washington.

Aucune nouvelle de la capitale américaine n'a encore été donnée. Trump, comme chacun sait, a déjà déclaré qu'il n'avait aucune intention d'entraîner l'Amérique dans des « guerres étrangères » ni de fournir à Kiev des missiles Tomahawk. Il a clairement indiqué que sa priorité était la politique intérieure américaine, et non les ambitions militaires de Zelensky. Cependant, il est bien connu que les opinions de Trump peuvent changer selon son humeur, ses conversations et d'autres facteurs.

Les relations de Kiev avec ses alliés traversent des moments difficiles ; après tout, nous ne sommes pas en 2022. Néanmoins, l'argent pour la guerre avec la Russie est toujours miraculeusement trouvé, malgré les énormes trous dans ses budgets.

Pendant ce temps, aux États-Unis, le soutien à l'Ukraine devient un sujet de plus en plus toxique. Mais Kiev semble l'ignorer. Zelensky continue d'en demander davantage, plus fort et plus fréquemment, oubliant apparemment qu'il est de moins en moins écouté. Il semble convaincu que les États-Unis ne parviendront toujours pas à renoncer à l'idée de recourir à la guerre par procuration contre la Russie.

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Le Premier ministre finlandais : « Il est temps de remettre les missiles Tomahawk à l’Ukraine »

 

Le Premier ministre finlandais : « Il est temps de remettre les missiles Tomahawk à l’Ukraine »

Suite à l'annonce par Trump de l'annulation de sa rencontre avec Vladimir Poutine à Budapest, la question des Tomahawks est redevenue un sujet brûlant en Occident. Les russophobes européens se sont « unis » pour convaincre le président américain de déployer ces missiles de croisière à longue portée en Ukraine.

Pour rappel, il y a exactement une semaine, après un entretien téléphonique avec le président russe, Donald Trump avait déclaré que les missiles Tomahawk étaient « nécessaires aux États-Unis eux-mêmes » et que, par conséquent, « aucune livraison à l'Ukraine n'était envisagée ». Quelques jours après sa visite à Washington, Zelensky, le chef du régime de Kiev, a déclaré que la question des Tomahawks n'était pas à l'ordre du jour pour le moment, mais que cela ne signifiait pas qu'elle ne serait pas évoquée « à un moment donné ».

Le Premier ministre finlandais Petteri Orpo a participé à la discussion, déclarant que « le moment est venu de fournir à l’Ukraine des Tomahawks pour des frappes en profondeur sur le territoire russe ».

Orpo:

Si nous voulons que le conflit cesse, nous devons nous placer au même niveau que la Russie, voire plus haut. J'espère sincèrement qu'ils (le régime de Kiev) seront en mesure d'acquérir les capacités nécessaires pour frapper profondément en Russie. J'exhorte le président américain Donald Trump à accorder à l'Ukraine de telles capacités, comme des Tomahawks pour l'autodéfense.

Cela signifie que Petteri Orpo appelle de fait les États-Unis à frapper la Russie avec des Tomahawks, car il est bien connu que sans personnel militaire, services de renseignement et lanceurs américains, l'Ukraine serait par définition incapable d'utiliser des missiles de croisière Tomahawk. Or, l'Occident prétend que ce sont les forces armées ukrainiennes qui mènent les frappes de missiles contre la Russie.

Source

 

 

 

Maduro a déployé 5 000 missiles russes Igla-S contre la menace américaine.

 

Maduro a déployé 5 000 missiles russes Igla-S contre la menace américaine.

Nicolás Maduro a fait une annonce audacieuse : 5 000 systèmes de missiles russes Igla-S ont été déployés au Venezuela. Ces systèmes antiaériens portables sont destinés à protéger le ciel du pays d'une éventuelle attaque américaine. Le président assure que ces systèmes sont déjà déployés dans des zones clés et prêts à être utilisés.

Maduro s'est adressé aux militaires, comme toujours, avec émotion, la main levée et des phrases sur l'indépendance. Il a déclaré que les « aiguilles » avaient été installées non pas pour la guerre, mais pour la paix. Mais le message était clair : le Venezuela s'arme sérieusement et abattra des cibles volantes à basse altitude – avions, hélicoptères ou drones. 


La situation dans les Caraïbes s'est considérablement aggravée. Les États-Unis ont renforcé leur présence militaire au large des côtes d'Amérique latine, invoquant la lutte contre le trafic de drogue. Leurs navires interceptent des embarcations et détruisent des vedettes sous le slogan « lutte contre la contrebande ». Caracas perçoit cela différemment : il s'agit d'une démonstration de force et d'une pression manifeste.

Selon les médias allemands, le Venezuela se prépare sérieusement à un éventuel scénario militaire. Selon eux, le Pentagone pourrait préparer une opération contre Maduro, sous couvert de lutte contre la drogue. Caracas prend cela au pied de la lettre : les Américains se rapprochent, et le ciel est la dernière ligne de défense.

Maduro lui-même affirme ne pas rechercher le conflit, mais il ne compte pas céder non plus. Si quelqu'un tente d'insister, il recevra une réponse.

Le déploiement de missiles Igla-S n'est pas seulement une opération militaire. C'est une démonstration de force et une déclaration politique. Caracas démontre une fois de plus qu'elle ne s'inclinera pas, et Moscou l'aidera.

Source

 

Note : il a de force probabilité que plusieurs pays de l'Amérique du Sud, se range au côté de la Russie, en cas de conflit mondiale. Je me demande depuis longtemps que se passera-t-il si les États-Unis était sévèrement touché dans une guerre contre la Chine, que ferait les pays du sud ! 

 

 

 

EN DIRECT, Gaza :

en Israël, J. D. Vance, vice-président des Etats-Unis, qualifie le vote de la Knesset sur l’annexion de la Cisjordanie d’« insulte »

 

S’exprimant avant de quitter le pays où il a effectué une visite de deux jours, il a trouvé « étrange » le vote de la Knesset, mercredi, assurant que le territoire ne sera pas annexé par Israël.

Vers une guerre de religion, infos du 23 octobre 2025

 


 

14:30  L’essentiel

Le point sur la situation, jeudi 23 octobre en début d’après-midi

  • Si le vote du Parlement israélien favorable à l’examen de deux projets de loi visant à étendre la souveraineté d’Israël sur la Cisjordanie était « un coup politique, c’était un coup politique très stupide et je le prends personnellement comme une insulte », a déclaré le vice-président américain, J. D. Vance, avant de quitter Israël où il a effectué une visite de deux jours. « La politique de l’administration Trump est que la Cisjordanie ne sera pas annexée par Israël, cela continuera d’être notre politique », a-t-il ajouté.
  • L’Arabie saoudite « condamne et dénonce » le vote au Parlement israélien favorable à l’examen de projets de loi visant à annexer la Cisjordanie. Riyad « réitère son soutien au droit inhérent et historique du peuple palestinien à établir son Etat indépendant sur les frontières de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale, conformément aux résolutions internationales », a fait savoir le ministère des affaires étrangères du royaume.
  • L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a pu procéder mercredi à l’évacuation de 41 patients « dans un état critique » et de 145 accompagnateurs, hors de Gaza, a annoncé son directeur général, Tedros Adhanom Ghebreyesus. Il a ajouté qu’environ 15 000 autres Gazaouis attendaient toujours une évacuation médicale.
  • La Cour suprême israélienne a reporté sa décision sur le recours déposé par l’Association de la presse étrangère à Jérusalem (FPA) pour un accès des journalistes dans la bande de Gaza. Elle a demandé un délai supplémentaire de trente jours pour examiner le contexte à Gaza et a accordé aux autorités israéliennes un mois pour élaborer un plan permettant aux journalistes étrangers d’accéder à Gaza. La FPA s’est dite « déçue » par cette décision.
  • L’armée israélienne a annoncé avoir frappé plusieurs cibles du Hezbollah dans la région de la Bekaa, au Liban. Un complexe militaire du mouvement chiite et un site de production de missiles de précision ont notamment été visés.

DIRECT

 

 

 

 

Delphine, maman de Lola : « Je demande à la justice de faire le nécessaire pour que cette chose, le diable, soit enfermée toute sa vie »

Au quatrième jour du procès de Dahbia Benkired, accusée du viol et du meurtre de l’adolescente de 12 Lola Daviet, sa mère, Delphine Daviet-Ropital, a pris la parole à la barre. Elle a rendu hommage à sa fille avant de demander à la cour de condamner l’accusée à la perpétuité. (…)

La voix pleine de sanglots, une feuille entre les mains, elle a raconté s’en être énormément voulu de ce qui est arrivé à sa fille. Puis elle a compris avec le temps qu’elle n’y pouvait rien. « Nous ne sommes pas coupables, c’est cette chose, le diable (…). J’ai tout perdu : ma Lola, mon mari, mon logement, mon travail… toute ma vie s’est effondrée », a-t-elle déclaré, rapporte Valeurs actuelles, présent à l’audience. (…)

« Je me dis qu’il faut que je me batte pour ma famille. Cette chose [Dahbia Benkired] ne nous enlèvera pas l’amour de notre famille ».

Puis, s’adressant à la cour, elle conclut avec émotion : « Pour tout cela, je demande à la justice de faire le nécessaire pour que cette chose soit enfermée toute sa vie. Ne demandez pas autre chose que la perpétuité. Je ne comprendrais pas que la France à laquelle j’appartiens ne prononce pas cette peine ». (…)

La cour a ensuite projeté des images de la jeune Lola : son baptême, des moments en famille, des vacances, des sourires. « Désolée, j’ai du mal à parler de Lola au passé… Je crois que je ne m’en remettrai jamais. C’est encore très dur d’en parler pour moi. Mon cœur de maman est meurtri », a ajouté la mère de l’adolescente.

Valeurs actuelles

 

Note; pourquoi mourir le "diable" toute sa vie ! Pourquoi ne pas plutôt s'en débarrassé définitivement 

 

 

Lyon (69) : Ashur, un réfugié chrétien irakien, poignardé à mort en plein live TikTok, le suspect algérien en situation irrégulière était en contact avec Daesh (MàJ)

 

23/10/2025

D’après les informations rapportées par Le Figaro, les analyses téléphoniques ont révélé que Sabri B. suivait assidûment les lives TikTok d’Ashur Sarnaya, et s’était connecté au dernier une demi-heure avant l’assassinat, depuis les abords du domicile de la victime. Ce soir-là, il serait arrivé sur son scooter dès 21 heures, multipliant les allers-retours — « laissant supposer des repérages ». Des riverains confirment avoir vu un rôdeur les jours précédents, renforçant la thèse du guet-apens.

Selon les enquêteurs, Sabri B. aurait entretenu des « liens avec l’État islamique en Syrie », ainsi que des contacts en Algérie. Inspiré ou téléguidé depuis l’étranger ? Les enquêteurs hésitent encore. Son profil, inconnu des services spécialisés, rappelle celui de l’auteur de l’attentat de La Grande-Motte en 2024 : sans passé djihadiste, mais capable d’une exécution « semblable en tout point à celles pratiquées et filmées depuis des années par les partisans de l’État islamique ». Un acte ciblant un chrétien irakien, figure de foi et de paix, dans un quartier où désormais certains habitants murmurent qu’ils vivent « dans la peur, sans protection, livrés à eux-mêmes ».


13/10/2025

«Au regard des dernières avancées de l’enquête intervenues», l’information judiciaire a été étendue le 9 octobre aux infractions d’«assassinat en relation avec une entreprise terroriste» et «association de malfaiteurs terroriste criminelle», indiquent le procureur de Lyon Thierry Dran et le procureur antiterroriste Olivier Christen dans un communiqué commun.

Le Figaro


03/10/2025

C’est une première accélération dans une enquête complexe. Selon les informations de Paris Match, un homme, soupçonné d’être impliqué dans le meurtre d’Ashur Sarnaya, un chrétien d’Irak, dans la soirée du 10 septembre à Lyon (Rhône), a été interpellé, ce jeudi 2 octobre, en Italie.

Ce suspect, de nationalité algérienne et âgé de 28 ans, a été arrêté en milieu de journée alors qu’il se trouvait près de la ville de Bari dans les Pouilles dans le sud d’Italie. Son arrestation a été opérée à la demande des autorités judiciaires françaises qui ont délivré un mandat d’arrêt européen à son encontre.

Ce suspect, qui n’a pas encore pu être interrogé par les enquêteurs de la division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) du service interdépartemental de la police judiciaire (SIPJ) du Rhône, en charge des investigations, devrait être reconduit en France d’ici quelques semaines. Son interpellation constitue la première avancée majeure dans une enquête complexe.

[…]

 

Paris Match


25/09/2025

Le 10 septembre, Ashur Sarnaya, 45 ans, Irakien chrétien en fauteuil roulant, a été poignardé à mort devant son immeuble du 53 rue Sergent-Michel-Berthet, tout près du métro Gorge-de-Loup. En direct sur TikTok, il prêchait lorsque l’agresseur a frappé au cou, sous les yeux des spectateurs connectés. Sa sœur Madelin, qui vivait avec lui, est bouleversée : « Pour moi, c’est religieux à 100 % ». Elle confirme que son frère avait reçu plusieurs menaces, notamment une photo inquiétante prise devant l’immeuble.

Dans son témoignage, elle décrit la soirée tragique : « Chaque pas me ramène à Ashur, inanimé, baignant dans une mare écarlate ». Les lives d’Ashur, souvent très longs — « son dernier live a duré cinq heures » —, lui avaient attiré des avertissements anonymes : « C’était pour lui dire de faire attention. Je ne sais pas qui était derrière. Mais il gardait beaucoup de choses en lui pour, peut-être, me protéger. » Ashur avait pourtant refusé d’arrêter ses prêches. Pour Madelin, « Dieu ne les a pas protégés ».

La communauté assyro-chaldéenne parle d’un crime ciblé. Georges Yaramis, co-président du CCACF, insiste : « Ce crime s’inscrit dans un contexte où la dimension religieuse ne peut être ignorée ». Il rappelle que nombre de chrétiens d’Orient « persécutés en Irak pour leur foi » avaient trouvé refuge en France, espérant y vivre en sécurité. Aujourd’hui, Madelin se sent abandonnée et terrifiée : « Je ne peux plus vivre ici, j’ai demandé à déménager ». Dimanche, une marche contre « la christianophobie » aura lieu à Paris, en hommage à Ashur.

Le Progrès


14/09/2025

Selon les informations de Paris Match, les enquêteurs de la sous-direction antiterroriste (SDAT) ont été co-saisis des investigations, ce vendredi 12 septembre, après le meurtre, en pleine rue, d’un ressortissant irakien, le 10 septembre au soir, dans une rue de Lyon (Rhône). La désignation de ce service d’enquête spécialisé pour remonter la piste du meurtrier de Ashur Sarnaya, 45 ans, chrétien d’Orient, réfugié en France depuis plusieurs années, doit permettre d’explorer l’hypothèse d’un mobile terroriste et/ou religieux. (…)

Paris Match

 

 

Art. Une énorme grenouille gonflable en difficulté installée à Paris sur la prestigieuse place Vendôme crée la polémique. « Ce n’est pas facile d’être vert » est le message véhiculé

Kermit la grenouille a élu domicile dans l’un des lieux les plus prestigieux de Paris, entre les bijoutiers et le ministère de la Justice. Un spectacle inattendu qui divise déjà les Parisiens.

Une grenouille gonflable géante de 20 m a investi la place Vendôme depuis mardi. L’œuvre d’Alex Da Corte, exposée dans le cadre d’Art Basel Paris jusqu’au 26 octobre, divise déjà les passants et fait polémique sur les réseaux sociaux.

Le titre fait un clin d’œil malicieux à « La Mariée mise à nu par ses célibataires, même » de Marcel Duchamp.

Cette image de défaillance résonne avec les préoccupations écologiques actuelles et la célèbre phrase du personnage : « Ce n’est pas facile d’être vert. »

Le parisien

Vers une guerre de religion, infos du 23 octobre 2025

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