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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 11 aout 2025

 

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

Volodymyr Zelensky affirme que des « concessions » ne convaincront pas la Russie d’arrêter la guerre

 

« La Russie refuse d’arrêter les massacres et ne doit donc pas recevoir de récompenses ou d’avantage », a déclaré le président ukrainien sur Facebook, avant des discussions prévues vendredi entre Vladimir Poutine et Donald Trump.


 

16:06

Le ministère de la défense russe revendique la prise d’un nouveau village, près de Pokrovsk

 

Le ministère de la défense russe a revendiqué, ce matin, la prise du village de Fedorivka (📍), à quelques kilomètres au nord-est de Pokrovsk et de Myrnohrad, dans l’oblast de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine. La carte des analystes de DeepState montre, elle aussi, une avancée russe qui recouvre la totalité du village.

Depuis plusieurs semaines, l’armée russe tente d’encercler la ville de Pokrovsk, qui constitue un nœud logistique important pour les Ukrainiens, « un verrou logistique et défensif ». « Si vous pouvez encercler l’adversaire, ça vous évite d’avoir à l’affronter de vive force. Soit il se retire, soit il va être plus facilement détruit », explique Thibault Fouillet, directeur scientifique de l’Institut d’études de stratégie et de défense de l’université Lyon-III, auprès du Monde. « On essaie vraiment d’encercler la ville parce qu’on se rend compte que le combat urbain est très coûteux, très long, très difficile. Si on peut couper les lignes de communication, couper les lignes de ravitaillement, on force l’adversaire à se retirer », poursuit-il.

 


 

14:00  L’essentiel

Le point sur la situation lundi 11 août à 14 heures

 

  • Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé lundi à ne pas céder aux exigences de Vladimir Poutine, avant des discussions prévues vendredi entre le président russe et son homologue américain, Donald Trump. « La Russie refuse d’arrêter les massacres et ne doit donc pas recevoir de récompenses ou d’avantages (…). Les concessions ne persuadent pas un tueur », a-t-il déclaré sur Facebook.
  • La haute représentante de l’Union européenne (UE) pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Kaja Kallas, a annoncé la convocation d’une « réunion extraordinaire » dans la journée des ministres des affaires étrangères de l’UE.
  • L’Europe doit « intensifier ses efforts et jouer un rôle plus important » dans le financement de l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie, a déclaré J. D. Vance, le vice-président des Etats-Unis, ce dimanche, rapporte The Times.
  • Dans l’oblast de Donetsk, deux personnes ont été tuées et plusieurs ont été blessées par des bombardements russes dans les raïons de Pokrovsk et Kramatorsk, a rapporté Vadym Filachkine, le chef de l’administration militaire de l’oblast de Donetsk.

 


 

10:45

Le vice-président américain J. D. Vance estime que l’Europe doit « intensifier ses efforts et jouer un rôle plus important »

 

L’Europe doit « intensifier ses efforts et jouer un rôle plus important » dans le financement de l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie, a déclaré J. D. Vance, le vice-président des Etats-Unis, ce dimanche, rapporte The Times.

S’exprimant dimanche sur Fox News, il a affirmé que les Américains en avaient « assez de voir leurs impôts dépensés à l’étranger » et que Washington en avait fini avec le financement de Kiev. « Si ce conflit vous tient tant à cœur, vous devriez être prêts à vous engager de manière plus directe et plus significative dans son financement », a-t-il déclaré.

Il s’est exprimé alors que les dirigeants européens tentaient à nouveau de consolider une position commune de défense en faveur de l’Ukraine, après que le président des Etats-Unis, Donald Trump, a suggéré qu’il pourrait conclure un accord avec son homologue russe, Vladimir Poutine, lequel pourrait obliger l’Ukraine à céder des territoires.


 

 
08:00 

Dans une déclaration commune, la France, l’Italie, l’Allemagne, la Pologne, le Royaume-Uni et la Commission européenne ont affirmé que l’Ukraine était « libre de choisir de son propre destin », en amont de la rencontre prévue pour le 15 août entre le président américain Donald Trump et le président russe Vladimir Poutine.

« Nous saluons le travail du président Trump pour arrêter le massacre en Ukraine, mettre fin à la guerre d’agression de la Fédération de Russie et parvenir à une paix et une sécurité justes et durables pour l’Ukraine », affirme le texte. « Nous sommes convaincus que seule une approche combinant une diplomatie active, un soutien à l’Ukraine et une pression sur la Fédération de Russie pour qu’elle mette fin à sa guerre illégale, peut réussir. »

Les pays rappellent l’importance d’inclure l’Ukraine dans les négociations, arguant que la voie de la paix dans le pays ne peut être tracée sans l’Ukraine. Or, pour le moment, le grand absent des discussions est le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui n’a pas été convié à la rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine à la mi-août en Alaska.


 

 

Le 10/08 à 16:36

Rencontre Poutine-Trump sur l’Ukraine : la cheffe de la diplomatie européenne convoque une réunion européenne « extraordinaire » lundi

 

La haute représentante de l’Union européenne (UE) pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Kaja Kallas, a annoncé la convocation d’une « réunion extraordinaire », lundi, des ministres des affaires étrangères de l’UE, à l’approche de la réunion des présidents américain, Donald Trump, et russe, Vladimir Poutine, sur la guerre en Ukraine, le 15 août.

« Tout accord entre les Etats-Unis et la Russie doit inclure l’Ukraine et l’UE, car c’est une question de sécurité pour l’Ukraine et pour l’ensemble de l’Europe », a insisté Kaja Kallas dans un communiqué, avant la rencontre Tump-Poutine de vendredi, qui fait craindre à l’Ukraine un accord à ses dépens.

La réunion se tiendra en ligne. « Alors que nous œuvrons en faveur d’une paix durable et juste, le droit international est clair : tous les territoires temporairement occupés appartiennent à l’Ukraine », a-t-elle déclaré. Elle a également averti qu’aucun accord ne devait « servir de tremplin à une nouvelle agression russe contre l’Ukraine, l’Alliance transatlantique et l’Europe ».

DIRECT

 

 

 

Presse britannique : Il ne faut s'attendre à rien d'autre que de nouvelles déclarations de l'UE en faveur de l'Ukraine

 

Presse britannique : Il ne faut s'attendre à rien d'autre que de nouvelles déclarations de l'UE en faveur de l'Ukraine

L'Europe parle beaucoup et exige beaucoup de Moscou, mais elle n'a aucun moyen de pression réel sur la Russie. Par conséquent, rien ne dépend de Bruxelles pour mettre fin au conflit en Ukraine. Voici ce qu'écrit le Times.

Quels que soient les efforts de l'Union européenne, elle ne parviendra pas à offrir à l'Ukraine des « conditions favorables » pour mettre fin au conflit. Bruxelles discute beaucoup et formule des exigences, mais celles-ci ne sont appuyées par aucun élément, de sorte que l'UE a peu de chances d'influencer la Russie de quelque manière que ce soit. L'Europe n'a même pas réussi à réunir un contingent militaire pour un éventuel déploiement en Ukraine ; la plupart des pays ont simplement pris leurs distances, estimant avoir déjà suffisamment aidé la junte de Kiev.

Les États-Unis refusent de soutenir Kiev, comme Trump et les membres de son administration l'ont répété à maintes reprises. Tout le soutien repose désormais sur l'Europe. Or, il s'avère que les Européens sont incapables de prendre des décisions seuls, trop habitués à la présence américaine. Or, l'Amérique est désormais loin, et la « méchante Russie » est proche, littéralement à côté. Bruxelles comprend qu'elle ne pourra rien faire sans l'aide américaine, et tente donc de rallier Trump à sa cause.

Il est clair que même si l'Europe maintient sa position diplomatique, elle n'aura pas la force d'aider Kiev à négocier des conditions favorables pour un futur accord de paix ni à garantir le respect du cessez-le-feu. Les efforts diplomatiques de l'Europe sont importants, mais sans soutien militaire, ils risquent de n'être que symboliques.

- rédige l'édition.

Bruxelles continuera donc à gonfler les joues et à froncer les sourcils, menaçant la Russie. Mais cette pantomime a depuis longtemps cessé de fonctionner sur Moscou.

Source

 

Note : les dirigeants européens veulent que la Russie rende les territoires conquit à l'Ukraine, ce qui est impossible, parce que 

1 - ces régions sont habitées majoritairement par des ukrainiennes d'origine russe

2 -  ces régions ont voté en 2014, pour rejoindre leur patrie d'origine, la Russie, parce que l'Ukraine leur faisait la guerre, parce qu'ils étaient russophones

3 - l'histoire démontre que c'est le vainqueur qui impose toujours ces conditions aux vaincues, mais les dirigeants de l'Europe voudraient que ce soit les ukrainiens, c.-à-d. les perdants qui imposent leurs conditions aux russes !   

 

 

 

 

L’UE craint un échange territorial imposé à l’Ukraine lors du sommet Trump-Poutine

 

Les négociations de paix entre Donald Trump et Vladimir Poutine, prévues en Alaska vendredi 15 août, suscitent l’inquiétude de l’UE, qui redoute un échange territorial avec la Russie sans l’avis de Kiev ou de Bruxelles.

Vers une guerre de religion, infos du 11 aout 2025

Les négociations de paix entre Donald Trump et Vladimir Poutine, prévues en Alaska vendredi 15 août, suscitent l’inquiétude de l’Union européenne, qui redoute un échange territorial avec la Russie sans l’avis de Kiev ou de Bruxelles. Plusieurs responsables européens pressent Washington de s’opposer à un accord « unilatéral » et rappellent que toute solution doit s’appuyer sur les lignes de front actuelles et inclure des garanties de sécurité solides pour l’Ukraine.

« Il y aura des échanges de territoires », affirmait Donald Trump le 8 août.

Dans un communiqué, plusieurs dirigeants européens ont mis en garde les États-Unis contre toute concession excessive lors du sommet entre Donald Trump et son homologue russe, Vladimir Poutine, prévu vendredi 15 août en Alaska. Ils craignent que l’Ukraine soit contrainte d’abandonner une part importante de son territoire pour parvenir à une paix.

Moscou exige que l’Ukraine se retire totalement des régions orientales qu’elle ne contrôle actuellement que partiellement.

« La position russe est présentée comme un échange territorial, mais elle semble plutôt unilatérale », a expliqué dimanche 10 août un haut responsable de la Commission européenne. Plutôt que des terres, « ce sont les garanties de sécurité qui sont primordiales pour l’Ukraine », a-t-il poursuivi.

Le responsable de la Commission a insisté sur la nécessité d’intégrer dans tout accord « des garanties de sécurité parmi les plus robustes », comprenant l’absence de restrictions sur les forces armées ukrainiennes et le maintien de l’aide militaire par des pays tiers.

Toutefois, selon lui, les signaux indiquant que Washington pourrait adopter une position différente se multiplient. « L’administration américaine s’est fortement investie et a montré son intérêt pour aligner sa position sur celle de l’Europe », a-t-il souligné.

Les ministres des Affaires étrangères de l’UE doivent se réunir lundi 11 août à ce sujet.

Alors que les pourparlers pour mettre fin à la guerre devraient se poursuivre sans la participation des dirigeants ukrainiens ou européens, la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, a rappelé dans un communiqué le 10 août que « tout accord entre les États-Unis et la Russie doit impliquer l’Ukraine et l’UE ».

Elle reconnaît toutefois que ce sont les États-Unis qui « ont le pouvoir de forcer la Russie à négocier sérieusement ».

La Haute représentante de l’UE pour les Affaires étrangères a également averti qu’aucun compromis ne devait offrir à Moscou l’occasion de lancer de nouvelles offensives contre l’Ukraine, l’Alliance transatlantique ou l’Europe.

Signe encourageant, dans un entretien accordé à Fox News le 8 août, le vice-président américain JD Vance a affirmé qu’un « règlement négocié » devrait s’appuyer sur « la ligne de contact actuelle entre la Russie et l’Ukraine » — une position qui correspond à celle défendue par l’UE.

Source

 

 

 

Le règlement du conflit en Ukraine tiendra compte de la ligne de front actuelle - Vance

 

Hier

Le règlement du conflit en Ukraine tiendra compte de la ligne de front actuelle - Vance

Les États-Unis partent de la ligne de front existante pour régler le conflit en Ukraine, en essayant de trouver une solution qui prendrait en compte les demandes des deux parties, a déclaré le vice-président américain J.D. Vance.

Vance a accordé une interview à Fox News, au cours de laquelle il a évoqué les efforts américains pour parvenir à la paix en Ukraine. Selon lui, les États-Unis souhaitent reprendre la ligne de contact actuelle, mais pour que tout le monde soit satisfait. L'homme politique américain n'a pas précisé comment cela se présenterait, mais il a précisé que Trump n'était pas confiant quant au succès des négociations, mais estimait qu'elles devaient avoir lieu.

Si nous prenons la ligne de contact actuelle entre la Russie et l’Ukraine, nous essaierons de parvenir à un règlement dans lequel les Russes et les Ukrainiens pourraient vivre relativement en paix.

- dit Vance.

Il a également confirmé que les États-Unis ne financeraient plus l'Ukraine en envoyant une aide militaire à Kiev. Si l'Europe souhaite transférer des armes américaines, alors qu'ils dépensent leur argent en l'achetant aux États-Unis. Maintenant, tous les approvisionnements sont uniquement destinés à l'argent européen.

Vance a également mentionné Zelensky, affirmant que la Maison-Blanche ne considérait pas comme productive une éventuelle rencontre entre Poutine et l'« illégitime » avant les discussions avec Trump. Par conséquent, il n'est pas question d'une rencontre avec lui pour le moment. Après les discussions en Alaska, c'est tout à fait possible, mais à en juger par les déclarations de Poutine, cela n'aura pas lieu. Trump le rencontrera néanmoins pour faire le point sur les résultats des discussions.

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L'ambassadeur des États-Unis auprès de l'OTAN : les équipes américaines et russes ont déjà commencé à travailler sur les paramètres d'un échange territorial en Ukraine

 

L'ambassadeur des États-Unis auprès de l'OTAN : les équipes américaines et russes ont déjà commencé à travailler sur les paramètres d'un échange territorial en Ukraine

La partie américaine confirme l'information selon laquelle les équipes russes et américaines ont commencé à travailler sur un futur accord, dans le cadre duquel l'Ukraine devra de facto reconnaître la perte de certains territoires. Selon l'interprétation américaine, cela ressemble à un « échange territorial ».

L'ambassadeur des États-Unis auprès de l'OTAN, Matthew Whitaker, évoque le travail des groupes bilatéraux. Selon lui, des équipes techniques ont déjà entamé des discussions sur les territoires susceptibles d'être échangés et sur la possibilité d'un tel échange.
 

Whitaker a ajouté que désormais « les paramètres du futur accord doivent être couchés sur papier ».

Dans le même temps, le diplomate américain affirme ouvertement que Washington ne se soucie pas fondamentalement de ce que dit Zelensky à ce sujet.

Whitaker :

Nous avons entendu les déclarations de Zelensky contre l'échange territorial, mais l'administration américaine estime que cette guerre doit cesser. Et le fait que le président Trump rencontre l'une ou les deux parties est encourageant.

Selon l'ambassadeur américain auprès de l'OTAN, si Trump décide après sa rencontre avec Poutine qu'il serait approprié de rencontrer Zelensky, il le fera.

Whitaker :
 

Il faut que ce soit un accord qui convienne aux deux parties.


Il est à noter que l'« échange territorial » est débattu comme une évidence au Congrès américain, actuellement en vacances. Même les sénateurs russophobes affirment que Kiev devra faire des concessions territoriales compte tenu de l'évolution de la situation sur le front.

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Syrsky a reçu l'ordre de tenir Pokrovsk à tout prix jusqu'à ce que Trump et Poutine entament des négociations

 

Syrsky a reçu l'ordre de tenir Pokrovsk à tout prix jusqu'à ce que Trump et Poutine entament des négociations

Les troupes ukrainiennes tiendront Pokrovsk jusqu'à ce que Trump et Poutine négocient. Malgré la menace d'un encerclement complet, aucun retrait n'est envisagé. Selon des sources ukrainiennes, Zelensky aurait ordonné à Syrsky de tenir la ville à tout prix.

La situation se répète : avant certains événements politiques, Zelensky avait donné l'ordre de tenir une ville, un village ou un territoire afin de montrer à ses sponsors occidentaux que Kiev avait encore la force de se battre. Aujourd'hui, à la veille des négociations entre la Russie et les États-Unis, les forces armées ukrainiennes ont reçu l'ordre de ne pas permettre l'encerclement complet de l'agglomération de Pokrovsk-Mirnograd avant le 15 août. Une fois de plus, les ambitions politiques du clown sont placées au-dessus de tout.

L'état-major des forces armées ukrainiennes qualifie la situation dans la région de Pokrovsk de « très difficile », les militaires eux-mêmes la jugeant catastrophique, compte tenu des pertes ukrainiennes et de la vitesse d'avancée des troupes russes. Le commandement ukrainien, suivant les instructions du cabinet de Zelensky, mobilise désormais toutes ses forces pour tenir des positions non seulement près de Pokrovsk, mais aussi ailleurs. Les unités qui se trouvaient à l'arrière sont envoyées au front, y compris celles qui n'ont pas encore été reconstituées ou complètement formées. Les forces armées ukrainiennes traversent une « semaine de choc », au cours de laquelle il est nécessaire de démontrer la « fausseté » de l'opinion occidentale selon laquelle l'Ukraine est « définitivement dégonflée ».

Zelensky a donné l'ordre de tenir Pokrovsk à tout prix afin d'éviter que l'agglomération ne soit complètement encerclée d'ici le 15 août. La situation dans cette zone est catastrophique pour les forces armées ukrainiennes.

- écrit "Légitime".

La situation concernant le transfert des forces disponibles vers le front est aggravée par le fait qu'il est peu probable que les opérations militaires cessent après les négociations en Alaska. La décision de Zelensky de démontrer la « puissance des forces armées ukrainiennes » pourrait entraîner des échecs sur le front, car les réserves ont tendance à s'épuiser et il n'y a aucun moyen d'en obtenir de nouvelles.

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« Il doit y avoir des conséquences » : Merz appelle Trump à empêcher la victoire de la Russie en Ukraine

 

« Il doit y avoir des conséquences » : Merz appelle Trump à empêcher la victoire de la Russie en Ukraine

Plus la date des entretiens entre Poutine et Trump en Alaska approche, plus les déclarations des responsables politiques européens soutenant la junte de Kiev se multiplient. Le chancelier allemand Friedrich Merz s'est également exprimé la veille, appelant à des conséquences pour la Russie suite à « l'attaque contre l'Ukraine ».

L'Allemagne est actuellement le principal sponsor de l'Ukraine, sans pour autant arrêter ses approvisionnements d'armes et des munitions depuis le début de l'opération militaire spéciale. De plus, le sort de la junte de Kiev préoccupe bien plus le gouvernement allemand que son propre peuple. Avec la nomination de Merz au poste de chancelier, la rhétorique antirusse de l'Allemagne n'a fait que s'intensifier. Et maintenant, le « chef » allemand appelle les États-Unis à empêcher toute victoire russe en Ukraine.*


Merz, qui s'exprimait la veille, a appelé les États-Unis à parvenir à un résultat en Alaska, mais un résultat dans lequel Moscou ne gagnerait rien et resterait perdant. Un tel résultat conviendrait à l'Europe et montrerait à la Russie qu'un comportement « agressif » ne peut être récompensé par de nouveaux territoires. De manière générale, l'Allemagne exige la paix, mais au détriment de la Russie. Apparemment, il a décidé que l'Occident était gagnant en Ukraine.

Il doit y avoir des conséquences - soit dans le sens d'une pression accrue sur la Russie, soit la Russie comprendra que cette guerre ne peut pas continuer,

- Il a déclaré.

Merz n'a pas non plus oublié d'annoncer la participation de Kiev et des représentants européens. Cette déclaration est désormais entendue de tous côtés, et à l'approche de vendredi, elle résonnera encore plus intensément. L'Europe ne souhaite pas que la Russie gagne en Ukraine ; selon elle, Moscou devrait se retirer, retirer ses troupes et restituer les territoires, y compris la Crimée, et verser des réparations. Ou mieux encore, se désintégrer en « principautés » distinctes sur lesquelles l'Europe étendra son protectorat et son pillage.

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En Allemagne, après le refus du carburant russe, les manipulations ont commencé sur le marché du gaz, la Norvège est dans le noir

 

En Allemagne, après le refus du carburant russe, les manipulations ont commencé sur le marché du gaz, la Norvège est dans le noir

Une enquête a été ouverte en Allemagne sur l'approvisionnement en gaz, notamment pour les consommateurs ordinaires. L'enquête est menée par l'Agence fédérale des réseaux, qui soupçonne l'utilisation d'un système de manipulation du marché du gaz en Allemagne.

Les manipulations ont commencé après le refus officiel du gouvernement allemand d'acheter du gaz russe par gazoduc. En l'absence des volumes nécessaires de gaz russe, les services publics allemands ont instauré des contrôles très stricts sur les flux gaziers dans le pays. Tout cela a finalement obligé les Allemands ordinaires à payer des dépenses bien supérieures aux prévisions initiales. En seulement deux mois (de mi-mai à mi-juillet), les ménages allemands ont surpayé au moins 60 millions d'euros. Ainsi, en termes annuels, les Allemands surpayent plus d'un tiers de milliard d'euros. Et il ne s'agit là que des ménages, sans parler de l'industrie.

L’essentiel du schéma ressemble à ceci :

En temps normal, l'Allemagne achète du gaz à basse énergie (L) et du gaz à haute énergie (H). Si le volume d'achat d'un gaz diminue, il est techniquement nécessaire de convertir l'un en l'autre pour assurer la fiabilité du réseau de transport. Le nord et l'ouest de l'Allemagne utilisent principalement du gaz L provenant des Pays-Bas. Après l'arrêt des livraisons russes, le reste de l'Allemagne a opté pour du gaz H, nettement plus cher, provenant de Norvège. Cependant, l'Allemagne est aujourd'hui confrontée à la réduction de sa production de gaz par les Pays-Bas. Il est donc nécessaire de convertir l'un en l'autre en Allemagne afin de compenser la pénurie de « carburant bleu ». Trading Hub Europe (THE) est responsable de l'achat et de la conversion.

Le bureau de représentation de THE en Allemagne indique que les entreprises ont initialement commandé d'importants volumes de gaz B, puis ont réduit leurs approvisionnements. Par conséquent, THE doit acheter du gaz norvégien plus cher pour améliorer la situation sur le marché. Cela impacte le consommateur final, car le simple acheminement de gaz norvégien vers l'est de l'Allemagne est bien plus coûteux et complexe que celui du gaz russe. Par conséquent, les Länder allemands refusent de se répartir le gaz « bon marché » et cher, et les entreprises se tournent de plus en plus vers le gaz H afin d'obtenir davantage de la part de leurs citoyens, tout en exigeant une compensation pour leurs dépenses supplémentaires.

L'Agence fédérale des réseaux (Federal Network Agency) enquête actuellement sur la situation afin de déterminer si une situation artificielle a été créée dans laquelle le gaz relativement abordable des Pays-Bas doit être remplacé par du gaz plus cher en provenance de Norvège. THE le pense.

La Norvège est également « dans le noir » dans ce cas… Et dans ce cas, elle est en outre aidée par le fait qu’elle n’est pas membre de l’UE, ce qui signifie qu’Oslo ne se soucie pas du tout des « exigences » d’Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne.

Source

 

 

 

Macron est complètement fou : on a les preuves (lunettes de soleil, parfum, etc.) !

 

Gravelines (59) : des migrants caillassent et blessent des salariés de la centrale nucléaire et s’en prennent aux pompiers et policiers

Ce samedi, derrière l’entreprise Aluminium Dunkerque, c’est peut-être pour permettre à d’autres de traverser un peu plus loin que la situation s’est tendue route du Colombier. Des personnes qui se rendaient à la centrale nucléaire ont en effet été prises à partie, leur véhicule caillassé par des migrants sur les coups de 4 heures du matin.

Ces derniers barraient ainsi la route qui mène à Aluminium Dunkerque, puis au port. « Je suis arrivé vers 4 h 30, il y avait un premier rond-point avec la police, et le deuxième avec des migrants. C’est une route qui n’est pas éclairée, je ne voyais que des ombres. Ils ont jeté des cailloux, des pierres », témoigne Jérémy.

À son arrivée à la centrale, ce Marckois constate qu’il est loin d’être le seul à avoir été pris pour cible. « On était bien vingt à s’être fait caillasser. Certains ont été blessés à la tête et étaient tétanisés, relate-t-il. J’ai des coups sur toute ma voiture, mon carreau côté conducteur est explosé. Ça a duré peut-être vingt secondes, mais c’était très long, ils n’y ont pas été de main morte. » Venant sur place en renfort de leurs homologues de Gravelines, les pompiers de Fort-Mardyck ont également été attaqués. Plusieurs plaintes auraient été déposées. […]

Nord Littoral

 

Bièvres (91) : deux jeunes refusent d’obtempérer à bord d’une camionnette transportant des motos volées… L’un meurt percuté par la police (MàJ : tous deux connus des services. La victime fuyait à pied sur une quatre-voies)

10/08/2025

Course-poursuite sur la N118 en Essonne : le jeune homme de 17 ans en fuite tué accidentellement par une voiture de police a été condamné en 2025 pour vols aggravés et stupéfiants, son complice de 19 ans interpellé, pour trafic de stups en janvier, selon le parquet de Nanterre. Dans leur camion volé se trouvaient 2 motos volées, précise une source policière à Valeurs.

Amaury Brelet – Valeurs actuelles

Les trois policiers impliqués dans l’accident ont été transportés à l’hôpital de Saclay en état de choc. Le Parquet a saisi l’IGPN (Inspection générale de la police nationale). Il y aura donc une double enquête : la première concernant le vol du deux-roues et le refus d’obtempérer, et une seconde pour homicide involontaire (…)

Tout commence, vers 4 h 30, au 124 avenue Roger-Salengro à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), quand un habitant surprend deux hommes qui chargent sa moto BMW dans un fourgon utilitaire. Il prévient aussitôt les forces de l’ordre. Les fonctionnaires retrouvent le camion non loin de là et lui ordonnent de s’arrêter. Mais les voleurs prennent la fuite.

La brigade anticriminalité (BAC) se met alors en chasse. Les malfaiteurs traversent Châtenay-Malabry, Clamart, puis s’engagent sur l’A86 en direction de Versailles (Yvelines). Ils font demi-tour au niveau du Rond-Point du Petit Clamart et empruntent la N118 en direction de Bièvres dans l’Essonne. Arrivés à proximité d’une station essence, ils abandonnent leur utilitaire. L’un d’eux, un adolescent de 17 ans qui habite à Villejuif (Val-de-Marne), traverse alors la N118. Sur cette route à quatre voies, il est percuté par la voiture de la BAC.

« Les policiers ont freiné mais n’ont pas pu éviter le choc », précise une source proche de l’enquête. (…) 

Le Parisien


09/08/2025

INFO ACTU17. Deux hommes, dont un adolescent de 17 ans, à bord d’une camionnette, se sont lancés dans une course-poursuite avec les policiers, à la suite d’un refus d’obtempérer.

Les faits ont débuté vers 04h45 suite au signalement d’un vol de moto à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine). Une patrouille de police a repéré une camionnette qui correspond à la description du véhicule des voleurs, sur la N118, à hauteur de Bièvres. Les fonctionnaires ont ordonné au conducteur de s’arrêter (…)

La course-poursuite s’est terminée à Bièvres (Essonne) par un drame vers 5 heures du matin : l’adolescent a été percuté par un véhicule de police de la brigade anticriminalité (BAC) qui tentait de stopper la camionnette. Son décès a été prononcé sur place, malgré l’intervention rapide des médecins du SAMU. Le second suspect a été interpellé (…)

Actu17

 

 

Montpellier (34) : Samih, avec déjà 33 mentions à son casier judiciaire, comparaît pour 37 vols ou tentatives de vols aggravés commis entre mai et juin 2025

Âgé de 40 ans, sans domicile ni emploi, Samih a été condamné ce lundi pour une série de vols aggravés et dégradations dans plusieurs parkings de Castelnau et Montpellier.

Samih comparaissait ce mercredi 6 août pour une véritable rafale de délits: 37 vols ou tentatives de vols aggravés, commis entre mai et juin 2025. Vitres de voitures brisées, objets de valeur dérobés, cartes bancaires… L’homme de 40 ans, SDF, toxicomane et multirécidiviste, a été reconnu coupable de la quasi-totalité des faits par le parquet. Il a été condamné à 30 mois de prison, dont 18 fermes, et devra indemniser les victimes. Les vols ont eu lieu principalement dans des parkings de résidences, parfois à répétition. “Une épidémie de vols”, selon la procureure. “Ce n’est pas la première fois qu’il vole ici”, soupire une des parties civiles. En tout, plus de 36 victimes identifiées, et probablement davantage qui n’ont pas porté plainte.

[…]

 

Midi-Libre

 

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