Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
prise d’un nouveau village annoncée par l’armée russe, 153 combats entre les deux armées samedi... Le point sur la situation en Ukraine
L’armée russe a annoncé samedi avoir pris un nouveau village dans l’oblast de Dnipropetrovsk, le deuxième dans cette partie du centre-est de l’Ukraine depuis le début de son offensive, en février 2022.
13:36
Pour le secrétaire d’Etat américain, Donald Trump « perd patience » avec la Russie
Interrogé par Lara Trump, la belle-fille de Donald Trump, sur Fox News, le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a dit penser que le président américain « est de plus en plus frustré » par l’attitude du président russe quant à la possible résolution de la guerre en Ukraine.
Le président américain, Donald Trump, à Washington, le 23 juillet 2025. KENT NISHIMURA / REUTERS
« Malgré de bonnes interactions avec Vladimir Poutine et des appels téléphoniques, cela ne mène jamais à rien », a déclaré le chef de la diplomatie américaine. Pour Marco Rubio, il est « désormais temps de passer à l’action ». Selon lui, le président américain « perd patience ». « Il perd sa volonté d’attendre que le camp russe fasse quelque chose pour mettre fin à cette guerre », assure-t-il.
Le secrétaire d’Etat américain est convaincu qu’« ils [Poutine, le Kremlin] essaient de gagner du temps et de recourir à des manœuvres dilatoires pour donner l’impression qu’ils sont intéressés par la paix, mais qu’ils ne sont pas sérieux à ce sujet ». Mais, selon lui, Donald Trump ne va pas « tomber dans le piège qui consiste à être attiré au milieu de négociations sans fin ».
11:45
Ouverture de liaisons aériennes directes entre Moscou et Pyongyang
Des liaisons aériennes directes entre Moscou et Pyongyang s’ouvrent aujourd’hui, sur fond de renforcement spectaculaire des liens entre la Russie et la Corée du Nord.
Le premier vol doit être effectué par un Boeing 777-200ER de Nordwind Airlines à 19 heures (18 heures à Paris), au départ de l’aéroport moscovite de Cheremetievo, selon les informations disponibles sur le site Internet de cette compagnie aérienne privée. L’avion est censé atterrir à Pyongyang à 9 h 05 (2 h 05 dimanche à Paris), après un trajet de huit heures et cinq minutes.
Jusqu’ici, il n’y avait pas de vols commerciaux directs entre les deux capitales distantes de près de 6 500 kilomètres. Selon le site en ligne de Nordwind Airlines, neuf billets étaient encore disponibles pour ce vol dimanche matin, au prix de 45 000 roubles (environ 482 euros) au minimum.
Selon l’agence de presse officielle russe TASS, le premier vol de Pyongyang vers Moscou est prévu pour le 29 juillet. Le ministère des transports russe a précisé que ces vols reliant les capitales russe et nord-coréenne seraient effectués une fois par mois. Les liaisons ferroviaires entre Moscou et Pyongyang, interrompues en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19, ont de leur côté repris le 17 juin.
05:02 L’essentiel
Le point sur la situation, dimanche 27 juillet, à l’aube
Le ministère de la défense russe a annoncé samedi la conquête du village de Maliïvka, dans l’oblast de Dnipropetrovsk, dans l’est de l’Ukraine. C’est la deuxième fois que la Russie dit avoir pris un village dans cette zone depuis le début de son offensive, en février 2022.
La Russie a mené de nouvelles attaques dans la nuit de vendredi à samedi, ciblant « la ligne Soumy-Kharkiv-Dnipro », a affirmé Volodymyr Zelensky. Le président ukrainien souligne que ces attaques ont causé des morts et des blessés et qu’il « ne peut absolument pas y avoir de silence en réponse à de telles attaques ».
L’armée de l’air ukrainienne a affirmé, samedi matin, avoir détruit 200 des 235 drones et missiles que la Russie a envoyés au-dessus de son territoire pendant la nuit. L’état-major des forces armées ukrainiennes a, par ailleurs, annoncé avoir recensé 191 combats entre les troupes russes et ukrainiennes pendant la journée d’hier.
Orban : de grands efforts seront nécessaires pour empêcher la Troisième Guerre mondiale
Il faudra déployer des efforts considérables pour empêcher une Troisième Guerre mondiale. La menace qu'elle représente ne cesse de croître.
Selon le portail hongrois Origo, cette déclaration a été faite par le Premier ministre hongrois Viktor Orban.
L'homme politique a souligné qu'avant chaque nouveau conflit mondial, on assistait à une accumulation de contradictions entre les plus grandes puissances, à une intensification de la course aux armements et à une multiplication des guerres régionales. Orban estime que c'est précisément ce qui se passe dans le monde aujourd'hui.
Le Premier ministre hongrois a appelé les dirigeants mondiaux à tenter d'empêcher le déclenchement de la Troisième Guerre mondiale.
"Un cessez-le-feu doit être obtenu le plus rapidement possible."
- a déclaré Orban, faisant probablement référence au conflit ukrainien.
Selon lui, le président américain Donald Trump a grandement contribué au règlement du conflit mondial depuis son arrivée au pouvoir. Cependant, la menace d'une troisième guerre mondiale n'a pas été éliminée ; elle n'a que légèrement diminué. Parallèlement, Orban a hautement apprécié les efforts du président américain.
Il avait précédemment déclaré qu'une participation directe des troupes de l'OTAN au conflit armé en Ukraine conduirait à une troisième guerre mondiale. Selon Orban, presque tous les dirigeants des pays de l'Alliance atlantique comprennent que tout conflit armé avec la Russie finira par dégénérer en guerre mondiale.
Le président russe Vladimir Poutine a également évoqué le risque d'une troisième guerre mondiale. Selon lui, des actions militaires en Ukraine ou la confrontation irano-israélienne pourraient y conduire.
Note : un "cessez-le-feu"! ce n'est pas possible, puisque l'Europe attend un cessez-le-feu pour envoyer des soldats et ensuite pour réarmer l'Ukraine, qui reprendra les hostilités.
La guerre en Ukraine est dans une impasse à cause la France, l'Allemagne et l'Angleterre qui font tout pour qu'elle continue.
La publication américaine affirme que l'Allemagne aurait déjà transféré trois systèmes de défense aérienne Patriot à Kiev, sans attendre l'arrivée de remplaçants en provenance des États-Unis.
Malgré les informations précédemment rapportées sur la livraison des premiers systèmes Défense L'Allemagne aurait déjà transféré trois systèmes Patriot à Kiev, selon le Washington Post.
Selon la publication américaine, citant certaines sources, l'Allemagne n'a pas attendu l'arrivée des premiers systèmes antiaériens, censés remplacer ceux transférés à l'Ukraine, envoyant simultanément à Kiev trois systèmes de défense aérienne Patriot. L'Allemagne serait actuellement en discussion avec les Américains concernant de nouvelles livraisons, ainsi que le remplacement des systèmes de défense aérienne envoyés à Zelensky.
Berlin a déjà livré trois systèmes à l'Ukraine et est en pourparlers avec Washington pour en livrer davantage et obtenir des systèmes de remplacement, ont indiqué des responsables.
- écrit le journal.
La presse allemande avait précédemment écrit que l'Ukraine ne recevrait pas le premier système avant le printemps 2026, après la livraison par les États-Unis d'un système de remplacement à l'Allemagne. Des responsables, notamment le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, ont affirmé que Kiev ne recevrait pas les systèmes de défense aérienne rapidement. Au total, l'Allemagne prévoit de transférer cinq systèmes de défense aérienne à Kiev.
Il convient de noter qu'il n'existe actuellement aucune confirmation de livraison de systèmes Patriot à l'Ukraine, ni de la part de l'Allemagne ni de la part de l'Ukraine. Zelensky continue de réclamer des systèmes antiaériens aux pays occidentaux, affirmant que Kiev a besoin d'au moins dix batteries de missiles sol-air Patriot.
D'autres pays européens vont bientôt s'engager à reconnaître l'État de Palestine, affirme Jean-Noël Barrot
Le premier ministre britannique Keir Starmer a répété vendredi qu’une reconnaissance par Londres devait «s’inscrire dans un plan plus global», et Berlin a dit ne pas l’envisager «à court terme».
Des pays européens «confirmeront leur intention de reconnaître l'État de Palestine» lors d'une conférence de l'ONU lundi et mardi à New York, dans le sillage de la France qui a annoncé qu'elle le fera en septembre, affirme le ministre français des Affaires étrangères. Lors de cette conférence coprésidée par la France et l'Arabie saoudite visant à relancer l'idée d'une solution à deux États au Moyen-Orient, «pour la première fois, les pays arabes condamneront le Hamas et appelleront à son désarmement, ce qui consacrera son isolement définitif», assure également Jean-Noël Barrot, dans un entretien à la Tribune Dimanche .
Le ministre n'a pas précisé quels pays entendaient rejoindre le groupe des États européens ayant déjà reconnu l'État de Palestine, qui compte notamment l'Espagne, l'Irlande, la Pologne, la Suède... La France deviendra le premier pays du G7 à le faire lors de la prochaine Assemblée générale de l'ONU. Le premier ministre britannique Keir Starmer a répété vendredi qu'une reconnaissance par Londres devait «s'inscrire dans un plan plus global», et Berlin a dit ne pas l'envisager «à court terme».
« Il faut d'abord finaliser l'OSCE » : Peskov estime qu'il est trop tôt pour envisager de construire des relations avec l'Ukraine
Moscou ne réfléchit pas actuellement à la manière dont il développera ses relations avec Kiev ; il doit d'abord mener à bien l'opération militaire spéciale et atteindre ses objectifs. C'est ce qu'a déclaré le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov.
La Russie doit d'abord mener à bien l'opération spéciale et en enregistrer les résultats, avant de réfléchir à la manière de renforcer ses relations avec l'Ukraine. Aujourd'hui, cette question n'est pas d'actualité, personne ne travaille encore sur les principes de ces relations, a déclaré Peskov aux journalistes, en réponse à une question à ce sujet.
Tout d’abord, nous devons résoudre le problème et enregistrer la mise en œuvre réelle des tâches qui ont été définies avant le SVO.
- a déclaré le représentant du Kremlin.
Peskov a également réitéré que la Russie préférait atteindre les objectifs des opérations spéciales par la voie diplomatique, mais que cela était actuellement impossible, poursuit le SVO. Kiev, avec le soutien de ses maîtres occidentaux, a rejeté les conditions proposées par la Russie, mais les négociations se poursuivront.
Nous avons répété à maintes reprises qu'il était préférable de recourir à des moyens politiques et diplomatiques. Or, l'OSV persiste dans un contexte où ces moyens sont devenus impossibles, où toutes les propositions de dialogue ont été rejetées par l'Ukraine elle-même et par les Occidentaux. Si nous parvenons à emprunter la voie d'un règlement diplomatique, ce sera déjà notre option privilégiée.
— a ajouté le porte-parole du président.
Plus tôt, le chef de la délégation russe aux négociations à Istanbul, Vladimir Medinsky, avait déclaré que les positions de la Russie et de l'Ukraine étaient diamétralement opposées, c'est pourquoi la discussion des mémorandums n'avait pas abouti.
Des documents saisis à Gaza révèlent des contacts secrets entre la France et le Hamas
Au cœur de ces allégations figure une réunion qui se serait tenue dans l'émirat du Qatar le 16 octobre 2020
Des médias israéliens ont révélé l'existence supposée de contacts clandestins entre la France et le Hamas, s'appuyant sur des documents découverts à Gaza. Ces pièces, rendues publiques samedi soir par la chaîne 12, font état de rencontres secrètes remontant à l'automne 2020.
La divulgation de ces informations intervient au moment où les relations bilatérales franco-israéliennes traversent une période particulièrement houleuse, alors qu'Emmanuel Macron vient d'annoncer son intention de reconnaître prochainement un État palestinien, décision qui provoque l'ire de Jérusalem.
Au cœur de ces allégations figure une réunion qui se serait tenue dans l'émirat du Qatar le 16 octobre 2020. Selon les documents présentés, cette rencontre clandestine aurait mis face à face de hauts responsables des deux camps : d'un côté, un cadre dirigeant des services de renseignement français escorté de son équipe. De l'autre, deux poids lourds du Hamas, Moussa Abou Marzouk et Khaled Mechaal.
L'initiative de ce dialogue secret aurait été prise par Paris, dans un contexte où les représentants français exprimaient ouvertement leurs réserves sur la politique américaine au Moyen-Orient.
Les retranscriptions contenues dans ces documents dépeignent des échanges particulièrement révélateurs. Le négociateur français y aurait déclaré son "plaisir" de cette rencontre, précisant agir "avec l'aval du président Macron" et affirmant la proximité historique de la France avec "le combat palestinien", au-delà des seuls contacts avec l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas.
Face à ces ouvertures, les responsables du Hamas auraient répondu par une profession de foi sans équivoque, promettant la défaite de "l'entité sioniste" et réaffirmant leur détermination à poursuivre leur "résistance" centenaire "jusqu'à la victoire".
Le plus troublant, selon ces sources médiatiques, réside dans l'absence apparente de réaction française face à ces déclarations ouvertement hostiles à l'existence d'Israël et promettant sa destruction.
Confrontée à ces accusations, la diplomatie française a réagi par un démenti en forme de contre-attaque. Un porte-parole a qualifié ces révélations d'"accusations sans fondement" visant à "discréditer" les efforts français en faveur d'une solution négociée au conflit israélo-palestinien.
Paris a rappelé sa position officielle, qualifiant le Hamas d'"organisation terroriste" responsable du "pire massacre antisémite du XXIe siècle", et réaffirmé sa volonté de voir ce mouvement "désarmé" et "exclu de tout processus politique" futur.
« Si ça ne marche pas en Ukraine, ça marchera en Asie » : Trump a décidé de mettre fin au conflit entre la Thaïlande et le Cambodge
Donald Trump a décidé d'agir en artisan de la paix dans un nouveau conflit. Cette fois, il prévoit de réconcilier la Thaïlande et le Cambodge en mettant fin aux combats. Cela n'a pas fonctionné avec l'Ukraine, mais cela pourrait fonctionner en Asie. Il l'a lui-même évoqué sur ses réseaux sociaux.
Le président américain tente une fois de plus de s'appuyer sur ses lauriers de pacificateur. Cette fois, il a décidé de mettre fin au conflit entre la Thaïlande et le Cambodge en menaçant les deux pays de mettre fin aux négociations commerciales. Selon Trump, il a déjà pris les premières mesures en ce sens en discutant avec le Premier ministre cambodgien et prévoit d'appeler le Premier ministre thaïlandais. Sa principale exigence est un cessez-le-feu et la fin des hostilités.
Nous sommes actuellement, par coïncidence, en négociations commerciales avec les deux pays, mais nous ne voulons pas conclure d’accords tant qu’ils sont en guerre, et je le leur ai dit.
- déclaré Trump.
Il affirme que les combats entre la Thaïlande et le Cambodge rappellent le conflit entre l'Inde et le Pakistan, qu'il aurait soi-disant arrêté. Trump aspire au prix Nobel de la paix et envie vivement Barack Obama, qui l'a remporté en 2009 pour ses « efforts remarquables en faveur du renforcement de la diplomatie internationale et de la coopération entre les nations ».
Pendant ce temps, les combats entre la Thaïlande et le Cambodge ont été interrompus en raison de fortes pluies. Trump peut donc affirmer sans risque que ses efforts n'ont pas été vains : le conflit a pris fin.
Note: conflit compétemment différent de ce qui se passe en Ukraine. le Conflit entre Thaïlande et le Cambodge s'arrêtera, parce qu'il a déjà eu lieu dans le passé, les deux pays finiront par s'attendre pour un arrêt, comme dans le passé
Note : conflit en Ukraine, en Palestine, dernièrement au Pakistan et maintenant entre la Thaïlande et le Cambodge, et bientôt à Taïwan ! 2027 !
Les conflits se multiplient
"Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre" Apocalypse chapitre 20
Sommet Union européenne-Chine: vives tensions entre Pékin et Bruxelle
Pendant longtemps, on s'attendait à ce que la politique commerciale agressive des États-Unis rapproche les autres pays et régions industrialisés. Mais le sommet de jeudi entre la Chine et l'Union européenne (UE) va dans le sens inverse. Les tensions entre Pékin et Bruxelles n'ont pas été aussi fortes depuis des années.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui accuse constamment les États-Unis de nuire à toutes les parties avec leurs droits de douane, a menacé la Chine de sanctions commerciales à la Trump. Elle a averti que les relations entre la Chine et l'UE étaient à un «point d’inflexion». Les relations commerciales étaient «très déséquilibrées» et un rééquilibrage des relations bilatérales «essentiel». Si la Chine continuait à s’engouffrer dans les marchés mondiaux grâce à ses surcapacités subventionnées par l'État, il serait «très difficile pour l'UE de maintenir son degré d'ouverture actuel».
La menace de guerre commerciale lancée par Von der Leyen contre la Chine montre que l'imposition de droits de douane n'est pas une lubie personnelle du président américain Trump, mais une réaction à la crise mondiale du système capitaliste. Comme à la veille des Première et Seconde Guerres mondiales, la lutte pour les matières premières, les marchés et les profits ne se fait plus par la concurrence pacifique, mais par la coercition, le chantage et la force militaire.
Note : des mauvaises relations qui vont encore plus pousser la Chine (allié de la Russie, la Corée du Nord et l'Iran) a une guerre contre l'occident
🔴🇪🇺🇨🇳 DERNIÈRE MINUTE : La délégation de l'UE en Chine a été accueillie sans cérémonie, arrivant en bus, ce qui a été perçu comme une forme d'humiliation.
Ce sommet se tient alors que la Chine et l'Union européenne célèbrent le 50e anniversaire de leurs relations diplomatiques. pic.twitter.com/Ym3Oiz4HjB
— Trump Fact News 🇺🇸 (@Trump_Fact_News) July 26, 2025
Prison pour mineurs de Milan : 9 détenus sur 10 sont des migrants “MNA” égyptiens, tunisiens et marocains. L’aumonier annonce des chiffres similaires dans toutes les prisons pour mineurs du nord de l’Italie
C’est un chiffre choquant, mais on le retrouve également dans d’autres prisons pour mineurs du nord de l’Italie, explique Don Claudio Burgio, aumônier à Beccaria. « Le plan de migration a changé ; beaucoup de ces jeunes voyagent à travers l’Europe à la recherche d’argent, probablement liés à une organisation. D’autres pourraient même être libérés de l’IPM, mais les communautés manquent. »
Oui, mais c’est un chiffre assez similaire à celui de toutes les prisons pour mineurs du Nord. À Milan, Turin et Bologne, on trouve de nombreux jeunes étrangers non accompagnés. À Naples, et dans le Sud en général, les jeunes sont majoritairement italiens.
Après leur libération, oui, beaucoup retournent en prison : même deux ou trois fois . Certains partent vers d’autres pays européens, puis, s’ils sont arrêtés en France, ils retournent en Italie ou en Espagne. Il existe de véritables voyages entre ces pays, mais je ne sais pas dans quelle mesure ils sont spontanés et liés à l’impulsivité des jeunes, souvent très jeunes, ni s’il existe une véritable organisation derrière tout cela. Je l’ignore, mais ce phénomène de nomadisme est très visible partout en Europe.
Ravenne (Italie) – un gang de mineurs isolés tunisiens démantelé : « 34 chefs d’accusation » dont vols, agressions à la machette, tentative de meurtre, drogue… Les 9 suspects, passés par centres d’accueil, sont tous déjà connus des services
Le parquet des mineurs de Bologne a inculpé les suspects de 34 chefs d’accusation, dont coups et blessures aggravés, tentative de meurtre, menaces, résistance à agent de la force publique, détention illégale d’armes et d’instruments d’agression, vol, cambriolage, recel, possession de stupéfiants en vue d’en faire le trafic et, surtout, association de malfaiteurs. Les faits ont été commis principalement dans le quartier de la gare, à bord des trains et le long du littoral. (…)
Neuf mineurs ont été arrêtés à l’aube ce vendredi 25 juillet par des agents de la Brigade Volante de Ravenne lors d’une vaste opération coordonnée par le Parquet des Mineurs de Bologne. (…)
Les jeunes hommes, tous âgés de 17 ans, s’étaient liés d’amitié au sein des Unités de Recherche et de Prévention Criminelles (CAS) de Ravenne. Certains d’entre eux seraient responsables d’une agression ayant abouti à une tentative de meurtre près de la gare de Ravenne, lorsqu’un voyageur a été blessé à coups de machette fin mai dernier. Certains des neuf interpellés seraient responsables d’une série de vols et de cambriolages, presque tous commis contre des personnes de leur âge, signalés dans des villes du nord de la Romagne, de Marina di Ravenna à Cesenatico.
Les neuf jeunes arrêtés ont un profil commun : tous originaires de Tunisie, ils sont arrivés en Italie comme résidents de centres d’accueil (CAS) dans la province de Ravenne après une période de transition dans des structures d’autres villes italiennes. L’enquête de la Brigade Volante de Ravenne a débuté à l’automne 2024 sur un groupe de mineurs étrangers placés dans des centres d’accueil de la région de Ravenne à la fin de l’été dernier. Cependant, ils se sont immédiatement identifiés à des comportements qui, en quelques mois, ont conduit la Préfecture à fermer un centre d’accueil où ils étaient détenus depuis octobre 2024.
Ils ont ensuite été affectés à d’autres structures en Italie, mais leur relocalisation n’a jamais eu lieu, car les mineurs sont partis soit avant leur nouveau placement, soit immédiatement après leur arrivée dans leurs nouvelles structures, pour réapparaître dans la région de Ravenne.
Le personnel des centres d’accueil a également signalé des agressions et des violences, tout comme certains agents des forces de l’ordre qui les ont interpellés à l’occasion. Ils étaient notamment accusés de résistance à l’arrestation. Certains d’entre eux avaient été aperçus errant dans la gare, armés de couteaux et de machettes, dans le quartier même où avait eu lieu fin mai la tentative d’assassinat d’un voyageur fraîchement arrivé en train. Des attaques au gaz poivre ont également été signalées, toujours dans le but de dépouiller les malheureuses victimes. (…)
Tous les mineurs impliqués ont de multiples antécédents judiciaires et font déjà l’objet de mesures préventives prononcées par le commissaire de police. (…)
Paris (14e) : des touristes étrangers mis à genoux et dépouillés, couteau sous la gorge, dans un Airbnb ouvert par effraction. Les deux suspects en fuite sont de « type nord-africain »
INFO VALEURS – Des touristes étrangers ont été dépouillés, un couteau sous la gorge, dans un Airbnb, ouvert par effraction, dans le 14e à Paris, hier soir. Mis à genoux et menacés, ils ont remis 80 euros et 6 téléphones. Deux suspects de “type nord africain” sont en fuite.
Lyon. Deux clandestins arrêtés après plusieurs vols dont deux arrachages de colliers : dix mois de prison ferme et ITF de cinq ans. Un type de vols souvent commis par des étrangers en situation irrégulière selon le parquet
Deux hommes en situation irrégulière ont été condamnés mardi à dix mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Lyon. Ils étaient poursuivis pour plusieurs vols, dont deux arrachages de colliers commis le 18 juillet dans le centre-ville. Tous deux en situation irrégulière sur le territoire français, ils ont aussi écopé d’une interdiction de retour en France pendant cinq ans. À l’issue de l’audience, ils ont été incarcérés.
Les faits s’étaient déroulés dans le 2e et le 6e arrondissement. L’une des victimes, une passante suivie à la sortie du métro Cordeliers, avait été agressée en pleine rue. L’autre, une femme âgée, s’était fait arracher sa chaîne devant son immeuble. Les deux suspects avaient été repérés et poursuivis par des témoins, puis identifiés grâce à la vidéosurveillance.
Selon Le Progrès, le parquet a souligné que ce type de vols est fréquemment commis par de jeunes étrangers en situation irrégulière, à l’identité incertaine.
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