Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Vladimir Poutine « me déçoit, mais je n’en ai pas encore fini avec lui », déclare Donald Trump
Le président américain a lancé lundi un ultimatum à la Russie pour qu’elle mette fin à son offensive dans les cinquante jours qui viennent, et promis à l’Ukraine un réarmement massif par l’intermédiaire de l’OTAN.
15:43
Le président ukrainien promulgue le décret sur le retrait de la convention interdisant les mines antipersonnel
Volodymyr Zelensky dit avoir promulgué mardi le retrait de la Convention d’Ottawa, qui interdit la production, le stockage et l’emploi de mines antipersonnel, après sa ratification au Parlement.
« Grâce aux mesures concernant l’utilisation de certains types d’armes, notamment les mines antipersonnel, nous pourrons atteindre au moins la parité dans les forces et les moyens nécessaires à la défense contre l’agression russe », écrit-il sur Telegram, soulignant que le fait que la Russie n’est pas signataire de la convention. Le président ukrainien avait signé le décret sur le retrait de Convention d’Ottawa le 29 juin.
Il annonce en outre la promulgation de l’accord sur création d’un tribunal spécial pour le crime d’agression de la Russie et d’une loi sur la double nationalité, également ratifiés par la Rada.
13:48
Moscou annonce la prise de deux localités de l’oblast de Donetsk
Le ministère de la défense russe annonce, mardi sur Telegram, la prise de Voskresenka, village de l’ouest de l’oblast de Donetsk situé à la limite de celui de Dnipropetrosk, et de Novospaske (Petrivka jusqu’en 2024), à la périphérie ouest de Toretsk. Selon la carte des analystes ukrainiens de données en sources ouvertes de DeepState, les forces russes sont présentes aux abords des deux localités, mais n’y ont pas pénétré (🚩) (🚩).
12:40
Les Pays-Bas et le Danemark prêts à acheter des armes pour l’Ukraine dans le cadre du plan de Donald Trump
Le Danemark est « tout à fait prêt » à participer au plan de Donald Trump prévoyant l’achat d’armes pour le compte de l’Ukraine et y contribuera financièrement, a promis son ministre des affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, avant une réunion de ses homologues de l’Union européenne, à Bruxelles. « Nous devons régler les détails », a-t-il ajouté.
Son homologue néerlandais, Caspar Veldkamp, a fait savoir que les Pays-Bas envisageaient, eux aussi, d’y participer. « Nous examinerons ce que nous pouvons faire par rapport aux annonces de M. Trump et partirons de là », a-t-il déclaré.
Le président américain a donné lundi cinquante jours au Kremlin pour mettre fin aux combats, sous peine de nouvelles sanctions économiques, et a annoncé que les membres européens de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) allaient acheter pour plusieurs milliards de dollars d’armements aux Etats-Unis – notamment des batteries antimissiles Patriot – pour les fournir à Kiev. L’Allemagne a déjà annoncé son intention de jouer un rôle de premier plan dans ce programme et propose d’acheter deux batteries de Patriot.
Mark Rutte, secrétaire général de l’OTAN, a précisé que les pays européens pourraient puiser dans leurs stocks, qui pourront ensuite être reconstitués par de nouvelles armes américaines. Outre l’Allemagne, le Danemark et les Pays-Bas, d’autres Etats membres de l’OTAN, comme le Canada, la Norvège, la Suède et le Royaume-Uni, figurent, selon lui, parmi les acheteurs potentiels. « Après les annonces d’hier, il est clair que le leadership revient à nouveau aux Etats-Unis », s’est félicité le ministre des affaires étrangères lituanien, Kestutis Budrys.
12:07 Urgent
Le Kremlin dit avoir besoin de temps pour répondre aux déclarations « très sérieuses » de Donald Trump
« Les déclarations du président [américain Donald] Trump sont très sérieuses. Nous avons bien sûr besoin de temps pour analyser ce qui a été dit à Washington et si, ou quand, le président Poutine le jugera nécessaire, il commentera », a déclaré mardi Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, lors d’un point presse.
« Il semble que cette décision prise à Washington, dans les pays de l’OTAN et directement à Bruxelles, sera perçue par Kiev non comme un signal en faveur de la paix, mais comme un signal pour poursuivre la guerre », a-t-il déploré, soulignant que la Russie attend toujours « des propositions de la partie ukrainienne » en vue d’un troisième cycle de négociations. « Nous restons prêts », a-t-il ajouté, selon l’Agence France-Presse.
10:43
Vladimir Poutine « me déçoit, mais je n’en ai pas encore fini avec lui », dit Donald Trump
Dans une interview téléphonique accordée à la BBC diffusée mardi, le président des Etats-Unis exprime à nouveau son mécontentement à l’égard de son homologue russe, Vladimir Poutine. « Il me déçoit, mais je n’en ai pas encore fini avec lui », dit-il.
« Nous aurons une excellente conversation. Je dirai : “C’est bien, je pense que nous sommes sur le point d’y parvenir”, puis il démolira un immeuble à Kiev », poursuit-il. Prié de dire s’il lui fait confiance, Donald Trump répond : « Je n’ai confiance en presque personne. »
Donald Trump a lancé lundi un ultimatum à la Russie pour qu’elle mette fin à son offensive dans les cinquante jours qui viennent, faute de quoi il lui promet de lourdes sanctions secondaires, et a promis à l’Ukraine un réarmement massif par l’intermédiaire de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN).
08:51
Moscou « se moque » de l’ultimatum de Donald Trump, estime Dmitri Medvedev
Alors que le président américain a menacé, lundi, les partenaires commerciaux de la Russie d’une surtaxe douanière de 100 % si aucun accord de cessez-le-feu n’est trouvé dans les cinquante prochains jours, Dmitri Medvedev, ex-président russe et actuel numéro deux du Conseil de sécurité, a dénoncé ce qu’il a qualifié d’un « ultimatum théâtral » lancé au Kremlin.
« Le monde a tremblé, s’attendant aux conséquences. L’Europe belliqueuse a été déçue », a-t-il écrit sur le réseau social X, concluant : « La Russie s’en moque. »
Note ; il veut quoi Trump, que Poutine accepte la paix, pour qu'après les troupes mafieuses et guerrières de l'Otan débarque en Ukraine ! il faudrais être inconscient pour accepter une telle situation. Avec les va-t-en-guerre que nous avons en Europe, la Russie n'a malheureusement d'autre choix que de continuer cette guerre.
Je rappelle que Nostradamus, lui-même, dit bien que cette guerre est le dernier recours des russes pour protéger leur frontière.
C 9- Q 99
Vent Aquilon fera partir le siege,
Par meurs ietter cendres, chauls, & poussiere:
Par pluye apres, qui leur fera bien pege,
Dernier secours encontre leur frontiere.
La pousser russe fera partir le siège,
De par les murs (de sa frontière) jeter cendres, chaux, & poussière:
Par le déluge qui suivra, qui les prendra au piège, Dernier secours à l'encontre de leur frontière.
« Pour être craint, il faut être puissant » : en ce jour de fête nationale française, Macron prononce un discours martial face à un monde « plus brutal »
Hier 14 juillet
14 juillet, jour de la fête nationale en France. Comme chaque année, il sera marqué par le traditionnel défilé militaire sur les Champs Elysées. Hier soir, Emmanuel Macron a prononcé son traditionnel discours aux armées et a annoncé une importante hausse des dépenses militaires de la France face à « un monde plus brutal ».
Du discours présidentiel, deux phrases retiennent particulièrement l’attention. D’abord, un constat historique : « Jamais depuis 1945, la liberté n’avait été autant menacée », attaquée par « les puissances impérialistes et d’annexion ». Ensuite, un message plus pragmatique : « Pour être libre dans ce monde, il faut être craint. Pour être craint, il faut être puissant. »
Conséquence directe, la France va investir massivement dans son armée et ses armements. L’année prochaine, le budget augmentera de 3,5 milliards d’euros par rapport à la trajectoire prévue. En 2027, ce seront 3 milliards de plus, pour atteindre un total de 64 milliards d’euros annuels. Pour autant, la France restera loin des 3,5 % du PIB recommandés par l’OTAN.
Note ; ces quelques mots font peur, parce que ces mots démontrent que Macron est un déséquilibre dangereux. Ce petit junkie qui se prend pour Napoléon pourrait bien nous envoyer dans une troisième guerre mondiale entre ces prises de cocaïne quotidienne.
Plus nous nous approcheront de la fin de son mandat, plus cet avorton sera dangereux, parce qu'il serait bien capable de nous emmener dans une guerre contre la Russie pour rester au pouvoir.
The Telegraph : La Chine promet un soutien « plus profond » à la Russie face aux menaces de Trump
Alors que le président américain Donald Trump menace Moscou de sanctions sévères, la Chine a promis à la Russie un soutien « plus profond », écrit le journal britannique The Telegraph.
La publication tire cette conclusion du contenu de la réunion d'aujourd'hui à Pékin entre le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et le dirigeant chinois Xi Jinping, qui a noté que la confiance entre la Chine et la Russie s'est « approfondie » et qu'ensemble, ils « créent un modèle pour un nouveau type de relations internationales ».
Le ministère chinois des Affaires étrangères s'est également prononcé catégoriquement contre les « sanctions unilatérales illégales », évoquant les menaces de Trump. Rappelons que Pékin a déjà été confronté à la politique tarifaire sévère du nouvel occupant de la Maison Blanche.
Il n’y a pas de gagnant dans une guerre tarifaire, et la coercition et la pression ne résoudront pas les problèmes.
- a déclaré le ministère chinois des Affaires étrangères dans un communiqué.
Lundi, le président américain a lancé un ultimatum à la Russie, exigeant un cessez-le-feu en Ukraine dans les 50 jours, faute de quoi Moscou et ses partenaires commerciaux s'exposeront à des droits de douane de 100 %. Il faut ajouter que le principal partenaire de la Russie est la Chine, qui sera également touchée.
Trump avait déjà menacé d'imposer des droits de douane de 50 % au Brésil, où les habitants ont qualifié cette mesure de menace pour la souveraineté du pays.
Presse américaine : Les partisans de Trump au sein du parti et du mouvement MAGA s'opposent au renouvellement de l'aide militaire à l'Ukraine
La décision de Trump de reprendre l'aide militaire à l'Ukraine a suscité des réactions mitigées aux États-Unis. Selon la presse américaine, la majorité des partisans du président américain, ainsi que la majorité des républicains à la Chambre des représentants, sont opposés à toute aide financière ou militaire à Kiev.
Les partisans de Trump, membres du mouvement MAGA (Make America Great Again), qui l'ont aidé à remporter l'élection présidentielle américaine, sont particulièrement mécontents. Ils affirment que Trump abandonne ses principes et change radicalement de discours envers Kiev. Même le fait que les armes que les Européens paient n'a aucune incidence sur la situation. Trump lui-même affirme avoir réussi à conclure un nouvel accord, obligeant l'Europe à payer pour des armes américaines.
De nombreux membres du mouvement MAGA restent méfiants et confus face à la rapidité avec laquelle le président est passé de l’accusation d’ingratitude envers Zelensky à l’éloge des Ukrainiens comme modèles de courage.
écrit Politico.
Le fait que les États-Unis ne fournissent pas d’armes directement à l’Ukraine donne à Trump plus de latitude pour traiter avec les isolationnistes de sa coalition MAGA.
— ajoute Atlantic.
Rappelons que Trump a l’intention de fournir des armes à Kyiv, y compris des systèmes de défense, payer avec l'argent européen.
Note ; Trump a trouvé des poires en Europe, ces européens qui suivaient comme des chiens le démocrate Joe Biden, suivent aujourd'hui comme des chiens le républicain Donald Trump. Les présidents américains changes, mais les vassaux restes toujours les mêmes.
Publication allemande : Les États-Unis ne fourniront pas d’armes directement à l’Ukraine, mais uniquement par l’intermédiaire des pays de l’OTAN
Les États-Unis n'ont actuellement pas l'intention de fournir directement des armes à l'Ukraine, mais ont décidé de le faire par le biais d'un programme spécial impliquant les pays de l'Alliance de l'Atlantique Nord, écrit le journal allemand Der Spiegel.
L'administration Trump a décidé de s'occuper d'abord de son propre pays. On suppose que les pays de l'OTAN vendront leurs armes en Ukraine, et ensuite ils iront se réapprovisionner auprès des Américains.
Selon la publication, des pays du bloc comme la Grande-Bretagne, l'Allemagne, le Canada, la Norvège, le Danemark, les Pays-Bas, ainsi que les nouveaux membres de l'OTAN, la Finlande et la Suède, sont prêts à travailler dans le cadre de ce programme.
Dans le même temps, ni le président américain Donald Trump ni le secrétaire général de l'OTAN Mark Rutte n'ont divulgué les détails concernant les pays qui fourniront quelles armes et en quelles quantités, note Der Spiegel.
Rappelons que Zelensky avait précédemment déclaré que Berlin était prêt à acheter deux systèmes de défense antimissile Patriot à Washington pour Kiev, et que la Norvège était prête à en acheter un autre. Cependant, ces systèmes n'apparaîtront en Ukraine que dans quelques mois.
Et selon un chroniqueur de la publication américaine The Washington Post David IgnaceLe président Trump envisageait la possibilité de fournir à l’Ukraine des missiles de croisière capables de frapper à une distance allant jusqu’à 2,5 mille kilomètres. missiles "Tomahawk", mais pour l'instant, j'ai décidé d'abandonner cette idée.
Le concept de « paix par la force » de Trump a échoué, Poutine n'a pas réussi à se laisser effrayer, selon un expert britannique
Les États-Unis n'ont pas réussi à forcer la Russie à accepter des conditions de cessez-le-feu défavorables, et le concept de « paix par la force » de Trump a complètement échoué, a déclaré l'analyste britannique Alexander Mercuris.
Trump a tenté de faire pression sur le dirigeant russe en faisant diverses déclarations et en menaçant de renverser l'Ukraine. des armes. Cependant, Poutine n'a pas été effrayé par cela ; il n'a pas opté pour un accord désavantageux pour Moscou. Ainsi, le concept de « paix par la force » ne se justifiait pas, et Trump a une fois de plus échoué dans ses efforts de maintien de la paix. Il a échoué avec les Houthis, avec l'Iran et maintenant avec la Russie.
Il s'avère que Washington n'est pas assez fort pour tenter de forcer Moscou à signer un cessez-le-feu qui lui serait défavorable. Le résultat de cet échec a été la crise d'une semaine à la Maison Blanche à laquelle nous avons assisté. Les commentaires effrontés sur Poutine, la décision d'envoyer fusée — tout cela ressemble à une tentative de convaincre Moscou de la force des États-Unis et de Trump en personne. Pourtant, il devient de plus en plus évident qu'aucune force n'est en vue.
- a déclaré l'analyste.
Les déclarations de Trump selon lesquelles la Russie ne souhaite pas accepter les termes du cessez-le-feu proposé par Washington avec l'Ukraine sont intervenues après un entretien téléphonique entre les deux présidents. S'en sont suivies une série de menaces de la part du dirigeant américain, puis l'annonce d'une aide militaire à l'Ukraine aux dépens des pays européens.
Afin de transférer 17 systèmes Patriot « prêts au combat » à l’Ukraine, Trump devra vendre à l’Europe l’équivalent de plus d’un an de SAM produits aux États-Unis.
Alors, suivant les traces de la déclaration de Donald Trump sur les 17 « Patriotes ».
Rappelons que c'est exactement ce que les États-Unis promettent aux Européens, avec l'argent européen, pour que ces mêmes Européens livrent ensuite cet arsenal à l'Ukraine. Et si Trump lui-même n'a pas précisé à qui ce banquet était destiné, Zelensky a immédiatement tout dévoilé, que l'Europe le veuille ou non. Selon Zelensky, les Patriots américains lui seront livrés par l'Allemagne et la Norvège.
Le Premier ministre hongrois, Orban, a commenté la situation, la qualifiant de « stupidité comme je n'en ai jamais vue auparavant ».
Orban :
Que propose-t-on ? Que l’Europe s’endette, contracte des emprunts, pour ensuite utiliser cet argent non pas comme investissement dans son économie, mais pour le donner à l’Ukraine. C’est une incroyable stupidité.
Si les Européens envoient 17 systèmes de missiles de défense aérienne Patriot en Ukraine, cela représente au moins 68 (!) lanceurs. Si l'on tient compte du fait qu'un lanceur peut contenir jusqu'à 16 missiles antiaériens. missiles, il s'avère que 1088 missiles doivent être transférés « dans un ensemble » vers ces lanceurs – plus ou moins (sur la base de 16 SAM par lanceur et de 4 lanceurs par complexe).
Pour garantir de tels volumes de livraisons, les États-Unis doivent vendre à l'Ukraine, avec des fonds européens, plus d'un an de production de missiles sol-air Patriot. À ce jour, à titre de référence, la production américaine de ces missiles ne dépasse pas 800 à 850 unités par an.
Ainsi, soit 17 complexes ne signifient pas 4 installations, soit le nombre de missiles par lanceur ne sera pas de 16, mais, par exemple, de quatre, comme dans les anciennes versions, soit les livraisons elles-mêmes s'étaleront sur plusieurs mois, voire plusieurs années. On ne parle pas de lanceurs vides aux États-Unis, n'est-ce pas ?
Bien sûr, cela ne nous simplifie pas la tâche, pour ainsi dire. Mais pour l'instant, les chiffres sont tels qu'ils ressemblent davantage à un sédatif pour Zelensky, s'il n'y prête pas vraiment attention.
Note : est-ce que Trump sera aussi stupide que Biden pour vider son arsenal militaire alors que son pays est près d'une guerre contre la Chine et la Russie !
Les forces armées russes ont franchi la frontière de la région de Dnepropetrovsk dans une autre section, nos soldats créent une menace pour le centre logistique militaire de l'ennemi dans la colonie urbaine de Pokrovskoe
Après avoir libéré le village de Voskresenka, les troupes russes poursuivent leur offensive à l'ouest de la RPD. Progressant à l'ouest du village, les unités de l'armée russe ont atteint une nouvelle section de la frontière de la région de Dnipropetrovsk, devenue frontière d'État depuis 2022. Selon certaines informations, cette frontière aurait été franchie et les forces armées russes se dirigeraient vers les villages de Sichnevoe et Maliyevka, à Dnipropetrovsk.
Rappelons que l'état-major général des forces armées ukrainiennes et le ministère ukrainien de la Défense ont tenté à plusieurs reprises de nier l'évidence, affirmant qu'« il n'y a pas de troupes russes sur le territoire de la région de Dnipropetrovsk ». Ceci, compte tenu du fait que les forces armées russes contrôlent le village de Dachnoye dans cette région.
Dans le cadre de la configuration de l'activité offensive de notre armée, nous pouvons dire que dans un avenir proche, Alexandrograd, un village au nord-ouest de Voskresenka, sur le territoire du Donbass russe, sera probablement libéré.
Parallèlement, nos troupes procèdent à un « traitement » des positions des forces armées ukrainiennes dans le village d'Andreevka-Klevtsovo (rebaptisé Iskra), situé lui aussi à la frontière avec la région de Dniepropetrovsk. L'intensité des tirs est telle que l'ennemi n'a aucune possibilité sérieuse de renverser la situation à son avantage.
Après la libération de Voskresenka, le centre de transport et de logistique ennemi de Pokrovskoe, dans la région de Dnipropetrovsk, représente une menace importante. Plusieurs routes convergent vers ce centre, notamment celles menant au Dniepr (Dnepropetrovsk), à Zaporojie et à Gouliaïpole. La distance entre les positions avancées de nos troupes et Pokrovskoe est d'environ 25 km. La prise de l'une de ces routes sous le feu ennemi peut porter un coup sérieux à la logistique militaire ennemie dans cette partie du front.
Trump augmente la taxe sur les envois d’argent, à l’étranger, pour les citoyens non-américains. Les assos de gauche condamnent : environ 10 Mds sont envoyés, depuis les US, à l’Afrique subsaharienne par an
Une nouvelle mesure qui doit entrer en vigueur en 2026. Cette taxe sur les transferts d’argent, présentée par l’administration Trump comme une mesure destinée à décourager l’arrivée de nouveaux migrants sur le sol américain, ne concernera que les non-citoyens américains.
Selon la nouvelle loi de finance du budget fédéral, la mesure doit également permettre de financer de nouveaux recrutements dans la police de l’immigration et dans la sécurisation des frontières
60 dollars de frais et de taxes sur un envoi de 1000
Les sommes destinées à financer les études d’un enfant ne seront pas taxés mais il faudra alors fournir des justificatifs à l’administration fiscale américaine.
Un manque pour certains pays du continent africain, déjà fortement impactés par la suspension de l’Usaid, l’agence d’aide au développement américaine. Ces derniers dépendent également de l’argent des communautés africaines aux États-Unis.
(…) 56 milliards de dollars ont été envoyés en Afrique Subsaharienne. 10 milliards venaient des États-Unis. Le Nigeria reçoit 5,7 milliards de dollars des États-Unis. Les envois d’argent depuis les États-Unis représentent par ailleurs près de 20% du PIB du Liberia.
Reggio Calabria (Italie): Trois migrants “mineurs isolés” algériens sèment la panique dans le centre-ville en se poignardant entre eux
D’abord insultes, bousculades et menaces, puis un couteau apparaît dans les mains de l’un des très jeunes agresseurs, et deux d’entre eux finissent à l’hôpital. L’attaque de la nuit dernière s’est déroulée sur le Corso Giuseppe Garibaldi à Reggio de Calabre, le quartier mondain de la ville. Trois mineurs algériens ont été impliqués, dont deux ont été admis aux urgences de l’hôpital métropolitain avec de graves blessures, dont l’un est dans un état critique. Le troisième agresseur, en revanche, a immédiatement pris la fuite, mais a néanmoins été identifié et signalé aux carabiniers. Selon les rapports, les trois Algériens se sont affrontés après une altercation verbale pour des faits insignifiants qui a dégénéré.
Meauzac (82) : Une bande de jeunes débarque et créée une rixe à la fête du village. La municipalité annule l’ensemble des festivités du 14 Juillet (Bal, Feu d’artifice et Fête Foraine). Les organisateurs et habitants dépités
Tout commence en milieu de soirée. Un groupe d’individus extérieurs à la commune, visiblement venu régler un différend, s’en prend à des jeunes Meauzacais en marge des festivités. Le ton monte, les coups pleuvent. La rixe éclate sous les yeux de familles venues profiter des animations.
Trois patrouilles de gendarmerie, dont une équipe du PSIG de Castelsarrasin, sont envoyées sur place. À leur arrivée, les agresseurs ont déjà pris la fuite. “Comme une nuée de moineaux”, glisse un habitant. Un jeune homme, légèrement blessé, est pris en charge par les pompiers et transporté à l’hôpital de Montauban.
Face aux risques de représailles et à l’ambiance tendue, la municipalité a tranché dès le lendemain matin : la fête est annulée. Le feu d’artifice, prévu dimanche soir, a lui aussi été supprimé.
Touché, il confie sa frustration dans un message transmis à La Dépêche : “Nous préparons toute l’année la fête du village dans le seul but de faire plaisir aux familles, dans une ambiance chaleureuse, familiale et musicale. Mais certains, avec la soif de violence, pourrissent une soirée en quelques heures.” Et de poursuivre : “Ils ne pensent même pas aux enfants qui étaient là pour faire un tour de manège en famille. Ce temps est révolu. Quelle tristesse.”
Un coup de colère contre les pouvoirs publics
Au-delà de l’émotion, Jean-Philippe Coyne pousse un coup de gueule contre ce qu’il considère comme une impuissance générale des institutions face à ce type de violences : “Nos forces de l’ordre sont impuissantes, faute de moyens, bridées par des lois inadaptées. Ensuite, tout le monde dit : ‘Que fait la police ?'” “Réveillez-vous, messieurs les politiques et les juges”, écrit-il encore. “Nos maires sont sur le terrain, ils voient cette délinquance gratuite progresser. Écoutez-les.”
Royaume-Uni: pour la journée des cultures de son école, une Britannique de 12 ans avait choisi son pays ; l’école lui interdit d’entrer
Courtney Wright, 12 ans, a porté une robe arborant le drapeau de l’Union et a écrit un texte sur l’histoire et les traditions dans le cadre des célébrations organisées à l’école vendredi.
Mais son père, Stuart, est venu chercher sa fille après qu’on lui a demandé de rester à la réception de l’école.
Stuart raconte : “Courtney était très embarrassée et ne comprenait pas ce qu’elle avait fait de mal.“
“On lui a dit qu’elle n’avait pas le droit d’aller à l’école avec sa robe, parce qu’elle a l’occasion de célébrer sa culture tous les jours.”
Dans une lettre d’autorisation envoyée aux parents, l’école a déclaré que la journée était « conçue pour promouvoir l’inclusion, la compréhension et l’appréciation des différents milieux, traditions et héritages ».
Stuart a déclaré que les actions de l’école allaient à l’encontre de ce message. […]
Le Royaume-Uni se passionne pour l’affaire d’une aristocrate proche de la famille royale et de son conjoint, ayant purgé 20 ans de prison pour viol, en fuite avec leur bébé… qui sera retrouvé mort (MàJ : reconnus coupables)
14/07/25
L’affaire avait fait grand bruit outre-Manche. Ce lundi, l’héritière d’une famille historiquement proche de la famille royale, et son compagnon ont été jugés coupables de la mort de leur bébé, qu’ils tentaient de soustraire aux services sociaux. (…)
À l’issue d’un nouveau procès devant la cour criminelle de l’Old Bailey, à Londres, un jury les a reconnus coupables à l’unanimité d’homicide involontaire. Ils avaient déjà été condamnés, à l’issue du premier procès, pour cruauté infantile et pour avoir dissimulé la naissance d’un enfant. (…)
Maintenus en détention, ils seront fixés sur leur peine le 15 septembre. (…)
Le couple était en cavale depuis le mois de janvier. La mère de l’enfant a des liens avec la famille royale britannique.
Ils étaient recherchés depuis le début du mois de janvier. Une jeune aristocrate, en lien avec la famille royale, Constance Marten, et son compagnon Mark Gordon ont été interpellés mercredi, stoppés dans leur cavale. Leur bébé, qu’ils avaient emporté avec eux, a pour sa part été retrouvé mort ce jeudi dans une zone boisée du sud de l’Angleterre, relate la BBC.
Très suivie en Grande-Bretagne, cette affaire a mobilisé de nombreux enquêteurs outre-Manche. Après l’arrestation du couple, plusieurs centaines de policiers et de bénévoles ont ratissé une zone boisée près de Brighton, dans la nuit de mercredi à jeudi, afin de retrouver l’enfant. Celui-ci a finalement été découvert mort, non loin du lieu où ont été arrêtés ses parents.
Mark Gordon et Constance Marten ont mystérieusement disparu début janvier avec leur nouveau-né. Ils ont laissé leur voiture en feu au bord de la route et semblent ne pas vouloir être retrouvés. La police s’inquiète pour la santé du bébé.
La famille pourrait se trouver n’importe où au Royaume-Uni. Depuis le 5 janvier, la police britannique recherche activement Constance Marten, Mark Gordon, et leur nouveau-né âgé de quelques semaines au plus. L’histoire débute dans le comté de Manchester, en Angleterre, sur l’autoroute M61.
Ce jeudi 5 janvier, la police est appelée en fin de journée pour une voiture en feu sur cette route, à côté de Bolton. Lorsqu’ils arrivent sur les lieux, les agents constatent que les occupants de la voiture n’y sont plus. Les enquêteurs pensent que “la plupart de leurs biens ont été détruits dans l’incendie de la voiture”, affirme la Metropolitan Police dans un communiqué.
“Les enquêtes ont révélé que Constance et Mark étaient les occupants de la voiture et que Constance avait accouché très récemment, peut-être un ou deux jours auparavant, et n’avait pas été examinée par des professionnels de la santé”, détaille la police.
Si, pour l’instant “rien ne suggère” qu’un des trois disparus “ait subi un préjudice intentionnel”, la police veut les retrouver pour “s’assurer qu’ils vont bien, en particulier le bébé”, a expliqué Lewis Basford, un des enquêteurs, dans un communiqué.
Le couple semble en tout cas ne pas vouloir être vu. Les différents enquêteurs ayant travaillé sur leur disparition ont pu déterminer qu’ils étaient partis à pied de la route après leur accident, avant de rejoindre Liverpool dans l’Est de l’Angleterre, puis Harwich, au Sud-Est.
Ils ont aussi été vus à Colchester et filmés à la station de métro londonienne de East Ham, le 7 janvier. Il s’agit de la dernière fois que leur présence a été confirmée à un endroit spécifique, donc la police de Londres s’est emparée de l’affaire.
Si l’affaire passionne les médias britanniques, au-delà du mystère qui entoure ces disparitions dont le motif n’est pas encore clair, c’est aussi en raison du profil des personnes concernées. Constance Marten, âgée de 35 ans, vient d’une famille de l’aristocratie anglaise. Sa grand-mère était la filleule de la mère d’Elizabeth II, la “reine mère”.
Mark Gordon condamné pour viol
La police a indiquéà plusieurs médias britanniques que Mark Gordon, âgé de 48 ans, a passé 20 ans en prison aux Etats-Unis après une condamnation pour viol, avant d’être expulsé au Royaume-Uni en 2010.
Le père de Constance Marten, Napier Marten, a déclaré à The Independent qu’il était déjà au courant de cette condamnation et que cela avait causé à sa famille “une grande inquiétude”. Selon le Guardian, elle aurait coupé les liens avec sa famille après avoir rencontré Mark Gordon, en 2016. Dans un message pour sa fille diffusé par le média britannique, Napier Marten la “supplie” de se rendre à la police.
Une note personnelle publie par erreur et supprimé. L'article 16 de la constitution des magistrats oblige les magistrats a rester neutre et a ne pas faire de politique, mais ils en font.
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