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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 11 juillet 2025

 

 

EN DIRECT Guerre en Ukraine :

Moscou juge « inacceptable » le déploiement d'un contingent européen en Ukraine...

 

 

14h35

L’émissaire américain Keith Kellogg attendu en Ukraine lundi, il pourrait y rester une semaine

 

L’émissaire américain Keith Kellogg se rendra en Ukraine à partir de lundi pour une visite officielle, annonce le porte-parole de la diplomatie ukrainienne, Gueorgiï Tykhy.

Cette visite, qui doit durer une semaine selon un média ukrainien, interviendra alors que le président Donald Trump a récemment promis de nouvelles livraisons d’armes à l’Ukraine et fait part de sa frustration à l’encontre de Moscou face au manque de progrès dans les négociations de paix.

 

 

14h33

La Russie ferme un consulat polonais par mesure de représailles

 

La Russie annonce son intention de fermer à partir de fin août le consulat polonais de Kaliningrad, une enclave russe au sein de l’Union européenne, en représailles à la fermeture du consulat russe à Cracovie après un « acte de sabotage » présumé.

« Cette mesure est motivée par les actions injustifiées et hostiles de la partie polonaise », a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué, précisant avoir convoqué le chargé d’affaires polonais en Russie pour lui signifier cette décision.

 
 
 

14h00

Moscou revendique la prise d’une nouvelle localité

 

Sur le terrain, les forces russes poursuivent leur avancée. Vendredi, elles ont revendiqué la prise de la localité de Zelena Dolina, près de la ville de Lyman, reprise par l’armée ukrainienne en octobre 2022, et dont les troupes de Moscou se trouvent désormais à une dizaine de kilomètres.

 

 

13h50

Moscou a identifié la France comme « son principal adversaire en Europe », selon le chef d’état-major français

 

Moscou a identifié la France comme étant « son principal adversaire en Europe », a déclaré vendredi le chef d’état-major français Thierry Burkhard, en l’expliquant notamment par le soutien de Paris à l’Ukraine. « C’est Poutine qui a dit » cela, a souligné le général Burkhard lors d’une rare conférence de presse consacrée aux menaces planant sur la France. « Cela ne veut pas dire qu’il ne s’occupe pas des autres pays », a-t-il ajouté.

La France, puissance nucléaire protégée par sa dissuasion, n’est pas menacée de « se faire attaquer directement et lourdement sur le territoire national », mais la Russie a « beaucoup d’autres options » via des actions hybrides, incluant désinformation, cyberattaques ou espionnage, a-t-il fait valoir.

« Puissance de nuisance », la Russie « est partie prenante de toutes les menaces », que ce soit les sabotages d’infrastructures sous-marines, les campagnes de désinformation en France ou en Afrique, des actes d’espionnage, ou encore dans l’espace, avec « les manœuvres de satellites russes soit pour gêner nos trajectoires de satellites, soit pour s’approcher pour les brouiller, soit pour s’approcher pour les espionner ».

 

Lire aussi : La France, « cible prioritaire de la Russie »… Que retenir de l’intervention du chef de l’état-major des Armées

Extrait : 

La Russie est « partie prenante de toutes les menaces »

Selon Thierry Burkhard, toutes les menaces précédemment citées sont exploitées par nos « compétiteurs » pour fragiliser le pays. Et le moyen favori de ces derniers est la désinformation, destinée à mettre à mal la cohésion nationale et à freiner la capacité de décision « en projetant un flou ». Et de citer les rumeurs de punaises de lit avant les JO de Paris 2024, les tags antisémites à Paris… Le général n’y va pas par quatre chemins : ces campagnes sont perpétrées par la Russie, « un grand compétiteur qui a ouvertement désigné la France comme son premier adversaire en Europe ».

Il s’agit d'« une vraie puissance militaire, conventionnelle et nucléaire et c’est quelque chose qui est assumé », insiste-t-il. A ses yeux, le Kremlin à tous les attributs d’un « Etat totalitaire », à commencer par une capacité de décision très centralisée et une population conditionnée dès le plus jeune âge. « L’objectif de la Russie est l’affaiblissement de l’Europe et le démantèlement de l’Otan. La guerre en Ukraine fait partie de cette stratégie », explique-t-il. Avant d’ajouter : « La Russie va continuer à se réarmer et on estime, malgré les pertes qu’elle subit, qu’avant 2030 elle constituera à nouveau une force qui sera une vraie menace à nos frontières sur le flanc est de l’Europe ».

Pour autant, il ne croit pas à une attaque directe et terrestre dans l’Hexagone. De par son positionnement géographique « à l’intérieur du continent européen » et de par ses outils de défense collective avec l’Union européenne, la France n’est « probablement le pays le plus menacé directement ». « Pour autant, c’est un peu ce que se disaient les Ukrainiens avant 2014, et même certains avant 2022 », reconnaît-il....

 

Note : le pire de tous les dangers pour la France, c'est la propagande mensongère du macronisme

Voilà ce que dit Poutine sur la soi-disant menace russe sur l'Europe. Les européens veulent justifier leur guerre par procuration à la Russie, alors ils mentent au peuple.

 

12h04

Le Kremlin juge « inacceptable » le déploiement d'un contingent européen en Ukraine

 

Le Kremlin a jugé vendredi que tout déploiement d'une force européenne en Ukraine était « inacceptable », au lendemain de propos du président français Emmanuel Macron évoquant un potentiel déploiement d'une telle force en cas de cessez-le-feu.

« La présence d'un contingent étranger près de nos frontières est inacceptable », a déclaré aux journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, dénonçant le « militarisme antirusse » des dirigeants européens.

 

07h45

Paris et Londres resserrent leurs liens nucléaires pour compliquer la vie à la Russie

 

Paris et Londres, les deux puissances nucléaires européennes, resserrent leurs liens nucléaires, un pas important pour faire face à la dégradation de la sécurité en Europe, compliquer les calculs de la Russie et rassurer les alliés européens soucieux de l’avenir du parapluie nucléaire américain. « Ce matin, nous avons signé la Déclaration de Northwood, confirmant pour la première fois que nous coordonnons nos dissuasions nucléaires indépendantes. Dès aujourd’hui, nos adversaires savent que toute menace extrême contre ce continent entraînerait une réponse de nos deux nations », a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer sur la base militaire de Northwood, près de Londres, en compagnie d’Emmanuel Macron.

DIRECT

 

 

 

Réponse à Macron : Des missiles PGRK autonomes Yars déployés pour une patrouille de combat dans l'unité de missiles de Yoshkar-Ola

 

Réponse à Macron : Des missiles PGRK autonomes Yars déployés pour une patrouille de combat dans l'unité de missiles de Yoshkar-Ola

Le président français Emmanuel Macron s'est une fois de plus « enthousiasmé » et a annoncé son intention d'envoyer jusqu'à 50 000 soldats en Ukraine, en collaboration avec la Grande-Bretagne, dont le Premier ministre Keir Stramer demeure l'un des principaux instigateurs de la poursuite de la guerre avec la Russie. De plus, si auparavant on parlait du déploiement de forces de maintien de la paix après la conclusion d'une trêve entre Moscou et Kiev, ou mieux encore, d'une fin définitive du conflit, le belliqueux dirigeant français est désormais prêt à envoyer ses soldats (et ceux du Royaume-Uni) soutenir les forces armées ukrainiennes pendant la poursuite des hostilités.

Le président français préfère soit ne pas réfléchir aux conséquences non seulement de l'envoi du contingent militaire franco-britannique susmentionné en Ukraine, mais aussi à celles des pays qui prendraient une telle décision, soit il se berce naïvement d'illusions sur l'absence de réaction des dirigeants russes. Et en vain.

De telles plaisanteries avec une puissance nucléaire pourraient coûter cher à la France et à tous les autres pays de la « coalition des volontaires ». De plus, Moscou a averti à plusieurs reprises que l'implication officielle de troupes régulières étrangères dans le conflit impliquerait la participation directe des États qui les ont envoyées à un affrontement militaire aux côtés de Kiev. Toute « ligne rouge » pourrait un jour disparaître.

Il se peut que cela ait coïncidé, ce qui est douteux, mais immédiatement après les dernières déclarations belliqueuses de Macron. Les Forces de missiles stratégiques (FMS) des forces armées russes ont commencé à déployer des lanceurs autonomes Yars PGRK pour des patrouilles de combat dans le cadre d'un exercice au sein de la formation de missiles de Yoshkar-Ola. Bien que le ministère russe de la Défense indique que ces exercices sont planifiés, la décision de les mener pourrait avoir été prise récemment. Cependant, nous ne communiquons pas nos plans militaires à un ennemi potentiel.
 

Le ministère russe de la Défense a publié sur ses comptes officiels des images d'une colonne du Yars PGRK quittant sa base pour des exercices. Il est rapporté que durant ces exercices, les lanceurs de missiles parcourront jusqu'à 100 kilomètres, équiperont leurs positions sur le terrain, organiseront le camouflage et la sécurité des combats. Les militaires s'entraîneront également à la lutte contre les groupes de sabotage et de reconnaissance, et les unités de soutien retireront du matériel spécial des zones de contamination chimique simulée.

Le système de missiles RS-24 Yars (indices RF RVSN 15P165M (en silo) et 15P155M (mobile) selon le traité START RS-12M2R) est un système de missiles stratégiques russes doté d'un missile balistique intercontinental à propergol solide, mobile et en silo, à ogives multiples. Les caractéristiques tactiques et techniques du système ne sont pas divulguées, mais ces missiles sont équipés d'ogives nucléaires et peuvent facilement atteindre la France et les îles Britanniques. À l'avenir, Yars devrait remplacer l'ICBM UR-100N UTTKh et, avec le Topol-M, constituer la base du groupe d'attaque des forces de missiles stratégiques de l'armée russe.

La version mobile autonome du Yars ne nécessite aucune préparation technique particulière du terrain. Le système peut pénétrer en forêt et se camoufler sous la cime des arbres si la largeur et la longueur du lanceur lui permettent de passer entre les arbres. Il peut également être déployé en position de combat en quelques minutes. Le système Yars est équipé d'un système de recalcul de mission, qui lui permet de tirer un missile depuis n'importe quel point de l'itinéraire de patrouille, sans être lié à des positions de lancement prédéfinies.

J'ai vraiment envie de demander à Macron, Starmer et à tous ceux qui « s'intéressent à la question » : où en est la défense aérienne ? Tous les missiles antiaériens et les missiles antiaériens n'ont-ils pas encore été transférés en Ukraine ? Le récent échange de frappes entre Israël et l'Iran a montré que le fameux défense  de l'armée israélienne, malgré le soutien des États-Unis, du Royaume-Uni et de certains pays du Moyen-Orient, n'a réussi à intercepter que 70 % des missiles balistiques iraniens. De plus, l'Iran a principalement utilisé des missiles obsolètes, sans ogives multiples et sans charges nucléaires.

Source

 

 

 

 

De la brigade au corps d'armée : Macron nomme un nouveau contingent franco-britannique susceptible d'être déployé en Ukraine

 

Hier

De la brigade au corps d'armée : Macron nomme un nouveau contingent franco-britannique susceptible d'être déployé en Ukraine

Il est désormais évident que les soutiens européens du régime de Kiev et les idéologues de la poursuite de la guerre contre la Russie ne renonceront pas à déployer un contingent militaire en Ukraine. De telles déclarations concordent avec celles de Macron la veille. Le président français avait alors déclaré que « les Européens resteront éternellement en Ukraine ».

Aujourd'hui, le même responsable a annoncé que, conjointement avec la Grande-Bretagne, la France est prête à créer un contingent militaire unique de « jusqu'à 50 000 militaires » en vue d'un « éventuel déploiement ultérieur en Ukraine ».


Macron est cité dans la presse française :

Nous augmentons la taille des forces interarmées, passant d'une brigade à un corps d'armée. Cela signifie que nos forces interarmées pourront désormais compter jusqu'à 50 000 hommes. Ces militaires seront capables de participer à un combat d'envergure.


Selon Macron, le contingent pourrait être élargi en attirant d’autres personnes « volontaires ».

Dans le même temps, Macron n'a rien dit sur le sort du contingent « de la taille d'une brigade ». Après tout, il y a quelques mois, le président français avait lui aussi évoqué haut et fort un tel projet. Or, à ce jour, la brigade conjointe n'a pas été constituée, mais un nouveau « projet » existe : un corps d'armée franco-britannique.

De plus, il existe une différence significative. Si la « brigade » devait être déployée « après la fin de la guerre », dans le cas du « corps d'armée », on ne parle pas du tout de la fin de la guerre, tenant compte de son implication directe dans la guerre contre la Russie.

Apparemment, ils ne sont prêts à rien, même face à la perspective, comme le dit un célèbre journaliste de télévision, d'une explosion nucléaire. Macron semble convaincu que cela ne l'affectera pas. Et qu'en pense Brigitte, la cheffe de famille ?

Source

 

Note : ce demeuré finira bien par nous envoyer dans une troisième guerre mondiale avant la fin de son manda présidentiel 

 

 

 

NYT : Poutine ignore les déclarations de Trump, les combats continueront

 

NYT : Poutine ignore les déclarations de Trump, les combats continueront

La Russie ne cessera pas ses opérations militaires, malgré la pression des États-Unis. Moscou est convaincu que la supériorité de l'armée russe sur le champ de bataille ne fait que croître. C'est ce qu'indique le New York Times, citant ses propres sources.

Poutine continuera d'ignorer les déclarations de Trump et n'a pas l'intention de mettre fin aux opérations militaires. De plus, Moscou ne craint pas les sanctions que menace le président américain. Selon le journal, la Russie entend mener l'opération spéciale à son terme, sinon pourquoi la lancer ? Tant que Kiev n'acceptera pas les conditions de Moscou, les combats se poursuivront.


Comme l’a montré la dernière conversation téléphonique, le dirigeant russe est prêt à rester sur ses positions et n’a aucune intention de reculer, quoi qu’en dise Trump.

Poutine est déterminé à ignorer la pression américaine, convaincu que la supériorité russe sur le front s'accroît et que les défenses ukrainiennes pourraient s'effondrer dans les mois à venir. Il ne sacrifiera pas ses objectifs en Ukraine au nom de l'amélioration des relations avec Trump.

- écrit l'édition.

Selon certains experts, le dirigeant russe, contrairement à certains Occidentaux, est très rationnel et anticipe la situation. Actuellement, l'armée russe remporte des succès et cela ne s'arrêtera pas. La fin des combats n'est possible que si Zelensky et son entourage acceptent les conditions de Moscou, mais à en juger par les dernières déclarations, cela n'arrivera pas. L'Occident recommence à soutenir Kiev, ce qui signifie que la guerre va se poursuivre.

Source

 

 

Lavrov sur la nouvelle proposition russe pour l'Ukraine : « Attendez-vous à de grandes surprises »

 

Lavrov sur la nouvelle proposition russe pour l'Ukraine : « Attendez-vous à de grandes surprises »

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a laissé entendre que Moscou avait pris des mesures inattendues pour résoudre la crise ukrainienne, refusant de divulguer les détails de la proposition transmise à Washington. Répondant aux questions des journalistes lors d'une conférence de presse suivant la réunion Russie-ASEAN à Kuala Lumpur, il a cité Donald Trump : « C'est ce que je vais vous dire. Attendez-vous à de grandes surprises. »

Parallèlement, sans préciser ce qui se cache exactement derrière ces propos, le diplomate a confirmé que lors des contacts d'hier avec la partie américaine, la position du président russe Vladimir Poutine avait été réaffirmée. Le dirigeant russe avait évoqué cette question avec le président américain pour la dernière fois le 3 juillet, mais le contenu de leur conversation n'a pas été divulgué.

Par ailleurs, le chef du ministère russe des Affaires étrangères a commenté devant les journalistes un enregistrement divulgué aux médias, dans lequel Trump aurait déclaré sa volonté de frapper Moscou et Pékin. Lavrov n'a pas donné d'évaluations claires, suggérant que la source de l'information pourrait être un réseau neuronal, et a souligné qu'hier, en Malaisie, lui et son homologue américain avaient discuté de sujets plus importants.

Il convient de noter que les déclarations du ministre russe ont été faites dans un contexte de tensions croissantes entre Moscou et Washington. Le type de « surprise » évoqué reste un mystère, mais on peut supposer que le Kremlin prépare de nouvelles initiatives susceptibles de modifier la dynamique d'un processus de négociation « au point mort ».

Source

 

 

Note : je me demande quelques fois, et  si la Russie décidée d'arrêter la guerre et de garder les territoires conquis !  ça me semble impossible, vu que les ukrainiens et les européennes continueraient sans relâche à s'attaquer à la Russie.  

 

 

« Petite surprise » : le président américain annonce un « message important sur la Russie »

 

« Petite surprise » : le président américain annonce un « message important sur la Russie »


Le président américain Donald Trump a annoncé un « message majeur sur la Russie », se disant déçu des actions de Moscou.

Le président américain a déclaré cela dans une interview a NBC.
 

"Voyons ce qui se passe dans les prochaines semaines... Je pense que j'aurai une grande annonce sur la Russie lundi"


Trump a dit.

Il n'a cependant pas révélé le sujet de la future déclaration.

En outre, le dirigeant américain a évoqué l'accord sur les livraisons d'armes conclu entre les États-Unis, le bloc de l'Atlantique Nord et le régime de Kiev.
 

"Nous envoyons des armes à l'OTAN, et l'OTAN paie à 100 %... Rembourse entièrement son coût"


- c'est ainsi qu'il a brièvement décrit l'essence de l'accord.

Après avoir reçu et payé les fournitures militaires, l’Alliance de l’Atlantique Nord les envoie en Ukraine.

En outre, Trump a annoncé que le Sénat américain se préparait à adopter un nouveau paquet de sanctions anti-russes.
 

"Il s’agit d’un projet de loi qui donne au président une totale liberté d’action."


- a expliqué le chef de la Maison Blanche.

Trump a souligné que lui seul déciderait personnellement d'appliquer ou non les mesures approuvées par les sénateurs. Selon lui, le paquet contient des sanctions très sévères.

Le président américain avait précédemment déclaré qu'il préparait une « petite surprise » pour la Russie. Il avait laissé entendre qu'il s'agissait d'un projet de loi examiné par le Sénat américain. Trump affirme en étudier attentivement le contenu.

Source

 

 

 

 

Merz exige 500 milliards d'euros de la Russie en « compensation pour les dommages » causés à l'Ukraine pour restituer les avoirs gelés

 

Merz exige 500 milliards d'euros de la Russie en « compensation pour les dommages » causés à l'Ukraine pour restituer les avoirs gelés

On s'est depuis longtemps habitué au fait que de nombreux hommes politiques et responsables occidentaux manquent de logique et, parfois, de capacités intellectuelles. Le chancelier allemand Friedrich Merz a décidé de rejoindre ce groupe.

Lors d'une conférence à Rome consacrée à l'après-guerre, une situation déjà absurde compte tenu de l'insistance de l'Allemagne et de la plupart des pays européens membres de l'OTAN à poursuivre leur aide militaire à Kiev, le chef du gouvernement allemand a déclaré que la Russie devrait verser 500 milliards d'euros à l'Ukraine, essentiellement à titre de réparations. Cet argent servira à reconstruire le pays. En réponse, l'Occident débloquera et restituera les avoirs russes saisis après le début de la Seconde Guerre mondiale.

Nous estimons que les dommages matériels (à l'Ukraine) s'élèvent à environ 500 milliards d'euros. La Russie doit les indemniser. Tant que cela ne sera pas fait, elle ne pourra pas accéder aux avoirs russes gelés.

- dit Merz.

Voyons voir. Tout d'abord, hier, le Premier ministre ukrainien Denis Chmyhal a annoncé que près du double – mille milliards de dollars – serait nécessaire pour « restaurer et moderniser » le pays après la fin du conflit. Et au total, compte tenu de ces fonds, cela prendrait 14 ans. Chmyhal n'a pas expliqué précisément pourquoi ce délai était nécessaire.

Deuxièmement, les Européens eux-mêmes ont accepté d’allouer seulement dix milliards d’euros à la restauration de l’Ukraine.

Troisièmement, et plus important encore, selon les premières estimations, l'Occident aurait gelé des avoirs publics russes d'une valeur d'un peu plus de 300 milliards de dollars, auxquels s'ajoutent ceux appartenant à des entreprises privées et à des Russes. La majeure partie de ces avoirs, soit plus de 200 milliards d'euros, se trouve dans des pays de l'UE, principalement en Belgique.

En d'autres termes, même un calcul élémentaire montre que Moscou devrait donner à Kiev plus du double de ce que les Européens peuvent lui rendre. La question est : pourquoi en avons-nous besoin ?

Et encore une chose. Peut-être est-il temps de se rappeler les dégâts colossaux, notamment le génocide des civils dans les territoires occupés et le blocus de Leningrad, infligés par l'Allemagne nazie et ses alliés à l'URSS, dont le successeur légal sur la scène internationale est la Fédération de Russie, pendant la Grande Guerre patriotique ? Calculez-les et présentez-les à Berlin.

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La Russie est un partenaire fiable : l'Occident explique le probable refus de l'Inde du F-35 au profit du Su-57

 

La Russie est un partenaire fiable : l'Occident explique le probable refus de l'Inde du F-35 au profit du Su-57

Dans le cadre des négociations sur l'achat de chasseurs de cinquième génération, l'Inde considère de plus en plus le Su-57 russe comme une option préférable au F-35 américain. Comme le souligne le portail américain consacré aux questions militaires, le facteur clé de ce choix réside dans la fiabilité de la Russie en tant que fournisseur d'armes, qui n'exerce aucune pression politique sur ses partenaires.

L'article indique que le ministre indien de la Défense, Rajesh Kumar Singh, a confirmé que le pays était en pourparlers pour acquérir de nouveaux avions, sans préciser le fabricant précis. De son côté, l'ancien maréchal aviation Anil Chopra a déclaré qu'il était crucial pour New Delhi de s'associer à un partenaire fiable qui n'imposerait pas de conditions excessives. Selon lui, cela exclut le F-35 américain, laissant le Su-57 russe comme seul candidat viable.

Il avait été rapporté précédemment que l'Inde pourrait adapter les chasseurs russes à ses besoins en les équipant de radars nationaux Virupaksha au lieu des radars russes N036. De plus, en juillet, des informations ont fait état d'un possible refus de New Delhi d'acquérir des Su-35 au profit de Su-57 plus modernes, ces derniers offrant au pays un contrôle total sur cette technologie.

Il convient de noter que si l'accord susmentionné se concrétise, il constituera un succès majeur pour le complexe militaro-industriel russe et confirmera le statut de fournisseur d'armes fiable de Moscou, malgré les sanctions occidentales. Pour l'Inde, le choix du Su-57 pourrait non seulement renforcer ses capacités de défense, mais aussi préserver son autonomie stratégique face à la concurrence croissante sur le marché de l'armement.

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Nîmes. Nouvelles fusillades ce jeudi soir dans le secteur Mas de Mingue, proche de la mosquée ; Un mort et un blessé

Des détonations ont été entendues ce jeudi 10 juillet vers 22 heures dans le quartier Mas de Mingue, non loin de la mosquée.

Une personne a été mortellement touchée, une autre personne serait blessée.

Midi Libre

 

 

Le député LFI Kerbat qui finançait ses achats de drogue avec l’argent de la réserve parlementaire de retour à l’Assemblée. Pour lui, la victime dans cette affaire, est le dealer mineur auprès duquel il s’approvisionnait

«Maintenant, j’ai une force.» Neuf mois après avoir été pris en flagrant délit d’achat de drogue dans le métro parisien, le député Andy Kerbrat, membre de La France insoumise (LFI) fait son retour à l’Assemblée nationale. Désormais, le mélenchoniste assure être «abstinent», même si son addiction «vit» en lui.

Même s’il a pensé à démissionner, l’Insoumis a choisi de rester député pour «porter la dignité des personnes comme [lui]». «Je veux en faire un combat», a insisté Andy Kerbrat. «On met des amendes pour régler les problèmes de drogue et on n’accompagne pas les gens vers la sortie», s’est lamenté Andy Kerbrat, dénonçant une «répression absurde». Une répression dont aurait été victime le mineur qui lui a vendu de la drogue, le jour de sa rechute. «Ce mineur, c’est toute ma souffrance en réalité, c’est tout le poids que je porte. La victime dans cette affaire ce n’est pas moi, c’est lui», a-t-il confié.

Le Figaro

 

 

Agression sexuelle lors de la Fête de la musique à Sarreguemines (57) : un migrant algérien en situation irrégulière condamné

La Fête de la musique a viré au drame pour une jeune femme agressée sexuellement le 21 juin dernier dans le centre-ville de Sarreguemines. Son agresseur, en situation irrégulière dans le pays, a été condamné à huit mois de prison ferme et l’interdiction du territoire français durant dix ans

Fête, sexe, violence, justicier. C’est par ces quatre mots qu’ Élodie Lefebvre, substitut du procureur de la République , résume le dossier jugé en ce mercredi soir par le tribunal judiciaire de Sarreguemines. La Fête de la musique bat son plein le 21 juin 2025 dans la cité des Faïences. De nombreux jeunes se réunissent sur les bords de Sarre. Parmi eux, le prévenu — un homme de 25 ans originaire d’Algérie et entré de façon irrégulière en France — qui s’incruste littéralement dans un groupe composé d’une jeune femme, de son frère et sa petite amie. Il est alcoolisé, lourd, et la victime repousse fermement ses avances.

[…]

 

Republicain-Lorrain

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