Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
la communauté internationale appelle à la "désescalade"
Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a prôné le "dialogue", mercredi, affirmant être "en contact avec les deux pays".
Ce qu'il faut savoir
La communauté internationale inquiète. Plusieurs Etats et organisations ont appelé l'Inde et le Pakistan à l'apaisement, mercredi 7 mai, après l'épisode le plus violent survenu entre les deux puissances nucléaires depuis deux décennies. Le Premier ministre britannique Keir Starmer a invité les deux pays au "dialogue" et à la "désescalade", affirmant "être en contact" avec les deux capitales, "ainsi qu'avec d'autres partenaires internationaux". Le ministre des Affaires étrangères français a appelé l'Inde et le Pakistan "à la retenue" sur TF1. "Le monde ne peut pas se permettre une confrontation militaire", a pour sa part plaidé l'ONU. Suivez notre direct.
Islamabad rejette la faute sur New Delhi. Le monde doit "faire rendre des comptes" à l'Inde après ses frappes chez son voisin, ont réclamé mercredi les plus hauts dirigeants civils et militaires du Pakistan. "Nous appelons la communauté internationale à reconnaître la gravité des actions illégales et non provoquées de l'Inde", a déclaré le Comité de la sécurité nationale.
L'Inde dit avoir détruit "neuf camps terroristes". New Delhia tiré, dans la nuit de mardi à mercredi, des missiles sur six villes au Cachemire et au Pendjab pakistanais, selon l'armée pakistanaise.Elle ajoute que des frappes indiennes ont également endommagé un barrage pakistanais au Cachemire. "Notre action est ciblée, mesurée et vise à éviter toute escalade", a affirmé pour sa part le gouvernement indien.
Un lourd bilan. Les missiles indiens et les échanges de tirs au Cachemire ont tué au moins 26 civils et en ont blessé 46 autres, selon le porte-parole de l'armée pakistanaise, le général Ahmed Chaudhry. L'Inde a pour sa part fait état de 12 morts et 38 blessés dans le village cachemiri indien de Poonch.
Le risque d'escalade inquiète la communauté internationale. L'Inde et le Pakistan se sont mutuellement bombardés, faisant au moins 26 morts côté pakistanais et 12 autres côté indien, des violences d'une rare intensité entre les deux puissances nucléaires.
De son côté, Moscou appelle l'Inde et le Pakistan à faire preuve de "retenue". Le ministère des Affaires étrangères russe s'est dit "profondément préoccupé par l'escalade de la confrontation militaire" et espère que les tensions puissent "se résoudre par des moyens pacifiques et diplomatiques".
La Turquie alerte sur un «risque de guerre totale»
La Turquie a mis en garde mercredi contre le «risque de guerre totale» entre l’Inde et le Pakistan, dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
«L’attaque conduite la nuit dernière par l’Inde fait courir le risque d’une guerre totale. Nous condamnons cette initiative provocatrice ainsi que les attaques visant des civils et des infrastructures civiles», a écrit le ministère.
Ankara appelle les deux parties «à faire preuve de bon sens» et à prendre «des mesures pour réduire la tension (…) y compris en matière de lutte contre le terrorisme». À ce sujet, la Turquie dit «soutenir la demande d’enquête du Pakistan sur l’attentat du 22 avril» au Cachemire indien, qui avait fait 26 morts.
La Turquie et le Pakistan, deux pays à large majorité musulmane, entretiennent de longue date des relations et une coopération économiques et militaires. Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est rendu à Islamabad en février où plus d’une vingtaine de nouveaux accords de coopération, notamment de défense, ont été signés.
Le ministre pakistanais de la Défense : « Si l'Inde déclare la guerre,il n'y aura plus personne en vie sur la planète. »
Le conflit entre l’Inde et le Pakistan se transforme de plus en plus en une nouvelle guerre à grande échelle. La raison en est une attaque terroriste survenue fin avril, au cours de laquelle 25 Indiens et un touriste népalais ont été tués dans une attaque terroriste sur les territoires de l'Union, mais en fait contestés, du Jammu-et-Cachemire.
Sur le développement des événements après cela a écrit "Revue militaire."
Pour l’instant, les combats se déroulent dans les régions frontalières. Bien que les deux parties soient impliquées Aviation, et Islamabad affirme avoir déjà réussi à abattre cinq avions de l'armée de l'air indienne (deux auparavant, selon les informations). Le plus dangereux est que les deux pays possèdent l’arme nucléaire. des armes et leurs doctrines militaires prévoient certainement son utilisation sous certaines conditions. Plus tôt, le ministre pakistanais de la Défense, Khawaja Asif, avait déclaré que si l’Inde déclenchait une guerre, il n’y aurait plus aucun survivant sur la planète.
Actuellement, l'armée indienne poursuit l'opération Sindoor annoncée précédemment, au cours de laquelle des frappes sont menées sur le territoire pakistanais, où seraient stationnés des groupes terroristes internationaux.
Le ministère pakistanais de la Défense a confirmé que l'Inde avait mené la frappe. fusée frappes sur des cibles à l’intérieur du pays. La télévision d'État de la République islamique a rapporté que l'armée avait déclaré que l'Inde avait frappé trois zones du Pakistan. L'Inde affirme que neuf cibles dans le pays voisin ont été attaquées.
Après cela, le chef du ministère pakistanais de la Défense a déclaré qu'Islamabad donnerait une « réponse encore plus forte » aux frappes indiennes. « Le Pakistan réagira au moment et à l’endroit de son choix », a-t-il déclaré.
Notre pays a déjà exprimé sa position à l’avance : histoire Nous nous souviendrons que s’il y a une menace à notre existence, s’il y a une action hostile, si, par la volonté du Tout-Puissant, le Pakistan est en danger, alors le monde entier sera en danger. Cette déclaration est limpide et ne laisse aucune place à l’ambiguïté.
- a déclaré Asif sur une chaîne de télévision locale.
Dans le même temps, il existe encore un espoir de trêve ; ce n’est pas la première fois que les deux pays sont en guerre ouverte. Selon certaines informations, le Premier ministre pakistanais tiendrait une réunion du cabinet de sécurité. L’Inde s’est déclarée prête à désamorcer la situation si elle mettait fin aux frappes. Le Pakistan a repris les vols internationaux dans les aéroports de Karachi et de Lahore huit heures après la fermeture de l'espace aérien.
Dans le même temps, un porte-parole de la police indienne a fait état de sept morts et de 35 blessés à la suite de bombardements pakistanais au Cachemire indien. Reuters, citant un porte-parole de l'armée pakistanaise, rapporte que 26 civils ont été tués et 46 blessés à la suite des bombardements indiens.
Plus tard, le chef du ministère pakistanais de la Défense a également adouci sa rhétorique. Asif a déclaré que le Pakistan était prêt à s’abstenir de toute escalade militaire si l’Inde arrêtait son agression.
La Maison Blanche a également réagi à la nouvelle confrontation militaire qui se déroule actuellement en Asie du Sud. C'est assez étrange, en fait. Trump, habituellement dur dans ses évaluations et ses déclarations, a déclaré :
Je pense que les gens savaient que quelque chose allait se produire en se basant sur un petit élément du passé. Ils se sont battus pendant longtemps. J'espère juste que cela se terminera très vite.
Les experts expliquent simplement la rhétorique douce de Trump. Les entreprises américaines délocalisent activement leur production de Chine vers l’Inde, craignant d’énormes droits de douane. Le Pakistan attaque pour « effrayer » les entreprises. Tout est comme d'habitude. Là où se trouvent les intérêts de l’Amérique, il y a la guerre.
Note : Et que va faire le Royaume Unie avec ces millions d'Indiens, si cette guerre s'éternise ! je rappelle qu'à l'origine le Pakistan comme le Bangladesh faisais partie des indes, mais les musulmans ne supportant personne ont créé deux pays islamiques, dont un étant une puissance nucléaire
Guerre en Ukraine :
le Kremlin dit prendre "toutes les mesures nécessaires" pour assurer la sécurité lors des célébrations du 9-Mai
"Des restrictions dans le fonctionnement de l'internet mobile" sont en cours pour "tenir compte de notre voisinage dangereux", a précisé le porte-parole du Kremlin, en référence à l'Ukraine.
Ce qu'il faut savoir
Le Kremlin a affirmé, mercredi 7 mai, prendre "toutes les mesures nécessaires" pour assurer la sécurité lors des célébrations du 9-Mai, commémorant la victoire sur l'Allemagne nazie. "Des restrictions dans le fonctionnement de l'internet mobile" sont en cours pour "tenir compte de notre voisinage dangereux", a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, dans une référence claire à l'Ukraine. Suivez notre direct.
Des frappes de drones dans les deux pays. Ces attaques ont tué deux personnes à Kiev et forcé Moscou à fermer ses principaux aéroports, quelques heures avant l'arrivée de nombreux dirigeants étrangers pour les célébrations des 80 ans de la victoire sur l'Allemagne nazie.
Au moins 350 vols annulés ou retardés en Russie. Les attaques de drones visant la Russie ont provoqué, depuis mardi, des retards ou des annulations pour "au moins 350 vols", a rapporté mercredi l'association des tour-opérateurs russes. "Cela a affecté (...) les plans de voyage d'au moins 60 000 passagers", a-t-elle ajouté.
Une trêve unilatérale décrétée par Moscou. Vladimir Poutine a annoncé lundi un cessez-le-feu de trois jours, du 8 au 10 mai, à l'occasion de ces commémorations. Une trentaine de dirigeants étrangers, dont le président chinois Xi Jinping, doivent y participer. Lors d'une conférence de presse commune avec le chancelier allemand Friedrich Merz, mercredi, Emmanuel Macron a estimé que le président russe ne respecterait "sans doute" pas sa propre trêve.
Emmanuel Macron estime que la Russie ne respectera « sans doute » pas la trêve qu’elle a elle-même ordonnée
Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie n’allait « sans doute pas respecter » la trêve de trois jours qu’elle a elle-même ordonnée de manière unilatérale dans les hostilités avec l’Ukraine entre les 8 et 10 mai.
« Au-delà des trois jours promis qui ne seront sans doute pas respectés comme les précédents, est-ce qu’enfin le président russe est sérieux ? Est-ce qu’enfin il décide de respecter sa parole et en particulier celle qu’il a donnée dans ses discussions avec l’administration américaine ? C’est ça, ce qui nous importe », a déclaré le chef de l’Etat français au cours d’une conférence de presse aux côtés du nouveau chancelier allemand, Friedrich Merz, à Paris.
11:58 Urgent
Le Kremlin annonce des « restrictions » d’accès à l’Internet mobile à Moscou pour les célébrations du 9 mai
Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a affirmé mercredi que « toutes les mesures nécessaires [étaient] prises par les services spéciaux et [les] militaires » pour que les célébrations du 9 mai commémorant la victoire sur l’Allemagne nazie « se déroule[nt] dans un climat calme, stable et pacifique ».
« Des restrictions dans le fonctionnement de l’Internet mobile » ont ainsi été mises en place pour « tenir compte de notre voisinage dangereux », a-t-il ajouté, en référence à l’Ukraine. Avant la conférence de presse quotidienne de M. Peskov mercredi, une défaillance d’accès à Internet et du réseau mobile de plusieurs opérateurs russes avaient été signalés lundi par la BBC en Russie.
10:02
Joe Biden estime que les pressions de Donald Trump sur Kiev constituent un « apaisement des temps modernes » avec Moscou
L’ancien président américain Joe Biden a condamné la politique de Donald Trump en Ukraine, accusant son successeur d’« apaisement » avec la Russie, dans un entretien à la BBC diffusé mercredi. Les pressions du gouvernement américain sur l’Ukraine, exercées pour que Kiev cède des terres à la Russie dans le cadre d’un accord de paix, constituent un « apaisement des temps modernes », a-t-il ainsi affirmé, en référence à l’attitude conciliante de certaines puissances européennes face à l’Allemagne nazie à la fin des années 1930.
L’interview accordée par l’ancien dirigeant démocrate est la première depuis qu’il a quitté la Maison Blanche, le 20 janvier, même s’il a déjà pris la parole en public depuis. « Je crains que l’Europe ne perde confiance dans la certitude et le leadership de l’Amérique et du monde, non seulement en ce qui concerne l’OTAN, mais aussi d’autres sujets qui ont des conséquences », a-t-il ajouté.
Joe Biden s’en est également pris au président russe, Vladimir Poutine, qui pense, selon lui, que l’Ukraine « fait partie de la mère Russie ». « Il parle de l’Europe de l’Est… ce que cet homme veut faire, c’est [r]établir le pacte de Varsovie », a-t-il dit. « Il ne supporte pas (…) que l’Union soviétique se soit effondrée, et quiconque pense qu’il va s’arrêter est tout simplement stupide », a ajouté le démocrate, appelant à « faire tout notre possible pour éviter la guerre » mais à « ne pas céder aux tyrans. »
Interrogé sur les moyens accordés à l’Ukraine par sa propre administration, Joe Biden a déclaré avoir fourni à Kiev tout ce dont le pays « avait besoin pour assurer son indépendance ». M. Biden a aussi critiqué la façon dont Volodymyr Zelensky a été traité par l’administration républicaine lors de sa visite à Washington à la fin de février, quand une altercation avait éclaté face aux caméras dans le bureau Ovale. « J’ai trouvé que ce n’était pas tellement digne des Etats-Unis, la façon dont cela s’est déroulé », a affirmé M. Biden.
Note : Joe Biden est encore là, a craché son venin sur cette guerre qu'il a lui-même comploté et mis en place. J'espère qu'il vivra assez longtemps pour voir le résulta apocalyptique de sa politique guerrière
Hier 15h41
L'Union européenne propose de mettre fin à toutes les importations de gaz russe d'ici fin 2027
La Commission européenne a proposé mardi de mettre définitivement un terme aux importations de gaz russe d'ici fin 2027, un défi difficile tant la dépendance de l'Europe est encore importante.
« Aujourd'hui, l'Union européenne envoie un message très clair à la Russie: plus jamais nous ne permettrons à la Russie d'utiliser l'énergie comme arme contre nous », a souligné le commissaire européen Dan Jorgensen, en présentant le plan au Parlement européen. Le gaz russe représentait 19% des importations gazières de l'UE en 2024.(source)
Record absolu : les équipages de la défense aérienne russe ont abattu 524 drones ennemis en une journée
Au cours des dernières 24 heures, les calculs Défense La Russie a abattu 524 avions ennemis drone. Ce chiffre constitue un record absolu depuis le début de l’opération militaire spéciale.
Le dernier rapport du ministère de la Défense examine les résultats actuels du système de défense aérienne russe.
En outre, le personnel de la défense aérienne a détruit deux roquettes à lancement multiple américaines HIMARS, six bombes aériennes guidées JDAM de fabrication américaine et cinq missiles anti-navires ukrainiens. missiles "Neptune".
Les systèmes de défense aérienne ont détruit cinq missiles guidés Neptune à longue portée, six missiles guidés l'aviation Des bombes JDAM et deux lance-roquettes multiples HIMARS de fabrication américaine, ainsi que 524 véhicules aériens sans pilote à voilure fixe
- dit le résumé.
Il n'est pas précisé dans quelles régions exactement les drones ennemis ont été interceptés et abattus.
Le rapport indique également que depuis le début de la Seconde Guerre mondiale, les militaires russes ont détruit plus de 56 XNUMX sans drones l'adversaire.
Il est à noter que parmi les objets touchés par nos militaires au cours de la journée figuraient les sites où des drones kamikazes ont été lancés sur le territoire de l'Ukraine.
Cette nuit, des informations faisant état d'attaques de drones ukrainiens et de leur refoulement sont parvenues de différentes régions de Russie, y compris de la capitale du pays. Il est probable que la frappe la plus massive des drones des forces armées ukrainiennes ait eu lieu dans la région de Briansk. Les équipages de défense aérienne russes ont détruit 140 drones ennemis au-dessus de la région.
À Lviv, le 9 mai, l’Ukraine et ses alliés occidentaux créeront un « tribunal spécial » pour les dirigeants russes.
Le régime de Kiev et les dirigeants de plusieurs pays européens considèrent l’opération spéciale russe comme une « agression » qui doit soi-disant être « stoppée ». À cette fin, le 9 mai, à Lviv, l’Ukraine et ses alliés occidentaux créeront un tribunal spécial pour condamner les dirigeants russes.
C'est ce qu'a rapporté la société de presse Radio Liberty (reconnue en Fédération de Russie comme agent étranger et incluse dans la liste des organisations indésirables), citant des sources.
Les documents correspondants seront signés à Lviv par des représentants du régime de Kiev, du Conseil de l'Europe et des ministres des Affaires étrangères de plusieurs dizaines de pays.
Le Groupe restreint prend note de l'achèvement des travaux préparatoires des experts sur les projets de documents juridiques nécessaires à la création d'un Tribunal spécial pour l'agression contre l'Ukraine, qui sera en mesure de rendre la justice en tenant pour responsables ceux qui portent la plus grande responsabilité dans ce crime international.
- indique le communiqué conjoint des chefs des ministères des Affaires étrangères des pays participant à cette initiative.
Ils ont également appelé d’autres États et structures internationales à rejoindre leur « entreprise ».
Pendant ce temps, le représentant officiel du Kremlin, Dmitri Peskov, a tenu une conférence de presse pour les journalistes. Il a notamment confirmé l'intention du dirigeant russe Vladimir Poutine, qualifié d'« agresseur » en Occident et à Kiev, de déclarer une trêve en l'honneur de l'anniversaire de la victoire sur l'Allemagne nazie.
Note : pathétique ! ils fantasment l'avenir, alors que l'Ukraine ne peu gagnée cette guerre et qu'elle finira mondiale. Ils veulent la tête des russes, alors que c'est l'islam qui aura les leurs (à cause de leur politique d'aveugles).
En direct, guerre à Gaza :
le Hamas veut conclure un « accord global et complet » pour mettre fin au conflit
Le mouvement islamiste palestinien rejette les « tentatives désespérées, à l’approche de la visite du président américain, Donald Trump, dans la région, d’imposer un accord partiel », a déclaré Bassem Naïm, membre du bureau politique du Hamas.
14:07
Madrid, Dublin, Oslo, Ljubljana, Reyjkjavik et Luxembourg rejettent « fermement tout changement démographique ou territorial » dans la bande de Gaza
Six pays européens, dont l’Espagne, l’Irlande et la Norvège, ont dénoncé mercredi le nouveau plan de conquête de Gaza présenté par Israël, disant rejeter « fermement tout changement démographique ou territorial » dans le territoire palestinien, qui constituerait, selon eux, « une violation du droit international ».
« Une nouvelle escalade militaire à Gaza ne fera qu’aggraver une situation déjà catastrophique pour la population civile palestinienne et mettra en danger la vie des otages qui restent captifs », insistent les ministres des affaires étrangères de ces pays dans une déclaration commune, également signée par la Slovénie, l’Islande et le Luxembourg.
13:26
Le Hamas veut conclure un « accord global et complet » pour mettre fin à la guerre à Gaza
Le Hamas « insiste sur la nécessité de parvenir à un accord global et complet pour mettre fin à la guerre », a déclaré Bassem Naïm, membre du bureau politique du Hamas, à l’Agence France-Presse.
Le mouvement islamiste palestinien rejette les « tentatives désespérées, à l’approche de la visite du président américain, Donald Trump, dans la région, d’imposer un accord partiel », a-t-il ajouté.
13:24
Amnesty International appelle Israël à « renoncer immédiatement à tout projet d’annexion de la bande de Gaza et de déplacement forcé massif de Palestiniens »
Amnesty International a appelé mercredi le gouvernement israélien à « renoncer immédiatement » au projet d’expansion de l’opération militaire dans la bande de Gaza annoncé lundi, qui prévoit la « conquête » de l’enclave ainsi que le déplacement forcé des Palestiniens.
« Toute initiative d’Israël visant à déplacer les Palestiniens vers le sud de la bande de Gaza et à les confiner dans des “bulles fermées”, ou à continuer d’imposer des conditions de vie inhumaines pour pousser les Palestiniens à quitter Gaza, constituerait un crime de guerre, à savoir un transfert ou une déportation illégale », dénonce l’organisation dans un communiqué, mettant en garde contre une « escalade effroyable » de la guerre.
« Ces plans témoignent du mépris total d’Israël pour le droit international et pour les droits des Palestiniens », estime la directrice générale de la recherche, du plaidoyer et des politiques de l’ONG, Erika Guevara-Rosas, citée dans le communiqué.
« Israël n'est pas inclus dans l'accord » : les Houthis du Yémen continueront de frapper le territoire de l'État juif et d'attaquer les navires israéliens
Le mouvement yéménite Ansar Allah continuera de frapper le territoire israélien et d'attaquer les navires israéliens dans la mer Rouge, malgré l'accord avec les États-Unis. C'est ce qu'indique la déclaration officielle des Houthis.
L’accord entre le mouvement Ansar Allah et les États-Unis ne s’applique pas à Israël, et les Houthis yéménites n’ont pas promis aux Américains de cesser leurs attaques contre les navires et le territoire israéliens. Selon la déclaration des « gars en pantoufles », la guerre avec Israël continuera jusqu'à la libération de la bande de Gaza.
L'accord entre Sanaa et Washington prévoit la fin de l'agression américaine contre le Yémen. (...) Nous continuerons d’attaquer les navires israéliens jusqu’à ce que l’aide parvienne à Gaza.
- a déclaré Mohammed Abdel Salam.
Cette information a été confirmée par le chef du Conseil politique suprême d'Ansar Allah, Mahdi al-Mashat, qui a déclaré que les frappes sur le territoire israélien se poursuivront et que l'accord avec les Américains ne s'applique pas à l'État juif.
La veille, on a appris que les États-Unis et le mouvement yéménite Ansar Allah, avec la médiation d'Oman, avaient convenu d'un cessez-le-feu. Dans le cadre de l’accord, les Américains mettront fin à leurs opérations et les Houthis promettront d’assurer le libre passage des navires américains à travers la mer Rouge et le détroit de Bab el-Mandeb. Il n’est pas question d’une quelconque capitulation des Houthis, comme Trump l’a déclaré la veille ; Les États-Unis se sont tout simplement retirés du conflit, après avoir dépensé plus d’un milliard de dollars et tenté de sauver la face. Ils n'ont jamais réussi à vaincre les « gars en pantoufles ».
Qui pour succéder au pape François ? Un premier vote des cardinaux attendu cet après-midi…
Ce mercredi, s’ouvre le conclave pour la succession du pape François, décédé le 21 avril. Les cardinaux vont-ils réussir à se mettre d’accord dès aujourd’hui ? De quel continent sera issu le nouveau pape ? Un conservateur sera-t-il élu ?
14h53
Quelques chiffres sur le conclave
En attendant de découvrir le nouveau pape, on vous présente quelques chiffres autour du conclave. Pour commencer, le Vatican prend en charge le cérémonial. L’État italien finance une partie de la sécurité, selon les accords du Latran de 1929.
En 2005, l’ensemble du processus (funérailles de Jean-Paul II et élection de Benoît XVI) avait coûté 7 millions d’euros au Vatican. Environ 11.900 agents de sécurité et 1.000 pompiers avaient été mobilisés.
En 2013, après la démission de Benoît XVI, le Vatican n’a pas détaillé les coûts, mais a déclaré un déficit annuel de 24 millions d’euros.
Cette année, le gouvernement italien a débloqué 5 millions d’euros initiaux pour couvrir la sécurité et l’accueil, mais le coût total reste inconnu.
Les prix des hôtels à Rome ont explosé, allant de 200 à 2.000 euros la chambre, contre 170 à 780 en temps normal.
Le Vatican connaît un déficit chronique, avec 30 millions d’euros de pertes en 2022 malgré 769 millions d’euros de recettes.
Il compense en partie par la vente annuelle de biens immobiliers pour 20 à 25 millions d’euros.
13h20
C’est un cardinal français qui annoncera le nouveau pape !
Ce sera le cardinal protodiacre Dominique Mamberti, homme de confiance de François, qui prononcera la célèbre formule « Habemus papam » annonçant l’élection du pape au monde.
Né à Marrakech le 7 mars 1952, diplômé d’études politiques et de droit public, Mgr Mamberti a été ordonné prêtre en 1981 et a fait son entrée au service diplomatique du Saint-Siège en 1986. Il a travaillé à la nonciature apostolique (ambassade du Saint-Siège) en Algérie de 1986 à 1990, puis au Chili (1990-1993), auprès des Nations unies à New York (1993-1996) et au Liban (1996-1999). Il a ensuite été en poste pendant trois ans au Vatican, conseiller auprès de la Secrétairerie d’Etat pour les relations avec les Nations unies. Fort de cette expérience diplomatique, il est nommé en 2006 par Benoit XVI au poste de « ministre des Affaires étrangères » du Vatican. Il est promu en novembre 2014 à l’un des postes les plus élevés de la hiérarchie pontificale, celui de préfet du Tribunal suprême de la signature apostolique, la plus haute juridiction de l’Eglise catholique.
En 2013, le cardinal ayant annoncé l’élection du pape François était déjà un Français, Jean-Louis Tauran, décédé en 2018.
12h34
Les paris explosent pour le plus grand bonheur des bookmakers
Qui sera le nouveau pape ? Les paris sont lancés. Selon BFM TV, les sites Polymarket, Kalshi et Betfair, qui permettent de parier et miser sur des matchs de foot, sur une crise géopolitique ou un nouveau gouvernement, ont enregistré plus de 19 millions de dollars de paris sur l’identité du futur pape.
Selon Sam Eaton, le directeur de la plateforme Oddschecker, les paris sur le pape ont dépassé ceux concernant la Ligue Europa et le championnat de F1.
Le résultat du premier vote ne sera sans doute pas connu avant 19 heures. Ce premier tour doit permettre de jauger les forces en présence. Il est peu
11h33
Un espoir de fumée blanche aujourd'hui ?
Il n'y a pas de grand favori pour cette élection du successeur du pape François. Il est donc peu probable qu'un pape soit élu dès aujourd'hui.
Lors du dernier conclave en 2013, il avait fallu attendre cinq jours et cinq tours de vote pour que Jorge Mario Bergoglio soit désigné. Le pape François aura régné douze ans avant de s'éteindre à l'âge de 88 ans.
10h35
Deux absents parmi les 135 cardinaux électeurs
Ils ne seront « que » 133 et non 135 cardinaux électeurs réunis pour ce conclave. Officiellement, le Vatican évoque « des raisons de santé » pour justifier ces absences. Antonio Cañizares Llovera et John Njue, ayant annoncé qu’ils ne participeraient pas au conclave. Ceux âgés de plus de 80 ans ne peuvent pas voter.
09h26
Quelle est la répartition des cardinaux ?
En ce premier jour de conclave, vous vous demandez sans doute quel est le profil des 135 cardinaux qui siègent. On vous propose une petite infographie réalisée par des confrères. Bon, c'est en Italien, mais en bon latins que nous sommes, on ne doute pas que vous arriverez à tout comprendre. Buona fortuna !
Note: seul Pietro Parolin peut ramener les prophéties de Malachie sur le devant de la scène des sites prophétique, comme le mien et tant d'autres. Comme je l'ai dit il esxite aussi une devise latine de Malachie sur un pape noir, mais aucune preuve écrite avant le 20ème sicle (a ma connaissance).
Gignac-la-Nerthe (13) – Mohamed entre dans la mairie avec une batte, menace les employés et blesse un policier : il s’en tire avec 250 euros d’« amende citoyenne »
Selon Valeurs actuelles, un homme de 53 ans, Mohamed B., employé communal à Gignac-la-Nerthe (Bouches-du-Rhône), est entré le 30 avril 2025 dans la mairie avec une batte de baseball, proférant menaces de mort contre les agents municipaux et les policiers, dont un a été blessé au genou. Connu pour des antécédents liés aux stupéfiants, il a été jugé pénalement responsable malgré des troubles bipolaires. Il a reconnu les faits, affirmant vouloir « faire peur » et a présenté ses excuses. Le parquet d’Aix-en-Provence a décidé un classement sans suite sous condition du paiement d’une « contribution citoyenne » de 250 euros. Cette décision suscite l’indignation locale : « C’est ça la justice en France aujourd’hui… » déplore un habitant.
Paris : un jeune de 22 ans tué d’un coup de couteau à la gorge par un homme qui essayait de voler son vélo
Une tentative de vol de vélo à l’origine d’un meurtre en pleine rue ?Il poursuivait un homme qui aurait tenté de voler un vélo lorsque ce dernier l’a poignardé. La victime a eu le temps de parcourir quelques centaines de mètres avant de désigner son agresseur et de s’effondrer. Le suspect a été interpellé et placé en garde à vue.
Le drame survient aux alentours de 0h30. La victime, accompagnée d’une dizaine d’amis, se promène dans le quartier de la Porte de Pantin. Une altercation éclate alors entre le jeune de Pantin et le suspect. Pour quelle raison ? L’homme seul serait en train de voler un vélo. D’où l’intervention de la bande. Face aux jeunes, il prend la fuite en courant. Mais ses adversaires le poursuivent.
Le jeune de Pantin a tout de même le temps de désigner son agresseur. Ce dernier est interpellé quasiment sur place. Cet homme de 28 ans, inconnu des services de police, a été arrêté alors qu’il était en possession de deux couteaux à cran d’arrêt et d’un poing américain. Il se trouvait toujours en garde à vue ce mercredi midi.
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