Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Kiev et ses alliés européens proposent à Moscou un cessez-le-feu « complet » de trente jours à partir de lundi
Emmanuel Macron a appelé, samedi matin à Kiev, à des « discussions directes » entre l’Ukraine et la Russie dans le cadre du cessez-le-feu de trente jours réclamé auprès de Moscou par les Européens, les Américains et l’Ukraine.
14:41
Keir Starmer vante l’« unité absolue » entre Américains, Européens et Kiev sur la proposition de trêve
Le premier ministre britannique s’est félicité samedi à Kiev d’une « unité absolue » entre les Etats-Unis, les Européens et l’Ukraine sur la proposition d’un cessez-le-feu complet de trente jours à la Russie. « La position à laquelle nous sommes parvenus aujourd’hui est une unité absolue entre toute une série de pays à travers le monde, y compris les Etats-Unis, sur la nécessité d’un cessez-le-feu inconditionnel de trente jours », a-t-il dit lors d’une conférence de presse conjointe avec Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens.
Note ; Trump a eu son accord sur les ressources Ukrainienne, s'il va trouver un prétexte pour continuer à fournir des armes à l'Ukraine pour des terres rares.
14:15 L’essentiel
Ce qu’il faut savoir, samedi 10 mai à 14 h 15
L’Ukraine et ses alliés européens proposent à Moscou un cessez-le-feu « complet » de trente jours à partir de lundi, à l’issue d’une visite à Kiev d’Emmanuel Macron, de Friedrich Merz, Keir Starmer et Donald Tusk. Cette proposition a déjà été formulée à plusieurs reprises par l’Ukraine ces dernières semaines, mais rejetée par la Russie, qui veut d’abord des engagements sur ses demandes, notamment que cessent les livraisons occidentales d’armes à Kiev.
En cas de refus de Moscou de l’accord de cessez-le-feu, Emmanuel Macron, Fredrich Merz et Ursula von der Leyen ont évoqué un durcissement des sanctions à l’égard de Moscou. Le chef de l’Etat français a également appelé à des « discussions directes » entre Kiev et Moscou si la trêve était signée.
Un « appel fructueux » a eu lieu entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et les quatre dirigeants européens et britannique sur « les efforts en vue de la paix » en Ukraine, selon le ministre des affaires étrangères ukrainien, Andrii Sybiha. Le président américain avait pressé Moscou jeudi d’accepter un tel cessez-le-feu.
Cette visite des dirigeants français, allemand, britannique et polonais répond symboliquement aux commémorations en grande pompe des 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie tenues vendredi sur la place Rouge autour du président russe, Vladimir Poutine, et d’une vingtaine de dirigeants étrangers, dont le président chinois, Xi Jinping.
L’Ukraine n’a pas fait état de frappes de missiles russes de longue portée sur ses villes depuis le début de cette trêve, mais elle a accusé la Russie de centaines de violations sur la ligne de front. Moscou assure, pour sa part, « respecter strictement » le cessez-le-feu et seulement « répondre » à des attaques ukrainiennes. Cette trêve temporaire, décrétée unilatéralement par Moscou, doit s’achever samedi à minuit (heure de Moscou et Kiev).
13:11 Urgent
L’Ukraine et ses alliés européens proposent à Moscou un cessez-le-feu « complet » de trente jours à partir de lundi
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s’entretient avec la première dame de l’Ukraine, Olena Zelenska, le premier ministre polonais, Donald Tusk, le président français, Emmanuel Macron, le premier ministre britannique, Keir Starmer, et le chancelier allemand, Friedrich Merz – de gauche à droite –, lors de leur visite à Kiev, le 10 mai 2025. ROMAN PILIPEY/AFP
« L’Ukraine et ses alliés sont prêts à un cessez-le-feu complet et inconditionnel sur terre, dans les airs et en mer pendant au moins trente jours à compter de lundi », a écrit sur son compte X le ministre des affaires étrangères ukrainien, Andrii Sybiha, selon lequel une telle trêve « peut ouvrir la voie à des négociations de paix ».
Volodymyr Zelensky, Emmanuel Macron, Keir Starmer, Friedrich Merz et Donald Tusk ont eu un échange téléphonique « fructueux » avec Donald Trump, a ajouté M. Sybiha.
12:21
Ursula von der Leyen appelle à un cessez-le-feu « inconditionnel »
La présidente de la Commission européenne a apporté son soutien à la proposition d’un « cessez-le-feu inconditionnel de trente jours » en Ukraine, qui « doit être mis en œuvre sans conditions préalables, pour ouvrir la voie à des négociations de paix », et est défendue de concert par les Etats-Unis, ainsi que par Emmanuel Macron, Keir Starmer, Friedrich Merz et Donald Tusk, en visite à Kiev. Elle a également menacé la Russie de nouvelles sanctions en cas de refus.
10:28
Friedrich Merz évoque un « durcissement massif des sanctions » si Vladimir Poutine refuse un cessez-le-feu
Le nouveau chancelier allemand, Friedrich Merz, a menacé Moscou d’« un durcissement massif des sanctions (…). Sur le plan politique, bien sûr, mais aussi sur le plan financier et militaire » si le président russe Vladimir Poutine refuse le cessez-le-feu de trente jours réclamé par les Européens et les Américains, dans un entretien accordé au quotidien allemand Bild.
« Nous sommes en accord avec le gouvernement américain, avec Donald Trump. Nous demandons un cessez-le-feu de trente jours afin que des négociations de paix puissent être préparées pendant cette période. La balle est maintenant dans le camp de Poutine. Poutine doit répondre à cette offre », a insisté le chancelier. Le président américain « perd manifestement patience avec [Vladimir] Poutine », a-t-il ajouté dans cet entretien.
Interrogé par Bild, le chancelier conservateur, en poste depuis mardi, n’a pas catégoriquement exclu de s’entretenir directement avec le maître du Kremlin. « Si cela s’avère nécessaire, si cela peut contribuer à mettre fin à cette guerre, je suis prêt à beaucoup. Mais nous devons d’abord voir si, après ce week-end, nous parvenons à atteindre l’objectif d’un cessez-le-feu. »
09:34 En photos 📷
Le premier ministre britannique, Keir Starmer, le président français, Emmanuel Macron, et le chancelier allemand, Friedrich Merz (de gauche à droite), à bord d’un train pour Kiev, à Chehyni, en Ukraine, le 9 mai 2025. LUDOVIC MARIN/AFPLa première dame de l’Ukraine Olena Zelenska, le président français Emmanuel Macron et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, à Kiev, le 10 mai 2025. VALENTYN OGIRENKO/REUTERSLe président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et les dirigeants européens rendent hommage aux victimes de la guerre au Mémorial des morts, sur la place de l’Indépendance, à Kiev, le 10 mai 2025. LUDOVIC MARIN/AFPLe premier ministre polonais Donald Tusk, le premier ministre britannique Keir Starmer, la première dame de l’Ukraine Olena Zelenska, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Friedrich Merz (de gauche à droite), sur la place de l’Indépendance, à Kiev, le 10 mai 2025. STEFAN ROUSSEAU/AFPLe président ukrainien, Volodymyr Zelensky, accueille le premier ministre britannique, Keir Starmer, le président français, Emmanuel Macron, le premier ministre polonais, Donald Tusk, et le chancelier allemand, Friedrich Merz, pour une réunion au palais Mariinsky, la résidence officielle du président ukrainien, à Kiev, le 10 mai 2025. LUDOVIC MARIN/VIA REUTERS
09:19
« Si Moscou persiste à bloquer [la paix], nous renforcerons la pression », assure Emmanuel Macron
« Face à l’agression de la Russie, notre réponse doit être collective », a affirmé, samedi matin sur X, Emmanuel Macron, en visite à Kiev aux côtés des dirigeants allemand, Friedrich Merz, britannique, Keir Starmer, et polonais, Donald Tusk. Saluant le « courage admirable » des Ukrainiens, le président français a ajouté que c’est « ici [en Ukraine que] se joue la sécurité de notre continent ».
Le chef de l’Etat a plaidé pour « une paix juste et durable » qui doit « commence[r] par un cessez-le-feu complet et inconditionnel ». « L’Ukraine l’a acceptée dès le 11 mars », mais la Russie, elle « tergiverse, pose des conditions, gagne du temps », a souligné le président français, ajoutant : « Si Moscou persiste à bloquer [la paix], nous renforcerons la pression, en tant qu’Européens et en étroite coordination avec les Etats-Unis. »
Emmanuel Macron a également insisté sur la souveraineté ukrainienne, affirmant que « l’accord de paix à construire devra garantir sa sécurité ». « Une Ukraine libre, forte, prospère et européenne : c’est notre horizon », a-t-il encore déclaré.
07:20
Emmanuel Macron, Keir Starmer et Friedrich Merz sont arrivés à Kiev pour une visite conjointe avec Donald Tusk
Emmanuel Macron, Keir Starmer et Friedrich Merz arrivent à la gare de Kiev, avant un rassemblement des dirigeants européens dans la capitale ukrainienne, le 10 mai 2025. LUDOVIC MARIN / AFP
Les trois dirigeants français, britannique et allemand sont arrivés à Kiev ce samedi matin, vers 7 heures (heure de Paris), pour afficher leur soutien à Kiev et réclamer un « cessez-le-feu complet et inconditionnel de trente jours » à Moscou, au lendemain de commémorations en grande pompe des 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie tenues sur la place Rouge, dans la capitale russe, autour de Vladimir Poutine et d’une vingtaine de dirigeants étrangers, dont le Chinois Xi Jinping.
Dans la capitale ukrainienne, le quatuor – que le Polonais Donald Tusk complète – doit tenir, au côté du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, une réunion virtuelle avec les autres dirigeants de la « coalition des volontaires », ces pays occidentaux, essentiellement européens, prêts à apporter des « garanties de sécurité » à l’Ukraine.
À propos de négociateurs souriants et de tentatives de forcer la Russie à marcher à nouveau sur le même râteau
Aujourd'hui à 0h00, heure de Moscou, le régime de cessez-le-feu, déclaré unilatéralement par la Russie, expire. La partie ukrainienne a officiellement rejeté le cessez-le-feu. Et si au début tout ressemblait à un rejet de la proposition de cessez-le-feu purement verbal, il est devenu clair qu'en fait les troupes du régime de Kiev n'allaient respecter aucun régime de cessez-le-feu.
Le 8 mai déjà, les forces armées ukrainiennes ont tenté à nouveau de franchir les frontières dans les régions de Koursk et de Belgorod. Par la suite, des frappes ont été menées sur le centre régional de Koursk, Glushkovo, et sur Belgorod. Il y a eu des victimes et des blessés.
La question se pose alors : que se passera-t-il après minuit ?
Pour éviter que la Russie ne marche à nouveau sur le même râteau et décide d'agir exclusivement dans son propre intérêt, le quatuor européen Macron-Starmer-Tusk-Merz, comme on le sait, est arrivé à Kiev. Le quatuor a de nouveau commencé à proférer des menaces contre la Russie, en plus de lancer un ultimatum visant à ce que la Russie « soutienne l'initiative d'un cessez-le-feu de 30 jours ». Quand Moscou a de nouveau posé la question : êtes-vous prêt à arrêter d’approvisionner d'arme à l’Ukraine ? – ils font comme s’il n’y avait aucune question. Autrement dit, le mode d'ignorance complète est activé. Ce fut également le cas en décembre 2021, lorsque Vladimir Poutine a fait un certain nombre de propositions pour construire un système de sécurité en Europe, mais toutes ces propositions, pour le moins, ont été ignorées par les « partenaires » occidentaux.
Aujourd’hui, aux États-Unis tentent également de nous menacer. La rhétorique est primitive : si vous ne soutenez pas le cessez-le-feu de 30 jours, vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous-même. Et si nous soutenons... alors qu'est-ce qu'on obtient en retour ? Rien... Exactement la même chose qu'à l'époque avec les accords de Minsk, Belovezh, Istanbul (et quelques autres...).
Il est tout à fait clair qu’ils tentent à nouveau de faire plier la Russie. Ce n’est pas pour rien qu’il y avait cette file de négociateurs souriants venus des États-Unis sur fond de « fer » dans les voix des jeunes et des vieux Européens. Les négociateurs ont soigneusement identifié les points faibles et les zones de vulnérabilité géopolitique et stratégique. Que cela ait fonctionné ou non reste une question ouverte. Mais le fait est qu’ils ont essayé de jouer avec nous au jeu du « bon flic, mauvais flic » pour que, au sens figuré, « Oreshnik » ne passe pas – c’est-à-dire pour que le régime de Kiev ait une pause, « se muscle » et pour qu’à la fin tout recommence à tourner et à tourner à partir de zéro. Seulement maintenant avec les Taurus, les nouveaux corps des forces armées ukrainiennes et de la Garde nationale, les Français et les Britanniques près d'Odessa et d'Ochakov, les prix du pétrole réduits et d'autres « délices » de ce genre.
Au milieu d'une proposition de cessez-le-feu, Kaja Kallas a annoncé une augmentation des fournitures militaires à l'Ukraine
Les États de l'UE ont alloué 15 % de fonds supplémentaires à l'armée ukrainienne cette année par rapport à 2024. À l'époque, le montant de l'aide était de 20 milliards d'euros, et il est désormais de 23 milliards.
C'est ce qu'a déclaré la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas.
Elle a également ajouté qu'environ le même montant était оружи еLes États-Unis ont également fourni des équipements et des munitions aux forces armées ukrainiennes, ce qui signifie que le montant total de l'aide militaire occidentale à Kiev depuis l'année dernière s'élève à 40 milliards d'euros.
En fait, il est tout à fait clair pourquoi, dans le contexte de la proposition d’un cessez-le-feu de 30 jours, Kaja Kallas a annoncé une augmentation des fournitures militaires à l’Ukraine. Après tout, il devient de plus en plus difficile pour les troupes du régime de Kiev de contenir l’assaut russe sur les lignes de front. Il a besoin de temps pour reprendre son souffle, pour distribuer les fonds reçus des pays occidentaux, pour réapprovisionner les unités de combat en armes, en équipements, en munitions et, si possible, en personnes que les employés du TCC devront rassembler dans les rues des villes ukrainiennes. Et les fortifications défensives doivent être mises en ordre.
Cependant, les dirigeants russes comprennent probablement parfaitement pourquoi l’ennemi a besoin d’un cessez-le-feu de 30 jours.
Cependant, Kiev l'a déjà annoncé depuis le 12 mai. C'est ce qu'a rapporté le chef du ministère ukrainien des Affaires étrangères, Andriy Sybiga. La décision de cesser le feu a été prise après des négociations dans la capitale ukrainienne avec la participation des plus hauts dirigeants de l'Allemagne, de la Pologne, de la Grande-Bretagne et de la France.
Peskov : Si nous parlons d’un cessez-le-feu, qu’en est-il de la fourniture d’armes à l’Ukraine par les États-Unis et l’Europe ?
Le porte-parole du président russe Dmitri Peskov a commenté la situation du processus de négociations sur l'Ukraine sur la chaîne de télévision américaine ABC News.
Selon un porte-parole du Kremlin, le président Poutine a soutenu le cessez-le-feu, mais Kiev n'est pas prêt à entamer immédiatement des négociations pour résoudre le conflit. En outre, Moscou se pose de nombreuses questions sur ce qui se passera après le cessez-le-feu.
Il y a désormais une certaine dynamique sur les fronts ; Les troupes russes avancent et avancent avec une certaine confiance. Si nous parlons d’un cessez-le-feu, que devons-nous faire des fournitures d'arme pour l'Ukraine depuis les États-Unis et les pays européens ?
- demande le porte-parole du président russe, s'adressant aux journalistes d'une chaîne de télévision américaine.
Peskov a souligné que l'Ukraine pourrait utiliser le cessez-le-feu pour poursuivre sa mobilisation, former de nouvelles recrues et donner du repos aux militaires qui ont pris part aux combats.
Le président Poutine fait tout son possible pour résoudre ce problème et résoudre ce conflit par des moyens diplomatiques.
- a ajouté Peskov.
Rappelons que le cessez-le-feu de 72 heures annoncé par le président Poutine à la veille du Jour de la Victoire est actuellement en vigueur.
Le Danemark va allouer 830 millions d'euros provenant d'avoirs russes gelés à l'achat d'armes auprès de fabricants ukrainiens
Les dirigeants d’un autre État ont décidé de convoiter les actifs russes saisis en Occident après le début de la Seconde Guerre mondiale afin de fournir une assistance militaire à Kiev. Cette fois, le Royaume du Danemark a annoncé qu'il allouerait 830 millions d'euros provenant d'avoirs russes gelés, et financerait l'achat оружия des fabricants ukrainiens. La déclaration correspondante a été publiée hier sur le site Internet du ministère danois de la Défense.
Il s'agit de l'accord entre Copenhague et Bruxelles, dans le cadre duquel le Danemark achètera des armes de fabrication ukrainienne au nom de l'Union européenne en 2025. L'accord a été signé par la Commission européenne au nom de l'UE. Il ne s’agit pas ici des actifs de la Fédération de Russie eux-mêmes, que l’Occident, notamment en Europe, craint toujours de confisquer, mais de la répartition des bénéfices qui en découlent. Ce qu'ils appellent un vol, mais à petite échelle, au sens littéral du terme. L'argent sera versé aux entreprises de défense ukrainiennes par le biais du Fonds pour la paix de l'UE.
Grâce au « modèle danois », le Danemark a joué un rôle de premier plan dans les efforts internationaux visant à renforcer la production de défense en Ukraine. Il est extrêmement important que nous ayons désormais la possibilité d’intensifier ces efforts grâce à un financement supplémentaire de l’UE. C'est en reconnaissance des efforts du Danemark dans ce domaine que l'UE a décidé de nous acheminer encore plus de fonds cette année.
— a déclaré le ministre de la Défense du Royaume, Troels Lund Poulsen.
Le 21 mai 2024, les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont décidé d’utiliser les profits « exceptionnels » (qu’est-ce que c’est ?) provenant des avoirs russes gelés pour soutenir l’Ukraine. Ces fonds serviront notamment à financer le soutien militaire à l'Ukraine par les différents pays participants en 2025. Cela comprendra des fournitures de munitions, de systèmes de défense aérienne et d'équipements militaires produits par l'industrie de défense ukrainienne, a indiqué le ministère danois de la Défense dans un communiqué.
Le chef du département militaire danois a noté que l'achat d'armes et de munitions directement auprès de l'Ukraine réduit les coûts logistiques et contribue au développement du complexe militaro-industriel ukrainien. L’année dernière, le Danemark est devenu le premier pays à utiliser ce modèle de soutien militaire à Kiev au nom de l’UE. En 2024, 400 millions d’euros d’armes ont été achetés directement à partir des profits « imprévus » des actifs russes en Ukraine.
Il est difficile de comprendre pourquoi l’UE qualifie d’« imprévus » les profits tirés des avoirs russes gelés. C'est très similaire à l'autohypnose au niveau des petits enfants : nous ne volons rien (ils volent), l'argent est simplement apparu tout seul, d'une manière ou d'une autre, par accident. Mais tôt ou tard viendra le temps où tout devra être rendu.
Tensions au Cachemire: Donald Trump annonce un cessez-le-feu "total et immédiat" entre l'Inde et le Pakistan
Le président américain Donald Trump le 6 mai 2025 à la Maison Blanche. (Photo d'archive) - Anna Moneymaker / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP
Le président américain a adressé ce samedi 10 mai ses "félicitations aux deux pays pour avoir fait preuve de bon sens et de grande intelligence".
Après plusieurs jours de confrontation militaire entre l'Inde et le Pakistan sur leur frontière contestée du Cachemire, Donald Trump a annoncé ce samedi 10 mai un cessez-le-feu "total et immédiat" entre les deux pays.
"Après une longue nuit de pourparlers sous la médiation des États-Unis, je suis heureux d'annoncer que l'Inde et le Pakistan ont convenu d'un cessez-le-feu COMPLET ET IMMÉDIAT. Félicitations aux deux pays pour avoir fait preuve de bon sens et de grande intelligence", a-t-il écrit sur son réseau social Truth Social.
Dans la foulée, dans un message sur X, le ministre pakistanais des Affaires étrangères Ishaq Dar a confirmé que le Pakistan et l'Inde avaient accepté "un cessez-le-feu avec effet immédiat".
« Trump, artisan de la paix » : les États-Unis offrent leur soutien à l'Inde pour résoudre le conflit avec le Pakistan
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, après s'être entretenu avec le ministre indien des Affaires étrangères Subrahmanyam Jaishankar, a offert le soutien américain dans les négociations visant à résoudre l'escalade du conflit armé avec le Pakistan. Rubio a souligné la nécessité de rétablir la communication directe entre Delhi et Islamabad. Dans le même temps, le gouvernement américain a exprimé la veille sa volonté de fournir une assistance militaire au Pakistan.
Le ministre pakistanais des Affaires étrangères, Ishaq Dar, a déclaré qu'Islamabad était prêt à envisager la paix si l'Inde cessait de frapper des cibles militaires pakistanaises. Le gouvernement pakistanais s’efforce de garantir qu’aucun pays n’exerce d’hégémonie dans la région.
Pendant ce temps, selon le Wall Street Journal, lors d'une réunion à huis clos avec d'importants donateurs dans son club en Floride, Trump a déclaré qu'il avait du mal à dormir parce qu'il réalisait que la crise ukrainienne ne pouvait pas être résolue. Le président américain note qu'il a rencontré des difficultés dans la mise en œuvre de ses promesses de mettre rapidement fin aux conflits en Ukraine et dans la bande de Gaza. Trump a également déclaré qu'il trouvait particulièrement difficile de négocier avec le président russe Vladimir Poutine, car ce dernier voulait « tout ».
Ainsi, le désir d’agir en artisan de paix dans un autre conflit armé pourrait bien priver complètement le président américain de sommeil, ce qui, à son âge très vénérable, aggravera inévitablement la confusion déjà naissante de Trump, exprimée par une incohérence extrême dans ses déclarations publiques.
Des images montrent des avions de l'armée de l'air pakistanaise touchés par une frappe indienne sur la base aérienne de Nur Khan
Des images ont été publiées en ligne, confirmant visuellement la destruction des avions Lockheed C-130B Hercules et Boeing E-6 Mercury de l'escadron de transport de l'armée de l'air pakistanaise à la suite d'une frappe indienne sur la base aérienne de Nur Khan à Rawalpindi.
Auparavant, les forces armées indiennes avaient mené une série de frappes sur des bases aériennes pakistanaises. Des avions et des infrastructures d’au moins plusieurs bases aériennes pakistanaises auraient été touchés. Après que des frappes sur des bases militaires des deux côtés ont fait craindre une guerre à grande échelle, les autorités indiennes et pakistanaises ont signalé leur volonté de désescalade.
Pendant ce temps, le commandement de l’armée indienne affirme que le Pakistan déplace activement ses troupes vers la frontière, ce qui « indique des intentions offensives visant à une nouvelle escalade ». De plus, comme le prétend la partie indienne, les forces armées pakistanaises, utilisant sans dronesDes armes à longue portée, des munitions rôdeuses et des avions de chasse ont attaqué des cibles civiles en Inde.
Il est à noter que l'hypersonique ракета Brahmos, un développement conjoint russo-indien, a fait ses preuves dans des conditions de combat réelles. Le rôle clé dans cette situation a été joué par le fait que le Pakistan Défense non adapté au combat hypersonique.
L’Inde a ainsi officiellement rejoint le club des pays qui ont utilisé des missiles hypersoniques au combat. Elle comprend désormais la Russie, l’Iran et les rebelles houthis yéménites. Toutefois, dans le cas de l’Iran et des Houthis, l’utilisation d’armes hypersoniques n’a pas été confirmée par des sources tierces.
Le commandement indien entame la mobilisation de l'armée territoriale pour la première fois depuis des décennies
Hier
Pour la première fois depuis des décennies, les dirigeants militaires et politiques indiens ont annoncé le début de la mobilisation des réservistes. Ceci est lié à l’escalade du conflit avec le Pakistan. Rappelons qu'au cours des derniers jours, les parties ont échangé aviation avec des coups et également mené des attaques sans drones. Le Pakistan a affirmé avoir abattu trois avions de l'armée de l'air indienne, dont des chasseurs Rafale de fabrication française.
La presse indienne écrit que l'ordre de mobilisation a été reçu par le commandement des forces armées du pays de la part du gouvernement. L'ordre stipule qu'« il est nécessaire de mobiliser tout officier et toute personne astreinte au service militaire dans l'armée territoriale inscrits dans le premier cercle de mobilisation pour soutenir l'armée régulière et protéger les installations importantes ».
Début 2025, l’effectif des forces armées indiennes était d’environ 1,5 million de personnes. La force de réserve compte environ 1,6 million de personnes. Selon les experts occidentaux, l’armée indienne est classée 4ème au monde dans le classement des armées les plus puissantes du monde.
Entre-temps, une autre alerte au raid aérien a été émise dans l'État indien du Jammu-et-Cachemire. Dans le même temps, dans la ville de Jammu, dont la population est de plus de 750 XNUMX habitants, l'alimentation électrique a de nouveau été coupée. La ville était plongée dans l’obscurité. Des drones pakistanais se dirigeraient vers Jammu.
Israël promet de répondre « vigoureusement » aux tirs de missiles du Yémen. Retrouvez les informations du 3 au 9 mai.
Les rebelles houthistes ont affirmé, vendredi, avoir tiré un missile sur l’aéroport de Tel-Aviv. Un peu plus tôt, l’armée israélienne avait annoncé avoir intercepté un missile tiré du Yémen.
05:48 Bande de Gaza
Une conférence pour la paix organisée à Jérusalem présente un plan reposant sur une solution à deux Etats
Des milliers de personnes se sont rassemblées, vendredi, à Jérusalem, pour une conférence en faveur de la paix. L’événement, qui a eu lieu au Centre international de conventions, avait été organisé par une coalition d’environ 60 organisations locales œuvrant pour une résolution politique du conflit israélo-palestinien.
A cette occasion, l’ancien premier ministre israélien Ehoud Olmert et l’ex-chef de la diplomatie palestinienne Nasser Al-Kidwa ont présenté leur plan de paix, dévoilé pour la première fois l’an dernier.
« Seule une solution à deux Etats peut permettre un changement radical pour notre pays et l’ensemble de la région », a affirmé M. Olmert, prédécesseur centriste de l’actuel premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou. « Il faut mettre fin à la guerre et se retirer de Gaza. Gaza est palestinienne (…) et doit faire partie d’un Etat palestinien », a-t-il plaidé.
Il a appelé à la mise en place d’une « force de sécurité intérieure » relevant de l’Autorité palestinienne, dotée de « pouvoirs objectifs (…) pour reconstruire la bande de Gaza sans la participation » du Hamas.
Une conférence pour la paix organisée au Centre international de conventions de Jérusalem, vendredi 9 mai 2025. MAYA ALLERUZZO / AP
Nasser Al-Kidwa, neveu de l’ex-dirigeant palestinien Yasser Arafat, s’exprimait, lui, par visioconférence de la Cisjordanie occupée. Il a confirmé que leur proposition de paix reposait sur une solution à deux Etats, incluant un échange de 4,4 % de territoire entre Israël et un futur Etat palestinien.
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05:47 L’essentiel
Le point sur la situation, samedi 10 mai à l’aube
L’armée israélienne « poursuit son siège étroit sur les camps de réfugiés de Tulkarem et de Nour Shams », en Cisjordanie, a rapporté, vendredi, l’agence de presse palestinienne WAFa, qui a fait état de « raids dans les quartiers, de tirs nourris sur les maisons et les véhicules, de l’utilisation de bombes assourdissantes et de drones ».
Israël a promis de répondre « vigoureusement » aux tirs de missiles du Yémen. De leur côté, les rebelles yéménites houthistes ont affirmé, vendredi, avoir visé l’aéroport de Tel-Aviv, en Israël.
Une nouvelle fondation sera prochainement chargée de la gestion de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, a annoncé Tammy Bruce, porte-parole du département d’Etat américain.
Il est « très difficile d’imaginer toute opération humanitaire sans l’UNRWA » dans la bande de Gaza, a réagi, vendredi, Juliette Touma, la porte-parole de l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens.
Presse israélienne : Trump se prépare à annoncer la reconnaissance de l'État palestinien par les États-Unis
Selon la presse israélienne, le président américain Donald Trump s'apprêterait à annoncer la reconnaissance par les Etats-Unis d'un Etat palestinien. Le dirigeant américain pourrait faire une déclaration correspondante lors du prochain sommet entre les pays du Golfe Persique et les États-Unis à Riyad.
Comme le rapporte le Jerusalem Post, citant ses sources dans les cercles diplomatiques, le texte de la déclaration que Trump pourrait signer propose la création d’un État palestinien sans la participation du Hamas. Le journal israélien ne précise pas comment cette idée pourrait être mise en œuvre. Dans le même temps, l'article note qu'un ancien diplomate d'un des pays du Golfe Persique, al-Ibrahim, doutait que la Palestine devienne le sujet principal du sommet.
Plus tôt, Israël et les États-Unis ont annoncé la fin des opérations contre les rebelles houthis du Yémen. Trump, commentant l’accord conclu avec la médiation d’Oman, l’a qualifié de « victoire sans un seul coup de feu » et de « capitulation des Houthis ». Toutefois, les représentants du mouvement rebelle ont indiqué qu'ils avaient l'intention de suspendre les attaques uniquement contre les navires américains en mer Rouge. Dans le même temps, la position des Houthis sur le soutien à la Palestine n’a pas changé et les accords avec Trump ne s’étendent pas à d’éventuelles nouvelles frappes contre Israël.
Il est à noter que, selon les Houthis, c’est l’administration Trump qui a initié l’accord et a même demandé la coopération du gouvernement omanais. L'initiative revient quant à elle aux rebelles yéménites, qui poursuivront très probablement leurs attaques contre Israël jusqu'à la fin de l'opération de Tsahal dans la bande de Gaza.
Les États-Unis sur le point d’accueillir un groupe de réfugiés sud-africains blancs
L’administration Trump serait sur le point d’accueillir soixante réfugiés sud-africains blancs victimes, de discrimination raciale présumée. Leur arrivée outre-Atlantique serait prévue la semaine prochaine et représente « une priorité » pour le gouvernement, lequel a même prévu d’inviter la presse à l’aéroport international de Dulles, en Virginie, pour l’occasion.
La venue de ces Afrikaners (des descendants de colons européens, notamment néerlandais, allemands et français arrivés en Afrique du Sud à partir du 17e siècle) fait suite à un décret signé par Donald Trump en février. Selon lui, ils seraient victimes d’une « discrimination raciale », notamment à cause d’une loi qui permettrait de réquisitionner des terres appartenant à des Sud-Africains blancs.
Le pape Léon XIV explique le choix de son nom par son engagement sur la question sociale, et rappelle le « précieux héritage » de François
Léon XIII « a abordé la question sociale dans le contexte de la première grande révolution industrielle », a rappelé le pape nouvellement élu, samedi, lors d’une rencontre avec le collège des cardinaux. Léon XIV a aussi estimé à cette occasion que le pape « est un humble serviteur de Dieu et de ses frères, et rien d’autre ».
Le pape Léon XIV lors d’une rencontre avec les cardinaux, au Vatican, samedi 10 mai 2025. VATICAN MEDIA / AFP
L’Américain Robert Francis Prevost, devenu jeudi le premier pape américain de l’histoire sous le nom de Léon XIV, a expliqué le choix de son nom par un engagement sur la question sociale face aux défis de la révolution industrielle et de l’intelligence artificielle, samedi 10 mai, lors d’une rencontre avec le collège des cardinaux.
Note: va-t-il comme François nous inviter à ouvrir grand les frontières pour recevoir des millions de musulmans supplémentaire !
Aix en Provence (13). Un gendarme blessé par des tirs d’arme de guerre
Touché a plusieurs reprises au niveau des cuisses par des balles de calibre 7.62, il a été pris en charge par les secours et sa vie ne serait pas en danger.
Vers une 1 heure dans la nuit de vendredi à samedi, un gendarme en civil a été visé par des tirs d’arme de guerre alors qu’il rentrait à son domicile aixois.
À cette heure, les circonstances et le mobile de cette tentative d’homicide restent inconnues
Bordeaux : 500 voitures, 3000 personnes… Un rodéo «sauvage» stoppé par la police qui a fait usage de grenades lacrymogènes et de désencerclement après avoir été la cible de jets de projectiles
Un rodéo urbain rassemblant 500 voitures et près de 3000 personnes s’est tenu vendredi soir à Bordeaux, avant d’être stoppé et dispersé par une intervention des forces de l’ordre, a-t-on appris samedi auprès de la police. Deux policiers ont été très légèrement blessés au cours de l’intervention, qui n’a donné lieu à aucune interpellation
Le rassemblement, illégal, a eu lieu sur une avenue à l’extrême nord de la ville dans le quartier de Bordeaux-Lac, où les adeptes de «runs sauvages» ont pris l’habitude de se retrouver chaque fin de semaine. Les participants se sont dispersés aux alentours de minuit après une intervention de policiers, qui ont fait usage de grenades lacrymogènes et de désencerclement, après avoir été la cible de jets de projectiles, a indiqué la police.
Montpellier : un homme a continué à percevoirl’allocation de solidarité de sa mère, décédée en Algérie, pendant plus de trois ans. Plus de 40 000 euros de fraude
Le décès de sa mère, survenu en Algérie en 2019, n’avait pas été déclaré : pendant plus de trois ans et demi, son fils de 49 ans, qui avait procuration sur son compte bancaire, a continué à percevoir son allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa). Il a été condamné pour escroquerie par le tribunal correctionnel de Montpellier (Hérault). Le tribunal correctionnel a condamné le mis en cause à six mois de prison ferme, l’obligeant à verser, en guise de remboursement, 44 346 € et 1 200 € de frais de justice.
Le fils de la défunte, convoqué mardi 6 mai devant le tribunal correctionnel de Montpellier, ne s’est pas présenté à l’audience. C’est donc en son absence que les faits ont été jugés, la MSA (Mutualité Sociale Agricole) du Languedoc s’étant constituée partie civile.
L’affaire, développée par le président Gilles Maschio, débute en 2023 quand l’organisme soupçonne le décès de l’allocataire. Elle en obtient confirmation auprès de sa nièce. L’enquête d’un agent de contrôle assermenté révèle que la mort de la bénéficiaire n’a jamais été déclarée auprès de la mairie de Montpellier. Son compte n’étant pas clôturé, la MSA continuait à verser l’allocation.
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