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Les infos du 9 mars 2025
En direct, guerre en Ukraine :
l’armée russe a mené une offensive importante dans les régions frontalières de Koursk et de Soumy
Si la Russie a récupéré plus de deux tiers de ses territoires conquis par l’Ukraine dans l’oblast de Koursk depuis août, Kiev a nié toute percée russe majeure dans celui de Soumy, sur le territoire ukrainien.
Un accord sur les minerais ne suffira pas à convaincre les Etats-Unis de reprendre leur aide militaire en faveur de l’Ukraine, croit savoir NBC News
Selon la chaîne américaine NBC News, qui cite deux membres de l’administration américaine, Donald Trump a fait comprendre en privé à ses collaborateurs qu’un accord sur l’exploitation des minerais ukrainiens ne suffirait pas à relancer l’aide militaire de Washington et l’échange de renseignements.
Le président des Etats-Unis souhaite, selon elle, que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, « change d’attitude à l’égard des pourparlers de paix », notamment qu’il se dise prêt à faire des concessions territoriales à la Russie, qu’il prenne des mesures en vue de la tenue d’élections et, « éventuellement », qu’il renonce à ses fonctions.
Interrogé par la chaîne sur les exigences de Donald Trump, Brian Hughes, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, a, selon elle, répondu : « Comme l’a démontré le président Trump en lisant le message du président Zelensky [lors de son discours sur l’état de l’Union], les Ukrainiens ont fait des progrès. Avec les réunions qui se tiendront en Arabie saoudite la semaine prochaine, nous havons hâte d’assister à d’autres initiatives positives qui, espérons-le, mettront un terme à cette guerre brutale et à cette effusion de sang ».
Le commandant en chef des forces ukrainiennes dit avoir informé ses homologues français, allemand et britannique de l’évolution du front
Le général Oleksandr Sysrsky, commandant en chef de l’armée ukrainienne, dit avoir informé cette semaine ses homologues français, britannique et allemand de l’évolution de la situation militaire.
« J’ai fait le point sur l’évolution de la situation dans les zones de combat et discuté des besoins actuels des forces armées ukrainiennes en matière d’armement, d’équipement militaire, de munitions et d’autres fournitures essentielles », écrit-il sur Facebook.
« L’amiral [britannique] Sir Tony Radakin, le général [Français] Thierry Burkhard et le général [allemand] Carsten Breuer ont réaffirmé leur engagement à poursuivre leur soutien pratique à l’Ukraine, alors que nous défendons résolument les frontières orientales de l’Europe », poursuit-il.
« Défense aérienne, obus d’artillerie, véhicules blindés, formation militaire générale et spécialisée - sur ces questions comme sur d’autres, l’Europe reste fermement à nos côtés. »
L’armée ukrainienne fait état d’une tentative d’infiltration russe en direction de Soudja, dans l’oblast de Koursk
Des membres des forces spéciales russes ont tenté de prendre pied à la périphérie de Soudja, localité occupée de l’oblast russe de Koursk, en s’abritant dans un gazoduc, a confirmé samedi soir l’armée ukrainienne.
« Les forces ennemies ont été détectées à temps par les unités de reconnaissance aérienne des forces d’assaut aéroportées des forces armées ukrainiennes », assure l’état-major, qui dit avoir enrayé leur progression et leur infliger de lourdes pertes dans ce secteur.
Selon les blogueurs militaires russes Iouri Podoliaka et Deux majors, les membres des forces spéciales sont passées à l’intérieur du gazoduc et ont atteint Soudja, où de violents combats auraient lieu, ce qui n’a pas été confirmé.
Moscou annonce la prise d’un village de l’oblast de Donetsk
Le ministère de la défense russe a annoncé dimanche la prise de Kostiantynopil (🚩), localité de l’oblast de Donetsk située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Kourakhove.
La Russie dit s’être emparée d’un village de la région ukrainienne de Soumy
Le ministère de la défense russe a fait savoir dans un communiqué que ses forces avaient « libéré » dimanche le petit village de Novenke (📍), dans l’oblast de Soumy, près de la frontière russo-ukrainienne, lors d’une offensive transfrontalière dans le cadre des combats qui l’opposent aux troupes de Kiev dans son oblast de Koursk... lire la suite
Ce qu’il faut savoir, dimanche 9 mars à 5 h 45
- Selon le ministère de la défense russe, les forces russes ont repris trois villages à l’armée ukrainienne dans l’oblast de Koursk. De son côté, le Centre de lutte contre la désinformation ukrainien a démenti les allégations diffusées en ligne faisant état d’une percée des forces russes dans l’oblast de Soumy, dans le nord-est de l’Ukraine.
- Volodymyr Zelensky a fait état, dans un message sur X, d’une rencontre « très productive » à Kiev avec une délégation britannique. « Nous avons discuté des mesures communes susceptibles d’ouvrir la voie à la paix et d’accélérer le travail diplomatique », a ajouté le président ukrainien.
- Le président ukrainien a dévoilé la composition de la délégation qui doit rencontrer des représentants américains mardi en Arabie saoudite. Elle sera composée du conseiller de la présidence Andriy Yermak, du chef de la diplomatie, Andrii Sybiha, du ministre de la défense, Rustem Umerov, et du directeur adjoint du cabinet présidentiel, Pavlo Palissa. Volodymyr Zelensky se rendra aussi en Arabie saoudite, lundi, pour rencontrer le prince héritier Mohammed Ben Salman.
- L’Australie pourrait prendre part à une mission de maintien de la paix en Ukraine, a annoncé, dimanche, son premier ministre, Anthony Albanese, après un entretien, la veille, avec son homologue britannique, Keir Starmer. « Nos deux nations sont très claires quant à leur soutien à l’Ukraine », a-t-il martelé, assurant néanmoins « qu’il était encore trop tôt » pour discuter d’un déploiement des forces australiennes.
- Vingt civils ont été tués dans l’oblast de Donetsk dans des bombardements russes, dans la nuit de vendredi à samedi, selon les autorités locales. Pour Volodymyr Zelensky, ces frappes « montrent que les objectifs de la Russie restent inchangés ».
La France va mobiliser 195 millions d’euros pour l’Ukraine grâce aux intérêts des avoirs russes gelés
Cet argent va permettre d’envoyer des munitions à l’armée ukrainienne, a annoncé Sébastien Lecornu, le ministre de la Défense, samedi 8 mars.
La France va mobiliser, grâce aux intérêts des avoirs russes gelés, « une nouvelle enveloppe de 195 millions d’euros » pour aider l’Ukraine sur le plan militaire, a déclaré samedi 8 mars 2025 le ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Cette somme « permettra de livrer des obus de 155 mm ainsi que des bombes planantes AASM qui arment les Mirage 2000 ukrainiens », a-t-il expliqué au journal La Tribune Dimanche, évoquant aussi l’accélération des cessions de matériels anciens, « notamment de chars AMX-10RC et de véhicules de l’avant blindé (VAB) ».
Alors que la France et ses alliés européens tentent de s’adapter aux incertitudes géopolitiques et aux risques de conflit en Europe, Sébastien Lecornu a cité « les munitions et la guerre électronique » comme les « urgences » de la France dans les années à venir.
Drones et robots pour priorité
« Deuxième priorité, la dronisation et la robotisation des armées », a-t-il ajouté, pointant aussi l’intelligence artificielle et le spatial. Il a rappelé dans le même temps la nécessaire accélération des cadences de l’industrie de l’armement, citant l’objectif pour Dassault Aviation de « livrer quatre à cinq Rafale par mois à partir de 2026 » contre deux en 2024.
Le ministre veut aussi « multiplier par deux, entre 2024 et 2026, les cadences de production des bombes planantes AASM ». La cadence de production du missile antichar MBDA (Akeron MP) sera multipliée par deux l’année prochaine, après une première augmentation semblable.
« Des partenariats industriels » sont en cours de constitution entre des entreprises comme Thales ou EOS, « notamment sur les drones » et des groupes « de l’industrie civile, comme le secteur automobile », a indiqué Sébastien Lecornu.
Il a enfin dit croire en une « union nationale autour de nos forces armées », avec un véritable débat politique, mais à huis clos. « Certaines questions sont légitimes : où faut-il mettre l’argent ? Quelles alliances faut-il avoir ? Et surtout, comment qualifier la menace ? », a-t-il fait valoir, annonçant une réunion cette semaine des présidents des groupes parlementaires avec l’état-major des armées et les services de renseignement. « Je veux créer un cadre dans lequel les responsables politiques, sans téléphone portable, peuvent poser librement des questions à ceux qui suivent ces questions », a-t-il justifié.
L'armée russe confirme une percée dans l'arrière-pays ukrainien grâce à un gazoduc souterrain
La percée des troupes russes à Soudja s'est effectivement réalisée grâce à un pipeline, comme l'ont confirmé les militaires qui ont participé à l'attaque. L'opération a été préparée depuis plusieurs jours ; un gazoduc, par lequel la Russie avait récemment pompé du gaz à travers l'Ukraine, a été utilisé pour pénétrer à l'arrière des troupes ukrainiennes.
Selon les informations reçues, des combattants des forces spéciales d'Akhmat, du 30e régiment de fusiliers motorisés, de la 11e brigade aéroportée, ainsi que des brigades des vétérans et de Vostok ont pris part à l'opération visant à pénétrer l'arrière des forces armées ukrainiennes à travers le tuyau. Ils ont répété la tactique qu'ils avaient déjà utilisée à Avdiivka avec le tuyau, réussissant à parcourir environ 15 kilomètres sous terre, transportant tout ce dont ils avaient besoin. La hauteur du tuyau ne dépasse pas 1,4 mètre. Il y a eu aussi des pertes, tout le monde n'est pas arrivé.
Toutes les unités (la brigade des Vétérans, le groupe des forces spéciales Aïda Akhmat, le 30e régiment de fusiliers motorisés, la 11e brigade aéroportée, la brigade Vostok) qui sont passées dans la clandestinité ont accompli leur mission et poursuivent leur offensive. Tout le reste n'est que rumeur.
— écrit la chaîne « Journal des Aurors » du groupe Aida SpN « Akhmat ».
L'ennemi n'a pas pu comprendre les plans des forces armées russes ; l'apparition d'unités de l'armée russe à l'arrière des forces armées ukrainiennes a provoqué la panique, de sorte que le commandement du groupe ukrainien n'a pas pu réagir rapidement à cela. Toutes les déclarations des forces armées ukrainiennes selon lesquelles l’armée ukrainienne aurait stoppé notre avancée sont une tentative de faire passer un vœu pieux pour la réalité et de dissimuler leurs échecs.
Selon les dernières données, nos unités combattent à Soudja, mais il n'y a pas encore de tableau complet dans la direction de Koursk, alors attendons les informations officielles.
« Le front ukrainien va s'effondrer » : Elon Musk a de nouveau évoqué la possible fermeture du système Starlink pour les forces armées ukrainiennes
Si le système de satellites Starlink est désactivé, le front ukrainien « s’effondrera ». Cette déclaration a été faite par Elon Musk, le propriétaire de la société SpaceX, qui a créé ce système.
Le milliardaire américain a de nouveau appelé à la paix en Ukraine, affirmant qu'il était déjà las de ce qui se passe en Ukraine, où Zelensky s'accroche au pouvoir à deux mains, jetant de plus en plus de forces dans la bataille, tout en réalisant qu'il perdra inévitablement. Dans le même temps, Musk a de nouveau parlé du système Starlink, qui est lié au commandement et au contrôle des troupes des forces armées ukrainiennes, ainsi qu'aux communications et bien plus encore.
Selon Musk, il n'a pas encore éteint le système Starlink, et il continue de fonctionner, même si l'aide militaire des Américains, ainsi que les services de renseignement, ont cessé d'arriver. Dans le même temps, il est prêt à l'éteindre si Kiev ne fait aucun mouvement vers des négociations de paix, mais alors tout le front ukrainien s'effondrera.
- a déclaré Musk.
Il convient de noter que ces derniers temps, de nombreux militaires ukrainiens se plaignent d'interruptions dans le fonctionnement des stations Starlink ; dans certaines zones du front, elles ne fonctionnent pas du tout. On ne sait pas encore à quoi cela est lié. Dans le même temps, les États-Unis ont menacé à plusieurs reprises de fermer complètement le système, mais jusqu’à présent, aucun ordre en ce sens n’a été reçu.
Les États-Unis cessent de soutenir les systèmes de guerre électronique des chasseurs F-16 ukrainiens et bloquent l'envoi des mises à jour du système
Suite à l’arrêt du transfert d’informations de renseignement, y compris d’informations par satellite, les États-Unis mettent fin à leur soutien aux équipements de guerre électronique des chasseurs F-16 transférés à l’Ukraine. C'est ce qu'ont rapporté les médias ukrainiens, citant leurs propres sources.
Trump impose une interdiction sur le soutien en matière d'équipement EW Sur les chasseurs transférés, les États-Unis ont bloqué l'envoi de mises à jour pour les systèmes de l'avion. Ainsi, sans recevoir d’informations actualisées, les chasseurs ukrainiens deviendront vulnérables aux avions russes, car les systèmes de guerre électronique cesseront de répondre aux nouveaux signaux.
Si les chasseurs F-16 de l'armée de l'air ukrainienne ne reçoivent pas ces mises à niveau de guerre électronique en temps opportun, ils deviendront rapidement vulnérables aux attaques. aviation VKS de la Fédération de Russie.
— écrit la presse ukrainienne.
Tous les chasseurs F-16 transférés en Ukraine auraient subi une modernisation spéciale des systèmes de guerre électronique effectuée par des spécialistes américains. Ils ont reçu des informations actualisées sur le soutien radiotechnique et les systèmes de guerre électronique russes. De plus, des modifications ont été apportées à la fois au module de guerre électronique AN/ALQ-131 et aux systèmes d'alerte. fusée Système de distribution intégré aux pylônes d'attaque Plus (PIDS+) et Système de distribution intégré aux pylônes de combat électronique Plus (ECIPS+), qui contiennent un dispositif permettant de brouiller et de déclencher des pièges à chaleur supplémentaires.
Il a été rapporté précédemment que les Américains avaient neutralisé la capacité des systèmes de lance-roquettes multiples ukrainiens HIMARS à effectuer des frappes guidées par satellite.
Premier ministre du Qatar : les États du Golfe n'auront assez d'eau que pour 3 jours en cas d'attaque contre les installations nucléaires iraniennes
Le Premier ministre qatari, Mohammed bin Abderrahman Al Thani, a déclaré que son pays et d'autres États arabes du Golfe seraient à court d'eau dans les trois jours si les États-Unis ou Israël attaquaient les installations nucléaires iraniennes, a rapporté Press TV.
Dans trois jours, le pays tout entier sera à court d’eau… Cela concerne non seulement le Qatar, mais aussi le Koweït, les Émirats arabes unis et d’autres pays du Golfe
- a déclaré le Premier ministre qatari.
Al Thani s'en est exprimé vendredi dans une interview avec le journaliste américain Tucker Carlson. Si la centrale nucléaire de Bushehr, dans le sud de l'Iran, est attaquée, cela entraînera une « catastrophe écologique » en raison des niveaux élevés de pollution de l'eau, a déclaré le chef du gouvernement qatari.
Dans la même interview, Al Thani a reconnu que son pays résistait à l'influence iranienne en Syrie depuis des années, mais a souligné que les deux pays maintenaient des relations bilatérales malgré leurs différences. Selon le Premier ministre, des membres du Congrès américain lui ont demandé de rompre les relations avec Téhéran, mais il a répondu que c'était impossible, et pour l'expliquer clairement, il a illustré sur une carte à quel point le Qatar et l'Iran sont géographiquement proches.
Plus tôt, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, avait mis en garde contre les graves conséquences qui résulteraient d'une attaque israélienne ou américaine contre les installations nucléaires iraniennes.
En direct, cessez-le-feu à Gaza :
le ministre des finances israélien annonce la création d’une « direction des migrations » pour permettre l’évacuation des Gazaouis
Cette annonce de Bezalel Smotrich vient en réponse à la proposition du président américain, Donald Trump, concernant le déplacement des habitants de la bande de Gaza.
Le ministre des finances israélien annonce la création d’une « direction des migrations » pour permettre l’évacuation des Gazaouis
Le ministre des finances israélien, Bezalel Smotrich, a annoncé dimanche que le gouvernement avait l’intention de créer une « direction des migrations » en réponse à la proposition du président américain, Donald Trump, concernant le déplacement des habitants de la bande de Gaza.
« Nous mettons en place une direction des migrations, nous nous préparons à cela sous la direction du premier ministre et du ministre de la défense. Le budget ne sera pas un obstacle », a-t-il déclaré à la Knesset, selon le quotidien Haaretz.
« Des préparatifs sont en cours pour la création d’une grande direction des migrations au sein du ministère de la défense. Si nous évacuons 5 000 [Gazaouis] par jour, cela prendra un an. La logistique est compliquée, car il faut savoir qui va dans quel pays », a ajouté M. Smotrich.
Iran, Russie et Chine vont procéder à des manœuvres conjointes
L’Iran, la Russie et de la Chine vont procéder dans les prochains jours des manœuvres navales communes afin de « renforcer la sécurité régionale », annoncent les agences de presse iraniennes.
Les trois pays, qui contestent ce qu’ils qualifient d’hégémonie américaine, avaient déjà organisé ces dernières années des exercices similaires dans la région. Les manœuvres « débuteront mardi dans le port de Chabahar », situé dans le sud-est de l’Iran et qui donne sur la mer d’Oman, rapporte l’agence Tasnim, sans préciser leur durée. L’agence officielle Irna évoque de son côté la date de lundi pour le début de ces exercices baptisés « Cordon de sécurité-2025 ».
« Des navires de combat, de soutien des forces navales chinoises et russes, ainsi que des navires de l’armée iranienne et des Gardiens de la Révolution », l’armée idéologique iranienne, participeront aux exercices, d’après Tasnim. Ils se dérouleront le nord de l’océan Indien et ont pour but de « renforcer la sécurité dans la région, et d’élargir la coopération multilatérale entre les pays participants », ajoute l’agence.
Note : depuis 2019, les trois rois temporels ont mené cinq exercices militaires ensemble, celui de cette année sera le sixième. La majorité de ces exercices ont eu lieu dans le golfe d'Oman (Iran).
Les biens aisez subit seront desmis,
Par les trois freres le monde mis en trouble.
Cité marine saisiront ennemis,
Fain, feu, sang, peste, & de tous maux le double.
Les biens aisés seront subitement démunis,
Par les trois frères, le monde mis en trouble.
(la) Cité marine (de Toulon) seras saisi par ennemis,
Famine, feu, sang, peste, & de tous ces maux le double.
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Le Mans (72) : les combats clandestins dans le quartier des Sablons inquiètent les habitants
Prison ferme pour deux clandestins algériens, condamnés pour vols, pour avoir refusé de se rendre au consulat d’Algérie afin d’obtenir un laisser-passer consulaire
Deux sans-papiers algériens ont été condamnés à de la prison ferme en France pour avoir refusé de se rendre au consulat d’Algérie afin d’obtenir des laisser-passer consulaires. Le laissez-passer consulaire remplace le passeport et permet aux Algériens présents en France, même ceux qui ne possèdent pas le moindre document qui prouve leur nationalité, d’être expulsés vers leur pays d’origine.
Mohamed, un sans-papiers algérien arrivé en France en 2021, a été condamné pour vol. Pour l’expulser vers son pays d’origine, un laissez-passer consulaire est obligatoire. Les éléments de la police de l’air et des frontières (PAF) française lui ont demandé de les accompagner au consulat d’Algérie à Lille pour obtenir le fameux document. Mais le ressortissant algérien a refusé à deux reprises, fait savoir le média français La Voix Du Nord dans son édition du dimanche 9 mars. […]
Karim a lui aussi refusé d’aller au consulat d’Algérie à Lille pour obtenir un laissez-passer consulaire. Ce sans-papiers de 45 ans assure qu’il n’est pas algérien mais marocain. « Pourquoi j’irais au consulat d’Algérie alors que je suis marocain ? », a-t-il tempéré.
Le juge rappelle toutefois que les empreintes de ce sans-papiers « sont signalisées dans plusieurs procédures, avec différentes identités ». Il précise qu’en 2017, il a lui-même déclaré qu’il était algérien, explique le président d’audience. Avec une famille en France et une fille à Milan, Karim, soupçonné d’avoir été condamné à plusieurs reprises pour des vols, ne veut visiblement pas quitter l’Europe.
Versailles (78) : un multirécidiviste algérien en situation irrégulière vole un téléphone. Il avait été jugé quelques jours avant pour des faits de vols. Six mois de prison ferme et interdiction de territoire
Un Algérien de 31 ans en situation irrégulière, arrivé en France en 2012, condamné à quatre reprises, a été jugé par le tribunal de Versailles (Yvelines) ce vendredi 7 mars 2025 pour avoir volé un téléphone deux jours plus tôt. Déjà condamné devant le tribunal de Pontoise (Val-d’Oise) le 4 mars 2025, l’homme de 31 ans jugé par le tribunal de Versailles (Yvelines) ce vendredi 7 mars 2025 n’a pas attendu longtemps pour retrouver les bancs de la justice.
Il aperçoit un téléphone dans un sac. Impossible de résister. Il débranche les écouteurs, subtilise le cellulaire et trace sa route. Léger problème, des policiers en patrouille l’ont vu faire. Après s’en être rendu compte, l’homme tente d’annuler son méfait en rendant à sa victime le butin qu’il comptait vendre. « Je rigole, c’est bon, je rigole », tente alors l’homme pour se dédouaner.
Une étude relayée par Le Monde et France Inter suggère aux papas de ne pas jouer avec leurs fils car ils vont les pousser à “reproduire des schémas genrés”
A partir de l’étude Elfe, qui suit 18 000 enfants nés en 2011 en France et leurs parents, ils ont mesuré trois types d’investissement paternel différents : l’implication dans les tâches ménagères, l’implication dans les tâches parentales et le fait de jouer avec les enfants. Et ils ont mis en regard cet investissement avec le type de jeux que pratiquent les enfants, en se focalisant sur six activités particulièrement genrées, trois « de garçon » (jouer aux petites voitures, jouer à conduire et jouer au ballon) et trois « de fille » (pouponner, cuisiner, jouer à la poupée).
Pour résumer à gros traits, voici ce qu’ils ont observé : plus les pères sont investis dans les tâches ménagères (autant ou davantage que les mères), plus leurs petits garçons vont se tourner davantage vers des jeux « de filles ». C’est vrai aussi, dans une moindre mesure, pour les pères impliqués dans les tâches parentales (changer la couche, le bain, le repas, le coucher). Je précise ici que la participation des pères aux tâches n’a aucun impact sur les petites filles, qui ont de toute manière des jeux plus diversifiés – probablement parce que les contraintes de genre sont plus fortes chez les garçons, dès la prime enfance.
En revanche, lorsque ces pères jouent beaucoup avec leurs enfants, il se produit une tout autre conséquence : les petits garçons, comme les petites filles, se tournent davantage vers des jeux « de garçons ». Sans doute, m’explique Romain Delès, parce que « les pères jouent avec des profils de jeux masculins ». C’est-à-dire aux épées, au foot ou à la bagarre.
Donc Simon, lâchez immédiatement les Playmobil et la manette, et mettez-vous aux fourneaux ! C’est votre deuxième choix possible, et un bon moyen de détricoter la masculinité archétypale.
Note: La propagande des médias gauchistes devient de plus en plus inquiétante
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