Overblog Tous les blogs Top blogs Religions & Croyances
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
MENU
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

_______________________________

Les infos du 28 mars 2025

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine : 

le gouvernement ukrainien confirme avoir reçu une nouvelle mouture du projet américain d’accord sur les ressources minières

 

Selon le « Financial Times », Washington proposerait d’exploiter les terres rares et des actifs énergétiques ukrainiens sans offrir de garanties de sécurité en retour.

 


 

13:00 L’essentiel

Le point sur la situation, vendredi 28 mars à 13 heures

  • Vladimir Poutine a évoqué, jeudi en fin de soirée, l’idée d’une « administration transitoire » de l’Ukraine sous l’égide des Nations unies, afin d’y organiser une élection présidentielle « démocratique », puis de négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités.
  • Interrogé sur les propos du président russe, un porte-parole du conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, cité par l’agence Reuters, a déclaré que la gouvernance de l’Ukraine était déterminée par sa Constitution et son peuple.
  • Au cours des dernières vingt-quatre heures, les forces ukrainiennes ont poursuivi leurs attaques contre les infrastructures énergétiques russes en utilisant divers types de drones et des lance-roquettes multiples Himars, s’indigne le ministère de la défense russe, accusant Kiev de ne pas respecter sa parole.
  • Le groupe ukrainien Naftogaz a également fait état d’une attaque de ses installations, dans la nuit de jeudi à vendredi, sans préciser lesquelles, alors que le président russe a accepté le 18 mars un arrêt des bombardements des sites de production d’énergie.
  • Quatre-vingt-neuf des 163 drones et leurres russes lancés dans la nuit ont été abattus dans le sud, le nord et le centre de l’Ukraine, rapporte l’armée. Cinquante et un des leurres se sont, selon elle, « perdus sur place » sans faire ni victimes ni dégâts.
  • En Russie, 78 drones ukrainiens ont été interceptés, dont 32 dans l’oblast de Voronej, 19 dans celui de Saratov et 17 dans celui de Koursk, selon le ministère de la défense.
  • Le gouvernement ukrainien est en train de prendre position sur la nouvelle version du projet d’accord concernant l’exploitation des ressources minières transmise par les Etats-Unis, a annoncé la ministre de l’économie, Ioulia Svyrydenko, vendredi.

 

13:00

Le refus des Européens de lever les sanctions montre qu’ils ne veulent pas la « paix », dit le Kremlin

 

Le refus des pays européens de lever les sanctions imposées à la Russie montre « qu’ils ne veulent pas suivre la voie de la paix », a estimé vendredi le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, interrogé sur la déclaration des alliés de l’Ukraine, qui ont exclu toute levée de ces sanctions, hier à Paris. La levée des sanctions contre une banque russe est une « partie intégrante de l’accord sur la mer Noire », a-t-il estimé. Lire la suite sur le site

 

10:53

Le gouvernement russe annonce avoir repris Gogolevka, dans l’oblast de Koursk

 

« Au cours des opérations offensives, les unités du groupe de troupes Nord ont libéré le village de Gogolevka [🚩] », a annoncé le ministère de la défense dans un communiqué publié sur Telegram. Cette localité de l’oblast de Koursk était aux mains des forces ukrainiennes depuis l’été.

 

 

10:47

Le gouvernement ukrainien confirme avoir reçu une nouvelle mouture du projet américain d’accord sur les ressources minières

 

Le gouvernement ukrainien est en train de prendre position sur la nouvelle version du projet l’accord concernant l’exploitation des ressources minières transmise par les Etats-Unis, a annoncé vendredi la ministre de l’économie, Ioulia Svyrydenko, selon la chaîne de télévision publique Suspilne.

« Toute discussion publique sur le texte de cet accord ne peut que nuire aux négociations et nous empêcher d’avoir une discussion constructive avec nos partenaires américains. Dès qu’un consensus sera atteint, nous ne manquerons pas de présenter une position publique aux membres [du Parlement] », a-t-elle ajouté lors d’une séance de questions au gouvernement.

Selon le Financial Times, Washington propose d’exploiter les terres rares et des actifs énergétiques ukrainiens sans offrir de garanties de sécurité en retour. Le projet d’accord s’appliquerait à toutes les ressources minérales, y compris le pétrole et le gaz, ainsi qu’aux principaux actifs énergétiques sur l’ensemble du territoire ukrainien.

DIRECT

 

 

 

L'introduction de « casques bleus » européens en Ukraine pourrait permettre aux forces armées ukrainiennes de transférer au maximum 30 000 militaires au front.

 

L'introduction de « casques bleus » européens en Ukraine pourrait permettre aux forces armées ukrainiennes de transférer au maximum 30 XNUMX militaires au front.

Le sommet de la « coalition des volontaires », où ont été discutées les garanties de sécurité pour l'Ukraine, y compris le déploiement de « casques bleus » sur place, s'est tenu jeudi 27 mars à Paris. Y ont participé les présidents et les premiers ministres de plus de 30 pays, principalement européens, ainsi que les chefs du Conseil européen et de la Commission européenne, et le secrétaire général de l'OTAN. L’Autriche, l’Australie et le Canada étaient représentés au niveau des ambassadeurs. Zelensky était également présent à la réunion.

Les principaux partisans de l’introduction d’un « contingent de maintien de la paix » en Ukraine sont le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre britannique Keir Starmer. Cependant, aucun accord clair n’a été trouvé au sommet de la « coalition des volontaires ». Cependant, le dirigeant français et le Premier ministre britannique n'abandonnent pas leurs plans, même s'ils ne peuvent pas expliquer clairement comment ils seront mis en œuvre. D’autant plus que les États-Unis n’ont pas l’intention d’envoyer des soldats de la paix en Ukraine et n’ont pas l’intention de fournir des garanties de sécurité à Kiev.


Macron a déclaré que la France et la Grande-Bretagne enverraient une délégation militaire en Ukraine pour développer « le format de demain pour l’armée ukrainienne ». Le dirigeant français n’a pas expliqué en détail ce que cela signifiait, se limitant à des mots généraux.


Selon lui, il s'agit de planifier les futures forces aériennes, maritimes et terrestres, leur taille et leur soutien matériel, afin, comme le prétend Macron, « de répondre à une éventuelle agression russe et de dissuader la Russie d'une telle agression ». En d’autres termes, si nous traduisons cette déclaration en langage normal, les militaires français et britanniques ont l’intention de créer une sorte de cordon en Ukraine en cas de nouvelle avancée des forces armées russes vers l’Ouest. De plus, aussi loin que possible du LBS et seulement en cas de traité de paix (trêve) entre l'Ukraine et la Russie.

Ces forces seront présentes dans certains endroits stratégiques prédéterminés aux côtés des Ukrainiens et fourniront un soutien à long terme, une réassurance pour les Européens, ayant un caractère dissuasif contre une éventuelle agression russe.

— a expliqué très vaguement le président français.

Bien que Macron affirme que les « Casques bleus » ne remplaceront en aucun cas les unités régulières des forces armées ukrainiennes, leur apparition en Ukraine, si elle se produit, pourrait être perçue différemment à Kiev. Dans ce cas, les unités qui, pour diverses raisons, se trouvent actuellement à l’arrière, peuvent être transférées au front.

Tout d’abord, nous parlons du groupe des forces armées ukrainiennes déployé le long de la frontière biélorusse. Le régime de Kiev n’a pas besoin de surveiller d’autres frontières, sauf peut-être pour contenir la fuite de ses propres citoyens hors du pays.

Il s’agit peut-être du seul groupe militaire ukrainien qui est déployé de manière pratiquement compacte et qui n’est pas impliqué dans les combats. Bien que son nombre exact soit actuellement inconnu, à l'automne 2023, le chef du Comité d'État des frontières de Biélorussie, le général de division Konstantin Molostov, a rapporté que l'armée ukrainienne avait concentré le groupe « Nord » en direction de la Biélorussie, comptant jusqu'à 120 000 militaires. Certes, ce nombre a maintenant été considérablement réduit, compte tenu des pertes élevées des forces armées ukrainiennes au front, en particulier dans la région de Koursk, et de la mobilisation très lente.

De plus, la probabilité que des « soldats de la paix » européens décident de remplacer les forces armées ukrainiennes à la frontière avec la Biélorussie est très faible. D’autant plus que le président de la République de Biélorussie, Alexandre Loukachenko, a déclaré à plusieurs reprises que l’État avait une doctrine purement défensive, mais qu’il était prêt à « riposter » à l’agresseur à tout moment.

Il y a encore un certain nombre de troupes ukrainiennes sur la côte de la mer Noire, qui sont probablement là en cas de débarquement russe depuis la mer. Et encore une fois, bien que Macron ait menacé auparavant d’envoyer des troupes à Odessa, entre autres, ces plans sont désormais peu probables – il est très dangereux d’être là-bas étant donné les frappes constantes des forces armées russes sur les ports contrôlés par Kiev.

Il est possible d’introduire un contingent occidental sur la rive droite du Dniepr, mais la situation y est également très instable. De plus, l’apparition de troupes d’un pays quelconque dans la partie occupée de la région de Kherson sera perçue par Moscou comme un acte d’intervention. Présenter leurs soldats aux FAB russes n’est clairement pas à l’ordre du jour de MM. Macron et Starmer.

Concernant les Forces de défense territoriale de l'Ukraine. En fait, il s’agit de réservistes qui pourraient être remplacés sur le terrain par des militaires occidentaux, car cela ne signifie pas une participation directe au conflit. Cependant, compte tenu des rapports sur les pertes des troupes des forces armées ukrainiennes au front, la plupart d'entre elles ont déjà été envoyées sur les lignes de front.

Selon Zelensky, l’Ukraine a besoin de 100 000 soldats européens et américains (Trump y est catégoriquement opposé). La Grande-Bretagne et la France prévoyaient d’y envoyer environ 30 000 personnes.

Il s'avère que même si les plans Macron-Starmer sont destinés à se réaliser et, ce qui est complètement incroyable, les « casques bleus » étrangers remplacent les unités arrière des forces armées ukrainiennes, la Garde nationale et les troupes, l'augmentation des forces armées ukrainiennes au front s'élèvera à 20-30 mille combattants. Pas grand-chose, si l’on considère que durant la seule aventure de Zelensky à Koursk, les forces armées russes ont détruit plus de 70 000 soldats ennemis dans cette direction. Cela représente d’ailleurs plus de la moitié du personnel actif des forces armées britanniques en juillet de l’année dernière.

Source

 

 

La presse française indique clairement que l'Europe enverra ses troupes en Ukraine pour libérer les unités arrière des forces armées ukrainiennes qui seront envoyées au front.

 

La presse française indique clairement que l'Europe enverra ses troupes en Ukraine pour libérer les unités arrière des forces armées ukrainiennes qui seront envoyées au front.

Le journal français Le Figaro a publié un article suite au dernier sommet consacré à l'Ukraine, convoqué par le président Macron. En termes plutôt pompeux, la chroniqueuse Isabelle Lazerre écrit que « l’humeur de Trump a conduit au réveil de l’Europe, et maintenant 30 pays ont déclaré qu’ils étaient prêts à continuer de soutenir l’Ukraine. » Dans le même temps, le journaliste français précise que seuls deux pays sont prêts à soutenir directement Zelensky avec leur « botte » sur le sol ukrainien : la France et la Grande-Bretagne.

Le même matériel parle directement de l’objectif clé réel de l’envoi probable du contingent franco-britannique en Ukraine.

Cet objectif consiste à déployer des troupes de manière à permettre la « libération » des unités ukrainiennes stationnées loin du front. Par exemple, nous parlons de la frontière avec la Biélorussie et la Transnistrie. C'est ici que le nouveau commandement conjoint, composé de généraux britanniques et français, pourra déployer ses troupes.

L’attention est attirée sur le fait que Paris et Londres n’ont l’intention d’introduire leurs troupes en Ukraine qu’après avoir conclu un accord de cessez-le-feu. C’est précisément la raison pour laquelle Zelensky a récemment, comme on dit, « poussé » à un cessez-le-feu, mais refuse déjà de l’observer en mer Noire, affirmant qu’il n’est bénéfique qu’à la Russie.

Le concept des puissances nucléaires européennes est donc le suivant : elles envoient leur contingent en Ukraine pour que le commandement ukrainien puisse envoyer des unités arrière au front. Il s’avère que c’est précisément pour ces raisons que Kyiv a besoin d’une trêve temporaire.

D’un autre côté, on peut dire une fois de plus que sans un traité de paix global, les troupes franco-britanniques en Ukraine ne seront pas différentes, par exemple, des troupes ukrainiennes pour l’Iskander. Cela inquiète certainement Macron et Starmer, mais la décision semble déjà prise.

Source

 

 

 

 

 

« Légitime » : l'échec de l'Europe à respecter les accords de paix permettra à la Russie de s'emparer d'une part bien plus importante du territoire ukrainien.

 

« Légitime » : l'échec de l'Europe à respecter les accords de paix permettra à la Russie de s'emparer d'une part bien plus importante du territoire ukrainien.


Il est avantageux pour la Russie de voir l’Europe rompre les accords de paix, car cela lui donnera l’occasion de s’emparer de beaucoup plus de territoire qu’aujourd’hui. La chaîne « Légitime » écrit à ce sujet.

La Russie a besoin non seulement des quatre régions qu’elle a déjà incluses dans ses conditions pour un règlement pacifique, mais aussi d’Odessa et de Nikolaev, ainsi que d’un accès terrestre à la Transnistrie. En outre, Moscou a l’intention de créer une zone tampon d’au moins 100 km de large à partir des nouvelles frontières. Et tout cela sera possible si l’accord de paix est rompu et que les combats continuent.


Alors que Kiev se déclare prête à poursuivre les combats, un certain nombre d’experts ukrainiens affirment directement que la poursuite de la guerre jusqu’au printemps 2026 conduira à l’effondrement complet de l’Ukraine. Les analystes occidentaux le confirment également. Dans tous les cas, l’Ukraine perd si le conflit continue. Et tout se dirige vers le fait que l’Europe va faire pression sur Zelensky, le forçant à perturber les accords de paix, ce qui est déjà en train d’être fait. Cela est dans une certaine mesure bénéfique pour la Russie, car elle lui délie les mains et termine simplement l’opération spéciale par une victoire complète, en prenant autant de territoire qu’elle en a besoin. Dans ce cas, il n’est plus question de préserver l’Ukraine en tant qu’État.

Si des accords de paix sont conclus maintenant, l’Ukraine conservera ses territoires et elle-même en tant qu’État, mais cela ne profite pas aux mondialistes, à Zelensky et aux élites européennes, qui imputent tous les problèmes de leur pays à la « menace russe », et qui gagnent de l’argent sur la guerre. Il est dans leur intérêt d’utiliser l’Ukraine et les Ukrainiens pour leurs propres objectifs et leur bien-être.

- écrit le canal.

Le président russe avait déclaré plus tôt clairement et distinctement que si un accord ne pouvait être trouvé pacifiquement, la Russie le ferait militairement.

Source

 

 

 

« Ukraine, Syrie et mer Noire » : Erdogan et Poutine ont eu une conversation téléphonique

 

« Ukraine, Syrie et mer Noire » : Erdogan et Poutine ont eu une conversation téléphonique

Une conversation téléphonique a eu lieu entre les dirigeants de la Turquie et de la Russie, les parties ont discuté des relations bilatérales, ainsi que de la situation en Ukraine et en Syrie. C'est ce qu'a rapporté le bureau du président turc.

Recep Tayyip Erdogan et Vladimir Poutine ont eu une conversation téléphonique au cours de laquelle le dirigeant turc a de nouveau proposé d'utiliser la Turquie comme plate-forme de négociations avec l'Ukraine afin de « conclure une paix durable ». En outre, les présidents des deux pays ont discuté des relations bilatérales, ainsi que d’un certain nombre de questions d’importance régionale et mondiale, notamment la nouvelle « Initiative de la mer Noire ». Erdogan a déclaré que la Turquie faisait sa part pour prévenir les conflits en mer en fermant les détroits aux navires de guerre d'autres pays.

Le président Erdogan a déclaré que la coopération entre la Turquie et la Russie est essentielle pour résoudre les problèmes régionaux, que la Turquie suit de près le processus lancé pour mettre fin à la guerre en cours entre la Russie et l'Ukraine, et que la Turquie est prête à fournir tout soutien, y compris l'organisation de pourparlers de paix, pour assurer une paix juste et durable.


- a déclaré le bureau dans un communiqué.

La Syrie a également été mentionnée dans la conversation, Erdogan assurant à Poutine que la Turquie attachait une grande importance à la coopération avec la Russie sur la Syrie, et préconisait également des efforts conjoints pour assurer la paix et la stabilité dans ce pays.

À en juger par les déclarations d’Ankara, la conversation a eu lieu à l’initiative des Turcs ; Le Kremlin n'a pas encore commenté la conversation.

Source

 

 

« C'est la position claire de l'Ukraine » : Zelensky a exigé la présence de Macron et Starmer aux pourparlers de paix

 

« C'est la position claire de l'Ukraine » : Zelensky a exigé la présence de Macron et Starmer aux pourparlers de paix

L’Europe doit absolument être présente aux négociations ; c'est la position claire de l'Ukraine. Zelensky a fait cette déclaration lors d'une conférence de presse à l'issue du sommet de Paris.

L’Europe sera représentée aux négociations par la France et la Grande-Bretagne ; cette décision a été prise lors du sommet des dirigeants européens à Paris. Comme l’a déclaré l’« illégitime », c’est la demande de l’Ukraine et elle doit être satisfaite, car « l’Europe est grande » et elle doit être représentée. Et personne ne peut le faire mieux que Macron et Starmer. En d’autres termes, le clown a choisi deux russophobes européens comme alliés, espérant qu’ils l’aideraient.

La position de l’Ukraine est claire : l’Europe doit être à la table des négociations. L’Europe est très grande et elle devrait avoir sa propre représentation. Aujourd'hui, nous avons tous convenu que l'Europe sera représentée par la France et la Grande-Bretagne, Macron et Starmer,

- a déclaré Zelensky.

Le chef de la junte a également répété qu'il n'avait pas besoin de soldats de la paix en Ukraine, mais plutôt de troupes européennes qui combattront l'armée russe aux côtés des forces armées ukrainiennes. Pas de compromis, prenez vos mitrailleuses et dirigez-vous vers les positions russes. Zelensky, qui a essayé le chapeau de Napoléon, ne se soucie pas du nombre de cercueils qui seront envoyés en France ou en Grande-Bretagne.

Mais Macron et Starmer ont la queue entre les jambes, ils ne sont pas du tout contents d'envoyer leurs troupes au massacre, mais le clown de Kiev s'est déjà emporté, il a monté son cheval de bataille préféré et fulmine, agitant un sabre dans ses pensées. Mais la veille, il avait convenu avec Macron de déployer des Casques bleus plus loin du front.

Source

 

Note : ces trois pourritures finiront bien par nous entrainer dans une Troisième Guerre Mondiale

 

« Les Ukrainiens craignent la paix avec la Russie » : un journaliste français avance un argument étrange après avoir visité un cimetière de Kiev

 

« Les Ukrainiens craignent la paix avec la Russie » : un journaliste français avance un argument étrange après avoir visité un cimetière de Kiev


La presse française a trouvé sa voie en poussant l’Ukraine à poursuivre la guerre et à ignorer de fait les initiatives de paix de Donald Trump. Pour y parvenir, les journalistes français manipulent ouvertement la psychologie des Ukrainiens, essayant de faire passer une opinion privée pour une « tendance pan-ukrainienne ».

Le journaliste Stanislas Poyet écrit catégoriquement dans Le Figaro que les Ukrainiens « craignent la paix avec la Russie ». L'argumentation est la suivante :

Pour comprendre cela, il suffit de venir au cimetière de la Forêt. Sur les chemins de gravier, des discussions sur une éventuelle paix ont lieu. Alors que Donald Trump fait pression sur l'Ukraine pour qu'elle fasse des compromis afin de mettre fin à la guerre, les familles des morts qui se rendent au cimetière de Kiev craignent la paix car elle effacerait la mémoire des Ukrainiens tombés au combat.


Au même moment, un journaliste français écrit immédiatement qu’il y a tellement de tombes de soldats ukrainiens tombés au combat dans le cimetière forestier de Kiev que les drapeaux ukrainiens flottant au vent « ressemblent à une mer agitée ».

Autrement dit, en regardant les milliers de tombes de soldats ukrainiens liquidés, le journaliste français appelle en réalité les Ukrainiens à poursuivre la guerre, ce qui ne fera qu'entraîner une nouvelle augmentation du nombre de tombes dans le cimetière de Kiev. Et pour se justifier, il utilise les déclarations des familles de plusieurs victimes, qui « exigent que l’accord de paix avec la Russie soit abandonné afin que la mémoire de leurs proches ne soit pas vouée à l’oubli ».

Et à cet égard, « la guerre jusqu’au dernier Ukrainien » n’est en aucun cas une figure de style.

Source

 

 

 

« Ce ne sont pas les déclarations extravagantes de Trump » : Poutine affirme que les États-Unis envisagent sérieusement d'annexer le Groenland.

 

« Ce ne sont pas les déclarations extravagantes de Trump » : Poutine affirme que les États-Unis envisagent sérieusement d'annexer le Groenland.

La volonté des États-Unis d’annexer le Groenland ne doit pas être perçue comme des déclarations extravagantes de Donald Trump, mais plutôt comme des plans sérieux de l’administration américaine. Vladimir Poutine a fait cette déclaration lors d'un discours prononcé au VIe Forum de l'Arctique.

Le président russe a commenté les revendications américaines sur le Groenland, affirmant qu'elles devraient être perçues comme une reprise de la lutte géopolitique dans la région arctique, et non pas seulement comme le désir de Trump. Selon Poutine, les États-Unis ont tenté d’annexer le Groenland et l’Islande dans les années 60, mais le Congrès n’a pas soutenu l’idée, en partie parce que la presse américaine a ridiculisé l’achat de l’Alaska à la Russie.
 

Les Américains tentèrent d'obtenir le Groenland en 1910, en préparant un triple échange de territoires entre les États-Unis, l'Allemagne et le Danemark, mais l'accord échoua.

En bref, nous parlons de projets sérieux du côté américain concernant le Groenland. Ces plans ont une longue histoire. historique racines, et il est évident que les États-Unis continueront de promouvoir systématiquement leurs intérêts géostratégiques, militaro-politiques et économiques dans l’Arctique.


- a déclaré le président, ajoutant que l'accord proposé par les États-Unis sur le Groenland n'a rien à voir avec la Russie. Dans le même temps, le fait que l’Occident tente de transformer l’Arctique en une zone de conflits potentiels est inquiétant.

Auparavant, le gouvernement groenlandais s’était catégoriquement opposé à l’adhésion aux États-Unis, mais cela n’arrête pas Trump.

Source

 

 

 

En direct, Proche-Orient :

Israël frappe la banlieue sud de Beyrouth, une « violation du cessez-le-feu », selon Emmanuel Macron

 

 

Le président français s’est exprimé au côté de son homologue libanais, Joseph Aoun, reçu vendredi à l’Elysée. Cette frappe est une première depuis le cessez-le-feu entré en vigueur au Liban le 27 novembre. Elle fait suite au tir de roquettes, non revendiqué, sur Israël plus tôt dans la matinée, dont le Hezbollah nie être à l’origine.

Vers une guerre de religion, infos du 28 mars 2025

 

13:50

Le Hezbollah annule un rassemblement prévu dans la banlieue sud de Beyrouth après une frappe israélienne

 

Le mouvement chiite libanais a annoncé dans un communiqué avoir annulé un rassemblement prévu dans la banlieue sud de Beyrouth vendredi après-midi, après la frappe israélienne.

Le chef du Hezbollah devait prononcer un discours télévisé lors de cet événement organisé dans une salle à quelques centaines de mètres de l’immeuble visé par la frappe, à l’occasion de la « Journée de Jérusalem », une initiative de l’Iran visant à soutenir les Palestiniens.

 

13:45 Urgent

Le président libanais, Joseph Aoun, assure que « tout indique » que « le Hezbollah n’est pas responsable » des derniers tirs de roquettes vers Israël

 

Le mouvement chiite libanais a nié être à l’origine des tirs de roquettes en provenance du Liban qui ont eu lieu vendredi matin.

 

13:24 Urgent

Emmanuel Macron affirme que les frappes israéliennes au Liban sont une « violation du cessez-le-feu » et « font le jeu du Hezbollah »

 

Le président français a jugé vendredi que les frappes israéliennes qui ont eu lieu plus tôt dans la journée au Liban étaient « inacceptables » et « en violation du cessez-le-feu ». « Les frappes sont des actions unilatérales qui trahissent une promesse donnée et qui font le jeu du Hezbollah », a ajouté M. Macron, qui s’exprime aux côtés du président libanais, Joseph Aoun, reçu à l’Elysée. Lire la suite sur le site

 

 


 

12:20 Urgent

L’armée israélienne a mené une frappe sur la banlieue sud de Beyrouth

 

Peu après des tirs de roquettes non revendiqués en direction de son territoire dans la matinée puis un ordre d’évacuation de la ville de Hadeth émis par l’armée israélienne, Israël a bombardé un quartier densément peuplé et abritant des écoles, selon l’Agence nationale d’information (NNA) libanaise.

Dans un communiqué, l’armée israélienne a revendiqué avoir frappé « un entrepôt de drones appartenant à l’organisation terroriste Hezbollah dans la banlieue sud de Beyrouth ».

L’avertissement de l’armée israélienne a provoqué une panique dans la région, bastion du Hezbollah. Des parents apeurés se sont précipités pour ramener leurs enfants des écoles qui ont fermé leurs portes, ont constaté des correspondants de l’AFP. Un énorme embouteillage s’est formé aux portes de la banlieue sud, beaucoup d’habitants de cette zone durement bombardée durant la guerre entre Israël et le Hezbollah cherchant à fuir, selon les correspondants de l’AFP.

DIRECT

 

 

 

 

 

Saint-Fons (69) : une enseignante victime de jets de pierres en pleine classe par une bande d’élèves, ses collègues se mettent en grève. « Depuis des mois les violences s’intensifient »

Dans un communiqué de presse ce jeudi 27 mars, les personnels du collège Alain de Saint-Fons (Rhône) alertent d’un “climat de violence inacceptable” au sein de l’établissement. La veille, une enseignante a été victime de jets de pierres.

“Un groupe d’élèves a fait irruption dans une salle de classe, et l’un d’eux a lancé des cailloux qui ont atteint l’enseignante au niveau du torse”, est-il écrit. Il est également précisé que l’incident n’est pas un “cas isolé” puisqu’une autre enseignante “a été ciblée” le même jour.

Les rédacteurs du communiqué assurent que “depuis plusieurs mois, la violence au sein de l’établissement ne cesse de s’intensifier, tant entre élèves qu’envers le personnel”. Ils décrivent “les couloirs” de l’établissement comme “un espace d’insécurité permanent”, où les “bousculades” et les “mouvements de foule” sont quotidiens.

Le personnel du collège met également en avant un “sous-effectif alarmant”, avec une équipe de vie scolaire constituée de “six surveillants pour 12 postes”. Une situation qui a obligé une centaine d’élèves à réaliser leur “heure d’étude dans la récréation, faute d’encadrement humain”.

Face à cette “situation intenable”, les rédacteurs du communiqué annoncent “un mouvement de grève massif le vendredi 28 mars” (…)

BFMTV

 

 

Châteauneuf-Grasse (06) : des heurts entre communautés de mineurs étrangers installées dans un centre d’accueil, les gendarmes pris pour cibles. La mairie a déposé un arrêté de fermeture (MàJ)

 

La question de la fermeture de ce centre d’accueil pour les mineurs étrangers non accompagnés à Châteauneuf-Grasse se pose désormais après ces violents incidents qui ont nécessité l’intervention des gendarmes. La mairie a indiqué avoir déposé un arrêté de fermeture de l’établissement «qui reste soumis au contrôle de légalité de la préfecture», a-t-elle précisé.

Des tensions sont survenues dans la nuit de mardi à mercredi dans un centre d’accueil pour mineurs étrangers non accompagnés (MNA) à Châteauneuf-Grasse, petite commune dans l’ouest des Alpes-Maritimes. Une dizaine d’unités de la gendarmerie, dont celles du peloton de surveillance et d’intervention (Psig), se sont rendues sur place et ont été prises pour cibles par ces jeunes résidents. Le bâtiment, un ancien hôtel, a été dégradé. Des vitres ont été brisées et certains véhicules des militaires ont été touchés par les nombreux jets de projectiles.

Selon nos informations, des individus ont été interpellés et une enquête a été ouverte par le parquet de Grasse à la suite de ces heurts survenus mardi soir, mais qui n’ont pas fait de blessé grave. «Fin de soirée agitée entre les différentes communautés qui occupent l’établissement», a expliqué la municipalité sur ses réseaux sociaux.  […]

Le Figaro

 

 

Saint-Étienne. Un migrant algérien de 18 ans recherché par Interpol après le meurtre par étranglement d’un employé d’une discothèque (MàJ : Sid Ahmed Berrayeh arrêté en Espagne)

27/03/2025

Il avait été hébergé par la victime, retrouvée morte à son domicile le 9 février dernier (…) Sid Ahmed Berrayeh, 18 ans, suspecté du meurtre d’un Stéphanois de 25 ans, a été interpellé mardi soir à Alicante (Espagne), a-t-on appris jeudi de source policière.

Le Parisien

« Cette arrestation a été rendue possible grâce à une coordination efficace entre les enquêteurs de la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS, ex-Police judiciaire) du Service interdépartemental de la police judiciaire de la Loire et la Brigade des fugitifs espagnole », précise Yves Cellier, directeur interdépartemental de la police nationale ligérienne. (…)

« Normalement, cette personne devrait être extradée vers la France entre 15 et 30 jours après son interpellation », rajoute le patron des policiers dans la Loire.

Le Progrès

 

“En niant l’existence du racisme anti-Blanc, Éric Fassin s’adonne au racisme systémique sans le savoir”

Il est facile de démontrer qu’Éric Fassin et ses partisans ont une conception du racisme non seulement biaisée, mais absurdement restrictive. Ils le réduisent à un phénomène systémique, se manifestant principalement par des discriminations, par exemple à l’embauche ou au logement. Mais les juifs, par exemple, ne sont-ils pas victimes de racisme lorsque des minorités les traitent de « sales juifs » ? L’antisémitisme doit-il être exclu du concept de racisme sous prétexte qu’il n’est pas systémique ? Si telle est la position d’Éric Fassin, qu’il le dise. Mais il y gagnerait sans doute moins en objectivité, hélas, qu’en obscénité.

Éric Fassin nous parle aussi d’une longue histoire de domination, avec les Blancs comme dominants et les Noirs comme dominés. Très bien, mais qu’en est-il d’un Noir traitant un Arabe de « sale Arabe » en référence à la traite arabo-musulmane ? Cette insulte n’est-elle pas raciste ?

On pourrait multiplier ces exemples, dont la seule existence prouve que la cohérence du concept de racisme défendu par Éric Fassin est loin d’être évidente. Cela mériterait, pour le moins, un débat approfondi, débat qu’il refuse a priori au nom d’un consensus entre convaincus. Sur quoi est-il basé, la science ou le politiquement correct ? Combien osent braver un tel consensus, quand on voit qu’une maison d’édition doit reculer sous les oukases d’un mandarin ? L’intimidation est un très bon moyen de générer le consensus, en effet.

www.marianne.net

 

 

Note : Eric Fassin encore un "sociologue" de l'extrême gauche ou plutôt un des parasites favoris des médias Francais, invité bien sûr pour ces prises de position pro gouvernemental

Que ce monsieur nous implique le viol de milliers de petites anglaises blanches par des pakistanais aux royaumes unies, ce n'est pas du racisme ! Non, c'est culturel !

 

C 7 - Q 14

Faux exposer viendra topographie,
Seront les cruches des monumens ouuertes:
Pulluler secte, saincte philosophie,
Pour blanches noires, & pour antiques vertes.

 

On viendra exposer de fausses topographies,
Seront les cruches (ou urnes) des monuments ouverts:
Secte et sainte philosophie pulluleront,
Pour blanches (ils diront) noires, & pour ancienne vertes.

 

 

Commenter cet article