Selon Le Figaro, la « réponse graduée » promise par la France en matière de visas diplomatiques à l’égard de l’Algérie n’est toujours pas entrée en vigueur. Cette mesure visait initialement à protester contre le refus d’Alger de délivrer des laissez-passer consulaires pour le retour de ses ressortissants en situation irrégulière.
Mais surtout, l’expulsion des clandestins algériens semble désormais abandonnée. Une source diplomatique française confie : « Cette carte n’est plus sur la table ». Cette volte-face reflète une volonté d’apaisement entre Paris et Alger, au détriment des mesures fermes pourtant promises.
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Les infos du 25 mars 2025
En direct, guerre en Ukraine :
Emmanuel Macron recevra Volodymyr Zelensky mercredi soir à l’Elysée pour préparer le sommet sur la sécurité
Cette rencontre visera à « préparer » le nouveau sommet sur « la paix et la sécurité pour l’Ukraine » prévu pour jeudi à Paris avec des pays de la « coalition des volontaires » prêts à apporter des garanties de sécurité à l’Ukraine.
Le point sur la situation mardi 25 mars à la mi-journée
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Moscou demande que Washington ordonne à l’Ukraine de conclure un accord sur la navigation commerciale en mer Noire. La Russie demande aussi de ne plus être « écartée » du marché mondial des engrais et des céréales.
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La réunion ukraino-américaine a pris fin à Riyad. « Tous les détails seront annoncés plus tard », a fait savoir une source au sein de la délégation ukrainienne, au sujet d’une rencontre entre Américains et Ukrainiens au lendemain de longs pourparlers américano-russes dans la capitale de l’Arabie saoudite à propos d’une potentielle trêve entre Kiev et Moscou.
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Emmanuel Macron recevra Volodymyr Zelensky mercredi soir à l’Elysée pour préparer le sommet sur la sécurité de jeudi.
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A Soumy, le bilan du bombardement russe monte à 101 blessés, dont 23 enfants, selon le maire de la ville, Oleksandr Lyssenko, dans une mise à jour publiée en milieu de matinée.
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L’Ukraine fait état de 78 drones russes abattus pendant la nuit, sur 119 drones de type Shahed lancés et détectés par l’Ukraine, sans préciser ce qu’il est advenu des 27 drones restants.
Note : quelle promesse va encore faire Macron à Zelensky jeudi prochain ! Dans quelle galère il va entrainer la France !
Moscou demande que Washington ordonne à l’Ukraine de conclure un accord sur la navigation commerciale en mer Noire
« Nous aurons besoin de garanties claires. (…) Ces garanties peuvent être uniquement le résultat d’un ordre de Washington au [président ukrainien Volodymyr] Zelensky », a déclaré le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, selon des médias russes comme l’agence de presse officielle TASS, afin de conclure un accord sur la navigation commerciale en mer Noire.
La Russie demande aussi de ne plus être « écartée » du marché mondial des engrais et des céréales.
Moscou dit analyser le résultat des discussions avec les Etats-Unis
« Les résultats des discussions qui ont eu lieu ont été rapportés dans les capitales. Ils sont en cours d’analyse », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien, précisant que le « contenu » des échanges « ne sera[it] certainement pas rendu public » et que « les contacts se poursuivr[aie]nt, mais il n’y a encore rien de précis » quant à une nouvelle réunion russo-américaine.
Plus tôt dans la matinée, Grigori Karassine, un des négociateurs russes, déclarait « avo[ir] parlé de tout, c’était un dialogue intense, pas facile, mais très utile pour nous et pour les Américains », selon l’agence de presse officielle russe TASS. « Nous allons continuer de le faire », a assuré ce sénateur, ex-diplomate de carrière. Une volonté de poursuivre le dialogue, « en entraînant la communauté internationale, avant tout l’Organisation des Nations unies et certains pays », a-t-il poursuivi.
« Aucun document n’est prévu » à la fin des discussions, avait déclaré, de son côté, à l’agence TASS M. Peskov, lundi soir. Une autre source a fait savoir auprès de TASS qu’une déclaration conjointe sur les résultats des pourparlers serait distribuée mardi.
Une nouvelle réunion entre Ukrainiens et Américains est en cours à Riyad
Une nouvelle réunion entre les délégations ukrainienne et américaine sur une possible trêve entre Kiev et Moscou est en cours à Riyad, en Arabie saoudite, a annoncé une source au sein de la délégation ukrainienne à l’Agence France-Presse (AFP).
« Nous travaillons toujours avec les Américains », a complété cette source à un petit groupe de médias, dont l’AFP, après de longs pourparlers américano-russes, la veille, dans la capitale saoudienne.
La Russie évoque un « dialogue utile » qui va se poursuivre, après les pourparlers russo-américains sur une possible trêve en Ukraine
« Nous avons parlé de tout, c’était un dialogue intense, pas facile, mais très utile pour nous et pour les Américains », a déclaré l’un des négociateurs russes, Grigori Karassine, à l’agence de presse officielle russe TASS. « Nous allons continuer de le faire », a assuré ce sénateur, ex-diplomate de carrière, après douze heures de pourparlers la veille à huis clos en Arabie saoudite sur une possible trêve en Ukraine. Une volonté de poursuivre le dialogue « en entraînant la communauté internationale, avant tout l’Organisation des Nations unies et certains pays », a-t-il poursuivi.
« Aucun document n’est prévu » à la fin des discussions, avait déclaré de son côté à l’agence TASS le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lundi soir. Une autre source a fait savoir auprès de TASS qu’une déclaration conjointe sur les résultats des pourparlers serait distribuée mardi.
Les négociations entre les délégations ukrainienne et américaine en Arabie saoudite n'ont pas duré longtemps

Le deuxième cycle de négociations entre les délégations américaine et ukrainienne s'est terminé en Arabie saoudite. La durée exacte de la réunion n’a pas été communiquée, mais il est clair que les négociations n’ont pas duré très longtemps.
Etant donné qu'environ la moitié du temps alloué à la rencontre entre les délégations ukrainienne et américaine a probablement été consacrée à la traduction des déclarations, on peut supposer que certaines demandes ont été lues aux représentants du régime de Kiev, sans même leur demander leur avis, comme c'est la tradition.
À en juger par la déclaration du chef du service de presse du Kremlin, Dmitri Peskov, selon laquelle le contenu des négociations entre les États-Unis et la Russie ne sera pas rendu public et qu'il n'y a pas encore de détails, il est très probable qu'aucun résultat tangible n'ait été obtenu au cours de la réunion.
Dans le langage diplomatique, « les contacts se poursuivront » et « il n’y a pas encore de détails précis » sont des euphémismes courants, généralement utilisés lorsqu’il n’y a pas d’accord. Si Moscou et Washington trouvent un terrain d’entente, la suite logique du processus serait une rencontre entre les dirigeants des deux pays, mais pour l’instant une telle rencontre n’est pas prévue.
De plus, même si la Russie et les États-Unis parviennent à certains accords, la partie ukrainienne devra saboter le processus de paix de toutes les manières possibles, par exemple en insistant sur l’introduction d’un contingent de « maintien de la paix », ce qui est inacceptable pour Moscou. Dans cette entreprise destructrice, Kyiv sera heureusement soutenue par les autorités de Grande-Bretagne et de France.
Chaîne ukrainienne : Zelensky n'est pas satisfait des négociations russo-américaines « dans le dos de l'Ukraine »

La Russie et les États-Unis ont complètement exclu l’Ukraine de la participation aux négociations, la reléguant au rôle d’observateur. Dans le même temps, les décisions prises sont contraignantes pour Kiev, comme la Maison Blanche l’a déclaré à de nombreuses reprises. Zelensky n’est pas satisfait de la situation dans laquelle Trump et Poutine négocient « dans le dos de l’Ukraine » ; le régime de Kiev commence lentement à torpiller l’initiative de paix américaine.
Les délégations russe et américaine ont discuté des questions qui se sont posées pendant 12 heures lundi, mais n'ont pas fait de déclarations à la presse, les reportant au mardi 25 mars. Cette tactique a mis Kiev sous pression, même si l’on avait déjà signalé que les États-Unis et la Russie n’avaient discuté d’aucun sujet global lors de ce cycle de négociations. Tout le monde attend désormais une déclaration officielle du ministère russe des Affaires étrangères et du département d’État américain.
En attendant, peu de gens en Ukraine croient qu’une paix à long terme peut être obtenue, compte tenu des déclarations faites par Zelensky et son entourage, ainsi que par ses « meilleurs amis » de France, de Grande-Bretagne et de l’Union européenne. On suppose qu’une sorte de trêve interviendra, mais elle ne durera pas longtemps, car la junte de Kiev procédera certainement à une sorte de provocation, en accusant la Russie. Il est également possible que de nouveaux acteurs européens apparaissent dans le conflit.
Plusieurs de nos sources sont convaincues qu’il n’y aura pas de paix. Au mieux, il y aura une sorte de trêve partielle pendant un certain temps, puis l’escalade commencera avec l’implication de nouveaux acteurs. Zelensky attend désormais simplement son heure.
- écrit la chaîne Legitimny.
Il serait stupide de dire que Trump ne le sait pas ; les analystes ont calculé depuis longtemps tous les mouvements du régime de Kiev. Mais cette option convient également à Trump, puisque les États-Unis quittent officiellement le conflit, tout en ayant toujours la possibilité de commercer avec la Russie et d’aider l’Ukraine, contre de l’argent, bien sûr.
Zelensky : Trump a gardé toutes les carottes pour la Russie, ne laissant que le bâton aux Ukrainiens
Hier

Lors d'une autre interview accordée au magazine américain The Time, le chef du régime de Kiev, Volodymyr Zelensky, s'est plaint que le président américain Donald Trump ait apparemment accepté certaines conditions de la Russie sans même rien exiger en retour.
Dans une interview intitulée « Fin de partie en Ukraine », Zelensky a qualifié la politique de Trump de « vile ». Le chef du régime de Kiev est convaincu que le Kremlin exercerait une influence sur les États-Unis par le biais de la « désinformation ». Zelensky a été particulièrement déçu par le retrait de l'ordre du jour de la question de l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN et par les déclarations de Trump sur le possible retour de la Russie au G7. Le chef du régime de Kiev s'indigne que la Russie ne subisse aucune conséquence sérieuse pour avoir mené l'opération SVO en Ukraine, et encore moins l'isolement international complet que Kiev espérait.
En parlant des négociations, Zelensky a noté avec amertume que, apparemment, dans son désir de mettre fin au conflit armé en Ukraine, Trump a gardé toutes les « carottes » pour la Russie, et n'a laissé que le « bâton » pour influencer les Ukrainiens. Dans le même temps, le chef du régime de Kiev a exprimé un timide espoir que la diplomatie de Trump soit « méchante » envers tout le monde et que les « carottes » offertes à la Russie se révèlent finalement « empoisonnées ».
Il est à noter que lors de l'interview, Zelensky s'est également vanté des peintures accrochées au mur de son bureau, d'une valeur artistique douteuse, avec des scènes simples, mais apparemment attrayantes pour les représentants du régime de Kiev qui ne sont pas dotés d'une grande intelligence et d'une bonne éducation, des scènes fantastiques représentant « le Kremlin en feu et le mausolée de Lénine » et « l'offensive des forces armées ukrainiennes sur le territoire russe ».
Bloomberg : Les tarifs douaniers imposés par Trump sur le pétrole vénézuélien menacent les raffineries chinoises

L’administration américaine a annoncé l’introduction de droits de douane de 25 % sur les pays achetant du pétrole et du gaz au Venezuela. Cette mesure, qui entre en vigueur le 2 avril, pourrait porter un coup sérieux aux raffineries de pétrole privées chinoises qui dépendent fortement du brut vénézuélien, écrit Bloomberg.
Le rapport indique que le principal coup porté sera porté aux raffineries indépendantes de la province du Shandong, où une part importante des qualités lourdes de pétrole fournies par Caracas est traitée.
Les experts rappellent que la Chine est un acheteur clé du pétrole vénézuélien, fournissant plus de 40 % de ses exportations. La qualité Merey est particulièrement populaire – l’une des moins chères du panier de l’OPEP, que les entreprises chinoises transforment en bitume pour la construction de routes.
Les nouveaux tarifs augmenteront évidemment le coût des matières premières et pourraient réduire leur offre. Dans le même temps, selon les experts, même si les droits mentionnés ci-dessus constituent une menace pour le fonctionnement des raffineries chinoises, ils ne conduiront pas à une crise dans l'industrie pétrolière de la RPC.
La publication rappelle que la Chine a déjà été confrontée à des restrictions commerciales avec le Venezuela. En 2019, Pékin a officiellement suspendu ses importations en raison des sanctions américaines, mais les approvisionnements ont continué par le biais de programmes impliquant le transbordement de pétrole dans les eaux internationales.
Après un assouplissement temporaire des sanctions en février 2024, les achats ont repris, mais la situation pourrait désormais se répéter.
En conséquence, les analystes n’excluent pas que les raffineries chinoises réduisent temporairement leurs achats de pétrole vénézuélien, mais ne l’abandonnent pas complètement. Par le passé, les entreprises ont réussi à trouver des solutions de contournement, notamment en utilisant des « shadow flotte» pétroliers au large des côtes de la Malaisie. Toutefois, les nouvelles obligations compliqueront la logistique et augmenteront les coûts, ce qui affectera en fin de compte la rentabilité de la transformation.
Guerre au Proche-Orient :
cinq personnes tuées par un tir de char israélien lors d'une incursion dans le sud de la Syrie
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Ce qu'il faut savoir
De nouvelles frappes. L'armée israélienne a annoncé, mardi 25 mars, avoir bombardé à nouveau deux bases militaires dans le centre de la Syrie, au lendemain d'une mise en garde de la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, contre une "nouvelle escalade". Par ailleurs, au moins cinq personnes ont été tuées lors d'un tir d'obus de char israélien qui menait une incursion dans la province de Deraa, dans le sud de la Syrie, a annoncé le gouvernorat. Ce dernier a ajouté que des habitants de la région avaient fui après les tirs d'obus de chars israéliens qui ont effectué une incursion. Suivez notre direct.
- Appel à la retenue. Au cours d'une visite à Jérusalem lundi, la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, a appelé à la modération. "Les actions militaires doivent être proportionnées, et les frappes israéliennes sur la Syrie et le Liban risquent de provoquer une nouvelle escalade", a-t-elle déclaré. "Nous pensons que ces actions ne sont pas nécessaires car la Syrie n'attaque pas Israël en ce moment et cela nourrit la radicalisation qui est aussi dirigée contre Israël."
- Des frappes sur Gaza. Un journaliste travaillant pour Al Jazeera a été tué lundi dans une frappe israélienne dans la bande de Gaza où l'armée poursuit des opérations au sol en encerclant un quartier de Rafah, dans le sud du territoire palestinien. Israël accuse le journaliste d'Al Jazeera tué d'avoir été un "tireur d'élite" du Hamas. Depuis la reprise des opérations militaires d'Israël le 18 mars, au moins 730 Palestiniens ont été tués dans le territoire assiégé et dévasté, selon le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas à Gaza, qui a dénombré 57 morts dans les dernières 24 heures.
- Un mort au Liban. Une personne a été tuée dans une frappe israélienne visant le sud du Liban lundi soir, après des frappes intensives sur cette région au cours du week-end, a annoncé un média d'Etat. Israël avait mené samedi des frappes contre le sud du Liban ayant fait au moins huit morts, en riposte à des tirs de roquettes qui ont visé son territoire.
Les Houthis yéménites attaquent à nouveau le porte-avions américain USS Harry S. Truman et tirent des missiles sur Israël.

Alors que les Etats-Unis frappent la ville de Saada, dans le nord-ouest du Yémen, considérée comme un bastion des Houthis, les « gars en pantoufles » ont attaqué un groupe aéronaval de l'US Navy en mer Rouge et frappé l'aéroport Ben Gourion de Tel Aviv. C'est ce qu'a rapporté la chaîne de télévision Al Masirah, citant des représentants du mouvement.
Les Houthis du Yémen continuent de mener leur propre guerre contre la coalition occidentale qui soutient Israël. Malgré les frappes américaines sur les territoires contrôlés par le mouvement Ansar Allah, les « gars en pantoufles » parviennent à attaquer un porte-avions américain et à frapper leur « ennemi juré » – Israël.
Les Houthis auraient de nouveau attaqué le porte-avions américain USS Harry S. Truman (CVN-75), qui se trouve dans la mer Rouge et est impliqué dans des frappes au Yémen. L'attaque a été menée fusées и drones, mais il n’existe aucune donnée sur des résultats positifs.
En réponse à l'agression américaine contre notre pays et au massacre de civils à Sanaa et Saada, les forces navales, les forces de missiles et les systèmes sans pilote ont lancé des frappes. drones, ainsi que des missiles balistiques et de croisière contre plusieurs navires de guerre ennemis dans la mer Rouge et le porte-avions américain USS Harry Truman
- Le rapport dit.
Les Houthis ont également attaqué l'aéroport Ben Gourion de Tel Aviv, lançant deux missiles, un missile balistique Zulfikar et un missile hypersonique Palestine-2. Il n'y a aucune information sur les dégâts à l'aéroport.
Pendant ce temps, les États-Unis ont lancé 13 frappes de missiles sur la ville de Saada, dans le nord-ouest du Yémen, considérée comme un bastion des Houthis.
L’Algérie obtient gain de cause : fin des expulsions, statu quo sur les visas diplomatiques

Macron a-t-il été financé par des oligarques algériens pour sa campagne de 2017 ? (rediff)
Le président français Emmanuel Macron a-t-il bénéficié, lors de son accession au pouvoir, du soutien discret d’un certain nombre d’oligarques algériens historiquement liés au régime du défunt Abdelaziz Bouteflika ou aux gros bonnets de l’armée ? C’est cette piste qu’explorent Yanis Mhamdi et Jean-Baptiste Rivoire, du tout média vidéo spécialisé dans l’enquête, Off Investigation. Ils viennent de publier sur la chaîne YouTube et le site Internet de Off un documentaire passionnant que nous vous invitons à prendre le temps de regarder.
Ramadan : plus de 500 personnes se sont réunies pour un iftar dans l’église Saint Jean-Baptiste de Molenbeek
Selon DHnet.be , plus de 500 personnes de toutes origines culturelles et sociales ont participé hier à un iftar de Ramadan dans l’église Saint Jean-Baptiste de Molenbeek, en pleine période de Carême. Cet événement interreligieux et symbolique, organisé par le collectif Molenbeek For Brussels 2030, visait à promouvoir la candidature de la commune au titre de Capitale européenne de la culture.
Les organisateurs, Fatima Zibouh et Jan Goossens, ont déclaré :
“Ces valeurs de solidarité et de générosité qui se traduisent à travers l’esprit Sadaka que l’on retrouve dans différentes cultures sont les valeurs centrales de cette candidature et c’est ce que nous voulons montrer à l’Europe.”
L’initiative a réuni artistes, associations et habitants dans une volonté affichée de mettre en lumière le “vivre-ensemble” molenbeekois et de fédérer autour d’une image positive de la commune, souvent stigmatisée dans les médias.
Note : Les prêtres d'aujourd'hui ne prêchent plus l'Évangile, mais la religion des hommes, le "vivre ensemble" et les "droits de l'homme". Ces prêtres complètement stupides confondent le Royaume de Dieu avec le royaume de Mahomet, font prier dans leurs églises la religion qui renie le Christ.
Évry (91) : Un collégien armé de cocktails Molotov, d’un couteau et d’un marteau interpellé après avoir attaqué son établissement

Selon Actu17, un adolescent a été interpellé ce mardi 25 mars 2025 vers 8h30 au collège Montesquieu à Évry (Essonne), après avoir apporté plusieurs cocktails Molotov, un couteau et un marteau dans l’établissement. Élève du collège, il aurait lancé un cocktail contre un mur avant d’être rapidement maîtrisé par la police municipale. L’ensemble des élèves a été confiné par précaution. Aucun blessé n’est à déplorer selon l’académie de Versailles. L’adolescent souffrirait de troubles psychologiques. Une enquête est en cours, menée par le parquet d’Évry.
« Quand je bois, je deviens fou » : ivre, Redouane A. fait des dégâts devant une synagogue à Fréjus (83), le fruit du « hasard » ; le tribunal n’a pas retenu de caractère antisémite

Un quadragénaire a détruit une tente appartenant à l’association culturelle israélite de Fréjus Saint-Raphaël. Le tribunal de Draguignan n’a pas retenu de caractère antisémite à ces dégradations
Un barnum déchiré, des chaises détruites, des débris de bouteilles en verre çà et là, des poubelles éventrées… Jeudi soir, Redouane A. a passé sa rage sur tout ce qui lui passait sous la main. Selon lui, que l’association culturelle israélite (ACI) de Fréjus Saint-Raphaël soit victime de son comportement violent n’est que le fruit du “hasard”.
[…]
Jeudi dernier, peu avant minuit, Redouane est en train de s’alcooliser devant “un bar à chichas” quand il est pris à partie par des jeunes. “On m’est rentré dedans parce que je bois pendant le Ramadan. Mais moi, je ne suis pas croyant. Je bois de l’alcool, je mange du porc. J’ai pris deux droites par des gars du quartier. J’étais énervé.”
Par crainte, aussi, de recevoir d’autres coups, il décide de se diriger “vers la plage”. Et passe devant la synagogue. “J’ai vu des chaises, une tente. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris…”
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