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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 15 mars 2025

 

 

 

Guerre en Ukraine :

"Nous n'allons pas attendre que Vladimir Poutine agisse ou réagisse", martèle Keir Starmer

Vers une guerre de religion, infos du 15 mars 2025

Le Premier ministre britannique s'est exprimé samedi après une réunion virtuelle avec quelque 25 pays.

Ce qu'il faut savoir

Le Premier ministre britannique a pris la parole, samedi 15 mars, à l'issue d'un sommet en visioconférence avec quelque 25 pays, dont la France et l'Ukraine. "Nous n'allons pas attendre que Vladimir Poutine agisse ou réagisse", a martelé Keir Starmer, selon qui il faut "s'accorder sur une paix durable", avec un "plan solide". Les responsables militaires des pays alliés de l'Ukraine se réuniront jeudi au Royaume-Uni pour concrétiser leurs plans de maintien de la paix en cas de trêve avec Moscou, a-t-il fait savoir.

Avant cette réunion, Keir Starmer a également dit que le président russe devra "venir à la table" des négociations "tôt ou tard". "J'ai pris la parole devant les dirigeants européens en déclarant que le chemin vers la paix devait être inconditionnel. Et si la Russie s'y oppose, il faudra exercer une forte pression jusqu'à ce qu'elle l'accepte. Moscou ne comprend qu'une seule langue", a écrit Volodymyr Zelensky sur X. Suivez notre direct.

Pas d'encerclement de Koursk, selon Volodymy Zelensky. Le président ukrainien a démenti samedi tout encerclement des troupes de Kiev dans la région russe de Koursk. Plus tôt dans la journée, Moscou a annoncé avoir repris deux nouveaux villages dans ce territoire, occupé depuis l'été dernier par les forces ukrainiennes et où les troupes russes ont réalisé d'importantes avancées au cours des derniers jours. Selon le ministère de la Défense, il s'agit des villages de Zaolechenka et Roubanchtchina. 

Des drones abattus de part et d'autre durant la nuit. La Russie a affirmé avoir abattu 126 drones ukrainiens dans la nuit de vendredi à samedi, principalement au-dessus de ses régions de Volgograd et de Voronej. L'Ukraine a aussi annoncé avoir neutralisé 130 drones russes sur tout le pays.

Vladimir Poutine exhorte les Ukrainiens à se rendre. Le président russe a appelé vendredi les soldats ukrainiens à déposer les armes dans la région de Koursk. S'ils s'exécutent, "ils se verront garantir la vie", a certifié Vladimir Poutine, qui s'est dit "sensible à l'appel du président Trump" à ce sujet. Le président américain a en effet appelé son homologue russe à "épargner la vie" de "milliers de soldats ukrainiens" qui sont selon lui "complètement encerclés par l'armée russe", sans préciser le lieu de cet encerclement, ni la source de ces affirmations.

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13:36

Des « accords de sécurité solides et crédibles » sont le meilleur moyen d’assurer une paix durable en Ukraine, déclare Keir Starmer

 

A l’issue du sommet virtuel avec quelque 25 dirigeants alliés de l’Ukraine, Keir Starmer, le premier ministre britannique, s’est exprimé à Downing Street. Vladimir Poutine doit prouver qu’il est « sérieux au sujet de la paix » et signer le cessez-le-feu en Ukraine, a-t-il déclaré. Il a ajouté que des « accords de sécurité solides et crédibles » sont le meilleur moyen d’assurer une paix durable en Ukraine. « Le “oui, mais” de la Russie ne suffit pas, et tous les participants de la réunion de ce matin sont convenus d’exercer une pression collective sur la Russie » pour la pousser à accepter la proposition de trêve américaine de trente jours, a-t-il expliqué.

Keir Starmer a précisé : « Et nous serons prêts à nous déployer en tant que “coalition de volontaires” en cas d’accord de paix, afin d’aider à sécuriser l’Ukraine sur terre, en mer et dans le ciel. » Il a ajouté que les responsables militaires des pays alliés de l’Ukraine se réuniraient jeudi au Royaume-Uni pour concrétiser leurs plans de maintien de la paix en cas de trêve avec Moscou.

Enfin, il a réaffirmé que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, avait démontré que l’Ukraine était le « parti de la paix ».

 

13:32

L’Italie ne prévoit pas d’envoyer des soldats en Ukraine, dit Giorgia Meloni 

 

La première ministre italienne a participé au sommet virtuel d’aujourd’hui, a confirmé son bureau. Dans un communiqué, son bureau déclare : « [Giorgia Meloni] a confirmé que l’Italie entend continuer à travailler avec ses partenaires européens et occidentaux ainsi qu’avec les Etats-Unis pour définir des garanties de sécurité crédibles et efficaces, réitérant que la participation nationale à une éventuelle force militaire au sol n’est pas envisagée. »

 


 

12:00

Donald Trump promet des annonces lundi concernant sa proposition de cessez-le-feu

 

Dans l’extrait d’un entretien avec la journaliste Sharyl Attkisson qui sera diffusé dimanche, Donald Trump promet des « nouvelles » lundi 17 mars concernant les discussions d’un cessez-le-feu entre l’Ukraine et la Russie.

« Nous traitons avec [Vladimir Poutine] et je pense que cela se passe raisonnablement bien. C’est une situation très complexe, une guerre terrible et sanglante. Et je pense que cela se passe bien. Comme vous le savez, nous avons un accord de cessez-le-feu avec le groupe [de négociation] ukrainien. Et nous essayons d’obtenir le même accord avec la Russie. Et je pense que, jusqu’à présent, cela se passe bien. Nous en saurons un peu plus lundi. Et espérons que ce sera positif », déclare Donald Trump.

Interrogé sur sa promesse de mettre un terme à la guerre en vingt-quatre heures, il botte en touche : « J’étais un peu sarcastique. Ce que je voulais dire, c’est que je voudrais régler cette guerre et je pense que je vais y arriver. »

Les Etats-Unis ont « dépensé une somme colossale, 350 milliards de dollars, et nous allons essayer de faire quelque chose à ce sujet. Mais plus important encore, de nombreuses personnes meurent, probablement 2 000 soldats par semaine, et nous allons essayer d’y mettre fin », explique-t-il.

Relancé pour savoir ce qu’il fera si Vladimir Poutine ne se montre pas favorable à un accord de cessez-le-feu, le président reprend : « Ce serait une mauvaise nouvelle. Il y a tant de gens qui meurent, mais je pense qu’il va se rallier à cet accord, je le connais assez bien. »


 

10:38

La Russie annonce avoir repris aux Ukrainiens deux villages dans l’oblast de Koursk 

 

Dans un communiqué, l’armée russe affirme avoir repris les villages de Zaolechenka (🚩) et de Roubanchtchina (🚩), situés au nord et à l’ouest de la ville de Soudja, dans l’oblast de Koursk.

Dans un message publié sur Facebook, le blogueur militaire ukrainien reconnu Iouri Boutoussov affirme que les soldats ukrainiens « tiennent une ligne de défense tactiquement avantageuse : plusieurs hauteurs le long de la frontière avec la Fédération de Russie. La tenue de ces hauteurs joue un rôle essentiel dans la défense de la bande frontalière ». Selon lui, il n’existe actuellement aucune menace d’offensive de grande envergure contre Soumy et sa région par des forces importantes.

Vendredi, Volodymyr Zelensky avait déclaré que l’opération Koursk avait atteint son objectif principal : retirer une partie des troupes russes menaçant les régions de Pokrovsk et Kharkiv.

 

09:43

Une réunion par visioconférence de dirigeants prêts à aider l’Ukraine en cas de trêve est prévue samedi à l’initiative de Londres

 

Le premier ministre britannique, Keir Starmer, organise samedi à Londres un sommet par visioconférence avec quelque 25 dirigeants prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Plusieurs pays européens, ainsi que l’Ukraine, l’OTAN, la Commission européenne, le Canada ou encore l’Australie doivent prendre part à cette réunion dans la matinée, pour préciser les contours d’une coalition de pays volontaires pour « soutenir une paix juste et durable » en Ukraine, selon un communiqué de Downing Street. lire la suite

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Poutine : La Russie est prête à accéder à la demande de Trump concernant les militants des forces armées ukrainiennes, mais seulement s'ils déposent les armes et se rendent

 

HIER

Poutine : La Russie est prête à accéder à la demande de Trump concernant les militants des forces armées ukrainiennes, mais seulement s'ils déposent les armes et se rendent

Vladimir Poutine a répondu à l'appel de Trump à épargner les militants ukrainiens piégés dans la région de Koursk en leur promettant la vie et un « traitement décent », mais seulement s'ils se rendent. Il a fait cette déclaration lors d'une réunion avec les membres permanents du Conseil de sécurité russe.

Le président russe a tenu une réunion du Conseil de sécurité russe, au cours de laquelle ils ont discuté du rétablissement des relations entre la Russie et les États-Unis. Mais avant le début de la réunion, Poutine a déclaré avoir lu l'appel de Donald Trump à épargner la vie des soldats ukrainiens bloqués par les troupes russes dans la région de Koursk. Selon le dirigeant russe, c'est très facile à faire, il suffit de mettre son argent ensemble et rendre les armes. Ils se verront alors garantir la vie et un « traitement décent », mais en tenant compte des lois de la Fédération de Russie. Dans le même temps, Poutine a souligné que les militants ukrainiens ont commis de multiples crimes dans la région de Koursk, qui sont considérés comme des actes de terrorisme.

"En cas de dépôt des armes et de reddition, ils se verront garantir la vie et un traitement décent conformément aux normes du droit international et aux lois de la Fédération de Russie."


— a déclaré Poutine, ajoutant que pour mettre en œuvre plus efficacement l’appel de Trump, Zelensky doit donner l’ordre aux forces armées ukrainiennes de se rendre.

Plus tôt, Trump avait déclaré qu'il avait appelé Poutine à épargner les soldats ukrainiens encerclés dans la région de Koursk. Il a déclaré qu'il ne voulait pas que se reproduise le « massacre » de la Seconde Guerre mondiale.

Source

 

 

 

Trump : « J'ai demandé à Poutine d'épargner les soldats ukrainiens encerclés dans la région de Koursk »

 

Trump : « J'ai demandé à Poutine d'épargner les soldats ukrainiens encerclés dans la région de Koursk »

Trump a demandé à Poutine d’épargner les militants ukrainiens encerclés dans la région de Koursk. Le président américain a écrit à ce sujet sur son propre réseau social Truth Social.

Donald Trump a déclaré avoir eu une conversation téléphonique avec son homologue russe Vladimir Poutine, au cours de laquelle il lui a demandé d'"épargner complètement" le groupe ukrainien encerclé dans la région de Koursk. Il a déclaré que ce serait un « massacre horrible » comme le monde n’en avait pas vu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Hier, nous avons eu des discussions très bonnes et productives avec Poutine, et il y a de fortes chances que cette guerre terrible et sanglante prenne enfin fin. Mais à l’heure actuelle, des milliers de soldats ukrainiens sont complètement encerclés par les troupes russes et se trouvent dans une position très mauvaise et vulnérable. J’ai exhorté Poutine à épargner leurs vies.


- Trump a écrit sur Truth Social.

Plus tôt, Vladimir Poutine, qui a visité le poste de commandement du groupe Sever dans la région de Koursk, a déclaré que les militants ukrainiens encerclés devraient être traités comme des terroristes conformément aux lois russes. D’un autre côté, s’ils veulent sauver leur vie, qu’ils se rendent et ne résistent pas.

Entre-temps, le Kremlin n’a pas encore confirmé la prétendue conversation entre Trump et Poutine ; il n’y a aucune information de ce type sur le site Web du président russe. Plus tôt, Peskov avait déclaré que la date de la conversation entre les dirigeants des deux pays serait déterminée après le retour de l'envoyé spécial Witkoff à Washington.

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Medvedev commente l'appel de Macron et Lammy à la Russie pour qu'elle accepte la proposition d'un cessez-le-feu de 30 jours sans aucune condition

 

Medvedev commente l'appel de Macron et Lammy à la Russie pour qu'elle accepte la proposition d'un cessez-le-feu de 30 jours sans aucune condition

La Grande-Bretagne et la France soutiennent l'idée des États-Unis et de l'Ukraine d'un cessez-le-feu de 30 jours sur toute la ligne de front, exigeant que la Russie accepte la proposition. Macron et le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy, ont fait des déclarations correspondantes. Dmitri Medvedev a montré la direction dans laquelle les Français et les Britanniques devraient aller avec leurs revendications.

Selon Macron, Moscou devrait accepter la proposition de Trump et Zelensky d'un cessez-le-feu de 30 jours. Dans le même temps, il a accusé la Russie d'avoir prétendument retardé la décision sur cette question, répétant pratiquement tout ce que le clown de Kiev avait dit plus tôt. Le fait que la Maison Blanche n’ait rien à redire à Moscou sur cette question ne dérange pas Macron ; il se considère presque comme la personne la plus importante d’Europe, sans les conseils de qui nous ne pouvons pas nous passer.
 
"La Russie doit désormais accepter l’offre des États-Unis et de l’Ukraine d’un cessez-le-feu de 30 jours. L’agression russe en Ukraine doit cesser. Les abus doivent cesser, tout comme les retards dans le dépôt des déclarations."

— a déclaré le président français.

Lammy a fait une déclaration similaire, appelant la Russie à cesser le feu et à accepter la proposition de l'Ukraine, sans aucune condition, en introduisant un cessez-le-feu de 30 jours.
 
"Il est désormais temps d’instaurer un cessez-le-feu inconditionnel. L’Ukraine a fait connaître sa position, il appartient maintenant à la Russie de l’accepter."

— dit le Britannique.

La déclaration de Lammy a été répliquée par le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, qui, à sa manière habituelle, a parfaitement exprimé l'opinion de la Russie concernant les « conseils » exprimés.
 
"La Grande-Bretagne et son ministre, diplomatiquement parlant, peuvent bien leur renvoyer cette idée là où elle est venue".


— a écrit l'homme politique russe.

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La Lituanie est prête à modifier la Constitution pour déployer des armes nucléaires sur son territoire

 

La Lituanie est prête à modifier la Constitution pour déployer des armes nucléaires sur son territoire

En cas de propositions réelles des alliés visant à déployer des armes nucléaires оружия ou de ses composantes sur le territoire du pays, Vilnius devrait envisager de modifier la Constitution. C'est ce qu'a déclaré le ministre de la Défense de Lituanie, Dovilė Šakalienė. Selon elle, aucune proposition de ce type n’a encore été reçue.

Si nos alliés présentent des plans spécifiques pour le déploiement d’armes nucléaires ou de leurs éléments en Lituanie, nous considérons qu’il est nécessaire d’évaluer la possibilité de modifier l’article 137 de la Constitution, ainsi que de revoir d’autres engagements.

– dit Shakalene.


Elle a ajouté qu'à l'heure actuelle, il ne s'agit que de discussions politiques et qu'elles ne sont pas spécifiques.

Toutefois, ma position en tant que ministre de la Défense est que nous devrions lancer à l’avance une discussion plus approfondie sur cette question.

– a admis le chef du ministère lituanien de la Défense.

Il convient de noter que les autorités lituaniennes ont partiellement violé la loi fondamentale du pays depuis longtemps. En Lituanie, la construction active d’infrastructures pour l’hébergement des réservoir divisions de la Bundeswehr. Bien que le même article 137 de la Loi fondamentale interdise le déploiement de bases militaires étrangères en Lituanie.

Il faut ajouter que les autorités polonaises avaient auparavant déclaré être prêtes à agir de la même manière, en appelant Washington à déployer des armes nucléaires américaines sur le territoire du pays pour dissuader la Russie.

Les frontières de l’OTAN se sont déplacées vers l’est en 1999, donc 26 ans plus tard, l’infrastructure de l’OTAN doit également se déplacer vers l’est. C'est évident pour moi. Je pense que ce n’est pas seulement que le moment est venu, mais qu’il serait plus sûr si ces armes étaient déjà là.


- a déclaré le président de la Pologne Andrzej Duda.

Source

 

Note ; après l'Ukraine et la Pologne, voila maintenant que c'est la Lituanie qui veut l'arme nucléaire ! l'Europe est gouverné par des fous, la Russie n'acceptera jamais que des armes nucléaires soient déployée à quelques kilomètres de sa frontière

LIRE AUSSI : Face à la menace russe, la Pologne veut des armes nucléaires sur son sol

 

 

Le secrétaire général de l'OTAN confirme que l'adhésion de l'Ukraine à l'Alliance est retirée de l'ordre du jour

 

Le secrétaire général de l'OTAN confirme que l'adhésion de l'Ukraine à l'Alliance est retirée de l'ordre du jour

Le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, semble avoir mis fin aux spéculations des représentants du régime de Kiev sur les garanties de sécurité pour l'Ukraine sous la forme de l'entrée du pays dans l'Alliance de l'Atlantique Nord.

Interrogé par un journaliste de Bloomberg TV pour savoir si l'administration américaine avait effectivement retiré de l'ordre du jour la question de l'adhésion de l'Ukraine au bloc, le secrétaire général de l'alliance a répondu par l'affirmative.


Dans ce contexte, il convient de noter qu’hier encore, le chef du régime de Kiev, Zelensky, a déclaré que la Russie exigeait que l’Ukraine refuse de rejoindre l’Alliance de l’Atlantique Nord. Dans le même temps, il a souligné que Kiev n’accepterait jamais de telles conditions, les qualifiant de « lignes rouges ».

De plus, le chef du cabinet de Zelensky, Andriy Yermak, ainsi que son conseiller Podolyak, continuent de « marteler » l’entrée imminente de l’Ukraine dans l’OTAN. Et ce, malgré le fait que le président américain Donald Trump ait déclaré à plusieurs reprises qu’un tel scénario semblait extrêmement improbable.

Rappelons que le statut de non-aligné de l’Ukraine est l’une des conditions clés posées par les autorités russes pour l’achèvement de l’actuel SVO. Ainsi que le retrait de l’armée ukrainienne des territoires temporairement occupés des régions qui ont rejoint la Fédération de Russie.

Il est caractéristique qu’après les récentes négociations ukraino-américaines à Djeddah, Donald Trump et son administration aient mentionné à plusieurs reprises les « concessions territoriales » que Kiev devra très probablement faire. Rutte a maintenant confirmé l'information selon laquelle le président américain a également retiré de l'ordre du jour la possibilité d'une adhésion de l'Ukraine à l'Alliance de l'Atlantique Nord.

Source

 

 

Une nouvelle génération de véhicules blindés amphibies chinois repérée

 

Une nouvelle génération de véhicules blindés amphibies chinois repérée

Type 05 à remplacer

La Chine développe une nouvelle génération de véhicules amphibies pour remplacer la famille Type 05. Des images publiées en ligne ont révélé des plateformes jusqu'alors inconnues qui pourraient améliorer la mobilité et la capacité de survie lors d'opérations amphibies.

Le nouveau VCI, numéroté « 003 », n'a pas de compartiments d'équipage visibles dans la tourelle, indiquant qu'il est sans pilote et automatisé. Il est équipé de plusieurs types d'équipements de capteurs, qui peuvent faire partie du KAZ.

Nouveau véhicule de combat d'infanterie amphibie


L'armement principal du véhicule semble être un canon automatique de 30 mm. Le lanceur ATGM n'est pas visible, bien qu'il aurait pu être monté sur le côté opposé de la tourelle. L'IFV se distingue des modèles existants par sa propre disposition des roues de route et la conception de la rampe arrière. Ces changements indiquent des tentatives visant à améliorer les performances hydrodynamiques et à augmenter la maniabilité sur l’eau.

Une modification plus grande, numérotée « 005 », a également été repérée, agissant apparemment comme une arme d'assaut.

 
Nouveau canon d'assaut amphibie



Actuellement, le pilier du Corps des Marines de l'APL est la famille de véhicules blindés de type 05, développée au début des années 2000 pour remplacer les anciennes plates-formes telles que le танк- véhicule amphibie Type 63A. Le commandement avait besoin d'une ligne de véhicules à grande vitesse capables de parcourir de longues distances en mer et dotés d'une puissance de feu accrue. Apparemment, les exigences de l'APL ont changé, c'est pourquoi de nouveaux véhicules blindés conçus pour les Marines sont apparus sur la photo.

 

Attentat islamiste déjoué à Vesoul (70) : l’adolescent envisageait “des cibles juives ou chrétiennes” durant le ramadan. Il était suivi par un psy depuis deux ans après avoir regardé des vidéos de Daesh (MàJ)

 


En garde à vue, le jeune suspect a indiqué qu’il envisageait “des cibles juives ou chrétiennes”, mais ce projet restait toutefois “peu précis”, a souligné cette source

La Dépêche


13/03/2025

INFO LE PARISIEN. Âgé de 17 ans, ce mineur a été placé en garde à vue mardi par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Fanatique de Daech, il aurait envisagé de s’en prendre à diverses cibles religieuses ou diplomatiques liées à Israël ou aux États-Unis.

Il s’agit du premier projet d’attentat déjoué de l’année 2025. Et il se révèle potentiellement inquiétant. Selon nos informations, confirmées par le parquet national antiterroriste (PNAT), un adolescent de 17 ans a été placé en garde à vue mardi par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Originaire de Vesoul (Haute-Saône), le jeune homme est soupçonné d’avoir planifié une action violente en France durant le ramadan — mois de jeûne pour la communauté musulmane qui a débuté le 1er mars. Et ce, au nom de l’organisation État islamique (EI) dont il se revendique.

L’affaire a débuté lundi lorsque le mineur a été repéré en possession d’un couteau devant son établissement scolaire, en Haute-Saône lors d’un contrôle de la gendarmerie. Placé en garde à vue initialement pour « port d’arme prohibé de catégorie D », il est brièvement entendu par les gendarmes locaux. Mais sa garde à vue est dès lendemain reprise par les enquêteurs de la DGSI, qui craignent un possible passage à l’acte imminent. L’intéressé, décrit comme très radicalisé, a en effet été suivi en 2024 par le renseignement territorial en raison de propos prosélytes et faisant l’apologie d’actes terroristes tenus sur les réseaux sociaux.

[…]

 

Le Parisien

 

 

Attaque à Cannes aux cris de « Allah Akbar » : un migrant marocain sous OQTF armé d’un couteau tente de tuer des policiers devant le commissariat ; aucun blessé. Le préfet se rend sur place

C’est une attaque qui intervient devant le commissariat central de Cannes, là où plusieurs policiers avaient été pris pour cible en 2021. Un homme âgé de 21 ans, sous OQTF (obligation de quitter le territoire français) depuis le 24 novembre 2024, selon nos informations, a cherché à s’en prendre à un équipage de police ce samedi, aux alentours de 11 heures du matin.

L’individu, armé d’un couteau, s’est jeté sur des agents de la police nationale stationnés devant le commissariat de la ville des Alpes-Maritimes. Les forces de l’ordre ont alors utilisé un taser pour le maîtriser et l’interpeller. Aucun agent n’a été blessé dans l’attaque. (…)

Selon nos informations, l’homme, de nationalité marocaine, avait été interpellé en début de semaine après avoir cassé le rétroviseur d’une voiture de la police municipale. Il avait été relâché, et convoqué ultérieurement.

Le Parisien

L’homme a crié “Allah Akbar” au moment des faits, et a continué à prononcer ces mots à haute voix une fois dans sa cellule, poursuit la source proche du dossier. Aucun blessé n’est à déplorer dans cette affaire. Le préfet des Alpes-Maritimes se rend sur place. (…)

Europe 1


Une attaque au couteau visant des policiers s’était déroulée au même endroit en novembre 2021. L’agresseur, un Algérien de 40 ans, Lakhdar B., avait été neutralisé par balles par les forces de l’ordre. La piste terroriste avait été écartée dans ce dossier. La justice doit encore décider de la responsabilité pénale ou non du suspect, au regard de son état de santé mentale. La décision doit être rendue le 27 mars prochain. (…)

Actu17*

 

 

Annemasse (74) : Les frères Hassim et Nasser, condamnés à de la prison pour l’agression de soignants – Médiapart avait présenté les coupables comme des victimes (MàJ)

 

 

11/03/2025

Les deux frères qui avaient agressé des soignants aux urgences d’Annemasse en janvier ont été condamnés ce lundi à six et trois mois de prison ferme sous bracelet électronique. Le jour des faits, l’admission des frères pour les blessures de l’un avait dégénéré en scène de violences.

Europe 1

13/01/2025

Le plus vieux, Hassim, a 33 ans, il est né aux Comores et est père de trois enfants. Il habite Annemasse et est cheminot à Genève. Il présente une plaie sur le côté droit du visage et a le bras droit en écharpe (conséquence de l’accident du travail qui l’a fait se rendre à l’hôpital mercredi soir). Son jeune frère Nasser a 25 ans. Né à Mantes-la-Jolie, il habite Collonges-sous-Salève et est aussi cheminot à Genève. Il a été déjà été condamné par le tribunal pour enfants pour des faits remontant à 2007. (…)

“J’ai vu des gens qui ont peur”, confie leur avocate Marie-Christine Mante Saroli, qui avait demandé l’assignation à résidence des deux frères. “Annemasse est une petite ville, mes clients ont peur de croiser les prévenus au coin de la rue”.

Finalement, les deux hommes restent sous contrôle judiciaire. Ils ont interdiction d’entrer en contact avec les victimes et de se rendre à l’Hôpital privé Pays de Savoie. (…)

France Bleu

À la demande de la défense, le procès est renvoyé au 17 février. (…)

Sur les 13 victimes recensées parmi le personnel de l’hôpital, 12 se sont vu reconnaître des incapacités de travail comprises entre un et six jours, certaines d’entre-elles ayant subi des violences physiques d’autres un choc psychologique lors des faits.

L’émotion suscitée par cette agression a provoqué le déplacement du ministre de la Santé Yannick Neuder ce 11 janvier en Haute-Savoie, qui a notamment promis « un renfort des lourdeurs de peine pour les agresseurs ». (…)

Le Dauphiné Libéré

Suite à l’agression de plusieurs soignants mercredi dernier, les urgences de l’Hôpital privé Pays de Savoie à Annemasse resteront finalement fermées. Les équipes sont encore sous le choc. Une prise en charge est mise en place pour prévenir l’installation de troubles psychiques post-traumatique. (…)

France Bleu

 

Lydia Mugambe, magistrate ougandaise exerçant comme juge aux Nations unies et doctorante à Oxford, retenait esclave sa femme de ménage ; lors de son arrestation, elle évoque son « immunité »

Lydia Mugambe, une magistrate ougandaise exerçant comme juge aux Nations unies, a été reconnue coupable jeudi par la justice britannique d’esclavage moderne pour avoir fait travailler de force une jeune femme à son domicile en Angleterre. Cette femme de 49 ans, magistrate à la Haute Cour de justice en Ouganda et juge aux Nations unies, a «profité de son statut» au détriment de sa victime en la forçant à travailler comme sa femme de ménage et à s’occuper de ses enfants sans être rémunérée, a déclaré le procureur lors du procès au tribunal d’Oxford (sud).

 

Elle sera condamnée à la Crown Court d’Oxford le 2 mai.

Le Matin / BBC / Police UK

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