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Selon El Caso, la ville de Salt, en Catalogne, a été le théâtre de deux nuits consécutives de violences après l’expulsion d’un imam qui occupait illégalement un logement appartenant à une banque depuis des années sans payer de loyer. L’homme, qui tentait de réoccuper l’appartement, a été évacué par la police, déclenchant des affrontements. Des groupes de jeunes ont incendié des conteneurs, jeté des projectiles sur les forces de l’ordre et tenté d’attaquer un commissariat. Face à l’intensité des émeutes, les autorités ont renforcé la présence policière pour rétablir l’ordre.
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Les infos du 12 mars 2025
En direct, guerre en Ukraine :
le secrétaire d’Etat américain affirme qu’un accord sur les minerais donnerait aux Etats-Unis un « intérêt direct » à protéger l’Ukraine, sans promettre de garanties de sécurité formelles
Les Etats européens vont « devoir être impliqués » dans tout accord potentiel sur l’Ukraine, qui a donné son accord à une proposition américaine de cessez-le-feu de trente jours avec la Russie, a par ailleurs déclaré Marco Rubio, mercredi.
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14:16
L’Ukraine discutera des garanties de sécurité si la trêve entre en vigueur, affirme Volodymyr Zelensky
L’Ukraine discutera des garanties de sécurité qu’elle demande à ses alliés si la trêve, proposée à la Russie à l’issue de pourparlers ukraino-américains en Arabie saoudite, entre en vigueur, a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky. « Nous parlerons des garanties de sécurité plus en détail si les canons se taisent pendant trente jours », a-t-il déclaré durant une conférence de presse. Ces trente jours de trêve devraient servir à « mettre sur papier les étapes convenues avec nos alliés » et « les formats de garanties de sécurité », a-t-il ajouté.
13:19
L’accord sur les minerais donnera aux Etats-Unis un « intérêt direct » dans la sécurité de l’Ukraine, selon Marco Rubio
Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a affirmé qu’un accord sur les minerais donnerait aux Etats-Unis un « intérêt direct » à protéger l’Ukraine, sans toutefois promettre de garanties de sécurité formelles. « Je ne le présenterais pas comme une garantie de sécurité, mais certainement, si les Etats-Unis ont un intérêt économique qui génère des revenus pour notre peuple ainsi que pour le peuple ukrainien, nous aurions un intérêt à le protéger », a également déclaré Marco Rubio aux journalistes lors d’une escale de ravitaillement en Irlande.
13:18
Les Européens vont « devoir être impliqués » dans le processus diplomatique, dit le secrétaire d’Etat américain
Les alliés européens vont « devoir être impliqués » dans tout accord potentiel sur l’Ukraine, qui a donné son accord à une proposition américaine de cessez-le-feu de trente jours avec la Russie, a déclaré le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio. Il a ajouté que la Russie demanderait la levée des sanctions prises contre elle depuis le début de la guerre, il y a plus de trois ans.
12:45
Le gouvernement dément toute « surenchère guerrière » sur la menace russe, « réelle et sérieuse »
La « menace russe est réelle et sérieuse » et le gouvernement ne fait pas de « surenchère guerrière », a affirmé sa porte-parole, Sophie Primas, en réponse à Marine Le Pen, qui a accusé Emmanuel Macron de « jouer avec les peurs ». « Nous ne sommes pas dans une surenchère guerrière », « mais nous voulons informer les Français sur l’état des relations avec la Russie et sur le rôle de la Russie », a-t-elle dit après le conseil des ministres, au cours duquel, a-t-elle assuré, les propos de la cheffe du Rassemblement national n’ont pas été commentés.
« La Russie est à la manœuvre non seulement à la frontière de l’Ukraine », « mais aussi depuis de nombreuses années sur des cyberattaques, sur la dissémination de fake news, sur les élections », a-t-elle énuméré. Elle a évoqué un « travail de pédagogie », sans « naïveté », mais sans vouloir « faire peur ».
Marine Le Pen a déclaré, hier, que le président de la République « jouait avec les peurs ». « Il n’y a pas un Français qui n’a pas compris qu’Emmanuel Macron, avec un ton très martial, nous explique quasiment qu’il faut transformer les usines de Kleenex en usines d’armement parce que la guerre » en Europe « est pour demain », a-t-elle accusé, dénonçant « une partie de posture ». Le chef de l’Etat avait, de son côté, estimé que ceux qui le soupçonnent d’« inventer la menace russe » n’avaient « pas suivi l’actualité, manifestement ».
10:56
Le Kremlin dit attendre d’être informé par les Etats-Unis sur la proposition de trêve
Le Kremlin a annoncé qu’il attendait d’être informé par les Etats-Unis concernant la proposition de trêve de trente jours que l’Ukraine a acceptée hier. « Nous avons des contacts prévus dans les jours à venir avec les Américains, et nous comptons là-dessus pour obtenir une information complète », a dit le porte-parole du Kremlin, lors d’un briefing à la presse.
Selon Dmitri Peskov, un « appel téléphonique au plus haut niveau » entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine est possible dans un « délai assez court ».
10:48
La Russie dit avoir repris cinq villages près de Soudja, dans l’oblast de Koursk
Le ministère de la défense russe a affirmé avoir repris cinq localités – Kazachiya Lokniya (📍), Kniazhiy-1 (📍), Kniazhiy-2 (📍), Zamostie (📍), et Mirnyï (📍) –, situées près de Soudja (📍), petite ville qui constitue la principale position ukrainienne dans l’oblast de Koursk.
Des images, diffusées ce matin sur les réseaux sociaux, montrent également des soldats russes dans le centre-ville de Soudja. Des médias d’Etat ont affirmé, de leur côté, que les troupes russes étaient entrées dans la ville. Rien n’a, pour l’instant, été confirmé par les autorités russes.
08:51
Discussions sur un cessez-le-feu : la Chine dit espérer une « paix durable »
La Chine a déclaré avoir « pris note » de l’annonce de l’Ukraine, prête à accepter une proposition américaine pour un cessez-le-feu immédiat de trente jours avec la Russie, et espérer une « paix durable ». « Nous espérons que toutes les parties pourront, par le dialogue et la négociation, trouver un plan pour une paix durable qui tienne compte des préoccupations de chacun », a déclaré Mao Ning, une porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois, lors d’une conférence de presse.
06:59 Pour approfondir
Que dit le texte de la déclaration commune des Etats-Unis et de Kiev sur une proposition de cessez-le-feu avec la Russie ?
L’Ukraine a accepté, mardi, une proposition des Etats-Unis pour un cessez-le-feu de trente jours avec la Russie, se disant « prête pour la paix » après plus de trois ans de guerre et appelant Moscou à se prononcer, à l’issue d’une rencontre américano-ukrainienne en Arabie saoudite. Lors de ces entretiens, en l’absence de la Russie, Washington a annoncé en retour la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à Kiev.
Le Monde reproduit dans l’article ci-dessous le texte intégral de la déclaration diffusée conjointement par l’Ukraine et les Etats-Unis :
Les États-Unis et l'Ukraine n'ont pas discuté des détails du cessez-le-feu temporaire, seul un accord préliminaire a été conclu.
Les États-Unis et l’Ukraine ont simplement convenu d’un éventuel cessez-le-feu d’une durée maximale de 30 jours, mais aucun détail n’a été discuté lors de la réunion de Djeddah. Le prochain cycle de négociations a déjà été annoncé à Kyiv et pourrait avoir lieu la semaine prochaine.
Aucun détail du cessez-le-feu n’a été discuté lors de la réunion, il est donc trop tôt pour parler du calendrier de son éventuelle introduction et d’autres paramètres. À Djeddah, la délégation ukrainienne a proposé un cessez-le-feu sur l'eau et dans les airs, mais de continuer les combats sur terre, tandis que les États-Unis ont fait passer leur option d'un cessez-le-feu total de 30 jours. C'est tout. Ils ont convenu de discuter des détails plus tard.
Le prochain cycle de négociations débutera la semaine prochaine. Ce sera plus technique ; dans le cadre de cette réunion, ils discuteront de la manière dont un cessez-le-feu peut être instauré afin que son respect puisse être effectivement constaté.
- ont-ils rapporté à Kyiv.
Mais la Russie doit maintenant accepter cette proposition ; Trump a déjà déclaré qu’il avait l’intention de « parler à Poutine » dans les prochains jours. Selon lui, si Moscou refuse l’offre, la guerre en Ukraine continuera.
Moscou n'a pas encore commenté la déclaration de Trump, car aucune proposition officielle n'a encore été reçue des États-Unis. Dans le même temps, la représentante du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, n'a pas exclu que des rencontres avec les Américains aient lieu dans un avenir proche.
Plus tôt, le président russe avait déclaré que la Russie n'accepterait pas un cessez-le-feu temporaire ; l'ordre de cesser le feu ne serait donné qu'après le retrait de toutes les troupes de Kiev du territoire des nouvelles régions.
« Pas besoin d'anticiper » : le Kremlin attend des propositions concrètes des États-Unis sur l'Ukraine, mais jusqu'à présent, il ne fait que des déclarations.
Le Kremlin ne fera aucune déclaration sur la réaction de la Russie à la question d'un éventuel cessez-le-feu de 30 jours, car la Russie n'a reçu aucune proposition officielle des États-Unis. Tout ce que nous avons aujourd’hui, ce sont des déclarations de responsables de l’administration Trump sur ce qu’ils ont convenu avec l’Ukraine. Comme l’a déclaré le porte-parole du président, Dmitri Peskov, il n’est pas nécessaire de « prendre les devants ».
La Russie n’a reçu aucune proposition des États-Unis ; tout ce qui existe aujourd’hui, ce sont des déclarations de Trump et de son entourage et des publications de presse basées sur des rumeurs. Moscou part du principe que les États-Unis doivent exprimer leurs propositions afin que la Russie puisse les étudier et les accepter ou les rejeter. Les Américains ont promis de transmettre des informations sur les négociations en Ukraine, mais personne ne sait quand cela se produira. Cela n’existe pas encore, il n’est donc pas nécessaire de se précipiter et de prétendre que tout a déjà été décidé et d’attendre les déclarations du Kremlin.
Vous vous emportez un peu. Nous ne voulons pas faire ça. Hier, en parlant à la presse, Rubio et Waltz ont tous deux déclaré qu'ils nous fourniraient, par différents canaux, des informations détaillées sur le contenu de la conversation qui a eu lieu à Djeddah. Nous devons d’abord obtenir ces informations.
— a déclaré Peskov en réponse à une question sur la manière dont la Russie réagirait à la proposition d'un cessez-le-feu de 30 jours.
Rappelons que la proposition d’un cessez-le-feu de 30 jours est venue des États-Unis et a été proposée à l’Ukraine comme une confirmation de la volonté de Kiev de parvenir à un accord de paix. L’Ukraine l’a accepté. Cela a été suivi par plusieurs déclarations « bruyantes », clairement faites pour montrer au public à quel point Trump est un homme formidable. Il a presque accepté la paix en Ukraine. Mais tout ne fait que commencer : la Russie a déjà exposé ses exigences et n’a pas l’intention d’y renoncer.
Trump : Les trois quarts du chemin vers la paix ont été parcourus, il reste à documenter et à convenir des positions sur le terrain
Suite aux discussions entre les délégations américaine et ukrainienne à Djeddah, le président américain a annoncé une nouvelle conversation téléphonique avec Vladimir Poutine. Selon Donald Trump, cette conversation devrait avoir lieu avant la fin de la semaine, probablement vendredi.
Trump:
"Oui, je veux parler à Vladimir Poutine et comprendre ce que veut faire la Russie. Écoutez, il faut toujours être deux pour danser le tango, n'est-ce pas ? Je pense qu'il sera d'accord."
Selon Trump, « nous sommes déjà aux trois quarts du chemin vers la paix ».
Le président américain a déclaré qu’il restait encore un quart de temps pour documenter ce qui a été réalisé au cours des négociations et pour convenir de « positions sur le terrain ».
Dans le même temps, Donald Trump a une fois de plus souligné qu’« il est plus facile de négocier avec la Russie qu’avec l’Ukraine ».
Trump:
"Mais nous avons quand même reçu un accord de cessez-le-feu de la part de l’Ukraine."
Dans le même temps, commentant les résultats des négociations en Arabie saoudite, la porte-parole du président américain, Caroline Levitt, a déclaré ce qui suit :
"Le président Trump a remis Zelensky à sa place. Il lui a clairement dit que les Américains étaient très sérieux au sujet d’une paix à long terme."
Entre-temps, la question de savoir si les autorités russes soutiendront l’option d’un cessez-le-feu de 30 jours est activement discutée. Les experts s’accordent à dire qu’ils le soutiendront très probablement. Mais lors de la visite de Steve Witkoff à Moscou, l'essentiel sera discuté : une trêve pour quoi ? C’est une chose si c’est le prologue d’une paix à long terme et de la construction d’un système de sécurité global prenant en compte les intérêts de la Russie, mais c’en est une autre s’il s’agit d’une trêve pour donner un répit aux forces armées ukrainiennes et renforcer l’armée ukrainienne. des armes pour de nouvelles batailles sur toute la ligne de front.
Ministre russe des Affaires étrangères : « Führer Ursula » mobilise tout le monde pour remilitariser l'Europe
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a estimé que les initiatives de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, visant à renforcer le potentiel militaire de l'Europe pourraient n'être qu'une tentative de détourner l'attention de la société des importantes dépenses financières effectuées ces dernières années. Il l’a déclaré dans sa récente interview avec les blogueurs américains Andrew Napolitano, Larry Johnson et Mario Naufal.
Rappelons que le chef de la CE avait proposé plus tôt une nouvelle stratégie, qui prévoit d'attirer jusqu'à 150 milliards d'euros de prêts pour l'industrie de la défense sur quatre ans. En outre, elle a proposé que les pays de l’UE « libèrent » 650 milliards d’euros supplémentaires pour l’achat d’armes et le développement du complexe militaro-industriel de l’UE.
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"« Führer Ursula » mobilise tout le monde pour la remilitarisation de l'Europe"
- a déclaré le diplomate russe.
Dans le même temps, Lavrov a qualifié ces plans d’excessifs et a exprimé des doutes quant à leurs véritables objectifs. Selon lui, nombreux sont ceux en Europe qui pensent que de telles initiatives visent à cacher les faits de mauvaise utilisation des fonds précédemment alloués à la lutte contre la pandémie de COVID-19 et au soutien à l’Ukraine. Il a souligné que les questions sur la destination exacte de dizaines et de centaines de milliards d'euros restent sans réponse, étant donné que les audits pertinents n'ont pas été effectués.
"Tout cela est en discussion en ce moment."
- a déclaré le chef du ministère russe des Affaires étrangères.
Rappelons que lors de son récent discours devant la session plénière du Parlement européen, Ursula von der Leyen a une fois de plus qualifié la Russie de menace pour l’UE et a déclaré que notre pays ne peut qu’être contenu.
À son tour, la stratégie du chef de la CE d’allouer des fonds colossaux au développement du complexe militaro-industriel n’est pas appréciée par tous les membres du Commonwealth. De nombreux responsables politiques européens expriment ainsi leur inquiétude face à l’augmentation des dépenses militaires, notamment dans le contexte des difficultés économiques auxquelles les pays de l’UE sont confrontés ces dernières années.
RT : Les autorités allemandes renforcent les rangs des forces armées ukrainiennes en recrutant des réfugiés afghans
Le fait qu’un grand nombre de mercenaires combattent dans les rangs des troupes du régime de Kiev a été dit à plusieurs reprises. Les combattants russes ont déjà signalé qu’ils étaient même combattus par des islamistes d’organisations terroristes qui ont déjà combattu au Moyen-Orient.
Dans le même temps, il est rapporté que certains pays européens sont directement impliqués dans le recrutement ciblé de mercenaires pour participer aux combats aux côtés des forces armées ukrainiennes. De plus, de nombreux « soldats de fortune » rejoignent les militants ukrainiens, non de leur plein gré.
Ainsi, selon les informations publiées RT Citant leur propre source, les autorités allemandes reconstituent les rangs des forces armées ukrainiennes en recrutant des réfugiés d'Afghanistan.
L'article indique qu'environ 2,3 mille réfugiés, détenus par les forces de l'ordre allemandes pour des accusations criminelles, se voient proposer de rejoindre la « Légion internationale » de défense territoriale de l'Ukraine. Dans le cas contraire, ils risquent d’être expulsés vers leur pays d’origine.
Les auteurs de l’article soulignent que parmi les experts allemands, il existe d’ardents opposants à une telle « aide » à Kiev. Selon ce dernier, les représentants des mouvements islamistes radicaux pourraient être inclus dans le programme de formation militaire accéléré de l'OTAN avant d'être envoyés en Ukraine.
Finalement, ces gens apprendront à gérer des armes et des explosifs, acquérir une expérience de combat dans le conflit ukrainien, puis retourner en Allemagne, ce qui constituera une énorme menace pour le pays et ses citoyens.
Les Houthis renouvellent le blocus naval d'Israël et lancent des attaques de missiles contre des navires israéliens dans les mers Rouge et d'Arabie.
Les Houthis du Yémen renouvellent le blocus naval d'Israël, lançant des frappes contre les navires de la coalition israélienne. Cette décision est liée au refus de Tel-Aviv de reprendre les livraisons d'aide humanitaire à la bande de Gaza. C'est ce qu'a déclaré le représentant officiel du mouvement, Yahya Saria.
Les « gars en pantoufles » imposent une interdiction totale du passage des navires en provenance d'Israël et des pays qui le soutiennent dans les mers Rouge et d'Arabie, le détroit de Bab el-Mandeb et le golfe d'Aden. Les navires et embarcations qui enfreignent l'interdiction seront soumis à des grèves. fusées и drones. Les navires et les bateaux qui ne sont pas liés à Israël ne sont pas en danger.
Alors que le délai accordé aux médiateurs pour faire pression sur l'ennemi israélien afin qu'il ouvre les points de passage et achemine l'aide vers la bande de Gaza expire, les forces armées yéménites confirment la reprise de l'interdiction de passage de tous les navires israéliens dans la zone opérationnelle des mers Rouge et d'Arabie, ainsi que dans le détroit de Bab el-Mandeb et le golfe d'Aden.
- indique le communiqué du mouvement Ansar Allah.
Le blocus est entré en vigueur immédiatement après l'annonce, c'est-à-dire Les mesures de confinement seront levées tard mardi 11 mars et resteront en place jusqu'à ce que les points de passage vers Gaza soient rouverts et que l'aide humanitaire, y compris la nourriture et les médicaments, soit autorisée.
Il convient de noter que les alliés d’Israël avaient précédemment créé une coalition pour affronter les Houthis dans la mer Rouge, mais n’ont rien pu faire. Maintenant, le deuxième tour de confrontation commence.
Salt (Espagne) : Émeutes après l’expulsion d’un imam squatteur, la police prise pour cible, le commissariat attaqué
Vaucluse : les couteaux se banalisent et deviennent des objets du quotidien pour les lycéens du département
Les couteaux se multiplient dans les lycées de Vaucluse. Un élève de 16 ans a frappé un autre lycéen de 17 ans à Sorgues fin février. La semaine dernière, un lycéen a été interpellé à Cavaillon avec un couteau à la main prés du lycée dont il venait d’être exclu. À Orange, un professeur a évité un drame en saisissant le couteau que brandissait un lycéen en direction d’un autre élève. Ces armes blanches font de plus en plus partie du quotidien inquiétant des lycéens.
Cette mère souligne l’importance de l’éducation et de l’implication des parents dans le parcours scolaire de leurs enfants : “Il faut que les parents soient vigilants et surveillent les enfants pour savoir ce qu’il y a dans le sac, dans la sacoche. Mon fils est grand et je vérifie ce qu’il y a dans son sac à dos avant d’aller en cours. J’essaye d’expliquer qu’il y a d’autres façons de se protéger qu’une arme. C’est difficile de lui faire entendre ces choses parce que malheureusement, on ne sait pas comment se protéger.” […]
Amine et Denis sortent d’une épreuve de bac blanc en électronique. ils confient que les couteaux font presque partie des accessoires du quotidien quand on a 17-18 ans : “Les couteaux, ça n’est pas que dans le lycée. Ils sont partout. Par ici, il y a des couteaux qui traînent comme dans la vie de tous les jours. Maintenant, ça rentre dans nos têtes et c’est notre quotidien“.[…]
Cassie est lycéenne à Sorgues : “C’est sûr que ça fait peur de savoir qu’il y a des couteaux. On se dit qu’il peut se passer n’importe quoi, n’importe quand? J’essaie de m’embrouiller avec le moins de personnes possible parce qu’on ne sait jamais vraiment ce qui peut se passer. Les jeunes qui veulent se battre, ils ne vont jamais se battre à mains nues, ils ont toujours une arme blanche.”
Strasbourg (67) : Un lycéen de 15 ans poignardé devant le lycée Oberlin, l’agresseur en fuite
Selon les Dernières Nouvelles d’Alsace, ce mercredi 12 mars vers 10h20, un élève de 15 ans du lycée professionnel et CFA Jean-Frédéric-Oberlin a été agressé à l’arme blanche rue de l’Académie, à Strasbourg. L’adolescent a été pris en charge par les sapeurs-pompiers et évacué en urgence relative vers le CHU de Hautepierre. L’agresseur est en fuite, et une enquête est en cours pour le retrouver. L’équipe mobile de sécurité du rectorat est sur place pour soutenir l’équipe éducative et informer les parents inquiets.
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