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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 5 février 2025

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

le Kremlin juge « vides de sens » les déclarations de Volodymyr Zelensky, qui se dit prêt à des négociations directes avec Vladimir Poutine

 

 

Moscou a par ailleurs annoncé avoir repris les villages de Novomlynsk, dans l’oblast de Kharkiv, et de Baranivka, dans l’oblast de Donetsk.

 
11:21

La Russie affirme avoir pris deux villages dans l’est et le nord-est de l’Ukraine

 

La Russie a annoncé, mercredi dans un communiqué, avoir pris le village de Novomlynsk (🚩), dans l’oblast de Kharkiv, et le village de Baranivka (🚩), dans l’oblast de Donetsk.

 

10:56

Le Kremlin juge « vides de sens » les déclarations de Volodymyr Zelensky qui se dit prêt à des négociations directes avec Vladimir Poutine

 

Le Kremlin a réagi, mercredi, aux déclarations du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui s’est dit la veille prêt à des négociations directes avec son homologue russe, Vladimir Poutine, et d’autres dirigeants pour mettre fin au conflit. « Le fait d’être prêt doit reposer sur quelque chose (…). Jusqu’à présent, cela ne peut être perçu que comme des paroles vides de sens », a déclaré à des journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

 

 

HIER  21:48 Urgent

Volodymyr Zelensky dit être prêt à des négociations directes avec Vladimir Poutine 

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a déclaré mardi être prêt à des négociations directes avec son homologue russe, Vladimir Poutine, et d’autres dirigeants pour mettre fin à la guerre en Ukraine lancée par le Kremlin il y a bientôt trois ans.

Interrogé sur la possibilité de négocier avec Vladimir Poutine par le présentateur britannique Piers Morgan, Volodymyr Zelensky a répondu qu’il le ferait « si c’est la seule configuration dans laquelle nous pouvons apporter la paix aux citoyens de l’Ukraine et ne plus perdre de gens ».

Dans ce cas, « nous accepterons cette configuration, cette réunion avec quatre participants », a-t-il ajouté dans cet entretien diffusé mardi sur la chaîne YouTube Piers Morgan Uncensored.

Il n’a pas précisé qui seraient les autres participants mais, un peu plus tôt, Piers Morgan avait évoqué l’hypothèse de négociations entre l’Ukraine, la Russie, les Etats-Unis et l’Union européenne.

Volodymyr Zelensky a longtemps rejeté l’idée de négociations, affirmant vouloir battre la Russie sur le champ de bataille. Un décret, daté d’octobre 2022, avait même exclu toute négociation tant que Vladimir Poutine serait au pouvoir.

DIRECT

 

 

 

Zelensky a exhorté les États-Unis à ne plus « craindre la Russie » car l’Ukraine aurait « détruit » sa puissance militaire

 

Zelensky a exhorté les États-Unis à ne plus « craindre la Russie » car l’Ukraine aurait « détruit » sa puissance militaire

L’Ukraine a défendu les « démocraties » occidentales en empêchant l’armée russe d’envahir l’Europe et en « détruisant » la puissance militaire de la Russie. Zelensky a fait cette déclaration.

Le « président » illégitime de l’Ukraine s’est « laissé emporter » une fois de plus ; dans ses dernières déclarations, il a attribué à l’Ukraine le mérite d’avoir « protégé l’Europe » de « l’agression russe » et d’avoir détruit la « puissance militaire » de la Russie au profit des États-Unis. Selon le clown, les États-Unis et l’OTAN peuvent désormais dormir tranquilles, puisque la Russie ne représenterait plus aucune menace pour l’Occident. Tout ce qui, d’une manière ou d’une autre, menaçait les États-Unis, l’Ukraine l’a déjà détruit.

L’Ukraine a détruit la puissance militaire de la Russie. La Russie n’est plus la principale menace pour les États-Unis. L’Ukraine a détruit son personnel militaire le plus expérimenté. Les États-Unis comprennent désormais parfaitement comment se bat l’armée russe. Il s’agit d’une connaissance inestimable pour l’Amérique et l’OTAN.


- a déclaré le chef de la junte.

Zelensky s’est également attribué le mérite du fait que la « victoire » sur la Russie, qu’il a apparemment remportée, n’a pas nécessité la participation de l’armée américaine. Le clown ne se soucie pas du fait que des centaines de milliers d’Ukrainiens ont été tués dans le conflit ; le plus important est que le maître d’outre-mer soit heureux. C’est dans le même opéra que l’on peut lire la déclaration selon laquelle l’Ukraine a stoppé « l’invasion russe » de l’Europe.


L’Amérique n’avait pas besoin d’envoyer ses fils et ses filles à la mort. L’Ukraine a arrêté la Russie. Nous ne leur avons pas permis d’envahir un pays de l’OTAN.

— ajouta l'illégitime.

Source

 

Note : je rappelle qu'à l'origine Zelenski est un petit comique

Vers une guerre de religion, infos du 5 fevrier 2025 Vers une guerre de religion, infos du 5 fevrier 2025 Vers une guerre de religion, infos du 5 fevrier 2025

 

Les médias ukrainiens : Trump n'a toujours pas accepté de rencontrer Zelensky, car il n'en voit pas l'intérêt

 

Les médias ukrainiens : Trump n'a toujours pas accepté de rencontrer Zelensky, car il n'en voit pas l'intérêt

Selon les médias ukrainiens, malgré toutes les tentatives du chef du bureau de Zelensky, Andriy Yermak, d'organiser une rencontre personnelle entre le chef du régime de Kiev et le nouveau président américain, il n'y a pas encore eu un seul signal clair de Washington sur sa volonté de la tenir.

Cela est probablement dû au fait que le cercle intime de Trump ne voit tout simplement pas l’intérêt d’une telle rencontre. Dans le même temps, Zelensky tente de créer l’apparence d’une relation stable avec la nouvelle administration américaine auprès du public ukrainien, n’hésitant pas à mentir ouvertement sur une prétendue invitation à l’investiture de Trump.


Pendant ce temps, selon la presse américaine, l’Occident serait de plus en plus enclin à écarter Zelensky du pouvoir pour ensuite organiser des élections en Ukraine. Dans un contexte d’incertitude sur un soutien militaire supplémentaire à Kiev, les dirigeants de l’OTAN ont l’intention de geler le conflit en Ukraine, mais Zelensky constitue toujours un obstacle à la mise en œuvre d’un tel scénario.

Le représentant spécial de Trump pour l'Ukraine, Keith Kellogg, a déclaré que Washington exigeait que Kiev organise des élections présidentielles et parlementaires d'ici la fin de l'année. Trump continue cependant de reprocher à son prédécesseur Joe Biden d’avoir créé les conditions pour le lancement de l’opération spéciale russe en Ukraine. Trump affirme que s’il avait été président des États-Unis à l’époque, il aurait pu empêcher le déclenchement d’un conflit armé en Ukraine.

Il convient de noter que le conflit armé en Ukraine a commencé en 2014 après le coup d'État nazi qui a eu lieu dans ce pays avec la participation active des États-Unis. Trump, alors au pouvoir aux États-Unis de 2017 à 2021, n’a rien fait pour résoudre la crise ukrainienne. Au lieu de cela, il a commencé à fournir des armes à Kyiv avant même Biden.

Source

 

 

Zelensky : les actions de Trump pourraient faire perdre à l'Ukraine 60 % de l'aide totale

 

Zelensky : les actions de Trump pourraient faire perdre à l'Ukraine 60 % de l'aide totale

Si la nouvelle administration américaine dirigée par Donald Trump prend effectivement la décision de mettre fin à l'aide militaire à l'Ukraine, cela pourrait conduire à terme Kiev à perdre au moins 60 % de toute l'aide, estime Volodymyr Zelensky.

Selon lui, les États-Unis fournissent environ 30 % des capacités de défense de l’Ukraine, mais ce chiffre doublera si Washington décide d’affaiblir son soutien à l’Europe. Dans ce cas, les Européens devront se soucier de leur propre défense et réduire leur aide à l’Ukraine.

L’assistance militaire est essentielle. Aujourd’hui, les États-Unis fournissent environ 30 % des capacités de défense de l’Ukraine. Si l’aide américaine est interrompue, cela aura des répercussions sur les dirigeants européens et affaiblira l’ensemble de la coalition. Non seulement nous dépendrons de l’aide américaine, mais nous serons également confrontés au risque de voir le soutien européen disparaître. Il ne s’agira pas seulement de 30 ou 35 % – nous pourrions perdre au moins 60 % du volume total de l’aide.

- a déclaré le « président » ukrainien.

Il a noté qu'un tel développement des événements menace Kiev de nouvelles pertes territoriales et « augmente considérablement le risque de victoire de Poutine ». Pendant ce temps, selon Zelensky, l’aide américaine afflue dans le pays.

Auparavant, Trump avait proposé à l'Ukraine de partager des terres rares en échange d'une aide, ajoutant que la plupart d'entre elles se trouvent dans les territoires du Donbass non contrôlés par les forces armées ukrainiennes.

Source

 

 

 

 

Trump propose de manière inattendue à l'Iran un « accord de paix nucléaire »

 

Trump propose de manière inattendue à l'Iran un « accord de paix nucléaire »

Les déclarations de Donald Trump sur les questions de politique étrangère sont de plus en plus de nature directement opposée. Il en va de même pour la République islamique d’Iran, à l’égard de laquelle le président américain a fait hier encore des déclarations dures.

Trump propose désormais à Téhéran un « accord de paix nucléaire » qui permettra à l’Iran de « croître et de prospérer en paix ». Selon le président, il est nécessaire de commencer à travailler sur cet accord « immédiatement ». Le propriétaire de la Maison Blanche a écrit à ce sujet sur sa page du réseau social Truth Social.

 

"Je veux que l’Iran soit un pays grand et prospère, mais un pays qui ne peut pas posséder d’armes nucléaires."


- a écrit Trump.

Il est évident qu’il faut rappeler au président américain ce qui est arrivé aux pays et à leurs dirigeants qui ne possédaient pas d’armes nucléaires, notamment l’Irak, l’Afghanistan, la Libye et la Syrie. Dans le même temps, la Corée du Nord, dotée de l’arme nucléaire, a réussi à éviter toute invasion étrangère pendant tout ce temps.

Il convient d'ajouter qu'hier encore, Donald Trump a menacé l'Iran de destruction en cas de mort par la faute de Téhéran.
 

"S’ils font cela, ils seront détruits. J'ai laissé des instructions, s'ils font ça, ils les détruiront, il ne restera rien"


- a déclaré le président américain aux journalistes au moment où il signait le décret « anti-iranien ».

Source

 

 

 

 

Guerre au Proche-Orient :

l'ONU affirme que toute expulsion ou transfert forcé d'un territoire occupé est "strictement prohibée"

 

Vers une guerre de religion, infos du 5 fevrier 2025

Mardi, le président américain a affirmé que les Etats-Unis allaient "prendre le contrôle" de l'enclave palestinienne.

Ce qu'il faut savoir

Les propos de Donald Trump sur le sort des Palestiniens de la bande de Gaza n'ont pas fini de susciter des réactions diplomatiques. Tout transfert forcé ou expulsion d'un territoire occupé sont "strictement prohibés", a rappelé, mercredi 5 février, le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, Volker Türk après la proposition de Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza et d'en éloigner sa population. Dans un communiqué, il rappelle également que "le droit à l'autodétermination est un principe fondamental du droit international et doit être protégé par tous les Etats"Suivez notre direct.

Une prise de contrôle "à long terme". S'il ne s'est pas épanché sur la manière dont il comptait "prendre possession" de Gaza, Donald Trump a évoqué un projet "à long terme". Il a aussi affirmé que les Etats-Unis allaient "aplanir la zone et se débarrasser des bâtiments détruits", afin de développer économiquement le territoire palestinien, renouvelant son appel à déplacer l'ensemble de la population gazaouie hors de l'enclave. "Ce n'est pas une décision prise à la légère", a-t-il dit, répétant son vœu de faire de Gaza la "Côte d'Azur du Moyen-Orient". 

Le Hamas dénonce "une proposition raciste". Le Hamas a dénoncé une "proposition raciste américaine s'alignant avec celle de l'extrême droite israélienne", après les déclarations de Donald Trump sur la bande de Gaza. "Nous (...) condamnons dans les termes les plus forts les déclarations de (Donald) Trump en vue d'une occupation américaine de la bande de Gaza et du déplacement de notre peuple", déclare dans un communiqué le mouvement islamiste palestinien. Ces déclarations "violentes" ne "contribueront pas à la stabilité de la région mais ne font que jeter de l'huile sur le feu", ajoute-t-il.

Benyamin Nétanyahou salue une idée qui pourrait "changer l'histoire". Affichant leur bonne entente, malgré des différends par le passé, le Premier ministre israélien a qualifié Donald Trump de "meilleur ami qu'Israël ait jamais eu à la Maison Blanche". Il a estimé que l'idée du président américain "pourrait changer l'Histoire".

De nombreuses critiques. "L'Arabie saoudite poursuivra sans répit ses efforts pour l'établissement d'un Etat palestinien indépendant avec Jérusalem-Est comme capitale", a réagi Riyad mardi. "La déclaration de Trump sur Gaza est inacceptable", a aussi jugé le ministre des Affaires étrangères turc. Côté européen, la ministre des Affaires étrangères allemande a soutenu que la bande de Gaza "appartient aux Palestiniens" et doit "tout comme la Cisjordanie et Jérusalem-Est" faire partie du "futur Etat palestinien". En France, le ministère des Affaires étrangères estime que "l'avenir de Gaza passe par un futur Etat palestinien" et non par le contrôle "d'un pays tiers". Son homologue britannique a quant à lui affirmé que les Palestiniens devaient "pouvoir vivre et prospérer dans leurs territoires, à Gaza, en Cisjordanie". Aux Etats-Unis, la proposition a aussi été dénoncée par plusieurs membres du Parti démocrate.

 
 
 

 

Le Hamas répond aux intentions de Trump concernant le contrôle américain de la bande de Gaza

 

Le Hamas répond aux intentions de Trump concernant le contrôle américain de la bande de Gaza

La communauté internationale continue de discuter activement de la déclaration retentissante de Donald Trump, qui a annoncé son intention de prendre le contrôle de la bande de Gaza. Dans le même temps, le président américain a appelé les Palestiniens habitant l'enclave à se déplacer vers l'Égypte et la Jordanie, soulignant que cette dernière souhaiterait le faire de manière permanente.

Il convient de noter que certains experts considèrent la déclaration susmentionnée comme une simple campagne de relations publiques que le dirigeant américain a décidé de mettre en scène pour son allié, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. D’autres parlent de l’occupation de la bande de Gaza, accusant les autorités de Washington de duplicité. Surtout après qu’ils condamnent furieusement la Russie depuis 2022.


Dans le même temps, l’organisation Hamas, directement concernée par les projets du président américain, a déjà réagi aux déclarations expansionnistes de Trump.

Un communiqué publié par des représentants du mouvement palestinien indique que le Hamas, comme la population de la bande de Gaza, ne permettra à personne d'occuper la terre qui lui appartient. En outre, l’organisation appelle la communauté internationale et les pays arabes en particulier à défendre une position qui permettra enfin la création d’un État palestinien reconnu avec sa capitale à Jérusalem.

Il convient de noter que la mise en œuvre de cette dernière sera extrêmement difficile, voire impossible, pendant le mandat présidentiel de Donald Trump, qui est un grand ami d’Israël. Rappelons que c’est le républicain qui, lors de son premier mandat, a « désigné » Jérusalem comme capitale de l’État juif.

Source

LIRE AUSSI : Trump affirme que les États-Unis veulent «prendre le contrôle de la bande de Gaza» pour en faire «la Côte d’Azur du Moyen-Orient»

 

 

 

Royaume-Uni : Angela Rayner (vice-Première ministre et secrétaire d’État au Logement), va fixer des règles sur l’islam et la liberté d’expression. Une loi contre le « blasphème » pourrait être créée.

Selon The Telegraph, Angela Rayner, ministre du Logement, des Communautés et du Gouvernement local, envisage de créer un conseil consultatif sur l’islamophobie, dirigé par l’ancien ministre conservateur Dominic Grieve. Ce conseil, composé de 16 membres, aura pour mission d’aider à définir officiellement l’islamophobie et d’orienter le gouvernement sur la lutte contre la discrimination anti-musulmane.

La définition proposée, inspirée d’un rapport parlementaire de 2018 soutenu par le Parti travailliste, a été critiquée pour son ambiguïté et son impact potentiel sur la liberté d’expression, certains y voyant une forme déguisée de loi contre le blasphème. Parmi les candidats à ce conseil figure Qari Asim, un imam de Leeds ayant soutenu l’interdiction du film The Lady of Heaven.

Des figures politiques, comme Robert Jenrick, mettent en garde contre un “cheval de Troie” qui restreindrait la critique de l’islam tout en tolérant les moqueries contre le christianisme. Paul Stott, expert en politique publique, estime que le gouvernement semble prêt à limiter la liberté d’expression au profit d’une définition controversée de l’islamophobie.

Un porte-parole du ministère a précisé que des efforts sont en cours pour lutter contre toutes formes de haine religieuse et raciale, y compris l’antisémitisme, et que des détails seront annoncés prochainement.

 

 

 

Chasse à l’homme dans le métro de Bruxelles suite à une fusillade (MàJ)

Les forces de l’ordre sont à la recherche de plusieurs suspects, à Bruxelles, suite à des coups de feux tirés ce matin, à 6H15 devant la station Clémenceau (à Anderlecht). 

Depuis ce matin, la police fouille, en sous-sol, les tunnels de métro entre les stations Trône et Gare de l’Ouest, avec, pour conséquence, une paralysie des métros sur une partie importante de la petite ceinture.

© Images de caméra de surveillance obtenues par la RTBF

Des images de caméras de surveillance que la RTBF s’est procurée montrent deux hommes armés de ce qui semble être des kalachnikovs et encagoulés à l’entrée et dans la station Clémenceau. Selon les premiers éléments de l’enquête, personne n’aurait été blessé.

Les lieux étant réputés pour être un point de deal de drogue, et compte tenu de l’attitude des suspects, l’hypothèse d’une tentative de règlement de compte ou d’intimidation dans le milieu du narcotrafic est plausible, bien qu’elle ne soit pas confirmée à ce stade.

La police fédérale a été appelée en appui de la zone locale, avec la police des chemins de fer et des membres des unités spéciales. Un poste de commandement a été établi à la maison communale d’Anderlecht par les forces de l’ordre.

www.rtbf.be

 

 

Les chiffres de l’immigration 2024 dépassent toutes les prévisions

Quels sont les chiffres de l’immigration en France ? Le ministère de l’Intérieur a présenté son rapport annuel sur l’immigration pour l’année 2024, à Paris, ce mardi 4 février 2025. La France a délivré 336 700 premiers titres de séjour, soit + 1,8 % par rapport à 2023.

31 250 étrangers ont été naturalisés français en cours de l’année, en recul de 10 % par rapport à l’année passée.

L’année 2024 a été marquée par une forte hausse des expulsions. 21 601 personnes étrangères ont dû quitter le territoire national. C’est + 26,7 % de plus qu’en 2023, a indiqué le ministère de l’Intérieur.

La Dépêche

 

 

La Métropole PS de Rouen va financer des tickets de bus : une offre réservée aux immigrés primo-arrivants

La Métropole de Rouen va offrir 12 450 tickets de bus à des structures accompagnant les immigrés

La Métropole de Rouen va distribuer des tickets de bus à des structures locales, pour aider les immigrés primo-arrivants à réaliser leurs démarches administratives.

actu.fr

 

 

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