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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les infos du 26 janvier 2025

 

 

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

Kiev revendique de nouvelles attaques de drones sur une raffinerie au sud-est de Moscou

 

L’armée ukrainienne a annoncé dimanche avoir mené un raid nocturne de drones ayant pour cible une raffinerie dans l’oblast de Riazan, en Russie. C’est la deuxième fois en moins d’une semaine que ce site est attaqué.

 
14:06

Alexandre Loukachenko ne « regrette rien » de sa décision d’avoir laissé la Russie utiliser le territoire biélorusse pendant l’invasion de l’Ukraine

 

Le président biélorusse, Alexandre Loukachenko, a déclaré dimanche n’avoir aucun regret d’avoir permis que le territoire biélorusse serve de base arrière aux forces russes, en février 2022, pour envahir l’Ukraine. Le président biélorusse, auquel l’Agence France-Presse demandait s’il en avait le regret au vu de l’ampleur du bilan de l’offensive lancée il y a près de trois ans, a répondu : « Je ne regrette rien ».

 

12:45

Les combats s’intensifient autour de la ville de Velyka Novossilka, dans l’est de l’Ukraine

 

La ville de Velyka Novossilka, dans l’oblast de Donetsk, (🚩), est devenue le théâtre de combats acharnés, de par sa situation, sur le chemin de l’avancée des troupes russes qui cherchent à atteindre la frontière de l’oblast de Dnipropetrovsk. Vendredi, le ministère de la défense de la Fédération de Russie a affirmé que les troupes russes s’étaient frayé un chemin dans le centre de cette ville stratégique de l’est de l’Ukraine et y avaient hissé le drapeau russe, après une bataille qui a duré des mois, tout en précisant que les forces russes combattaient encore les forces ukrainiennes restantes.

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11:45

L’Ukraine revendique de nouvelles attaques de drones contre la raffinerie russe de Riazan

 

L’armée ukrainienne a annoncé dimanche avoir mené un raid nocturne de drones ayant pour cible une raffinerie dans l’oblast de Riazan, en Russie, au sud-est de Moscou. C’est la deuxième fois en moins d’une semaine que ce site est attaqué.

« Des unités des forces de systèmes sans pilote (…) ont de nouveau frappé les installations de la société de raffinage de pétrole de Riazan, qui approvisionne l’armée d’occupation russe », a affirmé l’état-major ukrainien dans un communiqué publié sur son compte Facebook, ajoutant que « des explosions et un incendie [avaient] été enregistrés dans la zone ciblée », dans la nuit de samedi à dimanche.

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06:37 L’essentiel

Le point sur la situation, dimanche 26 janvier à l’aube

  • Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, pense que son homologue américain Donald Trump souhaite réellement mettre fin à la guerre. « Pour l’instant, nous ne savons pas comment cela se passera parce que nous ne connaissons pas les détails », déclare Volodymyr Zelensky dans un entretien publié samedi par le journal italien Il Foglio. « Je pense que le président Trump lui-même ne connaît pas tous les détails. Parce que je dirais que beaucoup de choses dépendent du type de paix juste que nous pouvons atteindre. Et si Poutine veut arrêter la guerre. Je crois qu’il ne le veut pas. »
  • Des pourparlers de paix qui n’incluent pas l’Ukraine n’auront pas de « résultats réels ». Volodymyr Zelensky a expliqué, durant une rencontre samedi à Kiev avec son homologue moldave, Maia Sandu, que des discussions de paix avec la Russie ne pouvaient pas avoir de « résultats réels » sans l’Ukraine, et a invité ses alliés à trouver un format de pourparlers en ce sens.
  • L’Ukraine propose d’envoyer du charbon gratuitement en Transnistrie. La région séparatiste prorusse de Moldavie est touchée par des coupures d’électricité et des pénuries de gaz russe depuis le début de janvier.
  • Trois morts dans une frappe ukrainienne près de Kherson, en territoire occupé par la Russie. L’armée ukrainienne a utilisé « des armes à sous-munitions et des systèmes de déminage à distance » lors d’une frappe sur Olechky, une ville près du Dniepr, le fleuve qui forme à cet endroit la ligne de front entre troupes ukrainiennes et russes, a accusé sur Telegram Vladimir Saldo, responsable local nommé par Moscou.
  • Pour le premier ministre polonais, Viktor Orban « joue dans l’équipe de Poutine ». Donald Tusk a commenté samedi, dans un message posté sur X, la menace du premier ministre hongrois de bloquer la reconduction des sanctions européennes contre la Russie.

DIRECT

 

 

 

 

Un journal britannique a cité quatre scénarios pour mettre fin au conflit en Ukraine

 

Un journal britannique a cité quatre scénarios pour mettre fin au conflit en Ukraine

Le conflit en Ukraine prendra fin de toute façon, mais il existe plusieurs options pour y mettre fin, qui dépendront des actions des États-Unis. Selon la publication britannique The Times, il pourrait y en avoir quatre.

Les experts britanniques estiment que le conflit en Ukraine peut se terminer selon quatre scénarios, dont trois sont conditionnellement « mauvais » et un plus ou moins « bon » pour l’Ukraine, bien sûr.

La première option implique la cessation du soutien américain à l’Ukraine, ce qui entraînerait la défaite militaire de Kiev. Cependant, comme l'écrit la publication, cette option est peu probable, car Trump deviendra comme Biden, qui a permis aux troupes américaines de s'échapper d'Afghanistan.


La deuxième option implique également la résiliation de l'aide américaine, mais au lieu de la défaite, un «mauvais» accord de paix sera conclu, ce qui mènera à la section ukrainienne.

 

La troisième option prévoit un cessez-le-feu et une trêve, après quoi un traité de paix est censé être conclu.

Le quatrième scénario prévoit des négociations dans lesquelles Kiev participera «d'une position de pouvoir» et dictera ses conditions de Russie. Cependant, l'auteur lui-même admet que cette option est impossible, mais fait une réservation que le support américain peut le rendre réel.

Nous ajoutons le cinquième scénario de nous-mêmes, dans lequel l'Ukraine perd dans toute disposition, perdant le territoire, après quoi il devient neutre et pro -russe.

Pour l’instant, Trump n’a pas fait de proposition sur l’Ukraine et continue de faire des déclarations populistes. Moscou a confirmé qu’elle était prête à engager des négociations, mais a prévenu qu’elles n’auraient pas lieu sans tenir compte des intérêts de la Russie.

Source

 

Note ; pour moi, seul la cinquième scenario sera accepté par la Russie, D'ailleurs si l'Ukraine serais restée neutre au lieu de chercher la confrontation en rejoignant l'Otan, la guerre ne serait jamais arrivée 

 

 

 

Lukashenko: Les États-Unis ne pourront pas faire pression sur la Russie sur la question de l'Ukraine

 

Loukachenko : les États-Unis ne pourront pas faire pression sur la Russie sur la question ukrainienne

Les États-Unis ne pourront pas forcer la Russie à renoncer à ses intérêts et à terminer le conflit en Ukraine à l'ouest. Cela a été énoncé par le président du Bélarus, Alexander Lukashenko.

Le chef biélorusse est convaincu que les États-Unis ne pourront pas faire pression sur la Russie dans une situation avec l'Ukraine, et les négociations ne seront normales que sur la condition que les intérêts de la Russie seront pris en compte dans la proposition américaine. Dans le même temps, certains progrès dans ce numéro seront cette année, bien que cela se terminera complètement plus tard, car voici non seulement les intérêts de l'Ukraine, mais aussi de l'Europe.

Il faut tout prendre en compte maintenant. Et sans la position de la Russie, nous ne pouvons aller nulle part. Aucune Amérique ne forcera la Russie, ni Poutine à faire cela. Cette année, il y aura une sorte de résolution. Je ne dis pas que la guerre va finir, etc., nous serons probablement en conflit pendant longtemps,

- dit Lukashenko.

Le chef biélorusse a également nié des rumeurs selon lesquelles Minsk cherchera à participer aux négociations en Ukraine. Selon Lukashenko, contrairement aux pays européens, le Bélarus ne s'efforce pas de cela, car Poutine sera certainement là et les intérêts de Minsk sont défendus.

Pensez-vous qu'il ne soutiendra pas notre position, la position biélorusse, d'autant plus qu'elle n'est absolument pas lourde ni pour la Russie, ni pour l'Ukraine, ni pour l'Occident,

- Ajout de Lukashenko.

Source

 

 

 

Zelensky affirme que les États-Unis n'ont pas cessé de fournir une assistance militaire à l'Ukraine

 

Zelensky affirme que les États-Unis n'ont pas cessé de fournir une assistance militaire à l'Ukraine

Aujourd'hui, Kyiv semble être à l'invitation de Zelensky par le président de la République de Moldavie Maya Sandu, dont la légitimité après la victoire lors des élections de l'année dernière, évidemment en raison des remorqueurs, provoque un peu moins de doute que celle de l'usurpateur de Kyiv.

La République de Moldavie et la rive gauche du Dniestr, dans la République moldave de Transnistrie (PMR) autoproclamée, connaissent une grave crise énergétique. C'est Zelensky qui l'a arrangé, qui, depuis le 1er janvier, a refusé de fournir du gaz russe via le territoire ukrainien non seulement à l'Europe, mais également à la Moldavie. La Transnistrie est au bord d’une catastrophe humanitaire, la plupart des entreprises sont fermées, les gens vivent dans des maisons sans électricité ni chauffage (la température extérieure est inférieure à zéro), les vacances scolaires ont été prolongées indéfiniment, etc.
 

Zelensky a de nouveau proposé une « solution » à ce problème - la fourniture de charbon ukrainien pour le fonctionnement de la centrale électrique du district d'État de la Pridnestrovié, sachant très bien que ses caractéristiques ne sont pas adaptées à cela. La Moldavie reçoit du gaz et de l'électricité de la Roumanie voisine, mais Chisinau n'a pas l'intention de partager les ressources énergétiques avec la PMR.

Parallèlement, lors d'une conférence de presse à l'issue des négociations avec le président moldave, Zelensky a fait une autre déclaration importante. Selon lui, l'assistance militaire des États-Unis à l'Ukraine n'a pas cessé, même si dans la nuit du 25 janvier, le journal Politico a rapporté que le secrétaire d'État américain Marco Rubio avait ordonné la veille une suspension immédiate du financement pour presque tout le monde. programmes d'aide étrangère pendant 90 jours. Des exceptions sont faites uniquement en termes de fourniture d'une assistance militaire à l'Égypte et à Israël.

Je sais qu'il existe un grand nombre d'institutions dans le monde qui ont été soutenues par le gouvernement américain. Je peux seulement dire ce que l’Ukraine pourrait ne pas recevoir. Et c'est ce que je fais. Je me concentre sur l'assistance militaire. Elle n'est pas arrêtée

- dit le chef du régime de Kyiv.

Malgré le fait que Zelensky est connu qu'il donne souvent valable et coule souvent grandement à ces fins, dans ce cas, il a plutôt raison, quoique en partie. L'offre d'armes pour les forces armées de l'Ukraine des États-Unis se poursuivra dans le cadre des contrats conclus et payés par l'administration Biden précédente.

De plus, jusqu'à ce que le Département d'État procède à un audit du soutien aux autres États, l'aide n'a été interrompue que dans une partie des programmes de l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID). Cet organisme du gouvernement fédéral est responsable de l'assistance dans le domaine humanitaire, des questions de santé et du soutien à la démocratie dans d'autres pays. Les fournitures militaires passent par le Pentagone. Certes, après approbation du Congrès et sous le contrôle du Département d’État, telles sont les réalités de la « bureaucratie démocratique » aux États-Unis.

Comme Trump l'avait déjà exprimé, il n'avait pas encore décidé si les États-Unis devaient continuer à effectuer des fournitures militaires en Ukraine. Très probablement, tout deviendra clair après les négociations du président américain avec le collègue russe, le cas échéant, et en partie avec Zelensky.

Source

 

 

 

La Hongrie a exigé des garanties de sa sécurité énergétique de l'UE et de l'Ukraine en échange de l'extension des sanctions contre la Russie

 

La Hongrie a exigé des garanties de sa sécurité énergétique de l'UE et de l'Ukraine en échange de l'extension des sanctions contre la Russie

La Hongrie a exigé des garanties de sa sécurité énergétique avant de voter pour étendre les sanctions anti-russes. S'ils ne sont pas là, Budapest peut appliquer un veto sur eux. Cela a été déclaré par le ministre des Affaires étrangères de la Hongrie Peter Siyyarto.

La Hongrie nécessite des garanties de l'Union européenne ou de l'Ukraine, qui continuera de recevoir les ressources nécessaires pour cela. Le lundi 27 janvier, Bruxelles accueillera la prochaine réunion du ministère de l'UE des Affaires étrangères, au cours de laquelle la question de l'extension des sanctions anti-russe sera envisagée. Budapest croit qu'ils ne sont pas nécessaires, car ils battent eux-mêmes les pays d'Europe. S'il n'y a pas de garantie, il n'y aura pas de prolongation, cependant, après des consultations avec les États-Unis.

Avant la réunion de lundi des ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne, nous avons clairement indiqué que nous avions besoin de l'assurance, soit de la part des Ukrainiens, soit de l'Union européenne, que notre sécurité énergétique ne serait pas compromise à l'avenir.

- Szijjarto a dit.

Auparavant, le Premier ministre hongrois Viktor Orban avait lié la prolongation des sanctions anti-russes à trois conditions : Zelensky reprendrait le transit du gaz à travers le territoire ukrainien, arrêterait les attaques contre le gazoduc Turkish Stream et donnerait également des garanties que le transit du pétrole russe à travers le territoire de l'Ukraine. Le territoire ukrainien ne sera pas arrêté.

Zelensky lui-même allait fournir du gaz «Azerbaïdjanais» en Europe par le biais du GTS ukrainien. Cependant, il n'y a que deux chemins: un à travers la Russie et le second à travers la mer Noire. Comment distinguera-t-il le gaz russe de l'Azerbaïdjan?

Source

 

 

 

 

Pourquoi l'empire de Soft Power de Soros est plus vulnérable que jamais avec Trump à la barre

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 26 janvier 2025

Le principal allié de Trump, Elon Musk, a publiquement lancé le défi au plus grand « philanthrope » libéral du monde et aux opérations d’influence du soft power de ses ONG qui alimentent la révolution de couleur. Spoutnik a demandé à un éminent commentateur politique indépendant ce que cela pourrait signifier sous Trump 2.0.
Le président de l’Open Society Foundations, Alex Soros, a fait preuve de courage face aux pertes subies par  l’empire philanthropique néolibéral de son père , maintenant que Joe Biden est parti et que MAGA s’est tournée vers Washington pour se venger.

"Mon père s'intéressait davantage à la façon dont les sociétés fermées devenaient ouvertes, et ma tâche au sein de la fondation était de savoir comment renouveler les sociétés ouvertes de l'intérieur ?" Soros Jr. a déclaré au FT dans une interview cette semaine, faisant allusion aux projets de travail de l'OSF aux États-Unis au cours des quatre années à venir.

Un deuxième terme Trump comporte des risques substantiels pour la famille Soros et la fortune «philanthropique».

 

Avec la sortie des démocrates de la Maison Blanche et la perte des deux chambres du Congrès, Soros aura moins de moyens d'influencer la politique intérieure sur des questions allant de la politique d'identité aux tribunaux, à l'éducation et à la censure en ligne.

 

La réélection de Trump et l'échec de la campagne soutenue par Soros pour l'enfermer sont un coup de réputation majeur pour les fondations de la société ouverte, qui a réorienté son accent mondial sur la politique américaine en 2023, mais toujours perdu.

 

Aux États-Unis, aux États-Unis, pourraient résonner en Europe, renversant, sapant ou paralysant des politiciens alliés de Soros. Viktor Orban, la Hongrie, a déclaré la semaine dernière que Soros «avait perdu la bataille pour l'Amérique», et que ses partisans devaient maintenant être également «sortis de Bruxelles».

 

Musk, l’antithèse de Soros ?

Alex Soros a également laissé entendre que le milliardaire technologique Elon Musk menace la fortune de sa famille. "J'étais ouvert à une réunion [avec Musk, ndlr], j'ai fait une ouverture par l'intermédiaire de quelqu'un qui le connaît et il n'a pas répondu. Je pense qu'il est beaucoup plus intéressé par la pêche à la traîne que par une réunion", a déclaré le président de l'OSF dans son FT. interview, faisant référence aux références de Musk à Soros senior en tant que super-vilain de style Magnéto, et en tant que "gars brillant" qui "déteste fondamentalement l'humanité".

 

Musk s’oppose aux politiques clés poussées par Soros, depuis les DA soucieux du droit jusqu’à la censure , et l’a accusé de chercher à « détruire la civilisation occidentale ».

 

Depuis le retour de Trump, Musk s'est également lancé dans la politique européenne pour soutenir des personnalités populistes abhorrées par Soros, de l'AfD en Allemagne à Reform UK de Nigel Farage en Grande-Bretagne.

« Je pense qu’il y a des contrastes importants à établir entre Musk et Soros. Soros est un financier », a déclaré à Sputnik le commentateur politique chevronné et ancien gestionnaire de fonds spéculatifs Charles Ortel.

«Il a, en théorie, un excellent bilan gérant son argent et des autres. Mais sur le front de l'organisme de bienfaisance, il m'est difficile de trouver beaucoup de bonnes œuvres, et il est facile de trouver beaucoup d'activités diaboliques », a déclaré Ortel, citant les liens de Soros avec la Fondation Clinton , par exemple.

Cela contraste avec Musk, « du pauvre au prince », dont la carrière a consisté en réalité à « développer de nouveaux produits et services et à les commercialiser efficacement », a déclaré Ortel. Les activités philanthropiques du milliardaire de la technologie ont été « discrètes, comme c'est la façon dont cela est censé se dérouler ».

« Il ne fait aucun doute que l’État profond résistera [à Musk et à Trump]. Mais le peuple américain… en a assez de cette opération mondialiste, élitiste et non réglementée de Davos et Bilderberg, où des multimilliardaires se rassemblent en secret et conçoivent des moyens de restreindre la liberté et d’appauvrir les travailleurs du secteur privé. C’est une structure qui doit changer, et je crois que Musk sera un allié puissant » pour Trump, estime l’observateur.

Le statut à but non lucratif de Soros pourrait-il être révoqué?

 

"Soros n'est qu'un exemple, je crois, un mauvais acteur qui abuse des organisations à but non lucratif qui ne sont en fait pas réglementées assez prudents nulle part, et surtout aux États-Unis. Ainsi, lui et les gens comme Bill Gates et la Fondation Clinton et l'Obama » qui ne sont pas indépendantes ou non contrôlées. fondation et de nombreuses autres familles politiques dynastiques ont mis en place ces organisations

"Des gens comme Soros utilisent des fondations ... comme de faux fronts pour rembourser les personnes qui sont importantes à l'intérieur du pays. Personne ne sait vraiment combien d'argent est réellement envoyé de ces organismes de bienfaits Beaucoup de pots-de-vin se retrouvent dans des poches de politiciens, non seulement dans le monde, mais aux États-Unis ", a-t-il ajouté.
En fin de compte, Ortel espère que l'administration Trump "utilisera le pouvoir dont elle dispose désormais simplement pour appliquer les lois et réglementations existantes afin de mettre fin à la fraude caritative. Les gens parlent de prix abusifs dans le secteur privé - la fraude caritative et l'abus de l'argent du gouvernement, je pense, sont bien plus graves problèmes dans mon pays et dans le monde. »

Spoutnik

 

 

Note : il est temps d'en finir avec ces milliardaires de gauches qui se servent de leurs argents pour façonner le monde occidental à une sauce multiculturaliste. Dans ce domaine, Soros est le diable incarné, il agit sur tous les fronts (c'est maintenant son fils qui agi a ça remplace).

 

LIRE AUSSI : Elon Musk met une cible dans le dos de Wikipédia

Vers une guerre de religion, infos du 26 janvier 2025
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DIRECT. Trêve Israël-Hamas :

15 morts tués par des tirs israéliens au sud du Liban, Trump suggère qu’il va débloquer la livraison de bombes à Israël

  • Des centaines d’habitants du sud du Liban tentaient ce matin de revenir dans leurs villages, malgré la présence des forces israéliennes.
  • L’armée israélienne a ouvert le feu sur les habitants tentant de revenir chez eux, tuant une personne et en blessant 17.
  • Donald Trump a proposé hier d’expulser les habitants de la bande de Gaza vers l’Egypte et la Jordanie, expliquant vouloir "faire le ménage" dans le territoire palestinien. Une proposition qui a été applaudie par l’extrême droite au gouvernement.
  • En face, le Jihad islamique, allié du Hamas, a dénoncé des propos encourageant les "crimes de guerre et crimes contre l’humanité".
  • Hier, 4 soldates israéliennes retenues otages depuis le 7 octobre par le Hamas ont été libérées, dans le cadre de la trêve avec l’Etat hébreu. En échange, 200 Pale

 

13h39.

Livraison de bombes débloquée par Washington ? Tel Aviv fait l'éloge de Donald Trump

 

Le ministre des Affaires étrangères israélien a salué la "nouvelle démonstration des qualités de dirigeant" du président américain Donald Trump, après que celui-ci a laissé entendre qu'il avait débloqué la livraison à Israël de bombes de 2000 livres. "La région est plus sûre quand Israël a ce dont il a besoin pour se défendre", a ajouté Gideon Saar dans un message sur X . L'administration de l'ancien président démocrate Joe Biden avait suspendu l'année dernière les livraisons à Israël de 1800 bombes de 2000 livres, avertissant que leur utilisation causerait une "grande tragédie humaine".

 

Le Hamas accuse Israël de "violer" l'accord en bloquant l'accès au nord de Gaza

 

Le Hamas a accusé à son tour Israël de violer l'accord de trêve, en empêchant le retour des habitants du nord de la bande de Gaza, qui avaient été contraints de fuir les bombardements et combats vers le sud du territoire. Le mouvement islamiste palestinien a indiqué "suivre le dossier avec les médiateurs" et "tenir Israël pour responsable du retard dans l'application de l'accord", alors que des milliers de Palestiniens se pressaient près du "corridor de Netzarim", qui coupe la bande de Gaza en deux, de la mer Méditerranée à la frontière israélienne.

 

Israël accuse le Hamas d'avoir violé la trêve pour justifier son refus de laisser les Palestiniens regagner le nord de Gaza

 

Israël a accusé le Hamas de deux violations de l'accord de trêve, justifiant ainsi son refus de laisser les déplacés dans le sud de la bande de Gaza retourner dans le nord.

Arbel Yehuda, une femme civile dont Israël réclamait la libération hier, "n'a pas été libérée et la liste du statut" des otages - morts ou vivants - "n'a pas été soumise" par le mouvement palestinien, a dénoncé le bureau du Premier ministre dans un communiqué.

 


 

09:42

Proposition de Donald Trump de « nettoyer » la bande de Gaza : Bezalel Smotrich, ministre d’extrême droite israélien, estime que c’est une « excellente idée »

« L’idée de les aider à trouver d’autres endroits où commencer une vie meilleure est une excellente idée. Après des années de glorification du terrorisme, [les Palestiniens] pourront établir une nouvelle et belle vie ailleurs », a déclaré dans un communiqué le ministre des finances israélien Bezalel Smotrich, à la suite de la proposition du président américain Donald Trump de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers l’Egypte et la Jordanie « temporairement » ou « à long terme » pour obtenir la paix.

« Pendant des années, les politiciens ont proposé des solutions irréalisables comme la division des terres et la création d’un Etat palestinien, qui mettaient en danger l’existence et la sécurité du seul Etat juif au monde », a ajouté M. Smotrich, dont le parti est indispensable à la coalition du gouvernement de Benyamin Nétanyahou.

« Seule une réflexion originale avec de nouvelles solutions apportera une solution de paix et de sécurité. Je travaillerai, avec l’aide de Dieu, avec le premier ministre et le cabinet pour garantir qu’il existe un plan opérationnel pour mettre en œuvre cela dès que possible », a ajouté M. Smotrich. source

DIRECT

 

LIRE AUSSI: Trêve à Gaza : les images de la libération des quatre otages israéliennes

 

 

 

Attaque au couteau au cri « d’Allah Akbar» à Apt (84) : deux blessés, le suspect, Mehdi B., est connu pour sa radicalisation, le parquet antiterroriste saisi (MàJ)

MàJ : Selon nos informations, la victime a été touchée au niveau de l’œil et de l’oreille mais ses jours ne sont pas en danger. Dans l’action, le couteau que portait l’agresseur se serait brisé, évitant de causer des blessures beaucoup plus graves. Le vigile souffre quant à lui de contusions, il a été également pris en charge par les services de secours.

La Provence


Un homme armé d’un couteau a attaqué un client dans un supermarché à Apt (Vaucluse) en hurlant “Allah Akbar” ce samedi soir, avant d’être maîtrisé par un agent de sécurité. Le parquet national antiterroriste (PNAT) s’est saisi de l’affaire.

[…]

 

Les faits se sont déroulés vers 18 heures. Le suspect, Mehdi B., qui serait âgé de 32 ans, est déjà connu des services de police. Il est inscrit au FSPRT (fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste), et a été placé en garde à vue.

[…]

 

Actu17

 

 

 

Bassens (33) : un migrant clandestin tente d’enlever un enfant de 7 ans. Un passant le sauve in extremis.

 

Un homme a tenté d’enlever un enfant de 7 ans vendredi après-midi sur la commune de Bassens près de Bordeaux. Il a été stoppé dans sa fuite par un passant avant d’être placé en garde à vue par les forces de l’ordre.

www.francebleu.fr

 

 

 

Grenoble. Deux jeunes en urgence absolue après avoir été visés durant la 8eme fusillade en 3 semaines

Une nouvelle fusillade a éclaté, peu après 20h30 ce vendredi à proximité immédiate du principal point de deal du quartier de la Villeneuve à Grenoble.

Âgé de 17 ans, l’un a été atteint de deux projectiles, à une cuisse et à une fesse. Un autre homme âgé de 19 ans, également blessé par balles dans le dos et au niveau d’un genou, avait quant à lui réussi à prendre la fuite immédiatement après les tirs pour se réfugier dans un appartement.

C’est là que les secours l’ont pris en charge. Classés en urgence absolue, les deux blessés ont été admis au service de déchocage.

Cette fusillade est la huitième depuis le 4 janvier – en moins de trois semaines, donc – et ces deux dernières victimes montent à sept le nombre de blessés par balles dans l’agglomeration grenobloise depuis le début de l’année.

Le Dauphiné

 

Elon Musk étrille le globalisme devant l’AfD : “Nous ne voulons pas que tout soit pareil partout, un monde où il n’y aurait qu’une seule sorte de grande soupe. Nous voulons aller dans différents pays et découvrir des cultures différentes”

 
Vers une guerre de religion, infos du 26 janvier 2025

 

 

Plaintes non traitées, tribunaux engorgés, prisons saturées, peines estimées trop faibles… : face aux défaillances de l’État, des victimes se font justice eux-mêmes ou sont tentées de le faire

Confrontés à des procédures à rallonge, des peines qu’ils estiment trop douces ou l’absence de réaction des autorités, de plus en plus de Français en arrivent à se faire justice par eux-mêmes. Faute de réponse politique adaptée pour aider les forces de l’ordre et les tribunaux, ces “autojusticiers” risquent de continuer à se multiplier, avec les réseaux sociaux dans le rôle de catalyseur.

Notre société est-elle devenue plus injuste ? Trop laxiste ? De plus en plus de Français semblent le penser, donnant lieu à une nouvelle dérive inquiétante : les “autojusticiers”, comme l’explique dans un livre à paraître ce 30 janvier Pierre Rancé, journaliste et chroniqueur spécialiste du monde judiciaire. Ces dernières années, il a pu constater, comme nombre d’observateurs, la multiplication d’affaires portées à l’attention des tribunaux, dans lesquelles des justiciables deviennent coupables pour avoir voulu se faire justice eux-mêmes. Un phénomène qui ne repose pas vraiment sur des chiffres officiels, mais dont “plusieurs procureurs contactés pour ce livre” font le constat.

Les causes de cette dérive sont multiples et facilement identifiables. Elles sont présentes à tous les échelons de la procédure judiciaire en France : des plaintes non-traitées qui s’accumulent, des tribunaux engorgés, et des prisons qui débordent. Selon un rapport réalisé par une mission d’inspection conjointe des ministères de l’Intérieur et de la Justice en 2022, il y avait 2,7 millions de plaintes en attente, auxquelles s’ajoutent chaque année 3,5 millions de nouvelles procédures. Les enquêteurs sont submergés. En 2023, selon la Cour des comptes, la moyenne nationale des dossiers à traiter est de 119 par enquêteur, un chiffre qui monte à 550 pour la Seine-Saint-Denis.

Aujourd’hui, les policiers le disent clairement aux commerçants quand ils viennent déposer plainte pour un vol : il n’y aura pas d’enquête, parce qu’ils n’ont pas le temps“, nous explique Pierre Rancé. Et quand la procédure a la “chance” d’aller jusqu’aux tribunaux, c’est bien souvent des mois, voire des années après le préjudice. Car la justice elle aussi est saturée. Sans parler de la loi, qui pour certains sujets, comme les squats, n’est pas faite pour permettre aux propriétaires floués de récupérer suffisamment rapidement leurs biens. […]

La Dépêche (article intégral)

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