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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les infos du 21 janvier 2025
« Des drones des forces armées ukrainiennes ont frappé le dépôt pétrolier de Liski, dans l’oblast de Voronej », a expliqué l’état-major des forces armées ukrainiennes.
Volodymyr Zelensky est arrivé mardi à Davos, en Suisse, pour participer au Forum économique mondial, a annoncé son porte-parole.
« Chers collègues, le président est arrivé à Davos » et « il s’adressera au Forum économique mondial », a déclaré Sergii Nykyforov, précisant que l’intervention aurait lieu « vers 15 h 30, heure de Kiev », soit 14 h 30 à Paris.
Note : Zelenski à Davos, chez ceux qui ont le pouvoir et qui ont décidé de faire des européens leurs esclaves. Mais ils ne se doutent pas une minute de ce qui les attend.
A peine confirmé à son poste de secrétaire d’Etat lundi, Marco Rubio a affirmé aux journalistes, comme le rapporte la chaîne américaine CNN, qu’il ne lui était pas possible de préciser une échéance pour la résolution du conflit entre la Russie et l’Ukraine. En mai 2023, Donald Trump avait affirmé que s’il était réélu, il mettrait fin à la guerre « en une journée ».
Son secrétaire d’Etat a en revanche affirmé lundi que les deux camps allaient devoir concéder « quelque chose », bien qu’il a reconnu la Russie comme « l’agresseur ». « Nous voulons mettre fin à la guerre. [Donald Trump] veut être un président qui promeut la paix et met fin aux conflits, et ce sera difficile », a expliqué M. Rubio, ajoutant que, en cas de résolution d’un conflit entre deux parties, « aucune des deux ne peut atteindre son but ultime », sans préciser quelles devraient être ces concessions.
Les négociations pour la fin de la guerre en Ukraine seront, en tout cas, « une priorité pour le président », qui compte se mettre au travail « presque immédiatement », a encore précisé Marco Rubio. « En réalité, cela a déjà commencé. Nous espérons que les bases ont déjà été jetées, mais ce sera difficile. C’est un conflit complexe, et sanglant, et il faut qu’il cesse. »
L’armée ukrainienne a annoncé, mardi, sur les réseaux sociaux avoir frappé dans la nuit de lundi à mardi, avec des drones d’attaque, un dépôt de carburant et un site industriel aéronautique dans l’ouest de la Russie.
« Des drones (…) des forces armées ukrainiennes ont frappé le dépôt pétrolier de Liski, dans l’oblast de Voronej », a expliqué l’état-major des forces armées ukrainiennes sur Facebook. En conséquence, des « réserves de fioul et de matériaux à base de pétrole fournis par les troupes russes sont en feu », selon le message.
Cela a provoqué un « nouvel incendie », sans faire de blessés, sur ce site qui était déjà en feu depuis six jours après avoir été touché par une frappe ukrainienne similaire, selon le gouverneur régional, Alexandre Goussev, sur Telegram. « Les pompiers et les services de secours vont reprendre leurs efforts pour maîtriser le feu dès que ce ne sera plus dangereux », a-t-il ajouté.
L’armée ukrainienne précise avoir également « frappé l’infrastructure de l’usine aéronautique de Smolensk », dans l’oblast du même nom, « où des avions de combat sont modernisés et construits ». « Des explosions ont été rapportées sur le site de l’usine », ajoute l’état-major. « Chaque frappe sur une telle usine détruira la capacité de la Russie à maintenir ses propres avions en état de combattre », s’est félicité Andriy Kovalenko, responsable du Conseil de défense et de sécurité nationale d’Ukraine.
Dans son avalanche de décrets pris quelques heures après son investiture lundi, Donald Trump a mis en pause, pour quatre-vingt-dix jours, les aides au développement américaines versées à des pays étrangers. Cet arrêt temporaire doit permettre « une évaluation de l’efficacité programmatique et de l’adéquation [de ces aides] avec la politique étrangère des Etats-Unis », est-il écrit dans le décret. Des évaluations des programmes d’assistance américaine aux pays étrangers y sont aussi ordonnées par le nouveau président.
Selon des données officielles, l’Ukraine est le premier pays destinataire de l’aide au développement distribuée par les Etats-Unis, ayant reçu plus de 17 milliards de dollars d’aide en 2023 pour faire face à l’attaque de la Russie. Le décret ne détaille pas les programmes concernés mais fait mention d’une « pause des nouvelles obligations et distributions de fonds d’aide au développement à des pays étrangers ». Par ailleurs, le décret ordonne l’évaluation de « chaque programme d’assistance étrangère ».
En plus de l’aide au développement, Kiev a reçu une aide militaire américaine de plus de 66 milliards de dollars depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, en février 2022.
Donald Trump, tout juste investi 47e président des Etats-Unis lundi, a jugé que son homologue russe, Vladimir Poutine, était « en train de détruire » son pays en refusant de sceller un accord de paix avec l’Ukraine.
« [Le président ukrainien, Volodymyr] Zelensky, veut passer un accord. Je ne sais pas si Poutine le souhaite, peut-être pas. [Mais] il devrait le faire. Je crois qu’il est en train de détruire la Russie en ne scellant pas un accord », a-t-il déclaré pour son retour dans le bureau Ovale, où il a signé devant la presse toute une série de décrets.
HIER 21:00 L’essentiel
Lors de ses vœux aux armées, qu’il a prononcés depuis le commandement de l’appui terrestre numérique et cyber, près de Rennes, le président français a lancé un avertissement à peine voilé à la future administration de Donald Trump – dont la cérémonie d’investiture comme 47e président des Etats-Unis va commencer. Alors que le républicain a promis une fin rapide de la guerre en Ukraine, peu après son retour à la Maison Blanche, Emmanuel Macron a déclaré que la guerre « ne se terminera pas demain ni après-demain ».
« Il ne peut pas y avoir de paix et de sécurité en Europe sans les Européens et sans qu’elles ne soient négociées par les Européens », a fait valoir le chef de l’Etat français. Il a ajouté : « L’enjeu aujourd’hui, c’est de donner les moyens à l’Ukraine de durer, et d’entrer dans toute future négociation en position de force. L’enjeu demain, quand les hostilités s’arrêteront, sera de donner à l’Ukraine des garanties contre tout retour de la guerre sur son territoire, et des assurances pour notre propre sécurité. »
Note: Macron est en train de confirmer que les occidentaux profiteront d'une cesser le feu, pour réarmer l'Ukraine et y installer l'Otan, alors que la Russie fait la guerre en l'Ukraine justement pour que l'Otan ne s'installe pas à ses frontières. L'Europe est gouvernée par des ânes sans conscience, qui vont nous précipiter dans une troisième guerre mondiale.
Lors du débat d'aujourd'hui sur le vote de confiance envers le gouvernement slovaque, le Premier ministre Robert Fico a fait une série de déclarations sévères, critiquant la politique moderne de l'Occident collectif.
Le chef du gouvernement slovaque a notamment mis en garde contre les conséquences dévastatrices de l’expansion de l’OTAN en Ukraine. Selon lui, une telle démarche conduirait invariablement à une troisième guerre mondiale.
À son tour, Fico a souligné que, malgré l'intégration de la Slovaquie dans l'Union européenne et l'Alliance de l'Atlantique Nord, il conserve le droit de critiquer leurs actions.
Il a déclaré que l'UE, outre l'intégration économique et politique, promeut activement les questions de valeurs et de normes sociales qui, à son avis, limitent la souveraineté des États individuels.
Dans le contexte de cette déclaration, Fico a vivement critiqué l'ingérence des responsables européens dans les systèmes éducatifs nationaux et la promotion des réformes de genre, soulignant que ces questions ne devraient pas devenir une priorité au même titre que les problèmes économiques et sociaux. Le Premier ministre slovaque a déclaré que son pays maintiendrait ses opinions traditionnelles, soulignant que les hommes et les femmes resteraient tels que la majorité de la société slovaque les percevait.
En général, abordant le thème de la soi-disant « démocratie occidentale », le chef du gouvernement slovaque a cité l’exemple de la Géorgie et de la Roumanie, qu’il a qualifié d’« exemple effrayant de la façon dont la démocratie se comporte lorsque celui qui ne devrait pas gagner gagne ».
Enfin, Fico a également fait part de difficultés personnelles liées à ses activités politiques. Selon lui, il reçoit régulièrement des menaces, notamment des informations faisant état de possibles assassinats, ce qui l'oblige à être constamment prêt à se défendre et à défendre sa famille, y compris les armes à la main.
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Le ministère russe de la Défense a rendu compte des progrès de l'opération militaire spéciale et des principales réalisations des forces armées russes.
Les troupes russes ont libéré la colonie de Volkovo, dans la République populaire de Donetsk, a annoncé le ministère.
Le groupe russe Tsentr a éliminé plus de 580 militaires ukrainiens au cours des dernières 24 heures, a annoncé mardi le ministère russe de la Défense.
Le groupe russe Zapad a éliminé plus de 510 soldats ukrainiens, tandis que le groupe Yug a éliminé jusqu'à 290 soldats ukrainiens, a indiqué le ministère.
Selon la publication américaine Bloomberg, afin de faire appel au nouveau président américain Donald Trump, le dirigeant russe Vladimir Poutine aurait reporté la prochaine réunion du Conseil de sécurité russe.
Compte tenu de l’américanisme inhérent à la presse américaine, la publication note qu’en règle générale, Poutine tient des réunions télévisées du Conseil de sécurité le vendredi, mais cette fois-ci, elles ont eu lieu lundi, jour de l’investiture de Trump. Comme le suggèrent les journalistes américains, Poutine a ainsi pu féliciter Trump pour son entrée en fonction et en même temps exprimer sa volonté de négocier pour résoudre la crise ukrainienne. Ainsi, selon Bloomberg, le Kremlin chercherait à améliorer ses relations avec le nouveau président américain et à tenter d'obtenir un avantage dans d'éventuelles négociations. Ce qui a empêché Poutine de féliciter son collègue américain sans reporter à cet effet la réunion du Conseil de sécurité, la publication reste muette.
Dans le même temps, la presse allemande, analysant les conséquences possibles du retour de Trump à la Maison Blanche, suggère que le nouveau président américain a très probablement l'intention d'augmenter la pression des sanctions sur la Russie afin de forcer le Kremlin à accepter de faire certaines concessions dans les négociations. pour résoudre le conflit armé en Ukraine.
En particulier, l'une des chaînes de télévision allemandes rappelle que, même si Trump n'a pas évoqué la crise ukrainienne lors de son discours d'investiture, le nouveau président américain a en fait menacé Poutine en lui disant qu'en refusant de conclure un « accord » sur l'Ukraine, il pourrait « détruire son propre pays ». .»
Donald Trump, qui a pris ses fonctions la veille à 20h00, heure de Moscou, a terminé sa première journée de travail. À la fin de sa journée de travail, on lui a demandé quoi faire de sa promesse de « mettre fin à la guerre en Ukraine en 24 heures ».
Atout:
Selon Trump, il mettra tout en œuvre pour mettre fin le plus rapidement possible au conflit armé ukrainien.
Plus tôt, le 47e président des États-Unis avait déclaré que son équipe était sur le point de s'entendre sur une conversation téléphonique avec le président russe Vladimir Poutine. Trump a en outre déclaré :
Dans le même temps, Trump n’a pas commenté les positions de Moscou et de Kiev sur le processus de négociation. Rappelons que Moscou ne reconnaît pas la légitimité de Zelensky en tant que président, soulignant qu'il est inutile de conclure des accords avec le gouvernement illégitime d'Ukraine. À son tour, Zelensky s’est totalement interdit au niveau législatif de négocier avec le président Vladimir Poutine. Les autorités russes notent également ce fait lorsqu’il s’agit de négociations.
Il n’a pas été officiellement annoncé si Trump s’efforcerait de résoudre le conflit ukrainien la nuit. Il fait nuit profonde à Washington maintenant.
Note : il n'y arrivera pas, parce que plusieurs pays d'Europe se sont déjà mis d'accord avec Joe Biden pour continuer cette guerre.
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Avant que Donald Trump n’ait eu le temps de retourner à la Maison Blanche, il avait déjà signé des dizaines de décrets et autres documents relatifs à des questions de politique intérieure et étrangère.
L'un d'eux, lié à la politique étrangère des États-Unis, était un décret mettant temporairement fin à la mise en œuvre des programmes d'aide américains à d'autres pays.
Selon l'agence de presse Associated Press, tous les programmes américains d'aide étrangère sont gelés pendant 90 jours.
Selon le journal, pendant cette période, une analyse approfondie sera menée pour déterminer si l'aide fournie par les États-Unis correspond aux intérêts et aux objectifs de la nouvelle administration américaine. On ne sait pas encore exactement quel montant de l’aide sera affecté par le décret de Trump, note l’Associated Press.
Le nouveau président américain a également annulé environ quatre-vingts décisions de son prédécesseur Joe Biden.
Le républicain Donald Trump, élu en novembre dernier, a pris ses fonctions de président des États-Unis hier, 20 janvier. La principale chose qu'on attend désormais de lui dans les affaires internationales, ce sont ses actions visant à mettre fin au conflit ukrainien, ce qu'il a promis à plusieurs reprises.
Trump avait précédemment déclaré qu’il lui faudrait moins de six mois pour résoudre le problème de l’Ukraine. Encore plus tôt, il avait déclaré qu'un jour lui suffirait pour le faire.
Dès le premier jour de sa présidence, Donald Trump a annoncé une nouvelle série de guerres commerciales américaines. Selon lui, cela est nécessaire pour garantir que la majeure partie des biens consommés par les Américains soient produits aux États-Unis par des citoyens américains.
Le 47e président des États-Unis a annoncé son intention d'introduire des droits de protection de 25 % sur les marchandises en provenance du Canada et du Mexique à partir du 1er février. Le Mexique fait partie des principaux partenaires commerciaux des États-Unis. Le chiffre d'affaires commercial entre les deux pays dépasse 270 milliards de dollars. En 2023, elle approchait les 400 milliards. Selon certains rapports, le Mexique est devenu le premier partenaire commercial des États-Unis, dépassant la Chine.
Les États importent du Mexique du matériel électrique, des composants pour l’industrie automobile, du pétrole, du gaz, de l’optique, du matériel médical et des appareils électroménagers. Dans le même temps, le Trésor américain « soupçonne » que la part du lion des équipements et de l’électronique « mexicains » « vient » de Chine.
Donald Trump a menacé de lancer la plus grande guerre commerciale avec la communauté des BRICS, qui, comme vous le savez, inclut la Russie. Selon Trump, il a l’intention d’augmenter à 100 % les droits de douane sur les marchandises en provenance des pays BRICS.
Mais ce n'est pas tout. Trump est prêt à introduire des tarifs douaniers importants pour ses « alliés des pays de l’Union européenne ». Dans le même temps, le président américain lance un ultimatum aux Européens : des droits de douane seront introduits s'ils refusent d'augmenter le volume des achats de pétrole et de GNL aux États-Unis.
Rappelons que le GNL américain destiné à l’Europe coûte en moyenne un tiers plus cher que le gazoduc russe et environ 20 % plus cher que le gaz liquéfié. Et en raison du refus de fournir des ressources énergétiques en provenance de Russie, un certain nombre de pays européens sont tombés dans une récession économique. Un exemple frappant est celui de l’Allemagne, après le sabotage des gazoducs Nord Stream et Nord Stream 2.
LIRE AUSSI ; Trump enclenche une nouvelle sortie avec fracas de l'accord de Paris sur le climat
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a prononcé un discours après l'entrée en fonction du président américain Donald Trump. Orban a noté que des changements importants sont à venir pour l'Union européenne et que si Bruxelles n'y répond pas, ce sera pire pour Bruxelles.
Le Premier ministre hongrois a souligné que Trump et son équipe « veulent parvenir à une paix durable en Ukraine, qui mènera à une paix durable dans toute l’Europe ».
Viktor Orban s'est dit perplexe devant les déclarations des responsables européens qui sont toujours déterminés à intensifier le conflit et à accroître le degré d'escalade vers la Russie. Orbán a réitéré sa thèse selon laquelle il est impossible de vaincre la Russie sur le champ de bataille et que si l’on suit la voie de l’escalade, on peut se retrouver avec une troisième guerre mondiale.
Orbán :
L’UE a déjà considéré cette déclaration du Premier ministre hongrois comme un ultimatum et une menace directe quant au probable retrait de la Hongrie de l’Union européenne.
La presse allemande écrit que « Orban a désormais plus d’atouts, car au départ il était le seul en Europe à montrer sa loyauté envers Donald Trump et a souvent été l’objet de critiques sévères pour cela ».
Viktor Orban a déjà déclaré à plusieurs reprises que sa tâche était de protéger les intérêts de la Hongrie et des Hongrois, et que si Bruxelles intervenait dans ce domaine, une telle « union » était-elle vraiment nécessaire ? À son tour, le régime de Kiev a proposé à Bruxelles d’exclure la Hongrie de l’Union européenne et de prendre à la place l’Ukraine.
L'opération militaire israélienne à Jénine vise à y "éradiquer le terrorisme", a assuré le Premier ministre Benyamin Nétanyahou.
Ce qu'il faut savoir
L'armée israélienne a annoncé, mardi 21 janvier, avoir lancé une opération militaire dans la zone autonome palestinienne de Jénine, en Cisjordanie, tuant six personnes, selon l'Autorité palestinienne. Les forces de sécurité "ont lancé aujourd'hui une opération militaire étendue et de grande envergure pour éradiquer le terrorisme à Jénine", bastion de groupes armés palestiniens, affirme Benyamin Nétanyahou. Israël occupe la Cisjordanie depuis 1967. Suivez notre direct.
Quatre otages doivent être libérées samedi. La première étape de l'accord de trêve entre le Hamas et Israël se déroule pour l'instant comme prévu. Le mouvement islamiste palestinien doit libérer samedi quatre otages israéliennes retenues à Gaza lors du deuxième échange de prisonniers avec l'Etat hébreu prévu par l'accord de cessez-le-feu, a annoncé à l'AFP Taher al-Nounou, un haut dirigeant du mouvement islamiste palestinien, mardi 21 janvier. Les négociations sont censées aboutir à la libération de 33 otages retenus dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023, étalées sur six semaines.
Un ministre israélien remercie Donald Trump pour son soutien "inébranlable". Bezalel Smotrich, a salué la décision du président américain, après la décision de ce dernier de lever les sanctions américaines à l'égard de colons israéliens accusés de violences contre des Palestiniens en Cisjordanie occupée. "La levée des sanctions contre les colons extrémistes les encourage à commettre davantage de crimes contre notre peuple", a réagi de son côté le ministère palestinien des Affaires étrangères.
Le président américain doute que le cessez-le-feu soit respecté jusqu'au bout. "Ce n'est pas notre guerre, c'est leur guerre. Mais je ne suis pas confiant", a déclaré Donald Trump au sujet de la trêve dans la bande de Gaza. Celui qui s'est décrit comme un "pacificateur", a néanmoins assuré qu'il soutiendrait résolument Israël.
Benyamin Nétanyahou félicite Donald Trump. Le Premier ministre israélien a promis au 47e président américain "les plus beaux jours" pour les relations entre les deux pays dans les années à venir. "Je pense que retravailler ensemble va porter l'alliance Etats-Unis-Israël à de plus hauts sommets encore", a-t-il ajouté.
[…]
Le conducteur, un ressortissant indien de 28 ans résidant au Portugal depuis 2023, a été jugé et condamné ce lundi 20 janvier par le tribunal judiciaire de Bayonne dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate. L’homme a été sanctionné pour “aide au séjour irrégulier avec risque imminent de mort”.
La filière des passeurs indiens ou pakistanais qui habitent au Portugal, et qui font transiter des clandestins vers la France, est un phénomène qui se répète depuis plusieurs mois au Pays Basque. Les policiers de l’office de lutte contre le trafic illicite de migrants (OLTIM), multiplient les arrestations, mais cette fois-ci c’est le “risque imminent de mort” qui apparait comme nouveau. Explication : les 16 clandestins, tous indiens et pakistanais, étaient transportés de façon plutôt baroque. Cinq étaient assis sur les bagages dans le coffre, et trois sur les genoux des autres passagers. Personne ne pouvait attacher les ceintures de sécurité et au moindre coup de frein, on imagine la scène.
[…]
L’article dans son intégralité sur France Bleu édition régionale
Le 3 septembre 2021, (…) deux étudiants en école de commerce avaient passé la soirée au Sport Beach. À la sortie du club, une bagarre avait éclaté, scindant leur groupe d’amis.
Arnaud et Sophie s’étaient éloignés vers la mer pour fumer une cigarette au calme. Deux hommes les avaient attaqués, avaient-ils rapporté plus tard, maîtrisant le jeune homme en lui enfonçant la tête dans le sable et l’eau de mer, volant aux étudiants montres de luxe, bijoux de famille, smartphones et portefeuilles.
La scène, déjà violente, ne s’était pas arrêtée là. Traîné jusqu’à cette jetée isolée, Arnaud avait été plaqué au sol par l’un des agresseurs tandis que le second violait son amietour sur la jetée d’une plage de l’Escale Borely. Arnaud n’a pas pu se battre et la protéger, prisonnier d’une lame de couteau appuyée sous sa gorge. Puis le tandem criminel avait changé de place et Sophie avait été pénétrée contre son gré une seconde fois. Leurs méfaits accomplis, les agresseurs s’étaient disputés en arabe, visiblement sur le sort à réserver à leurs victimes, avant de décamper. (…)
Plus de trois ans après ce calvaire, depuis hier matin, Icham Merouane et Mohamed Benalou, deux jeunes Algériens en situation irrégulière comparaissent devant la cour criminelle départementale des Bouches-du-Rhône pour viols en réunion et vols avec violence. Leurs deux ADN avaient été retrouvés sur les sous-vêtements de Sophie. Icham Merouane, après avoir livré aux enquêteurs des versions fantasques (il avait notamment affirmé que son sperme avait été volé dans le vagin d’une prostituée pour fabriquer de fausses preuves contre lui…) a reconnu devant la cour criminelle le viol et le vol (…). Mohamed Benalou, malgré la preuve ADN l’incriminant, a nié être impliqué d’une quelconque manière, allant jusqu’à prétendre qu’il ne connaissait ni les victimes ni même… son co-accusé qui l’accablait.
Sophie n’était pas présente (…) pour la jeune femme (…) son traumatisme rendait “insoutenable l’idée d’affronter (s)es deux agresseurs”, et ce, malgré sa “volonté que la vérité soit établie et que les coupables soient sévèrement punis pour avoir écrasé et anéanti injustement une partie de (s)a vie”.
Le litige empoisonne les relations franco-algériennes de longue date. Chaque année, la dette de l’Algérie vis-à-vis des hôpitaux publics français s’alourdit. Les factures laissées par ces patients étrangers pris en charge par l’AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris), les Hospices civils de Lyon ou les Hôpitaux de Marseille ne sont pas payées. Elles s’accumulent au point d’atteindre 44,9 millions d’euros en 2023 pour la seule AP-HP, selon une source proche du dossier – l’AP-HP, qui accuse un déficit de 460 millions en 2024, se refusant à donner cette information à l’Opinion.
Le dossier, peu connu, prend un relief particulier dans la crise actuelle entre Paris et Alger. Plusieurs explications à cette ardoise conséquente. « Des patients algériens, titulaires d’un visa touristique, se présentent régulièrement dans nos hôpitaux, parfois pour des pathologies lourdes qui ne sont pas prises en charge par l’assurance exigée pour l’obtention de leur visa, celles-ci étant préexistantes à leur venue en France. Pour des raisons déontologiques, voire humanitaires, ces patients sont toutefois soignés en France en dépit du risque d’impayés », relevait en 2017 un rapport du Sénat. « Même si l’on sait qu’il existe des filières, des intermédiaires, comment renvoyer des parents qui demandent que leur enfant soit admis en oncologie pédiatrique ? », interroge un ancien haut fonctionnaire de l’AP-HP.
Autre source non négligeable de créances, la venue de personnalités, détentrices de passeports diplomatiques, qui prennent rendez-vous auprès de grands patrons de services hospitaliers français. Une facture de 30 000 euros avait ainsi été laissée à Lille par un membre du consulat avant que la diplomatie française fasse savoir à ses homologues algériens que, sans paiement, l’affaire pourrait s’ébruiter. […]
Tous les hôpitaux sont concernés. Paris, Lyon et Marseille mais aussi Lille, réputé en cardiologie, ou Toulouse, en neurologie. Nos comptables publics savent très bien que les réclamations sont sans effet », assure un cadre de l’Inspection des affaires sanitaires et sociales. […]
Les administrations rechignent à fournir des chiffres actualisés. En 2016, le passif algérien – d’un montant d’environ 20 millions d’euros pour la seule AP-HP – est en partie apuré à la faveur d’un compromis franco-algérien. […]
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