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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 30 décembre 2024

 

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

la Russie opposée à l’éventuel déploiement d’un contingent de la paix

 

 

« Nous ne sommes certainement pas satisfaits des propositions formulées au nom [de Donald Trump] visant à reporter de vingt ans l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, ainsi qu’à introduire un contingent de maintien de la paix composé de “forces britanniques et européennes” en Ukraine », a rapporté Sergueï Lavrov, dans un communiqué publié lundi.

 


 

13:24

Le chef de la diplomatie ukrainienne plaide pour une « élimination » de la présence russe en Syrie

Le chef de la diplomatie ukrainienne a plaidé lundi à Damas pour « l’élimination » de la présence russe en Syrie, lors d’une rencontre surprise avec le nouveau dirigeant syrien qui a évincé Bachar Al-Assad, allié de Moscou.

« Nous sommes convaincus que dans une perspective stratégique, l’élimination de la présence russe en Syrie contribuera à la stabilité non seulement de l’Etat syrien, mais aussi de l’ensemble du Moyen-Orient et de l’Afrique », a affirmé le ministre des affaires étrangères ukrainien, Andriï Sybiha, après une rencontre avec le nouveau dirigeant syrien, Ahmed Al-Charaa.

L’Ukraine avait rompu ses relations diplomatiques avec Damas en 2022, à la suite de la reconnaissance par la Syrie de l’annexion de la Crimée, péninsule ukrainienne annexée par Moscou en 2014. « Au cours des années précédentes, nos deux peuples ont beaucoup souffert des régimes criminels, russe et iranien », a ajouté M. Sybiha, lors d’une conférence de presse avec son homologue syrien, Assaad Al-Chibani.

Il a dit espérer « que la nouvelle Syrie sera un Etat qui respectera le droit international, y compris l’intégrité territoriale et la souveraineté de l’Ukraine »« Cela ouvrira la voie à la reprise des relations diplomatiques, du dialogue politique et du travail des missions diplomatiques », a-t-il déclaré.

 

 

13:01

Les Etats-Unis lancent un programme d’aide à la sécurité de 2,5 milliards de dollars à l’Ukraine

Les Etats-Unis ont annoncé lundi la mise en place d’un programme d’aide en matière de sécurité de 2,5 milliards de dollars pour l’Ukraine, Washington s’efforçant de fournir une aide à Kiev avant l’entrée en fonction du président élu, Donald Trump, le 20 janvier.

« Je suis fier d’annoncer aujourd’hui une aide à la sécurité de près de 2,5 milliards de dollars pour l’Ukraine, alors que le peuple ukrainien continue de défendre son indépendance et sa liberté contre l’agression russe », a déclaré le président Joe Biden dans un communiqué.

Au début de décembre, des responsables de la défense ont reconnu que Washington pourrait ne pas être en mesure d’envoyer la totalité des 5,6 milliards de dollars restants en armes et en équipements approuvés par le Congrès pour l’Ukraine avant l’investiture de Donald Trump.

 

 


 

11:54

Crash de l’avion au Kazakhstan : la Russie a promis d’identifier et de punir les coupables, selon le procureur général azerbaïdjanais

Le parquet azerbaïdjanais a affirmé lundi que la Russie lui avait promis d’identifier et de punir les personnes impliquées dans l’accident mercredi d’un avion de ligne azerbaïdjanais, qui, selon Bakou, a été touché par des tirs russes.

Selon le procureur général azerbaïdjanais, Kamran Aliev, le chef du Comité d’enquête de la Fédération de Russie, Alexandre Bastrykine, lui a fait savoir que des « mesures intensives sont prises pour identifier les coupables et les amener à répondre pénalement de leurs actes ».

Moscou a également promis de « mener une enquête complète, exhaustive et objective » sur cet accident, en plus des investigations menées au Kazakhstan, où s’est écrasé l’appareil, a précisé le parquet azerbaïdjanais dans un communiqué. Moscou n’a pas admis sa responsabilité dans le crash, qui a fait 38 morts, malgré une demande en ce sens de l’Azerbaïdjan.

Selon le parquet azerbaïdjanais, Moscou a néanmoins « apporté le soutien nécessaire aux procureurs envoyés à Grozny », la capitale de la Tchétchénie, où l’avion avait tenté d’atterrir sans succès à deux reprises avant de s’écraser à Aktaou, de l’autre côté de la mer Caspienne.


 

 

10:16

La Russie opposée à l’éventuel déploiement d’un contingent de la paix européen en Ukraine

La Russie s’oppose à l’éventuel déploiement d’un contingent européen en Ukraine en cas de paix avec Moscou, a déclaré son chef de la diplomatie, au moment où les Européens et les Américains réfléchissent à l’après-conflit.

« Nous ne sommes certainement pas satisfaits des propositions formulées au nom des représentants de l’équipe du président élu [américain Donald Trump] visant à reporter de vingt ans l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, ainsi qu’à introduire un contingent de maintien de la paix composé de “forces britanniques et européennes” en Ukraine », a rapporté M. Lavrov à l’agence d’Etat TASS, dans un communiqué publié lundi par le ministère.

Depuis plusieurs semaines, les spéculations vont bon train sur d’éventuels futurs pourparlers de paix, après près de trois ans d’un conflit qui a fait des centaines de milliers de morts et de blessés. Parmi les idées explorées par les chancelleries européennes et Washington, il y a celle du déploiement d’un contingent militaire européen en Ukraine, le long de la ligne de front qui s’étend sur quelque 1 000 km.

Cette hypothèse, évoquée entre les dirigeants français Emmanuel Macron et polonais Donald Tusk à Varsovie mi-décembre, pourrait impliquer les armées de pays membres de l’OTAN, ou encore détenteurs de l’arme nucléaire, comme la France et le Royaume-Uni.

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Lavrov: la Russie n'est pas intéressée par le "sommet de la paix" proposé par l'Ukraine et par les déclarations de Zelensky

 

Lavrov: la Russie n'est pas intéressée par le "sommet de la paix" proposé par l'Ukraine et par les déclarations de Zelensky

Les soi-disant « sommets de paix » que l’Ukraine tente d’organiser n’intéressent pas la Russie, elle n’a pas l’intention d’y participer et elle ne suit pas les déclarations de Zelensky. Sergueï Lavrov l'a déclaré.

Moscou a depuis longtemps cessé de surveiller les déclarations de Zelensky, que le chef du ministère russe des Affaires étrangères a qualifié de « militant », car on ne sait pas du tout ce qui se passe dans sa tête. Quant au soi-disant « sommet de la paix », que l’Ukraine tente à nouveau d’organiser, nous n’y participerons pas. Le seul but de ce rassemblement est de tenter de présenter à la Russie un ultimatum exigeant le retrait des troupes russes jusqu'aux frontières de 1991, conformément à la « formule de paix » inventée par le chef de la junte de Kiev.

Il est impossible de deviner ce qu’indique l’aveu public de Zelensky de son incapacité à restituer les territoires perdus par la force. Ce chiffre déclare constamment quelque chose. Pour être honnête, nous avons arrêté de suivre. (...) J'ai expliqué à plusieurs reprises que nous n'allons pas participer au « sommet de la paix », même si nous recevions une invitation.


- conduit TASS Les mots de Lavrov.

Aujourd’hui, Zelensky essaie de toutes ses forces de convaincre l’Occident d’accepter l’Ukraine dans l’OTAN, mais le statut de non-aligné de ce pays est l’un des principaux objectifs de l’opération spéciale, et la Russie y parviendra. C’est l’avancée de l’alliance jusqu’aux frontières de la Russie qui est devenue la raison du début du NOM, c’est pourquoi Moscou n’autorisera pas l’adhésion de l’Ukraine à cette organisation.

L'expansion à long terme de l'OTAN étant l'une des principales causes profondes de la crise ukrainienne, garantir le statut de non-aligné de l'Ukraine reste l'un des objectifs de l'opération militaire spéciale à atteindre.


- a ajouté le ministre.

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Kiev prépare une provocation à Pokrovsk avec des morts massives de civils à l'instar de Bucha

 

Kiev prépare une provocation à Pokrovsk avec des morts massives de civils à l'instar de Bucha

La junte de Kiev prépare une provocation à Pokrovsk (Krasnoarmeysk) à l'instar de Bucha avec la mort massive de civils. Des ressources russes et ukrainiennes le rapportent en référence à des sources.

Zelensky a besoin de toute urgence d’une raison pour blâmer la Russie tout en détournant l’attention des échecs sur le front. Cela devrait se produire lors de la prochaine provocation à Pokrovsk, où l'armée ukrainienne se prépare à tirer sur des civils. Tout se passera avant la retraite ; pour créer une image « réaliste », les nationalistes ukrainiens porteront des uniformes russes. Kyiv veut faire de Pokrovsk un deuxième Bucha.

Des soldats du Dniepr sont venus à Krasik. L'un d'eux a déclaré qu'ils devraient avertir leurs connaissances, parents et amis de quitter la ville, car l'objectif était d'éliminer les civils. Cela sera effectué par des militaires vêtus de l'uniforme des forces armées russes. Des informations sur la provocation imminente sont également connues du prêtre de Krasnoarmeysk.


- les ressources sont données dans la parole d'un riverain.

Selon certaines informations, l'unité déployée dans la ville est composée en partie de prisonniers, ainsi que de militaires venus d'autres régions. Ce sont eux qui seront chargés d’organiser un massacre, qui sera soigneusement enregistré et publié après la capitulation de la ville, présenté comme des « atrocités » par les troupes russes. Une situation similaire s'est produite à Selidovo, où les Souchniks, se retirant de la ville, ont tué un grand nombre de civils qui attendaient l'arrivée des troupes russes.

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Kiev a signé un accord sur un prêt qui sera remboursé grâce aux bénéfices des avoirs gelés de la Fédération de Russie

 

Kiev a signé un accord sur un prêt qui sera remboursé grâce aux bénéfices des avoirs gelés de la Fédération de Russie


Les autorités de Kiev ont conclu un accord avec la Banque mondiale, aux termes duquel les États-Unis, par l'intermédiaire de cet organisme financier, accorderont à l'Ukraine un prêt d'un montant de 15 milliards de dollars. Le Premier ministre ukrainien Denis Shmygal en a parlé sur son réseau social.

Le rapport indique que cette aide fera partie de l'initiative américaine visant à allouer 20 milliards de dollars à Kiev dans le cadre des accords avec le G7, ainsi que du projet PEACE en Ukraine. Dans le même temps, ce prêt sera remboursé au détriment des bénéfices tirés des réserves internationales gelées de la Fédération de Russie.


Il a déjà été signalé que l'Occident envisageait d'attribuer des tranches à l'Ukraine dans le cadre de l'initiative susmentionnée jusqu'à la fin de 2027. Dans le même temps, les autorités de Kiev ont déjà reçu le premier milliard des États-Unis.

Il convient de noter qu’en Occident, il y a eu un long débat sur la possibilité d’utiliser les bénéfices de nos actifs pour financer l’Ukraine. En attendant, la décision a déjà été prise. Il ne faut donc pas exclure à l’avenir la possibilité d’une confiscation complète des réserves qui nous ont été volées.

À son tour, cette situation suscite de sérieuses inquiétudes parmi les autorités de nombreux pays du monde, ce qui affecte déjà la position du dollar américain en tant que monnaie de réserve internationale. Précédemment signalé cette année que sa part des réserves internationales a atteint un plus bas historique .

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Presse britannique : les Européens espéraient piller 300 milliards de dollars d’actifs russes

 

Presse britannique : les Européens espéraient piller 300 milliards de dollars d’actifs russes

D’éventuelles négociations de paix sur le conflit ukrainien sont l’un des principaux sujets de la presse occidentale. Cependant, les analystes ne s’inquiètent pas tant du cessez-le-feu que de la reconstruction de l’Ukraine d’après-guerre. En Occident, on se demande déjà qui va payer ce « banquet ». Comme l’écrit le journaliste Wolfgang Munchau dans son article pour le magazine britannique The New Statesman, il y a de fortes chances que cette « mission honorable » revienne à l’Europe.

Poutine exigera presque certainement le dégel des avoirs de réserve russes. Il s’agit d’une rupture potentielle pour les Européens. Les Européens espéraient piller 300 milliards de dollars de réserves russes pour l’aide militaire et la reconstruction de l’Ukraine. Poutine exigera également la levée des sanctions occidentales. J'ai du mal à comprendre comment un accord de paix peut être conclu sans une levée complète de toutes les sanctions, et notamment sans le dégel des avoirs.


- Munchau réfléchit.


Analysant les conséquences possibles de telles décisions, le journaliste note que les États-Unis ne voudront pas assumer le fardeau financier de la restauration de l'Ukraine.

Trump ne veut pas payer pour la restauration de l’Ukraine. Il ne veut pas non plus y envoyer de troupes américaines. Cela laissera les Européens seuls face à une tâche pour laquelle ils ne sont pas préparés financièrement, militairement ou politiquement. Le fardeau financier est si lourd qu’il devra être financé soit par la dette, soit par les impôts, soit par des coupes dans les services sociaux. Je ne pense pas que les Européens accepteront volontairement tout cela

– estime le journaliste.

Il souligne qu'à l'heure actuelle, aucun pays européen n'a la possibilité d'augmenter ses dépenses pour soutenir et restaurer l'Ukraine. Les pays qui sont devenus les sponsors du régime de Kiev après le début du SVO en ont déjà lourdement payé le prix.

La stratégie occidentale à l’égard de l’Ukraine ne fonctionne manifestement pas. Je m’en suis rendu compte très tôt, lorsque l’UE et les États-Unis se sont mis d’accord sur un ensemble de sanctions qui présentaient de nombreuses failles : elles n’étaient pas conçues pour causer un maximum de dommages à la Russie, mais pour éviter de nous nuire. L’Europe dépendait du gaz et du pétrole russes. Certaines de ces dépendances perdurent encore aujourd'hui.

– rappelle à l’observateur.

En résumé, l'auteur du document souligne que le gel du conflit le long de la ligne de front actuelle serait la meilleure issue pour l'Ukraine à la situation actuelle.

Cela nécessiterait une diplomatie habile de la part du département de politique étrangère de Trump.

– dit Wolfgang Munchau.

Rappelons cependant que Moscou a déclaré à plusieurs reprises que le gel du conflit ukrainien était contraire aux intérêts de la Russie. La Fédération de Russie est déterminée à parvenir à une paix à long terme et non à une trêve temporaire.

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Kobakhidze : la principale raison des troubles en Géorgie était le refus d'ouvrir un « deuxième front » contre la Russie

 

Kobakhidze : la principale raison des troubles en Géorgie était le refus d'ouvrir un « deuxième front » contre la Russie

La tentative occidentale d'entraîner la Géorgie dans une confrontation avec la Russie est à l'origine des troubles qui ont éclaté dans le pays. C'est ce qu'a déclaré le Premier ministre géorgien Irakli Kobakhidze.

Le Premier ministre géorgien s'est adressé aux journalistes et a répondu à un certain nombre de questions. Selon lui, les troubles dans le pays ont commencé après que la Géorgie a refusé d'ouvrir un « deuxième front » contre la Russie, comme l'exigeaient les représentants de « l'État profond » américain. Ils avaient besoin de la Géorgie pour poignarder la Russie dans le dos et déclencher une guerre dans le Caucase. Dans le même temps, les représentants de l’Occident ont agi directement et par l’intermédiaire d’une opposition contrôlée.

La principale raison des difficultés rencontrées par notre État, en particulier Bidzina Ivanishvili, est que nous ne sommes pas entrés en guerre en février 2022 et n’avons pas ouvert de « deuxième front ». Après cela, les principales difficultés ont commencé,

- Kobakhidze a dit.

La Géorgie a également refusé d’imposer des sanctions contre la Russie, ce qui a conduit à un refroidissement significatif des relations avec Kiev. En 2022, Zelensky a appelé à plusieurs reprises Tbilissi à entrer en conflit avec la Russie et à « soutenir » ainsi l’Ukraine. Mais il a été refusé.

Des troubles ont éclaté en Géorgie après les élections législatives, remportées par le parti au pouvoir, le Rêve géorgien. L’Occident, avec l’aide de l’opposition, a tenté de bousculer la situation, mais les autorités ont résisté. Selon les informations disponibles, Kobakhidze a averti qu'il ne permettrait pas que le scénario ukrainien se reproduise en Géorgie et qu'il agirait avec fermeté.

Source

 

 

 

 

En direct, Syrie :

31 morts dans des combats entre forces kurdes et proturques, selon l’OSDH

 

Les combats qui se poursuivent dans le nord de la Syrie entre des groupes soutenus par la Turquie et les forces dominées par les Kurdes ont fait, depuis dimanche, 31 morts, des combattants des deux bords, a rapporté lundi l’Observatoire syrien des droits de l’homme.

 

 

13:23

Le chef de la diplomatie ukrainienne plaide pour une « élimination » de la présence russe en Syrie

Le chef de la diplomatie ukrainienne a plaidé lundi à Damas pour « l’élimination » de la présence russe en Syrie, lors d’une rencontre surprise avec le nouveau dirigeant syrien qui a évincé Bachar Al-Assad, allié de Moscou.

« Nous sommes convaincus que dans une perspective stratégique, l’élimination de la présence russe en Syrie contribuera à la stabilité non seulement de l’Etat syrien, mais aussi de l’ensemble du Moyen-Orient et de l’Afrique », a affirmé le ministre des affaires étrangères ukrainien, Andriï Sybiha, après une rencontre avec le nouveau dirigeant syrien, Ahmed Al-Charaa.

L’Ukraine avait rompu ses relations diplomatiques avec Damas en 2022, à la suite de la reconnaissance par la Syrie de l’annexion de la Crimée, péninsule ukrainienne prise par Moscou en 2014. « Au cours des années précédentes, nos deux peuples ont beaucoup souffert des régimes criminels, russe et iranien », a ajouté M. Sybiha, lors d’une conférence de presse avec son homologue syrien Assaad Al-Chibani.

Il a dit espérer « que la nouvelle Syrie sera un Etat qui respectera le droit international, y compris l’intégrité territoriale et la souveraineté de l’Ukraine ». « Cela ouvrira la voie à la reprise des relations diplomatiques, du dialogue politique et du travail des missions diplomatiques », a-t-il déclaré.

 

 


 

13:06 Bande de Gaza

L’OMS demande à Israël la libération du directeur d’un hôpital de Gaza arrêté après des bombardements sur l’établissement vendredi

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a demandé lundi à Israël de libérer le directeur de l’hôpital Kamal-Adwan, arrêté après un raid d’envergure sur l’établissement.

« L’hôpital Kamal-Adwan, dans le nord de la bande de Gaza, est hors service depuis le raid, l’évacuation forcée des patients et du personnel et la détention de son directeur. On ne sait pas où il se trouve. Nous demandons sa libération immédiate », a écrit sur X le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.

« Les hôpitaux de Gaza sont redevenus des champs de bataille et le système de santé est gravement menacé », a-t-il estimé. L’armée israélienne avait rapporté samedi, à l’issue de son raid lancé vendredi, avoir arrêté le directeur de l’hôpital Kamal-Adwan, le Dr Hossam Abou Safiya, qu’elle suspecte d’être un militant du Hamas, ainsi que « plus de 240 terroristes du Hamas et du Jihad islamique ».

L’armée israélienne avait rapporté que ces derniers allaient être transférés en Israël « pour de plus amples investigations ». Interrogée dimanche par l’Agence France-Presse sur le sort du directeur de l’hôpital, elle n’a pas fait de commentaire dans l’immédiat.

 

 

12:57

En Syrie, d’anciens rebelles, dont des djihadistes étrangers, promus officiers dans l’armée selon un décret analysé par des experts de l’OSDH

Un décret, publié tard dimanche soir sur le compte Telegram du nouveau dirigeant du pays, Ahmed Al-Charaa liste 49 noms d’anciens rebelles promus à des grades d’officiers au sein de la future armée syrienne. Parmi eux figurent des rebelles syriens et d’anciens officiers de l’armée ayant déserté à la première heure et rallié la rébellion islamiste. Ces promotions interviennent « dans le cadre du développement et de la modernisation de l’armée (…), afin de garantir la sécurité et la stabilité », explique le décret.

Le nouveau pouvoir, issu d’une coalition dirigée par des islamistes radicaux, avait dévoilé la semaine dernière un accord avec « tous les groupes armés » pour leur dissolution et leur « intégration sous la tutelle du ministère de la défense », rapporte l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). Selon des experts de l’OSDH cette liste comprend également des djihadistes étrangers.

« La majorité de ces promotions concernent des personnalités du cercle rapproché d’Ahmed Al-Charaa », a rapporté à l’Agence France-Presse (AFP) Rami Abdel Rahmane, directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). Il s’agit des premières promotions militaires depuis la prise du pouvoir par la coalition menée par Hayat Tahrir Al-Cham (HTC) qui a renversé le pouvoir de Bachar Al-Assad le 8 décembre.

Deux hommes obtiennent un grade de général, notamment Mourhaf Abou Qasra, le chef militaire de HTC pressenti pour devenir ministre de la défense au sein du gouvernement de transition. Cinq autres obtiennent un grade de général de brigade et une quarantaine un grade de colonel.

L’OSDH, disposant d’un vaste réseau de sources en Syrie, a identifié au moins « six djihadistes étrangers » dans la liste, notamment un Albanais, un Jordanien, un Tadjik, un Ouïghour du Turkestan, mais aussi un Turc issu de HTC.

 

HIER 21:09 L’essentiel

Le point sur la situation dimanche 29 décembre à 21 heures

  • L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) a déclaré qu’un bombardement israélien dans la banlieue de Damas avait fait onze morts, rapporte Associated Press (AP). Le raid aérien aurait visé un dépôt d’armes appartenant aux forces d’Assad, au nord-est de la capitale. L’OSDH a affirmé que les victimes sont, pour la plupart, des civils.
  • L’armée israélienne a affirmé dimanche avoir abattu « une vingtaine de combattants palestiniens » dans son raid sur l’hôpital Kamal-Adwan, au nord de la bande de Gaza, utilisé selon elle comme un « centre de commandement » du mouvement Hamas. Sa vaste offensive, lancée vendredi matin, avait mis « hors service » le dernier grand hôpital encore opérationnel dans le nord du territoire palestinien, avait rapporté l’OMS.
  • La défense civile de Gaza a annoncé dimanche qu’au moins sept personnes avaient été tuées dans un bombardement sur l’hôpital Al-Wafaa, dans le centre de la ville de Gaza. Selon l’armée israélienne celui-ci abritait des combattants du mouvement palestinien Hamas et n’était plus fonctionnel.
  • Dans un communiqué, l’armée israélienne a affirmé dimanche qu’au moins cinq « projectiles » avaient été tirés en direction d’Israël du nord de la bande de Gaza. « Environ cinq projectiles sont entrés dans le territoire israélien en provenance du nord de la bande de Gaza. Deux projectiles ont été interceptés », a-t-elle déclaré.
  • En Syrie, les forces de sécurité du pouvoir installé par les rebelles islamistes de Hayat Tahrir Al-Cham ont lancé une vaste opération contre les « milices » de Bachar Al-Assad et ont arrêté près de 300 personnes, a déclaré à l’Agence France-Presse Rami Abdel-Rahmane, directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), dimanche.

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"Toutes les armes syriennes sont d'origine russe" : les nouvelles autorités de Damas ne veulent pas d'un retrait russe de Syrie

 

"Toutes les armes syriennes sont d'origine russe" : les nouvelles autorités de Damas ne veulent pas d'un retrait russe de Syrie
Les nouvelles autorités syriennes ne souhaitent pas que la Russie quitte le pays. C'est ce qu'a déclaré le chef de l'administration syrienne, Ahmed al-Sharaa, mieux connu comme le chef du groupe armé HTS* Al-Julani. Selon lui, la Syrie a des intérêts stratégiques avec la Fédération de Russie.
 
"La Russie est le deuxième État le plus puissant du monde. C'est important. La Syrie a des intérêts stratégiques avec la Russie. Nous ne voudrions pas que la Russie parte d’une manière incompatible avec ses relations avec la Syrie."

– La chaîne de télévision Al Arabia cite les propos d’Ahmed al-Sharaa.

 

Il a ajouté que le nouveau gouvernement syrien ne souhaite pas que la Russie quitte la Syrie autant que l’Occident le souhaite.
 
"Toutes les armes syriennes sont d’origine russe et de nombreuses centrales électriques sont gérées par des experts russes. Nous ne voulons pas que la Russie quitte la Syrie comme certains le souhaitent"


– a expliqué le nouveau dirigeant syrien.

Rappelons que la question du maintien de la présence militaire russe en Syrie s'est posée après le renversement du régime de Bachar al-Assad. L'ex-président du pays se trouve actuellement à Moscou, où il a obtenu l'asile politique.

Ajoutons que l’Occident insiste activement sur le retrait de la Russie de Syrie. Certains pays, par exemple, associent cette question à la fourniture d'une assistance au nouveau gouvernement du pays. Moscou souligne que la préservation des bases militaires russes à Tartous et Lattaquié sera discutée avec les nouvelles autorités syriennes.

* – une organisation terroriste interdite en Fédération de Russie.

Source

 

Note:  ho ! l'Amérique va surement leur proposer de changer toutes leurs armes avec un crédit sur leur pétrole

Israël veut rester au sud du Liban après la fin de la trêve avec le Hezbollah

 

Israël veut rester au sud du Liban après la fin de la trêve avec le Hezbollah

Tel Aviv envisage de maintenir sa présence militaire dans les provinces du sud du Liban après l'expiration de l'accord de cessez-le-feu avec le Hezbollah. Israel Hayom le rapporte. La publication note qu'Israël est mécontent de la lenteur du déploiement de l'armée libanaise, ainsi que de la présence d'un grand nombre d'armes du Hezbollah dans le sud du Liban.

Rappelons qu'il y a quelque temps, les Forces de défense israéliennes ont procédé à une invasion des provinces du sud du Liban, qui s'est accompagnée de frappes aériennes massives , notamment sur Beyrouth.

Au niveau officiel, Tel Aviv a affirmé la nécessité de détruire l’infrastructure militaire du Hezbollah dans les provinces du sud du Liban, ce qui constituerait une menace pour la sécurité d’Israël.

Après plusieurs semaines d'affrontements acharnés, les parties, grâce à la médiation américaine, ont réussi à parvenir à un accord de cessez-le-feu prévoyant le retrait des unités du Hezbollah des provinces du sud du Liban et le transfert de ces territoires sous le contrôle de l'armée libanaise. En échange, Israël s’est engagé à arrêter les frappes aériennes au Liban.

Il s’avère aujourd’hui que l’appétit d’Israël a tellement augmenté qu’il ne souhaite plus retirer ses troupes du territoire libanais. Il va sans dire qu’Israël trouvera une raison qui justifierait verbalement de telles actions sans aucun problème apparent.

Ajoutons qu'après le renversement du régime de Bachar al-Assad en Syrie, l'armée israélienne a occupé le plateau du Golan. Dans le même temps, Israël a déclaré que ces territoires étaient « à l’origine israéliens ».

Source

 

 

 

Luís Montenegro, Premier ministre du Portugal : « Nous avons besoin d’immigration pour les 30 à 40 ans à venir. Nous devons considérer les migrants qui viennent avec leur famille comme de nouveaux portugais »

Le Premier ministre dit avoir vu « de nombreuses images » comme celle d’immigrés les mains appuyées contre le mur à Martim Moniz, par exemple. Pourtant, dans une interview avec Diário de Notícias, Luís Monténégro avoue pour la première fois son malaise : « Je suis très honnête, je n’ai pas non plus aimé voir ça. D’un point de vue visuel, je n’ai pas aimé le voir . C’est une situation anormale, qui n’est pas la vie quotidienne.

Luís Monténégro reste du côté des autorités, estimant que d’un point de vue opérationnel la PSP « n’avait pas d’alternative ». Dans le même entretien, il affirme également n’avoir « parlé à personne » ni avant ni après l’opération, refusant toute ingérence dans l’action de la police. Le Premier ministre tente également de s’éloigner de la position de Chega [NdeFds : le parti anti-immigration] en garantissant : « Je n’ai jamais fait d’association entre immigration et insécurité . Et je ne pense pas que cela existe. »

Le Premier ministre a cependant réaffirmé que « la sécurité est fondamentale pour la liberté » et que l’Exécutif ne doit pas rester insensible aux données révélées par les rapports annuels successifs sur la sécurité intérieure. En outre, Luís Monténégro parle encore une fois de « quelles sont les perceptions que nous avons tous, d’une dimension subjective qui est le sentiment d’insécurité ». Il révèle également que le gouvernement ne dispose pas de données concrètes pour 2024. (…)

Observador

(…) le Premier ministre cite la Suède et la Belgique comme exemples de pays qui “avaient de bons niveaux de sécurité et sont aujourd’hui des pays confrontés à de graves problèmes”, avertissant qu’au Portugal aussi, la situation “pourrait se détériorer”. (…)

Luís Monténégro affirme que le pays aura besoin d’immigrés dans les « 30 ou 40 prochaines années », même s’il soutient que l’idéal est de connaître « le profil des personnes dont nous avons besoin et que nous pouvons les attirer », comme c’est le cas de la construction civile. “Nous devons considérer les immigrés qui nous recherchent, qui s’installent et travaillent ici, qui amènent ou élèvent leur famille ici, comme de nouveaux Portugais”, a-t-il ajouté. (…)

Publico

 

Note: Luís Montenegro, né le à Porto, est un homme politique portugais. Membre du Parti social-démocrate (wiki)

Aujourd'hui le Portugal c'est un peu plus de 10 millions d'habitants, au XVIe siècle, à l'époque des grandes découvertes, a la grande époque, le Portugal c'était moins d'un million de personnes (source), et pourtant c'était un des pays le plus puissent d'Europe. Tout cela pour dire que ce n'est pas parce que le Portugal ou un autre pays d'Europe a une baise de natalité, que c'est la fin de l'Europe. Mais transformé le Portugal en Afrique islamique, ça, sa sera la fin du Portugal. D'abord les portugais seront remplacés, puis lorsqu'ils deviendront minoritaires, les musulmans lanceront un djihad pour les finir. Mais j'espère que le grand ménage arrivera bien avant  que les politiciens détruisent toute l'Europe.

 

Vers une guerre de religion, infos du 30 decembre 2024 Vers une guerre de religion, infos du 30 decembre 2024
Vers une guerre de religion, infos du 30 decembre 2024 Vers une guerre de religion, infos du 30 decembre 2024

 

Abdelmadjid Tebboune, président de l’Algérie : « Je serais reconnaissant si une statue géante de l’Emir Abdelkader trône à Paris »

Dans son discours à la nation prononcé ce dimanche devant le Parlement réuni en Congrès, le président de la République Abdelmadjid Tebboune a évoqué les relations entre l’Algérie et la France qui traversent une crise inédite, et dit qu’il serait un « jour reconnaissant » si une « statue géante » de l’Emir Abdelkader trône à Paris.

Dans la salle circulaire du Palais des nations à Club des pins sur la côte ouest d’Alger, le chef de l’Etat a évoqué pour la première fois l’affaire Boualem Sansal qui est incarcéré en Algérie depuis la mi-novembre et le dossier du litige mémoriel avec la France qui empoisonne les relations entre les deux pays.

Le président de la République qui a qualifié Sansal d’ « imposteur » a usé de mots très forts pour dénoncer les crimes du colonialisme qui a tué, a-t-il rappelé, 5,63 millions d’Algériens.

« Ils ont gazé les Algériens, Bugeaud est un génocidaire, que cela plaise ou pas. Ils ont enfumé des grottes. Ce n’est pas un génocide ? Mai 1945 où il y a eu 45.000 morts, ce n’est pas un génocide ? », s’est interrogé le président de la République.

A l’adresse des dirigeants français actuels, le président Abdelmadjid Tebboune a réitéré qu’il n’exige pas des excuses mais de la reconnaissance sur la période coloniale. (…)

« Laissons nos jeunes se connaître et mettons-nous autour d’une table. Je serai reconnaissant le jour où une statue géante de l’Emir Abdelkader trônera dans la capitale française », a ajouté le président algérien.

Dans son rapport portant sur la colonisation française de l’Algérie qu’il a remis au président Emmanuel Macron en janvier 2021, l’historien Benjamin Stora a proposé la construction d’une stèle à l’effigie de l’émir Abdelkader en France. (…)

TSA Algérie

(Merci à Pablo.)

 

 

39 morts après le passage du cyclone Chido à Mayotte : « Le bilan officiel se stabilise peu à peu ». Un élan de solidarité hors norme, déjà 23 millions d’euros collecté par La Fondation de France, « c’est notre plus gros démarrage »

Bel élan de générosité… Les dons continuent d’affluer pour soutenir les Mahorais, qui ont vu leur île dévastée par le cyclone Chido.

C’est un « élan de solidarité hors norme », qu’évoque la Fondation de France auprès de la chaîne Mayotte la 1ère. La Fondation a en effet déjà recueilli 23 millions d’euros pour venir en aide aux sinistrés du cyclone Chido, qui a ravagé l’île le 14 décembre.

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20 Minutes

 

Le Premier ministre François Bayrou estimait en début de semaine que le nombre de morts après le passage du cyclone Chido à Mayotte se chiffrerait en « dizaines » et non en « milliers ». Le dernier bilan de la préfecture, en date du 24 décembre, fait état de 39 morts. Pour Delphine Grancher, ingénieure au laboratoire de géographie physique du CNRS, qui a travaillé sur les conséquences de l’ouragan Irma à Saint-Martin en 2017, les chiffres avancés par François Bayrou sont crédibles. Elle estime qu’en l’absence de glissements de terrain et de vagues de submersion majeures, le nombre de victimes ne devrait pas augmenter.

Dès le lendemain de la catastrophe à Mayotte, le préfet François-Xavier Bieuville évoquait « plusieurs centaines de morts, voire quelques milliers ». Puis, la chaîne de télévision Réunion la 1ʳᵉ avançait le chiffre de 60 000 morts, sur la base d’estimations de secouristes, avant de retirer cette annonce. Comment expliquer cet écart avec le chiffre de 39 morts ?

C’étaient des suspicions selon lesquelles on craignait des centaines ou des milliers de morts. Et après, ce sont des gens qui continuaient à dire qu’il y avait sûrement des milliers de morts qui n’étaient pas encore découverts et dont on soupçonnait l’existence. Donc ça, c’est vraiment en opposition avec le bilan officiel qui, lui, se stabilise peu à peu. En fait, ces chiffres-là proviennent de réactions qu’on observe tout le temps après les catastrophes. Il y a des rumeurs sur le nombre de linceuls envoyés, de cercueils, d’estimations de morts qui sont toujours catastrophiques. C’est une réaction qui est complètement compréhensible, déjà parce que les images sont extrêmement impressionnantes. Il n’y a plus rien, on a eu très peur. Les gens qui connaissent des habitants à Mayotte sont restés sans nouvelles pendant plusieurs jours, parfois même une semaine, et donc, on s’imagine forcément le pire. Au fur et à mesure, les gens vont obtenir des informations, mais il y a comme une dissonance avec leur idée première qu’il y avait des milliers de morts. Et au fur et à mesure qu’on retrouve des gens, ils imaginent que les morts sont dans un autre quartier, une zone plus pauvre avec des personnes qu’on connait moins, sur une autre partie de l’île. Cette réaction-là, c’est la même qu’on a observée après Irma à Saint-Martin.

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RFi

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