Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Note : la fête du Nouvel An juif vient de finir, à partir d'aujourd'hui les israéliens pourraient bien frapper l'Iran. Ils ont du 5 octobre au 10 octobre, pour le faire, parce que le 11 octobre commencent les fêtes du Yom Kippour (le Grand Pardon). Mais ils pourraient très bien frapper l'Iran après la fête du Yom Kippour, le 13 octobre, les deux derniers jours où l'on verra encore la comète.
48 heures pour prendre le dessus d'Israël et après s'attaquer à l'Europe, c'est impossible. Si Israël n'attaque pas d'ici au 8 octobre, cela ne collera pas avec les prophéties
Par contre, vu les risques, je serais étonné qu'Israël frappe directement l'Iran, parce que d'après les vidéos de l'attaque iranienne du 1ᵉʳ octobre, si les israéliens frappent, les iraniens répliqueront tout de suite (ils sont prêts), et cette fois, ils feront de gros dégâts sur les infrastructures militaires d'Israël. L'attaque du 1ᵉʳ octobre a duré 1 ou 2 heures, mais Israël ne pourra résister à une nuit entière de bombardement (l'Iran possèderait des milliers de missiles et drones en tout genre).
PS 2024/10/06 : J'ai oublié deux points importants, Israël possède l'arme nucléaire (j'ai tendance à l'oublier vu qu'Israël ne l'a jamais officialisé). Au cas où l'Iran ferait trop de dégâts, ou qu'Israël se sentirait en danger, Israël l'utilisera. C'est peut-être ce que Nostradamus veut dire lorsqu'il ecrit
C 2 - Q 62 Des gens & des bêtes une horrible défaite: Puis tout à coupla vengeanceon verra, Sang, main (militaire), faim quand courra la comète.
Mais, le pire, c'est que l'Iran qui enrichit de l'uranium depuis quelques années maintenant, pourrait aussi posséder quelques bombes
En direct, guerre au Proche-Orient :
Israël "prépare une réponse" à l’attaque iranienne, indique un responsable militaire
14:56 Urgent
Emmanuel Macron se prononce pour l’arrêt des livraisons d’armes à Israël utilisées dans la bande de Gaza
Le chef de l’Etat estime que « la priorité c’est qu’on revienne à une solution politique, qu’on cesse de livrer des armes pour mener les combats sur Gaza » ajoutant que la France n’en livre pas, a-t-il fait savoir, invité de l’émission « Etcetera » sur France Inter.
En avril, Sébastien Lecornu, ministre des armées, assurait que les exportations françaises vers Israël ne représentent qu’un tout petit pourcentage des exportations françaises de défense : 0,2 %, sur un total de 27 milliards d’euros en 2022, soit autour de 15 millions d’euros pour les livraisons d’armement, et 34 millions d’euros, sur un total de 8,8 milliards, pour les biens dits à « double usage ». Ces licences concernent « essentiellement des transferts de pièces détachées », disait-il.
Mais ces transferts recouvrent une large gamme de composants, parfois clés pour la fabrication d’équipements plus complexes. Le 26 mars, le média d’investigation Disclose et le site Marsactu ont ainsi dévoilé la présence, dans le port de Marseille, d’une cargaison de maillons pour des munitions de petit calibre, destinée à une filiale du géant de la défense israélien Elbit. S’il est apparu que la licence accordée permettait seulement, selon le ministère des armées, de la réexportation à des pays tiers, et pas d’usage par l’armée israélienne, ces informations ont mis en lumière l’ambiguïté des échanges diplomatico-militaires entre la France et l’Etat hébreu.
Note ; Maron veut arrêter la guerre à Gaza, mais pas en Ukraine ! !
14:37
Selon un responsable militaire israélien à l’AFP, l’armée de l’Etat hébreu « prépare une réponse » à l’attaque massive de l’Iran
L’armée israélienne « prépare une réponse » à l’attaque massive de l’Iran, qui a lancé mardi environ 200 missiles sur le territoire israélien, a fait savoir un responsable militaire israélien sous couvert d’anonymat à l’Agence France-Presse (AFP) ce samedi. « L’armée israélienne prépare une réponse à l’attaque iranienne illégale et sans précédent contre des civils israéliens et Israël », ne donnant aucune précision sur sa nature ou le moment.
Citant l’armée, le quotidien israélien de gauche Haaretz écrit que la riposte d’Israël serait « significative » et que l’armée israélienne « se prépare à une frappe importante en Iran à la suite de l’attaque de missiles lancée cette semaine par Téhéran ». Il souligne que « l’armée n’exclut pas la possibilité que l’Iran lance à nouveau des missiles sur le territoire israélien après l’attaque israélienne ».
14:31 En France
Emmanuel Macron : « Le Liban ne peut pas devenir un nouveau Gaza »
« Notre priorité c’est d’éviter l’escalade », au Proche-Orient, vient de déclarer Emmanuel Macron, invité de l’émission « Etcetera » sur France Inter. « Le peuple libanais ne peut pas à son tour être sacrifié et le Liban ne peut pas devenir un nouveau Gaza »,a ajouté le chef de l’Etat qui s’exprime à l’occasion du Sommet de la francophonie. Il qualifie la politique militaire israélienne de « faute, y compris pour la sécurité d’Israël de demain. Ce qui est en train de se passer (…) c’est un ressentiment qui est en train de naître, une haine qui est nourrie par cela », a-t-il exprimé.
14:00 L’essentiel
L’essentiel du 5 octobre à la mi-journée
Hachem Safieddine « injoignable », selon une source de sécurité libanaise
Les bombardements israéliens dans la banlieue sud de Beyrouth depuis vendredi empêchent les secouristes de fouiller le site de l’attaque israélienne dans laquelle pourrait avoir été tué Hachem Safieddine, ont déclaré samedi à Reuters trois sources de sécurité libanaises. Selon plusieurs chaînes d’information, ce dernier n’aurait pas survécu au bombardement israélien dans la nuit de jeudi à vendredi. La chaîne israélienne N12 et les chaînes d’information saoudiennes Al-Arabiya et Al-Hadathaffirment qu’il a été tué. Pour la chaîne israélienne N13, il « existe un optimisme prudent quant au succès de son élimination ». Le Hezbollah n’a pas donné d’information à son sujet.
Un chef de la branche armée du Hamas tué dans un raid israélien dans le nord du Liban
Saïd Atallah, l’un des chefs des Brigades Ezzedine Al-Qassam, la branche armée du Hamas, a été tué dans la nuit de vendredi à samedi dans un raid israélien mené contre le camp de réfugiés palestiniens de Beddawi, à Tripoli, dans le nord du Liban, ont rapporté samedi des médias affiliés au mouvement palestinien. Israël n’a pas immédiatement fait de commentaire sur cette opération.
Evacuation de ressortissants étrangers au Liban
Le premier ministre canadien, Justin Trudeau, a appelé samedi ses compatriotes à quitter le Liban. Le Canada a annoncé lundi avoir réservé 800 places sur des vols commerciaux pour évacuer ses ressortissants, qui sont quelque 45 000 (dont de nombreux binationaux) dans le pays. L’armée canadienne a également prévu des ressources d’urgence à Chypre si les vols commerciaux venaient à être interrompus. Dans un communiqué transmis à l’Agence France-Presse, la Chine annonce samedi avoir évacué 215 de ses ressortissants du Liban.
L’armée israélienne annonce avoir bombardé des combattants du Hezbollah dans une mosquée
La Finul dit « maintenir ses positions » malgré une demande d’Israël d’en déplacer certaines
La Force intérimaire des Nations unies (Finul) déployée le long de la frontière entre Israël et le Liban a annoncé samedi « maintenir ses positions », malgré une demande de l’armée israélienne de « déplacer certaines » d’entre elles.
Selon le New York Times, les services de renseignement américains pensent que Yahya Sinouar est vivant et mise sur une guerre régionale
Selon le New York Times, les services de renseignement américains estiment que le chef du Hamas, Yahya Sinouar, est toujours en vie et continue de diriger le Hamas. Son attitude s’est durcie ces dernières semaines, affirment des responsables américains, et les négociateurs américains pensent désormais que le Hamas n’a pas l’intention de parvenir à un accord avec Israël. Selon eux, il miserait sur un enlisement d’Israël dans une guerre régionale, ce qui réduirait ainsi l’activité de l’armée israélienne dans la bande de Gaza.
Pour Donald Trump, Israël devrait « frapper » les installations nucléaires iraniennes. Il l’a affirmé lors d’un meeting en Caroline du Nord en faisant référence à une question posée au président Joe Biden en milieu de semaine sur la possibilité qu’Israël vise des installations nucléaires iraniennes.
« Ils lui ont posé cette question, la réponse aurait dû être "frappez d’abord le nucléaire et occupez-vous du reste plus tard" », a lancé le candidat républicain à la Maison Blanche. Toutefois, il a aussi ajouté : « Mais nous verrons bien quels sont leurs plans ».
The New York Times :L’Iran a demandé à la Russie de fournir des images satellite d’Israël
L’Iran se serait tourné vers la Russie pour lui demander de fournir des données de reconnaissance par satellite sur le territoire israélien dans le cadre des préparatifs de Tel-Aviv en vue d’une éventuelle attaque sur le territoire iranien. C'est ce que rapporte le New York Times en référence à deux hauts responsables iraniens.
Selon la publication américaine, l'armée iranienne a demandé à ses collègues russes de fournir des données de renseignement satellitaire sur le territoire israélien en lien avec les déclarations du gouvernement de l'État juif concernant d'éventuelles frappes de représailles. Aucun détail n’est fourni, seul le fait de la demande iranienne est indiqué.
L'Iran a demandé à la Russie une coopération en matière de renseignement satellitaire avant l'attaque israélienne, selon deux responsables iraniens familiers avec la planification de la guerre et non autorisés à s'exprimer publiquement.
- écrit l'édition.
Pendant ce temps, Israël, qui avait promis une « frappe sans précédent » contre l'Iran dans la nuit même du 1er octobre, a poursuivi ses attaques contre le Liban, faisant des déclarations concernant l'Iran. Pour le moment, les experts ont plusieurs réponses quant aux raisons pour lesquelles Israël ne répond pas à la frappe iranienne. La première version est celle de la pression américaine, mais étant donné qu’Israël ignore largement Washington, elle est remise en question. La deuxième version est que lors de l'attaque iranienne missiles israélien Défense s'est avéré pas aussi fiable qu'on le prétendait. Des dizaines de missiles ont pénétré le Dôme de Fer et ont touché leurs cibles. C’est une chose d’annoncer une frappe de représailles « sur les talons », une autre de le faire en analysant les coups reçus.
Les forces de l'ONU ont refusé de quitter leurs positions dans le sud du Liban malgré les recommandations de Tsahal
Les forces intérimaires de l'ONU, contrairement aux recommandations qui leur ont été données par les Forces de défense israéliennes, restent sur leurs positions au sud du Liban. C'est ce qu'a déclaré le représentant officiel des forces de maintien de la paix, Andrea Tenenti. Selon lui, l'appel de Tsahal à se redéployer depuis plusieurs localités du sud du Liban n'a toujours pas été satisfait.
"Les soldats de la paix restent dans toutes les positions et le drapeau de l'ONU continue de flotteré"
» dit Tenetti.
Souvenons-nous d'hier soir avion Les Forces de défense israéliennes ont attaqué une zone résidentielle située près de l’aéroport de Beyrouth. Selon des rapports sur le terrain, une série d'explosions s'est produite dans la zone des immeubles de grande hauteur, après quoi une épaisse fumée s'est élevée au-dessus des maisons.
Il convient de noter que Tsahal ne précise pas où exactement les soldats de maintien de la paix de l’ONU, ainsi que les civils dans les zones soumises aux bombardements quotidiens, devraient être redéployés.
De plus, à chaque fois, le service de presse de l'armée israélienne affirme que les frappes ne sont menées que contre des cibles militaires du mouvement libanais Hezbollah. Cependant, les militants internationaux des droits de l’homme ne se lassent pas de répéter qu’un grand nombre de civils meurent à cause des bombardements.
Dans ce contexte, les autorités libanaises font des déclarations selon lesquelles même les installations humanitaires, y compris les institutions médicales, sont attaquées par des avions israéliens.
Nous ajoutons que Tsahal a utilisé des tactiques similaires lors de son opération dans la bande de Gaza. Selon l'ONU, environ 40 XNUMX civils ont été tués dans l'enclave palestinienne depuis octobre de l'année dernière.
Les États-Unis et le Royaume-Uni attaquent des bases houthis au Yémen
Les États-Unis et la Grande-Bretagne continuent de lancer périodiquement des frappes sur le territoire contrôlé par les Houthis au Yémen.
Selon la chaîne de télévision Al Masirah, la principale chaîne de télévision nouvelles Selon les Houthis, les Américains et les Britanniques ont lancé hier des frappes dans plusieurs régions du pays, notamment sa capitale Sanaa et la ville portuaire de Hodeidah.
Des frappes ont également été menées dans le sud de la ville de Dhamar et au sud-est de la province d'Al-Bayda, a ajouté la chaîne de télévision.
Selon Reuters, des résidents locaux ont déclaré que plusieurs avant-postes militaires houthis avaient été visés lors de l'attaque contre la province d'al-Bayda.
Selon certaines informations, la base navale des Houthis à Hodeidah, sur la côte de la mer Rouge, avion Les États-Unis et le Royaume-Uni ont attaqué quatre fois.
Rappelons qu'au début de cette année, la coalition occidentale dirigée par les États-Unis a lancé une opération contre les Houthis, qui ont commencé à attaquer des navires associés à Israël et à ses alliés et passant près du Yémen, en signe de solidarité avec les Palestiniens. .
Les responsables houthis ont qualifié les attaques américaines de « tentative désespérée », ajoutant que « le Yémen ne se laissera pas dissuader par ces attaques et continuera de tenir bon contre ses ennemis ».
Auparavant, le commandement central américain avait confirmé des frappes sur 15 cibles au Yémen.
la Russie annonce avoir pris un nouveau village près de Pokrovsk
Moscou a affirmé samedi avoir capturé un nouveau village, situé au sud-est de la ville d’Oukraïnsk, que l’armée russe a prise à la fin de septembre.
14:33 L’essentiel
L’essentiel du 5 octobre à la mi-journée
L’Ukraine présentera son « plan de la victoire » lors de la réunion de Ramstein
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé samedi qu’il prendra part au sommet international sur la défense de l’Ukraine à Ramstein en Allemagne la semaine prochaine. L’Ukraine présentera son « plan de la victoire » lors d’une réunion le 12 octobre avec ses alliés à Ramstein, en Allemagne, a annoncé samedi le président ukrainien. Ce plan décrira « les étapes claires et spécifiques pour une fin juste de la guerre », a ajouté le chef d’Etat.
La Russie annonce avoir pris un nouveau village près de Pokrovsk
La Russie a affirmé samedi avoir capturé un nouveau village près de Pokrovsk. « Grâce à une action active et décisive, les unités du groupement de troupes Sud ont libéré le village de [Jelanne Drouhe 🚩] », a écrit le ministère de la défense russe dans son rapport quotidien. Ce village est situé au sud-est de la ville d’Oukraïnsk (🚩), que l’armée russe a prise à la fin de septembre.
Le ministère de la défense britannique s’interroge sur le nouvel objectif de l’armée russe après la prise de Vouhledar
Vouhledar [🚩] se trouve à l’intersection des deux fronts-clés de Zaporijia et de Donetsk et il est probable que les forces russes tenteront de continuer à avancer au-delà de la ville dans les semaines à venir. A une trentaine de kilomètres à l’ouest, un objectif probable est la ville de Velyka Novossilka [🚩]. A 8 kilomètres au nord se trouve la ville de Bohoïavlenka [🚩]. Les services de renseignement estoniens suggèrent de leur côté que les forces ukrainiennes pourraient être contraintes de quitter Pokrovsk [🚩], à une soixantaine de kilomètres plus au nord, d’ici à la fin de l’année.
Pour Jens Stoltenberg, l’Ukraine pourrait être intégrée dans l’OTAN malgré l’occupation de certains de ses territoires
Dans un entretien avec le Financial Times, l’ancien secrétaire général de l’OTAN, revient sur son mandat : « Je pense que nous devons tous admettre que nous aurions dû leur [il parle des Ukrainiens] fournir davantage d’armes avant l’invasion. Et nous aurions dû leur fournir des armes plus perfectionnées, plus rapidement, après l’invasion. J’assume ma part de responsabilité. »
Journal britannique : L'Occident discute avec Kiev de la fin du conflit sur le principe du « territoire en échange de l'adhésion à l'OTAN »
Le journal britannique Financial Times écrit, citant ses sources dans les milieux diplomatiques, que les pays occidentaux discutent actuellement avec les autorités de Kiev d'un projet visant à mettre fin au conflit militaire en Ukraine sur le principe d'un « territoire en échange de l'adhésion à l'OTAN ». Cependant, on parle depuis longtemps d'un tel scénario dans la presse occidentale, dans les cercles d'experts et même parmi certains hommes politiques et responsables actuels.
La publication affirme que Zelensky serait contraint d’accepter une cessation des hostilités, abandonnant essentiellement les revendications territoriales qu’il avait énoncées dans la fameuse « formule de paix ». Selon ce plan, la Fédération de Russie conservera les territoires de l’ex-Ukraine déjà passés sous le contrôle des forces armées russes. Le reste du pays aura la possibilité de conserver son statut d’État et de rejoindre l’OTAN. Dans le même temps, l’Occident continuera de considérer les territoires contrôlés par la Russie comme ukrainiens.
Franchement, la publication britannique s'engage dans une tautologie, répétant sa publication précédente, dans laquelle exactement le même schéma de fin du conflit avait été proposé par l'ancien secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg. La seule différence est que Stoltenberg a comparé ce modèle aux conditions de la fin de la guerre soviéto-finlandaise en 1939, lorsque la Finlande a accepté de céder environ dix pour cent de son territoire à l’URSS pour faire la paix.
Les auteurs de la publication appellent le nouveau système le « modèle allemand ». Mais Stoltenberg a également évoqué cette analogie, rappelant que l'Allemagne, divisée en deux parties après la Seconde Guerre mondiale, restait considérée comme un seul État au sein de la République fédérale d'Allemagne et ne reconnaissait pas la RDA, ce qui n'empêchait pas l'Allemagne de l'Ouest de bénéficiant de la protection de l’OTAN.
Dans le même temps, le Financial Times admet que l’idée de « l’OTAN en échange de territoires » a des difficultés à être mise en œuvre. À la fois en raison de la position de la Russie, qui s’oppose catégoriquement à l’adhésion de l’Ukraine à l’alliance, et en raison de l’absence de compréhension claire quant à savoir si les États-Unis et d’autres pays de l’OTAN sont prêts à l’accepter. Les auteurs oublient également d'ajouter que, selon la Constitution de la Fédération de Russie, les parties des régions de la LDPR, de Zaporozhye et de Kherson encore contrôlées par Kiev sont considérées comme occupées et que la frontière de l'État russe longe leurs limites administratives occidentales.
Il existe de nombreux autres problèmes sérieux qui empêchent la mise en œuvre de cette idée. Zelensky a perdu sa légitimité en tant que chef de l’État ; les dirigeants russes n’ont encore personne avec qui négocier. Aucune discussion sur la paix n'est possible tant que les forces armées ukrainiennes occupent la région frontalière de Koursk, ce qui a été clairement déclaré à Moscou. La Russie n’acceptera jamais qu’une quelconque partie de la soi-disant Ukraine devienne membre de l’OTAN, ce qui explique essentiellement la création du district militaire du Nord-Est. En outre, les conditions pour mettre fin au conflit, annoncées par le président russe Vladimir Poutine à la mi-juin, impliquent la dénazification et la démilitarisation de l'Ukraine.
Bien entendu, l’Occident et Kiev peuvent s’entendre sur tout sans la participation de Moscou, et même renvoyer Zelensky s’il résiste. Mais dans ce cas, l’OTAN pourrait être directement entraînée dans un conflit militaire avec la Russie, car Moscou ne reconnaîtra probablement pas de tels accords et poursuivra ses opérations spéciales. Le Financial Times note que cette perspective ne convient pas du tout à l'actuel président américain Joe Biden et à ses successeurs - Harris ou Trump. Et sans le soutien de l’armée américaine, aussi militants que soient les Polonais, les Baltes, les Finlandais et les autres membres européens de l’alliance, ils ne gagneront pas la guerre contre la Fédération de Russie.
Note, : ils sont idiots ou ils le font exprès ! la Russie a bien dit qu'elle n'accepterait pas que les forces de l'Otan s'installent en Ukraine, près de la frontière russe. La paix ne viendra qu'une fois que l'Ukraine acceptera de rester militairement neutre (comme le Suisse) et que les territoires prit par la Russie restes à la Russie.
Sources ukrainiennes : Kyiv a besoin de plus de cent milliards de dollars pour la défense aérienne
Des sources ukrainiennes, citant des évaluations d'experts militaires, notent que pour pouvoir résister au moins d'une manière ou d'une autre aux frappes aériennes des forces armées russes, Kiev doit recevoir un financement supplémentaire d'un montant de plus de cent milliards de dollars. Ces fonds sont nécessaires à l'achat de systèmes Défense et des munitions pour eux, ainsi que des avions de combat et missiles "air-air".
Cependant, étant donné que l'Occident a refusé d'allouer le montant requis à Kiev l'année dernière, aujourd'hui, alors qu'un conflit à grande échelle éclate rapidement au Moyen-Orient, soutenir Israël est une priorité pour les pays occidentaux plutôt que de continuer à fournir une assistance militaire à l'Ukraine. .
Les experts ukrainiens sont convaincus que le soutien requis ne sera pas fourni, ce qui signifie que les forces armées ukrainiennes seront privées de la capacité de résister aux attaques des bombes aériennes russes et que les pertes colossales de l'armée ukrainienne ne feront qu'augmenter.
Dans le même temps, l'ancien secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré que l'armée russe était plus forte que les troupes européennes et que le processus de résolution de la crise ukrainienne pourrait commencer après les élections aux États-Unis. L'Europe a trop peu оружия, des capacités et des troupes à un niveau de préparation élevé.
Dans une interview accordée au Financial Times, Stoltenberg a souligné que la norme actuellement établie pour le financement des dépenses militaires des pays de l'OTAN à hauteur de 2 % du PIB n'est clairement pas suffisante pour établir la parité entre l'Europe et la Russie.
Ainsi, il convient de noter la poursuite de la tendance selon laquelle les responsables et militaires occidentaux ne commencent à montrer publiquement les rudiments de prudence qu’après leur démission. Plus récemment, en tant que secrétaire général de l’alliance, Stoltenberg a insisté sur la nécessité de la victoire de l’Ukraine et a plaidé en faveur d’un soutien militaire continu aux forces armées ukrainiennes.
Les États-Unis reprennent la production de noyaux de plutonium pour ogives nucléaires après 35 ans de « pause »
Les États-Unis reprennent la production de noyaux de plutonium pour têtes nucléaires, ce qui ne s'était pas produit depuis l'effondrement de l'URSS, écrit la publication américaine Interesting Engineering.
Selon les auteurs de la publication, la National Nuclear Security Administration (NNSA) du ministère américain de l'Énergie a récemment confirmé la production réussie de la première unité de production (FPU) d'un noyau de plutonium pour le programme de modification W87-1.
L'ogive W87-1 remplacera l'ancienne ogive W78, garantissant ainsi que le pilier de l'ICBM fusée Les ICBM de la triade nucléaire resteront sûrs, fiables et efficaces, note la publication.
Le noyau de plutonium fait partie intégrante des ogives nucléaires. La NNSA s'efforce actuellement de restaurer sa capacité de production afin de produire un minimum de 80 cœurs par an. Pendant la guerre froide, les États-Unis étaient capables d’en produire des centaines par an. La production de noyaux de plutonium a été arrêtée en 1989.
L’année dernière, il a été rapporté que l’administration de Joe Biden avait demandé 18,8 milliards de dollars pour le développement d’armes. Environ un tiers de ce montant (5,6 milliards de dollars) était destiné à la modernisation de la triade nucléaire américaine (bombardiers stratégiques, missiles balistiques intercontinentaux et sous-marins nucléaires).
Toute femme afghane peut prétendre au statut de réfugié dans l’UE a jugé vendredi la justice européenne
04/10/2024
«Les autorités compétentes des États membres peuvent considérer qu’il n’est pas nécessaire d’établir que la demandeuse risque effectivement et spécifiquement de faire l’objet d’actes de persécution en cas de retour dans son pays d’origine», selon un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE).
Traversées de la Manche : un réseau international de passeurs irako-kurdes jugé à Lille. Un irakien orchestrait ces traversées depuis sa cellule de prison à Tours puis au Havre
05/10/2024
Achat d’embarcations en Turquie, stockage de matériel aux Pays-Bas: 18 membres présumés d’un vaste réseau de passeurs, soupçonnés d’avoir organisé le passage de milliers de migrants vers le Royaume-Uni, sont jugés jusqu’au 11 octobre à Lille. Soupçonnés d’avoir été les logisticiens de traversées clandestines de la Manche entre juillet 2020 et juillet 2022, les prévenus, principalement irako-kurdes, sont poursuivis pour “aide à l’entrée à la circulation ou au séjour irréguliers” et “participation à une association de malfaiteurs”.
L’un des donneurs d’ordre supposés est un Irakien de 26 ans. Il est soupçonné d’avoir joué un rôle central dans le réseau, en orchestrant, depuis sa cellule de prison à Tours puis au Havre, les traversées de migrants par embarcations motorisées.
Ses membres géraient le réseau comme une entreprise, où une embarcation de 50 migrants pouvait rapporter jusqu’à 100.000 euros. Les départs étaient organisés notamment depuis le camp de migrants de Grande-Synthe (Nord). […]
Jeudi matin, le tribunal interrogeait un Néerlandais et son père irakien sur des moteurs et des centaines de gilets de sauvetage découverts en juillet 2021 dans un garage qu’ils louaient aux Pays-Bas, ainsi que sur les factures d’embarcations achetées en Turquie. Peu loquaces, les deux hommes ont contesté ces éléments, comme la plupart des prévenus. […]
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